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3 décembre 2016 6 03 /12 /décembre /2016 12:34

"Le monde n'est pas bien rangé, c'est un foutoir.

Je n'essaie pas de le mettre en ordre."

Garry Winogrand

Telle est la citation choisie comme exergue  par Yasmina Réza pour Babyone.

Rarement il m'a semblé qu'une citation en exergue exprime aussi bien le contenu d'un livre. Le titre, quant à lui, semble plus éloigné du texte. Certes, il convient de penser à la Babylone mythique, à la fois gigantesque, majestueuse et corrompue, immorale. Toutefois l'univers de ce roman se réduit à un espace bien limité et finalement assez peu peuplé par une bourgoisie parisienne vieillissante réunie un soir pour fêter le printemps. La corruption ou l'immoralité fond comme glace au soleil dans une sorte de banalité du quotidien où finalement s'appeler Jean-Lino Manoscrivi, étouffer sa femme, la plier en quatre pour qu'elle rentre dans une grande valise rouge, entrainer sa voisine dans  ses folies, ... tout cela semble tout naturel, tout comme aller se coucher alors que le voisin du dessus vient d'annoncer qu'il a tué sa femme.

Ce roman mêle ainsi dans un délicat équilibre, le loufoque du "foutoir" du monde et  le regard  mi-mélancolique, mi-sarcastique sur cette bourgeoisie parisienne vieillissante.

" Ce qui compte quand on regarde une photo, c'est le photographe derrière. Pas tellement celui qui a appuyé sur le déclencheur mais celui qui a choisi la photo, qui a dit celle-là je la garde, je la montre." (p 43). Cette phrase où la narratrice Élisabeth commente une nouvelle fois une photo de Robert Frank nous livre peut être aussi une voie d'interprétation des scènes que l'auteur nous donne à voir dans ce roman.

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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 13:24

C’est l’histoire d’un homme qui nous raconte ce qu‘il a fait.

Cet homme était très nerveux et avait l’oreille très fine. Il était intrigué par un vieil homme non pour son argent mais par son œil car il était bleu pâle et ressemblait à celui d’un vautour. Il dit « …chaque fois que cet œil tombait sur moi mon sang se glaçait et ainsi lentement par degré je me mis en tête d’arracher la vie du vieillard et par ce moyen de me délivrer de l’œil à tout jamais ».

Chaque nuit, depuis une semaine, l’homme allait regarder le vieillard dormir et, tous les matins, il allait lui demander s’il avait bien dormi. La huitième nuit il ouvrit la porte très doucement et rit ce qui réveilla le vieillard. Alors il attendit longtemps et entra dans la chambre, jeta le vieillard par terre et celui-ci cria alors il balança sur lui son lit. Le vieillard était mort . Il lui coupa les membres, souleva trois planches du parquet, cacha le corps dessous et replaça les planches.

Le lendemain matin, les forces de l’ordre arrivèrent car un des voisins avait entendu un cri. Il expliqua que c’était lui qui avait crié lors de son rêve, puis il installa des chaises dans la chambre du vieil homme, mit la sienne sur les trois planches. Mais il devenait pâle car il entendait comme une trotteuse d’horloge. Il en déduisit que c’était le cœur du vieillard qui battait encore et crut que les forces de l’ordre entendaient aussi le cœur du vieillard. Alors il avoua l’avoir tué et indiqua qu’il était sous le plancher.

Nous pouvons donc en déduire que l’homme qui avait tué le vieillard était atteint de  folie.

Nazirat, 4B

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 22:54

J’observe :

Franck Pavloff a écrit Matin brun. Je ne connais pas d’autres œuvres de cet auteur. Il a été écrit en 1998. La France a gagné sa première coupe du monde face au Brésil cette année-là. Cette nouvelle a été écrite en français. C’est une nouvelle.

Je lis/j’écoute :

En lisant, j’ai vu l’appartement de Charlie et la ville où se passe l’histoire mais l’histoire ne me rappelle rien à part que j’ai un chat noir. En lisant, je ne pense à aucun autre livre, film, tableau ou morceau de musique.

Je retiens la phrase : « Tu comprends, je pouvais pas le faire passer pour un brun ».

 Je comprends :

Le narrateur et Charlie discutent ensemble de la nouvelle loi anti chats/chiens bruns. Ils sont obligés de tuer leurs animaux de compagnie non bruns et d’en racheter d’autres bruns mais pour finir  cela reste un délit d’avoir eu auparavant un animal non brun, Charlie a donc été arrêté, le narrateur va l’être.

L’histoire se passe en France. Il y a peu d’actions, c’est donc une explication.

L'État Brun, organisation politique imaginaire, interdit la possession de chiens ou de chats non bruns, officiellement pour des raisons scientifiques. Les personnages principaux de la nouvelle, ne se sentant pas concernés, trouvent des raisons d'approuver cette loi. Cependant, un nouveau décret impose l'arrestation de tous ceux qui auraient eu un animal non brun dans le passé, ainsi que leur famille et leurs amis.

 Je réagis :

J’ai bien aimé cette nouvelle. J’ai bien compris cette histoire mais même si c’est fictif, je trouve ça complètement stupide de faire passer une loi anti chats ou chiens non bruns. e texte est destiné à tous les lecteurs . Il veut nous dire que parfois certaines lois sont stupides. L’auteur décrit la loi. Ses intentions ne sont pas faciles à percevoir mais on ne peut pas  vraiment hésiter sur le sens du texte.

Alexis, 4B

J'observe

Franck Pavloff, un écrivain et poète français, a écrit en 1998, cette nouvelle, Matin brun.

Je lis / j'écoute

Je pense à des images de maisons, à des chiens et des chats mais aussi j'arrive à faire vivre la conversation entre les deux personnages dans ma tête en imaginant les voix des personnages. Je pense aussi au racisme contre les chats et les chiens qui sont d'une autre couleur que les chats et chiens bruns. Je repense aussi à des films que j'ai vus, La Rafle et La Vie est Belle, deux films fondés sur la 2ème guerre mondiale, le racisme contre les juifs et Hitler. Je me souviens du film La Rafle avec la police qui le matin très tôt était venue chercher tous les juifs pour les emmener au Vel d'Hiv. Le mot que je retiens est le mot "BRUN".

Je comprends

Les personnages principaux sont Charlie et le narrateur.

L'action se passe dans une ville, on peut sous-entendre que c'est pendant une guerre.

Le texte parle d'un nouvel État qui progresse, l'État brun, qui interdit la possession d'animaux d'une autre couleur que le brun. Le narrateur et son ami Charlie, se plient à la règle mais de nouvelles lois s'instaurent.

Je réagis

J'éprouve de la tristesse face à la décision de faire piquer leurs animaux ou de les empoissonner à l'arsenic.

J'ai compris le sens du texte. Ce texte fait ressortir des faits humains qu'ils soient bons ou non.

Je ne suis pas d'accord avec les miliciens et leurs nouvelles lois, mais je suis d'accord avec le narrateur sur le fait qu'ils n'auraient pas dû se plier à cette loi.

J'interprète

L'auteur a écrit ce texte comme une colère contre des évolutions politiques.

Au début quand on commence à lire la nouvelle, ce n'est pas facile de comprendre le sens du texte. Mais au fur et à mesure de la lecture, on commence à comprendre l'intention de l'auteur : nous parler du racisme. On ne peut pas hésiter sur le sens de ce texte car la différence entre la couleur des animaux est claire.

Émie  4e B

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 19:26

Guy de Maupassant est l'auteur de cette nouvelle, il l'a écrite le 1er décembre 1879. Cette époque n'est pas particulière, il a aussi écrit «Aux champs»

Les personnages principaux sont Simon et Philippe Remy. Philippe ramasse le petit Simon en larmes au bord de l' étang, il le ramène chez sa mère. Cela se passe chez Simon .

Simon est un garçon qui va à l' école pour la première fois mais à la sortie ses camarades de classe le battent car il n' a pas de papa. Il va alors à la rivière pour se noyer. Heureusement Philippe Remy le forgeron le ramène chez sa mère. Ensuite Simon demande à  Philippe de devenir son père et celui-ci accepte puis demande la mère du petit garçon en mariage. Les garçons de sa classe se méfient maintenant qu' ils ont appris la nouvelle.

