L’ouvrage “La guerre de Catherine” a été écrit en 2012 par Julia Billet. Je ne connais aucune autre oeuvre de cette auteur. Cette bande dessinée est, à l’origine, un roman écrit en français. L’illustratrice se nomme Claire Fauvel.
Les thèmes abordés dans cette bande dessinée sont :
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l’organisation de la fuite des enfants juifs par un réseau de résistants,
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l’abandon de son identité et de ses relations avec ses parents pour survivre,
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le pouvoir de l’art, la photographie dans cet ouvrage pour tenter de s’évader de cette tragédie.
Une phrase m’a marqué :
“A moins que ce soit l’image qui m’ait trouvée” car je la perçois comme le fil conducteur de l’histoire.
A la page 101, voici un extrait :
A son regard, nous comprenons immédiatement que nous allons devoir partir, une fois de plus.
La femme du photographe est venue nous dire qu’il y avait eu des dénonciations et que les Allemands allaient arriver.
“C’est un soldat qui l’a prévenue, il a laissé ce mot pour toi”.
“ Prenez soin de vous, vous allez nous manquer”.
Même chez les Allemands il y a des gens qui se battent contre la guerre.
C’est forcément le signe qu’ un jour cette folie cessera.
Le personnage principal se nomme Rachel, elle essaye de fuir les Allemands pour ne pas se retrouver dans les camps de concentration.
Les parents de Rachel l'ont envoyé à la maison des Sèvres. Elle se fait des amis et elle découvre une passion : la photographie. Mais elle est obligée de quitter son internat pour échapper aux rafles allemandes. Elle passe de familles en familles ; elle a reçu l’ordre de veiller sur une petite fille durant tout le temps de la guerre.
J’ai aimé cette bande dessinée car elle est simple à lire et qu’elle propose un point de vue différent sur cette période historique et la vie d’enfants juifs tentant d’échapper aux rafles.
Les actualités du moment (profanations de cimetières juifs, tags honteux sur les commerces) nous font comprendre l’importance de ces récits. Ils nous permettent de rester vigilants, de nous souvenir afin de faire face aux discours et propos racistes.
Thomas F
Collage d'images de Zéna, 4D
L’auteure s’appelle Julia Billet et l’illustratrice s’appelle Claire Fauvel. L’auteure s’est inspirée d’une histoire vraie. Le récit est écrit en français. Ce livre est une BD (bande dessinée).
L’histoire se déroule pendant la seconde guerre mondiale : une jeune fille juive appelée Rachel change de lieu et d’identité pour se cacher des Allemands. Le nom de la nouvelle identité de Rachel est Catherine, pendant son voyage, elle rencontre Alice, qui devient son amie.
L’histoire me rappelle le film « Joyeux Noël » car l’histoire se passe lors d’une guerre mondiale. Je me rappelle du cours d’histoire en CM2 qui parlait d’un livre de la seconde guerre mondiale. Je me rappelle d’avoir visité le mémorial de Caen en primaire.
J’ai ressenti de la joie pour Catherine en lisant ce livre. L’histoire était superbe, les intentions de l’auteur sont de montrer comment les juifs se démenaient pour survivre à l’antisémitisme.
La note que je donne au livre est de 5 étoiles car il m'a vraiment plus.
Mon quiz https://www.babelio.com/quiz/44711/La-guerre-de-Catherine
Léo, 4C
« La guerre de Catherine » est une bande dessinée adaptée du roman de la même auteure, Julia Billet, et illustrée par Claire Fauvel.
J'ai beaucoup aimé ce livre car il évoque les années noires de la France.
De plus, il raconte une histoire originale, celle d'une jeune photographe de guerre. J'ai trouvé ce livre très intéressant car il parle d'une « cavale » d'une jeune fille juive lors de l'instauration du port obligatoire de « l'étoile jaune ». Ce livre est émouvant car on voit que, même pendant la guerre, on peut vivre sa passion et, dans le cas du livre, la mettre à profit pour pouvoir se souvenir de ce qui s'est passé.
« Pingouin, le mari de la directrice, m'a prêté un Rolleiflex lorsqu'il m'a nommée responsable de l'atelier photo. Depuis, je ne m'en sépare plus. J'adore regarder le monde à travers le viseur. D'un clic, arrêter le temps. Il m'a surprise un jour que je regardais ses appareils photo dans leur vitrine. Aujourd'hui, c'est moi qui suis responsable de la clé de l’armoire vitrée. Pingouin m'a transmis sa passion. Lui est incapable de prendre une photo depuis qu'il a été fait prisonnier, au début de la guerre. Son regard est encore trop plein des cris et de la terreur de ces derniers mois. Il s'occupe désormais de l'association qui fait vivre l'école, et je suis sûre qu'il fait partie d'un réseau de résistance. »
Téo, 4C
Nuage de mots par Ambre, 4C