Titre: Contes de la Bécasse
Auteur: Guy de Maupassant
Édition: Gallimard 1974 Livre de poche
Genre: nouvelles
Thème principal: Regroupement de personnes pour raconter des histoires : 16 nouvelles parmi lesquelles « La Rempailleuse », « Aux Champs », …
Résumé : c'est l'histoire d'un vieux baron des Ravots qui est paralysé qui ne pouvait plus chasser, il ne pouvait que tirer des pigeons de la fenêtre de son salon ou du haut de son grand perron et le reste du temps il lisait. Au moment des chasses à l'automne il invitait tous les chasseurs d'à côté au « conte de la bécasse », rituel où chaque convive mange une bécasse, puis donne au baron la tête de la bécasse, celui-ci la met sur le goulot d'une bouteille et la fait tourner jusqu'à ce que le bec désigne le gagnant qui aura le plaisir de manger les têtes et de raconter une histoire.
Passage (s) remarquable(s): P 116 "Aux Champs"
"Vous voulez que j'vous vendions Charlot? Ah! mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère ça! Ah! Mais non ! Ce serait abomination.
[…] La paysanne, exaspérée, lui coupa la parole :
C'est tout vu, c’est tout entendu, c’est tout réfléchi.....Aller- vous- en, et pi, que j'vous revoie point par ici. C'est ti permis d'vouloir prendre un éfant comme ça! »
Commentaire(s) sur ce(s) passages(s): Quand j'ai lu ces passage haute voix et avec le ton j'ai rigolé surtout sur le langage des paysans , ces passage là sont très amusants .
Critique personnelle: Ce livre-là m’a vraiment plu surtout le conte « Aux champs », pour moi je lui mettrais un 8/10. Je le recommande.
Titouan, 4C, novembre 2012
Auteur : Maupassant.
Titre : Contes de la bécasse, « La bécasse ».
Edition : Albin Michel.
Date : 1984.
Collection : Le livre de poche.
Genre : Recueil de contes, nouvelles.
Thème principal : Le thème principal est un chasseur qui a chassé pendant de longues années devient paralysé des deux jambes et ne peut plus exercer son activité. Ce chasseur est un baron. Il aime aussi inviter quelques-uns de ses amis chasseurs pour manger de la bécasse et pour se raconter des histoires de chasse.
Le sujet : C’est l’histoire d’un vieux baron qui pendant quarante ans avait été le roi des chasseurs de sa province mais depuis cinq ou six années, il était paralysé des deux jambes, il ne pouvait tirer que les pigeons ou d’autres oiseaux de sa fenêtre. Il avait un valet qui lui tenait et rechargeait ses armes, un autre valet était caché derrière les arbres et lâchait de temps en temps des pigeons. Même si le vieux baron ne pouvait plus chasser, il invitait des amis chasseurs pour qu’ils lui racontent leurs exploits de la journée. Les soirs de ces réunions, au dîner, ils mangeaient toujours de la bécasse, ils gardaient les tête pour en faire des chandeliers. Ils désignaient un invité qui devait croquer le crâne. Puis une fois leur repas terminé ils devaient conter une histoire comme :
« Le cochon de Morin », « La folle », « Pierrot », « Menuet », « La peur », « Farce normande », « Les sabots », « La rempailleuse », « En mer », « Un normand », « Le testament », « Aux champs », « Un coq chanta », «Un fils », « Saint-Antoine » , «L’aventure de Walter Schnaffs ».
Choix d’un passage remarquable d’une dizaine de lignes :
Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le « conte de la bécasse ».Au moment du passage de cette reine des gibiers, la même cérémonie recommençait à chaque dîner. Comme il adorait L’incomparable oiseau, on en mangeait tous les soirs, un par convive ; mais on avait soin de laisser dans un plat toutes les têtes. Alors le baron, officiant comme un évêque, se faisait apporter sur une assiette un peu de graisse, oignait avec soin les têtes précieuses en les tenant par le bout de la mince aiguille qui leur sert de bec. Une chandelle allumée était posée près de lui, et tout le monde se taisait, dans l’anxiété de l’attente. »
J’ai choisi ce passage car je trouve qu’il a de l’importance dans le texte, il nous montre pourquoi on a appelé la nouvelle « la bécasse ». Donc le titre va bien au livre.
