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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 18:58

9782218731617FSAuteur :   Yves Pinguilly

Éditeur : Rageot

Collection : La courte échelle

Date d’édition :  Avril 2000

Genre : Roman initiatique

Thèmes  principaux : L’amitié / l’amour, le voyage, la vie quotidienne, la peur et l’adolescence 

  

Résumé du sujet : . Bob est un jeune africain blanc qui vit depuis peu chez sa mère  à Paris. Il regrette son pays, l’Afrique ainsi que sa meilleure amie africaine Ayoko avec qui il correspond par lettres. Il la retrouvera à Batitingou pour Noël puisque qu’il s’ y rend accompagné de sa mère. À leur arrivée à l’aéroport où ils sont accueillis par Marcel, le père de Bob, Ayoko et  Adamou, le père d’Ayoko, de nombreux barrages  militaires les attendent car une tentative de coup d’État vient de se produire. Bob et Ayoko vont accompagner Adamou dans le nord du pays pour le repérage d’un futur circuit touristique. Sur le trajet leur véhicule tombe en panne. Adamou  laisse seuls Ayoko et Bob le temps de retrouver une pièce pour réparer la voiture. Six hommes armés, trafiquants d’armes à l’origine du coup d’État kidnappent alors Ayoko. Aidés de militaires, Amadou et Bob partent à la recherche d’Ayoko qui sera très vite localisée. Bob réussit à détourner l’attention des trafiquants en jouant de l’harmonica et ainsi il permet l’arrestation des trafiquants. En faisant prisonniers les brigands, Bob et Ayoko sont devenus les héros du pays.

Passage remarquable : « Six hommes armés de fusil nous tenaient avec leurs douze mains. Ils nous tenaient et nous maintenaient allongés sur la piste. [...]Eh patron, on emmène le yovo¹en otage, ce sera une bonne protection .Le yovo en question c’était moi Bob.[...] Penser à eux m’ a donné assez de force pour crier :

_ Je ne suivrai personne ou alors il faudra me porter et il y aura des surprises…

 _ Prenons la fille, elle sera sans doute plus docile et elle jouera le même rôle.

 Ils m’ont saucissonné les poignets et les chevilles. Sans rien dire d’autre, avec leurs armes et Ayoko prisonnière,  ils se sont enfoncés dans la forêt et dans la nuit.

Je me suis retrouvé seul. »  (p.81à83)

C’est un passage significatif car l’enlèvement va permettre à Ayoko et Bob de devenir les héros du pays.        

Mon avis personnel : J’ai beaucoup apprécié le livre. En effet avant que  Bob et Ayoko ne deviennent les héros du pays il y a eu de nombreuses actions mystérieuses. Cela me donnait envie de poursuivre la lecture. Le personnage de Bob a beaucoup évolué au cours de l’histoire : au départ on le découvre adolescent mais très vite de part ses actions on le découvre adulte.

Dans ses courriers Bob compare la vie française à celle de l’Afrique. Ceci nous permet de découvrir les mœurs d'Afrique occidentale.

¹ Yovo : nom donné au blanc dans le golfe du Bénin

 

   

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 18:52

Titre : L’enfant et la rivière
Auteur : Henri Bosco
Collection Foliolenfant-et-la-riviere.jpg
Éditions Gallimard, 1953
Genre : Roman d’aventures
Thème principal : La vie d'un jeune garçon et ses aventures sur une rivière.

Résumé : C’est l’histoire d’un jeune garçon nommé Pascalet. Il habite à la campagne avec ses parents et sa grand-tante, tante Martine, près d’une grande rivière. Un jour que ses parents sont partis, il s’éloigne vers la rivière interdite. Là-bas, il trouve une barque et monte dedans. Elle se détache et s’éloigne du rivage. Pascalet débarque sur une île où il se rend compte que les habitants retiennent prisonnier Gatzo, un jeune bohémien de son âge. Une nuit, il le délivre puis part avec lui sur une autre barque trouvée là. Les deux jeunes garçons commencent à vivre sur l’eau, pour échapper aux habitants de l’île. Un jour, ils arrivent près d’une côte. Pascalet va se promener, mais quand il revient , Gatzo n’est plus là. Il part à sa recherche, arrive dans un village, et voit que son ami a retrouvé son grand-père. Le matin, un pêcheur le ramène chez lui. Quelque temps après, une nuit, Gatzo lui rend visite, car son grand-père est mort, et il vient vivre chez son ami.

