L’auteure : Birgitte Lorentzen
Titre du livre : À la folie
Collection : Bayard Jeunesse
Illustrateur : Harvez Macauly-imperiet
Genre de roman : fantastique
L’histoire commence dans la chambre de Luisa, surnommée Loulou. Depuis quelques temps elle reçoit toutes les nuits la visite d’une petite fille qui l’empêche de dormir, un esprit dit-elle. Aucune nuit ne se passe sans la visite de cette petite fille qui demande de l’aide mais impossible pour Luisa de l’aider car elle ne la voit pas. Luisa est perdue et terrifiée, elle n’ose se confier à personne. Jusqu’au jour où elle va rencontrer Thomas un beau garçon de la section P, tout le monde croit qu’il est fou car il est le seul à voir les fantômes, y compris celui qui rend visite à Luisa. Loulou et Thomas vont se rapprocher de plus en plus et feront des recherches sur le fantôme nommé Rosa. L’histoire de Rosa s’éclaircit un peu plus pour Thomas et Loulou, ils vont vite comprendre qui est Rosa et pourquoi elle est là. Ils vont rencontrer une certaine Ruth qui va les aider un peu plus sur cette histoire. Luisa est obligée d’affronter toutes ces épreuves si elle veut que cette histoire s’arrête.
Mais cette visite chez Ruth ne suffira pas pour bien comprendre ce que veut cette Rosa. Thomas et Luisa iront à la recherche du petit frère de Rosa un survivant du bombardement dont ils ont été victimes Rosa et lui, explique t-il à Luisa et Thomas. Grâce à la rencontre Luisa et Thomas vont réussir à se débarrasser de ce fantôme.
Luisa surnommée Loulou est une adolescente timide, elle reçoit une visite d’un fantôme dans sa chambre, cela la fragilise peu à peu. Elle a une sœur, Julia et sa mère. Elle a aussi une meilleure amie qui s’appelle Stella, et son amoureux Thomas.
Extrait choisi : « Je me rends bien compte que la plupart des ces symptômes correspondent bien à ceux dont souffre Thomas. Mais moi aussi, j’en ai certains… Je veux dire ; moi aussi, je perds parfois contact avec la réalité et j’ai l’humeur très changeante. Sans parler de mes hallucinations…
Je ne suis qu’une adolescente en pleine « crise existentielle », paraît-il. Je n’ai pas à m’inquiéter. Alors pourquoi n’est-ce pas la même chose pour Thomas ?
Parce que ça se manifeste de façon plus violente chez lui ? Il n’a pas de mère à qui se confier, lui… Ca m’a soulagée de tout raconter à la mienne ! Thomas n’a qu’un geek de père, sans doute capable de démontrer le théorème de Pythagore dans son sommeil, mais qui ne doit pas savoir épeler le mot « sentiment ». Enfin, à mon avis.
Parfois, je ne sais pas ce qui vaut mieux. Etre un vrai psychotique avec des hallucinations incroyables ou être comme moi, un zombie terne et insensible, qui traîne lamentablement sa carcasse, jour après jour ?
Je sais bien que j’avais peur du temps où Rosa m’apparaissait dans mon imagination…et où Thomas faisait partie de ma vie.
J’ai choisi ces 15 lignes la du livre parce-que on voit que Luisa croit qu’elle aussi devient à cause de cette histoire car c’est dur. Mais elle ne perd pas espoir !
L’illustration de la couverture du livre correspond à l’histoire car on observe une cage bleue vide qui est la cage de son oiseau qui s’est échappé et on voit aussi une fille allongée aux cheveux bruns qui représente Rosa, le fantôme.
J’ai beaucoup aimé ce livre car dès le début de l’histoire on est dedans, l’auteur a je trouve bien commencé l’histoire pour nous donner envie de lire la suite. Il se passe toujours quelque chose de nouveau et nous avons envie de savoir la suite. Ce livre m’a donné des frissons car j’aime beaucoup les histoires de fantômes, d’esprits… Ce livre est à présent devenu mon préféré ! Romy, 4A, décembre 2015