Nom, prénom de l’auteur : (de) Maupassant Guy
Titre du recueil : Contes et nouvelles
Édition : classiques Hatier
Collection : Classiques Hatier
dirigée par Hélène Potelet et Georges Décote
Contes et nouvelles : |
1 - Pierrot (Contes de la bécasse)
2 - Aux champs (Contes de la bécasse)
3 - Le papa de Simon (La maison Tellier)
4 - Farce normande (Contes de la bécasse)
5 - La parure (Contes du jour et de la nuit)
6 - Mademoiselle Cocotte (Clair de lune)
7 - La dot (Toine)
8 - La rempailleuse (Contes de la bécasse)
9 - Première neige.
Abécédaire Contes et nouvelles |
A. accoutumé « Quand il sera bien accoutumé à la maison, on le laissera libre. Il trouvera à manger en rôdant par le pays,» Page 14, lignes 62 à 63, Pierrot
B. braves « Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien … je voudrais bien emmener avec moi votre… votre petit garçon.» Page 24, lignes 62 à 64, Aux champs
C. corromperie « Les parents, chaque mois, allaient toucher leurs cent vingt francs chez le notaire ; et ils étaient fâchés avec leurs voisins parce que la mère Tuvache les agonisait d'ignominies, répétant sans cesse de porte en porte qu'il fallait être dénaturé pour vendre son enfant, que c'était une horreur, une saleté, une corromperie.» Pages 27- 28, lignes 144 à 150, Aux champs
Dot « Et puis, il ne faut rien oublier, préviens ton père de tenir ta dot toute prête ; je l'emporterai, avec nous et je paierai par la même occasion maître Papillon.» Page 89, lignes de 44 à 46, La dot'
E. Écrin « Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière ; j'ai dû seulement fournir l'écrin.» Page 68, lignes 216-217 La Parure
F. flasque « L'animal s'enfuit un peu plus loin avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut tourné le dos.» Page 78, lignes 33 à 36 Mademoiselle Cocotte
G. gueux « Sa femme, aussi exaspérée que lui, répétait : Cette gueuse ! Cette gueuse ! Cette gueuse ! ....» Page 107, lignes 193 à 194, La rempailleuse
H. haillonneux « Toute petite, elle errait, haillonneuse, vermineuse, sordide..» Page 102, lignes 66 à 67 La rempailleuse
I. Inébranlable « Simon ne répondit rien ; et, inébranlable dans sa foi, il les défiait de l'œil, prêt à se laisser martyriser plutôt que de fuir devant eux. » Page 43, lignes 215 à 218, Le papa de Simon
J. Joue « Une rougeur cuisante couvrit les joues de la jeune femme, et, meurtrie jusqu'au fond de sa chair, elle embrassa son enfant avec violence pendant que les larmes rapides lui coulaient sur la figure.» Page 42, lignes 188 à 191, Le papa de Simon
K. kirsch « On me fit asseoir ; on m'offrit un kirsch, que j'acceptai ; et je commençai mon discours d'une voix émue, persuadé qu'ils allaient pleurer. » Page 106, lignes 185 à 187, La Rempailleuse
L. Lugubre « Elle les regardait, chaque soir, le cœur serré, toute pénétrée par la lugubre mélancolie de la nuit tombant sur les terres désertes.» Page 116, lignes 108 à 110, Première neige
M. Mouvement « Je t'assure qu'on gèle, mon ami, tu ne t'en aperçois pas, parce que tu es toujours en mouvement, mais on gèle.» Page 118, lignes 142 à 143, Première neige
