Prénom et nom de l’auteur : Guy de Maupassant
Titre du livre : Cinq nouvelles réalistes
Édition : Magnard
Collection : Classiques et Patrimoine
Titre des nouvelles que contient ce recueil :
1 -La Rempailleuse 4 -Le parapluie
2 -Aux champs 5 -La parure
3 -Mon oncle Jules
Le point commun de toutes ces nouvelles est : « l’Argent »
Abécédaire des mots clés de ce recueil :
A= « Aumône » l.1 p.29 : « Un vieux pauvre, à barbe blanche nous demanda l’aumône ». Nouvelle : Mon oncle Jules
B= « Billets » l.226 p.64 : « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Nouvelle : La Parure
C= « Caste » l.8 p.55 : « Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n’ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. » Nouvelle : La Parure
D= « Dot » l.3 p.55 : « Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l’Instruction publique. »Nouvelle : La Parure
E= « Économe » l.1 p.41 : « Mme Oreille était économe » Nouvelle : La Parure
F= « Fortune » l.103 p.12 : « S’est-elle attaché à ce mioche parce qu’elle lui avait sacrifié sa fortune de vagabonde, ou parce qu’elle lui avait donné son premier baiser tendre ?» Nouvelle : La Rempailleuse
G= « Gêne » l.9 p.29 : « Ma mère souffrait beaucoup de la gêne où nous vivions, et elle trouvait souvent des paroles aigres pour son mari, des reproches voilés et perfides. » Nouvelle : Mon oncle Jules
H=« Héritage » l.66 p.31 : « Enfin l’oncle Jules avait notablement diminué l’héritage sur lequel comptait mon père ; après avoir d’ailleurs mangé sa part jusqu’au dernier sou » Nouvelle : Mon oncle Jules
I= « Indemnité » l.250 p.51 : « On ne nous ne demande jamais d’indemnité pour des accidents d’une si minime importance» Nouvelle : Le parapluie
J= Jeûnant l.175 p.15 : « Après m’avoir raconté toute cette triste histoire, elle me pria de remettre à celui qu’elle avait si patiemment aimé toutes les économies de son existence, car elle n’avait travaillé que pour lui, disait-elle, jeûnant même pour mettre de côté, et être sûr qu’il penserait à elle, au moins une fois, quant elle serait morte. » Nouvelle : La Rempailleuse
K= Kirsch l.184 p.15 : «On me fit m’assoir; on m’offrit du kirsch, que j’acceptai ; et je commençai mon discours d’une voix émue, persuadé qu’ils allaient pleurer. » Nouvelle : La Rempailleuse
L= Liards l.91 p.11 : «Un jour-elle avait alors onze ans-comme elle passait par ce pays, elle rencontra derrière le cimetière le petit Chouquet qui pleurait parce qu’un camarade lui avait volé deux liards » Nouvelle : La Rempailleuse
M= Masure l.16 p19 : «La première des deux demeures, en venant de la station d’eaux de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avaient une fille et trois garçons. » Nouvelle : Aux champs
N= Nécessiteux l.241 p.65 : « Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux. » Nouvelle : La Parure
O= Obligations l.238 p.17 : « La voiture sert de cabane à Chouquet ; et il avait acheté cinq obligations de chemin de fer avec l’argent.» Nouvelle : La rempailleuse
P= Pauvres l.207 p.16 : « comme ce que je viens de vous apprendre semble vous être fort désagréable, le mieux serait peut-être de donner cet argent aux pauvres ». Nouvelle : La Rempailleuse
Q= Quatre cent mille francs l.200 p.49 : « La Compagnie, messieurs, ne se croit pas engagée envers vous pour plus de quatre cent mille francs ». Nouvelle : Le Parapluie
R= Ruiner l.60 p.43 : « Tu veux nous ruiner ! » Nouvelle : Le parapluie
S= Sous l.55 p.21 : « Elle revint encore, fit connaissance avec les parents, reparut tous les jours, les poches pleines de friandises et de sous.» Nouvelle : Aux champs
T= Trésor l.122 p.13 : «Alors, pour l’apaiser, elle lui donna son argent : trois francs vingt, un vrai trésor » Nouvelle : La Rempailleuse
U= Usuriers l.227 p.64 : « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Nouvelle : La Parure
V= Les Va-nu-pieds l.85 p.11 : « Que je te voie causer avec les va-nu-pieds ». Nouvelle : La rempailleuse
W,X,Y,Z= Je n’ai pas trouvé
Mon avis :
J’ai aimé ce livre car le thème du rapport à l’argent est abordé sous différentes manières. Les nouvelles courtes se lisent bien car le déroulement va assez vite, il y a une intrigue du suspense et une morale.
