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10 novembre 2018 6 10 /11 /novembre /2018 18:39

Ce livre a été écrit par Kelly Barnhill. Avant ce livre, je ne connaissais pas cette auteure. Il a été écrit en 2016 : cette date n’a pas de rapport avec l’histoire. À l'origine, il est écrit en anglais mais il a été traduit par Marie de Prémonville. C'est un roman.

Quand je lis ce livre les images et les sons qui me viennent évoquent le mystère. La phrase que j'en retiens est celle-là :"Cette enfant n'a jamais été magique "

Ce texte est destiné aux jeunes lecteurs, je ne pense pas avoir compris le message que l'auteure voulait nous faire passer. L'auteure provoque la joie et parfois la tristesse mais je ne trouve pas que ses intentions sont faciles à percevoir. Cependant, quand on lit ce livre, on ne peut pas hésiter sur le sens de l’histoire.

Je suis resté indifférent en lisant ce livre, j'ai éprouvé de l'ennui. Je pense cependant avoir compris le sens de l’histoire et j'ai été d'accord avec la quasi globalité du livre.

Les personnages principaux sont La fille qui avait bu la Lune et Xan la sorcière. Xan la sorcière est une personne qui récupère les enfants que le Protectorat lui "Sacrifie" Cette action se passe en début de livre. Le livre parle d'une sorcière très gentille qui habite dans les bois, la ville d'à côté la prend pour une personne méchante, Chaque année, les habitants lui sacrifient  donc un enfant. D'habitude, elle leur trouve une autre famille mais cette année ce n'est pas pareil, l'enfant a l'air d'avoir des pouvoirs magiques.

Voici l’extrait que j’ai choisi :"Xan s'installa en tailleur par terre et déposa l'enfant endormie au creux de son genou. Impossible de la réveiller. Elle allait dormir ainsi pendant des heures. Xan passa les doigts dans les boucles noires. Malgré son grand âge, elle sentait encore la magie battre sous sa peau, chaque filament s'insinuer entre les cellules, aux confins des tissus et des os. Avec le temps, la petite deviendrait instable- pas définitivement, naturellement. Mais Xan se rappelait les magiciens qui l'avaient éduquée jadis lui avaient raconté combien élever un bébé magique était ardu."

J'ai choisi cet extrait car je trouvais qu'il présentait très bien le livre.

Tristan E 4 D

 

Tristan E 4 D 

 

3 raisons/3 mn Andreas 4C

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10 novembre 2018 6 10 /11 /novembre /2018 11:56

C'est un roman écrit par Benoît Séverac; il a été publié le 8 mars 2018. Lorsqu'on le lit, il peut nous faire penser aux articles de journaux que nous avons étudiés en classe sur la question des migrants.

Extrait d'un passage du livre : page 220

"Arthur gagna du terrain, il n'était plus qu'à une centaine de mètres. Mais le feu passa au vert, et le trafic reprit son cours. A cet instant précis, il sut que c'était fichu, la rocade n'était pas loin, une fois que les ravisseurs l'auraient empruntée, il n'arriverait pas à rester dans leur sillage. Même s'il parvenait à révéler le numéro d'immatriculation, qu'est ce que ça changerait pour son ami."

 Ce livre parle d'un jeune garçon appelé Arthur; il a 15 ans... Ce jeune homme est un garçon plutôt sérieux et a de bons résultats scolaires mais depuis quelque temps, ses parents ont remarqué que son compte bancaire était vide, qu'il leur volait aussi de petites sommes d'argent et qu'il était de plus en plus distant.... Ils décidèrent d'aller voir un détective privé pour essayer de savoir ce qu'il se passait... Ils découvrirent que leur fils venait en aide à deux réfugiés syriens qui habitaient dans une caravane abandonnée...; ils avaient passé de nombreuses épreuves avant d'arriver là... Ces deux réfugiés étaient Adan un jeune garçon de l'âge d'Arthur et sa mère Nooda qui était gravement malade... La famille entière décida d aider ces deux syriens et peu à peu Nooda se rétablit...un lien fort se forma entre Adan et Arthur; et entre Nooda et la mère d'Arthur...Malgré la grande amitié de ces deux familles, la mère d'Adan avait du mal a tout leur avouer...

Les personnages principaux sont Adan, sa mère et Arthur. Les actions se passent généralement autour de la caravane; elles se passent dans le milieu du livre au moment où tout commençait à s'apaiser.

Ce livre est simple à comprendre et je l'ai beaucoup aimé... L'auteur à écrit ce texte pour montrer le courage que l'on peut déployer pour aider des personnes inconnues et en difficulté,  leur trouver une habitation et une vie stable et on voit que cela crée un lien fort entre les personnes ...

Laura L G 4D 

Nuage de mots de Gabin T, 4C

L’auteur d'Une caravane en hiver se prénomme Benoît Séverac. Il est né en 1966, est romancier et nouvelliste, il écrit pour les adultes et la jeunesse. Il est aussi professeur d'anglais dans une école vétérinaire.

 Ce roman a été publié en 2018 et je ne connais pas d’autres œuvres de cet écrivain. Ce texte est d’origine Française et n’est donc pas traduit. Je pense que cette œuvre est un roman Jeunesse.

L'action se déroule à Toulouse. Les personnages principaux sont Arthur, ses parents, Mireille et Etienne, qui aident Adnan et sa mère Nooda.

Adnan et Nooda sont des réfugiés Syriens, qui vivent cachés. Au début du roman, Arthur fait la connaissance d'Adnan par hasard. Dans le besoin, ils se font aider financièrement par Arthur, qui vide son livret A. Les parents d’Arthur découvrent l'existence d'Adnan et Nooda lorsqu'ils s'aperçoivent que leur fils a vidé son compte à la banque. Au départ, Mireille et Etienne sont un peu hésitants, surtout Etienne, pour venir en aide à ces réfugiés clandestins mais finissent par s'attacher à eux. Ils permettent à Nooda de bénéficier des soins dont elle a besoin, en faisant appel à Christian. Christian, médecin et ami de Mireille et Etienne, est un autre personnage principal du roman.

Ce livre raconte une histoire d'amitié, d’entraide et de solidarité avec du suspens et beaucoup de rebondissements.

L'intrigue tient en haleine le lecteur, et la morale du livre est très belle : on peut s'entraider, vivre ensemble et s'aimer, malgré des cultures différentes.

Ce livre me fait d'abord penser à une caravane isolée au milieu de nulle part dans un champ avec un chemin de fer abandonné juste derrière. Cela représente pour moi le froid, la pauvreté, la misère et la survie.

Ce livre me fait ensuite penser à la rosée qui dépose sur le sol une fine couche d'eau tandis que les oiseaux qui chantent. Cela représente pour moi le renouveau, l'arrivée du printemps, le soleil qui revient après l'obscurité et les moments difficiles.

Je retiens un extrait de texte d'Arthur qui me touche car il nous amène à nous demander jusqu’où nous, nous irions par amitié :

« Je t'ai aidé!Je t'ai donné de l'argent, tout l'argent que j'avais ! Christian a soigné ta mère, mes parents vous ont recueillis, ma mère a même failli se fâcher avec mon père à cause de ça!

T'en aurais fait autant pour moi si ça avait été l'inverse?

Tu aidais beaucoup de gens toi, quand tu vivais tranquillement dans ta maison à Damas, avant tout ça? »

Ce roman est destiné à un public de tous âges, je pense que l'auteur a écrit ce texte pour faire comprendre que les migrants, les réfugiés, ne choisissent pas de quitter leurs pays, ils fuient pour survivre aux conflits, et qu'une fois arrivés en Europe, ils n’ont pas la vie plus facile. Ils continuent à survivre et essaient de se reconstruire malgré le déracinement.

Gabin T , critique et 3 raisons/3 mn

Nuage de mots de Louise

Nuage de mots de Louise

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8 novembre 2018 4 08 /11 /novembre /2018 22:19

Le titre de mon livre est « SES GRIFFES ET SES CROCS ». Il a été écrit par Mathieu ROBIN, qui a aussi publié un autre roman pour adolescents « Pensée assise ». Le livre est paru en mai 2015. L’année 2015 est caractérisée par sa forte augmentation de population de migrants : eux aussi sont souvent déstabilisés dans un monde qu’ils ne connaissent pas. C’est un roman d’origine française.

