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6 novembre 2018 2 06 /11 /novembre /2018 20:20

                                                  

3 raisons/3 mn par Jade, 4D

                                                 

3 raisons/3 mn par Louis, 4D

 

3 raisons / 3 mn par Quentin P, 4D

 

3 raisons/3mn par Zachalie, 4C

Ce livre a été écrit par Isabelle Allard d'après le roman de Deborah Ellis. Je ne connais pas d'autres œuvres de cette auteure. Je sais juste que c'est un livre de l'année 2018. Cette époque est particulière mais sans lien particulier avec le sujet du livre. C'est un texte écrit en Français dès l’origine.

 

Il appartient à un genre dont je reconnais les caractéristiques, c'est une bande dessinée constituée de bulles au-dessus des personnages et je reconnais la disposition des bandes dessinées. J’ai retenu tout particulièrement cette phrase : «II ne reste presque plus rien à manger» Elle témoigne de la pauvreté de la famille.

 

Cette BD parle d'une jeune fille qui s'appelle Parvana qui a onze ans, elle vit avec sa famille à Kaboul sous le régime des talibans. Son père travaille au marché, il lit des lettres aux personnes qui ne savent ni lire, ni écrire. Des hommes musclés  l’emmenèrent un jour en prison. Parvana ne pouvait pas vivre sans lui, elle établit un plan : se faire passer pour un garçon pour aller délivrer son père.

 

L’action se passe à Kaboul en Afghanistan sous le régime des talibans en Mai 2001.

Les personnages principaux sont Parvana et Shauzia. Elles essayent de délivrer le père de Parvana en se transforment en garçon.

 

J'ai beaucoup aimé ce livre car il montre la misère humaine et le mode de vie en Afghanistan. J'ai compris sans peine ce livre car l'écriture est facile à comprendre. On n’hésite pas sur le sens du texte et ses intentions sont faciles à percevoir. Pour moi je pense que l'auteur veut nous montrer la misère humaine et comment ça se passait en Afghanistan. Pour cela, l’auteure décrit, argumente et provoque.

Killian M

L'auteur de cette histoire est Deborah Ellis ; l’histoire est écrite à l’origine en Anglais. Ce livre a été écrit pendant la guerre de l'Afghanistan, c’est une bande dessinée.

C'est l'histoire d'une jeune fille se nommant Parvana qui habite à l'Afghanistan qui allait tous les jours au marché pour vendre, écrire ou traduire avec son père. Lui se nommait Baba mais les filles n'ont pas le droit de se montrer donc elle ne devait pas y rester. Une fois chez eux ils mangeaient quand les personnes du marché frappèrent à la porte et dirent que la place de Baba était en prison. Parvana était très déçue, elle dut aller au marché toute seule pour nourrir sa famille. Sa mère décida de lui couper les cheveux pour qu'elle ressemble plus à un gars. Une fois la journée du marché terminée, elle essayait de retrouver son père.

 Je trouve que cette histoire est passionnante parce qu'elle a du suspense et elle facile à lire. Elle explique la vie difficile de certains pays. Ce texte est surtout destiné aux enfants. L’auteure veut nous dire que la vie n'est pas facile partout (dans tous les pays).

Thomas, 4D

 

Parvana est paru en Novembre 2017, le livre a été écrit par Deborah Ellis, il a ensuite été formaté en bande dessinée. Enfin, le livre a été adapté en film par Nora Twomey.

Je ne connais pas pour l’instant d’autres œuvres de cette auteure.

Le roman a été écrit pendant la guerre en Afghanistan, où les conflits durent malheureusement toujours à l’heure actuelle.

Le texte est écrit français, il a sûrement été traduit car l’auteure est canadienne. Deborah Ellis est spécialisée dans l’écriture d’œuvres pour les enfants et la jeunesse.

 L’argent gagné grâce aux différents livres de la série Parvana est entièrement reversé à une association qui soutient la scolarisation des jeunes filles afghanes.

Le texte appartient à un genre d’histoire réelle et vécue.

 Parvana est le personnage principal de l’histoire. Les autres personnages principaux de la BD sont les membres de la famille de Parvana : sa mère Mama Jan, son père Nurullah Alizai surnommé Baba (papa en arabe), la grande sœur de Parvana, et son frère, Sulayman, qui est mort. Enfin, il y a son petit frère en bas âge, Zaki.

 

Tout commence au moment où Parvana et son père font le marché à Mandawi Bazaar pour survivre malgré la guerre. Baba, le père de Parvana lit et écrit : il est très instruit. Il a perdu son travail d’enseignant et vend donc des objets sur le marché pour acheter à manger.

Alors que les femmes n’ont pas le droit de se faire remarquer, les Talibans avertirent Parvana qu’elle ne devait pas venir au marché.

De plus, comme Baba est très instruit, il est très mal vu par les Talibans, qui le considèrent comme une menace.

Le soir même, Baba se fit arrêter. La famille de Parvana ne savait plus quoi faire car ils n’avaient presque plus rien à manger.

C’est alors que Parvana décida avec courage de se couper les cheveux pour ressembler à un garçon, pour pouvoir sortir seule et travailler. Son nom deviendra Aatish, qui veut dire feu.

Aatish travaille dans le but de nourrir sa famille et de faire sortir Baba de prison.

 

Quand j’ai lu la bande dessinée cela m’a fait penser à des bruits de fusils, de hurlements et de bombardements. On ressent les sentiments de peur, d’appréhension et d’insécurité. Cela m’a aussi fait penser aux images que l’on voit à la télévision, avec les femmes voilées portant leurs enfants dans leurs bras pour quitter leurs pays et qui espèrent survivre.

