Gustave Eiffel,un homme de 23 ans vivant à Paris en 1885, est diplômé et cherche un emploi sans y arriver mais un jour il tombe
sur une annonce pour un emploi, un peu étrange. En fait cette publicité est pour la Société Super Secrète des Savants en Science Surnaturelle (S.S.S.S.S.S) qui est chargée de s’occuper des créatures surnaturelles. Gustave n’était pas très haut dans le classement des recrues mais prometteur, la S.S.S.S.S.S. décide donc de l’envoyer sur l’affaire du phœnix.
J’ai aimé ce livre mais pas plus car j’adore tout ce qui est autour des personnalités de l’histoire et des créatures mythologiques et les deux vont bien ensemble dans ce livre mais il y a des parties soit longues soit importantes soit les deux que je ne comprends pas du tout.
Extrait choisi :
(Gustave)
-Pour obtenir les quantités d’énergies dont vous affirmez que mon corps a besoin, il faudrait bien plus qu’une barre de fer, dit-il. Il faudrait un pylône d’une hauteur considérable… au moins trois cents mètres… et personne n’a jamais construit cela.
-Mais ne pourriez-vous pas superviser un chantier de cette ampleur ? Pas trop loin de la Société, si possible?
-Vous voudriez que je fasse construire,au sein de la capitale, une tour de plus de trois cents mètres, entièrement en fer?
Alfred sourit.
-Avec vos nouveaux pouvoirs, dit-il, ce ne devrait pas être trop difficile.»
Gustave se plaça devant la glace pour enfiler sa chemise. Oui, l’idée était loin de lui déplaire. Il avait toujours rêvé de bâtir des monuments. Déjà, dans sa tête, les calculs s’enchaînaient. Il pourrait déposer la tour sur quatre piliers, chacun orienté vers un point cardinal. On ajouterait des arcs tendus au-dessus des piliers. Et trois étages.
Maxence, 4C
Les côtés scientifiques et mythologiques m’ont beaucoup plu dans ce livre. En effet, le personnage principal évolue pendant la période de la Révolution Industrielle au sein d’une usine de métallurgie et dans un monde avec des créatures imaginaires comme des phénix. Par ailleurs, Gustave va résoudre une enquête trépidante qui va lui apporter de nouvelles connaissances tout en lui donnant de nombreux défis. Le lien avec la tour Eiffel sur la fin du livre est un joli clin d’œil à l’œuvre de Gustave Eiffel.
De plus, l’auteur a su rassembler plusieurs scientifiques du 19ème siècle qui nous sont tous connus.
Le point un peu négatif est que parfois le récit possède des longueurs au détriment de l’action.
Pour mon premier roman « steampunk », je ne peux que recommander la lecture pour découvrir ce type de littérature.
Extrait du chapitre 4 :
Gustave ne réfléchit pas. A l’instant où le loup surgit devant lui, son instinct de conservation prit le dessus, et commanda toutes ses actions. D’un seul coup d’œil, son cerveau embrassa la pièce et son adversaire. Le loup mesurait plus de trois mètres au garrot. Dans la petite pièce d’une trentaine de mètre de mètre carrés, il occupait presque tout l’espace. Dos à la porte, il pliait les pattes arrière, muscle tendus, prêt à bondir sur sa proie. Impossible de s’enfuir sans lui passer au travers du corps. Le tas d’armes empilées dans un coin ne serait d’aucune utilité. Ces vieilles lames au rebut se briseraient au moindre choc. […]
Je l’ai choisi car selon moi c’est un moment important du livre ; le héros est confronté à une dernière épreuve avant de pouvoir devenir centésimal. Cette épreuve est censée être impossible et le texte nous le montre bien. Ceci amène encore plus de suspens et d’intérêt à cet extrait.
Thomas, 4C