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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 08:59

Titre : C'était la guerre 

 Auteurs : Annie Saumont, Italo Calvino, Robert Westall, Hervé

               Le Tellier, Jean-Noël Blanc, Jaroslaw Iwaszkiewicz

L’éditeur : Hachette Jeunesse

Collection : Courts Toujours51THPAYCCBL.jpg

Genre : anthologie de six nouvelles

 

Présentation  de la nouvelle : « Adolf » de Robert Westall

Thème principal : Une amitié entre un adolescent et un ancien héros de guerre

Résumé 

C’est l’histoire de Billy Martin qui va chercher une bière à l’épicerie pour son père. Sur le chemin, il fait la connaissance d’Adolf qui lui propose de faire ses courses en échange d’un peu d’argent. Billy accepte et quand il ramène les courses à Adolf, il lui montre ses tableaux et ils discutent de plusieurs sujets. Un jour, Adolf lui parle de « Dresde », une ville allemande qui s’est fait bombarder par les anglais pendant la guerre 1939-1945. Billy fait des recherches pour trouver ce qui s’est vraiment passé là-bas mais il ne se trouve qu’en face de personnes qui ne disent pas la vérité. Après plusieurs recherches, il trouve le livre d’Adolf Hitler qui raconte tout ce qui s’est passé sur la guerre, il le lit et en parle à un camarade. C’est là que les ennuis commencent car il raconte à tout le monde qu’Adolf est Adolf Hitler. Un groupe de punk tague sa maison d’insultes, une émeute éclate devant chez lui. Billy, inquiet, décide de tout raconter à son père qui lui dit qu'Adolf ne peut pas être Adolf Hitler car il était mort depuis longtemps. Ils partent à la maison d’Adolf qui est en flammes. Ils appellent la police qui sauve Adolf. Plus tard, ils apprennent qu’Adolf était en fait un grand héros de guerre polonais.

Passage remarquable :

 «La guerre, a ajouté Simms, elle a de drôles d’effets sur les gens – des années après. Le vieux Krainer a commencé par combattre Hitler et il a fini par se prendre pour Hitler. Je suis content d’avoir seulement été dans la défense anti-aérienne – loin de Lowestoft. Papa et moi, on a pris notre bière et on est parti. Les fenêtres aveugles de la maison incendiée d’Adolf Krainer ont semblé nous suivre, comme des yeux, tout le long de Tennyson Terrace."

La guerre fait changer les gens, elle laisse des traces sur les visages et sur les caractères.

Jugement critique :

J’ai apprécié cette nouvelle car cela parle d’une amitié entre un adolescent de 14 ans, qui pourrait être moi, et un vieil homme marqué par la guerre, puis d’une rumeur qui s’installe autour de cette amitié, et qui a failli couter la vie à une personne. Mais cet adolescent a permis au vieil homme de récupérer son honneur de héros.

 

Ewen, 4A, novembre 2012

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51THPAYCCBL.jpgTitre du recueil: C’était la guerre

Edition: Hachette Jeunesse

Collection: Courts Toujours !

Titres des nouvelles:     -Les voilà

                                       -Un beau jour ne dure jamais longtemps

                                       - Le corbeau vient le dernier

                                       - Adolf

                                       - Mon frère David

                                       - Petit Péteux

                                       - Icare    

 

1: Annie Saumont : “Les voilà

On ne sait pas où se passe l’histoire ni à quelle époque mais les personnages principaux sont un enfant et son grand-père. Nous n’avons pas de renseignements sur eux. L’enfant écoute les vieilles histoires vécues par son grand-père quand il était jeune.

Extrait : “De là, je voyais sans être vu. Je les trouvais beaux, les soldats. Ils ont répété : serrez-vous ! Puis ils ont lancé des grenades. »  (p 18)

J’ai choisi cet extrait car je le trouve plutôt triste.

2: Italo Calvino,  “Un beau jour ne dure jamais longtemps”

L’histoire se passe sur les bords d’un petit ruisseau, en pleine seconde guerre mondiale, c'est-à-dire entre 1939 et 1945. Giovannino et Sérénella jouaient à la guerre avec des roseaux mais après avoir sifflé dans les roseaux, ils se retrouvèrent en plein champ de bataille, en pleine guerre…

Extrait: “... Ils revoyaient toujours le regard triste de ce soldat-là allongé par terre… (p 36)

J’ai choisi cet extrait car on voit à peu près comment étaient les soldats pendant la guerre. »

3: Italo Calvino “Le Corbeau vient le dernier”

L’histoire se passe d’abord au bord d’une petite rivière et vers la fin, dans un champ de bataille. Trois soldats sont au bord d’une rivière à regarder les truites passer. À un moment,  un des trois propose de lancer une grenade pour voir la réaction des truites. C’est alors qu’arrive un « gosse ». Il demande un fusil et on lui en donne un. Le gosse tire sur une truite, puis une autre. Ensuite sur une pomme de pin, puis deux puis trois. Une perdrix et une hirondelle tombent à leur tour au sol. Le chef des soldats décide de prendre le gosse sous son aile et c’est comme ça que le gosse est devenu soldat.