Passage recopié p 35 :

«Le jour pointait à peine. Tante Martine dormait encore dans sa chambre. Elle avait fureté jusqu’à minuit. Je profitai de son sommeil pour bourrer de provisions un petit sac : figues, noix, quignon de pain. Une heure après, j’étais au bord de la rivière.
Quelle splendeur ! L’onde était devenue limpide et le bleu d’un ciel vif, lavé, où le vent poussait en riant deux petits nuages, se reflétait sur ces eaux claires qui d’un grand mouvement fuyaient vers un horizon de collines.»

Ce passage du texte est l’élément perturbateur du récit : Pascalet est tenté par la rivière et part à l’aventure sur une barque.

Jugement critique personnel :

Ce livre est dépaysant, on a l’impression que c’est irréel. Il est bien écrit, facile à lire. Je le conseille à tous les lecteurs, car il est très intéressant. Il y a un peu de suspense à certains moments.

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A cette adresse http://chamane51.skyrock.com, vous trouverez un autre article d'impressions sur L'Enfant et la rivière. A lire en complément de l'article de Floriane.

 

Voici un extrait du début du film réalisé par Maurice Chateau comme adaptation du roman d'Henri Bosco


 

 

Et voici un autre extrait d'un film plus récent de JP Lenoir

 

 

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 17:41

Auteur : Virginie Buisson

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Titre : L'Algérie ou la mort des autres

Éditeur : Gallimard

Collection : folio junior

Genre : roman historique

Thème : une jeune française en Algérie pendant la guerre d'indépendance

 

 

Texte de quatrième de couverture en collection Folio : "Une jeune adolescente quitte les plaines brumeuses de Lorraine pour l'Algérie, où son père, militaire, a été muté.
C'est tout d'abord l'enchantement : Le village éclaboussé de soleil, la mer, la liberté... Mais l'angoisse vient, et bientôt l'horreur : la guerre éclate. La guerre d'Algérie. La violence, la haine, la cruauté. Les premières amours, l'éveil, la croissance dans un environnement déchiré. La jeune fille observe, vit passionnément ces années douloureuses au rendez-vous de l'Histoire. Une Histoire vécue."

 

Passage que je trouve remarquable : "Un rappelé s'est mutilé pour ne pas y aller.

A leur retour, les prisonniers remplissent les cours. Des vieilles femmes viennent près des grilles, elles restent des heures, impassibles, elles font apporter de la galette par des enfants, je n'ose pas affronter leur regard. Les hurlements recommencent. Je suis remontée, le dos au mur. Mon père est rentré, le coeur à la renverse..."

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:46

Titre : Lancelot ou le chevalier de la charrette.

  Auteur : Chrétien de Troyes

  Collection : Bibliocollège

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 Editeur : Hachette

 Genre : Roman de chevalerie

 Thème  Les aventures d'un chevalier de la Table Ronde

 

Résumé :

 

C’est l’histoire de Lancelot, un des chevaliers de la Table Ronde. Un jour Méléagant, un ennemi des chevaliers, vint à la cour et dit que si le roi voulait reprendre tous les prisonniers, il devrait envoyer la reine et un chevalier pour le vaincre. Keu, le sénéchal demanda au roi de pouvoir aller combattre Méléagant, celui-ci refusa mais Keu y alla quand même avec la reine.

Quand ils arrivèrent dans la forêt, ils se firent attaquer et emprisonner par Méléagant. Monseigneur Gauvain qui avait tout vu les suivit mais en route il se rendit compte qu’un autre chevalier voulait libérer la reine. Ce chevalier en question n’était autre que Lancelot du lac.