J' ai de la pitié pour le garçon qui est harcelé. J’ai compris ce texte et l’histoire me révolte. De la même manière, lorsque l' on perd un proche, on a plutôt besoin de quelqu'un qui nous aide à surmonter la douleur.

Ce texte est destiné aux collégiens et à tous les lecteurs, il veut nous dire d'arrêter le harcèlement contre ceux qui n'ont pas de père, l'auteur nous émeut en nous touchant et nous affecte. Ses intentions sont faciles à percevoir car il insiste à plusieurs reprises : « démentir cette chose affreuse qu' il n' avait pas de papa.»

Edern, 4B

J’observe :

C’est Guy de Maupassant l’auteur de ce texte. Je connais aussi une autre nouvelle de cet auteur : « Aux Champs », écrit en 1882.

Cette nouvelle a été écrite en 1879. Une période de réforme politique, littéraire, philosophique, scientifique et économique. C’est aussi l’année de mort de Napoléon Bonaparte. Ce texte a bien été écrit en français à l’origine. Ce texte est une nouvelle.

 Je lis/j’écoute :

Je pense à un petit garçon qui court dans les champs en été. Je ne pense pas à des souvenirs, à des expériences personnelles. Je ne pense pas à des livres, des tableaux, des photos, de la musique  ... Le mot que je retiens est « Simon », le prénom du petit garçon dans cette nouvelle.

Je comprends :

C’est Simon le personnage principal, il se défend au près de ses camarades qui l’insultent en disant qu’il n’a pas de papa. Lui veut se noyer car ils se moquent de lui. Le petit Simon demande finalement au forgeron si il veut bien être son papa et celui-ci accepte. Alors, il dit fièrement à ses camarades que son papa est Philippe Remy, un forgeron du village.

L’action se passe surtout à l’école, à la rentrée.

Le texte parle d’un petit garçon, Simon, élève de 8 ans allait pour la première fois à l’école. Ses camarades étaient méchants avec lui car il n’avait pas de papa. Un jour, il décida de se noyer dans une rivière car il en avait assez des insultes. Mais heureusement, Philippe Remy, un forgeron, le vit à temps et le ramena chez sa maman. Ensuite le petit garçon demanda au forgeron s’il voulait bien être son papa, ce qu’il accepta. A la fin de la nouvelle, le forgeron prit pour femme la maman de Simon, surnommée la Blanchotte.

Je réagis :

J’ai bien aimé cette nouvelle, je l’ai trouvée intéressante. Je l’ai comprise facilement. Je suis d’accord avec l’auteur qui dénonce ceux qui maltraitent Simon.

J’interprète :

Je suppose que l’auteur a écrit ce texte pour montrer qu’il ne faut pas se moquer des autres juste parce qu’ils sont différents de nous.Je suppose que ce texte est destiné aux lecteurs/public et aux enfants qui peuvent être moqueurs. Dans cette nouvelle, l’auteur sensibilise le lecteur. Ses intentions sont faciles à percevoir. Nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte de cette nouvelle.

Juliette, 4B

J’observe :

 Guy de Maupassant a écrit  « Le papa de Simon ». Il a aussi écrit «  Aux champs ». Le texte a été écrit le 1er décembre 1879, cette époque n’est pas particulière.  Ce texte est écrit en français, c’est une nouvelle.

Je lis / J’écoute :

Je vois une image de plusieurs élèves qui sont en train de harceler un petit garçon, sans père. Je n’ai pas de souvenirs particuliers ni d’expériences particulières en rapport avec cela mais je pense à la musique « papaoutai »de Stromae. Les mots que je retiens sont « pas de papa ».

Je comprends :

 Les personnages principaux sont Simon et  Philippe Remy le forgeron. Philippe récupère au bord de l’étang, Simon en pleurs. Il  le ramène à sa mère. Philippe devient alors le père de Simon. Cela se passe chez Simon, à la fin de l’histoire.

Résumé :

Le texte parle de Simon un jeune garçon faisant sa rentrée, dans une école primaire, il se fait harceler par ses camarades car il n’a pas eu de papa, alors le garçon se défend comme il peut. Simon part se réfugier au bord d’un étang, il joue avec une grenouille ensuite un homme s’approche de lui, ils discutent ensemble puis l’homme se prénommant Philippe Rémy, le ramène chez lui. Alors Simon demande à Philippe de devenir son papa. Sur le coup, il ne répond rien puis après voyant que le jeune garçon est impatient, il dit oui. Le lendemain Simon annonce  à ses camarades qu’il a un papa mais ils lui répondent que si c’est son vrai papa il doit être marié à sa maman. Alors Simon va voir Philippe pour lui demander. Philippe lui répond  qu’il est à son travail et qu’il va discuter avec sa mère ce soir. Le soir même, Philippe et Blanchotte, la mère de Simon, discutent  puis s’embrassent. Philippe lui demande de devenir sa femme. Il dit à Simon qu’il le protégera de tous harcèlements. Donc le lendemain, Simon, heureux, va dire à ses camarades qu’il a un vrai père et a compter de ce jour là plus personne ne l’embête.

Je réagis :

J’éprouve des émotions de tristesse face à ce texte. J’ai compris le texte et je ne suis pas d’accord avec le harcèlement.

J’interprète :

Ce texte est destiné aux collégiens, l’auteur veut nous dire d’arrêter le harcèlement au collège. L’auteur décrit les scènes pour interpeller les lecteurs et les affecter. Ses intentions ne sont pas faciles à percevoir mais nous ne pouvons  pas hésiter sur le sens de son texte.

Camille, 4B

« Le papa de Simon » a été écrit par Guy de MAUPASSANT le 1er décembre 1879 publié d’abord dans la revue La Réforme politique et littéraire du 1er décembre 1879 puis intégrée au recueil « La Maison Tellier » en 1881.

J’ai étudié la biographie de Guy de MAUPASSANT :

Il est né le 5 août 1850 près de Dieppe et meurt en le 6 juillet 1893.

Maupassant, écrivain naturaliste de référence, vécut son enfance en Normandie, seul avec son frère, sa mère et Gustave Flaubert, ami d'enfance de cette dernière. En effet, suite à de violentes disputes entre ses parents, le père quitta à jamais la maison. Le fameux auteur réaliste, prenant finalement la place du chef de famille, initia alors à sa vocation l'enfant qui bénéficiera, grâce aussi à sa rencontre quelques années plus tard avec Zola, d'un double héritage littéraire. Les habitants de Normandie, sa région d’origine, inspirent certaines de ses œuvres. Soutenu et conseillé par Flaubert, dont il est le disciple, Maupassant rencontre les principaux écrivains du XIXe siècle, dont Émile Zola. Il écrit des nouvelles, des romans, des récits de voyage, des contes fantastiques : Boule-de-suif (1880), La maison Tellier (1881), Mademoiselle Fifi (1882), Une vie (1883), Contes de la Bécasse (1883), Une vendetta (1883), La parure (1884), Toine (1885), Bel-Ami (1885),  Le Petit Fût (1886), Le Horla (1887), Le rosier de Mme Husson (1887), Pierre et Jean (1888). Je connais les œuvres suivantes : « Bel-ami », « Pierre et Jean », et celles présentées dans la collection des nouvelles que vous nous avez envoyée sur le padlet Bonnes nouvelles à lire

Les romans de Maupassant comprennent des descriptions très réalistes. Ses livres sont souvent pessimistes. Il meurt à un peu moins de 43 ans des suites d'une syphilis.

Le genre littéraire du Papa de Simon est la nouvelle réaliste. C’est un récit court et vivant qui a été écrit en français.

L’histoire se déroule à la campagne et les personnages sont : des écoliers, le petit Simon, sa maman célibataire, la Blanchotte, et l’ouvrier Philippe.