S’il fallait en retenir une seule phrase, ce serait : « Seuls les animaux eurent la sagesse de quitter la montagne dès les premiers signes de sa présence. »

Le personnage principal est Marcus Coogan, il a presque dix ans et c’est un petit garçon angoissé. Mais sa sœur, Lia, revient aussi très souvent, tout comme Paul, Mary et Sam. Paul et Mary sont jumeaux et Sam est leur frère aîné mais il est trisomique. Lia est la sœur aînée de Marcus. L’histoire se passe en forêt au pied d’une montagne où ils passent quelques jours de vacances.  Malheureusement, ils ne vont pas tous survivre…

J’ai bien aimé ce livre mais j’ai trouvé que la fin n’était pas appropriée. Ils font pitié ces enfants, ils partaient juste en vacances et, au final, ils rentrent chez eux sans leurs parents et, pour Paul et Sam, sans leur sœur. Il était facile à lire, et même si au début de l’histoire on aurait pu croire à de la science- fiction, je suis d’accord avec ce qu’il raconte.

EXTRAIT DU LIVRE (page 144, lignes 1 à 11) « -Ici ! crie Lia, d’une voie désespérée. Le corps de Mary gît inanimé, ses jambes emmêlées dans les branchages, son buste et sa tête ensevelis. Paul arrive presque aussitôt et aide Lia à la dégager. On essuie la terre de son visage. Elle respire faiblement, mais elle respire encore. La Bête se remet à gronder au loin. Il faut s’enfuir, vite. Sam soulève sa sœur et l’extrait des décombres. Ils se dépêchent de remonter vers le chemin. Tel un Petit Poucet affolé, Marcus les guide en suivant ses marques. Lia et Paul escortent Sam et tentent de maintenir Mary éveillée. -Ne t’endors pas, bafouille Lia. Reste avec nous… »

Louise B—LP 4D

 

Marcus et sa famille (ses parents et sa sœur Lia)  partent pour quelques jours de vacances,  avec des amis de ses parents,  dans un chalet isolé en montagne. Marcus souffre de troubles psychologiques (TOC) et d’angoisse ce qui le handicape pour certaines activités. Après une dispute entre Lia et ses parents, les amis de ceux-ci proposent de partir pour une randonnée entre adultes, laissant au chalet Marcus, Lia et les trois autres enfants : les jumeaux Paul et Mary, et le frère ainé Sam qui souffre, lui, d’épilepsie.

Mais,  au bout de deux jours,  ils  ne sont pas revenus. Les enfants s’aperçoivent que le pont sur lequel ils sont passés s’est effondré. Marcus et les autres enfants partent alors à leur recherche. Au cours de leur recherche, les enfants doivent faire face à des explosions de terre, des arbres qui s’écroulent …  

Ce livre a été écrit en 2015 par Mathieu Robin qui est aussi réalisateur. C’est un roman jeunesse.

L’histoire me fait penser à un chalet isolé sur une montagne silencieuse. Et me fait penser à des photos de montagnes enneigées en hiver. Cela me rappelle mon voyage à la montagne en 6e.

La phrase que j’ai retenue : « Le regard étrange de Sam, abyssal, l’absorbe. Et s’il savait que quelque chose de terrible allait arriver, et qu’il tentait de le prévenir à, sa façon. ». A la lecture de cette phrase, j’ai pensé que  Sam pressentait que quelque chose allait se passer et que Marcus n’arrivait pas à  comprendre ce que son ami voulait lui dire

 « La forêt est dense, quadrillée de troncs épais et robustes comme des piliers antiques. A quelques dizaines de mètres au dessus du sol ; leurs branches entremêlées forment une voûte si opaque que les rayons du soleil estival peinent à percer.  Ces arbres démesurés semblent être les gardiens d’un royaume sauvage et interdit ».

Cette histoire se déroule dans la montagne noire où les deux familles étaient censées passer leurs vacances. Les cinq enfants vont faire face à la disparition de leurs parents. Partis à leur recherche, en voyant les arbres tomber à terre, la terre exploser, Marcus et les autres croient à un monstre de la montagne. La manière dont  cela est décrit fait penser à une « bête ». L’histoire est très claire mais peut être qu’à certains moments, j’aurais préféré que l’actions soit décrite différemment, par exemple lorsque l’auteur parle de l’explosion : on n’en connaît pas la cause au départ.

Je n’aime pas le fait que les parents et l’une d’entre les enfants meurent. Par contre, j’aime le fait que les enfants s’en soient sortis, j’aurais aimé savoir  ce qu’ils deviennent par la suite.

Ce texte est écrit pour les enfants, c’est un livre jeunesse mais, il y a plusieurs thèmes sérieux. Un des sujets est  assez triste car l’histoire rend compte de la mort (des parents et de Mary). L’auteur parle aussi des TOC dont souffre Marcus, ce qui m’a permis de mieux comprendre en quoi cela peut être compliqué à vivre pour quelqu’un.

Pierre A, 4C

Nuage de mots d'Éloïse, 4D

Nuage de mots d'Eloïse J 4D

Juliette G-N 4C
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8 novembre 2018 4 08 /11 /novembre /2018 12:23

3 raisons/ 3 mn Juliette L, 4C

Nuage de mots de Jade, 4D

 

La personne qui a écrit ce livre est Sandrine Beau, je ne connais pas d’autres œuvres de cette auteure. Il a été écrit en Juin 2016 et parle d’un pervers adulte sur une personne mineure.

 

Ce texte est écrit en français d’origine.
Quand j’ai lu ce livre, j’ai pensé à des images mais pas à des expériences personnelles.
Les personnages principaux sont Mia, la jeune fille, Maminette, la mamie de Mia, Polo, le petit frère de Mia. Il y a aussi Lloyd, le compagnon de la mère de Mia.
Mia attend ses seins avec impatience, elle dit « sauf qu’une semaine après le petit pic, j’avais beau m’approcher au plus près du miroir, je ne voyais rien ».
Maminette fait le ménage dans l’appartement de Mia car Lloyd ne fait rien, elle dit « tu n’as pas l’impression d’avoir un troisième enfant à nourrir ? Je te jure ! »
Polo ne joue pas un rôle très important dans l’histoire.
Lloyd : Quand Mia va prendre sa douche il rentre dans la salle de bain et ouvre le rideau et la regarde ou essaye de la voir nue « Qu’est-ce que tu fous, toute habillée dans la baignoire ? »
L’action se passe dans la salle de bain quand Mia va prendre sa douche.
Je n’ai pas aimé ce livre car cela parlait du corps d’une jeune fille en pleine croissance et d’un pervers qui essaye de la voir sous la douche il n’y a pas assez d’action.
J’ai compris ce livre, il est destiné à faire réfléchir les gens sur la pédophilie, nous dire qu’il faut réagir. Pour ça, l’auteure a écrit un roman qui parle d’une jeune fille qui subit ces actes. Ses intentions sont faciles percevoir, dès le premier chapitre, on comprend. 

Passage choisi p 87
Je n’ai rien dit à ta mère pour cette fois. Mais le coup de la surprise à ta grand -mère, c’est la dernière fois. Quand tu me fais le coup, je te préviens !

Je suis montée dans ma chambre, sans rien répondre. Il a continué dans mon dos. J’ai pris mon pyjama et je suis allée à la salle de bain, les tremblements de mes mains recommençaient. Je suis entrée dans la baignoire et j’ai ouvert le robinet. C’était comme si j’avais envoyé un signal de départ : les ressorts du canapé qui couinaient, le bruit de ses pas dans le couloir. Encore quelques secondes et il serait là. Mais mains sont devenus moites, mon cœur s’est mis à accélérer comme un fou, ma bouche est devenue sèche.