D. Othilie 4 D Le 3/10/2014
Nom et prénom de l’auteur : Guy de Maupassant
Titre du recueil : Cinq nouvelles réalistes
Edition : Magnard
Collection : classiques et patrimoine
Titre des nouvelles que contient ce recueil :
- La Rempailleuse
- Aux Champs
- Mon oncle Jules
- Le Parapluie
- La Parure
Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation et n° de page de ces situations :
Avariés : « Quand elle devint plus grande, on l’envoya faire la récolte des fonds de siège avariés ». (Page11, La Rempailleuse).
Balbutier : « Faites découvrir celui-là, çà ne coûte pas très cher. Mme Oreille, exaspérée, balbutiait. » (Page 45, Le Parapluie).
Compatissant : « L’homme prononça, d’un ton compatissant ; il me paraît bien malade » (Page 49, Le parapluie).
Disposer : « Ah ! non, par exemple ; que voulez-vous que j’en passe ? Disposez-en comme vous voudrez ». (Page 17, La Rempailleuse).
Exaspéré : « sa femme, aussi exaspérée que lui répétait : « Cette gueuse ! cette gueuse ! cette gueuse !... sans pouvoir trouver autre chose ». (Page 15,16, La Rempailleuse).
Fiacre : « Attend donc tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre ». (Page 61, La Parure).
Gueux : « Tu es fou ! Donner dix sous à cet homme à ce gueux » (Page 40, Le Parapluie).
Haillonneux : « Toute petite, elle errait, haillonneuse, vermineuse ». (Page 10, La Rempailleuse).
Imposant : « Elle était donc restée deux ans sans le revoir ; et elle le reconnut à peine, tant il était changé, grandi, embelli, imposant dans sa tunique à boutons d’or ». (Page 13, La Rempailleuse).
Jeuner : « Car elle n’avait travaillé que pour lui, disait-elle jeunant même pour mettre de coté, et être sûre qu’il penserait à elle, au moins une fois quand elle serait morte ». (Page 15, La Rempailleuse).
Kirsch : « On m’offrit un kirsch que j’acceptai, et je commençais mon discours d’une voir émue, persuadé qu’ils allaient pleurer ». (Page 15, La Rempailleuse).
Liard : «Un jour – elle avait alors onze ans - comme elle passait par ce pays, elle rencontra derrière le cimetière le petit chouquet qui pleurait parce qu’un camarade lui avait volé deux liards ». (Page 11, La Rempailleuse).
Manant : « Alors Charlot tapa du pied et se tournant ? Vers ses parents, cria :
-« manants, va ! ». (Page 27, Aux champs).
Niant : « Oui, j’vous le r’proche, que vous n’êtes que des niants » (Page 27, Aux Champs).
Obligation : « La voiture sert de cabane à chouquet ; et il a acheté cinq obligations de chemins de fer avec l’argent ». (Page 17, La Rempailleuse).
Parcimonieusement : « Les Vallins étaient à table en train de manger avec lenteurs des tranches de pain qu’ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piqué au couteau dans une assiette entre eux deux ». (Page 23, Aux Champs).
Quolibet : « Las enfin de leurs quolibets, il exigea que Mme Oreille lui achetât un nouveau parapluie ». (Page 42, Le Parapluie).
Rente : « Il était commis principal aux ministères de la guerre, demeuré là uniquement pour obéir à sa femme, pour augmenter les rentes inutilisées de la maison ». (Page 42, Le Parapluie).
Sentencieux : « Il prononça d’un ton sentencieux : -J’dis qu’c’est point méprisable.» (Page 24, Aux champs).
Ténia : « Quand elle revint , elle avait deux francs dans sa poche , mais elle ne put qu’apercevoir le petit pharmacien , bien propre , derrière les carreaux der la boutique paternelle entre un bocal rouge et un ténia ( p.12 , La Rempailleuse ).
Usurier : « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs ». (Page 64, La Parure).
Va-nu-pieds : « Veux-tu bien venir ici, polisson ! Que je te voie causer avec les va-nu-pieds ! … » (Page 11, La Rempailleuse).
W : je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre W.
X : : je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre X.
Y : : je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre W.
Z: Je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre Z.
Mon avis sur ce livre : Ce livre m’a intéressée. Je remarque qu’il y a de la réalité dans ces cinq nouvelles cependant, il y a souvent des fins tristes.
Cathy R. 4ème D 04/10/14
Nom : De Maupassant
Prénom : Guy
Edition : Magnard
Collection : Classique et patrimoine
Titre des nouvelles du recueil: La rempailleuse, Aux champs, Mon oncle Jules, Le parapluie, La parure.
La rempailleuse
Époque: XIX siècle
Les principaux personnages : La rempailleuse, le médecin, les parents de la rempailleuse, le pharmacien.
Extrait page:11/12
J'ai choisi ce moment car c'est là que commence l'histoire de la rempailleuse et monsieur Chouquet.
