Titre du recueil : Le train perdu et autres histoires mystérieuses
Collection : Médium
Edition : école des loisirs
Sophie Cathala : Un gentil petit bled 13
Michel Carrouges : Le cache nez de caoutchouc 27
J.G Ballard: Le Vinci disparu 43
Tomas Owen : Une aile de papillon mort 83
Claude Farrère : Le train perdu 93
Bernard Cassac : L’arbre du Portugais 105
Un gentil petit bled :
L’histoire raconte une mésaventure d’André Faulk un homme simple sans grande particularité physique. Il devait se rendre à un rendez-vous important avec son patron mais sur la route un des pneus de sa voiture se dégonfle .Par chance un garage se trouvait non loin mais quand il arrive, plusieurs personnes attendent aussi que leur voiture soit réparée .Alors il décide de passer la nuit dans une auberge où le téléphone ne fonctionne plus et quelques personnes jouaient à la belote. Le lendemain le garagiste lui apprend que la batterie ne se recharge pas .Désespéré il marche sur la route en faisant du stop .Au final il arrive à une petite maison avec à l’intérieur des joueurs de belote comme dans la première, il demande le téléphone mais il est lui aussi en dérangement alors il demande une chambre comme la première fois.
Passage que j’ai aimé : « Je voudrais une chambre » , dit-il « Une belle chambre .Une chambre ensoleillée même en décembre… » .
Conclusion : Cette histoire m’a beaucoup plu.
« Vous auriez plutôt intérêt à prendre de l’avance. Ici on ne voit pas tellement de circulation ».Ce passage représente bien l’histoire.
Le cache-nez de caoutchouc
C’est l’histoire d’un jeune garçon qui vivait à Niort avec ses parents et un jour il entre dans le bureau de son père et prend les jumelles qu’il n’avait pas le droit de prendre .En regardant par la fenêtre avec l’objet il aperçut son professeur, M .Carmolaux , qui parlait avec un homme. Le professeur poussa l’homme et celui-ci enferma M.Carmolaux dans une petite fiole et partit. Le matin suivant le professeur ne venait pas et la classe commença à s’agiter, le proviseur entra dans la classe et calma les élèves puis repartit .Le lendemain matin les parents du jeune garçon lui demandèrent de sortir. En partant il prit le journal dans la cuisine . Dehors il lut un article sur la disparition du proviseur et de M.Carmolaux . L’article préconisait de faire sortir les enfants de la ville afin de les protéger, la mère du garçon arriva dans le jardin, prit le journal et dit « Que je t’y reprenne, petit malheureux, à chiper les journaux ! »Dans le train pour aller chez sa grand-mère l’homme que le jeune garçon avait vu enlever le professeur lui donna un journal. Arrivé à la gare, l’homme partit en trombe et le garçon n’avait pas pu lui rendre son journal .À son arrivée chez sa grand-mère celle-ci prit le journal et dit « Sale gosse, que je t’y reprenne encore à voler des journaux ! »
Passage représentatif : « Sale gosse que le t’y reprenne encore à voler des journaux ! »(page41)
Une aile de papillon mort
Un jour un homme du nom de Fédor Glyn voulait se peser sur la balance du parc. Il monte sur la machine incère la pièce et là, l’aiguille montre 2kg 900. Fédor va donc essayer une autre balance mais le résultat est le même alors il décide d’aller voir le responsable. Après lui avoir raconté son histoire Fédor lui propose d’aller vérifier si la balance fonctionne bien mais une fois de plus même avec le réglage l’aiguille affiche toujours 2kg 900. En rentrent chez lui il voulut vérifier quel poids il faisait, alors il alla dans la pharmacie la plus proche et encore une fois le résultat ne changea pas, alors il rentra chez lui pour revérifier. Il posa ses vêtements sur la balance, avec son chapeau, le tout pesait 2kg 900. Quand sa femme arriva elle dit qu’elle aussi ne pesait plus rien.
Passage représentatif de l’histoire : Quand à Fédor Glyn, malgré son petit ventre qui l’attristait souvent, rien …Zéro. Zéro…Zéro …un souffle. (page91)
Le train perdu
Tiphaigne Hoff était un chef de gare dans les années 1900.Un soir, le train 1815 allait partir. Tiphaigne criait son habituel « en arrière, les voyageurs !» mais ce soir-là il n’y avait pas un chat. Il se retourna et vit son collègue qui frappait chaque roue du train avec un marteau puis regarda derrière lui et vit deux personnes sur le quai et resta bouche bée. Il y avait un grand homme et un petit, le grand portait un manteau sombre tandis que le petit était très vieux, sa tenue était particulière avec sur sa tête un chapeau castor. Le plus petit monta avec une agilité étonnante dans le train. Le plus grand restait immobile alors Tiphaigne alla à sa rencontre mais le vieillard lui dit de ne pas le toucher. Le géant monta et le train partit. Le chef de gare dans laquelle le train 1815 était sensé arriver assurait qu’aucun train n’était arrivé ce soir-là. La machine qui était partie voir si le train avait déraillé est arrivée à la gare en question et n’avait rien vu .Le train 1815 avait mystérieusement disparu.
Passage représentatif de l’histoire: personne n’a plus ouï parler du train 1815.
L’arbre de portugais
Julien était condamné à trois mois de prison pour recel. Il fut placé dans une prison avec un homme que l’on appelait le portugais. En arrivant dans la pièce le portugais fit de la place sur l’étagère pour Julien. Le portugais avait été enfermé pour avoir tué sa femme. La première nuit fut très dure pour Julien, son partenaire de chambre avait crié toute la nuit car il faisait un cauchemar, d’après le gardien. Le lendemain Julien demanda au portugais pourquoi il criait la nuit, l’autre lui répondit qu’il devait couper un arbre dans son jardin mais qu’il ne réussirait pas tout seul alors il demandait à Julien de l’aide. Et pendant des nuits et des nuits ils coupaient l’arbre. Quand ils vinrent à bout de l’arbre celui-ci s’écroula sur le sol Une nuit Julien se réveilla et vit le portugais en sang, les infirmiers prirent le portugais le posèrent sur une civière et l’emmenèrent.
Tristan, 4A, le 4 octobre 2015