Sylviano 4C

Nuage de mots par Emma, 4C

L’ auteur est Sandrine Beau, elle vient de Picardie. elle est aussi l’auteur de Touche pas à ma mère, Hors de moi et Je sais que tu sais.Ce texte est un roman car c’est une narration. Il a été écrit au 21ème siècles et est paru en 2015 avec la maison d’édition française: Talents Hauts. Ce texte est destiné aux jeunes lecteurs.

Le personnage principal est Mia. C’est une collégienne qui suite a sa puberté est victime de harcèlement de son beau père, Lloyd, qui la regarde lorsqu’elle se douche.. Elle est victime de harcèlement dans la salle de bain quand elle se douche les soirs où sa mère est au travail. Alors, Mia ne se concentre plus à l’école, ne rit plus avec ses amis

 

Ce texte m’a fait pensé à des cours en primaire sur les conséquences des actes de l’ harcèlement et des cours d’ E.M.C.

L’auteur veut nous dire que si nous sommes victime de harcèlement, il faut en parler à un adulte.

Elle émeut avec cette histoire. On ne peut pas hésiter sur le sens de son texte.

J’ ai aimé ce roman car c’est un texte compréhensible et très intéressant. Il a suscité en moi de la tristesse et de la pitié envers Mia qui était piégée et qui ne pouvait pas en parler.

Je l’ai compris sans difficulté car les mots utilisés étaient relativement simples.

Je lui attribue 4 étoiles

Linsey, 4C

Le quiz de Linsay https://www.babelio.com/quiz/44311/La-Porte-de-la-salle-de-bain

La porte de la salle de bain est un roman, écrit par Sandrine Beau. C'est un livre qui a été écrit en 2015 et en France.

Les personnages principaux sont Mia (la fille qui se fait violer sa vie privée), Lloyd (son beau-père qui cherche à violer son intimité), sa grand-mère ( qui va sauver Mia), Agnès (sa mère) et Polo (son frère).

Le texte parle d'une fille qui s'appelle Mia, qui a douze ans et quand-t-elle prend sa douche son beau père vient la voir nue en ouvrant le rideau de la baignoire et ce à plusieurs reprises. Elle décide donc d’en parler à sa grand-mère qui l’héberge et la sauve de cette situation.

L'action se passe chez Mia, souvent dans la salle de bain de l' appartement de Agnès et Lloyd, les soirs quand Mia doit prendre sa douche et que sa mère est au travail.

Je pense ce roman veut nous dire d'être vigilant envers les personnes qui sont victimes de viol ou d’atteinte à leur intimité.

L'auteur nous émeut en nous racontant le vie d'une jeune fille qui se fait violer son intimité par son beau-père.Les intentions sont faciles à percevoir car l'auteur ne passe pas par quatre chemins, elle nous décrit très vite la situation de cette jeune fille et nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte car l'auteur utilise des mots de vocabulaire assez simples.

Ce livre m'a beaucoup touchée et j'ai trouvé cette histoire assez triste. J'ai ressenti beaucoup de tristesse car je n'avais jamais lu une histoire aussi triste et émouvante. Je n'aimerais pas être à la place de l’héroïne. Mais le roman m'a plu car même si c'était triste, l'histoire avait du suspense.

Ce livre me rappelle des émissions de faits divers, en le lisant je pensais à une salle de bain d'hôtel où on entendait crier lors des moments d’agression sexuelle.

Anaïs, 4C

Le  quiz d'Anaïs et de Florent  https://www.babelio.com/quiz/44472/La-porte-de-la-salle-de-bain

 

 

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 20:07

3 raisons / 3 mn par Louise, 4D

 

Nuage de mots de Jade, 4D

Le livre Dis-moi si tu souris est un roman écrit par Éric Lindstrom qui est un auteur anglais. Anne Delcourt a traduit le livre en français en 2016. La date de parution de ce livre est 2015, celui-ci est inspiré d’une personne handicapée. C’est un roman de jeunesse.

« Voir n’est pas croire » est la phrase qui m’a le plus marquée car elle dit vraiment tout, si tu vois quelque chose ça ne veut pas forcément dire que c’est la vérité donc il ne faut pas vraiment y croire.

Le personnage principal est Parker une jeune fille de 16 ans qui raconte son histoire à travers son handicap. Les autres personnages sont : Scott, son ancien meilleur et petit ami ; Sarah, sa meilleure amie et Molly, sa nouvelle partenaire qui l’aide dans ses cours et qui l’accompagne.

L’action se déroule dans le lycée Adams en Amérique, pendant l’année de première de Parker.

Pour résumer en quelques lignes, c’est l’histoire d’une fille, Parker, qui est tombée aveugle lorsqu’elle était petite, à cause d’un accident de voiture où sa mère est morte. Quelques années plus tard, son père meurt, un matin, dans son lit mais on ne sait pas à cause de quoi. Du coup, depuis la mort de son père, elle vit avec sa tata, son tonton, son cousin et sa cousine. Parker a des règles très précises car elle est aveugle et il y a une règle qui est très claire et qu’elle  voudrait qu’elle ne soit jamais trahie : « Il n’y a aucune seconde chance. La trahison est impardonnable ». Alors quand Parker reprend les cours, elle ne s’attend pas à recroiser Scott ou à lui parler. Scott, qui était son meilleur et petit ami en 4e l’avait trahie… Mais comme le lycée Jefferson avait fermé pour raison d’argent, les responsables avaient dû transférer tous les élèves au lycée Adams et c’est ainsi que Scott se trouvait dans le lycée Jefferson. Vont-ils se reparler ?  Est-ce qu’ils vont redevenir amis ? Parker va-t-elle céder à sa règle ? Ou vont-ils s’ignorer ?

J’ai aimé ce livre car en le lisant, je perçois bien les humeurs de Parker et ce qu’elle ressent en tant qu’aveugle. Son histoire est incroyable, je trouve. En plus, j’aime bien ce genre de livre avec de l’amour et de l’amitié. Par moment cependant, j’avais un peu de mal à suivre certaines scènes.

L’auteure a voulu nous montrer que ce n’est pas parce que l’on est aveugle, que l’on ne peut pas parler, entendre, marcher, courir ou vivre tout simplement. «Les handicapés » sont des êtres humains  comme nous tous, ils ont juste quelque chose en moins ou en plus par rapport à « une personne normale ».

Passage du livre   P.18 et 19

« -T’es sur que t’es dans la bonne salle ? Il n’y a plus de place chez les surdoués ?

-Je parie que ta prof principale, c’est Kensington. C’est pas un peu tôt pour jouer à ça ?

Je ne sais pas ni de quoi il parle ni qui est Kensington. Une prof de Jefferson, sans doute.

-Hé, tête de nœud, intervient une autre voix masculine à gaude de la tête de nœud. Elle ne joue pas. Elle est vraiment aveugle.

Intéressant. Cette voix-ci est plus douce, d’un calme avec lequel on entend rarement insulter les grosses voix de sportifs bronzés. Elle me dit quelque chose, mais je n’arrive pas à la situer.

-Mais non, c’est un truc de Mme Kensington, où il faut faire comme si…

- Je connais, mais elle ne distribue pas de cannes blanches, et elle attend quelques jours après la rentrée.

-Mais si elle était vraiment aveugle, pourquoi elle mettrait un band…

-Un conseil, mec : ferme-la. »

 

Alexiane 4e C

Le nuage de Julie, 4D

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 17:09

3 raisons /3 mn de Laura, 4D

L'auteure de ce livre est Anne Fleur Multon, je connais une autre œuvre de Anne Fleur Multon c'est le roman " Sous le soleil exactement", ce livre a été publié le 4 mai 2017. Ce texte a été écrit en français.

Ce livre parle d'Aliénor , d'Itai , d'Azza et de Maria qui ont toutes les quatre 14 ans et qui habitent chacune aux quatre coins de la planète, mais de leur rencontre sur un forum, naissent tout à la fois une grande amitié et une chaine youtube à succès ! Des vidéos sur l'astronomie par Aliénor aux conseils d' Itai en jeux video , d'Azza en pâtisserie et une de Maria en photo, les filles partagent leurs passions et voient grossir leur confiance et leur communauté. Quand Itai se voit écartée d'un championnat d'e-gaming prétendument masculin, elles ont l'outil en main pour médiatiser l'affaire et lutter contre cette injustice. 

