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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 18:35

Titre : L’infante de Vélasquez

Auteur : Marie Brantômel_infante_de_velasquez.jpg

Edition : Seuil

Genre : roman

Alors qu’une classe visite le musée du Louvre, deux petites filles, Inès et Alice décident de s’écarter du groupe. Après avoir parcouru de nombreux couloirs, les deux fillettes tombent sur un étrange tableau : Les Ménines. Inès, qui veut toujours tout avoir, a cette fois envie de devenir Dona Isabel de Velasco, un des personnages du tableau. C’est alors que la pièce se retrouve plongée dans un énorme brouillard. Un peu plus tard les deux filles sont retrouvées inconscientes. Lorsqu’elles se réveillent, Inès a changé, elle ne réagit plus. La mère d’Alice, interpellée par l’inquiétude de sa fille pour Inès, décide de mener son enquête pour résoudre le problème d’Inès.

VELASQUEZ-MENINES.jpg

Grâce à ce livre, j’ai appris la manière dont vivaient les gens au XVIIème siècle, leur façon de penser, leur état d’esprit, leurs vêtements...

J’ai aussi appris le nom d’un tableau du XVIIème siècle.

« Curieux ! Me dis-je, je n’aurais pas pensé que cet aposentador fût si dénué de scrupule. Je l’imaginais, au contraire, doté d’une certaine morale, plus protecteur que prédateur. »  P.69/70

« Prenez garde, Dona Carissima, voici une voiture ! Un carrosse de bois sombre, aux armes d’Aragon, tiré par quatre splendides chevaux arabes piaffants » P.71

Les cinq mots représentatifs :

Si je devais représenter de livre en cinq mots se serait irrationnel car dans la réalité on ne peut pas pénétrer dans un tableau.

Leçon parce que ce livre veut nous dire que si on a le même caractère qu’Inès, il va nous arriver quelque chose.

Etonnant, lorsqu’on regarde la couverture du livre on ne s’attend pas à lire une histoire comme celle-ci.

Mélange puisque ce livre est un mélange du 17ème siècle mais aussi du 21ème siècle mais cela n’est pas gênant pour comprendre l’histoire.

Vocabulaire, j’ai été surpris par le vocabulaire qui est employé dans cette histoire, les personnages utilisent du vocabulaire soutenu, je pensais qu’ils utiliseraient du vocabulaire plus courant.

Si je pouvais décider de publier ce livre je dirais non car je l’ai  trouvé ennuyeux, le sujet ne m’intéresse pas, l’histoire n’est pas faite pour quelqu’un de mon âge. Je trouve aussi que le vocabulaire employé n’est pas adapté, j’aurais plutôt utilisé des mots moins soutenus.

Mais ce livre est quand même original, quelqu’un de plus jeune serait peut être intéressé par ce livre et par son sujet.

 

                                                                             05/12/13 Pierre-Louis 4c 

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Titre: L’INFANTE DE VELASQUEZ
Auteur: Marie Brantôme
Edition : Seuil
Genre : C’est un roman

Sujet : ce livre parle de deux filles qui sont amies, l’une est très très jalouse de ce qu’ont les autres et veut toujours être mieux que tout le monde. Un jour elle se rend au Louvre avec sa classe pour voir des tableaux et d’un seul coup elle se retrouve toute seule. Une fumée blanche envahit la pièce et le personnage d’un tableau se met à parler à la petit fille jalouse…
Peu après, elles s’évanouissent et se retrouvent dans une pièce désaffectée et interdite au public.

Après cette expérience bizarre, la petite fille jalouse ne parlait plus et ne comprenait pas ce qu’on lui disait…La mère de son amie intriguée par ce qui s’était passé décida de chercher ce qui lui était arrivé.      

Ce livre m’a appris qu’au XVIIe siècle, les femmes nobles s’habillaient avec de longues robes (Page 64 « dans ma robe trop longue ») et j’ai appris aussi que les gens prenaient très soin de leur image (Page 65 « toute une bande de marquis (…) admiraient leur reflet dans l’eau »)

En cinq mots ce livre est :

Intrigant car on ne sait pas ce qui va se passer .

Bizarre car il se passe des choses inexplicables.

Attirant car il nous donne envie de le lire.

Instructif car il nous apprend des choses.

Original car il fallait trouver cette idée.

Oui je publierais ce livre car il nous apprend des choses comme des histoires ou comment était le XVIIe siècle …

L’histoire est très originale car il fallait quand même trouver une histoire qui soit dans un même contexte tout le temps.
                                                                                              Paul, 4A, janvier 2014

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Auteur : Marie Brantôme

Titre : L'infante de Vélasquez

Edition : Seuil

Illustrateur de la couverture : Ludovic Debeurme

Genre du roman : fantastique

 

Une mère raconte une histoire irréaliste qui lui est arrivée à elle, sa fille et une des amies de celle-ci. Alice, la fille de la narratrice, raconte l'histoire à une  amie, Inès, qui n'a à la bouche que les mots "je veux ".