Un jour, les enfants de l’école s’en prennent au petit Simon parce qu’il n’a pas de père. Leur comportement n’est que le reflet de ce que pensent leurs mères : la Blanchotte s’est livrée à un homme sans être mariée, et c’est honteux. Cette situation rend Simon très triste. Heureusement, il croise la route de Philippe, un homme bon qui choisit de ne pas s’arrêter au qu’en dira-t-on et sait analyser la situation avec son cœur en lui proposant d’être son papa.

La phrase du texte qui m’a le plus marqué est :

« - Vous savez... Simon... eh bien, il n'a pas de papa. »

Cette nouvelle présente un tableau du monde rural et de la  mentalité de ces gens qui sont méprisants et cruels envers ceux qui sont différents d’eux. Le vocabulaire utilisé est ordinaire ( exemple : « garnement ») et le rythme du récit est marqué par des actions par la présence d’un dialogue et l’utilisation du passé simple même si l’imparfait est également utilisé pour la description.

Les intentions de l’auteur sont faciles à percevoir.

Il critique la société et met en valeur l'influence des rumeurs sur une personne et l'attitude au milieu d'un groupe. Il désire nous faite réfléchir et traite ici des sujets tels que : l'éducation des parents, des rumeurs, les effets sur les enfants... Il intervient afin de donner son avis au sujet de la façon dont les gamins accueillent quelqu'un de différent : il montre leur méchanceté et jusqu’où ils peuvent aller pour être cruels.

Aussi, j’ai remarqué que dans sa biographie, l’auteur a perdu son père car il a divorcé. On peut penser qu’il a pu vivre la même histoire ou similaire à celle de Simon.

Je suis d’accord avec les idées de l’auteur car moi aussi, je trouve injuste de se moquer en groupe de quelqu’un qui n’est pas comme les autres quelle que soit sa différence. On ne méprise pas un enfant parce qu’il n’a pas de père.

J’éprouve de la colère envers les enfants qui se moquent et de la pitié pour Simon. Je serais prêt à l’accueillir dans mon groupe à l’école.

Aurélien, 4D

J’observe:

Guy DE MAUPASSANT est l’auteur de la nouvelle « le papa de Simon ». Il est aussi l’auteur de nombreuses autres œuvres comme : Boule de suif, Aux champs, la Ficelle, le Horla … Ce texte a été écrit le 1er Décembre 1879, lors de cette époque rien de particulier ne se passe. À l’origine cette nouvelle a été écrite en Français.

Je lis / J’écoute:

Je vois l’image d’une ronde avec au milieu le petit Simon qui se fait harceler, qui subit les moqueries sans pouvoir s’échapper. Je n’ai jamais vécu de moments pareil dans ma vie. Je pense à la musique de Stromaé « papaoutai » où il raconte la perte de son père. Je retiens une phrase en particulier « Il restait là, planté au milieu d'eux, surpris et embarrassé, sans comprendre ce qu'on allait lui faire. »

Je comprends:

Les personnages principaux sont Simon et Philippe Remy le forgeron du village. Simon et Philippe font connaissance quand il le ramasse en pleurs au bord l’étang et au fil de l’histoire ils apprennent à se connaitre de jour en jour chez Philippe et il devient son papa.

Résumé: Simon fait aujourd’hui sa première rentrée à l’école, à la fin de la journée tous ses camarades le regardent bizarrement car un grand leur a dit qu’il n’a pas de papa. Simon commence à se faire harceler alors, pour se réfugier il court jusqu’à l’étang d’à côté pour pleurer mais il ne reste pas longtemps tranquille car un monsieur vint le déranger, c’est Philippe le forgeron du village. Il lui demande pourquoi il pleut comme ça, Simon lui explique. Ensuite, ils se revoient tous les jours. Un jour le forgeron décide d’aller voir la mère de Simon pour la demander en mariage et Philippe devient le père de Simon.

Je réagis:

Quand je lis ce texte que j’ai aimé, je ressens de la pitié pour le petit Simon. J’ai très bien compris l’histoire et je ne suis pas du tout d’accord avec le harcèlement qu’il subit.

J’interprète:

Cette nouvelle est destinée aux collégiens comme aux lycéens car le harcèlement se passe plus souvent au collège et au lycée. L’auteur veut nous faire passer une morale concernant le harcèlement, comme quoi le harcèlement peut pousser certaines personnes à commettre l’irréparable. Ses intentions ne sont pas très faciles à percevoir mais on comprend très bien le texte.

Mahilde, 4B

J’observe

La nouvelle a été écrite par Guy de Maupassant. Je connais une autre œuvre de l’auteur qui est « Aux Champs ». La nouvelle à été écrite le 1er décembre 1879. Cette époque n’a pas été particulièrement importante. Ce texte a été écrit en français à l’origine. Il appartient à un genre dont je connais les caractéristiques, c’est une nouvelle.


Je lis/j’écoute

Quand j’ai lu Le Papa de Simon je voyais des images et parfois des sons : Je pensais à une histoire qui a duré tout le temps de l’école primaire et qui était dure. Je pensais aussi à des films d’actions. La phrase que je retiens est -"Vous voyez bien qu'il n'a pas de papa."

Je comprends

Les personnages principaux sont Simon, il fait son premier pas à l’école. Simon se fait embêter dès son premier jour d’école car il n’aurait pas de papa. Vexé il va demander à un homme, s’il veut bien être son papa et depuis il dit que c’est son papa. Blanchotte, la mère de Simon, on ne sait pourquoi, n’est pas aimée des autres femmes.
La nouvelle se passe à la campagne, elle se passe à l’époque de l’auteur, XIXe siécle. L’action commence dès la 2eme phrase.
Simon est un petit garçon qui vit seul avec sa mère (La Blanchotte), il n'a pas de père . Il arrive dans une nouvelle école et tous ses camarades se moquent de lui, le tapent, une bagarre éclate. Simon, va pleurer au bord de la rivière avec l'intention de se noyer . Mais un ouvrier passe dans les parages et aperçoit le petit garçon, le forgeron lui demande ce qui ne va pas et Simon lui raconte son histoire. Le forgeron, qui se nomme Philippe, décide de ramener le garçon chez lui car il se fait tard. Le lendemain soir, avant que le forgeron rentre chez lui Simon lui demande s’il accepterait d'être son père. Philippe, sans vraiment prendre la proposition de Simon au sérieux, accepte et lui dit de dire à tous ses camarades qu'il a un père et qu'il s'appelle Philippe. Le lendemain Simon arrive fier à l'école en disant à tout le monde qu'il a un père et que c’est Philippe Remi, le forgeron.


Je réagis

Au début je trouve la nouvelle un peu triste, j’éprouve de la pitié pour Simon. Mais après, Simon  partage sa joie.
J’ai très bien compris la nouvelle. Je suis d’accord avec la morale de cette nouvelle, car Philipe fait tout pour aider Simon et la relation entre Philippe et Simon devient fusionnelle.


J’interprète

Ce texte est destiné à tout le monde. Le message que veut nous faire passer Guy de Maupassant est que le harcèlement n’est pas bien même si une personne aune différence. Guy de Maupassant dans sa nouvelle m’a émue.

Lilou, 4B

1- J'observe

 C'est Guy de Maupassant qui a écrit ce texte. Il a été écrit le 1er décembre 1879. Ce texte est français. Il appartient au genre de la nouvelle.

2- Je lis/ j'écoute

Je pense à des images, à des sons.

3- Je comprends

Les personnages principaux sont le forgeron, la Blanchotte et Simon. L'action se passe à l'ecole et aussi chez Simon. Elle se passe la semaine.

Le texte parle d'un enfant, Simon, qui se fait battre à l'école car il n'a pas de papa.

4- Je réagis

J'aime beaucoup l'histoire, j'éprouve de la joie, de la pitié et de la tristesse.

5- J'interprète

Ce texte est destiné à tous les lecteurs et particulièrement aux papas. Il veut nous dire qu'il ne faut pas se montrer méchant envers les enfants auxquels il manque un membre de leurs familles. L'auteur émeut et nous fait éprouver de la tristesse.