Jugement critique personnel :
J’ai aimé cette nouvelle car elle n’est pas très longue à lire, son titre va bien avec son texte, elle est facilement lisible.
Je conseille ce livre à tous les lecteurs qui aiment lire peu.
Emma D, 4 A, février 2013
Titre : Contes de la bécasse
Auteur : Guy De Maupassant
Edition : Le livre de poche.
Nouvelle présentée : La folle.
Résumé. La folle :
C’est une vielle femme, une espèce de folle qui s’est égarée sous le coup du malheur car elle a perdu en un seul mois son père, son mari et son fils. Il y avait une bonne qui restait à côté d’elle pour la faire boire et manger, elle ne voulait que rester coucher dans son lit. Pendant quinze années ce fut comme ça jusqu’à ce que la guerre vint. Un officier s’intéressa à sa maladie : il voulut lui parler et, voyant qu’elle ne lui répondait pas et qu’elle ne voulait pas sortir, il se vexa et il la fit porter avec son lit au milieu des bois où elle mourut de froid et de faim.
Mon passage remarquable est le passage de la page 31 « Quand la mort est entrée une fois dans une maison, elle y revient presque toujours immédiatement, comme si elle connaissait la porte. »
Jugement critique personnel : C’est une triste histoire. Mais je l’ai bien aimée.
Laetitia, 4A, mars 2013
Nom de l'auteur: De Maupassant
Prénom de l'auteur: Guy
Titre du recueil: Contes de la Bécasse
Édition: Albin Michel
Collection: Le livre de poche
Titres des nouvelles qui contient ce recueil: La Bécasse, Ce cochon de Morin, La folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce normande , Les sabots, La rempailleuse, En mer, Un normand, Le testament, Aux champs, Un coq chanta, St-Antoine, L'aventure de Walter Schnaffs, (17 nouvelles).
Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation +N° de la page de ces citations:
A: abomination: « Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère çà ! Ah mais non ! Ce serait une abomination.» p.116, Aux champs
B: Bonne femme: «la bonne femme pleurait dans son assiette » p.120, Aux champs
C: Cochon: « Pourquoi diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitât de «cochon» » p.15, Le cochon de Morin
D: Dame: « Madame Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes » p.37, Pierrot
E : Épouvantable peur: « Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger, il hurla comme dans l'angoisse d'un rêve; et la peur, l’épouvantable peur entrait en moi.» p.57, La peur
F: Fille: « La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs
G: Garçon: « La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs
H: Homme: « La plus violente douleur qu'on puisse éprouver, certes, est la perte d'un enfant pour une mère, et la perte d'une mère pour un homme.» p.45, Menuet
I: Inquièter : « En voilà un qui les exécute facilement et qui les lâche sans remords, et qui ne s'en inquète guère.» p.128, Un fils
J: Jeune femme: « La jeune femme reprit:
- Il faut que je les embrasse ! Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit.» p.114, Aux champs
K: ?
L: La peur : « Mais la peur, ce n'est pas cela. Je l'ai pressentie en Afrique. »
M : Mère : « Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère, ça ! » p.116, Aux champs
N : Not' maître : « Me... not' maître... Il hurlait : « J'aime pas manger tout seule, nom de D...» p.73, Les sabots
O: Oncle : « L'oncle, M. Tonnelet, était justement un abonné du Fanal, un fervent coreligionnaire politique qui nous reçut à bras ouverts » p.20, Ce cochon de Morin
P: Père Tuvache : « Alors père Tuvache articula d'un ton coléreux : « Vas-tu pas nous r'procher d' t’avoir gardé ? » p.120, Aux champs
Q:?
