Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
Auteur : Évelyne Brisou-Pellen
Titre : Les cinq écus de Bretagne
Éditeur : Le livre de poche jeunesse
Date : juin 2008
Illustrateur : Bruno Pilorget
Genre : Roman historique
Sujet : C’est une fille qui va chez son grand-père car son père est mort. Cette fille s’appelle Guillemette et son grand-père ne savait pas qu’elle existait. Guillemette doit se faire appeler Philippa pour que personne ne sache qu’elle existe.
Extrait choisi, Pages 10 et 14.
« Elle frappa de nouveau.la porte ne s’ouvrit pas, ni le volet, mais une voix soudain lui parvint d’en haut :
-C’est fermé voyons !
Elle leva la tête d’un mouvement de surprise inquiète, elle recula un peu.
-C’est fermé ! Ne savez-vous point que nous sommes dimanche ? Revenez demain.
-Monsieur, osa la jeune fille d’une voix mal assurée, il faut que je vous parle.
-Cela ne peut-il pas attendre ?
-Vous êtes bien monsieur Boisguérin, le miseur ?
-Bien sûr que désirez-vous ?
-C’est que… Je ne peux vous le crier par la fenêtre.
Monsieur Boisguérin la fit rentrer.
Et elle lui dit :
-Mon père est mort. Et c’est toi mon grand-père… » .
Je trouve que ce passage est bien car il explique que son père est mort, que c’est monsieur Boisguérin son grand-père et tout le chemin que Guillemette a fait pour arriver à Rennes.
Jugement personnel : J’ai bien aimé cette histoire car elle raconte la vie d’une jeune fille au Moyen-âge, les guerres qu’il y avait entre deux camps. Mais j’ai eu du mal comprendre car il y avait les mots anciens comme pas = point et les mots étaient mis dans tous les sens.
Clémence M, 5C, 24/10/2012
Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
Thème principal : Le Moyen-Age
Résumé : En été, une fille, Guillemette Landais vient de perdre son grand-père. Mais son père ne l’a pas laissée sans trace de son grand-père, il lui avait indiqué qu’il était le « miseur de Rennes ».
Il lui avait envoyé une lettre pour le prévenir de son arrivée, or le messager s’était trompé d’adresse et avait donc livré la lettre au frère du miseur de
Rennes (l’actuel miseur) car ils portent le même nom de famille.
Ce frère avait une fille un peu plus jeune que Guillemette et donc la seule héritière officielle de son père mais aussi de son oncle. Elle, ne voulait pas de tout cet argent mais son père voulait qu’elle l’ait !
Alors quand il reçut la lettre de son fils, le père de Guillemette, fut fou de rage et engagea des gens pour le tuer....
Clarisse L, 5C, 18/10/12
Titre : Les Cinq écus de Bretagne
Auteur : Evelyne Briosou-Pellen
Illustrateur : Bruno Pilorget
Edition et collection Hachette jeunesse
Résumé : vers le début de l'été 1469, une jeune fille nommée Guillemette, dont le père est décédé, va rejoindre son grand-père, qui ne sait pas qu'il a une petite fille. Son accueil réserve à Guillemette bien des surprises.
Mon avis : J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de mots difficiles. Je ne le recommande pas à ceux qui comme moi, ont des difficultés pour comprendre les livres aussi compliqués.
Noémie, 5C, 18/10/2012
Auteur : Éveline Brisou-Pellen
Édition : Livre de poche, hachette jeunesse 1993
genre : C'est un roman historique
Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
Titre : Les cinq écus de Bretagne
Edition : 1993, Hachette Jeunesse, Livre de poche
Genre : Roman historique
Thème principal : Un e jeune fille orpheline à Rennes au Moyen-âge
Le sujet : A la mort de son père Guillemette Landais se retrouve orpheline. Elle décide alors par la dernière volont é de son père d’aller voir son grand-père messire Boisguérin à Rennes. Celui-ci exige qu’elle change de nom pour cacher son identité. Elle décide alors de s’appeler Philippa. Une rumeur court dans la ville : Philippa ne serait pas la petite fille de messire Boisguérin. Il décide donc de l’adopter. Un jour Philippa apprend que c’est le frère de messire Boisguérin son vrai grand-père et qu’il a payé des bandits pour tuer son père.
Passage remarquable :
« Savez-vous l’histoire des cinq écus de Bretagne ? Lorsque le premier propriétaire de cette maison l’a vendue, autour des années 1400 je crois, l’acheteur l’a payé en écus d’or. Le compte a été mal fait et, sans s’en apercevoir l’acheteur a payé un écu de trop. Le vendeur ne voulant pas le voler déposa en partant l’écu sur la cheminée. Par superstition peut-être, le nouveau propriétaire n’y a pas touché, et a appelé sa maison L’Ecu de Bretagne. Il faut dire que cette monnaie était alors nouvelle.
Quand cet homme a finalement revendue la maison, le nouvel acheteur a décidé de la payer un écu de plus, écu qui devait rester sur la cheminée … La tradition s’est maintenue. J’ai acheté la maison « Les Quatre Ecus de Bretagne » qui est devenue la mercerie les Cinq Ecus de Bretagne »
Ce passage est intéressant car le nom de la maison est né de cette histoire et constitue le titre du roman.
Jugement critique personnel :
J’ai aimé l’histoire mais j’aurais aimé avoir une suite. L’histoire est complexe car il y a certains passages où je n’ai pas tout compris. C’est un livre intéressant que je conseille de lire.
Chloé Le H, 5 D, le 6 novembre 2011
Auteur: Evelyne Brisou-Pellen
Editeur: Hachette jeunesse
Collection: Livre de poche jeunesse
Genre: Roman historique
Résumé:
En 1469, en Bretagne, Guillemette Landais qui est âgée de 13 ans vient de perdre son père qui était garde du château de Fougère. Elle part à Rennes voir Messire Boisguérin, le trésorier de la ville. Il lui fait un accueil pour le moins inhabituel et lui demande de prendre un nouveau prénom : Philippa. Celle-ci enquête sur la mort de son père, elle pense que Messire Bosguérin est son grand-père et qu'il a prémédité le meurtre de son fils en faisant appel à des tueurs à gages.
Elle découvre plus tard que son grand-père ignorait son existence...
Les Personnages:
Il y a Guillemette Landais appelée Philippa , Messire Jamet Boisguérin et et
son apprenti Estienne, Gilles Boisguérin et sa fille Béatrice,...
Ce que je n’ai pas aimé:
J’ai été déçu par le début de l’intrigue qui démarre par le décès de son père.
Ce que j’ai aimé:
A travers ce livre, j’ai découvert comment était Rennes au Moyen-âge. J’ai aussi fait la découverte de métiers qui à l’heure actuelle n’existent plus : miseur, tripière....
Vincent C, 5D, 06/11/11
L'illustation de première de couverture a évolué depuis la première publication de ce livre en 1993 comme le montrent ces trois couvertures.
On retrouve quelques années après Philippa et Estienne dans Les Portes de Vannes du même auteur, chez le même éditeur. Ce deuxième roman est prrésenté dans cet article en mai 2009 par Anaëlle : Les Portes de Vannes (cliquez le titre)
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