L’Auteur : Norah McCLINTOCK
Le titre : Cadavre au sous-sol
L’éditeur : Rageot
La collection : Heure noire
L’illustrateur de la couverture : Yann Tisseron
Le genre du roman : roman policier
Natasha Scanlan, surnommée Tasha, vit avec son père depuis que sa mère est partie, il y a cinq ans, s’installer à Vancouver. Sa mère lui manque. Un soir, lorsqu’elle cuisinait en jetant quelques coups d’œil à la télévision, elle apprend que le café Montréal va être détruit le lendemain. Tasha apprend du même coup qu’il y a le cadavre d’une femme tuée il y a près de cinq ans au sous-sol. Elle craint le pire. Quelques jours plus tard, quand Mike dépose Tasha chez elle, il y a une voiture de police. Les inspecteurs Marchand et Pirelli posent des questions, à son père et elle sur la mort de la mère de Tasha, et, elle et Mike, son seul et meilleur ami, vont mener l’enquête pour sortir le père de Tasha, Leonard Scanlan, de prison.
J’ai décidé de décrire Michael Bhupal, alias Mike : c’est le grand ami de Tasha, il a les yeux bruns, sourit presque tout le temps, et a 16 ans.
Extrait choisi : « Tasha baissa les yeux vers l’homme à la cicatrice. C’était un grand gaillard, avec un nez de travers comme si il avait déjà été cassé, et des mains énormes et noueuses. Des mains de tueur, pensa-t-elle. C’était lui. C’était l’assassin ... »
J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Tasha découvre qu’en fait elle s’était trompée car elle suspectait Evart Horstbueller, un homme qui travaillait au Café Montréal, mais Tasha ne suspectait pas du tout la bonne personne. On se rend compte, par la même occasion, que Mike et Tasha étaient suivis sur le trajet jusqu’à la maison d’Evart Horstbueller.
Sur la couverture, on voit une femme morte dont la chemise blanche est tachée de sang au cou, la main droite posée à terre et tendue vers nous, une bague au majeur. En arrière plan, il y a un homme de trois-quarts dos qui monte un escalier dans la lumière qui éclaire le corps de la femme.
La femme morte est en fait Catherine Scanlan, la mère de Tasha.
L’homme qui monte l’escalier en béton en arrière plan est Evart Horstbueller, une des seules personnes qui a vu Catherine Scanlan se faire tuer.
Ce livre m’a plu car il y a de l’action, du suspense, de l’amour, de l’angoisse et, surtout, du fantastique.
Camille GOUCHET 4A, le vendredi 11 décembre