Pour terminer, ce livre m’a aussi fait penser à une chanson de Vitaa et Claudio Capéo « Un peu de rêve » :

« Tendez-moi un peu de rêve, j’ai plus le temps, sauvez-moi, ici je crève, j’ai plus le cran, je veux déployer mes ailes et m’envoler……

Je cherche la paix, le bonheur, quitter l’enfer, ici j’ai peur, je cherche la paix, le bonheur… »

 

J’ai choisi cet extrait du livre qui m’a plu : « Il n’y a pas si longtemps, nous avons connu la paix, ici à Kaboul. Les enfants allaient à l’école, les femmes étudiaient à l’université. Tous les empires nous avaient oubliés. Du moins, pour quelques temps. Mais cela n’a pas duré, il y a eu un coup d’état. Ensuite, il y a eu une invasion…Puis une guerre civile. Dans ce chaos, certains se sont tournés vers ceux qui promettaient de ramener l’ordre. Mais à quel prix ? » (Pages 10/11)

 

Parvana est un très beau livre, qui raconte la réalité de la guerre en Afghanistan et qui explique la place des filles dans ce pays, qui n’ont pas les mêmes droits que les garçons.

 

Pour ce livre, je mets la note de 4/5.

 

Gabin T, 4e C

Le livre écrit en 2005 par Deborah Ellis, canadienne, est une bande dessinée. Il est publié en anglais pour la première fois au Canada et en français par les éditions Hachette en 2018. Le film de cette bande dessinée sortira au cinéma le 27 juin 2018.

www.archive-host.comstyle="font-size:14px;">Les personnages principaux sont Parvana et Shauzia.

Parvana vit en Afghanistan, pays en pleine guerre, dirigé par les talibans. Les femmes n’ont plus aucun droit, interdiction de se déplacer sans un homme, de travailler…

Le père de Parvana ayant refusé de donner sa fille en mariage se retrouve en prison. Parvana, sa mère, ses sœurs et son petit frère ne peuvent donc plus rien faire seuls. Parvana et son amie de classe, Shauzia, décident alors de se déguiser en homme pour pouvoir travailler et gagner de l’argent. Parvana pourra faire manger sa famille et retrouver son père. Elle pensait qu’en donnant un « pot de vin » au gardien de prison elle pourrait voir son père.

Elle trouve un travail dans une carrière d’argile mais là elle se fait démasquer par Idrees, celui qui voulait se marier avec elle. Elle doit donc fuir avec toute sa famille et décide de rejoindre son père.

À la prison elle voit son cousin Razaq, qui est gardien de la prison. Il l’aide à libérer son père mais trop malade, il meurt sur le chemin du retour.

J’ai bien aimé ce livre. L’auteur parle d’un pays différent du mien, un pays en guerre où les femmes n’ont aucun droit.

Côme, 4D

L’auteur de cette bande dessinée est Déborah Ellis qui a d’abord écrit le roman en 2003 en anglais puis la bande dessinée en 2018. Il a aussi été adapté en film en 2017.

Il s’agit de l’histoire de Parvana et de sa famille musulmane qui   vit à Kaboul en Afghanistan en 2001.Parvana est la fille de Baba Nurullah Alizai et de Mana Jan. Le papa de Parvana se fait arrêter alors qu’il n’a rien fait de mal. Il faut alors trouver comment nourrir et protéger la famille.

Avec sa mère et sa sœur, Parvana décide de se couper les cheveux pour qu’elle devienne un garçon et qu’elle puisse travailler pour nourrir sa famille et aussi la protéger.

 Cette histoire me fait penser aux traditions des musulmans et à la difficulté pour les femmes de s’imposer par rapport aux hommes. Cela me fait aussi penser à la violence subie par les hommes en temps de guerre et je crois qu’avant dans notre pays, c’était un peu la même chose .

J’ai bien aimé ce livre car il parlait du droit des femmes par rapport aux hommes. Je pense que l’auteur voulait dénoncer la violence par rapport aux femmes et la discrimination.

Je donne trois étoiles à cette BD.                                                                            Tihane, 4C

 

Le quiz de Tihane, 4C 

https://www.babelio.com/quiz/44171/BD-Parvana-une-enfance-en-Afghanistan

L’auteur de cette bande dessinée se nomme Déborah Ellis. Elle a été écrite en 2016 en anglais. Elle a été traduite par Shelley Tasaka. La BD a aussi été réalisée en film par Nora Twomey. C’est une bande dessinée car il y a des onomatopées dans plusieurs bulles et qu’il y a des images en couleur, bien plus que dans un roman.

Il s’agit de l’histoire de Parwana, une jeune fille de onze ans et de sa famille qui vit à Kaboul en Afghanistan sous le régime des Talibans. Son père se nomme Nurullah Aliyai, sa mère Mama-Jan, sa sœur s’appelle Soraya et son petit frère Zaki. Le père de Parvana s’est fait arrêter mais malheureusement lui seul avait le droit de travailler ; les femmes n’ont pas ce droit et elles ne doivent jamais sortir de chez elles. La famille de la jeune fille se retrouve alors en manque d’argent et donc manque de nourriture.

Parvana, le personnage principal, essaye d’aider sa famille en faisant des petits boulots, elle est accompagnée par une jeune fille de son âge, Shauzia, maintenant appeler Delinvar. Un jour, en allant au marché pour acheter de la nourriture pour sa famille, elle se fait poursuivre par des hommes ralliés aux Talibans. Ces hommes se battent contre les ennemis de l’Islam.

Quand j’ai lu ce livre ça m’a rappelé une personne de mon entourage qui s’est convertie à l’Islam.

