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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 09:52

Titre : Ma Lou adorée

Auteurs : Elisabeth Brami

Illustration par Béatrice Poncelet

Edition du seuil, 2001                                                                       

GENRE : recueil de lettres  

Thème principal : Un échange de lettres entre une jeune fille et sa grand-mère

Résumé : Lou une jeune fille et sa grand-mère, Thelma de son surnom Mamouchka s’envoient des lettres pendant les vacances d’été, comme l’année précédente. Lou se trouve dans une colonie, avec son amie Clara, le thème de cette colonie est la musique. Thelma, quant à elle, est restée chez elle à Paris. Lou tombe amoureuse d’un jeune garçon dans sa colonie mais n’ose pas faire le pas car elle ne sait pas si il ressent des sentiments pour elle. Quant à Thelma, elle aussi ressent des sentiments pour un monsieur nommé William Hasler. Lou  demande alors conseil à sa Mamouchka car elles sont très proches. Arriveront-elles à faire le pas ?             

Passage de la première lettre de Thelma.

‘’Je t’envoie quelques jolies feuilles de papier à lettre fleuri et des enveloppes assorties au cas où tu n’aurais deux minutes pour me répondre. Sache que j’ai gardé précieusement toutes les lettres de l’été dernier (sans oublier le crin de cheval et le brin de lavande) et que je les ai relues souvent cet hiver à Paris’’

Ce passage nous montre bien que Thelma aime beaucoup sa petite fille et qu’elles sont très proches, on voit aussi que cet échange de lettres est très important pour Thelma. Elle garde en souvenir toutes les lettres de la correspondance de l’année dernière et elle les lit souvent.

Jugement critique personnel :J’ai bien aimé ce livre car l’histoire était intéressante et c’était plus facile à lire car c’était sous forme de lettres avec des écritures différentes, des illustrations. L’histoire, le vocabulaire étaient plutôt faciles à comprendre et le livre n’est pas très long.

 Léa Chastel, 4A, 25/10/2012 

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Auteur : Élisabeth Brami

Titre : Ma Lou adoréema-lou-adoree-brami.jpg

Edition : 2001, Seuil

GENRE : amour de famille

THEME PRINCIPAL : Lettre entre une grand-mère et sa petite fille

 

RÉSUMÉ DU SUJET C’est une petite fille qui s’appelle Lou  et sa grand-mère qui s’appelle Thelma. Elles s’envoient des lettres car elles ne se voient pas souvent. Dans les lettres elles racontent ce qu’elles font tous les jours. La petite fille est allée en colonie musicale et elle est proche de sa rentrée en 6è. Elle est amoureuse d’un Alexandre. Lou a maintenant un âge à deux chiffres. Celle-ci passe de très bonnes  vacances en parlant à sa grand- mère avec des lettres. Sa grand-mère, elle,  par contre, est tombée amoureuse d’un garçon plus vieux qu’elle mais en ce qui la concerne, vu son âge, elle s’en fiche. Thelma se souvient qu’elle était aussi allée dans une colonie et donc elle raconte ce qu’elle y avait fait. La grand-mère ne voit personne de la journée donc pour passer le temps elle écrit des lettres à ceux dont elle est proche. Elle et Lou s’écrivent des lettres pour raconter leurs journée jusqu’au jour où la petite fille (Lou) retrouve sa grand-mère (Thelma)  à la descente du train.

PASSAGE REMARQUABLE DU LIVRE  « Je t’attends plus impatiemment que jamais, ma Lou adorée, T. » (dernière page du livre et dernière ligne).

Ce passage du livre signifie que la grand-mère (Thelma), aime plus que tout sa Lou adorée et sa grand-mère est pressée de la revoir pour passer du temps avec elle.

 JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL J’aime bien ce livre car il est bien présenté et j’aime bien l’écriture de Lou, ça donne envie de le lire puis il y a aussi une histoire. Ce livre est très bien fait par contre il est pas très long, c’est ça qui est un petit peu dommage. Je vous conseille de le choisir car tout le monde peut le lire : comme il est pas trop long, même ceux qui ont du mal peuvent le lire. J’aime aussi la page de couverture qui est très bien présentée.

Léonard, 4C, 14/10/2012 

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Les principaux personnages sont Lou (Ludmilla) et sa grand-mère (Thelma). L’auteur a ajouté des personnages secondaires pour donner plus de vie aux lettres. Si j’avais le pouvoir de faire disparaitre un personnage je n’en supprimerais aucun car ils sont tous à leur place et ils ont tous leur rôle à jouer pour faire avancer l’histoire.

Je préfère Lou car j’aime le rôle qu’elle joue dans l’histoire qui est de donner des conseils à sa grand-mère. À sa place j’aurais fait la même chose pour conseiller ma grand-mère. Lou se préoccupe de vivre ses vacances d’été en colonie.

Pour m’inciter à lire l’auteur a laissé le texte en suspension dans une lettre pour pouvoir y répondre dans une autre. Je pense que l’auteur a écrit ce livre pour nous inciter à écrire des lettres.

Le livre s’est arrêté car Lou passe le reste de ses vacances avec sa grand- mère donc elle s’arrêtent de s’écrire. Je poserais à l’auteur la question « Ferez vous une suite à ce livre? »

 

LOIC 4A, octobre 2013

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                                                                                                          Jeudi 10 octobre 2013

 

 

 

                        Chère Elisabeth Brami,

 

                        Je vous envoie cette lettre pour vous parler de votre livre " Ma Lou adorée".

                        Je l'ai beaucoup aimé pour plusieurs raisons. La correspondance entre Lou et sa grand-mère est intéressante : Lou parle de ses vacances en colonie, de la musique et de Sacha son premier amour. Thelma parle aussi d'amour suite à la rencontre de William.

                        Tous ces petits secrets partagés sont émouvants ; la complicité entre la grand-mère et sa petite fille est vraiment "cool".

                        En plus certains passages sont drôles, par exemple quand Lou dit que le prénom William, ça fait mousse à raser.

                        Je trouve jolie votre présentation car elle est différente de tous les autres livres que j'ai lus. Pourquoi avez-vous choisi ce type de présentation ?

J'ai remarqué aussi que les lettres de "Mamouchka" sont moins décorées que celles de Lou qui sont toujours belles avec des coccinelles, des fleurs, des étoiles, des partitions de musique...

                        Sur des lettres de sa mamie, il y a une bouteille de lavande ou une carte de Tunisie qui cache le texte. Pourquoi avoir caché un bout de texte ?

                        J'ai adoré ce livre et j'aimerais savoir si vous en avez écrit d'autres.

