Auteur: Guy de Maupassant
titre: La parure et autres nouvelles réalistes
édition: Flammarion
collection: librio
titres des nouvelles: la parure, aux champs, à cheval, le papa de Simon, une famille, Mon oncle Jules, le donneur d'eau bénite, Adieu, la rempailleuse.
Abécédaire :
A: Jusqu'au jour où, Mathilde rendue méconnaissable par les épreuves, croise son amie: résumé de La parure.
B: Les ménagèrent réunissaient leurs mioches pour donner la pâtée, comme des gardeurs d'oies assemblent leurs bêtes. Aux champs, p.15.
C: Et il était entré, commis à quinze cents francs : À cheval, p.21
D: Mais au lieu de se disperser et de rentrer dîner, comme ils le faisaient chaque jour, …: Le papa de Simon, p.29 .
E: Quand arriva le riz sucré, il eut presque des convulsions: Une famille, p.43
F:et il ressemblait aussi à son frère qui était mort :Le donneur d'eau bénite, p.56
G: Gontran lui cria : « Vous avez trop mangé, vous n'en aurez pas !»: Une famille, p .43
H: « Ma chère Henriette, il faut nous offrir quelque chose, par exemple une partie de plaisir pour les enfants » : À cheval, p .22
I: Ils avançaient d'un pas grave: Mon oncle Jules,p.46
J: C'était une de ces jolies et charmantes jeunes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés: La parure, p. 5.
K: On me fit asseoir, on m'offrit un kirsh, que j'acceptai: La rempailleuse, p.69.
L: Trois jours après, à l'heure du dîner, au moment de se mettre à table, le charron et sa femme s'aperçurent que leur fils n'était plus dans la maison: Le donneur d'eau bénite, p.53.
M: Comme il se relevait, en nettoyant machinalement avec sa main sa petite blouse toute sale de poussière… : Le papa de Simon, p .31 .
N: « Il me semble qu'il nous est bien difficile de refuser. »: La rempailleuse, p70.
O:Elle ôta les vêtements dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace: La parure, p.9
P: Les pauvres gens vivaient péniblement des petits appointements du mari: À cheval, p.21
Q: « Qué qu't'en dis, toi l'homme? : Aux champs,p.18
R: J'allais revoir mon ami Simon Radevin: Une famille,p.39
S: L'enfant reprit péniblement au milieu des spasmes de son chagrin…: Le papa de Simon, p33
T: « Ah! Je vieillis. C'est triste: Adieu, p59.
U: On n'acceptait jamais un dîner, pour n'avoir pas à le rendre : Mon oncle Jules, p45
V: En une seconde, un groupe furieux, gesticulant, à cheval, vociférant, se forma autour de lui : À cheval, p25
W / X :
Y:Il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu des femmes riches: La parure, p7
Z:
Mon avis sur le livre: j’ai bien aimé ce livre car les nouvelles n'étaient pas difficiles à lire et j'ai bien aimé le thème des nouvelles.
Mélanie C,4B, 10/10/2014
Auteur : Guy De Maupassant
Titre du recueil : La Parure et autres nouvelles réalistes
Edition : J’ai lu
Collection : Librio
Titre des nouvelles que contient ce recueil :
-La parure
-Aux champs
-À cheval
-Le Papa de Simon
-Une famille
-Mon oncle Jules
-Le donneur d’eau bénite
-Adieu
-La rempailleuse
Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :
A. aumône « Un vieux pauvre, à barbe blanche, nous demanda l’aumône. » Page 45, Mon oncle Jules
B. boutiquier « De temps en temps, un boutiquier, sur sa porte, ôtait son chapeau ; Simon rendait le salut et nommait l’homme pour me prouver sans doute qu’il connaissait tous les habitants par leur nom. » Page 40, Une famille
C. convulsion « Quand arriva le riz sucré, il eu presque une convulsion. Il gémissait de désir. » Page 42, Une famille
D. dette « Il fallait payer cette dette effroyable. » Page 11, La parure
E. éternels « Les éternel préjugés, la préoccupation du rang, le souci de ne pas déchoir, hantaient ces familles autrefois brillantes, et ruinées par l’inaction des hommes. » Page 21, À cheval
F. flanelle « Elles descendent, drapées dans un peignoir de flanelle qu’elles rejettent d’un joli mouvement en atteignant la frange d’écume des courtes vagues ; et elles entrent dans la mer ; d’un petit pas rapide qu’arrête parfois un frisson de froid délicieux, une courte suffocation. » Page 60, Adieu
G. gratification « On économisa d’avantage encore, la gratification tout entière y passa. » Page 27, À cheval
H. humbles « Étrangers à la vie moderne, humbles et aristocrates nécessiteux habitaient les étages élevés de maisons endormies. » Page 21, À cheval
I. ivrognes « Il en est des amoureux comme des ivrognes. » Page 65, La rempailleuse
J. jadis « Et la bonne elle-même regardait monsieur d’un œil émerveillé, en songeant qu’il accompagnerait la voiture à cheval ; et pendant tous les repas elle l’écoutait parler d’équitation raconter ses exploits de jadis, chez son père. » Page 22, À cheval
