Titre : Arrêtez la musique !
Auteur : Christian Grenier
Edition : Rageot, 2004
Collection : Heure noire
Ce livre est un roman policier donc avec enquête, énigmes et mystère.
La première de couverture représente un chef d’orchestre et des notes sur une partition d’où s’écoule du sang. Le chef d’orchestre parait très autoritaire et droit donc je dirais qu’il pourrait représenter M.Loustachi dans ce roman qui lui aussi un chef d’orchestre renommé et ami de M.Griocek qui a inventé « la symphonie du sacre » qui est d’ailleurs très présente dans ce roman et très appréciée. Quand à la 4e de couverture elle est rouge et noire pour représenter le mystère. Quant au résumé il détaille très bien l’enquête. Ce livre est recommandé à partir de 12 ans.
Comme personnage principal il y a tout d’abord Logicielle l’enquêtrice de police sur le meurtre de Constant Sylvestre, un chef d’orchestre. Elle va travailler très longtemps sur cette affaire et sera une des premières sur la scène de crime. Comme dans l’extrait de la page 13 :
« Elle s’approcha en jouant des coudes.
-Vous permettez ? Bonsoir…
On s’écarta sur son passage ; elle aperçut enfin la cause de l’attroupement : un homme assez âgé, vêtu d’une queue-de-pie, était allongé sur le dos, le visage bouffi, la bouche ouverte, les traits révulsés. Sa main droite était crispée sur une baguette. Logicielle reconnut, accroupi près de lui, le médecin légiste qu’elle salua à voix basse. »
Max, l’ami et le coéquipier de Logicielle a éclairé l’enquête sans même le savoir en faisant une bêtise. Germain un ancien policier à la retraite lui aussi apporte de l’aide à Logicielle.
L’écriture est plutôt réaliste et il y a beaucoup de dialogues.
Si je pouvais changer quelque chose dans ce livre ca pourrait-être ralentir la quantité d’informations qu’il y a vers la fin car toutes les informations affluent d’un coup et c’est dur de tout comprendre la 1ère fois donc il vaut mieux relire deux fois la fin pour avoir tout compris.
Mais sinon j’ai adoré ce livre plein de mystère et de suspence il décrit bien que dans une enquête il faut avoir beaucoup de patience.
Marianne, 4D, juin 2015