 

Passage remarquable :

 

Le passage que j’ai préféré est celui où Méléagant et Lancelot se battent. Ce passage est important car c’est là que Lancelot va tuer Méléagant (lignes 175, ...) :

"Lancelot fond sur Méléagant avec une fureur bien digne de sa haine. Avant de l'attaquer, il lui crie cependant d'une voix menaçante:
«Venez par là: je vous fais un défi et tenez pour certain que je ne voudrai pas vous épargner».
Il éperonne alors son destrier et retourne en arrière à une portée d'arc pour prendre un peu de champ. Puis les deux combattants se précipitent l'un sur l'autre au plus grand galop des chevaux. De leurs lances bientôt ils ont heurté si fort leurs solides écus qu'ils les ont transpercés. […] Étriers, sangle, courroies, rien ne put empêcher leur chute: il leur fallut vider leur selle et par-dessus les croupes des chevaux tomber sur le sol nu. Les coursiers fous de peur errent de tous côtés; en ruant, en mordant, ils voudraient eux aussi s'entre-tuer.
Les chevaliers jetés à bas se sont bien vite relevés d'un bond. Ils tirent leurs épées où des devises sont gravées. L’écu à la hauteur de leur visage, ils pensent désormais au moyen le meilleur de se faire du mal avec l'acier tranchant. Lancelot n'avait pas la moindre crainte: il s'entendait deux fois plus que Méléagant à jouer de l'épée, car il avait appris cet art dans son enfance. Ils frappent tous les deux si bien sur leurs écus et sur leurs heaumes lamés d'or que les voilà fendus et bosselés. Mais Lancelot de plus en plus presse Méléagant: d'un coup puissant il tranche le bras droit pourtant bardé de fer que l'imprudent aventurait à découvert par-devant son écu. En se sentant si malmené, Méléagant [...] est presque insensé de rage et de douleur. Il s'estime bien peu, s'il n'a recours à quelque fourberie. Il fond sur l'adversaire en comptant le surprendre. Mais Lancelot se donne garde: avec sa bonne épée, [...] il le frappe en effet au nasal qu'il lui enfonce dans la bouche en lui brisant trois dents.
Dans sa souffrance et sa fureur Méléagant ne peut dire un seul mot. Il ne daigne non plus implorer la pitié, attendu que son coeur, en mauvais conseiller, l'enferme dans les rets de son aveugle orgueil. Son vainqueur vient sur lui: il délace son heaume et lui tranche la tête. Méléagant ne jouera plus de mauvais tour à Lancelot: le voilà tombé mort."

 

Commentaire personnel :

 

J’ai moyennement aimé ce livre, sur 10 je ne lui donne que 5. Ce qui m’a plu est que Lancelot ait eu un tel courage pour sauver la reine des griffes de Méléagant. Ce qui ne m’a pas plu est qu’à certains moment son voyage s’étirait en longueur. Je ne conseillerai pas tellement ce livre.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:21

Titre : L’épée des puissants

Auteur : Pierre Davy, Gilles Scheid9782092520840.jpg

Édition : Nathan

Genre : roman historique

Thème principal : La vie d'un homme au Moyen-âge au temps des croisades

 

Le sujet :

           Constantinople, mille quatre-vingt dix-sept. Mathieu Boveret est un serf fugitif. Il est parti sur le chemin des croisades, il a combattu vaillamment contre les infidèles aux côtés de Thibault de Cercy. Ce dernier, avant de mourir, lui a offert son prénom, son titre et puis sa quête: Mathieu, devient Thibault, chevalier. D'autres nobles se joignent à la marche vers Jérusalem: ça s’appelle la croisade des barons ! Thibault doit désormais s'accaparer de son nouveau destin : celui de seigneur et de soldat. Mais il est toujours amoureux de Madeleine, une jeune bergère aux yeux verts croisée sur les routes lorsqu'il  n'était qu'un brigand. Son courage lui vaut de devenir l’écuyer de Thibault de Cercy...

 

Extrait choisi, page sept                             

         « Hiver  mille quatre-vingt dix-sept, Mathieu Boveret est un serf fugitif. Le hasard l'oblige à s'enrôler dans une troupe de brigands commandés par Thibault de Cercy, un chevalier déchu marqué d'une cicatrice en forme de croix à la joue gauche. Il se lie d'amitié avec le borgne, ancien bûcheron devenu bandit.