Un jour, au Louvre, Inès se fait aspirer par le tableau de « l'Infante » de Vélasquez. Sa vie et celle d'une des servantes de l'infante vont être échangées. Inès est donc prisonnière du tableau, tandis que Dona Maria, elle, vit au côté d'Alice, de sa mère  et des parents d'Inès.

La mère d'Alice comprend peu à peu ce qui se passe et décide de mener son enquête. Elle découvre que la véritable Inès est coincée au XVIIème siècle, et fait tout pour la ramener dans sa vraie vie.

Un jour d'hiver, elle réussit à renvoyer Inès dans son époque, et Dona Maria dans la sienne. Mais Alice restera triste car elle aura perdu une amie, Dona Maria.

 

Je vais décrire Inès, la jeune fille qui se fait aspirer par le tableau.

Physiquement, elle a les cheveux bruns et bouclés, de grands yeux noirs et un visage ovale. Elle est égoïste, prétentieuse et demande sans arrêt toujours plus de choses.Elle se met facilement en colère contre sa mère quand elle n’a pas ce qu’elle veut. Elle est la meilleure amie d’Alice. Elle aimerait ressembler à Dona Maria parce qu’elle la trouve belle, et qu’elle a de beaux habits. Son souhait était  d’avoir la même vie que Dona Maria et son vœu se réalise puisque sa vie est échangée avec celle de Dona Maria : Inès se retrouve plongée en plein XVIIè siècle et Dona Maria, au XXIè  siècle, avec Alice et sa famille. Finalement, Inès est punie, car elle réalise que la vie de servante au XVIIè siècle était difficile.

 

« - Je sais  beaucoup de choses sur vous mademoiselle Coufi-Coufou ! Et je peux même accomplir votre souhait, si vraiment c’est ce que vous désirez. Mais je le répète, prenez bien garde ! Vous avez des parents qui vous aiment et vous entourent d’affection et de prévenance, des frères avec qui parler et rire, un lit douillet dans votre jolie petite chambre où ce soir votre mère viendra vous embrasser avant que vous ne vous endormiez…là-bas, ici, dans notre palais, Dona Maria que vous enviez tant n’a rien de tout cela. Elle est loin de chez elle, loin de sa famille. Elle dort dans une alcôve sans fenêtre, à côté de la chambre de l’infante qui l’appelle sans cesse, à toute heure du jour et de la nuit, parce qu’elle a peur ou faim ou soif ou envie d’une histoire. La naine la déteste et lui joue toutes sortes de méchants tours.

- Oh! Je n’écoute plus! s ‘écria Inès en se bouchant les oreilles. Vous me racontez tout ça pour me décourager, mais vous n’arriverez pas. Je veux

- Soit! répondit l’homme avant qu’elle ait pu terminer sa phrase.

Alice, sentant un danger imminent, voulut saisir la main d’Inès pour l’entraîner dans l’autre salle, mais n’en eut pas le temps. Une chaleur intense s’était soudain dégagée du mur où était accroché le tableau, tandis qu’une sorte de vapeur blanche envahissait l’espace, noyant les deux enfants dans une brume épaisse.

Inès s’était littéralement volatilisée dans un tourbillon et Alice était tombée à terre, inanimée. »

 

Extrait tiré des pages 26 et 27 du livre.

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Inès se fait aspirer dans le tableau.

Je le trouve intéressant car c’est là que l’intrigue commence. Malgré les avertissements de l’aposentador, Inès ne veut rien entendre et elle est piégée dans le tableau. C’est sa punition car elle a été trop exigeante et entêtée.

 

Le titre et le nom de l’auteur apparaissent en haut de la couverture.

L’image représente deux jeunes filles :

- une avec les cheveux châtain et une robe verte, debout. Elle donne l’impression de poser pour un tableau

- l’autre, brune et en habit rouge, vole derrière elle en la regardant et en lui touchant la main. On a l’impression qu’elle l’envie.

Cette couverture représente bien l’histoire. La jeune fille en robe verte est la servante de l’infante, et l’autre est Inès. Ce sont deux personnages importants du livre.

 

J’ai bien aimé ce livre car le genre fantastique me plaît, et l’histoire est entraînante. J’avais envie de savoir ce qui allait se passer et si Inès allait pouvoir revenir dans son époque. J’ai aussi bien aimé comprendre comment les gens vivaient au XVIIè siècle.

À la fin, les deux amies se retrouvent donc l’histoire se termine bien. Ce qui est un peu triste, c’est que Alice perd son amie, Dona Maria.

Je recommanderais plutôt ce livre aux personnes qui aiment l’histoire et le fantastique.

 

Sarah, 4D, décembre 2015

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