Le titre du livre que j’ai choisi est « le maître de la septième porte ». Il a été écrit par Evelyne Brisou-Pellen. Ce livre est un roman édité par RAGEOT et sa collection est Cascade. Ce roman a plusieurs thèmes : la famille et la guerre.
Sur la première de couverture, on voit un jeune garçon aux cheveux blonds et longs qui se nomme Kélacien (ou Kéla). Il s’apprête à sortir son épée de son fourreau. Derrière lui, on aperçoit Silien, son grand-père accoudé sur un rocher, en difficulté, affaibli. Enfin en arrière-plan, on voit un château situé sur une falaise et séparé de la terre par une cascade. Il n’y a aucune illustration sur la quatrième de couverture.
Les deux personnages principaux du récit sont Kéla et Silien. Ce dernier est très vieux, il a de longs cheveux blancs, une barbe, son crâne est dégarni. « Alors Silien s’était redressé lentement sur sa houe. Il était trop vieux maintenant. Ses cheveux blancs tombaient sur ses épaules et son crâne était dégarni. Même ses mains parcheminées, ses doigts décharnés disaient leur âge. » (Page 5). « Silien passa ses doigts dans sa barbe, les agrippant aux poils blancs comme il faisait toujours quand il réfléchissait. ».(Page 7) Kéla est, contrairement à son grand-père, très jeune. Il a les cheveux blonds et longs et des yeux noirs et profonds. « Et l’enfant était si jeune encore. »(Page 5). « […] l’enfant blond avait pâli. » (Page 5). « L’enfant leva ses yeux noirs et profonds vers lui. » (Page 7).
L’écriture de ce roman est fantastique avec un peu plus de descriptions que de dialogues et avec un vocabulaire plutôt courant. « Déjà les liens l’enserraient de toutes parts. Il arrivait encore à un peu à remuer ses doigts, mais Kéla me bougeait plus. Ils étaient perdus. Les chenilles tisseuses avaient fini leur nid. Elles s’y étaient lovées tout contre le corps de l’humain qu’elles avaient emprisonné dans leur cocon et qui leur servirait de nourriture pendant le long hiver où elles se transformeraient. » (Page 31 et 32). « Sans rien ajouter, Fatar éleva ses bras au-dessus de lui, ses mains comme des serres. La rivière se mit à bouillonner, puis le courant s’inversa d’un coup puis le radeau fut entraîné vers l’arrière, tanguant dans les remous avec ses deux passagers allongés sur le bois, s’accrochant de toute leur force aux lianes d’attache. » (Page 60 et 61)
Si j’en avais eu la possibilité, j’aurais rajouté un personnage (un guerrier) qui aurait aidé Kéla et Silien dans leur périple jusqu’au château. Cela aurait permis aux deux héros de pouvoir avancer plus vite mais aussi d’arriver au château avant les Olmèdes
J’ai trouvé ce livre passionnant car j’aime beaucoup les romans fantastiques et celui-ci m’a beaucoup plu. J’ai aussi trouvé ce livre un peu ennuyant car pour moi, il y avait trop de descriptions et pas assez de dialogues. Mais il y avait quand même un peu d’action mais peut-être pas assez de scènes de combat.
Ronan, 4B, juin 2015