La Course aux fantôme est un roman de Christine Beigel édité par Syros dans la collection Souris noire.
Voici le début de l'histoire :
Après avoir vu un individu mystère à sa porte, Benjamin se demande comment il a pu entrer. A ce moment là, il se rend compte qu'il y a un passe sur la porte. Mais il se demande aussi comment cet intrus a fait pour se "volatiliser" et il se fait des idées farfelues comme "peut-être que c'est un vrai fantôme" !
Quand cette idée lui vient à l'esprit, il décide de mener sa propre enquête. "Est-ce un magicien? Un illusionniste? Un VRAI fantôme?" " Mais si c'est un VRAI fantôme, c'est assez normal qu'il se "volatilise". Mais au même moment, le prétendu fantôme réapparait devant lui et le poursuit dans toute la maison.
Quentin P. 5e B
Et voici un résumé de l'histoire :
Une mystérieuse aventure se passa pour les treize ans de Benjamin. Un jour où ses parents n'étaient pas là, Benjamin entendit un cliquetis de passe-passe dans la serrure. Un homme ouvrit la porte, Benji fut cloué par terre de stupeur, son assaillant bouche-bée, repartit aussitôt dans un coup de vent.
Le soir, il préféra ne pas en parler à ses parents. Jean le père de Benji prit la parole au repas :
«Benji, pour ton anniversaire, j’ai décidé...hem de...» Il prit une grande inspiration et continua «j'ai décidé de t'offrir un voyage à New Delhi parce que… et bien tu as un frère…» Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que, sur ces mots, Benji alla dans sa chambre.
Le lendemain matin, il fut réveillé par un coup de téléphone, peut -être son frère ou le cambrioleur, il finit par décrocher. Un homme criait à Benji et son père de ne pas venir.
Le départ à New Delhi était déjà prévu, et il n’allait tout de même pas le dire.
A New Delhi, les excuses faites, Benji et son père rencontrèrent un homme, Luc. Arrivés à l’hôtel, ils se rendirent compte que tous leurs bagages étaient défaits. Benji avait peur, mais son père le réconforta.
Ils changèrent d'hôtel.
«Papa où est mon frère, Sanjee?» demanda Benji. Son père lui répondit qu’ils y seraient bientôt mais Benji avait l'impression que Luc les suivait.
Des personnes, deux jours plus tard, essayèrent de les tuer. Les soupçons de Benji à propos de Luc se multipliaient. « Pour la deuxième fois, je vais essayer d'en parler à mon père », se dit-il. Enfin son père le crut et ensemble ils décidèrent de tendre un piège à Luc, pour être sûr. Son père prit la parole :
«Luc veut que j’avoue où est caché Sanjee.»
Ils allèrent chez le barbier pour le plan. Le père de Benji offrit à Luc tout ce que le barbier savait faire. Le barbier commença à raser le cou. Alors, Benji prit le sac de Luc qui ne pouvait pas bouger car il se ferait couper le cou. Il s'énerva et jura de les tuer. Benji et son père allèrent dans un restaurant et fouillèrent le sac : Luc était un faux nom ! Quand ils quittèrent le restaurant, Luc les attendait avec une arme et il leur dit de le conduire à l'habitat de Sanjee car il voulait le tuer.
Jusque là, le plan fonctionnait à merveille, mais Benji avait peur. Ils arrivèrent chez Sanjee, c'était une maison dans une ancienne ville. Son père appela Sanjee qui arriva aussitôt. Luc était près de lui. Il tenta de lui tirer dessus. Mais, tout à coup, des dizaines de personnes arrivèrent. Luc lâcha son arme et fut arrêté par la police. Sanjee était devant Benji ….
Benji revint en France heureux d’avoir vu son frère, il n'était plus du tout énervé mais heureux : ce frère, c'était le meilleur cadeau que l’on puisse lui faire.
Nel LS, 5e B