L'auteur est Patrick Delperdange
Le Titre est ''La beauté Louise''
Le nom de la collection est Mijade
L'éditeur est Pocket jeunesse
Le genre de ce roman est plutôt un roman d'aventure
C'est l'histoire d'Antoine un jeune garçon de 12 ans qui va accueillir son papy sortant de l'hôpital car il s'est cassé la jambe ayant besoin de repos. Or un soir Antoine entend ses parents creuser un trou dans le jardin. Il se demande ce qui se passe et il compte bien découvrir ce secret.
Un matin où ses parents se sont absentés pour faire les courses, Antoine décide de creuser dans le jardin où il découvre une malle adressée à son grand-père nommé Robert ; le soir même son père lui explique que c'est en réalité sa grand-mère Astrid décédée qui a confié cette malle aux parents d'Antoine car à l'intérieur de cette malle il y a un étui noir qui remuerait le passé de Robert. En effet cet étui contient des bijoux que Robert espérait offrir à son premier amour '' La Beauté Louise.'' Avec Antoine, Robert décide de partir à l'aventure afin de retrouver l'élue de son cœur.
Ils rencontrent un malfaiteur qui a emprisonné La beauté Louise et se lancent dans une grande aventure . . . .
Parviendront-ils à délivrer la beauté Louise ?
Le personnage principale s'appelle Antoine, il a 12 ans, il n'a peur de rien, il est curieux et il aime l'aventure, il arrive toujours au bout de ces idées et il est toujours prêt à rendre service aux personnes qui en ont besoin comme sont Papy qui a la jambe dans le plâtre. Il se mêle beaucoup des affaires des autres, il fouine dans le passé de beaucoup de monde, il est indépendant mais il préfère la compagnie à la solitude. Il ment très mal et il déteste mentir à ses parent ou à quelqu'un qu’il connait ou de sa famille. Il n’en fait qu'à sa tête, il désobéit et il est teigneux quand il a une idée en tète, il va toujours au bout. Sa sœur l'énerve, il ne l’aime pas trop.
Le passage du texte que j’ai choisi :
Au bout d'une dizaine de mètres, on a aperçu la maison. Il y avait un grand escalier juste devant, qui montait jusque la porte. Autour, la neige avait tout recouvert. Un vrai tapis.
-Oui, a fait papy à voix basse. Oui, ça n'a pas beaucoup changé. . . . .
Il m'a regardé en souriant puis on a avancé vers l'escalier. À part le crouic-crouic de nos pas, on n'entendait pas un bruit. J'observais la maison tout en marchant, j'avais le temps vu la vitesse à laquelle on approchait. Elle avait de grandes fenêtres, mais on ne pouvait pas voir l'intérieur, parce que les rideaux étaient tirés.
Devant la porte, au-dessus de l'escalier, ils avaient installé une sorte de toit de verre, avec des tiges de fer qui pointaient dans tous les sens. J'étais en train de l'examiner, quand j'ai cru voir quelque chose bouger à une fenêtre. Mais après ça je n'ai plus rien aperçu.
On a fini par atteindre l'escalier.
Sous le toit de verre la neige était beaucoup moins épaisse.
Et devant la porte, il n'y en avait plus du tout. Je me suis penché pour regarder à l'intérieur de la maison. J’ai tout à coup fait un bond en arrière parce qu’un bruit de ferraille venait d'éclater tout près.
Ce paragraphe provient de la page 98. J'ai choisi ce paragraphe car il décrit très bien la demeure de la beauté Louise, il remue le passé de Robert le Papi. Il décrit aussi les sentiments que Robert éprouve pour son premier amour de jeunesse.
Le dessin qu'il y a sur la couverture est l'étui noir de la malle avec dedans les bijoux, une photo de Robert avec sa beauté Louise, une Maison ( celle de la beauté Louise ) avec une figurine de mariés et une loupe à côté de l'étui noir.
J'ai bien aimé ce livre, il était bien. On y apprend beaucoup de mots intéressants (ex le nom du bateau de Robert), le livre est bien écrit, la police d’écriture est suffisamment grande et lisible. Il y a tout de même des passages longs et ennuyeux qui évoquaient tout le temps la même chose. Il n'y avait pas trop de mots difficiles à comprendre. C’est un livre facile à lire et à comprendre.
Cassandre, 4A, décembre 2015