Je pense que ce livre est destiné à tout le monde et que nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte car il est flagrant. Déborah Ellis traite le sujet de l’inégalité entre les hommes et les femmes ; j’ai ressenti de la pitié pour ces femmes car elles n’ont aucun droit par rapport aux hommes. J’ai adoré lire cette BD car l’histoire est passionnante. Cependant, quand j’ai fini le livre, j’ai eu l’impression de ne pas avoir fini, la fin n’est pas complète. Je pense avoir compris le sens du livre même si je n’ai pas compris la fin. J’approuve le point de vue défendu par ce livre : il n’est pas juste que les femmes n’aient rien le droit de faire.

Ce qui m’a le plus marquée, c’est quand la mère se fait taper par un homme seulement car elle possédait une photographie.

Jessie, 4C

J’ai bien aimé ce livre car l’histoire était triste, j’ai choisi ces champs lexicaux de la violence, du courage et de l’inégalité pour mon nuage de mots car c’étaient les plus associés à ce livre .

Léo, 4C

 

nuage de mots de Gabin T 4C

nuage de mots de Gabin T 4C

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20 mai 2017 6 20 /05 /mai /2017 11:38

Ce roman a été publié en 1813, deux années plus tôt que le précédent que j'ai lu, Emma.

Qu'importe,ils se lisent indépendamment l'un de l'autre et on y retrouve les mêmes analyses sociales de la gentry et le même esprit frondeur ici incarné par Lizzy et non plus par Emma.

Lizzy est la seconde des cinq filles de Mr et Mrs Bennett. Celle-ci n'a qu'une préoccupation : marier ses filles. Pour Mrs Bennet, toutes les préoccupations tournent autour du nombre de livres de rentes que pourraient avoir ses gendres et, en conséquence, des maisons et des robes que pourraient avoir ses filles.Entre caprices et crises de nerfs, Mrs Bennet apparaît surtout comme une femme sotte et  vulgaire. Son époux est un gentleman, il s'est fait une raison : il se retire presque toujours dans sa bibliothèque et lorsqu'on le consulte, il prend presque toujours des décisions contraires à celles de son épouse.

Parmi les filles, Lydia, la troisième, épousera in extremis un aventurier sans foi ni  loi avec elle lequel elle s'était enfuie, L'honneur de la famille est atteint mais sauf. Jane et Lizzy, les deux aînées, plus proches de leur père, au terme de multiples péripéties, épouseront tout de même des gentlemen qui auront su vaincre par amour pour elles, orgueil comme préjugés.

Dans ce roman plus que dans le suivant, l'écart social est important. Le récit nous permet de découvrir quelques personnages représentatifs de ce microcosme. Parmi les portraits  soigneusement dressés, le plus souvent du point de vue de Lizzy, il y a l'obséquieux Mr Collins dont Lizzy a fort justement repoussé l'offre de mariage, la très orgueilleuse Lady Catherine de Bourgh, et bien sûr son neveu, le beau ténébreux Mr Darcy qu'épousera Lizzy après l'avoir  une première fois repoussé :

"Après un silence qui dura quelques minutes, il s'avança vers elle dans un état de grande agitation et commença ainsi :

_J'ai lutté en vain. Je n'en puis plus. Je ne puis dompter mes sentiments. Il faut que vous me permettiez de vous dire à quel point je vous admire et vous aime ardemment.

L'étonnement d'Élizabeth ne peut se dépeindre. Elle ouvrit de grands yeux, douta et garda le silence. Il prit cela pour un encouragement suffisant et l'aveu de tout ce qu'il avait éprouvé, et éprouvé depuis longtemps pour elle, suivit immédiatement. Il s'exprimait bien mais il n'avait pas que son amour à exprimer et l'orgueil ne parlait pas moins fort dans sa bouche.C'est ainsi que profondément convaincu de leur différence de rang, il mit en lumière l'abaissement auquel il consentait, les obstacles familiaux que son jugement avait toujours opposés à son inclination, le tout avec une chaleur que justifiait l'extrême importance donnée par lui à ces choses, mais qui paraissait peu propre à recommander sa demande.

En dépit de son antipathie profondément ancrée, elle ne put rester insensible au compliment que présentait pour elle l'affection d'un tel homme ; et, bien que sa résolution n'ait pas chancelé un instant, elle regretta, d'abord, la peine qu'elle allait lui faire...." (p 236/237)

 

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22 avril 2017 6 22 /04 /avril /2017 11:43

Jane Austen est une romancière anglaise de fin XVIII/début du XIXe siècle, elle a publié Emma en 1815, époque où chez nous Chateaubriand occupait largement la une littéraire laissant Mme de Staël Marceline Desbordes-Valmore bien en retrait. Or Jane Austen avec Emma écrit un vrai gros roman qui mêle intrigues sentimentales, analyses psychologiques, étude de moeurs, humour, sarcasme, critique sociale, suspense. En somme, un roman total, étonnamment moderne dans lequel Emma, une jeune femme de 21 ans, manigance et conjecture au sujet des personnes de son environnement de la gentry provinciale de Surrey ce qui donne l'occasion à l'auteure de créer des personnages parfois caricaturaux comme la trop bavarde Miss Bates, l'hypocondriaque Mr Woodhouse, parfois complexes et particulièrement travaillés comme Mr George  Knightley, Miss Jane Fairfax, Miss Hariett, l'odieuse Mrs Elton... Et cela offre aussi l'occasion d'explorer les moeurs provinciales de ce temps, soirées au coin du feu, soupers, pique-niques, visites, promenades et même un bal, de décrire la campagne anglaise et  de se livrer à une critique sarcastique des règles sociales en vigueur.

Extrait choisi, Emma vient de se moquer de Miss Bates au cours d'une journée de pique-nique collectif à Box Hill et Mr Gorge Knightley le lui reproche :

  "Oh ! s'écria Emma, je sais qu'il n'existe pas au monde une meilleure créature qu'elle, mais vous savez aussi que la bonté et le ridicule forment la base de son caractère.