 

                        Sincères salutations

 

                                                                                                          Bleuenn 

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Quintin , 21 Janvier 2016



            Madame,
 

            Je vous écris à propos de votre livre Ta Lou adorée qui m'a beaucoup plus et qui m'a fait sourire à chaque début de phrase.

            Je me suis beaucoup retrouvée dans votre livre, le personnage de Ludmilla m'a fait penser à moi quand j'étais un peu plus petite et le fait qu’elle corresponde avec sa mamie et soit aussi proche d'elle m'a encore plus fait penser à ma grand-mère et moi qui sommes  aussi  très proches  l'une de l’autre.

            Quelques passages m’ont  émue, par exemple quand la mamie de Ludmilla parle de son mari alors qu'il est mort, cela était assez triste. Bien sûr beaucoup de passages sont joyeux et plein d'énergie et j'ai adoré. J'ai malheureusement été déçue par la fin car j'aurais aimé que ça continue mais comme on dit, toutes les bonnes choses ont une fin.

            J'ai vraiment adoré lire ce livre, le style change de l’ordinaire, la manière dont c'était présenté était géniale

            Recevez, Madame, l'expression de mes sincères salutations.



 Romy B.

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 23:00

Auteur: Marie-Hélène Delval

Titre: Lettres Secrètes

Date: 2010

Collection: Flammarion jeunesse9782081645295FS

Genre: Recueil de lettres

 THEME PRINCIPAL:  Une jeune fille amoureuse d'un garçon cache cet amour dans un cahier secret.

 Le SUJET : C'est l'histoire de Mathilde, une jeune fille tombée amoureuse du frère de sa meilleure amie. Tout l'éloignait de lui, il était beaucoup plus âgé qu'elle et surtout lui n'était pas amoureux d'elle. Il ne savait point qu’elle l’aimait, d'ailleurs personne ne le savait. Mathilde était bien consciente que rien ne se passerait entre elle et Nicolas, mais elle espérait encore et encore. Elle confiait tous ses malheurs, ses peines, ses joies, et ses souvenirs à ce cahier. Il représentait son histoire, sa vie mais surtout ce qu'elle ressentait. Ces textes qu'elle écrivait chaque jour, étaient sous forme de lettres qu'elle écrivait à son bien aimé mais qu'il ne recevra sans doute jamais. Ces pensées étaient toujours tournées vers Nicolas et cela lui faisait énormément de mal.

Va-t-elle un jour oser lui avouer cet amour ? Ou alors tourner la page sur ce garçon qui la hante ? Il n'y a que son cœur qui peut nous répondre. Mais va-t-il continuer de battre ?

 PASSAGES REMARQUABLE:

 « Oh, Nicolas, pourquoi les choses étaient-elles si simples, autrefois ? On se rencontrait, on s'aimait, on se mariait. Oui, je sais. Même si l'histoire de mes grands-parents est véridique, elle est sans doute exceptionnelle. Et les chagrins d'amour ont toujours existé, les romans de tous les temps en sont pleins. Ce que je vis, finalement, c'est d'une telle banalité ! Ce serait si bon de pouvoir poser toute cette souffrance quelque part, comme on se débarrasse d'un sac trop lourd, et de n'y plus penser...

Mais voilà, je ne peux pas cesser d'y penser. Je me rejoue indéfiniment la scène des trois sucres dans la tasse de thé. Et je lui invente une suite. J'en ai au moins dix versions. Veux-tu que je te les raconte ? » page 51

 

COMMENTAIRES PERSONNEL:  J'aime beaucoup ce livre, je le trouve très réaliste, il ne fait pas partie de ces livres trop idéalistes, imaginaires ou virtuels Je n'aime pas le genre d’histoire qui tourne autour des contes de fées ou autre. Je préfère les textes qui concernent la vie d'aujourd'hui,  ce qu'il se passe en réalité, ce qui est possible, existant, authentique et vrai. L'histoire de Mathilde est très touchante, en lisant ce recueil nous aimerions l'assister et lui remonter le moral, nous sommes obligés d’espérer pour elle que Nicolas tomber sous son charme. On se plonge très vite dans l'histoire et on prend presque la place du personnage.  

Emma S, 4C, 11/10/2012

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Titre : Lettres secrètes

Auteur : Marie-Hélène Delval

Edition : Castor poche Flammarion, 1999

Thème principal : Des lettres qui ne seront jamais envoyées au destinataire.

Résumé. C’est Mathilde qui est amoureuse de Nicolas, le grand frère de Marie sa meilleure amie, elle l’aime secrètement. Elle lui écrit des lettres, qu’elle lui enverra jamais car il a déjà une petite-amie, Magalie. Elle pense toujours à lui, elle a même changer de sport car elle faisait de la danse mais comme Nicolas a une passion, l’équitation, elle a changé pour se sentir plus "près" de lui. Elle a même "volé" une photo de lui dans le placard de Marie quand elle était chez elle. Mais après une semaine chez ses grands-parents, Mathilde a décidé de se reprendre en main.

Le passage que je trouve remarquable est à la page 47 " L’histoire d’amour entre Clémence et Adrien, on me l’a souvent racontée. Je ne me lasse pas de l’entendre"

Jugement critique personnel : Je vous conseille ce livre car il est très intéressant, on comprend ce que c’est l’amour secret et comment ça peut être douloureux.

Laetitia  B, 4A, 26/10/2012

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Titre : Lettres secrètes

Edition : Flammarion jeunesse

Auteur : Marie-Hélène DELVAL

Genre : Roman

Thèmes principaux : Amour secret, espérance

 Résumé :  Mathilde, 15 ans est une adolescente, amoureuse de Nicolas, le frère de sa meilleure amie, Marie.

Elle a écrit des lettres à son amoureux sans les lui envoyer.

Nicolas a sept ou huit ans de plus qu’elle mais cela ne la dérange pas. Ce qui la dérange le plus, c’est qu’il a déjà une copine, Magalie, jugée trop grosse d’après Mathilde.

Mathilde était devenue folle de Nicolas, pendant plus d’un mois elle en était malheureuse, c’est

quand elle a compris que cela ne servait à rien de penser à lui, elle devenue beaucoup plus heureuse.

Elle est devenue plus mature, joyeuse et plus dynamique.

Je conseille ce livre (aux filles) car il est très facile à lire et il raconte l’histoire d’une adolescente amoureuse.