L. légitimes « Et ces polissons, dont les pères étaient, pour la plus part, méchants, ivrognes, voleurs et durs à leur femmes, se bousculaient en se serrant de plus en plus, comme si eux, les légitimes, eussent voulu étouffer dans une pression celui qui était hors la loi. » Page 30, Le Papa de Simon
M. mœurs « Donc, un français, avec deux heures de navigation, peut s’offrir la vue d’un peuple voisin chez lui et étudier les mœurs, déplorables d’ailleurs, de cette île couverte par le pavillon britannique, comme disent les gens qui parlent avec simplicité. » Page 48, Mon oncle Jules
N. niants « Oui, j’vous le r’proche, que vous n’êtes que des niants. Des parents comme vous, ça fait l’malheur des éfants. Qu’vous mériteriez que j’vous quitte. » Page 20, Aux champs
O. ostentation « Et parfois elle prenait en ses bras son Charlot. » Page 19, Aux champs
P. polissons « Et ces polissons, dont les pères étaient, pour la plus part, méchants, ivrognes, voleurs et durs à leur femmes, se bousculaient en se serrant de plus en plus, comme si eux, les légitimes, eussent voulu étouffer dans une pression celui qui était hors la loi. » Page 30, Le Papa de Simon
R. redingote « Mon père, en redingote, en grand chapeau, en gants, offrait le bras à ma mère, pavoisée comme un navire un jour de fête. » Page 45, Mon oncle Jules
S. saltimbanques « Comme il avait cinq ans, des saltimbanques passèrent dans le pays et établirent une baraque sur la place de la Mairie. » Page 53, Le donneur d’eu bénite
T. toilette « Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa toilette était prête cependant. » Page 7, La parure
V. vestibule « Elle me souhaita la bienvenue et j’entrai dans le vestibule où trois mioches alignés par rang de taille semblaient placés là pour une revue comme des pompiers devant un maire. » Page 41, Une famille
W. wagon « Au moment où le train partait, une grosse dame monta dans mon wagon, escortée de quatre petites filles. » Page 61, Adieu
Z. zigzag « Cela lui rappela un joujou fait avec d’étroites planchettes de bois clouées en zigzag les unes sur les autres, qui, par un mouvement semblable, conduisaient l’exercice de petits soldats piqués dessus. » Page 32, Le Papa de Simon
Pour certaines lettres je n’ai pas trouvé de mot clé car il y a peu de mot commençant par ces lettres.
Mon avis sur ce livre :
Hormis deux de ces nouvelles réalistes « À cheval » et « Une famille » que je n’ai pas aimées car j’ai trouvé qu’elles n’apprenaient rien au lecteur, j’ai aimé les autres nouvelles car ce sont des leçons de vie (dans ces nouvelles des histoires touchantes sont racontées) et on en tire une morale.
P. Margaux le 16/10/2014
Titre du livre : La parure
Auteur : Guy de Maupassant
Édition : Librio
Dans mon livre il y a neuf nouvelles. Je vais vous citer tous les noms des nouvelles puis vous en raconter une d'entre elles.
La Parure , Aux Champs , Le Papa de Simon , À Cheval , Une famille, Mon Oncle Jules , Le Donneur D'eau Bénite, Adieu, La Rempailleuse
LA PARURE
C'est l'histoire de deux dames , qui s'appellent Mathilde Loisel qui est pauvre et Jeanne Forestier qui a plutôt une bonne situation. Un jour monsieur et madame Loisel reçurent une lettre du ministre de L'instruction publique et Mme George Ramponneau qui priaient monsieur et madame Loisel de leur faire l'Honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère le lundi 18 janvier. Puis son mari vit la tête de Mathilde changer car elle était partagée par la tristesse et la joie ! Elle était en larmes car elle n'avait ni robe...ni bijoux... à se mettre. Du coup son mari lui prêta quatre cents francs mais il lui dit "Tache d'avoir une belle robe" Elle alla donc acheter une robe. Mais rentrée chez elle dit qu’elle n’avait pas de bijoux, son mari lui dit : « Va donc voir ton amie Jeanne Forestier, elle pourra certainement te prêter un collier ». Le lendemain elle alla chez son amie et elle trouva le collier qu'il lui fallait : une parure de diamants. Là ses yeux se mirent à pétiller : elle avait trouvé le collier qu’il lui fallait ! Elle se rendit à la soirée, elle était la plus jolie aux yeux de tout le monde et son mari fut jaloux, il quitta l'hôtel mais sa femme lui courut après et ils rentrèrent chez eux. Là, elle se rendit compte qu'elle avait perdu la parure. Ils passèrent de bijoutier en bijoutier jusqu'à trouver la boutique du palais royal où ils y trouvèrent une parure semblable. Le lendemain elle donna la parure à Madame Forestier... puis 12 ans après quand elle avait fini de rembourser la totalité de la parure elle décida de tout expliquer à Jeanne donc elle lui dit tout jusqu'à ce que jeanne lui réponde " Mais ma belle, ma parure ne coûtait que cinq francs, c'est une imitation "
Lou-Ann le 08/10/2015