_ Cela est vrai, dit-il, je l'avoue. Mais si elle était riche, j'admettrais même que le ridicule surpassât la bonté ; si elle avait de la fortune, je ne trouverais pas mauvais que ses absurdités fussent pour vous un objet de dérision. Si elle était votre égale par sa position, je ne vous ferais aucun reproche. Mais, Emma, considérez la distance qu'il y a de vous à elle : elle est très pauvre, elle est déchue de l'état de prospérité dans lequel elle était née, et, si elle vit longtemps, son sort deviendra encore plus malheureux. Sa situation devrait exciter en vous la pitié. En vérité, vous vous êtes mal conduite. Vous, qu'elle a vue enfant, vous qu'elle a vue grandir lorsque ses attentions vous honoraient, vous venez maintenant, par l'étourderie, par un orgueil mal entendu, de vous moquer d'elle, de l'humilier devant sa nièce et devant les gens dont quelques-uns imiteront votre exemple.Ce que je vous dis, Emma, ne vous est pas agréable, sans doute, et je vous assure que cela me l'est encore moins. Mais il est de mon devoir de vous faire ces représentations. Tant qu'il sera en mon pouvoir de vous dire la vérité, je le ferai. En vous donnant de bons conseils, je vous prouve la sincérité de l'amitié que j'ai pour vous : rt je me flatte qu'un jour ou l'autre vous me rendrez plus de justice que vous ne le faites à présent.

Tout en parlant, ils s'approchaient de la voiture. Elle était prête et, avant qu'elle pût dire un mot, il lui avait donné la main pour y entrer. Il avait méconnu les sentiments qui l'avaient engagée à tourner la tête et l'avaient empêchée de parler. C'était un composé de colère contre elle-même, de mortification et de chagrin." (p 414-415)

J'ai dévoré ce roman qui m'a tenue en haleine d'un bout à l'autre car l'auteure sait créer et soutenir le suspense jusqu'au bout. Les manigances d'Emma pour prévoir et organiser des mariages, ses maladresses et les patients reproches de Mr Knightley qui se comporte toujours en sage gentilhomme sont pour beaucoup dans le plaisir de cette lecture. Emma est en effet un roman à suspense et aussi un roman d'initiation. Je ne m'attendais pas à une telle modernité dans une oeuvre datant de 1815. Je l'ai lue traduite pour l'édition archipoche par Hélène Seyrès.

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20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 15:20
Ancion Nicolas, Carrière Solo

Nom de l’auteur: Nicolas Ancion.

Titre du livre: Carrière Solo.

L’éditeur: Mijade

Collection: /

L’illustrateur de la couverture: Guy Servais.

Le genre du roman: Social et sentimental.

C’est l’histoire de Mikaël un jeune homme qui était devenu une star de la chanson mais qui a décidé de tout laisser tomber pour aller vivre avec sa petite amie Julie qui dans la vie est top modèle. Mikaël n’obtient pas d’argent de son groupe alors qu’il était depuis longtemps dans ce dernier. De son côté un membre du groupe de rock just4you a quant à lui énormément d’argent car il vend beaucoup de disques et il a de nombreux fans. Mikaël a besoin d’argent car il n’a plus de travail donc il fait du chantage à Pietro qui est le leader du groupe de rock. Pietro ne voulant pas donner d’argent à Mikaël, ce dernier, pour que le leader du groupe n’ait pas d’autre choix que de lui donner ce qu’il attend, met en scène un braquage dans une station essence. Il en fait une cassette vidéo pour la montrer à Pietro, lui faisant croire que s’il ne lui donne pas d’argent il la dévoilera à la presse ce qui donnera une mauvaise réputation au groupe. Pietro ne voulant pas faire de tort à son groupe donne l’argent à Mikaël, soit environ 3000 euros.

Mikaël est le personnage principal. C’est un jeune garçon. Il est combatif mais il a un mauvais comportement. À la fin du livre il devient sociable. Il a des amis mais par la suite quelques-uns de ses amis deviennent ses ennemis.

Extrait choisi : « Quand j’ai entendu ça pour la première fois, terminait Ulysse, je n’ai pas pu écouter jusqu’au bout tellement je pleurais. Et ce n’est qu’un exemple. Tout est du chiqué. Depuis le lever du soleil jusqu’à la tombée de la nuit. Ce qu’on boit, ce qu’on dit, ce qu’on bouffe, tout est étudié, arrangé, composé, pour faire craquer les filles et, surtout, faire acheter. Des disques, bien sûr, mais aussi des posters, des calendriers, des magazines, des crayons, des gommes, des bracelets, des agendas, des cahiers, des cartables même, et, c’était prévu pour l’année prochaine: des tapis de souris, des fonds d’écran, des tasses, des maillots de bain. Just 4 you, rien que pour toi.

Oui, il avait bien fait. Il en avait marre d’être le prétexte à actionner le tiroir-caisse. Il en avait sa dose d’être manipulé, bichonné, façonné. Il n’avait envie que d’une seule chose, ce matin-là: la liberté et rien d’autre. Envie d’attendre le train, de regarder par la fenêtre, d’être n’importe qui, n’importe quand et se sentir soi-même, tout simplement. » Page 64.

J’ai choisi cet extrait de ce roman car il montre la vie d’un groupe ayant du succès.

Je trouve que Guy Servais (l’illustrateur) a bien illustré la couverture car la musique est au rendez-vous car il y a une guitare, un micro et en gros une caisse suspendue sur un fil et tenue par des pinces à linges et de plus ça reste assez simple.

Mon avis sur le livre est le suivant: l’histoire est très claire, les mots sont très compréhensibles, la mise en page est bien aérée, l’histoire est assez intéressante parfois un peu longue dans les explications. Je le recommande à ceux qui ont du mal à lire un livre jusqu’au bout, globalement c’est un bon livre.