 Mélissa S,4èmeA octobre 2013

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 22:35

Auteurs : Galit Fink et Mervet Akram Sha’ban

Titre : Si tu veux être mon amie

Edition: Gallimard768232_2886973-copie-1.jpg

Collection: folio junior

Date: 1988

Genre: Lettres réelles, témoignage

Thème : deux adolescentes s’écrivent des lettres alors que leurs pays se font la guerre.

sujet : C’est l’histoire de deux filles Mervet 13 ans et Galit 12. Mervet habite dans le camp palestinien de Dheisheh et Galit à Jérusalem. Elles s’envoient des lettres pour parler de leur pays (les traditions, ...). Et elles se racontent leur vie : combien elles ont de frères et sœurs, … Les deux filles habitent à 15 km mais il y a la guerre alors elles ne peuvent pas se voir. Un jour Mervet décide d’aller à Jérusalem et elle y arrive mais je ne vous dis pas comment. Et à la fin de l’histoire les deux pays essayent de faire la paix.

Passage choisi, page 19 C’est là où Galit commence à écrire à Mervet et commence à se présenter : J’ai 12 ans, mes cheveux sont châtains et plein d’autres détails.

Jugement personnel : Je n’ai pas beaucoup aimé ce livre, c’était moyen car elles racontaient beaucoup leur vie. Ex : que tous les dimanches elle allait pique-niquer avec ses grands parents.Elles racontaient surtout leurs traditions, comment ça se passait dans leur pays et plein d’autres choses.

Mathieu Q, 24/10/2012

 

Mercredi 3 Février 2016, Allineuc

    Ma chère Mervet,

    Bonjour je m'appelle Sarah, je suis très heureuse de pouvoir t'écrire une lettre à propos de tes échanges épistolaires avec Galit.

    J'ai trouvé que la situation dans laquelle tu vivais était horrible. Les conditions de vie dans lesquelles tu vivais devaient être insupportables. Ton amitié avec Galit m'a aussi frappée, au début je ne pensais pas  qu'avec vos religions vous pourriez vous entendre mais vous êtes finalement devenues amies, du moins quand vous étiez petites.

     La fin de ton histoire m'a pourtant déroutée. Je pensais qu’en grandissant vous resteriez amies, mais apparemment non. C'est ce que vous souhaitez pour vos enfants, qu'ils puissent être amis avec des personnes de religions différentes et qu'ils aient la paix dans leur pays.

     Je trouve qu'en grandissant tu es restée très calme et très gentille. Par contre Galit je ne la reconnaissais plus. Elle est devenue plus sévère. Vous aviez presque le même caractère quand vous étiez jeunes. Vous aviez toutes les deux un air sympathique, poli et enjoué.

    Parfois, en lisant le livre, je ne comprenais pas certains mots. Ils étaient en général en rapport avec vos religions ou avec vos pays mais j'ai trouvé que ce que vous écriviez était intéressant et facile à lire. C'était une superbe histoire d'amitié.

     J'espère que ta famille va bien. Très sincèrement.

                                                                                                                       Sarah B

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 18:15

67867.jpgTitre : Talents cachés

Auteur : David Lubar

Editeur : Hatier

Date d’édition : février 2007

Collection : Rageot Poche

Genre : Roman d’aventure avec quelques lettres

Thème principal : C’est une série d’aventures qui se passent dans un institut pour les jeunes qui ont des problèmes.       

Résumé : C’est l’histoire de Martin, un jeune garçon que son père a inscrit dans un institut pour ceux qui ont des problèmes. Là-bas, Martin rencontre des jeunes qu’il trouve normaux comme Pyro, Rasta, La Gruge, Jackpot, Typhon… et dont il ne comprend pas les surnoms. Peu après, il découvre que ses amis ont chacun un don : télékinésie, télépathie, etc. Mais il est triste, car il n’en a pas. Un jour, le petit groupe apprend que l’institut va peut-être fermer, car les habitants du village en ont peur. Six inspecteurs vont venir visiter le collège et interroger un élève : Martin est désigné,  Martin, qui répond à ses professeurs, Martin, qui est insolent avec tout le monde, sauf sa sœur et ses amis. Alors, ceux-ci lui apprennent que lui aussi à un pouvoir : il trouve le point faible des gens et s’en sert pour leur parler en leur faisant du mal.    Pour sauver l’institut Beauséjour, Martin, aidé de ses amis, devra apprendre à contrôler et utiliser positivement ce pouvoir.

Passage : « À ce moment-là, Mr Davis s’est dirigé vers la table des inspecteurs et a remis un dossier à l’inspectrice au tailleur gris. Elle l’a consulté brièvement et en a tiré une feuille qu’elle lui a rendue. Il a froncé les sourcils, a scruté la salle et s’est dirigé vers notre table.

    «  Qu’est ce que j’ai encore fait ? » me suis-je surpris à penser.

- Martin...

- Oui ?

- J’aurais préféré que ce soit quelqu’un d’autre, mais les inspecteurs désirent parler avec vous après le repas.

- Avec moi ?

- Oui, c’est leur choix. S’ils m’avaient demandé mon avis, j’aurais conseillé quelqu’un de plus agréable, mais vous êtes l’heureux élu. Rendez-vous dans mon bureau dès que la cloche aura sonné.

    J’étais trop abasourdi pour répondre. Je me répétais : «  Je suis le pire choix. » Après dix minutes d’entretien, les inspecteurs n’auraient plus qu’une idée en tête : m’expédier dans une institution pour délinquants et rayer définitivement Beauséjour de la carte !

    - L’avenir de l’école compte pour toi ? m’a demandé Jackpot.

    J’ai pensé à Mr Davis et ses punitions débiles, à Langhorn et ses hurlements. Mais aussi à Mr Briggs et sa passion de l’enseignement. À Miss Nomad et son souci d’être toujours présente pour nous. À Ms Shaw et son atelier théâtre. Et à tous les élèves pour qui Beauséjour représentait la dernière chance. J’ai hoché la tête.

    - Oui.

    - Alors si nous comptons vraiment pour toi, Martin, il est temps d’utiliser ton pouvoir, a dit Jackpot avec un drôle de sourire. » Ce passage est situé pages 230 et 231 du livre.

Je l’ai choisi car c’est l’élément de résolution de l’histoire. C’est aussi un moment de suspense car on se demande ce qui va se passer après.

Jugement critique personnel : J’ai bien aimé ce livre, car il y a du suspense un peu tout le temps et on ne s’attend pas à ce qui va arriver. Il est drôle par endroits, mais un peu triste quand on voit les lettres de la sœur de Martin, qui s’ennuie chez elle, quand leurs parents se disputent pour savoir s’il doit rester ou non à Beauséjour… Mais il est intéressant quand même.