L'action se passe particulièrement en France dans les années 2016 et 2017. J'aime ce livre car ces filles sont courageuses mais je n'aime pas l'astronomie donc le livre est quelques fois ennuyeux  quand on parle d'astronomie ; j'ai compris ce livre sauf quelques mots sur l'astronomie encore une fois mais dans l'ensemble je l’ai compris car il n'est pas difficile à lire, l’auteure l’a écrit pour sa fille.

Je pense que ce livre veut dire que si nous tenons à quelque chose il faut s'accrocher, se battre et ne surtout pas baisser les bras. Ses intentions sont assez faciles à percevoir.                    

Marie D 4D

 

 

Nuage de mots de Lénaïg, 4D

Anne Fleur Mutlton est l’auteure de ce livre, je ne la connaissais pas auparavant. Elle l’a écrit en français puisqu’aucun traducteur n’est indiqué. Je pense que c’est un roman. L’histoire se déroule à une époque où on a découvert le réseau social YouTube.

Pour moi ce livre est un roman destiné aux jeunes lecteurs.

Aliénor et Aza sont les deux personnages principaux. Aliénor retrouve son grand-père qu’elle ne connaissait pas et Aza remporte la compétition de League of legends.Aliénor veut devenir astronaute. Elle parle de Steve Univers mais un hatter les embête. Elles deviennent amies en chassant le hatter. Elles habitent toutes aux quatre coins du monde mais elles montent une chaine YouTube à quatre. Elles se retrouvent toutes à Lyon pour le tournoi gaming de Aza, qui, par la même occasion, va rencontrer son grand-père. L’action se passe alors en France à Lyon.

Je pense que l’auteure veut nous faire comprendre que malgré les différences ethniques, une belle amitié peut naitre. L’auteur détaille certains faits, ce qui provoque chez le lecteur des émotions. Ses intentions sont faciles à imaginer, mais certaines phrases nous font hésiter à imaginer la suite. Le livre m’a fait ressentir de la joie et de la tristesse car  l’auteur du livre voulait faire passer plusieurs messages. Je peux imaginer que ce livre pourrait devenir un film. Le mot principal dans ce livre que j’ai retenu est « l’amitié ».

Voici l'extrait que j'ai choisi : 

"Maintenant, il vous suffit de tirer un trait qui le prolonge, un peu comme ça, dans la direction de la vapeur qui s’échapperait de la casserole, et la première étoile sur laquelle vous allez tomber le long de ce trait sera L’Étoile polaire. Et L’Étoile polaire indique toujours le nord, à toute heure de la nuit et où que vous soyez !

« Derrière vous, vous avez donc le sud, à votre droite l’est et à votre gauche l’ouest. Le sud-ouest se trouve donc à peu près au niveau...de votre fesse gauche !

« Et, sur ces considérations bien sympathiques de fessiers, je vais vous laisser ! Ciao, les amis, rendez-vous sur la chaine mercredi pour la délicieuse recette de mug cake qu’Azza vous a concoctée et, d’ici là, prenez soin de vous, regardez le ciel et, si la vidéo vous a plu, n’hésitez pas à vous abonner ! »

Je trouve que le livre était bien, mais à certains moments, l’auteure a trop détaillé certains faits.

Maxence, 4C

Nuage de mots d'Orléane, 4D

Aliénor 13 ans vit en Guyane, fan d’astronomie elle construit une fusée pour le concours : Eurêka Kids. Elle termine sa fusée, mais il ne lui reste que vingt minutes pour l’emmener au relai de La Poste.

Elle réussit tout de même à envoyer sa fusée.

Aliénor poste un Tweet par rapport à un film, mais une personne la contredit et dit que le film est nul, qu’il est pour les bébés. C’est là que trois autres filles tweetent et contredisent cette personne avec Aliénor. C’est comme ça que Itaï, Azza, Maria et Aliénor sont devenues amies. Itaï vit en Nouvelle Calédonie. Elle est fan de jeux vidéo. Maria vit à Montréal au Québec. Elle est fan de photographies et de son chat. Azza habite à Lyon. Elle est fan de pâtisserie et de handball.

Cela fait deux mois que les quatre filles se connaissent. Elles s’appellent « Les Sorcières ». Elles communiquent par Skype et rigolent, sauf Maria. Elle pleure, car elle a de mauvaises notes au collège. Mais les filles lui redonnent le sourire.

Itaï, Maria, Azza et Aliénor vont monter une chaine youtube à quatre. Aliénor fera des vidéos sur l’espace et les sciences, Itaï sur le gaming et le maquillage, Maria sur les arts, des critiques sur des films, des livres, des animés et des discussions sur des sujets d’actualités, Azza sur la pâtisserie et le sport. Leur chaine s’appellera : « Allô sorcières » sorcières car le garçon qui les avait insultés les avaient traités de « complot de sorcières » et parce qu’elles ressemblaient à des sorcières.

Le père d’Aliénor découvre la première vidéo : Aliénor parlant des planètes. Il est furieux de voir sa fille sur les écrans sans sa permission, mais elle arrive à le calmer. Elle lui a dit que Maria était diabétique et qu’elle a fait une vidéo où elle expliquait cela, et peu après l’avoir postée, la vidéo avait été retweeté par le ministre de la Santé Canadien, et qu’ensuite elle avait été partagée par des sites connus. Et toutes les vidéos des « sorcières » ont fait le buzz. Elle dit aussi à son père qu’elles ne prendraient pas la grosse tête. Itaï ne voulait pas que les parents le sachent.

Le père d’Aliénor lui demande de choisir entre une bonne et une mauvaise nouvelle, elle choisit la bonne nouvelle. Son père lui donne une enveloppe elle s’empresse de l’ouvrir et voit :

« Félicitation Mme. Haigneré, vous avez remporté le concours Eurêka Kids de l’été ! »

La mère d’Aliénor rentre de son travail le soir ils lui courent dans les bras, très heureux de la voir. Le lendemain matin sa mère lui propose de venir avec elle à son travail, Aliénor accepte sans hésiter. A midi au moment de manger, sa mère lui demande si elle compte laisser la mère de Maria supprimer leur youtube sans se défendre. Car finalement elle s’y était attaché à Allô Sorcières.

La mauvaise nouvelle est que la mère de Maria souhaite supprimer la chaîne You Tube. Mais elles ont une idée : convaincre la mère de Maria de ne pas la supprimer. Quand Aliénor discute avec les filles de son plan (montrer aux parents l’intérêt d’Allô Sorcières, ouvrir la discussion, convaincre les parents et les rallier à l’avis de la mère d’Aliénor), Maria est surprise. Elle n’était pas au courant de ce qu’avait fait sa mère. Elle était furieuse que sa mère ait pris une telle décision sans lui en parler. Le plan fonctionne, mais Aliénor reçoit un message de la part d’Itaï…

Le message dit que Itaï s’est inscrite à une compétition de jeux vidéo. Elle était la meilleure de son âge, mais les équipes n’étaient pas mixtes et elle était la seule fille de son niveau à participer. Le directeur du tournoi a refusé sa candidature en lui disant qu’il était impossible qu’une FILLE de son âge ait un score aussi élevé. Il pensait qu’elle avait triché. Cela l’a révoltée, elle a donc fait une vidéo contre le sexisme et les préjugés. Elle a twitté aux gens d’aller voir la vidéo et cela a été vu par plus de 2006 personnes dont la plus grande joueuse de LEAGUE OF LEGEND. L’hashtag GoSorcières est devenu viral, et une pétition avait même été lancée. Les filles ont mêmes été interviewées pour un article dans « Le Monde ». Le directeur du tournoi dut appeler Itaï pour s’excuser. En faisant un Skype, Itaï leur annonce qu’elle est inscrite au tournoi, mais qu’elle va être remplaçante. Elle est très heureuse de partir en France, à Lyon et de voir Azza. Aliénor a une super idée : en profiter pour se voir toutes les quatre. Mais, il fallait en discuter avec les parents.