Gaétan K, 4D, décembre 2015

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 12:26

Marcel Aymé

La clé sous le paillasson

Folio junior

Gallimard jeunesse

Nouvelles de ce recueil : La clé sous le paillasson, La canne, Le nain

La clé sous le paillasson

L’histoire se déroule dans une petite ville de province, début 1900.

Les personnages sont le gentleman cambrioleur, Mariette, Madeleine, la mère et le père.

Le gentleman cambrioleur est le fils de la famille dont il cambriole la maison.

« -Je me sens déjà prêt à renier les erreurs de ma vie d’aventures pour accomplir ma destinée dans un emploi de l'enregistrement. » Page 17

J'ai choisi ce passage car c'est à ce moment où il se rend compte que faire le cambrioleur, ce n'est pas ça, vie.

La canne

L'histoire se passe à Paris, début 1900

Les personnages sont Sorbier, Mathilde, Victor et Félicien.

Sorbier et Mathilde sont les parents de Félicien et Victor.

« Autour de lui, il y eut un tumulte de rires, de commentaires, de protestations. » page 57

J'ai choisi ce passage car Sorbier a honte à cause de la canne alors qu'il faisait le fier avec celle-ci.

Le nain

L'histoire se passe à Paris, début 1900

Les personnages sont Valentin, Germina, Barnaboum, Mary et l'homme serpent.

Valentin est un nain. Tous les personnages font partie d'un cirque.

« Chacun essuyait une larme et donnait des paroles de regret. » page 81

J'ai choisi ce passage car toute la troupe était déçue que Valentin parte à cause de sa taille.

Mattéo 4eme A, 4 octobre 2015

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6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 19:00
Aubert, Brigitte, Scènes de crime

Auteur : Aubert Brigitte

Titre : Scènes de crime

Editions : Thierry Magnier

Collections: Nouvelles

Titres des nouvelles que contient ce recueil : Dance Floor , L'Antre , O tempura o Mores , Le Centre , L'ascenseur , Hors Forfait , Grave Party , Double voie , tueurs en série , Autant en emporte le vampire , quinze partout .

Dance floor : l'histoire se passe dans une boîte de nuit. L'époque n'est pas marquée dans cette nouvelle.

Les principaux personnages sont : Robin, Amélie, Fazik, Stefan, Jimmy, Lo sound, speedy.

Robin : il travaille dans une boîte de nuit, c'est le copain d’Amélie

Il critique beaucoup les gens, il est souvent habillé de costumes et de cravates noirs.

Amélie on ne la voit pas vraiment dans l'histoire, on sait juste que c'est la copine de Robin.

Fazik : Il travaille avec Robin à la boîte de nuit et c'est lui qui commande tout le monde.

Stéfan : Il est très maniaque, il est toujours prêt à prendre le parti de Fazik et il travaille

L'antre : L'histoire se passe dans une cité. Les personnages principaux sont :Abdou et Nour

Abdou : C'est le grand frère de Nour, il est assez grand et mince et il est habillé avec des habits de pauvre.

Nour : C'est une petite fille très mignonne, c'est la petite sœur de Abdou et elle adore jouer aux poupées.

O tempura o mores : L'histoire se passe dans un restaurant on doit être en 1990.

Les personnages pricipaux sont : Mori, ousmane et Ho.

Mori : il travaille au restaurant comme gestionnaire et il s'occupe aussi de la comptabilité, il est jaloux de Ho.

Ousmane : C'est le plongeur du restaurant ; il était arrivé sans papiers, il y a six mois il était à la rue sans travail donc Mori décida de l'embaucher à la plonge.

Ho : Il travaille au restaurant où il fait des acrobaties, il montre tout le temps sa beauté et tous ses muscles aux autres clients.

Le centre : On est dans un centre qui ressemble à une sorte de prison .

Le principal personnage est un homme mais son nom n'est pas marqué dans le texte, il est anonyme, on sait juste qu'il est né dans une prison et qu'il sert de nourriture à ses maîtres.

L'ascenseur : L'histoire se passe dans un lycée ou plutôt dans l'ascenseur du lycée.

Les principaux personnages sont : Gaëlle et grand type maigre, les cheveux châtain.

Gaëlle, elle a dix huit ans, elle est tout le temps en retard et elle déteste sa tata, son tonton et ses cousins.

Les grands types maigres : Alors il est dans l'ascenseur avec Gaëlle, il est très bizarre et a une drôle de ceinture autour de sa taille.

Hors forfait : L'histoire se déroule dans un cinéma, au lycée et sur une route.

Les principaux personnages sont sont : Kévin, Sandra, Laetitia et Doug.

Kévin c'est le héros de l'histoire et il se fait passer tout le temps pour le méchant.

Sandra : On ne l'a pas vue dans l'histoire car dès que l'histoire a commencé elle était déjà décédée.

Laëtitia : C'est la petite sœur de Sandra et elle accuse Kévin d'avoir tué sa sœur.

Doug : C'est le petit copain de Sandra et l'envie de vouloir taper Kévin ne cesse de le démanger.

Grave party : L'histoire se passe environs au 21 ème Siècle et le lieu est Albi.

Les personnages principaux sont : Noémie

Noémie est une jeune fille rousse qui rêvait de devenir écrivain, elle a un petit copain qui s'appelle Jules, étudiant en journalisme.

Double vie : L'histoire se déroule à notre époque.

Les principaux personnages sont : Marco et son double.

Marco est un jeune homme qui adore la liberté, faire des bêtises et rouler vite aussi.

Son double : il ressemble à deux gouttes d'eau à Marco et ils se sont rencontrés sur une quatre-voies.

Tueur en série

L'histoire se déroule dans un parc

Le principal personnage est un psychopathe anonyme

Le psychopathe : il est dangereux, c'est un homme et c'est un tueur en série, il adore tuer les gens ça le soulage !