N. Niant « Oui, j'vous le r'proche, que vous n'êtes que des niants. » Page 30, ligne 208, Aux champs.
O. Opiniâtre « Sa main droite, qui tient la lettre, retombe lentement sur ses genoux, tandis qu'elle porte à sa bouche sa main gauche comme pour calmer la toux opiniâtre qui lui déchire la poitrine» Page 123, lignes 300 à 303, Première neige
P. Parcimonieuse « Elle faisait, après réflexion, mille objections, terrifiée par l'image d'une jatte pleine de pâtée ; car elle était de cette race parcimonieuse de dames campagnardes qui porte toujours des centimes dans leur poche pour faire l'aumône ostensiblement aux pauvres des chemins, et donner aux quêtes du dimanche .» Page 13, lignes 36 à 41, Pierrot
Q, Quin « Madame Lefèvre déclara qu’elle voulait bien nourrir un « Quin » mais qu'elle n'en achèterait pas..» Page 13, lignes 49 à 50, Pierrot
R. Roquet « Madame Lefèvre trouva fort beau ce Roquet immonde, qui ne coûtait rien.» Page 14, lignes 56 à 57, Pierrot
S. Sous « Des dames lui ayant donné quelques sous, elle les garda soigneusement.» Page 103, lignes 87 à 88, La rempailleuse
T. Tison « Nous ne sommes pas des Parisiens, sacrebleu ! Pour vivre dans les tisons. Page 118, lignes 146 à 148, Première neige
U. Usuriers « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Pages 68-69, lignes 232 à 234 La Parure
V. Vaugirard « Nous sommes à Vaugirard, parbleu, voilà vingt fois que je le crie. »
Page 94, lignes 152 à 153, La dot
W. Wagon « Ils se précipitèrent dans un wagon où se trouvaient deux vieilles dames. » page 90, lignes 64 à 65 La dot
X. XIXème Siècle « Noces en Normandie (1888), peinture. » Page 53, Farce normande
Y. Yeux «Tous les ans elle revenait ; passait devant lui sans oser le saluer et sans qu'il daignât même tourner les yeux vers elle. » page 105, lignes 145 à 146, La rempailleuse
Z. Zigzag « Cela lui rappela un joujou fait avec d'étroites planchettes de bois clouées en zigzag les unes sur les autres, qui, par un mouvement semblable, conduisaient l'exercice de petits soldats piqués dessus. » Page 40 lignes 142 à 145, Le papa de Simon.
Mon avis :
Ce livre est très intéressant, très prenant, l'auteur porte au XIX ème siècle, un certain regard sur les femmes qui ne sont pas considérées. Il prouve encore que l'argent peut corrompre facilement la société et permettre de tout acheter même les sentiments.
Certains êtres humains, les plus aisés, sont souvent mal mal intentionnés même envers leurs proches, ils rendent la vie impossible aux autres. L'avarice ne mène à rien, sauf à empoisonner la vie d'autrui. Les plus pauvres s'en sortent plus honnêtement...!
Le papa de Simon est exemplaire, c'est l'histoire qui m’a parue la plus humaine.
En conclusion : La vie est peut-être plus juste vis à vis des femmes et épouses aujourd'hui, mais on retrouve encore souvent ces problèmes. L'argent reste toujours source tabou et de pouvoir... !
Loana R.4ème B Le 12/10/2014
Nom puis prénom de l’auteur : Guy De Maupassant
Titre du recueil : Contes et Nouvelles
Edition : Larousse
Collection : Nouveaux Classiques Larousse
Titres des nouvelles que contient ce recueil : 1 .Petit Soldat 2 .Mademoiselle Perle 3 .Alexandre 4 .Deux Amis 5 .Le Père Milon 6. la mère sauvage 7 .Sur l’eau 8 .La Peur 9 .L’orphelin 10 .L’Auberge 11 .La Nuit 12 .Apparition 13 .Lui ? 14 .Qui sait ?
Abécédaire :
A .apaiser « J’allais tenter encore de les apaiser» page 71 ligne 171
B .brave « Mais cela n’a lieu quand on est brave» page 67 ligne 36
C .craintes « Las d’assister à ces craintes imbéciles »page 71 ligne 165
D .dune « Je traversais les grandes dunes au sud de Ouargla» page 68 ligne 62
E .épouvantés « les Arabe, épouvantés se regardaient ; et l’un dit, en sa langue : « la mort est sur nous.»page 69 ligne 87
F .fichtre «fichtre ! je vous réponds bien que j’ai eu peur moi. »
G. gravir «il faut gravir ces lames de cendre d’or, redescendre, gravir encore, gravir sans cesse, sans repos et sans ombre. » page 68 ligne 72
H. Heureusement « Heureusement que nous avons été recueillis» page 67 ligne 14
I. immobile « et nous demeurâmes immobiles» page 68 ligne 80
J. Judas « une sorte de judas» page 70 ligne 160
K.
L. lieue « à deux cents lieues de tout village français »page 69 ligne 97
M. moire « et striées comme de la moire» page 68 ligne 70
N. nuit « les nuits sont claires et vides de légendes» page 68 ligne 55
O. ouragan «au milieu d’un ouragan» page 68 ligne 66
P. peur «permettez-moi de m’expliquer ! la peur « page 67 ligne 31
Q. quelque « quelque part, près de nous» page 69 ligne 83
R. remarquez « remarquez bien ceci « page 68 ligne 55
S. spasme « un spasme affreux « page 67 ligne 34
T. trempé «trempés dans le courage « page 67 ligne 22
U.
V. voleur «J’ai été laissé pour mort par des voleurs « page 67 ligne 48
W./ X.
Y. yeux « levait les yeux et murmurait» page 67 ligne 126
Z.
Mon avis sur ce livre : J’ai trouvé ce livre compliqué. Dans La Peur, l’histoire se passe sur un bateau. Le commandant raconte sa peur. Un grand homme dit que ce n’est pas ça la vraie peur. Puis il raconte à son tour ses peurs à lui.
L. Dylan, 4ème B 16/10/2014