Océane, 4D

 

 

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 18:23

La nouvelle que j'ai écoutée a été écrite par Guy De Maupassant. Ce texte, d'origine française est intitulée « Boitelle » . Une phrase me parait intéressante : « Si je suis ordureux , c'est que mes parents m'ont opposé dans mes goûts, sans ça je serai devenu un ouvrier comme les autres. » Antoine, le père Boitelle est devenu ordureux car ses parents ne l'ont pas laissé faire  ses propres choix dans sa jeunesse. aujourd'hui il tient donc à laisser à ses enfants la liberté de leurs choix.

L' action se passe sur le quai du Havre, quand Antoine était soldat lorsque qu'il rencontra une jeune négresse. Au fil des semaines, ils firent connaissance puis tombèrent amoureux . Il voulut l'épouser mais il tenait à avoir l'accord de ses parents. Après les explications d'Antoine, ils acceptèrent de la rencontrer. Ils lui trouvèrent beaucoup de qualités mais, malgré l'insistance d' Antoine, refusèrent le mariage à cause de sa couleur. Après cela, Antoine n'a plus eu le cœur à rien et plus aucun métier ne l'intéressait. Il est ainsi devenu ordureux.

Aujourd'hui, il est marié et il a 14 enfants. Il n'aime pas son métier mais il le fait pour les nourrir. Il dit que sa femme l'a rendu heureux mais ce n'est pas pareil qu'avec sa négresse, il dit qu'il se sentait transporté par son regard.

En lisant ce texte, je ressens de la colère envers les parents d'Antoine car pour moi, la couleur n'est pas  le plus important dans la vie, c'est la personnalité qui compte. Je ressens qu'Antoine a beaucoup d'amour pour sa négresse et je suis triste pour lui car sa vie aurait été différente s’ il s'était marié avec elle.

En nous racontant l'histoire d'Antoine, l'auteur nous montre que  la différence n'empêche pas d'aimer et surtout que ce ne se sont pas les autres qui doivent décider à notre place. Ce texte est dédiée à Robert Pachon. 

Marie, 4D

« Boitelle » est une nouvelle écrite par Guy de Maupassant, ce dernier a écrit plusieurs nouvelles comme «  Aux champs » , « Coco » , « Le papa de Simon », « La rempailleuse »... Boitelle a été écrite le 22 janvier 1889 en langue Française d'origine.
Cette lecture m’a fait penser à des images de couleurs de peaux, j'ai imaginé cette histoire dans ma tête ,avec les images et les sons. Elle me rappelle une histoire vraie où un homme était amoureux d'une femme de couleur beaucoup plus jeune que lui . Elle me fait aussi penser à la musique de Pascal Obispo qui chante :"ROSA PACK"
Dans « Boitelle », le personnage principal s'appelle" Antoine Boitelle " c'est un homme grincheux qui raconte pourquoi il est  devenu ainsi .
En effet, c'est l'histoire d'un homme Antoine Boitelle qui est un homme à tout faire spécialiste des activités malpropres dans son village. Il est marié et a quatorze enfants. Il est toujours de mauvaise humeur et quand on lui demande pourquoi il est devenu comme ça, il dit que ses parents lui ont enlevé le goût de tout.
Il raconte sa jeunesse quand il était soldat au Havre, il était passionné par les oiseaux qui étaient en cages sur le port du Havre car ils revenaient des pays chaud (perroquets aras...)
Un jour qu'il regardait les oiseaux, il avait vu une négresse et était tombé amoureux. Il l'avait  présentée deux mois plus tard à ses parents car il voulait se marier mais avec l'accord de sa famille à lui car elle ,elle était sans parents. Les vieux avaient refusé le mariage car ils trouvaient la femme trop noire même si elle travaillait bien en cuisine avec la maman d'Antoine.
La négresse n’étant pas acceptée par la famille d'Antoine, ils avaient pleuré  tous les deux en sachant qu'ils ne pourraient jamais se marier et donc Antoine  avait ramené la femme au train ,et l’avait quittée pour toujours…

Je trouve au début l'histoire d'Antoine triste car il travaille très dur pour nourrir ses quatorze enfants et quand il raconte son histoire d'amour, cela me semble presque impossible. Mais il est émouvant et montre de la joie quand il parle de sa passion des oiseaux et de sa « négresse ».
J’ai très bien compris la nouvelle et je suis d’accord avec le narrateur : Antoine serait heureux s'il avait épousé la « négresse » même si il aime la mère de ses quatorze enfants mais c'est pas le même amour.

Ce texte est destiné à tout le monde. Le message que veut nous faire passer Guy de Maupassant est que la couleur de peau ne doit pas faire la différence . L'histoire m'a ému et touché.

Édouard, 4B

Présentation de la nouvelle:

Titre:: Boitelle.

 Auteur: Guy de Maupassant.

 Personnages: Antoine Boitelle.

                      La négresse (on ne sait pas son nom ).

                      Le père et  la mère Boitelle.

L’histoire:

 Cette nouvelle se passe au Havre, puis dans la campagne à Tourteville, au 19ème siècle.

Antoine raconte une histoire de jeunesse.

Quand il était soldat au Havre, il fit la rencontre d'une jeune femme à la peau noire.

Amoureux d'elle, il décida de la présenter à ses parents.

Mais à cette époque, la couleur de peau posait un problème.

Même si ses parents n’étaient pas contre, à cause de la pression des habitants, il renonça à l'épouser.

Mon avis:

Je pense que cette histoire est triste car elle parle d'un amour impossible. Au 19ème siècle, les gens ne voyaient pas d'un bon œil les personnes de couleur, ils pensaient que les blancs ne devaient pas se marier avec les noirs car ils croyaient qu'ils portaient malheur.

J'espère que ce genre d’histoire ne pourrait pas arriver de nos jours.

Ewen, 4D

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 17:34

L’auteur de ce texte écrit en 1844 est Charles Nodier.

Le texte a été écrit en français. Quand je le lis, je pense à des images, à des sons.

Les personnages principaux sont Brisquet, Brisquette, Biscotin, Biscotine et aussi la chienne Bichonne. Les deux enfants ont presque été mangés par un loup.

L’action se passe "au devers de la butte" "au bord d’un étang".

J’ai bien aimé ce texte car j’ai tout de suite compris l’histoire.

Noa, 4D 

 

Charles Nodier a écrit l' Histoire du Chien de Brisquet , je ne connaissais pas cette nouvelle. Celle - ci a été écrite en 1868, elle a été écrite en Français .
Quand je lis cette nouvelle elle me fait penser à des vidéos que j'ai vues sur internet par rapport à ce sujet . Les personnages principaux sont Brisquet , Brisquette, Biscotin , Biscotine et Bichonne .
Bichonne va se sacrifier pour sauver les enfants de Brisquet et Brisquette , ses maîtres.

Brisquet part travailler mais avant de partir il dit à sa femme qu'il faut qu’elle surveille les enfants et la chienne et qu’elle fasse attention à ne pas qu'ils sortent car les loups rôdent dans la forêt. La nuit tombée, Brisquet n'est toujours pas rentré chez lui , Brisquette commencer à s'inquiéter, elle envoye ses enfants le chercher . Mais voilà que les enfants partis, Brisquet revient . Il s’étonne de ne pas voir ses enfants alors il demande à Brisquette de lui raconter ce qui s'est passé ce qu'elle fait bien sûr. À peine a-t-elle le temps de finir de raconter ce qu'il s'est passé, Brisquet part à la recherche de ses enfants. Bichonne était déjà partie depuis longtemps . Et là, quelle angoisse ! après quelques minutes de recherches, Brisquet trouve ses enfants et Bichonne entourés de loups, un loup s'élance sur les enfants mais d'un coup Bichonne intervient ...
J'adore cette nouvelle même si je trouve quelle est quand même triste mais moi personnellement, l'attitude du Chien m'émerveille ! L'auteur a écrit cette nouvelle pour tous lecteurs. On peut vite comprendre le message que Charles Nodier veut faire passer.

Élise, 4B

J'observe :

Ce texte à été écrit par Charles Nodier . Je ne connais pas d'autre œuvre de cet auteur. Il a été écrit en 1868, en Français. Ce texte appartient à un genre donc je reconnais les caractéristiques : la nouvelle.