Aliénor propose à ses parents d’utiliser les 1000 euros qu’elle a gagnés au concours, pour retrouver toutes ses Sorcières à Lyon et enfin pour parler à son grand-père qu’elle n’avait jamais vu, car il est raciste et Aliénor et sa mère ne sont pas de la même couleur de peau que lui. Il ne restait plus que les parents d’Aliénor et de Maria à convaincre.

Aliénor arrive à l’aéroport où l’attendent Itaï, Azza et Maria pour l’accueillir. Arrivées chez Azza, elles commencent à discuter de ce qu’elles feront le lendemain.

Le lendemain Aliénor, accompagnée du père d’Azza, part voir son grand-père. Mais, à son arrivée chez son grand-père, son « homme de maison » lui dit qu’il ne veut pas lui parler et qu’il n’a pas de petite fille. Aliénor, déterminée, va lui parler et lui dit comment elle et ses parents vivent, qu’elle fait des vidéos.

Son grand-père lui répond qu’il ne veut pas la voir, qu’il n’a à subir ses crises d’adolescence et qu’il souhaite la voir partir. D’un autre côté, les filles et la mère d’Azza vont au tournoi en voiture. Le matin, Maria dédicace ses livres. Arrivées au tournoi, les filles sont étonnées de voir un si grand espace avec autant d’high-tech. Quand le tournoi commence, Aliénor voit bien que Itaï est en colère. Au bout d’un quart d’heure, le pacifique a déjà perdu alors qu’il reste plus d’une demi-heure à jouer. Tout d’un coup, Itaï se lève doucement et va voir un joueur, lui soulève son casque et lui dit quelques mots.

Le joueur part et Itaï prend sa place et joue. L’équipe du Pacifique gagne le tournoi. A un moment, la voix du directeur se fait entendre et dit que cela ne se fait pas de changer de joueur au milieu de la partie. Aliénor reconnaît cette voix. Elle court le voir avec sa caméra et lui dit qu’elle est journaliste pour « GirlGaming ». Elle lui pose des questions auxquelles il ne peut répondre. Il accepte finalement le changement de joueur. En rentrant, les filles et la mère d’Azza trouvent le grand-père d’Aliénor. Il souhaite lui parler, mais elle répond qu’elle ne veut pas lui parler maintenant. Après s’être garée, la mère d’Azza donne à Aliénor une lettre de son grand-père. Il s’excuse et dit qu’il souhaite apprendre à la connaître. Il leur propose, à Aliénor et ses amies, de venir chez lui pendant les prochaines vacances.

Ce livre est intitulé « Viser la lune ». Ce texte écrit par Anne-Fleur Multon est destiné aux adolescents. Cette écrivaine est française, le livre n’est donc pas traduit et nous en avons donc toute l’originalité.

Ce qu’elle veut nous dire est que internet rassemble les gens. Pour nous montrer cela elle a fait quatre adolescentes se rencontrer sur internet.

Terminé en mai 2017, cet ouvrage est très proche de notre époque et donc les adolescents de 2019 s’y retrouvent aisément. Comme les quatre héroïnes les adolescents de 2019 passent énormément de temps sur les réseaux sociaux.

L’auteur décrit l’histoire de quatre adolescentes séparées aux quatre coins du monde qui se trouvent sur internet et y créent une chaine You Tube. Cette chaîne et la passion d’une des adolescentes pour les jeux vidéo les fait se rencontrer en France (pays de l’une d’entre elle). Leur histoire lors de cette rencontre fait découvrir à l’une d’elle son grand-père avec lequel elle n’avait jamais eu de relations.

Les personnages principaux sont quatre filles : Azza, Itaï, Maria et Aliénor. L’histoire se passe pendant les grandes vacances dans quatre villes et quatre pays différents : Lyon en France, la Guyane, Montréal au Canada et en Nouvelles Calédonie. Dans ce livre, il y a beaucoup d’action.

On ne peut pas hésiter sur le sens de son texte car il est très simple à lire et à comprendre.

J’ai apprécié ce livre, car je pouvais me retrouver facilement dans ses personnages et je l’ai compris.

Le mot que j’ai retenu de ce livre est « inséparable » : inséparables comme les quatre nouvelles amies, inséparables comme Aliénor (l’une des quatre) et son grand-père, inséparables comme les adolescents et les réseaux sociaux…

 

Jade, 4D

Collage d'images de Marie D, 4D

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 16:44

L'auteur de ce livre est Jo Witek . Le titre de ce livre est Une Fille de… Je connais une autre œuvre du même auteur qui s’intitule Mauvaise Connexion. La date de sortie est en août 2017. Ce texte est écrit en français d’origine. C’est un roman.

 

Il comporte plusieurs thèmes qui sont mis en valeurs comme : l'amour, la prostitution,   l'humiliation

 

Ce roman parle d'une fille se nommant Hanna qui veut se sentir unique sur terre. Hanna est une fille qui aime courir le long de la ligne verte, elle marche plusieurs kilomètres de chemin quatre fois par semaine. Dans ces moments là, Hanna se sent forte et courageuse.

 Hanna est la fille d'Olga, prostituée Ukrainienne. Olga, comme toutes personnes qui vendent leurs corps, a décidé de ne plus avoir honte.

Les personnages principaux sont Hanna et Olga. Les personnages principaux ne se soucient pas du regard des autres et continuent leurs aventures. Mais leur vie va changer car plusieurs personnes les rejettent : "Mais c'est la fille de la putain ! Pas de ça chez nous !

 Qu'elle aille voir ailleurs, la catin, la grue, la trainée du quartier ! » (page 80 ligne 8 à 11).

 Il n'y a pas d'action dans ce livre mais je l’ai compris sans mal. Au cours de la lecture, j’ai éprouvé un peu de pitié, à un moment j’ai éprouvé de la joie

 

Ce texte est plutôt destiné aux adolescents. Il est émouvant. Je pense que l’auteure veut nous montrer que nous ne sommes pas différents par rapport à ce que l'on fait. Ses intentions sont simples à percevoir mais pouvons parfois hésiter sur le sens du roman.

                                                                                                                                Aubeline 4C

 

Le titre de ce livre est "Une fille de …". L'auteur est Jo Witek. C'est un roman. Ce texte a été écrit à l'origine en français.

Les personnages principaux sont Hanna Sobolev (la petite fille) et sa mère Olga Sobolev, elle vient d’Ukraine et elle est serveuse.

C'est l'histoire d'une petite fille qui s'appelle Hanna Sobolev, à l'époque elle a quatre ans. Son père est mort et sa mère est serveuse. Depuis son enfance Hanna voit des hommes qui font des allers-retours dans la chambre de sa mère. Dès que sa mère sort de sa chambre, elle a toujours pleins de bleus. Hanna grandit et elle comprend de plus en plus ce qui arrive à sa mère. Ce n'est pas toujours facile pour Hanna de savoir que sa mère se prostitue. Hanna fait plusieurs kilomètres pour aller à l'école mais parfois sur le chemin, elle reconnait des hommes. Sa mère lui dit toujours "tu verras, tu verras", l'argent que je garde, ce sera pour tes études de plus tard. Olga la mère d'Hanna, a commencé à recevoir des coups dès l'âge de dix ans lorsque qu'elle était chez elle à garder ses frères et ses sœurs, son oncle venait et lui faisait du mal. A une soirée, elle a rencontré un homme, Padel, ils ont beaucoup discuté tous les deux mais le soir en rentrant chez elle, avec Padel ils se sont endormis, et Padel l’a vendue à d'autres hommes et quand elle s'est réveillée, des hommes étaient en train de la frapper et de la déshabiller et elle s'est rendu compte qu'elle avait été droguée et qu'elle était devenu la proie de Padel….

J'ai aimé cette histoire et je l'ai trouvée triste par moment et j'avais aussi de la pitié pour la petite Hanna qui elle, n'avait rien demandé.

Ce livre est dédié à Myriame. L'auteur veut nous dire qu'il faut faire attention de ce que l'on fait avec son corps.