Floriane K, 4A, 24/10/2012

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 17:09

sacha-macha-rachel-hausfater-douieb-yael-hass-L-1--1-.jpegLivre : De Sacha à Macha

Auteurs : Rachel Hausfater-Douieb et Yaël Hassan

De la collection de Flammarion

Sujet : C’est l’histoire d’un garçon, Sacha qui est en 4ème  et qui vit seul avec son père. Sacha est un garçon assez mystérieux et renfermé. Il envoie des e-mails par internet à des personnes imaginaires jusqu’au jour où Macha lui répond. C’est une jeune fille qui est en 3ème  et qui est bavarde.

Au fil des jours, Macha et Sacha vont échanger des messages et apprendre à se connaître. Sacha est triste à cause d’un secret que son père lui cache. Ils se font beaucoup de confidences et se soutiennent alors qu’ils ne se connaissent à peine, mais Macha va lui redonner la joie de vivre. Il va apprendre la vérité et renouer des relations avec son père. Sacha sait que sa mère est russe et qu’elle s’appelle Macha.

 Son père décide de partir de voyage en Russie dans la ville de naissance de Sacha et peut être qu’ils feront des recherches pour retrouver sa mère.

 

Jugement personnel : Ce livre raconte une belle histoire d’amitié.

   Compte rendu de Camille E, 4ème A, 24/10/2012.

*****************************************************************************************************

Pierre M********

Lecteur

mc.m@dorange.fr

 

                                                                                           le 05/02/16 à St-Donan

 

                                                                                          à :Rachel Hausfater                     

                                                                                             auteure du livre

                                                                                             

Objet: critique de livre

 

                Chère auteure,

 

               Je me permets de vous écrire pour vous faire part de quelques critiques.

               Certains passages m'ont touché par exemple la réconciliation de Sacha avec son père car après l'avoir considéré comme un monstre, il le trouve très gentil. D'autres au contraire m'ont déçu : à la fin du livre, j'aurais aimé savoir qui était la mère de Sacha et qu'ils reforment leur famille. L'intrigue m'a surpris.

               Je voulais aussi vous faire part du comportement des personnages. Je trouve Sacha bien têtu car il s’entêtait à croire son père méchant et Macha très énergique. J'ai pu m'identifier à eux car ils avaient presque mon âge. C'est aussi pour cela que le livre est agréable à lire et le vocabulaire à la portée de tout le monde.

                 En espérant que vous comprendrez mes critiques, je vous souhaite le succès pour ce livre. À bientôt pour un nouveau livre.

                                  

                                                                                         Pierre M***********

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 13:00

Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
 Titre : les 5 écus de Bretagne
 Edition : Hachette jeunesse 
Collection : Livre de poche jeunesse
 Date : 1998
 GENRE : Roman historique.
 THEME PRINCIPAL : La vie quotidienne au moyen âge.
RESUME :EN 1469, Guillemette Landais, jeune fille de 13 ans, part vivre chez son grand-père à Rennes, suite au décès de son père. Quand, elle arrive à Rennes, son grand- père ignore son existence. Il décide de l’appeler Philippa, pour ne pas éveiller les soupçons, elle travaille donc avec lui, dans sa boutique qui se nomme « les écus de Bretagne ». Guillemette décide de faire des recherches sur son père, et s’embarque dans une grande aventure faite de rencontres et de découvertes. Elle rencontre Estienne et Lucasse, des employés de Messire Boisguérin. Pendant son enquête, elle apprend que son père avait caché son existence à son grand-père. Et aussi que son grand-père n’est en réalité que le frère de son grand-père et qu’il l’avait adoptée. 
PASSAGE REMARQUABLE : Page 16.« Ma grand-mère est morte, messire, et mon père aussi.- Votre père… »La mâchoire de la jeune fille se crispa un peu. Le ton du vieil homme s’était fait interrogatif. Elle dit :« C’est tout, messire Boisguérin. Ils étaient ma seule famille, avec vous.- … Que voulez- vous dire ?- Messire Boisguérin, mon père Philippe était le fils unique de Guillemette Landais. Unique, vous comprenez ? Jamais elle n’a eu d’autres enfants, jamais elle ne s’est mariée. »
C’est mon passage préféré de l’histoire, car on apprend que la jeune fille tenait beaucoup à son père et que Messire Boisguérin a un peu mauvais caractère. 
JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :Je n’ai pas trop aimé ce livre car l’histoire était un peu bizarre, et qu’elle était en langage soutenu. Guillemette doit changer de prénom, elle apprend la mort de son père, elle a un grand père adoptif… Il y a beaucoup de rebondissements.
 Maëlle 5C, 26 novembre 2012 

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Auteur : Évelyne Brisou-Pellen

Titre : Les cinq écus de Bretagne

Éditeur : Le livre de poche jeunesse

Date : juin 2008

Illustrateur : Bruno Pilorget

 Genre : Roman historique

Sujet : C’est une fille qui va chez son grand-père car son père est  mort. Cette fille s’appelle Guillemette et son grand-père ne savait pas qu’elle existait. Guillemette doit se faire appeler Philippa pour que personne ne sache qu’elle existe.

Extrait choisi, Pages 10 et 14.

« Elle  frappa de nouveau.la porte ne s’ouvrit pas, ni le volet, mais une voix soudain lui parvint d’en haut :

-C’est fermé voyons !

Elle leva  la tête d’un mouvement de surprise inquiète, elle recula un peu.

-C’est fermé ! Ne savez-vous point que nous sommes dimanche ? Revenez demain.

-Monsieur, osa la jeune fille d’une voix mal assurée, il faut que je vous parle.

-Cela ne peut-il pas attendre ?

-Vous êtes bien monsieur Boisguérin, le miseur ?

-Bien sûr que désirez-vous ?

-C’est que… Je ne peux vous le crier par la fenêtre.

Monsieur Boisguérin la fit rentrer.

Et elle lui dit :

-Mon père est mort. Et c’est toi mon grand-père… » .

Je trouve que ce passage est bien car il explique que son père est mort, que c’est monsieur Boisguérin son grand-père et tout le chemin que Guillemette a fait pour arriver à Rennes. 

Jugement personnel : J’ai bien aimé cette histoire car elle raconte la vie d’une jeune fille au Moyen-âge, les guerres qu’il y avait entre deux camps. Mais j’ai eu du mal comprendre car il y avait les mots anciens comme pas = point et les mots étaient mis dans tous les sens.