Autant en emporte le vampire

L'histoire se passe chez Gaëtan et ça se déroule à notre époque.

Le principal personnage est Gaëtan.

Gaëtan est un adolescent qui a à peu près quatorze ans, il adore les jeux vidéos et surtout le livre '' Vlad et les dévorateurs '' et il a tous les jours peur que les monstres de son livre viennent l'attaquer.

Quinze partout

Ça se déroule au 21 ème Siècle.

Les principaux personnages sont Mariane et Francis.

Marianne : C'est la femme de Français et elle fait tout le temps le ménage, elle est grande et maigre.

Francis : C'est le mari de Marianne, celui-ci adore le tennis et il ne manquerait pour rien au monde la finale de Tennis.

Coline, 4A, 4 octobre 2015

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 20:04
Audren, Le Paradis d'en bas

Titre : Le paradis d'en bas

Auteur : Audren

Édition: L'école des loisirs

Collection : Médium

Genre: Roman

les thèmes: Mystère, famille, amitiés, enquête.

Sur la première couverture, on distingue:

Le Nom de l'auteur: Audren, Le titre du livre: Le paradis d'en bas, l'éditeur: l'école des loisirs, quatre enfants (deux filles et deux garçons) en tenues très décontractées.

Sur la quatrième page de couverture , on peut voir le résumé de ce roman, suivi du nom de l'illustrateur de la couverture: Soledad Bravi, le code barre du livre avec son prix.

Les deux personnages principaux du récit

Léopold : Il est le narrateur. Très agacé du regard de ses parents puisqu'ils ne lui accordent aucun intérêt, sérieux envers son club et ses recherches, ses découvertes réalisées lors de cette enquête qu’il a menée à cœur jusqu'au bout avec ses amis (p.23-24).

Il grandit grâce à cette expérience et ça le transforme. Il est un peu jaloux de Justine, sa petite sœur car toutes les attentions excessives de ses parents se portent sur elle (p.22).

Il crée avec ses amis le CHD (Club des Héritiers Détectives).

Manon Janvier: C'est une fille timide aux longs cils noirs et aux grands yeux mauves. Elle est surnommée Blanche-Neige car elle a 7 frères (page25).

Les caractéristiques d'écriture de ce livre sont réalisme et mystère, avec beaucoup de descriptions puisque le narrateur, Léopold, décrit dans la majorité du livre, ce qu'il pense et les sentiments ressentis pour certains personnages.

L'histoire est racontée avec un vocabulaire courant, d'où sa facilité de lecture.

ex: «Je restai muet, sidéré. Mes parents ne me racontaient pas tout! Encore une fois, la sensation d'exclusion et d'abandon me chatouilla le coin des yeux. Deux minuscules larmes tentèrent de s'en échapper mais je les retins en basculant ma tête vers l'arrière. A cet instant, une projection de compote pomme-banane s'écrasa sur mon front. Maman apprit à Justine qu'il ne fallait pas tenir sa cuillère de la main gauche, mais personne ne me tendit de serviette pour me nettoyer. Exaspéré pas ce manque de considération, je quittai la table. Même au paradis, on m'oubliait parfois.»(p.48-49)

ou « Avec les hérissons écrasés, la jalousie, les cyclones et le doute, le monde ne pourrait être parfait. Le vrai paradis n'existait pas sur terre et c'était tant mieux. Qu'aurions-nous pu espérer autrement? Ici, c'était juste la vie, le paradis d'en bas.»(p.110)

Je trouve que les traits de caractère de certains personnages sont très peu exploités, alors qu'ils sont essentiels pour résoudre ce mystère mais au final, ils ne sont que très peu intervenus dans cette histoire(ex: Holly, Manon...).Si les protagonistes secondaires avaient un peu plus participé et étaient plus exploités, alors il y aurait eu de l'action dans le déroulement de l'histoire.Malgré cela, j'ai bien aimé la fin car je m'attendais pas à cette issue.

J'ai bien aimé ce roman. Il est facile et rapide à lire ainsi qu'à comprendre.

Même si j'aurais préféré que le caractère de certains personnages soit un peu plus développé. J'aurais bien aimé aussi que quelques passages soient un peu plus dynamiques, avec plus d'action et moins de descriptions inutiles. Malgré cela, il reste très plaisant à lire. Je le recommande à ceux qui aiment la lecture simple, facile avec des mystères.

Clémence B 4èD (30/05/2015)

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 19:31
L'accident
L'accident

Titre : L’accident

Auteur : Agnès Azza

Édition : GründRomans

Genre : Roman

C’est un Roman qui parle de la vie, de l’adolescence et de la mort.

La première page de couverture est neutre on y voit le titre du livre « L’accident » en dessous on peut voir en petite écriture, cette phrase : « Aujourd’hui j’ai quinze ans trois jours et vingt heures comme mon frère le jour de l’accident… » En bas à droite de la couverture il y a un casque. Et tout en bas de cette couverture l’édition.

La quatrième de couverture est toujours aussi neutre, on revoit notamment le titre du livre. En dessous de celui-ci une phrase donnant l’idée générale du livre : « ça parle de la mort et les adultes ne veulent jamais en parler. » Et non un court texte résumant l’histoire.