             Le pape Urbain il tente de convaincre les grands seigneurs chrétiens d'aller délivrer Jérusalem des mahométans. Pierre l'Ermite et d'autres moines prêcheurs persuadent une multitude de pauvres gens de se lancer dans l'aventure. Aussi, confiant dans la promesse que tous leurs crimes leur seront ainsi pardonnés, les brigands de Cercy se font pèlerins. Pendant le long et périlleux trajet qui mène vers Constantinople, Mathieu apprend beaucoup de Tersissius, un vieux moine qui a déjà fait le pèlerinage de Jérusalem. Il tombe amoureux  de Madeleine, une jeune bergère  aux yeux verts, et son courage lui vaut de devenir l'écuyer de Thibault de Cercy. »

 

J'ai choisi ce passage car il me plaisait, il présente les personnages et il dit en quelle année ça c'est passe : En 1097. Il présente la situation initiale.


Jugement critique personnel :  

J'ai choisi ce livre car j'aime bien les livres d'histoire du Moyen-âge. Ça montre comment étaient les croisades à l'époque des chevaliers et je n'avais jamais pris un livre qui parle du thème des croisades. Et les batailles sont incroyables, il ya du sang et des morts.

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 20:49

Titre: L'étoile de l'Himalaya
Auteur: Patrice Favaro
Editeur: Thierry Magnier
Collection: Aller Simple
Genre: roman, récit initiatique
Thèmes: Inde
Catégories: Jeunes, adolescents


Personnages principaux: Mohan (le héros de ce livre âgé d'une dizaine d'années), Nani (la grand-mère de Mohan), Parvati (nouvelle amie de Mohan)

Résumé du livre
etoile.jpgMohan se rend à Delhi avec sa grand-mère pour retrouver son oncle, que Mohan croyait riche.
Mais Mohan se retrouve seul, perdu par sa grand-mère dans les wagons de L'étoile de l'Himalaya. Il se met à la découverte de Delhiaccompagné de ses nouveaux amis qui, eux,  n'avaient plus aucune famille.


Extrait retenu :

"-Pourquoi as-tu atterri ici ?
-Je...
-Tu t'es échappé de chez toi parce qu'on te battait ?
-C'est... c'est compliqué à expliquer, avoua Mohan.
-C'est jamais compliqué. Tu te perds ou alors on te perd ! Moi, ça c'est passé pendant un pèlerinage avec ma famille. On se dirigeait vers le bord du Gange pour se baigner dans son eau sacrée, il y avait des milliers de gens qui faisaient pareil. Je me suis éloignée quelques instants, toute seule, et je n'ai jamais revu mes parents. Je ne pense pas qu'ils m'aient vraiment beaucoup cherchée. Trop pauvres et trop de filles à élever. Il faut se ruiner pour les
marier, alors une de moins !"

Avis personnel :

Ce livre évoque la pauvreté et la tristesse en Inde. Il parle de la réalité et nous fait comprendre que des personnes, nous, avons beaucoup de chance. Les histoires de tous ces enfants des rues ce ne sont pas des histoires totalement inventées.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 19:00

Auteur: Sophie Audouin-Mamikonian

Titre :Tara Duncan: Le Dragon Renégat

Edition:2006 Flammarion

Genre: Roman Fantastique

 

Résumé: 

Tara Duncan, la plus puissante des sortcelières*, a été victime d'une Manipulation Génétique, visant à la rendre plus forte. Sur AutreMonde* un assassinat a eu lieu. Afin de cacher son crime, le Mystérieux Tueur tente de se débarrasser des amis de Tara. Cependant le Magicgang* lui réserve bien des surprises. Avec Robin le demi-elfe, Moineau la Bête, Cal l'astucieux, Voleur Patenté*, Fabrice son meilleur ami d'enfance et de son arrière-grand père, transformé par erreur en labrador immortel, Manitou,Tara a beaucoup à faire sur terre. Sa trop puissante magie la met en danger de mort. Mais qui est donc ce Mystérieux Tueur qui veut la capturer ainsi qu'un sortcelier non-déclaré du nom de Jérémy ? En tout cas, le Magicgang* va mener l'enquête...

 *pour tous les mots à astérisque, il y a une définition à la fin de l'article

 

Extrait choisi page 19: Chapitre 1: Le Dragon ou de l'intérêt de jouer franc jeu avec un type qui a des dents plus longues que vos avant-bras...