Clémence M, 5C, 24/10/2012

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Auteur: Evelyne Brisou-Pellen
Editeur: Hachette jeunesse
Collection: Livre de poche jeunesse
Genre: Roman historique
Thème Principal: Une jeune fille orpheline à Rennes au Moyen-Âge

  Personnages:
-Guillemette Landais= Philippa
-Messire Jamet Boisgérin et son apprenti Estienne
-Gilles Boisguérin et sa fille Béatrice
 
Résumé:En 1469, Guillemette  perd son père qui était garde du Château de Fougère et à l'âge de 13 ans elle devient orpheline. Elle part alors voir le trésorier de la ville de Rennes, Messire Boisguérin. Il lui réserve alors un accueil un peu bizarre et lui demande de prendre un nouveau prénom : Philippa pour masquer son existence.Sachant lire et écrire elle aide Messire Boisguérin à faire tourner sa boutique"Les écus de Bretagne". 
Une servante nommée Lucasse et un apprenti nommé Estienne travaillent aussi pour Messire Boisguérin.
Guillemette nommée Philippa  décide enquêter  sur la mort de son père, elle pense que Messire Boisguérin est son grand-père et qu'il a organisé le meurtre de son propre fils par des tueurs à gages. Elle découvre par la suite que son grand-père ignorait son existence. 
  
Passage du livre choisi: "[...] Jamais juqu'à ce jour , Philippa n'avait touché de fourchette, jamais non plus elle n'avait mangé dans une assiette d'argent ouvragé, entre des plats du plus bel étain, aussi beau, et même peut-être plus, que ceux qui l'avaient toujours impressionnée, dans la grande salle du chateau[...]"
 Ce que je n'ai pas aimé : Au début ce que l'on apprend est triste car c'est la mort du père de Guillemette .
  Ce que j'ai aimé :  C'est d'apprendre comment était Rennes au Moyen-Âge.

Morgane LR, 5C, 13/10/12
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Auteur : Evelyne Brisou-Pellen

Thème principal : Le Moyen-Age

Résumé : En été, une fille, Guillemette Landais vient de perdre son grand-père. Mais son père ne l’a pas laissée sans trace de son grand-père, il lui avait indiqué qu’il était le  « miseur de Rennes ».

Il lui avait envoyé une lettre pour le prévenir de son arrivée, or le messager s’était trompé d’adresse et avait donc livré la lettre au frère du miseur de

Rennes (l’actuel miseur) car ils portent le même nom de famille.

Ce frère  avait une fille un peu plus jeune que Guillemette et donc la seule héritière officielle de son père mais aussi de son oncle. Elle, ne voulait pas de tout cet argent mais son père voulait qu’elle l’ait !

Alors quand il reçut la lettre de son fils, le père de Guillemette, fut fou de rage et engagea des gens pour le tuer....

 

Jugement critique personnel : Ce livre raconte l’histoire d’une fille qui souhaite retrouver son grand-père. Mais le chemin pour y arriver est semé d’embuches, de larmes et de mensonges. Donc j’ai aimé car ce livre raconte la vie quotidienne des habitants de Rennes au Moyen-âge.

Clarisse L, 5C, 18/10/12

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Titre : Les Cinq écus de Bretagne
 Auteur : Evelyne Briosou-Pellen 
 Illustrateur : Bruno Pilorget 
 Edition et collection Hachette jeunesse 

Résumé : vers le début de l'été 1469, une jeune fille nommée Guillemette, dont le père est décédé, va rejoindre son grand-père, qui ne sait pas qu'il a une petite fille. Son accueil réserve à Guillemette bien des surprises.

Mon avis : J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de mots difficiles. Je ne le recommande pas à ceux qui comme moi, ont des difficultés pour comprendre les livres aussi compliqués.

Noémie, 5C, 18/10/2012 

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Auteur : Éveline Brisou-Pellen9782010200267FS

Édition : Livre de poche, hachette jeunesse 1993

genre : C'est un roman historique

         
 Résumé :
          Cette histoire se déroule en Bretagne au 15 e siècle. Guillemette Landais vient de perdre son père, il a été assassiné par des bandits. Elle décide de se rendre à Rennes pour rejoindre son grand père, Jamet Boisguérin dont-elle sait seulement qu'il est le miseur de la ville. Celui-ci ignore son existence mais malgré tout il l'accueille et lui demande de ne pas révéler son identité, elle devra s'appeler "Philippa". Sachant lire et écrire elle l'aidera à la boutique " les écus de Bretagne ", elle l'accompagnera pendant les réunions avec les merciers et écrira le compte-rendu de la discussion.
Le miseur a une servante nommé Lucasse et un apprenti, Estienne. Gilles de Villefranche est le frère de Jamet Boisguérin, ils n'ont pas le même nom car Gilles n'aimait pas son nom de famille, alors, il avait pris celui de sa femme. Ce dernier a une fille, Béatrice de Villefranche, elle a beaucoup d'argent, mais son père veut la marier de force avec le fils de messire Rochel.
Le lendemain, Philippa rencontre les maîtres fondeurs qui l'avaient accompagnée jusqu'à Rennes, ils viennent fabriquer une cloche  pour l'arrivée du Duc de Bretagne. Sachant qu'elle était Guillemette Landais; ils lui racontent qu'un charpentier a entendu que l'on avait retrouvé son père assassiné et qu'il avait reçu une somme d'argent pour le crime.
Un matin, Philippa décida de retourner chez elle mais une inondation eut lieu à l'hôpital Saint Yves, alors elle alla secourir des enfants.
Un soir, Philippa vit trois hommes entrer dans la boutique, afin de voler l'argent que le miseur avait caché dans la chambre de Philippa. Alors elle partit le mettre en lieu sûr et le confia à sa grande tante la sœur portière. Gilles apprit à sa fille Béatrice qu'une rumeur courait sur Philippa : elle serait la fille du miseur , si c'était le cas, la fortune de son frère serait perdue pour Béatrice, nièce et seule héritière du miseur ...
            
Passage choisi du livre :"Jamais jusqu'à ce jour, Philippa n'avait touché de fourchette, jamais non plus elle n'avait mangé dans une assiette d'argent ouvragé, entre des plats de plus bel étain, aussi beaux, et même peut-être plus, que ceux qui l'avaient toujours impressionnée, dans la grande salle du château."

Commentaires :
 Je conseille ce livre aux personnes qui veulent découvrir la vie en ville au Moyen Age en Bretagne et les divers métiers  : merciers, miseur...
Enora M, 5D, le 16/11/11 
        

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Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
Titre : Les cinq écus de Bretagne
Edition : 1993, Hachette Jeunesse, Livre de poche
Genre : Roman historique
Thème principal : Un e jeune fille orpheline à Rennes au Moyen-âge

Le sujet : A la mort de son père Guillemette Landais se retrouve orpheline. Elle décide alors par la dernière volont é de son père d’aller voir son grand-père messire Boisguérin à Rennes. Celui-ci exige qu’elle change de nom pour cacher son identité. Elle décide alors de s’appeler Philippa. Une rumeur court dans la ville : Philippa ne serait pas la petite fille de messire Boisguérin. Il décide donc de l’adopter. Un jour Philippa apprend que c’est le frère de messire Boisguérin son vrai grand-père et qu’il a payé des bandits pour tuer son père.