Orléane, 4D

L’auteur est Jo Witek et je ne connais pas d’autre oeuvre de cet auteur. Le livre a été fait en 1949 et date est particulière car elle a été écrite 4 ans après la guerre. Ce texte est écrit en français à l'origine. C’est un roman.

Cette phrase me semble représentative du roman : "je suis ta seule famille".

Le texte parle d'une  fille qui vit toute seule avec sa mère, sa mère se prostitue pour gagner de l argent car quand elle était plus petite elle a été violée et prostituée par son  amoureux. La  fille a honte de sa mère, elle est triste mais c'est sa seule famille.

Un jour elle rencontre un garçon qui lui plait beaucoup mais elle a peur de faire la même bêtise que sa mère mais elle est très amoureuse de se garçon et lui aussi est très amoureux d’elles Ainsi ils ont formé un couple.

Il ne se passe pas d'action car la fille est très timide et méfiante. Sa mère continue son travail mais la fille n’est plus seule, elle est avec Nolan son amoureux.

Je pense avoir compris toute l'histoire mais je ne l’ai pas beaucoup aimée car il n’y avait pas beaucoup d'action.

Ce message est destiné aux filles de prostituées mais aussi à nous tous car il veut nous dire que la vie n'est pas toujours facile. Sans doute, l’auteur a écrit cette histoire car elle est touchante. Parfois, on peut hésiter sur ses intentions.

Extrait choisi : « Nolan entre dans ma vie un matin de septembre. Je le repère immédiatement. C'est qu'ils sont rare les ado, le dimanche sur une ligne verte. Surtout les jours de pluie.

Je le croise tous les dimanches au même endroit. Sur le pont bleu en acier mouillé. Là où la vue est dégagée.

Il a toujours le même sweat gris et la capuche sur la tête. »

Quentin P, 4D

 

 

L auteur est JO WITEK, une écrivaine française, née à Puteaux en Haute-Seine, le 4 septembre 1968. Le roman parle d’une petite fille qui s’appelle Hannah, fille unique d’Olga Obolev. Olga est une prostituée Ukraine et droguée, elle est arrivée en France par des réseaux de prostitution.

Hannah raconte sa jeune vie, ses impressions dans la rue, dans des magasins ... Au fil des journées Hannah se pose des questions sur qu’est une prostituée.Son père est décédé et sa mère est "serveuse". A 4 ans Hanna voit des personnes rentrer et sortir de chez elle .De jours en jours, Hanna comprend que sa mère se prostitue pour gagner de l argent .Tous les jours, Olga accompagnait sa fille à l'école et parfois Hanna reconnaissait des hommes qui  rentraient et sortaient de chez elle .Quand elle reconnaissait les hommes elle disait "Regarde,maman! regarde ! un de tes clients".

A une soirée Olga avait rencontré Padel, en rentrant chez elle , ils s'étaient endormis. A son réveil, Olga était droguée, déshabillée et des hommes la frappaient.

Le récit est mené à la première  personne du singulier. Le point de vue du narrateur est interne.

.ce texte est écrit pour des adolescents car dans le texte Hanna n'aime pas trop le métier de prostituée mais elle aime quand même sa mère. J ai bien apprécié ce roman. Il est émouvant et délivre un message 

Alexis, 4D

UNE FILLE DE…

Extrait choisi : Je m’appelle Hanna Sobolev, je suis la fille d’Olga Sobolev, prostituée indépendante. Fille de pute, quoi. Je suis une insulte, la pire des insultes, celle que les gens de mon âge balancent si facilement à la tête de leurs ennemis. Fils de pute. Ta mère est une pute ! La prostituée c’est toujours l’autre, un monstre sans visage. J ai choisi cet extrait car ces mots sont forts et durs. Ils parlent d’un sujet dont on n’a pas l’habitude de parler dans une conversation banale alors que ce sujet est très important car c’est un métier pratiqué en France dans la peur, la discrétion et l’illégalité.

J ai choisi cet extrait car ces mots sont forts et durs. Ils parlent d’un sujet dont on n’a pas l’habitude de parler dans une conversation banale alors que ce sujet est très important car c’est un métier pratiqué en France dans la peur, la discrétion et l’illégalité.

Aurore 4C

3 raisons 3 minutes par Maxence 4C https://voca.ro/eojOK4KHyCu

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 15:33

 

L'auteur est Lisa Thompson. le livre a été écrit en 2017 en Anglais à l'origine, puis traduit par Juliette Lê. le genre de ce livre est un roman. Il me fait penser à un enfant malade par exemple de la leucémie et qui vit enfermé, seul dans sa chambre pour ne pas être au contact des microbes.
Le personnage principal est Matthew il a 13 ans et il a des troubles obsessionnels compulsifs, il a peur d'attraper des microbes, peur d'être malade et de mourir. Il ne sort jamais de chez lui. Un jour il doit aller consulter le médecin et faire face à sa plus grande peur. llreste enfermé dans sa chambre sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Et sûrement pour ne pas s'ennuyer, il regarde ce qu'il se passe par la fenêtre, en la laissant fermée pour qu'aucun microbe ne puisse rentrer dans sa chambre. Il observe tout ce qui se passe dans son quartier et chez ses voisins, en prenant soin d'écrire cela dans son carnet. Mais un jour, quelque chose d'inhabituel se produit : un enfant a disparu ! L'action se passe chez Matthew et dans son quartier,chez ses voisins.

"Pendant que Teddy cueillait des pétales, M.Charles était en train de faire une petite sieste dans son fauteuil. Moi, j'étais en train de nettoyer ma chambre,quand, à 14h37, j'entendis crier dans le jardin.

-Teddy! Teddy! Où es-tu ? Viens voir grand-père, sors de ta cachette.                                                                                   Je regardai dehors et vis la calvitie rouge de M.Charles.Le vieil homme était debout sur la terrasse, les mains sur les hanches.                                                                                    

-Il se passe quelque chose, dit-je au lion.                                                                             

- Teddy! Teddy! Viens ici tout de suite!"                                                                                

(page 83 chapitre 9 de la ligne 4 jusqu'à la ligne 14).

Ce livre est destiné à des adolescents.Dans ce livre l'auteur veut nous faire prendre conscience du handicap que sont les troubles obsessionnels compulsifs. Elle a écrit ce roman de façon humoristique.

 J'ai bien aimé ce livre car dès le début on s'attache très vite au personnage de Matthew, et comme j'ai le même âge que lui, je me suis demandé ce que j'aurais fait à sa place. Je suis devenue très vite consciente de sa maladie. L'auteur a très bien exprimé les sentiments de Matthew, et ce qu'il pense quand une épreuve doit le faire sortir de chez lui. J'ai trouvé également que l'idée d'une double histoire dans le livre était vraiment géniale. 

Par contre, j'ai moins aimé l'aspect du livre car je le trouvais très épais et j'ai hésité à l'emprunter car j'avais peur de ne pas réussir à m'y intéresser jusqu'au bout.

Lucie, 4D

Matthew, est atteint de TOC, qui sont apparus à la suite du décès de son petit frère, décès dont il se sent responsable. Il a besoin de se laver les mains sans arrêt, il dit qu’il a « 10+3 » ans car il déteste le nombre 13 (il est très superstitieux) et il ne va plus à l’école à cause notamment de sa peur des microbes. Ses parents se sentent démunis face à cela et en arrivent à se disputer. Matthew passe ses journées à espionner ses voisins, il a même un carnet avec les horaires des activités de chacun. Il vit dans une certaine routine jusqu’au jour ou un de ses voisins (Mr Charles) reçoit ses petits enfants (Casey et Teddy). Or, Teddy disparait, et la police va enquêter sur cette disparition. Matthew, aidé d’une de ses voisines (qui cherche à devenir son amie) va alors mener une enquête, en soupçonnant chacun de ses voisins.

J’observe

Lisa Thompson est l’auteur de ce livre qui est paru en septembre 2017. Il a été à l’origine écrit en anglais, puis traduit par Juliette Lê et a également été traduit en Espagnol. C’est un roman jeunesse.