 

« L'être sentit ses griffes traverser la couche fragile de ses doigts humains. Il contrôla son agacement. Et fixa un regard sévère sur ses lames cornées. Comme à regret, elles se rétractèrent, laissant place à des ongles nettement plus civilisés. Hmmmmmm....Mieux. Il ne devait pas se transformer. Mais son impatience était telle qu'il avait du mal à se maitriser... »

 

Mon avis : Dans cette lecture, j'ai apprécié le texte, le mystère, le suspense, l’action. Quand nous plongeons dans le livre, nous tombons dans un univers incroyable et fantastique. Alors je recommande ce livre à toutes les personnes qui aiment la lecture autant que moi parce que je suis sûre qu'elles  peuvent l’aimer.

*sortcelier : humains, elfes ou autres entités intelligentes qui pratiquent la magie

*AutreMonde : planète des sortcelier(e)s

*Magicgang : clan des amis des Tara

*Voleur Patenté : espion au service des gouvernements, habile dans l'art de voler.

Marianne K, 18/11/2011

 

utlign1Le Dragon renégat est publié chez Flammarion, c'est le tome 4 de la série des Tara Duncan.

Une sorcière, nommée Tara Duncan, a volé un parchemin qui lui permettra de faire revenir son père de parmi les fantômes mais elle part en mission sauvetage ce qui ne lui laisse pas le temps d'utiliser le parchemin.

 

Extraits que je conseille : lignes 17 à 28 page 29.

Coup de coeur :4,5 sur 5

 

Méven J, 5A le 23/10/2008

utlign1

un quizz à essayer sur ce livre


Test Littérature, poésie publié sur Quizz.biz

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 15:15




Auteurs : Ce livre a été écrit par plusieurs auteurs anonymes.

Collection : Livre de poche jeunesse

Traduction et adaptation de : Albert-Marie Schmidt 

Genre : C’est un fabliau

Thème principal : Les aventures de Renart le bandit 




Résumé :

C’est l’histoire de Renart un bandit qui tue pour se nourrir, qui attrape les gens par la ruse. Au cours de ses aventures, il rencontre des animaux comme Ysengrin le loup, Chantecler le coq, Tybert le chat, Pinte la poule et bien d’autres. Ces animaux-là lui en veulent tous à cause de sa ruse. Renart vole la viande d’Ysengrin, a failli manger Chantecler, a tué la sœur de Pinte… Mais le larron s’en sort toujours sauf un jour où le lion, qui est le roi, intente un procès  contre Renart. Ce dernier s’y rend mais faillit y mourir. Le procès est reporté un autre jour. Brun, l’ours,  essaie d’emmener Renart à la cour pour le procès, mais celui-ci le piège. Grimbert, le blaireau (il est aussi le cousin du goupil), réussit à l’emmener au procès. Renart est condamné à mort mais on lui offre sa dernière chance. Le goupil évite par d’autres chances, la mort. 





Passage du livre page 165

-          "J’ai grand besoin, dit le lion, d’être délivré de souffrir. Je ne me soutiens plus, je meurs.

Renart le couche sur le ventre et lui pousse dans les narines une prise d’Aliboron. Son corps se gonfle comme une outre. L’agonisant bouge et tressaute tant qu’un pet lui vole du cul. Il s’éternue, il se démène. Pauvre roi, quel travail est sien ! Son corps enfle toujours. Il craque. La sueur lui trempe l’échine :


- je vais me fendre en deux, dit-il.

- Ne craignez rien, répond Renart, vous êtes sans erreur guéri.

Puis il l’étend devant le feu, lui impose la peau du loup et lui glisse en la bouche un brin d’herbe Aliboron. Il en sent le goût. Aussitôt, la souffrance quitte ses mains, ses pieds, son corps."

 

Importance du passage :

Ce passage est important pour la suite de l’histoire, car Renart en lui administrant de l’herbe d’Aliboron guérit le lion qui est roi. Celui-ci lui fait donc confiance pour la suite de l’histoire.


 

Mon avis personnel concernant le livre :

J’ai bien aimé ce livre, car l’histoire est intéressante. J’aime le thème choisi, car j’ai toujours apprécié les histoires du moyen-âge. Mais je ne l’ai pas aimé, car c’est difficile à comprendre. Il y a trop de vieux français. Je recommande ce livre à ceux qui aiment les histoires du moyen-âge, qui aiment lire des gros livres.