Il y a deux personnages principaux :

-Henri est âgé de quinze ans, il se dispute souvent avec sa sœur Vanessa. Il a un scooter. Henri est têtu. Ex : « Ca suffit, vous deux ! Henri, la prochaine fois, pense à en laisser aux autres. » (p.10) il est aussi sarcastique Ex : « Alors là, tu vois, m’a-t-il répondu, j’y ai pas pensé ! »(p.10)

-Vanessa est âgée de onze ans au début de l’histoire, et de quinze ans à la fin de celle-ci. Elle a une amie appelée Patou qui a le même âge. Vanessa se dispute souvent avec son frère, Henri. Elle est superstitieuse. Ex : « Comme avant chaque interro, j’ai fait trois fois le tour de ma chaise comme maman m’a appris pour me porter chance. » (p.15)

C’est une écriture triste, poétique et à la fois réaliste. C’est un roman qui comporte pas mal de dialogues, l’auteur a utilisé un vocabulaire familier, Ex : « Allez, va mourir à Ouagadougou, espèce d’abruti ! p.11 ».

Dans ce livre si j’en avais eu la possibilité, j’aurais changé le passage de l’accident d’Henri, j’aurais rajouté plus de détails sur les circonstances de l’accident, et surtout pourquoi Henri n’avait pas son casque lors de sa chute, alors que lorsqu’il est parti de chez lui, il le portait. Or, le médecin de l’hôpital a affirmé qu’il ne portait pas de casque lorsqu’il s’est fait renverser par la voiture.

J’ai bien aimé ce livre, car j’ai trouvé qu’il était très réaliste. On s’attache facilement à l’un des personnages principaux, Vanessa. Ce livre détaille bien les sentiments ressentis par les personnages. J’ai néanmoins trouvé que ce livre était un peu court, et, que l’on aurait pu rajouter certains passages de l’accident d’Henri.

Anne-Lise, 4D Juin 2015

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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 17:25

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

Auteur : Marcel Aymé

Titre : Le passe-murailleproduct_9782070624294_195x320.jpg

Edition : 1943, éditions Gallimard, Folio

GENRE C'est une nouvelle de Marcel Aymé.

 THEME PRINCIPAL Le livre contient dix nouvelles très différentes les unes des autres : les nouvelles réalistes et les nouvelles invraisemblables en mêlant le fantastique, le comique et le merveilleux. Plusieurs nouvelles parlent de la Seconde Guerre Mondiale.

 LE SUJET

Le passe-muraille : C'est l'histoire d'un homme qui passe à travers les murs.

Les sabines : C'est une femme qui se multiplie autant de fois qu'elle le souhaite et qui a beaucoup d'amants.

La carte : Le gouvernement crée des cartes de rationnement pendant la guerre.

Le décret : Un homme avance le temps de dix sept ans pour en finir avec la guerre.

Le proverbe : C'est un père tyrannique qui aide son fils à faire ses devoirs pour être le premier de la classe.

Légende poldève : C'est une femme très religieuse qui décède et qui attend pour aller au paradis.

Le percepteur d'épouses : Ce sont des maris qui payent leurs impôts avec leur femme.

Les bottes de sept lieues : C'est un écolier qui sort de la misère grâce à une paire de bottes magiques.

L'huissier : C'est un huissier qui doit revenir sur terre pour accomplir de bonnes actions auprès des pauvres pour aller au paradis.

En attendant : Ce sont des personnes qui parlent de leur vie pendant la guerre.

CHOIX D' UN PASSAGE REMARQUABLE D'UNE DIZAINE DE LIGNES

" Dutilleul venait d'entrer dans sa quarante-troisième année lorsqu'il eut la révélation de son pouvoir.

Une soir, une courte panne d'électricité l'ayant surpris dans le vestibule de son petit appartement de célibataire, il tâtonna un moment dans les ténèbres et, le courant revenu, se trouva sur le palier du troisième étage " (page 7)

 C'est l'histoire ordinaire et surnaturelle de cet homme qui découvre un jour son pouvoir. La nouvelle a donné son nom au recueil " Passe muraille " où l'on trouve d'autres nouvelles humoristiques ou surréalistes.

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

    Le passe-muraille est un livre qui contient 222 pages écrites en petits caractères. Ce livre contient trop d'histoires différentes et ne convient pas à des enfants de 13 ans car il est difficile à lire et à comprendre.

 La seule histoire que j'ai aimée est " Le passe-muraille ", il m'a permis de mieux comprendre ce qui s'est passé à Paris pendant la guerre et c'était l'histoire la plus intéressante.

Camille, 4A, novembre 2012

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INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES  

auteur : Marcel Aymé

Titre : Le passe muraille

Edition : Folio

GENRE : recueil de nouvelles 

THEME PRINCIPAL : C'est l'histoire d'un homme qui a un pouvoir.

RESUME de la nouvelle Le Passe-Muraille 

Ce livre parle de l'histoire de Monsieur Dutilleul habitant au troisième étage du 75 bis de la rue d'ORCHAMPT. Un soir lors d'une coupure d'electricité, il fait une découverte. En essayant de trouver l'interrupteur, il se rend compte qu'il est arrivé dans le couloir.

Il est employé de troisième classe au ministère de l'enregistrement, en arrivant un matin, il trouve un nouvel employé installé dans le bureau d'à côté, c'est son nouveau secrétaire. Celui-ci lui empoisonne la vie, à cause de ses critiques et de ses mimiques. Pour pouvoir se concentrer sur son travail Monsieur Dutilleul est contraint de travailler dans une réserve ou un cagibi à peine assez grand pour circuler autour de son bureau. A force il en eut assez et se mit à lui faire peur, en ne laissant dépasser que sa tête dans le mur. Il le rendit fou.

Par la suite Monsieur Dutilleul se livre à des pratiques illégales, entre dans une banque et y vole de l'argent ,dans une bijouterie: des bijoux.

Un jour il rencontre une femme dont il tombe amoureux et décide de la rencontrer, mais celle-ci est déjà prise et son mari l'enferme chaque soir à double tour pour quelle ne puisse rencontrer personne. Un jour qu'il voulut lui rendre visite et qu'il usait de son pouvoir il resta bloqué dans le mur et y mourut.