Je lis / j’écoute

Je retiens le titre du chapitre 6 « Le garçon –poisson dans son bocal » car, pour moi, il reflète beaucoup de choses dans l’histoire. En effet, Matthew passe ses journées seul dans sa chambre, à regarder par la fenêtre.

Je comprends

Il y a très peu d’action dans ce livre avant la disparition de Teddy ; ce qui s’explique par le fait que le héros reste enfermé dans sa chambre la plus grande partie de l’histoire. Toute l’action se passe dans le quartier de Matthew. Le petit fils de Mr Charles (le voisin de Matthew) disparait, ce qui suscite la suspicion envers tous les résidents du quartier. Ainsi, Matthew va passer au crible les actes de tout le monde.

Les personnages principaux sont Matthew, Mr Charles, les parents de Matthew, Casey et tous les autres voisins du quartier. Le fait qu’il n’y ait pas énormément de personnages facilite la lecture mais appauvrit un peu l’histoire.

Je réagis

Je trouve l’histoire intéressante et le livre très facile à comprendre.

J’ai apprécié lire ce livre car tout était clair et l’intrigue également. J’ai trouvé intéressant que Matthew parvienne à dépasser sa phobie des microbes et sa peur pour aider à sauver Teddy.

Par contre, je n’ai pas aimé le fait que le rythme soit très lent alors que l’intrigue aurait permis plus de rebondissements (disparition d’un enfant).

J’interprète

Ce livre est destiné aux jeunes lecteurs. Il nous fait comprendre que, même si on a des TOC ou d’autres troubles, ça ne doit pas nous empêcher de vivre. L’auteur décrit la vie d’un petit garçon de 13 ans qui a des TOC, et qui se retrouve confronté à une situation complexe mais qui parvient à dépasser sa maladie. Et à se faire des amis.

Le livre est très clair, très facile à comprendre, c’est un bon livre pour la lecture jeunesse.

Pierre A 4C

 

3 raisons / 3 mn par Nathan V, 4C

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 15:04

Ce roman a été écrit par Julia Billet  en 2012, elle a aussi écrit "De silence et de glace" et "La salle des pas perdus". L'époque de l'histoire du roman est très particulière car il s'agit de la deuxième guerre mondiale.

Ce roman raconte la vie d'une jeune fille juive pendant cette période, son nom est Rachel. Ses parents l'ont d'abord placée dans un internat, à la Maison des Sèvres, où elle a découvert sa passion pour la photographie. Le risque d'être emmenée par les Allemands devenait de plus en plus grand, elle a dû donc partir et changer de nom, elle s'appelait  désormais Catherine. Sous l'ordre de la directrice de l'internat, quand elle est partie grâce au  réseau de résistance, elle a pris un appareil photo pour faire des photos pour pouvoir les lui donner à la fin de la guerre. Pendant la guerre, elle a rencontré de nombreuses personnes qu'elle a dû souvent quitter à cause du risque d'être enlevée par les Allemands.

Ce roman est un beau récit, on y trouve des personnages attachants: Catherine et ses amis Sarah et Jeannot par exemple. Malheureusement, on ne sait pas ce qui est arrivé à certains d'entre eux. J'ai beaucoup aimé ce roman même si parfois il y avait des scènes vraiment tristes. L'auteure arrive, par des mots, à nous faire éprouver des émotions.

J'aurais voulu savoir ce qui est arrivé aux personnages par la suite mais ce n'est qu'une fiction ! Il doit y avoir une fin obligatoirement. Ce roman est inspiré de faits réels et de personnages ayant vraiment existé. Sa mère (à l'auteure), qui était passionnée de photographie, a été elle même à la Maison des Sèvres. Elle a voulu leur rendre hommage, tout simplement. Ce roman est donc un mélange de réalité et de fiction. Le texte est de plus très facile à comprendre, il émeut tout en rendant hommage.

Zéna  4D          

Nuage de mots de Théophile, 4D 

 

Nuage de mots de Léopoldine,  4D

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6 novembre 2018 2 06 /11 /novembre /2018 20:20

                                                  

3 raisons/3 mn par Jade, 4D

                                                 

3 raisons/3 mn par Louis, 4D

 

3 raisons / 3 mn par Quentin P, 4D

 

3 raisons/3mn par Zachalie, 4C

Ce livre a été écrit par Isabelle Allard d'après le roman de Deborah Ellis. Je ne connais pas d'autres œuvres de cette auteure. Je sais juste que c'est un livre de l'année 2018. Cette époque est particulière mais sans lien particulier avec le sujet du livre. C'est un texte écrit en Français dès l’origine.

 

Il appartient à un genre dont je reconnais les caractéristiques, c'est une bande dessinée constituée de bulles au-dessus des personnages et je reconnais la disposition des bandes dessinées. J’ai retenu tout particulièrement cette phrase : «II ne reste presque plus rien à manger» Elle témoigne de la pauvreté de la famille.

 

Cette BD parle d'une jeune fille qui s'appelle Parvana qui a onze ans, elle vit avec sa famille à Kaboul sous le régime des talibans. Son père travaille au marché, il lit des lettres aux personnes qui ne savent ni lire, ni écrire. Des hommes musclés  l’emmenèrent un jour en prison. Parvana ne pouvait pas vivre sans lui, elle établit un plan : se faire passer pour un garçon pour aller délivrer son père.

 

L’action se passe à Kaboul en Afghanistan sous le régime des talibans en Mai 2001.

Les personnages principaux sont Parvana et Shauzia. Elles essayent de délivrer le père de Parvana en se transforment en garçon.

 

J'ai beaucoup aimé ce livre car il montre la misère humaine et le mode de vie en Afghanistan. J'ai compris sans peine ce livre car l'écriture est facile à comprendre. On n’hésite pas sur le sens du texte et ses intentions sont faciles à percevoir. Pour moi je pense que l'auteur veut nous montrer la misère humaine et comment ça se passait en Afghanistan. Pour cela, l’auteure décrit, argumente et provoque.

Killian M

L'auteur de cette histoire est Deborah Ellis ; l’histoire est écrite à l’origine en Anglais. Ce livre a été écrit pendant la guerre de l'Afghanistan, c’est une bande dessinée.

C'est l'histoire d'une jeune fille se nommant Parvana qui habite à l'Afghanistan qui allait tous les jours au marché pour vendre, écrire ou traduire avec son père. Lui se nommait Baba mais les filles n'ont pas le droit de se montrer donc elle ne devait pas y rester. Une fois chez eux ils mangeaient quand les personnes du marché frappèrent à la porte et dirent que la place de Baba était en prison. Parvana était très déçue, elle dut aller au marché toute seule pour nourrir sa famille. Sa mère décida de lui couper les cheveux pour qu'elle ressemble plus à un gars. Une fois la journée du marché terminée, elle essayait de retrouver son père.

 Je trouve que cette histoire est passionnante parce qu'elle a du suspense et elle facile à lire. Elle explique la vie difficile de certains pays. Ce texte est surtout destiné aux enfants. L’auteure veut nous dire que la vie n'est pas facile partout (dans tous les pays).

Thomas, 4D

 

Parvana est paru en Novembre 2017, le livre a été écrit par Deborah Ellis, il a ensuite été formaté en bande dessinée. Enfin, le livre a été adapté en film par Nora Twomey.

Je ne connais pas pour l’instant d’autres œuvres de cette auteure.

Le roman a été écrit pendant la guerre en Afghanistan, où les conflits durent malheureusement toujours à l’heure actuelle.

Le texte est écrit français, il a sûrement été traduit car l’auteure est canadienne. Deborah Ellis est spécialisée dans l’écriture d’œuvres pour les enfants et la jeunesse.

 L’argent gagné grâce aux différents livres de la série Parvana est entièrement reversé à une association qui soutient la scolarisation des jeunes filles afghanes.

Le texte appartient à un genre d’histoire réelle et vécue.

 Parvana est le personnage principal de l’histoire. Les autres personnages principaux de la BD sont les membres de la famille de Parvana : sa mère Mama Jan, son père Nurullah Alizai surnommé Baba (papa en arabe), la grande sœur de Parvana, et son frère, Sulayman, qui est mort. Enfin, il y a son petit frère en bas âge, Zaki.