R: Rolleport :La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs
S: Saint-Antoine : « Lorsque arriva l'invasion prussien, Saint-Antoine, au cabaret, promettait de manger une armée » p.141, Saint-Antoine
T: Tuvache : « Les Tuvache, sur leur porte, le regardaient partir, muets, sévères, regrettant peut-être leur refus. » p.118, Aux champs
U:?
V: Vieille mère : « La vieille mère lavait ses tabliers; le père infirme , sommeillait près de l'âtre » p.119, Aux champs
W: Walter Schnaffs : « Walter Schnaffs se jugeait le plus malheureux des Hommes. » p.153, Les aventures de Walter Schnaffs
X:? Y:? Z:?
Point de vue sur le livre :
J'ai bien aimé ce livre, car les histoires se passent en Normandie, ma région préférée et les nouvelles sont intéressantes et drôles.
Baptiste W, 4B 15/10/2014
Titre du recueil : Les Contes de la Bécasse
Edition : Albin Michel
Collection : Le livre de poche
Titre des Nouvelles que contient ce recueil : La Bécasse, Ce cochon de Morin, La Folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce Normande, Les Sabots, La Rempailleuse, En Mer, Un Normand, Le Testament, Aux Champs, Un coq chanta, Un fils, Saint Antoine, L’aventure de Walter Schnaffs
Abécédaire :
A – Automne : « A l’automne, au moment des chasses, il invitait, comme à l’ancien temps, ses amis, et il aimait entendre au loin les détonations ». Page 8, La Bécasse.
B – Bécasse : « Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le conte de la bécasse » Page 9, La Bécasse.
C – Cochon : « Ca, mon ami, dis je à Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots-ce cochon de Morin ». Page 15, Ce cochon de Morin.
D – Dévorait : « Morin la dévorait des yeux ». Page 17, Ce cochon de Morin.
E – Enfant : « Jadis, à l’âge de vingt cinq ans, elle avait perdu, en un seul mois, son père, son mari, et son enfant nouveau-né ». Page 39, La Folle.
F – Folle : « On ne revit plus la folle ». Page 43, La Folle.
G – Gendarme : « Le Gendarme présent arrêta Morin ». Page 20, Ce cochon de Morin.
H – Hautain : « Alors elle, qui n’avait point dormi, regardant cet homme dépeigné, aux yeux rouges, à la lèvre épaisse, répondit, du ton hautain dont elle parlait à son mari ». Page 195, Un coq Chanta.
I – Instruction : « Et il savait interroger à la façon du juge d’Instruction ». Page 7, La Bécasse.
J – Jadis : « Oui, Monsieur, c’est un vrai temps de jadis ». Page 68, Conte de La Bécasse.
K – ?
L – Livide : « Nous restions immobiles, livides, dans l’attente d’un événement affreux, l’oreille tendue, le cœur battant, bouleversés au moindre bruit ». Page 85, La Peur.
M – Marmaille : « Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir ». Page 174, Aux Champs.
N – Noblesse : « C’étaient sans cesse des fêtes, des chasses, des plaisirs nouveaux auxquels il invitait la noblesse des châteaux environnants. » Page 188, Contes de la Bécasse.
O –.Orateur : « Toutes les cinq minutes un nouvel orateur prononçait : « J’entends : « Birr !Birr ! » et une compagnie magnifique me part à dix pas. ». Page 9, La Bécasse.
P – Prussiens : « Dans les premiers jours de décembre, les prussiens pénétrèrent à Cormeil ». Page 40, La Folle.
Q – Quai : « Tu as connu Morin, n’est ce pas, et tu te rappelles son grand magasin de mercerie sur le quai de la Rochelle ? ». Page 15, Ce Cochon de Morin.
R – Rempailleuse : « Son père était rempailleur et sa mère rempailleuse ». Page120, La Rempailleuse.
S – Soldat : « Deux heures plus tard les soldats revinrent tout seuls ». Page 43, La Folle.