(illustration de cet article par une enluminure du XIVe siècle représentant Renart devant la justice du roi Lion)

 

Adèle M 5B, 18/11/11

Titre : Le Roman de Renart

Auteurs : plusieurs mais anonymes 

Edition : Magnard Collège

Collection : Classiques et contemporains

Genre : roman du Moyen-âge

thème : les aventures d'un renard nommé Renart, au Moyen-Age




Sujet : C’est l’histoire d’un renard, à qui il arrive toutes sortes d’aventures. Il a un ennemi, un loup nommé Ysengrin. Le roi, un lion, veut le tuer, car il mange des oiseaux qui sont ses sujets. À la fin il est presque mort et il se serait fait enterrer vivant s’il ne s’était pas réveillé juste avant.

Passage choisi  p 63 :

« Chantecler commence à chanter très fort un vers, un œil fermé, un œil ouvert, car il craint beaucoup Renart, et regarde souvent de son côté.
- Cela ne vaut rien, dit Renard. Chanteclin chantait tout autrement, à longs traits, les yeux fermés ; on l’entendait bien de vingt enclos.
Chantecler croit qu’il dit vrai et laisse aller sa mélodie, les yeux fermés, avec beaucoup de force. Renard ne veut plus attendre : sautant par-dessus un chou rouge, il le saisit par le milieu du cou, et s’enfuit tout content d’avoir conquis sa proie. »

C’est une des nombreuses aventures de Renard. À cause de ça, il va être jugé et condamné à des peines plus ou moins fortes, selon ce qu’il a fait.



Source de l'image : Théâtre des Marionnettes de Genève




Je n’ai pas tellement aimé ce livre, car il est rédigé en vieux français, et même s’il y a un lexique à la fin, tout n’est pas expliqué : c’est donc assez difficile à comprendre.
Par contre, certains passages sont agréables car ils sont drôles.

                                                 

                                                       Floriane, 5B

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES :

Auteurs : anonymes sauf pour : Richard de Lison, Pierre de Saint  Cloud et le Prètre de la Croi- en- Brie. 

-Titre : Le Roman De Renart.

-Edition : Hachette (éditeur), Le Livre De Poche Jeunesse (collection), pendant la fin du 13 ème siècle et le dé but du 14 ème siècle (dates).

GENRE DU LIVRE:

Ce livre est appelé roman mais ressemble à un long fabliau du Moyen-Age.

THEME PRINCIPAL : 

Un renard qui cherche à manger. Il est rusé et cruel.







RESUME DU LIVRE : 

Premier livre :1- le renard persuade Chantecler de chanter les yeux fermés. Le goupil l’attrape, mais le coq se libère en faisant parler Renart. 2-Le corbeau, sire Tiécelin, flatté par Renart, laisse tomber son morceau de fromage, en chantant. 3-La mésange embrasse Renart s’en se faire prendre. 4-Renart se fait prendre par un écuyer, qui le croit mort. Le goupil se libère en lui mordant les fesses. 5-Renard étant malade, se réfugie chez son oncle, Ysengrin, le loup, qui le nourrit. Le goupil lui vole ses bacons. 6-En voulant pécher, la queue d’Ysengrin reste prise dans la glace. Son neveu, Renart, l’abandonne. 7-Renard voulut pousser Tybert le chat dans un piège,  mais sa ruse ne marche pas. Ils trouvent ensemble une andouille, que Tybert mangera tout seul ! 8-Après avoir mangé une corneille, Renart se fait pardonner par Ysengrin, en lui offrant un jambon. 9-Renart fait croire à dame Hersent que son mari le loup l’accuse pour l’avoir trompé.