Je lis / J'écoute :

En lisant, je pense à des images à des sons : un grand puits , des enfants , un chien . Aucun souvenir , aucune expérience personnelle, aucun livre, aucun tableau, aucune photo, aucune musique ne me vient à l’esprit en lisant cette nouvelle. Du texte, je retiens cette phrase : « Vous vous souvenez du temps où il vint tant de loups dans la forêt de Lions. »

Je comprends :

Les personnages principaux sont Brisquet ( le bonhomme , le bûcheron ), Brisquette sa femme, leurs deux enfants et leur chien.

 

Brisquet n'arrive pas à l'heure et sa famille pense qu'il a été mangé par les loups . Mais en fait, il a pris un nouveau chemin pour changer de celui de d'habitude . Ses enfants partent à sa recherche et sa chienne aussi mais tout d'un coup Brisquet trouve ses enfants à deux doigts de se faire manger.La chienne, Bichonne, se met à travers mais trop tard pour elle .

C'est une donc une nouvelle à chute.

Je réagis

J'ai compris l’histoire , je suis d'accord avec le narrateur. J'aime cette histoire de cette famille .

 

J'interprète

Ce texte est destiné à tous les lecteurs . Cette histoire suscite de l'émotion par rapport au chien. Les intentions de l’auteur sont faciles à percevoir. On ne peut pas hésiter sur le sens de l'histoire .

Alizée, 4B

J’OBSERVE

C’est Charles Nodier qui a écrit cette nouvelle. Je ne connais pas d’autres œuvres de cet auteur. Cette nouvelle a été écrite en 1868, en français dès l’origine. Ce texte appartient à un genre dont je reconnais les caractéristiques. C’est une nouvelle.

JE COMPRENDS

Les personnages principaux sont Brisquet, Brisquette, Biscotin,Biscotine et Bichonne. Brisquet part à sa besogne pendant que sa famille reste chez elle.

Biscotin et Biscotine sont partis chercher leur père mais se font attaquer par un loup, il ne leur arrive rien mais Bichonne qui est partie les retrouver se fait tuer par le loup.

L’action se passe dans la forêt de Lions vers le hameau de la Goupillère tout près d’un grand puits-fontaine qui appartient à la chapelle Saint-Mathurin. La plus grande partie de l’histoire se passe le soir.

Je peux la résumer en quelques phrases. C’est l’histoire de Brisquet, Brisquette, leurs enfants Biscotin et Biscotine et de leur chienne Bichonne.Avant de partir à sa besogne Brisquet répète à sa femme de ne pas laisser sortir leurs enfant et leur chienne à cause des loups qui rôdent dehors .Mais un jour, ne voyant pas revenir son mari elle demande à ses enfants de partir chercher leur père. Mais Brisquet était revenu chez lui par une autre route. Quand sa femme lui apprend qu’elle a envoyé ses enfants à sa recherche, il court immédiatement les chercher. Quand il arrive un loup est prêt à attaquer les enfants mais Bichonne qui s’était échappée s’interpose et les sauve. Malheureusement la chienne se fait tuer.

JE REAGIS

J’éprouve des émotions en lisant cette histoire. J’ai aimé ce texte même s’il exprime de la tristesse. J’ai compris le texte sans mal.

J’INTERPRETE

L’auteur a écrit ce texte pour faire passer un message. Il est destiné aux lecteurs.

Il veut nous dire que la seule fois où la chienne sort de chez elle, elle se fait tuer par un loup, sa mort est tragique. L’auteur émeut par la mort de la chienne. Le texte est facile à comprendre, on ne peut pas hésiter sur le sens du texte car cette nouvelle est claire et réaliste.

Janelle 4B

J’observe

C’est Charles Nodier qui a écrit en 1868 Histoire du chien de Brisquet Je ne connais aucune autre œuvre de cet auteur. Cette année-là la France décide de signer un traité d’amitié avec Madagascar. Ce texte est écrit en français dès  l’origine, c’est une nouvelle.

Je lis/j’écoute

Je pense au bruit des aboiements du chien et aux cris des personnes.  Je ne pense pas à des souvenirs ou à des expériences personnelles mais je me souviens de la photo que j’avais prise d’un lac. Je retiens cette phrase : « Mais il était trop tard pour la Bichonne. Elle ne vivait déjà plus. »

Je comprends

 Les personnages principaux sont Brisquet et Bichonne.

Il sont dans la forêt. Briquet dit au début de la nouvelle : «  — Femme, je vous prie de ne laisser courir ni Biscotin ni Biscotine, tant que M. le grand-louvetier ne sera pas venu. Il y aurait du danger pour eux. Il ont assez de quoi marcher entre la butte et l’étang, depuis que j’ai planté des piquets le long de l’étang pour les préserver de l’accident. Je vous prie aussi, Brisquette, de ne pas laisser sortir la Bichonne, qui ne demande qu’à trotter. » 

À la fin de l’histoire, le chien meurt et Briquet sauve ses enfants.

 L’action se passe dans une forêt au 19eme siècle.

Le texte parle d’une famille de deux enfants avec une chienne. Dans la foret qui se trouve pas loin de chez eux se trouvent des loups. Tous les jours les pères de famille partent dans la forêt ; un soir Brisquet rentre plus tard que d’habitude, la mère dit aux enfants d’aller chercher leur père, le père rentre peu de temps après par un autre chemin. Les enfants étaient donc toujours dans la forêt, le père part donc à la recherche des enfants avec la chienne qui est arrivée là-bas avant lui pour défendre les enfants. L’animal saute sur le loup et meurt.

 

Je réagis

J’éprouve des émotions en lisant cette histoire, de la tristesse et de la peur. Je n’aime pas  cela. J’ai bien compris l’histoire et la mort du chien me choque.

J’interprète

       Ce texte est destiné à tous les lecteurs. Il veut nous dire que certains animaux sont plus forts que d’autre. Pour cela, il émeut, décrit et argumente. Ses intentions sont facile à percevoir et on ne peut pas hésiter sur le sens de son texte.

Alicia, 4B

J'observe :

Ce texte a été écrit par Charles Nodier, je ne connais pas d'autres œuvres de cet auteur. Il a été écrit en 1868, je ne pense pas que ce soit une date importante. Ce texte est écrit, à l'origine, en français car Charles Nodier qui est français. C’est une nouvelle.

Je lis/ j'écoute :

 Je pense à des images avec le chien, le loup, les personnes, l'étang. Je pense au son d'aboiement de chien. Ça ne me fait pas penser à des souvenirs, ni à des livres,... Je retiens les noms des personnages pour ne pas me perdre.

Je comprends :

Le texte parle d'un chien qui a risqué sa vie face à un loup pour sauver les enfants qui étaient partis à la recherche de leur père. L'action se déroule un soir dans la forêt de Lions, vers le hameau de la Goupillère.

Les personnages principaux sont Brisquet, le père, Brisquette, la mère, Biscotin, le fils, Biscotine, la fille et Bichonne, la chienne. Le père est un bûcheron, il dit à sa femme de ne pas laisser les enfants et la chienne sortir, mais un soir, la mère les laisse sortir pour aller voir où est leur père. Les enfants croisent un loup qui tue la chienne puis le père tue le loup avec sa hache.

Je réagis :

J'aime bien cette histoire mais je suis triste que la chienne soit morte car j'aime bien les chiens.

J’interprète :

Ce texte est sans doute destiné aux personnes laissant sortir leurs enfants le soir et aux personnes braves qui s'interposent pour sauver des vies comme le chien.

Il veut nous dire qu'il y a des dangers dehors, qu'il ne faut pas laisser les enfants seuls dehors le soir et il veut aussi nous dire que des personnes sont braves comme le chien et que c'est bien. Pour cela, l'auteur décrit l'action précisément alors cela nous émeut encore plus. Je pense que ses intentions sont assez faciles à percevoir et je ne crois pas qu'on puisse hésiter sur le sens du texte, moi je n'ai pas hésité.

Romane, 4D

L’auteur de cette nouvelle est Charles Nodier. Cette nouvelle a été écrite en 1844.