Passage remarquable :
« Savez-vous l’histoire des cinq écus de Bretagne ? Lorsque le premier propriétaire de cette maison l’a vendue, autour des années 1400 je crois, l’acheteur l’a payé en écus d’or. Le compte a été mal fait et, sans s’en apercevoir l’acheteur a payé un écu de trop. Le vendeur ne voulant pas le voler déposa en partant l’écu sur la cheminée.  Par superstition peut-être, le nouveau propriétaire n’y a pas touché, et a appelé sa maison L’Ecu de Bretagne. Il faut dire que cette monnaie était alors nouvelle.
Quand cet homme a finalement revendue la maison, le nouvel acheteur a décidé de la payer un écu de plus, écu qui devait rester sur la cheminée … La tradition s’est maintenue. J’ai acheté la maison « Les Quatre Ecus de Bretagne » qui est devenue la mercerie  les Cinq Ecus de Bretagne
»

Ce passage est intéressant car le nom de la maison est né de cette histoire et constitue le titre du roman.

Jugement critique personnel :
J’ai aimé l’histoire mais j’aurais aimé avoir une suite. L’histoire est complexe car il y a certains passages où je n’ai pas tout compris. C’est un livre intéressant que je conseille de lire.


Chloé Le H, 5 D, le 6 novembre 2011

 

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Auteur: Evelyne Brisou-Pellen

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Editeur: Hachette jeunesse

Collection: Livre de poche jeunesse

 Genre: Roman historique 

 Résumé:

En 1469, en Bretagne, Guillemette Landais qui est âgée de 13 ans vient de perdre son père qui était garde du château de Fougère. Elle part à Rennes voir Messire Boisguérin, le trésorier de la ville. Il lui fait un accueil pour le moins inhabituel et lui demande de prendre un nouveau prénom : Philippa. Celle-ci enquête sur la mort de son père, elle pense que Messire Bosguérin est son grand-père et qu'il a prémédité le meurtre de son fils en faisant appel à des tueurs à gages.   

Elle découvre plus tard que son grand-père ignorait son existence...

Les Personnages:

 Il y a Guillemette Landais appelée Philippa , Messire Jamet Boisguérin et et 

son apprenti Estienne, Gilles Boisguérin et sa fille Béatrice,...

Ce que je nai pas aimé:

J’ai été déçu par le début de l’intrigue qui démarre par le décès de son père.

Ce que jai aimé: 

 

A travers ce livre, j’ai découvert comment était Rennes au Moyen-âge. J’ai aussi fait la découverte de métiers qui à l’heure actuelle n’existent plus : miseur, tripière.... 

  Vincent C, 5D, 06/11/11

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L'illustation de première de couverture a évolué depuis la première publication de ce livre en 1993 comme le montrent ces trois couvertures.


 

On retrouve quelques années après Philippa et Estienne dans Les Portes de Vannes du même auteur, chez le même éditeur. Ce deuxième roman est prrésenté dans cet article en mai 2009 par Anaëlle : Les Portes de Vannes (cliquez le titre)

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 11:19

Auteur : Évelyne Brisou-Pellen9782203117679FS.gif

Titre : la fille du comte Hugues

Edition : Casterman

Date : 1995

Collection : roman

GenreC’est un roman d’aventure,  d’amour et une sorte de recueil de conte du moyen-âge

Thème L’admiration pour une mère généreuse

 Sujet : Jehanne 15 ans est la fille du comte Hugues et l’apprend lorsque sa mère est mourante, quand elle lui donne un petit paquet où il y avait des vêtements de bébé marqués d’un A rouge. Jehanne découvre qu’elle s’appelle Anne.

Sa mère n’est pas sa vraie mère car c’est sa servante, dame Hersende, qui l’a enlevée pour la sauver d’une grande épidémie dont ses parents ont été touchés et sont morts.

Avant de mourir dame Hersende lui dit d’aller au château dont son oncle est le seigneur pour se faire reconnaître. Mais son cousin l’empêche d’accéder au trône qui revient à Jehanne. Heureusement, elle fera une jolie rencontre qui l’aidera dans sa vie prochaine…

Passage remarquable, page 6 lignes 20 à 31

Jugement personnel : J’ai bien aimé mais il manque un petit peu plus d’action.

 

Loïc, 5C, 20/10/12

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Auteur : Evelyne Brisou-Pellen
Edition : Casterman
Genre : Roman d’aventure
Thème principal : L’admiration pour un oncle

Résumé  :

C’est l’histoire d’une jeune fille prénommée Jehanne. Jehanne s’occupait de sa mère mourante. Lorsque sa mère mourut, elle partit vivre chez son oncle, le comte Jean .Celui-ci vivait dans un grand château. Un jour, on accusa Jehanne du vouloir tuer le comte. Un des neveux, Thierry, était à la source de ces accusations. Lorsqu’il apprit que Jehanne était également la nièce du comte Jean et la fille du comte Hugues, il y eut un combat pour définir qui de Jehanne ou de Thierry serait le successeur. Jehanne obtint la succession grâce au combat mené pour elle par le gardien du château, Guillaume, Elle se maria par la suite avec celui-ci. Ils vécurent heureux et eurent de nombreux enfants.

Passage choisi :

"-On a empoisonné le comte ! On l’a empoisonné.
Assise sur le banc de pierre, dans un renfoncement du mur, Jehanne leva la tête.
Dans les escaliers de la tour des pas précipités. Une porte s’ouvrit dans un grand fracas d’armes, et deux gardes en cottes de mailles la saisirent violemment par les bras. Elle ne comprit rien. On ne lui laissa pas dire un mot. On lui fit dévaler l’escalier, puis d’autres escaliers. Une descente sans fin, folle, effrayante. Et la voix de Thierry qui criait :
-Elle a empoisonné le comte !
Puis elle entendit le mot « cachot » et la terreur entra dans son cœur."

Jugement personnel :
Je vous conseille ce livre car il nous apprend à quel point la vie de noble était difficile au Moyen-âge.