La rempailleuse :
C’est une vieille femme qui vit dans une vieille voiture qui lui servait de maison. Elle va bientôt mourir et donne ses dernières volontés au médecin. Son histoire est « singulière et poignante ». Enfant son père n'était guère sympathique avec elle. Dés qu'elle eut l'âge de travailler ses parents l'envoyaient faire des récoltes de fonds de chaises avariés. Quand elle se liait d'amitié avec d’autres enfants, les parents de ceux-ci les rappelaient en leur disant qu'il ne fallait pas jouer avec la fille des rempailleurs.
Le médecin : C’est un vieux médecin parisien retiré aux champs, il eut un amour qui dura cinquante cinq ans « enveloppé de cette affection acharnée et pénétrante ». C'est le narrateur de l’histoire, il raconte la vie de la rempailleuse et il annonça au pharmacien que la rempailleuse était décédée et qu'il en était l'héritier d'une somme de 2327 francs. Monsieur Chouquet le pharmacien et sa femme n'eurent aucune honte à les accepter alors que peu de temps avant ils étaient à la dénigrer auprès du médecin.
Les parents : Ils étaient tous deux rempailleurs de chaises, ils vivaient de leur métier avec leur petite fille. Ils n'étaient pas riches mais ça leur suffisait pour vivre. Ils ne pouvaient pas s'offrir le luxe mais que des choses rafistolées ou déchirées. À leur mort c'est leur fille qui reprit l'affaire.
Le pharmacien: C'était un petit garçon que la rempailleuse avait trouvé en pleurs car on lui avait volé ses sous. C'était un petit bourgeois. La rempailleuse lui donna tous ses sous et l'embrassa puis elle prit ses jambes à son cou et s’enfuit. Elle le perdit de vue et amena ses parents où il se trouvait. Il ignora la rempailleuse et elle en pleura pendant trois jours. Lorsqu'elle vit qu'il était marié elle tenta de mettre fin à ses jours.
Avis: c'est un livre d'amour qui est très émouvant et par amour on est prêt à tout. Même si la personne qu'on aime n'a les mêmes sentiments.
Aux champs
Époque : XIX siècle
Les principaux personnages : Les Tuvache, les Valin, les D'hubières.
Les Tuvache vivaient dans la chaumière voisine des Valin. Ils étaient comme eux c'est à dire pas très riches. Ils avaient quatre enfants par famille. Les Tuvache avaient trois filles et un garçon et les Valin avaient eux aussi trois filles et un garçon. Un jour Monsieur et madame D'Hubières un couple bourgeois s'arrêta dans la cour des Tuvache. Ce couple ne pouvaient pas avoir d'enfant, ils voulaient adopter un enfant. Ils virent Charlot l'enfant des Tuvache et madame d'Hubières tomba sous le charme de ce petit garçon et demanda à son mari de proposer aux Tuvache une rente de cent francs par mois à vie en échange de leur petit Charlot. Madame Tuvache refusa le marché et les mit à la porte. Madame D'Hubière vit un autre petit garçon chez les Vallin et leur proposa le même marché. Ceux-ci acceptèrent le contrat. Horrifiés les Tuvaches n'adressèrent plus la parole aux Vallin.
Extrait note pages 21/22/23: Monsieur et madame D'Hubiéres arrivèrent à la campagne en face de deux vieilles chaumières où vivaient deux couples avec quatre enfants chacun….
Avis: Cette histoire remet en cause l'amour d'une mère et l'amour de l'argent.
Mon oncle Jules
Les principaux personnages sont : Joseph, Jules, le père, Clarisse, ses deux sœurs.
Extrait pages 31/32 : L'extrait parle de son oncle Jules, de sa vie. Que c'était un voleur car il avait volé tout l'argent de l'héritage. Ensuite à cause de son mauvais comportement il est parti vivre en Amérique, où il s'établit marchand. L'oncle Jules écrit une lettre pour raconter sa vie en Amérique, la famille tenait beaucoup à cette lettre. Elle était comme « L'évangile » de la famille. Malgré tout, toute la famille avait l'espoir que l'oncle Jules reviendrait un jour et que la vie serait meilleure car ils n'avaient pas beaucoup de moyens.
Joseph est le fils de Clarisse et « du père » on ne connaît pas son nom, il a deux sœurs. C'est le narrateur tout au long de l'histoire. Son oncle est Jules. Joseph est un personnage récurrent tout au long de la nouvelle.
Jules est le frère du père de Joseph, c'est le « voleur » de la famille car il a dépensé tout l’héritage de la famille avant de partir vivre en Amérique. Là-bas il dit gagner beaucoup d'argent en exerçant le métier de marchand. À la fin de la nouvelle nous le retrouvons « ouvreur »d’huîtres à bord d'un bateau et bien mal en point.
