Titre: 120 ans plus tard.
Auteur: François Librini.
L’éditeur: Oskar jeunesse.
Illustration de la couverture: Hélène Swynghedauw.
Le Genre du Roman: Policier, Aventures.
Alexandre Guérini et ses parents quittent Paris pour aller s’installer en Auvergne à Montbeyssoux dans la maison dont ils viennent d’hériter qui appartient à leur famille depuis plus de cent ans. Ils reçoivent dès leur arrivée des lettres anonymes. Les parents d’Alexandre ne se posent pas de questions, ils disent que ce sont certainement des gens qui s’amusent à leur faire peur pour les faire partir. Mais Alexandre se pose des questions. Quelques jours avant la rentrée, Alexandre rencontre Julien, un garçon du même âge que lui qui est tellement plus gentil que tous les autres habitants de Monybeyssoux, mais vu la réaction que les parents de Julien ont quand ils apprennent qu’il habite à la Bournerie, quand Julien l’invite chez lui à prendre le goûter, Alexandre se pose vraiment la question : peut-il compter sur Julien ? Le jour de la rentrée, Julien ne parle pas à Alexandre de la journée et laisse la bande de Stéphane Faure le traiter d’assassin. Mais Julien et Alexandre se voient en cachette et c’est avec lui qu’Alexandre décide de se lancer dans une enquête pour savoir pourquoi son arrière-arrière grand-père était un assassin. Julien sera choqué par la révélation de son enquête.
Alexandre est un enfant calme, mystérieux, très habile enquêteur. Il a des idées plein la tête. Il a un rôle d’enfant mais aussi d’enquêteur, on dirait un adulte. Il a un comportement très correct, il est bien élevé mais il a de mauvaises relations au collège. Julien est un grand ami pour lui.
Extrait choisi : « Asseyez-vous, dit-elle, je vais vous chercher de quoi goûter ! Monsieur Faure entra à son tour. Sous son air sévère et sa moustache drue se dessina un léger sourire lorsqu’il salua le nouvel ami de son fils.
–Alors, Alexandre, tu es nouveau au village ? demanda la mère de Julien en remplissant les verres de jus d’orange.
–Oui madame. On habitait à Paris avant. On est arrivé ici il y a trois semaines.
–Et que font tes parents ?
–Papa est traducteur. Il travaillait dans un cabinet à Paris. Maintenant, il s’est mis à son compte, et il envoie ses traductions par Internet.
_ Et ta mère ?
–Elle est infirmière à l’hôpital d’Issoire.
– Alors, vous avez fui la grande ville pour venir goûter au calme à la campagne, si je comprends bien.
–C’est ça, disons que… Mon grand père est mort il y a quelque mois, et mon père a hérité de sa maison ici. Il a dû faire de gros travaux parce qu’il parait que ça faisait plus de cent ans qu’elle était inhabitée.
–Cent ans !
–Oui, et il y en avait du boulot !
– Je veux bien te croire ! Et elle est où cette maison ? demanda madame Faure tout en se dirigeant vers la cuisine.
–Au bard du ruisseau, un hameau où il n’y a qu’une seule maison et qui s’appelle… La Bournerie. »
L’illustration correspond bien à l’histoire elle nous rappelle quand Julien et Alexandre se rejoignaient dans leur petit trou, leur cachette.
J’ai bien aimé ce livre parce que je n’ai pas eu trop de mal à comprendre, j’ai plutôt facilement compris et je suis vite rentrée dans le livre. C’est un livre hyper intéressant parce que cela montre qu’il a des gens qui parlent sans savoir la vérité, je dirais des personnes qui ne savent mais sont obligées de suivre les autres alors qu’ils ne savent pas la vérité. J’ai bien aimé ce livre.
Romane, 4D, décembre 2015