Dans cette nouvelle les personnages principaux sont Brisquet, Brisquette, les enfants et Bichonne. L’action se déroule dans une forêt en hiver.

La nouvelle raconte l’histoire d’un homme, Brisquet qui a deux enfants, une fille et un garçon, Brisquet possède aussi une chienne, mais aucun n’a le droit de se rendre dans la forêt.

Un jour, Brisquet part dans la forêt mais revient plus tard qu’habituellement.

Sa femme dit à ses enfants de partir le retrouver et la chienne suit les enfants. En allant retrouver Brisquet les enfants sont agressés par un loup et la chienne se jette au cou de celui-ci. Brisquet arrive à son secours mais il est déjà trop tard, sa chienne est déjà morte.

Cette nouvelle m’a fait éprouver de la tristesse.

L’auteur a écrit cette nouvelle pour nous dire que rien n’est plus fort que l’amitié entre humain et l’animal.

Alban, 4B

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 21:30

J’observe :

Le texte a été écrit par Guy de Maupassant. Je connais deux autres œuvres de cet auteur  « Aux Champs » et « Coco ». Il a été écrit en 1883. Ce texte est écrit en français à l’origine. Il appartient à un recueil de nouvelles, Miss Harriet.

Je lis / J’écoute :

Je pense au marché, à la ficelle, au portefeuille, aux personnages. J’ais choisi cet extrait : « Maître Hauchecorne, de Bréauté, venait d’arriver à Goderville, et il se dirigeait vers la place, quand il aperçut par terre un petit bout de ficelle. »

Je comprends :

Les personnages principaux sont : maître Hauchecorne qui est un paysan, maître Malandain qui est bourrelier, le maire, maître fortuné Houlbrèque, Marius qui est un valet de ferme ainsi que maître Breton qui est un cultivateur. Maître Haucheorne va être accusé du vol du portefeuille de maître fortuné Houlbrèque par Maître Malandain.

Résumé :

Maître Hauchecorne, un paysan, se rendait au marché de Goderville. En chemin il trouva un bout de ficelle et le ramassa. Dans un moment de la journée, on annonça que maître Fortuné Houlbrèque avait perdu son portefeuille et que celui qui le retrouverait était prié de le ramener à la mairie. Maître Malandain se rendit à la mairie et dénonça maître Hauchecorne. Celui-ci accusé de ce vol se défendait en disant qu’il n’avait pas ramassé le portefeuille mais de la ficelle. Le problème c’est que le maire ne le croyait pas. Un jour maître Breton ramena le portefeuille et dit que c’était Marius Paumelle qui l’avait trouvé. La nouvelle se répandit et tout le monde disait que maître Hauchecorne avait demandé à maître Breton de le ramener et de dire que c’était Marius qui l’avait trouvé. Maître Hauchecorne était déçu de cette réaction. Il racontait son histoire à tout le monde, sauf que personne ne le croyait. Il en n’avait assez. Mais début Janvier il mourut dans le d élire de l’agonie et en répétant cette phrase : « Une ‘tite ficelle… une ‘tite ficelle… t’nez, la voilà, m’sieur le maire »

Je régis :

J’ai bien aimé quoique ce fût un peu triste. J’ai compris l’histoire à part quelques mots difficiles à comprendre. Je ne suis pas tout à fait d’accord avec les villageois car Maître Hauchecorne, n’est pas pris du  tout au sérieux jusqu’à la fin.

J’interprète :

Ce texte est destiné à tous les lecteurs. Il veut nous dire que la rumeur part de peu de choses mais peut avoir de lourdes conséquences. L’auteur s’y est pris en provoquant. Ses intentions sont faciles à comprendre. On peut hésiter sur le sens du texte.  

Audrey , 4eD

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 20:37

J’observe

C’est Jules Verne qui l’a écrit, je connais déjà « Le Tour du monde en 80 jours », «  Voyage au centre de la terre » comme autre livre de cet auteur. Ce texte a été écrit en 1886, en français et son genre est la nouvelle

Je lis  j’écoute

Cette nouvelle me rappelle le livre « Finisterrae » de Jeanne Bocquenet-Carle. Je retiens les mots  « docteur Trifulgas »

Je comprends

Le personnage principal est le docteur Trifulgas il ne souhaite pas aller soigner  le craquelinier du Val-Karinou. Il y a aussi la fille, la femme et la mère du craqueliner qui vont chercher le docteur pour qu’il vienne soigner le patient mourant en lui proposant à chaque fois une somme d’argent différente. L’action se passe dans la petite ville de Luktrop et je ne sais pas quand elle se passe.

Le texte parle d’un docteur qui ne veut pas aller soigner un patient parce qu’il est pauvre. Il accepte l’argent de la mère et décide d’aller voir le patient accompagné de celle-ci.  Mais après un coup de tonnerre la mère disparait, le docteur entre donc seul dans la maison et reconnait la sienne, après être rentré dans la chambre, il se voit sur le lit.

Je réagis

Je suis indifférente à l’égard de cette nouvelle car selon moi elle est trop longue et je ne comprends pas forcément toute l’histoire.

J’interprète

Ce texte est destiné aux personnes riches qui ne veulent pas toujours aider les pauvres. Pour que  cette morale soit comprise de tous, il décrit et argumente.

Solène, 4B

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 19:16

 Coup de gigot est un récit écrit par Roald Dahl, en en 1954 et traduit de l'anglais par Élisabeth Gaspar et Hilda Barberis. C’est une nouvelle.

En lisant, je vois la scène de la femme et du mari dans le salon et aussi la scène du meurtre. J'imagine aussi le son de la femme qui tape son mari avec le gigot. Les mots que je retiens sont gigot, meurtre, whisky, et la phrase « Dans la pièce voisine, Mary Maloney se mit à ricaner»

Les personnages principaux sont Mary Maloney et Patrick Maloney. Le mari rentre de son travail puis il parle à sa femme d'un projet, probablement de séparation. Malheureusement elle le prend mal et l'assomme. La police et les détectives arrivent mais ne parviennent pas à découvrir ce qui s'est vraiment passé.

 

 L'action se passe chez M.Maloney et Mme.Maloney, le soir après que le mari rentre du travail. Je peux la résumer en quelques phrases : Après être rentré de son travail et avoir pris plusieurs verres de whisky, Patrick Maloney annonce à sa femme Mary Maloney, une mauvaise nouvelle dont nous ne connaissons pas précisément le contenu. Après avoir sorti le gigot du congélateur, Mary croise son mari et l’assomme. Quelques minutes plus tard, elle part chez l'épicier, raconte des sottises et dit que son mari est fatigué. Elle appelle la police et joue la comédie aux policiers. Malheureusement la police n'arrivera pas à trouver le véritable coupable du meurtre.

 J'ai beaucoup aimé cette nouvelle car il y a de l'action, c'est triste mais en fin de compte ça devient même hilarant de voir les policiers se faire manipuler par la femme qui est elle même la coupable du meurtre de son mari.

 Ce texte n’est destiné à personne en particulier c'est plutôt une nouvelle réaliste mais comique. Même si les policiers et les détectives sont des professionnels, ils peuvent quand même être manipulés et croire n'importe quoi.Pour donner cette impression, l’auteur nous provoque et décrit la scène du meurtre.

Léopoldine, 4B

Le récit a été écrit par Roald Dalh en 1953 en anglais à l'origine. Ce texte appartient au genre de la nouvelle. En lisant ce texte, je m'imagine l'histoire comme si j'étais à côté des personnages. Les personnages sont Mary Maloney et son mari. Dans cette nouvelle, les personnages ne parlent que très peu et font surtout beaucoup d'actions banales. L'histoire se passe dans leur maison à une époque indéterminée mais récente. Cette nouvelle raconte le quotidien des personnages, de la femme qui attend son mari qui rentre de travail et de ce qu'il font ensuite.

Personnellement je suis indifférent à cette nouvelle car les actions sont monotones et ne font que se répéter et l'on se détache très vite de l'histoire. Je pense que ce roman est destiné  à un public assez mûr pour pouvoir comprendre. L'auteur veut nous montrer le quotidien de ces deux personnes en décrivant action par action.