Clarisse est la femme du père de Joseph. C'est un personnage régulier dans l'histoire. Nous n'en savons pas plus sur elle à part que c'est la mère de Joseph.
Le père est le frère de Jules. Il ne gagne pas beaucoup d’argent et vit plus ou moins dans la misère. C'est le père de Joseph et le mari de Clarisse. C'est un personnage régulier nous le voyons tout au long de l'histoire.
Les deux sœurs : on en parle peu dans l'histoire nous savons qu'une des deux a vingt sept ans et qu'elle n'est toujours pas mariée ce qui attriste la famille. Or la seconde ,la cadette a trouvé un homme qui souhaiterait prendre sa main. Ce sont les sœurs de Joseph et filles de Clarisse et du « père » puis nièce de Jules.
Le Parapluie
Époque : au XIX siècle
Les principaux personnages : Madame Oreille, Monsieur Oreille
Madame Oreille est la femme de monsieur Oreille. C'est une petite dame d'une quarantaine d'années, vive et ridé. Elle tenait beaucoup à son argent et quand son mari lui demandait de l'argent elle était très attristée de devoir lui en donner pour acheter un parapluie, « une telle babiole ».
Monsieur Oreille est le mari de madame Oreille. Il travaille dans le ministère en tant que commis. Ses collègues au travail se moquaient de lui car il avait un vieux parapluie tout abîmé. Quand il demande à sa femme des sous pour un nouveau parapluie, trois ans après, le parapluie était en piteux état .Monsieur Oreille n'en avait pas pris soin et avait faiT un trou dedans en brûlant la soie avec son cigare. Lorsque monsieur Oreille redemande à sa femme dix huit francs pour racheter un autre parapluie ceci déclenche la colère de madame Oreille.
Extrait pages 43/44 : Monsieur Oreille arriva au bureau et eut des moqueries comme d'habitude de la part de ses collègues. Mais s'en était trop pour lui. Alors il alla voir sa femme et exigea qu’elle lui achète un autre parapluie. Elle accepta et lui prit un parapluie à huit francs mais celui-ci n'a tenu que trois ans, il était tout délabré. Monsieur Oreille exigea auprès de sa femme d'avoir un parapluie d'au moins vingt franc et en soie. Madame eut le sentiment d'avoir un coup de poignard dans le dos lorsqu'elle entendit le prix. Elle lui en acheta un quand même en soie au prix de dix huit francs. Quand monsieur Oreille revint du travail sa femme lui dit de ne pas trop serrer l'anneau qui est au-dessus du parapluie. Elle le desserra et vit un petit trou ce qui la rendit folle de rage et prévint son mari qu'il n'en aurait plus d'autre avant bien longtemps. Le lendemain quand monsieur Oreille revint du travail sa femme regarda à nouveau le parapluie, elle se mit à rougir de colère en voyant un nouveau trou fait avec de la cendre de cigare. Cela déclencha une nouvelle dispute entre les époux.
Avis : Il ne faut pas être avare.
La Parure
Époque : au XIX siècle
Les principaux personnages sont : Mathilde Loisel, son mari.
Mathilde Loisel : « C'était une de ces jolies et charmantes femmes, née par erreur dans une famille d’employés ». Elle s'était mariée avec un petit homme riche et distingué. On en sait pas plus sur cette dame.
Le mari : c'était le mari de Mathilde Loisel .C'était un petit homme riche et distingué. Il exerce un métier de commis du ministère de l'instruction public. Il faisait tout pour que sa femme soit heureuse. Mais quand il lui propose d'aller à la soirée du ministère, une nouvelle inattendue va venir tout perturber.
Extrait page 59/60/61 : Mathilde devait aller à une soirée à l'hôtel du ministère où son mari travaillait. Mais Madame Loisel ne voulait pas y aller car elle n'avait ni bijoux ni pierres à se mettre et elle aurait eu l'air très pauvre parmi tous ces gens riches. Son mari lui dit d'aller chez son amie madame Forestier. Mathilde est folle de joie et en pleura presque. Lorsqu'elle arrive chez son amie, elle lui demanda de lui prêter un bijou. Celle-ci accepta avec plaisir. Madame Forestier alla chercher dans son armoire un large coffret, et l'apporta à madame Loisel. Elle pouvait choisir ce qu'elle voulait comme bijoux. Entre les bagues, les colliers en argent, les bracelets en or, elle vit un collier avec des rivières de diamants. Arrivée à la soirée c'était la plus belle de toutes. Tous les hommes la regardaient. Mais en touchant son cou elle s'aperçut que la rivière de diamant avait disparu.
Avis : Il ne vaut mieux pas emprunter de choses de valeurs et seulement de se contenter de ce que l'on a.
Clémence LR, 4A, le 3 Octobre 2015