TITRE : La nuit des dragons
AUTEUR : Sirid et Fred Kupferman
EDITION : Hachette jeunesse
GENRE : Roman
SUJET : Il s’agit d’une famille protestante qui est arrêtée par les soldats de lou
is XIV celui-ci veut supprimer tous les protestants en France. Seul le père de cette famille a réussi à s’enfuir grâce à un ami.
Ce que j’ai appris :
Ce livre m’a appris la solidarité dans les campagnes. Ce livre me choque car on supprime des enfants, des familles parce qu’ils ont des religions, des idées différentes.
Antoine accompagné d’hommes déguisés en soldat emmenaient des enfants dans des couvents afin d’éviter la mort ou la conversion. Ils prenaient des risques à traverser la campagne avec des grosses roulottes. Ils risquent leur vie pour sauver la vie des autres.
« des dragons escortaient deux gosses voitures tirées par des mulets. On y avait entassé une dizaine d’enfants, sous la garde de quatre religieuses à la mine sévère. Les dragons étaient tout bonnement des hommes de Josué, revêtus de la défroque de leurs adversaires. » (175)
Le médecin de campagne est très courageux et gentil. Il soigne les gens gratuitement. Le village est très pauvre. Comme le médecin tout le monde s’entraide et ne demande
« dans le village , personne pas même le curé, n’avait entendu parler de Calvin. En revanche, chacun faisait ce que disait le docteur. Michel Lemonnier avait soigné, en oubliant souvent de faire payer, la plupart des gens du pays »(201)pas d’argent aux plus pauvres. Il y a de la solidarité.
Le roi était trop bon puisqu’il donnait de l’argent pour se convertir. Quel scandale ! C’est un passage choquant car il fallait se convertir sinon c’était la mort.
« Le roi était trop bon, il donnait même de de l’argent aux premiers convertis. « six livres pour une âme de paysan, douze pour celle d’un soldat, cent pour un bourgeois, le double pour un pasteur. Et nous, les bons chrétiens nous payons pour voir cette racaille à la messe. » (73)
Cinq mots représentatifs du livre:
Triste ; des familles sont exécutées au nom de la religion.
Solidarité ; les gens sont dans une grande misère mais ils s’entraident.
Traitre ; dans des périodes troubles il y a toujours des traitres pour gagner de l’argent.
Peur ; la peur de rencontrer les soldats et de mourir.
Couvent ; c’est un mot souvent utilisé dans ce livre car c’est un lieu de refuge.
Un livre à publier ou non ?
Je ne publierais pas ce livre car il est trop triste.
Tous les protestants sont exécutés à moins qu’ils se convertissent. Heureusement que quelques personnes arrivent à s’enfuir. Antoine et les religieuses réussissent à protéger des enfants à les cacher dans des couvents.
Ce livre est triste car on ressent la peur en permanence. Ils ont toujours peur d’être exécutés. Je suis choqué de voir supprimer des innocents au nom de la religion. Il n’y a pas de respect des idées.
Gaëtan H, 4A, 4 Décembre 2013
J'ai appris qu'au XVIIe siècle, la conversion au catholicisme était importante.
Les quatre mots représentatifs de ce livre selon moi sont