 

Tout commence au moment où Parvana et son père font le marché à Mandawi Bazaar pour survivre malgré la guerre. Baba, le père de Parvana lit et écrit : il est très instruit. Il a perdu son travail d’enseignant et vend donc des objets sur le marché pour acheter à manger.

Alors que les femmes n’ont pas le droit de se faire remarquer, les Talibans avertirent Parvana qu’elle ne devait pas venir au marché.

De plus, comme Baba est très instruit, il est très mal vu par les Talibans, qui le considèrent comme une menace.

Le soir même, Baba se fit arrêter. La famille de Parvana ne savait plus quoi faire car ils n’avaient presque plus rien à manger.

C’est alors que Parvana décida avec courage de se couper les cheveux pour ressembler à un garçon, pour pouvoir sortir seule et travailler. Son nom deviendra Aatish, qui veut dire feu.

Aatish travaille dans le but de nourrir sa famille et de faire sortir Baba de prison.

 

Quand j’ai lu la bande dessinée cela m’a fait penser à des bruits de fusils, de hurlements et de bombardements. On ressent les sentiments de peur, d’appréhension et d’insécurité. Cela m’a aussi fait penser aux images que l’on voit à la télévision, avec les femmes voilées portant leurs enfants dans leurs bras pour quitter leurs pays et qui espèrent survivre.

Pour terminer, ce livre m’a aussi fait penser à une chanson de Vitaa et Claudio Capéo « Un peu de rêve » :

« Tendez-moi un peu de rêve, j’ai plus le temps, sauvez-moi, ici je crève, j’ai plus le cran, je veux déployer mes ailes et m’envoler……

Je cherche la paix, le bonheur, quitter l’enfer, ici j’ai peur, je cherche la paix, le bonheur… »

 

J’ai choisi cet extrait du livre qui m’a plu : « Il n’y a pas si longtemps, nous avons connu la paix, ici à Kaboul. Les enfants allaient à l’école, les femmes étudiaient à l’université. Tous les empires nous avaient oubliés. Du moins, pour quelques temps. Mais cela n’a pas duré, il y a eu un coup d’état. Ensuite, il y a eu une invasion…Puis une guerre civile. Dans ce chaos, certains se sont tournés vers ceux qui promettaient de ramener l’ordre. Mais à quel prix ? » (Pages 10/11)

 

Parvana est un très beau livre, qui raconte la réalité de la guerre en Afghanistan et qui explique la place des filles dans ce pays, qui n’ont pas les mêmes droits que les garçons.

 

Pour ce livre, je mets la note de 4/5.

 

Gabin T, 4e C

Le livre écrit en 2005 par Deborah Ellis, canadienne, est une bande dessinée. Il est publié en anglais pour la première fois au Canada et en français par les éditions Hachette en 2018. Le film de cette bande dessinée sortira au cinéma le 27 juin 2018.

www.archive-host.comstyle="font-size:14px;">Les personnages principaux sont Parvana et Shauzia.

Parvana vit en Afghanistan, pays en pleine guerre, dirigé par les talibans. Les femmes n’ont plus aucun droit, interdiction de se déplacer sans un homme, de travailler…

Le père de Parvana ayant refusé de donner sa fille en mariage se retrouve en prison. Parvana, sa mère, ses sœurs et son petit frère ne peuvent donc plus rien faire seuls. Parvana et son amie de classe, Shauzia, décident alors de se déguiser en homme pour pouvoir travailler et gagner de l’argent. Parvana pourra faire manger sa famille et retrouver son père. Elle pensait qu’en donnant un « pot de vin » au gardien de prison elle pourrait voir son père.

Elle trouve un travail dans une carrière d’argile mais là elle se fait démasquer par Idrees, celui qui voulait se marier avec elle. Elle doit donc fuir avec toute sa famille et décide de rejoindre son père.

À la prison elle voit son cousin Razaq, qui est gardien de la prison. Il l’aide à libérer son père mais trop malade, il meurt sur le chemin du retour.

J’ai bien aimé ce livre. L’auteur parle d’un pays différent du mien, un pays en guerre où les femmes n’ont aucun droit.

Côme, 4D

L’auteur de cette bande dessinée est Déborah Ellis qui a d’abord écrit le roman en 2003 en anglais puis la bande dessinée en 2018. Il a aussi été adapté en film en 2017.

Il s’agit de l’histoire de Parvana et de sa famille musulmane qui   vit à Kaboul en Afghanistan en 2001.Parvana est la fille de Baba Nurullah Alizai et de Mana Jan. Le papa de Parvana se fait arrêter alors qu’il n’a rien fait de mal. Il faut alors trouver comment nourrir et protéger la famille.

Avec sa mère et sa sœur, Parvana décide de se couper les cheveux pour qu’elle devienne un garçon et qu’elle puisse travailler pour nourrir sa famille et aussi la protéger.

 Cette histoire me fait penser aux traditions des musulmans et à la difficulté pour les femmes de s’imposer par rapport aux hommes. Cela me fait aussi penser à la violence subie par les hommes en temps de guerre et je crois qu’avant dans notre pays, c’était un peu la même chose .

J’ai bien aimé ce livre car il parlait du droit des femmes par rapport aux hommes. Je pense que l’auteur voulait dénoncer la violence par rapport aux femmes et la discrimination.

Je donne trois étoiles à cette BD.                                                                            Tihane, 4C

 

Le quiz de Tihane, 4C 

https://www.babelio.com/quiz/44171/BD-Parvana-une-enfance-en-Afghanistan

L’auteur de cette bande dessinée se nomme Déborah Ellis. Elle a été écrite en 2016 en anglais. Elle a été traduite par Shelley Tasaka. La BD a aussi été réalisée en film par Nora Twomey. C’est une bande dessinée car il y a des onomatopées dans plusieurs bulles et qu’il y a des images en couleur, bien plus que dans un roman.

Il s’agit de l’histoire de Parwana, une jeune fille de onze ans et de sa famille qui vit à Kaboul en Afghanistan sous le régime des Talibans. Son père se nomme Nurullah Aliyai, sa mère Mama-Jan, sa sœur s’appelle Soraya et son petit frère Zaki. Le père de Parvana s’est fait arrêter mais malheureusement lui seul avait le droit de travailler ; les femmes n’ont pas ce droit et elles ne doivent jamais sortir de chez elles. La famille de la jeune fille se retrouve alors en manque d’argent et donc manque de nourriture.

Parvana, le personnage principal, essaye d’aider sa famille en faisant des petits boulots, elle est accompagnée par une jeune fille de son âge, Shauzia, maintenant appeler Delinvar. Un jour, en allant au marché pour acheter de la nourriture pour sa famille, elle se fait poursuivre par des hommes ralliés aux Talibans. Ces hommes se battent contre les ennemis de l’Islam.

Quand j’ai lu ce livre ça m’a rappelé une personne de mon entourage qui s’est convertie à l’Islam.

Je pense que ce livre est destiné à tout le monde et que nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte car il est flagrant. Déborah Ellis traite le sujet de l’inégalité entre les hommes et les femmes ; j’ai ressenti de la pitié pour ces femmes car elles n’ont aucun droit par rapport aux hommes. J’ai adoré lire cette BD car l’histoire est passionnante. Cependant, quand j’ai fini le livre, j’ai eu l’impression de ne pas avoir fini, la fin n’est pas complète. Je pense avoir compris le sens du livre même si je n’ai pas compris la fin. J’approuve le point de vue défendu par ce livre : il n’est pas juste que les femmes n’aient rien le droit de faire.

Ce qui m’a le plus marquée, c’est quand la mère se fait taper par un homme seulement car elle possédait une photographie.

Jessie, 4C

J’ai bien aimé ce livre car l’histoire était triste, j’ai choisi ces champs lexicaux de la violence, du courage et de l’inégalité pour mon nuage de mots car c’étaient les plus associés à ce livre .

Léo, 4C

 

nuage de mots de Gabin T 4C

nuage de mots de Gabin T 4C

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