Second livre : 1-En voulant se venger, Ysengrin et Roinel, tendent un piège à Renart, mais celui-ci, y échappe.2-Ysengrin se plaint devant la cour, mais Noble le roi lion, souhaite qu’il y ait la paix.3-Le goupil n’a plus de souci à se faire jusqu’au moment où les poules viennent à la cour et se plaignent de Renart qui a tué des volailles. 4-L’ours Brun est mandé par le roi pour faire venir Renart à la cour. Mais celui-ci est piégé par le goupil qui lui promet du miel.5-Cette fois-ci, c’est Tybert qui doit aller chercher Renart. Mais cette fois encore le goupil piège Tybert en lui promettant les souris de la cave d’une famille de vilains. 6- Grimbert, le blaireau, apporte à Renart, son cousin, la lettre du roi. Le goupil part avec lui à la cour.7-Renart a encore eu de la chance, car le roi voulait le pendre, mais pour finir sa punition a été de porter la croix en pénitence.8-Renard reçoit l’anneau de dame Fière, la femme du lion. Le goupil défie le roi.9-Au bout de six mois de siège, le goupil, après avoir séduit la lionne, se fait prendre.10-Noble libère Renart grâce à dame Renart qui lui donne son argent pour libérer le goupil.  

Le tiers livre :1-Bord de la mort, Roinel le chien est pendu par Renart mais Noble arriva à temps pour le sauver.2-Renart réussit à sauver le roi, qui était très malade, grâce à l’herbe aliboron.3-Pendant le combat contre les Païens, Renart fait la cour à la lionne.4- Faisant passer le roi comme mort, le goupil épouse Fière, la femme du roi. Après être revenu, le roi ne se doute de rien.5-Renard chasse des proies pour le roi, qui le félicite. Le roi mange seul les proies.6-Renard misa et perdit son derrière aux échecs. Mourant il décide de se confesser.7-Renard est veillé joyeusement, quand il était malade.8-Le goupil se réveille et se saisit de Chantecler qui était au bord de sa tombe.9-Chantecler est vainqueur de Renart.10-Renart se fait passer pour mort. C’est la fin de l’histoire.

PASSAGE REMARQUABLE :

-page 74 et 75 : « Il m’accuse de vous aimer et tout le comté retentit de ses clameurs et commérages. Il a suborné ses amis pour me faire laidure et honte. Eux-je pourtant jamais la mine d’un qui vous incite à la folie ? Fi donc ! Comment y penserais-je ? Telle requête trop vilaine. » Quand Hersent oit cette nouvelle, le dépit elle sue et brûle :

-« Comment ? » criaille-t-elle, ainsi ce sont les propos que l’on tient ! Certes à tort on me diffame. Mais qui venge une honte fausse, souvent poursuit un vrai malheur. Je le  proclame tout crûment : jamais n’ai pensé vilenie. Mais puisque le brut me l’impute, je veux, Renart que vous m’aimiez. Revenez me faire visite. Je vous avouerai pour mon ami. Aucun témoin pour nous trahir… »

Cette partie est importante, car c’est la grande raison pour laquelle Ysengrin  voulut se venger de Renart.

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :

J’ai beaucoup aimé « Le Roman de Renart » car je trouvais ça amusant que ce soient des animaux qui fassent l’histoire. J’ai trouvé ce roman compliqué, car certains mots sont du Moyen-âge, donc je ne les comprenais pas, mais le plus souvent la traduction était écrite dans le livre. C’est aussi un avantage, car grâce à ça je connais de nouveaux mots. Je vous conseille de le lire, car l’histoire est bien.

                                                                                                                                          Albane H, 5D

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 14:44

jean-paul-neuzire-tu-peux-pas-rester-l-_300.jpgTu peux pas rester là 

Jean-Paul Nozière

Thierry Magnier.-Roman 2008

 

Mei et sa mère doivent être expulsées. Tom, Léo, Victor et d’autres personnes se mobilisent pour qu’elles restent à Sponge. Vont-ils réussir ?


Livre d’actualité mais aussi un beau témoignage d’amitié.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 14:40

Un tueur à la fenêtre de Stéphane Daniel (Rageot.-Heure noire 2007)

Lundi, 19 heures, Cité des Mimosas. Max s'écroule, mortellement touché, sous les yeux de son ami Lucas. Un résident, excédé par le bruit, aurait tiré. Lucas ne croit pas à cette version et, malgré son chagrin, il va tout faire pour découvrir la vérité.