Hugo, 4D

J’ai lu la nouvelle « coup de gigot » de Roald Dalh. C’est une nouvelle écrite en anglais qui a été traduite en français ensuite. C’est une nouvelle policière de 1954.
Les personnages principaux sont Mary Maloney, son mari et les policiers. Mary, après que son mari lui ai avoué une mauvaise nouvelle, le tue d’un coup de gigot.
Mary fait comme de rien et fait manger le gigot qu’elle avait fait cuire aux policiers.
Sans s’en rendre compte, les policiers mangent les seules preuves du crime de Mary. L’action se passe chez Mary, dans le salon. C’est un jeudi soir.
J’ai beaucoup apprécié ce texte car je l’ai trouvé intéressant. Je pense que l’auteur a écrit ce texte un peu pour tout le monde et Il veut dire que les apparences sont parfois trompeuses, Mary se fait passer pour la jeune femme totalement détruite alors qu’elle vient en réalité d’assassiner son mari. L’auteur fait passer ce message en provoquant et en argumentant beaucoup.
On ne peut pas vraiment hésiter sur le sens de son texte car ses intentions sont faciles à percevoir.

Marilou, 4D

J'ai choisi la nouvelle : Coup de gigot de Roald Dahl.
La nouvelle parle d'une femme enceinte de six mois qui attend son mari qui revient du travail. Son mari rentre et lui apprend une mauvaise nouvelle, alors, elle lui dit qu'elle va préparer le dîner et va dans la cave chercher un gigot. Elle le tue par un coup de gigot sur la tête et appelle la police pour lui apprendre que son mari est décédé. La veuve va cacher le gigot dans son four et lorsque les policiers arrivent faire des recherches, elle leur demande si ils veulent manger son gigot. Ils acceptent et ne se rendent pas compte qu'ils sont en train de manger l'arme du meurtre.
J'ai aimé cette nouvelle car elle était drôle et intéressante.
La nouvelle veut nous faire comprendre que les preuves peuvent être parfois sous nos yeux. L'auteur nous le fait comprendre en faisant rire.

Lison, 4D

C’est une nouvelle écrite par Roald Dahl .Elle a été écrite en Français. Elle s’intitule : Coup de gigot. L’auteur a écrit plusieurs nouvelles mais je ne les connais pas.

Lorsque que j’ai lu cette nouvelle, j’ai pensé à des images, à des sons. Par exemple, je me suis représenté la scène de la femme qui tue son mari avec le gigot.

C’est l’histoire d’un couple dont la femme Marie Maloney est enceinte de 6 mois. Son mari Patrick Maloney est policier. Elle fait tout pour rendre son mari heureux. Mais un soir, celui-ci lui annonce une nouvelle, elle tue son mari avec un gigot congelé. Pour ne pas se faire arrêter par la police, elle sort chez l’épicier et en rentrant chez elle, elle appelle les collègues de son mari pour leur dire qu’il est mort. La police n’a jamais su qu’elle l’avait tué car elle leur a donné le gigot à manger pour faire disparaître l’arme du crime.

On se demande quelle nouvelle, son mari a pu lui annoncer pour que cette femme agisse de cette manière. Elle est devenue une meurtrière alors qu’elle aimait son mari.

Je n’ai pas aimé cette nouvelle, car elle est triste.

Maël, 4D

J’observe

 L’auteur est Roald DAHL. On ne sait pas quand le texte a été écrit. Il a été traduit en français car d’origine le texte est en anglais mais je ne sais pas qui est  le traducteur. Ce texte est une nouvelle.

Je lis / J’écoute 

En lisant l’histoire, je ne pense à aucune image, ni à aucun son, à aucun souvenir ni  expérience personnelle. Je pense à une musique mais je ne sais plus le titre de cette musique. Je retiens une phrase,  c’est la phrase suivante :  « Je crains que cela te fasse un petit choc, dit-il.»

Je comprends

Le texte parle d’un couple et un jour la femme le trouve par terre allongé sur le sol. Elle appelle la police et une enquête commence.

L’action se passe dans leur salon quand la femme revient de l’épicerie.

Les personnages principaux sont Mary Maloney, Patrick Maloney et Jack Noonan. Patrick meurt dans la nouvelle, Jack fait l’enquête et Mary est la femme de Patrick et le trouve mort par terre.

 Je réagis

Je suis indifférente à cette histoire car je n’aime pas lire mais ça ne me choque pas forcément.

J’interprète

Le sens du texte est compréhensible et les intentions sont faciles à percevoir.  L’auteur à essayer de choquer les personnes qui lisent le texte et cela à marcher pour les personnes qui aiment bien lire et qui sont sensibles. Je pense que l’auteur veut nous dire qu’il ne faut pas jouer sur sensibilité des personnes.  Ce texte est destiné à tout public et fait passer un message.

Bleuenn, 4D

            Coup de gigot est une nouvelle policière écrite par Dahl Roal, qui a également écrit « Le Bon Gros Géant », « Charlie et la chocolaterie » et encore plein d'autres. Elle a été publiée initialement en 1954 dans le recueil  « Bizarre ! Bizarre ! », puis réécrite en 1961 et publiée en 1962. Cette nouvelle a été écrite en Anglais à l'origine avec comme titre Lamb to the Slaughter, elle a été traduite en français par Hilda Barbéris.

 

            Madame Maloney et Monsieur Maloney sont les personnages principaux de cette nouvelle. Madame Maloney pose beaucoup de questions à son mari sur ses ressentis et son humeur, mais Monsieur Maloney, lui, ne parle pas énormément et reste très froid. Or, il finit quand même par lui parler de son envie de la quitter. Comme punition pour cela Madame Maloney, très triste, assassine son mari. Ensuite, elle parvient à cacher son crime pendant toute la nouvelle. L'histoire en effet parle d’une femme totalement amoureuse de son mari, qui en apprenant qu'il veut la quitter, l'assassine d'un coup de gigot gelé. Une enquête sera donc faite, mais toutes les preuves que Madame Maloney a laissées, elle les supprime. À la fin de la nouvelle Madame Maloney n'est pas découverte et reste libre

            La nouvelle se passe dans une petite ville, mais on ne sait pas exactement quand, car il n'y pas d'indice de temps, mais on donne quand même une heure « six heures » (page 3 ligne 33). Il y a de l'action, surtout menée par Madame Maloney. Je suppose que l'auteur voulait passer un message à la justice (police), que toute preuve peut être supprimée et que le tueur peut-être juste sous leurs yeux. Le sens du texte ne peut pas être trompeur, car tout est détaillé et tout est compréhensible.

 

            Cette nouvelle associe l'action et la tristesse. J'ai très bien compris l’histoire et je n'ai pas ressenti de la peine ce qui fait, donc, que je l'ai beaucoup aimée. En lisant, je vois des images, comme une femme perdue dans la tristesse voyant comme seule sortie, l’assassinat de son mari.

Rose, 4B

J’observe :                                                                                                                         

C’est Roald DAHL qui a écrit cette nouvelle. Je ne connais aucune autre œuvre de cet auteur. Elle a été écrite en 1953, peu de temps après la fin de la 2ème guerre mondiale. Ce texte est d’origine anglaise, c’est Hilda Barbéri et Élisabeth Gaspar qui ont traduit cette nouvelle. Coup de Gigot est une nouvelle policière, à suspense.

Je lis/J’écoute :                                                                                                               

 Le nom du policier O’Malley me fait penser à un livre que j’ai déjà lu mais dont je ne me souviens plus du titre.

Je comprends :                                                                                                               

Les personnages principaux sont Mary Maloney, son mari, Patrick Maloney et le policier Jack Noonan.  Mary Maloney tue son mari qui vient de la quitter. Jack Noonan enquête sur ce meurtre mais il n’est pas au courant que c’est Mary qui l’a tué. L’action se passe chez Mr et Mrs Maloney, un soir (après cinq heures moins cinq) et le lendemain.                                                     

Résumé : Mary Maloney, une femme mariée avec un policier, Patrick Maloney, enceinte, tue son mari avec un gigot congelé après qu’il lui ait fait des confidences.                                                                                                                      Elle fait cuire ensuite son gigot, se maquille, se fait belle et part acheter à manger chez l’épicier pour se constituer un prétexte. Elle met ensuite au point un script pour ne pas se faire arrêter par la police pour le crime qu’elle vient de commettre : alors qu’elle rentre chez elle et appelle son mari, elle « découvre » son corps mort avant d’appeler la police et d’avoir l’air chagriné. Les policiers enquêtent et finissent par se laisser convaincre de manger le gigot, ils ignorent que c’est l’arme du meurtre. Ils font ainsi disparaître les preuves.   

