Titre : L’année de la grande peste.
Auteur : Pamela Oldfield.
Edition : Gallimard jeunesse.
Genre : Journal.
Ce livre parle d’une jeune fille, Alice Paynton qui vit à Londres pendant l’année de la grande peste au 17ème siècle. Elle voit tout le monde être contaminé et fait tout pour ne pas l’être elle aussi.
J’ai appris, en lisant ce livre que la maladie de la peste est une maladie très grave, qu’elle a fait beaucoup de morts et qu’elle est très contagieuse. « Il a dit que la maison devait être fermée, que nous ne pourrions pas en sortir pour éviter de contaminer les autres », p57.
J’ai aussi appris qu’au 17ème siècle, la plupart des familles aisées avait des servantes. « La voisine de notre servante Maggie », p6.
Pour présenter ce livre en cinq mots je dirais :
-Émouvant car Alice se bat pour ne pas être contaminée et pour protéger sa famille mais au final sa tante meurt de la maladie.
-Instructif car ce livre nous apprend beaucoup de choses sur le 17ème siècle.
-Courage car Alice a beaucoup de courage pour essayer de protéger les gens qu’elle aime de la maladie.
-Maladie car le sujet principal de ce livre est la maladie de la peste.
-Ville car toute la ville de Londres est contaminée.
Je publierais ce livre car je pense que c’est bien de lire un livre comme ça, ce livre nous apprend beaucoup de choses sur le 17ème siècle à travers le journal d’une jeune fille de notre âge, nous pouvons donc nous dire que l’on a de la chance de vivre à notre époque.
Ce livre est assez émouvant parce que l’on voit une jeune fille se battre pour protéger sa famille et pour ne pas être contaminée pas la maladie, ce livre peut donc nous inciter à être plus gentils les uns envers les autres car finalement, ce livre nous apprend que tout peut basculer d’un jour à l’autre.
05/12/13, Klervie, 4ème C
Auteur : Pamela Oldfield
Éditeur : Gallimard Jeunesse
Genre : Journal
Sujet : L’arrivée puis la propagation de la peste à Londres. Il est aussi question de la flotte anglaise.
J’ai appris qu’on a beau être beaucoup, on peut tout de même perdre une bataille : « Nous avons pris de nombreux bateaux à l’ennemi parmi les meilleurs, et perdu pas plus de sept cents hommes alors que nous en avons tué presque dix mille de l’autre côté » (p27).
Les cinq mots que je trouve représentatifs de ce livre sont :
Ancien : pour les photos et les pages
Triste : les couleurs ne sont pas joyeuses
Peste : parce que c’est la maladie que raconte l’histoire
Impressionnant : La preste se propage rapidement
Londres : parce que c’est où ça se passe
Je ne le publierais pas ce livre car je trouve qu’il n’est pas très captivant. Déjà sa présentation visuelle ne donne pas vraiment envie mais à la fin, quand on lit, ça peut aller.
Louis, 4C, décembre 2013