V. Nédélec, documentaliste

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Auteur : Stéphane Daniel

Titre : Un tueur à la fenêtre

Collection : Heure Noire9782700223675FS.gif

Illustrateur de couverture : François Baranger

Genre : Roman policier

Max et Lucas se promènent dans la ville par une journée de canicule. Max aperçoit de l’autre côté de la rue ses copains en scooter. Il les rejoint et se fait tuer d’une balle. Lucas rencontre alors une journaliste, celle qui a écrit l’article sur la mort de Max. Il rentre ensuite chez lui et aperçoit une lettre tapée à la machine qui lui dit : « ne dis pas un mot aux flics ».Il décide alors d’aller voir le copain de Max pour voir s’il connaissait quelqu’un qui aurait pu vouloir tuer Max. Il ne connaissait personne. Il apprend alors que l’auteur du crime s’est suicidé juste après avoir tiré. Cela lui semble bizarre étant donné qu’il était tout près de l’immeuble d’où on a tiré et qu’il n’a entendu qu’un seul coup de feu. Il va chez le commissaire qui lui apprend qu’il était sans doute la cible. Il va au lycée, et trouve encore une lettre qui lui dit cette fois de ne pas dire un mot non plus à la journaliste, sinon elle aussi serait tuée. Il va quand même lui parler et le tueur la blesse. Il va la voir à l’hôpital, et se dit qu’il va devoir retrouver le criminel au plus vite. Il se rend compte quelques jours plus tard qu’il a oublié de lui demander un renseignement, et on lui apprend alors que son frère l’a sortie de l’hôpital. Or, elle n’a pas de frère. Il va donc la retrouver et se fait capturer par le tueur, qui était au final un faux vigile soit-disant placé devant l’immeuble des copains de Max pour les surveiller. Il arrive quand même à le faire arrêter par la police.

Lucas est un adolescent de dix-sept ans qui doit découvrir comment et qui a tué Max, son meilleur ami. Il s’emporte facilement, est très nerveux. Il connaît les copains de Max et sait qu’ils ne sont pas forcément sympathiques. Il va devoir faire face à une journaliste agressive, un tueur sans pitié et des policiers pas très aidants. C’est lui qui était visé par le tueur, mais il ne se fait pas forcément bien protégé.  Il va  essayer de le retrouver, car il reçoit des lettres lui disant de ne rien dire à personne. Il finit par vaincre le tueur, car ce garçon est très persévérant et ne se sent pas rassuré de savoir qu’il était la cible.

« La barre en face lui offre le spectacle de ses orbites mortes. Par centaines, des fenêtres percent la façade lépreuse. La réfection n’est pas encore prévue, on attend que les murs s’écroulent pour engager les travaux indispensables. Le scooter redémarre derrière lui, les mobylettes assurent la stéréo. Lucas aperçoit une minuscule fumée à l’une des fenêtres en étages : sans doute un gamin qui fait exploser un pétard.                                                                                                                   

Lucas se retourne. Chérif fixe un point par terre, les yeux écarquillés, sa bouche s’arrondit :

-Merde…

Il part à reculons. Lucas s’en désintéresse. Max est  allongé par terre, son  bras est tordu sur le sol, ses yeux grands ouverts ne regardent plus rien. Sur sa nuque, ses cheveux sont collés de rouge. Du sang coule sur ses épaules. Dans la poitrine de Lucas, quelque chose se met à hurler. » (pages 15 et 16)

J’ai choisi ce passage car c’est à partir de ce moment que tout bascule : la belle journée d’été se transforme en journée de cauchemar, Lucas perd son meilleur ami. C’est le début d’une suite de péripéties et de questions sans réponses auxquelles Lucas va essayer de répondre tout au long de son aventure.

L’illustration de couverture représente un fusil et un homme à demi caché par l’ombre en train de tirer. Cette image représente l’élément perturbateur et le titre du livre. On voit tout de suite à quoi s’attendre.

J’ai aimé ce livre car il y a tout le temps de l’action, le personnage principal est très touché par la disparition de son meilleur ami. Le tueur apparait seulement à la fin mais il se signale par les lettres à Lucas pendant toute l’histoire. L’intrigue est originale car on ne s’attend pas du tout à voir le tueur envoyer des lettres à sa cible initiale et à se faire passer pour le frère de la journaliste pour attirer Lucas dans un piège.

Raphaël 4A, décembre 2015

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