PASSAGE REMARQUABLE page n°9 

"Un jour, le sous-chef fit irruption dans le réduit  en brandissant une lettre et il se mit à beugler :

-Recommencez -moi ce torchon! Recommencez-moi cet innommable torchon qui déshonore mon service!

Dutilleul voulut protester, mais M. Lécuyer, la voix tonnante le traita de cancrelat routinier".


JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL  

Cette réaction de Lécuyer montre bien pourquoi Dutilleul est en colère.
J'ai apprécié ce livre, car il parle d'un homme au pouvoir extraordinaire, qui facilite la vie et peut être très amusant. Mais en user peut avoir des conséquences fâcheuses quand on se met hors- la-loi et mortelles quand cela s'arrête. 

Romain L. 4C Novembre 2012

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Auteur : Marcel Aymé 
Titre : Le Passe-Muraille.
Date : 1943
Editeur : Gallimard.
Collection : Folio.

Genre : Nouvelle fantastique.

Thème Principal : C’est l’histoire d’un homme qui peut traverser les murs.

Résumé : Ce livre parle d’un homme qui se découvre comme un ‘’pouvoir’’ : Il peut traverser les murs, sans se faire mal, ou autre chose. Dans l’histoire, l’homme est décrit physiquement, il a une barbe et porte des lunettes. Il est ‘’employé de troisième classe au ministère de l'Enregistrement ‘’. Comme il a un pouvoir que les autres n’ont pas, il décide d’en profiter surtout que sur lui ça ne fait rien du tout. Un matin, il remarque qu’y a un nouvel employé dans son entreprise. Celui-ci l’agace énormément à cause de ses critiques et de ses mimiques. Il décide alors, pour pouvoir travailler tranquillement, d’aller dans une autre pièce. Mais celle-ci est trop petite...

L’homme, qui s’appelle Monsieur Dutilleul, en a marre et décide de faire comme une  petite vengeance.  Sachant traverser les murs , il s’amuse à passer à travers le mur, ce qui rend fou l’employé...
Mais à force d’utiliser trop son ‘’pouvoir’’, il reste coincé dans un mur, et meurt dedans..

Jugement critique personnel.

L’histoire peut-être difficile à comprendre pour certaines personnes.

J’ai bien aimé ce livre, car l’histoire est intéressante. C’est la première fois que je lisais une histoire comme celle-ci ayant pour personnage principal un homme avec un pouvoir pas commun. Je ne pensais pas qu’il allait mourir dans un mur… Je conseille ce livre à des personnes qui aiment lire des livres avec des personnages ayant des pouvoirs ou autres…

Marie, 4A, mars 2013

 

feuilles


Marcel Aymé

26 rue Bonaparte

75000 Paris

 

                                                                                                                      Marie R…..

                                                                                                                      19 rue des Prunelles

                                                                                                                      75000 Paris

 

 

                                                                                                          Le jeudi 1er mai

 

 

Bonjour M. Aymé,

 

J’ai lu votre livre « Le passe-muraille », le texte intégral de l’édition Folio.

Vous m’avez fait découvrir des lieux de Paris au 20ème siècle tels que Montmartre : « il y avait à Montmartre, […] un excellent homme » et Montparnasse : « le climat pluvieux de Montparnasse et l’aridité  des Champs-Élysées le lassaient » (p.36) et j’ai pu sentir globalement l’atmosphère parisienne : «la rumeur de Paris s’est apaisée » (p.19)

J’ai côtoyé Sabine, son mari Antoine, Théorème son amant, M. Dutilleul, Lord Burbury, Lady Burbury et bien d’autres personnages. Les personnages voyagent beaucoup, en Angleterre, en Bretagne, en Auvergne, et à travers le monde, c’est le cas dans la nouvelle des « Sabines », où elle se divise en plusieurs personnes et ses doubles voyagent sur tous les continents : « Alphonsine épousa un milliardaire et traversa l’atlantique  avec lui, Barbe épousa un ténor napolitain et l’accompagna dans ses tournées à travers le monde, Rosalie un explorateur espagnol et s’en fut en Nouvelle-Guinée… » (p.34).

Le personnage qui m’a le plus plu est M.Dutilleul avec son don de passer à travers les murs. Je trouve que cette nouvelle est amusante, c’est celle que j’ai préférée. Je la trouve comique car le personnage fait peur à son patron en passant seulement sa tête par le mur et cela provoque la peur chez son supérieur au point qu’il devient malade : «au début de la deuxième semaine, une ambulance vint le prendre à son domicile et l’emmena dans une maison de santé »(p ;11) . Je trouve cela bien qu’il y ait une morale à la fin de la nouvelle.

J’ai apprécié ce livre.

 

Merci. À bientôt.

 

                                                                                                                Marie R.4C     

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 18:03

Titre: Vague de panique

 Auteur: Aubert et Cavali

 Edition: Voyage en pageVaguedepaniqueGRAND.jpg

Genre: Roman policier

 Le sujet de ce livre : deux adolescents appelés Robin et Alice, sont tous deux inscrits dans un club de voile. Mais un jour, lors d'une promenade dans le voilier d'un certain Jules, Robin et Alice sont témoins malgré eux de son assassinat inattendu et doivent fuir pour ne pas être tués à leurs tours.

 

Les cinq mots représentants ce livre sont:

 Vacances car Robin et Alice y sont.

 Voile car ils sont inscrits dans un des clubs.

 Panique car ils sont terrifiés par la mort de Jules.

 Chasse car ils sont poursuivis par les assassins.

 Amitié car ils ne se connaissaient à peine au début de l'histoire et à la fin un lien s'est créé entre eux.

 Oui je déciderais de publier ce livre car le courage de ces adolescents et remarquable. De plus, ils font tout pour ne pas être attrapés et tués par les brigands.

 Samedi 4 janvier 2014, Nathan P. 4A.

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