Je réagis :                                                                                                                              J’aime bien lire ce genre de texte car c’est policier et je trouve que l’histoire est originale donc oui, j’ai vraiment apprécié de lire cette nouvelle. Cette nouvelle a beaucoup de rebondissements, on ne s'attend pas du tout à ce que Mary Maloney, cette femme aussi amoureuse, attentionnée et dévouée (et enceinte) puisse être l'assassin de son mari... J'aime beaucoup !

J’interprète :                                                                                                                     

 Je pense que ce texte n’est destiné à personne de particulier et qu’il veut nous faire comprendre que tuer quelqu’un de sa famille parce que cette personne nous a fait du mal et ensuite mentir aux policiers en disant que ce n’est pas soi même le meurtrier n’est pas une leçon de vie. Dans cette nouvelle, l’auteur veut choquer, faire peur, donner du suspense aux lecteurs en faisant la femme tuer son mari. Ses intentions ne sont pas faciles à percevoir mais on n’hésite pas sur le sens de son texte.     

Jeanne, 4B  

J'observe:

 

 Cet écrivain est anglais (Pays de Galles).Il a été traduit par la maison d'édition.Roald DAHL. L'auteur qui a écrit ce texte qui est une nouvelle est

Cette nouvelle a été écrite en 1954. Cette époque est particulière car c'est après la deuxième guerre mondiale.géant. Le bon groset encore chocolaterie, James et la pèche géante ,Mathilda Charlie et laJe connais d'autres œuvres de l'auteur comme

 

 Je lis/J'écoute

 Je pense à des images. J'imagine Mary dans son fauteuil à boire son whisky et prendre un gigot congelé et fracasser le crâne de son mari. Cela n’évoque pour moi aucun souvenir, ni dans ma vie personnelle ni à la télévision, ni dans un livre ou en musique mais je peux penser à des faits divers dans les journaux.

La phrase clé que je retiens est : "Alors,Mary Maloney fit simplement quelques pas vers lui et, sans attendre elle leva le gros gigot aussi haut qu'elle put au-dessus du crâne de son mari, puis cogna de toutes ses forces."

 

Je comprends:

Mary Maloney est la femme d'un policier et est enceinte de 6 mois. Elle assassine son mari avec un gigot congelé après qu'il lui ai fait des confidences mystérieuses. Elle met son gigot à cuire et va à l'épicerie. Elle invente ensuite une histoire pour ne pas se faire soupçonner par la police pour son crime. Alors elle rentre chez elle et appelle son mari et "voit" son mari allongée par terre, immobile. Les policiers arrivent chez elle, enquêtent...

     Elle leur demande de rester manger et finit par les convaincre de son innocence. Ils mangent le gigot sans savoir que c'est l'arme du crime. Ainsi sans le savoir ils font disparaitre les preuves involontairement.

Je réagis:

 Je  désapprouve la femme car elle tue son mari alors qu'il est innocent.  J'ai compris cette nouvelle sans peine et je l’ai aimée pour le suspens et le dénouement.

 J'interprète :

 Il n'y a pas de doute sur l'interprétation du texte mais on ne sait pas si Mary Maloney éprouve de la tristesse. L'auteur provoque un sentiment de pitié pour le mari de Mary. Il veut nous dire que c'est un couple en crise.

Ce texte est destiné aux amateurs de nouvelles avec une fin improbable ...

 Anaëlle, 4D

 

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 18:03

J'observe que ce texte est écrit par Louis Pergaud, au début du XX eme siècle. Il est écrit en français à l'origine. C'est une nouvelle tirée du recueil Les Rustiques, Nouvelles villageoises.(1921)

Je lis /j'écoute et je pense à des expériences personnelles :quand je jouais au policier et au voleur.


Je comprends que ce texte parle d'un groupe d'enfants qui jouent à des jeux, insouciants du danger, et se font surprendre par la vase. L'action se passe dans une mare à la fin de la nouvelle. Les personnages principaux sont Camus, le Braque, Tintin, Bouleau, Tétas et
Grand Gibus. Ils doivent sauver le Braque de la noyade car il s'est envasé.


Je réagis : j'aime le comportement de le Braque car il a l'air d'être le même que le mien. J'ai compris l'histoire et je suis d'accord avec le comportement des autres garçons.


J’interprète : ce texte est lu pour audiocité.net.
L'auteur veut nous dire que même en jouant il faut toujours se méfier. Il s'y est pris en faisant en sorte qu'un accident se produise. L'idée est facile à percevoir car elle est assez explicite, on ne peut pas se tromper sur le sens de ce texte : c'est un texte qui montre les dangers.

Timoté 4B

J’observe : Ce texte a été écrit par Louis Pergaud en 1921 c’est une nouvelle du recueil Les Rustiques, Nouvelles villageoises. Cette époque est entre les deux grandes guerres du XX e siècle.

Je lis, j’écoute : le mot que j’ai retenu est « entraide »

Je comprends : les personnages sont des jeunes garçons, ils chassent des grenouilles, un d’eux se coince dans la vase en voulant aller chercher la grenouille qu’il a tuée  malgré la mise en garde de ses amis alors tous ensembles ils essayent de le sauver et il réussissent !

L’histoire se passe à coté d’un village sur les berges d’un étang.

Je réagis : j’aime l’histoire, c’est drôle ça me parle car ce genre de mésaventure peut arriver à des enfants comme moi.

J’interprète :ce texte est destiné à tous les publics, il fait rire.

L’auteur veut dire que quand on n’a rien à faire, on fait des bêtises, il veut aussi dire que les amis peuvent nous aider quand on est en danger.

Lucas, 4B

J’observe :

   J’ai écouté un texte qui s’intitule « Un Sauvetage » écrit par Louis Pergaud. Je n’ai pas trouvé d’informations me donnant le moment où il a été écrit  .je pense que d’après mes recherches personnelles ce texte a été écrit en français étant donné que l’auteur est d’origine française. Ce texte appartient au genre de la nouvelle.

Je lis\j’écoute

   En écoutant ce texte je pense à différentes images et bien sûr à différents sons

Je comprends

Ce texte parle de six amis qui jouaient ensemble (courir). Ils se retrouvent près d’un lac où ils avaient tous interdiction d’aller jouer. Ils se mettent à chasser des grenouilles et réussissent même  à en tuer une, mais celle-ci étant imprenable, Lebrac se met à l’eau pour la récupérer. Après quelques pas dans l’eau, Lebrac s’enfonce peu à peu. Il est prêt à se noyer lorsque les cinq autres enfants réussissent à le sortir de l’eau.                                                                                              

  Dans cette histoire il y a de l’action, elle se passe principalement dans un petit village mais on ne sait pas quand se passe cette scène.                                                                                                                                                                                                                                  Les personnages principaux sont les six enfants Lebrac, Camus, Tintin, Boulot, Tétas et Grangibus, ils s’amusent (aux gendarmes et aux voleurs, aux billes…) Après une course folle, ils ont atterri par hasard au bord du lac et l’un d’eux a failli se noyer en voulant récupérer la grenouille qu’ils avaient tuée .

Je réagis

Ce que je ressens à travers ce texte est la joie de vivre et j’aime beaucoup.

J’interprète

Ce texte est simple à comprendre. Les intentions sont faciles à percevoir car il y a beaucoup d’indices. L’auteur a écrit ce texte pour argumenter il est plutôt destiné aux jeunes lecteurs car il est facile à écouter. Il nous montre par cette histoire qu’il faut être obéissant auprès de ses parents et que l’on peut toujours compter sur ses amis.

Léna, 4D

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