 Extrait:“... Mais, venant d’apercevoir des boutons dorés sur la poitrine de l’un d’eux, le gosse avait déjà fait feu en visant l’un de ces boutons ...”(p.49)

J’ai choisi cet extrait car on voit ce que les Français faisaient lorqu’ils voyaient des Allemands.

4: Robert Westall : « Adolf ».

L’histoire se déroule en Angleterre. C’est un jeune garçon appelé Billy Martin qui allait tranquillement chercher des bières pour son père. Il descendait la rue de Tennyson-Terrance quand soudain un vieil homme l’interpella. Il lui demanda d’aller faire ses courses. À son retour, Billy rentra chez “ le vieil Adolf”, c’est comme ça que les villageois l’appelle. Après avoir longuement parlé de ses tableaux qui rappelaient la seconde guerre mondiale, Billy décida de rentrer chez lui car il se faisait tard et que son père s’inquiétait. Le lendemain, à la bibliothèque du collège, Billy cherchait le livre que Hitler avait écrit “Mein kampf”. Après l’avoir lu, le garçon se demanda comment Adolf pouvait savoir autant de choses sur Hitler. Une idée lui vint à l’esprit : Adolf était en fait Adolf Hitler !!!!!  Il alla de ce pas le dire à ses parents qui, bien sûr ne le crurent pas. Mais suite à un article dans le journal qui disait qu’ un dangereux criminel de guerre habitait dans Tennyson- Terrence, le père de Billy partit de suite de la maison,  avec Billy. Devant la maison d’Adolf, un groupe de punks se tenait là, avec des coctails Molotov en main et ils les lançaient à travers la fenêtre de la maison. La semaine suivante, Billy apprit que Adolf était mort mais aussi que Adolf était ancien pilote de bombardier anglais et que, après avoir lu plusieurs fois le livre d’Hitler,  il le copiait: coiffure, style vestimentaire, etc. Depuis ce jour, le père de Billy l’accompagnait à chaque fois que Billy descendait la rue.

Extrait : ... « Le vieux Krainer a commencé par combattre Hitler. À la fin, il a fini par se prendre pour Hitler »... (p.103)

5 : Hervé le Tellier: «  Mon frère David. »

L’histoire se passe dans un camp de concentration allemand.  Le petit Michel écoutait les histoires de son grand frère David, qui lui contait leurs bons et mauvais souvenirs, à la sortie du camp de concentration dans lequel ils étaient tous les deux prisonniers.

Extrait : “debout Michel, encore un effort, un dernier effort. c’est l’arme rouge. Les allemands ont perdu la guerre. »

J’ai choisi cet extrait car on sait comment s’est passe la libération des camps de concentration allemands.

6: Jean-Noël Blanc: » Petit péteux. »

On ne sait pas où se passe exactement l’histoire mais elle se passe dans un petit village.

Amédée vit à la campagne avec son vieux père. Il allait tous les jours au village acheter à manger, boire un coup avec les villageois et voir sa petite copine. Mais un jour, son père vient à mourir. Amédée, sous le choc, ne sort plus de chez lui, ne se lave plus, il grossit... bref, il ne fait plus rien ! Puis un jour, comme tout le monde un jour, il vient à mourir, probablement d’une attaque, comme toute sa famille avant lui ...

Extrait: Je n’ai pas trouve d’extrait intéressant.

7: Jaroslaw Iwaszkiewicz: « Icare ».

L’histoire se passe en Varsovie. Michas regardait le tableau de la chute d’Icare et il se rappela de ce petit garçon, là, sur la route qui lisait tranquillement un livre quand soudain vint cette camionnette noire. De cette camionnette sortirent trois hommes cagoulés qui embarquèrent l’enfant. Personne n’avait rien vu, tout comme Icare , lors de sa chute. Personne, sauf Michas.

Extrait: “Ceux  qui allait périr au combat savaient pourquoi. Peut être éprouvaient-ils une consolation à l’idée que leur mort aurait un sens.”(p.158)

J’ai choisi cet extrait car on apprend comment étaient les soldats à l’idée de mourir.

J’ai trouve ce livre intéressant car je suis intéressé par la guerre.

Tom, 4D Septembre 2015

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