Apolline LR, 5B, 23/10/2011

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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 21:23

Auteur: Jean François ChabasAurelien-Malte.png

Titre: Aurélien Malte

Édition: Livre de Poche Jeunesse

Genre: Roman par lettres

Thème Principal: les lettres écrites par un homme à une femme

Résumé : C’est l’histoire d’un homme qui se nomme Aurélien Malte. Il a 36 ans et est emprisonné depuis 13 ans pour meurtre (un homicide volontaire). Mais, il doit encore rester un an derrière les barreaux. Durant cette année qu’il lui reste à purger il écrit à Anne, sa visiteuse qui vient le voir de temps en temps. Aurélien rédige sur un cahier toutes ses lettres qui ne lui seront jamais envoyées. A travers ces lettres, Aurélien nous renseigne sur sa vie avant la prison. On apprend qu’il vivait avec son grand-père. Celui-ci l’a élevé jusqu’à l’âge de 12ans. Mais malheureusement son grand-père perdit la vie en montagne lors d’une promenade avec son petit-fils : il glissa sur la neige glacée et se fracassa la tête sur un rocher. Après le décès de son grand-père, Aurélien fut élevé par sa mère et son beau-père. Les gros ennuis commencèrent à ce moment-là.        

Aurélien décrit également l’univers carcéral : la violence, l’isolement, le mensonge.Ainsi, l’écriture lui permet   de « s’évader », de trouver un semblant de  « liberté »…

Choix d'un passage remarquable :

« Grand-père, Grand-père, je gueulais, nous nous étions retrouvés, juste un mauvais moment qui serait vite oublié. Il n’a pas répondu, ni fait le moindre signe. J’ai bougé, et là je l’ai senti passer, parce que je ne sais pas s’il vous est arrivé de respirer avec des côtes cassées, mais on déguste. J’avais un but, pourtant,  mon grand-père, et je me suis dégagé de l’arbre, et j’ai commencé à glisser sur les fesses pour le rejoindre, mais je suis à nouveau parti dans la pente qui était beaucoup trop raide. C’est Grand-père qui m’a sauvé la vie, je lui suis rentré dedans. Si c’avait été le rocher, j’aurais encore bien morflé. Son dos a amorti le choc, mais je suis tout de même retombé dans les vapes, à cause de mes cotes.       A mon deuxième réveil, il y avait un choucas perché sur la rocaille, juste à côté de nous. Ça l’a plutôt surpris de me voir bouger, il s’est envolé avec un grincement déçu. Ce que j’ai vu ensuite, c’est la petite flaque rouge sous la tête de Grand-père qui me tournait le dos, je l’ai tiré par l’épaule et il n’avait plus de visage, il avait dû cogner de plein fouet dans le rocher ».

J’ai choisi ce passage car il évoque tout le respect d’Aurélien envers son Grand-père. C’est lui qui l’a élevé et logé pendant des années, jusqu’au jour où celui-ci s’écrasa sur un rocher.

Jugement critique personnel :    Je n’ai pas de jugement négatif sur ce livre : il m’a plu et il est très intéressant.

Maël, 4 A, 23/10/2012

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JEAN-FRANCOIS CHABAS

 « Aurélien Malte »

 Publié par Livre de poche jeunesse en Août 2007 , Collection Livre de poche jeunesse

Genre :  Roman par lettres

Thème principal :Des lettres écrites par un homme Aurélien pour une femme Anne

 Résumé : C'est l'histoire d'un homme de trente six ans qui a été incarcéré pendant 13 ans pour avoir tué son beau père à coup de poing. Il faut dire qu'il l'avait bien cherché car pendant un très long moment Aurélien et sa mère se faisaient frapper

Cet homme se nomme Aurélien, Aurélien MALTE. La dernière année de son emprisonnement il rencontre  une visiteuse de prison, celle-i s'appelle Anne. Il lui écrit des lettres qu’il ne lui enverra jamais. À travers ces lettres, Aurélien nous renseigne sur sa vie avant la prison. On apprend qu’il vivait chez son grand-père. Celui-ci l’a élevé jusqu’à l’âge de 12 ans. Mais malheureusement son grand-père perdit la vie en montagne lors d’une promenade avec son petit-fils : il glissa sur la neige glacée et se fracassa la tête sur un rocher. Après le décès de son grand-père, Aurélien fut élevé par sa mère et son beau-père. Les ennuis commencèrent à ce moment-là. Mais pas seulement avant son emprisonnement ; pendant aussi. Un jour il raconte qu'un homme venait de se faire amocher dans les douches par une cuillère, ça paraît tout bête mais non car les détenus aiguisent leur cuillère en les frottant sur les murs, les sols, les barreaux et tout ce qui traîne par là. Ils font ça jusqu’à ce que le manche devienne  aussi tranchant qu'un scalpel. Un autre jour, un homme s’était pendu dans sa chambre.

 

Passage remarquable : Page:42

« Bon sang, on avait déjà marché trois bonnes heures, alors ça ne me plaisait pas du tout, l'idée d'avoir peiné pour rien. Je l'ai dit à grand-père, comme un petit con, vous pouvez imaginer, allez, grand-père, allez, on fera attention, allez, et il a cédé, il m'a juste demandé de passer derrière lui. Nous avons mis nos lunettes de soleil,[...] nous sommes arrivés dans une pente qui, même exposée plein Sud était encore très enneigée un versant abrupt, et là encore grand-père m'a dit, mon garçon, nous ne somme pas prudents, et il avait raison, la neige en fondant et gelant, et refondant et regelant, avec les couches successives et le vent, et tout, ça devient une surface absolument imprévisible, mais une fois de plus j'ai chougné comme un morveux, et grand-père a soupiré et il m'a dit tu bouges pas je vais  voir ça. Il n'avait pas fait dix mètres qu'il est parti sur la plaque.[...] quand j'ai compris, j'ai crié, avant de sentir." 

Jugement critique personnel : Très bon livre et très intéressant, on y apprend ce qu'il se passe en prison, mais aussi pourquoi certaines personnes présentent des troubles du comportement face à d'autres : bien souvent leur enfance n'a pas été heureuse.

Fabien, 5C, Mars 2013

 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 21:46

couv-garinhauteterre.jpgAuteur : Evelyne Brisou-Pellen.

Titre : Le chevalier de Haute-Terre. 

Edition : Folio Junior, gallimard jeunesse.

Genre : Roman d'aventures. 

Thème principal : L'histoire d'un scribe et d'un chevalier. 

Garin, jeune scribe, se promène dans les bois pendant que Rennes est assiégé. Il y rencontre un bien curieux individu, à l'oeil bandé, Conan de Haute-Terre. Le chevalier apprend à Garin qu'il s'est bandé un oeil en attendant de retrouver son fils Judicaël, qui est retenu prisonnier quelque part. Garin accepte de devenir le serviteur de cet individu et de faire ses chroniques en échange d'argent. Au fur et à mesure de leur voyage, ils reçoivent des messages. Des lettres exigeant une certaine somme pour qu'ensuite, l'auteur de ces lettres relâche le fils de Haute-Terre. En réalité, l'auteur, c'est Tudal, un chevalier que Garin et Haute-Terre avaient sauvé sur le bord de la mer. Doutant de Haute-Terre, Garin rencontre François, un vieil ami qui lui trouve un poste au château de Suscinio. Garin accepte. Tudal et Haute-Terre, mal en point de leur aventure en mer, sont hébergés au château de Suscinio eux aussi. Un jour, quelqu'un tira une flèche sur Haute-Terre. Celui-ci fut désarmé.