T – Tuvache : « La première des deux demeures, en venant de la station d’eau de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avait une fille et trois garçons ». Page 174, Aux Champs.
U – ?
V – Voisin : « Non, c’est aux voisins ; vous pouvez y allez si vous voulez. » Page 178, Aux Champs.
W – WALTER : « Walters Schnaffs se jugeait le plus malheureux des hommes ». Page 239, L’Aventure de Walter Schnaffs.
X –Y –Z – ?
Anne B. 4B 16/10/2014
Nom puis prénom de l’auteur
: Guy de Maupassant.
Titre du recueil : Contes de la bécasse.
Collection : Classique Français
Édition : Maxi Poche.
Titres des nouvelles que contient ce recueil :
La Bécasse , Ce cochon de Morin , La Folle , Pierrot , Menuet , La Peur , Farce normande , Les Sabots , La Rempailleuse , En mer , Un Normand , Le Testament , Aux Champs , Un coq chanta , Un Fils , Saint-Antoine , L'aventure de Walter Schnaffs.
Abécédaire des mots clés de ce recueil :
A. Adorait: il adorait les contes, les petits contes polissons, et aussi les histoires vraies arrivées dans son entourage .page11, La Bécasse
B.belle: Une belle jeune fille vint nous ouvrir. Page 20, Ce cochon de Morin
C. Cormeil: Vous connaissez ma propriété dans le faubourg de Cormeil. Page31, La Folle
Donc.Donc, on volait dans le pays, puis on pouvait revenir. page37, Pierrot
E. elle: Elle est très vieille, mais vive comme d'hier. page46, Menuet
F. fichtre: « fichtre ! Je vous réponds bien que j'ai eu peur, moi. » page52,La peur
G. gars: Le marié était beau gars, Jean Patu, le plus riche fermier du pays. Page59, Face Normande
H. honnête: « -M. Césaire Omont voudrait bien trouver une jeune fille honnête comme servante. » page 66, Les sabots
I.il:Il en est des amoureux comme des ivrognes. page74,La rempailleuse
J. Javel: Javel aîné était alors patron d'un chalutier. page83, En mer
K.il n'y a pas de mots commençant par k dans le conte Un Normand
L. liés: Cet homme me plaisant tout à fait, nous fûmes bientôt liés. Page 99, Le testament
M. marmaille :Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. page105, Aux champs
N.ne: « Ne m'avez- vous point donné l'ordre d'abattre moi-même l'animal ? »page115, Un coq chanta
O. on: Dans tout métier on fait la part des profits et pertes. Page121, Un fils
P. pénétrer : Le Normand malin le pénétra tout de suite, et, rassuré, lui fit signe de s'asseoir. Page 134 , Saint-Antoine
Q.qui:Qui donc les nourrirait et les élèverait ? page146, L'aventure de Walter Schnaffs.
R. récits: Voici quelques-uns de ces récits: page13,La bécasse
S. suffirait: Il me suffirait peut-être d'être audacieux. page16, Ce cochon de Morin
T. tenez: Tenez, dit M. Mathieu d'Endolin, les bécasses me rappellent une bien sinistre anecdote de la guerre.
U.il n'y a pas de mots commençant par u dans le conte de Pierrot
V. venir: Je venais là presque tous les matins. Page 47,Menuet
W. wagon: Quand elle eut fait ses adieux à la vieille, elle entra dans la salle d'attente, et Morin la suivit; puis elle passa sur le quai, et Morin la suivit encore; puis elle monta dans un wagon vide, et Morin la suivit toujours. page16, Ce cochon de Morin
X.il n'y a pas de mots commençant par x dans le conte de Farce Normande
Y.il n'y a pas de mots commençant par Y dans le conte de Les sabots
Z.il n'y a pas de mots commençant par Z dans le conte de La rempailleuse
mon avis: j'ai trouvé qu'il y a beaucoup d'amour dans chaque conte de ce livre et de la tristesse. J'ai bien aimé ce livre.
Flora R 4B le 16 octobre 2014
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