Une autre flèche visait Garin, mais le tireur rate sa cible. On se prépare à l'enterrement de Haute-Terre, lorsque celui-ci surgit de sa tombe, bien vivant. Alors, il menace un garde qui lui montre l'endroit où Judicaël est enfermé ! C'est précisément au château de Suscinio. Il retrouve enfin son fils. 

Passage du livre : p 146 

"Ah ! Tu es là ! lança le chevalier. Tu tombes bien, on vient de me remettre ceci.

Et il lui tendit le rouleau.

La barque…c'est de cette façon qu'il recevait son courrier ? Stupéfait, Garin déroula le parchemin et lut : 

Si votre fils dans son entier retrouvez vous voulez,

La rançon dans son entier verser vous devrez."

 

Jugement critique personnel : Il y a beaucoup de suspens dans ce livre. Je ne l'avais pas choisi exprès, j'avais pris au hasard et c'est mon genre.

Mais, le chevalier a dû parcourir des kilomètres pendant tout le livre pour ensuite retrouver son fils en deux minutes et quelques lignes à la fin. C'est une fin un peu rapide. 

Soraya, 5C, 22/10/12

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 21:48

Indications bibliographiques :

  •  Auteur : Christopher Gravett 
  • Titre : Le temps des châteaux fort 
  •  Edition : GALLIMARD

Genre :  Documentaire

Thème principal :

Il raconte l'histoire de la vie quotidienne au Moyen Age et l’histoire des châteaux forts.

Résumer le sujet :

Ce livre permet d'apprendre beaucoup sur le Moyen âge, pas seulement sur les châteaux forts mais aussi sur la vie quotidienne au Moyen âge. Les étapes de leurs constructions sont expliquées et il montre aussi leurs transformations au fil des siècles des matériaux, des types de donjons, les vestiges des derniers monticules recouverts d’herbe où étaient placés avant les premiers châteaux en bois et en terre : Yelden ( Angleterre) ; La motte de Pleshey ( Angleterre ), les activités qui se déroulaient dans le château comme l’orgue de barbarie, les bouffons et les fous, jeux de balles et pleins d’autres choses variées. Certaines pièces sont expliquées comme la cuisine, la grande salle, la prison, etc.. La défense est aussi très importante, ils ont élaboré plusieurs types de défense comme le tir plongeant ( Angleterre ), mâchicoulis, tourelle de guet ou guette, meurtrières,.. Dans les châteaux il y avait des officiers : le sénéchal surveille les fortifications et garnison ; le maréchal le soin des chevaux ; le chambellan veille à la nourriture et aux boissons…

Choisir un passage remarquable d'une dizaine de lignes :

Les premiers châteaux forts apparaissent en France, en Allemagne et en Italie du Nord entre le IXe et le Xe siècle, au moment où l'empire de Charlemagne s'écroule sous la pression des raids vikings et hongrois. Les seigneurs bâtissent alors des forteresses pour se protéger et abriter leurs soldats. Nombreux sont les châteaux forts qui se dressent encore dans le paysage d'aujourd'hui. Au Moyen- Age, un château fort est la résidence fortifiée d'un seigneur, qu'il soit roi ou un simple baron. C’est un symbole 

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de pouvoir mais aussi un lieu d'habitation et une place forte capable de tenir de longs sièg


Ce court passage montre globalement l’évolution de la construction des châteaux forts et leurs rôles sur la société de l’époque. Dès le début du livre, on comprend beaucoup de choses sur la naissance des châteaux, et en peu de temps.
es. (Pages 6 et 8)

Jugement critique personnel :

Ce livre est vraiment intéressant et vraiment très détaillé je trouve et peut être un peu trop, c'est vrai que l’on apprend et comprend beaucoup de choses sur la vie au Moyen Age, et il y a même des études de cas. Ce recueil est très chargé en illustrations, ce qui permet de mieux imaginer la vie à cette époque. 

Louise, 5C, 20/10/2012

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Auteur :Christopher GRAVETT.

Titre : Le temps des châteaux forts 

Edition : septembre 2000, Gallimard et Dorling Kindersley, collection Les Yeux De La Découverte

Genre : documentaire.

Thème principal : Ce document  parle des châteaux forts et de la vie quotidienne dans ces châteaux au Moyen-âge.

 

Résumé :Ce livre renseigne sur les  châteaux forts, la façon d’y vivre et leurs constructions. Il nous raconte aussi les activités du château : les jongleurs contant les fabliaux, les bouffons amusant leurs seigneurs,  les jeux de balles… Il y a aussi l’explication de la construction et des inventions de leur système de défense. On parle des métiers de cette époque, comme les forgerons, les cuisiniers, les serviteurs… on parle des châteaux forts différents selon leur localisation (comme ceux du Japon ou de France). Les différentes pièces y sont décrites comme la prison, la cuisine, les résidences du seigneur ou du roi…


Mon passage préféré est à la page 26, de la ligne 1 à la ligne 13 :

« Les archers ajustent leur tir 

Même en temps de guerre, les châteaux disposent rarement d’une garnison comptant plus d’une centaine d’hommes. En réalité, un petit effectif bien retranché dans le château suffit à empêcher l’assaut d’un plus grand nombre. Les parapets et les mâchicoulis qui couronnent les murs permettent aux archers de battre l’ensemble de la muraille. Sur les parapets, les créneaux (parties creuses) sont parfois garnis de volets (huchettes) contre les projectiles ennemis tandis que les melons (parties pleines) sont percés de meurtrières pour faciliter le tir. »

J’aime ce passage là car il exprime comment cela se passait au moyen-âge quand un château était assailli et cela montre l’effectif qu’il y avait dans les châteaux.

 

Jugement personnel sur ce livre :

J ai aimé ce livre car il était intéressant et tout est bien expliqué. Ce que je n’ai pas apprécié  dans ce documentaire est qu’il  ne raconte pas qui gagnait le plus souvent dans les batailles et  ne raconte  pas non plus les conflits entre les camps. Ce livre est facile à lire car les mots compliqués sont expliqués. Je le conseille pour tout le monde car la lecture de ce documentaire  est facile.

Pierre LM, 5B, 20/10/2011

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