INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES : Auteur : Ray Bradbury (écrivain américain décédé en juin 2012, voir ici)
Traducteurs de l'anglais américain au français: Roland Delouya; Richard Negrou; Pierre Girard
Titre : L’homme brûlant et autres nouvelles
Edition : Flammarion_ directeur d'édition Patrice Kleff
GENRE : recueil de nouvelles de science-fiction
THEME PRINCIPAL : Comme il y a plusieurs nouvelles, j’ai choisi de parler de L’homme brûlant. Deux personnes vont rencontrer un homme étrange qui fuit le soleil.
LE SUJET : Doug et Neva sont partis pique-niquer. Sur la route, ils rencontrent un auto-stoppeur plutôt surprenant, qui cherche à fuir le soleil. De plus, cet homme a des sujets de conversation bizarres et pose certaines questions un peu étranges.
UN PASSAGE REMARQUABLE D’UNE DIZAINE DE LIGNES :
Soudain, devant eux, il y eut un homme sur le côté de la route.
Chemise ouverte pour montrer son corps bronzé jusqu’à la taille, les cheveux couleur de blé comme mûris par le soleil de juillet, les yeux de l’homme brûlaient d’un bleu ardent dans un nid de rides, de craquelures de soleil. Il agita la main, mourant dans la chaleur.
Neva écrasa la pédale du frein. L’homme disparut dans des nuages de poussière. Lorsque la poussière dorée se dissipa, ses yeux jaune vif brillèrent de façon sinistre, comme ceux d’un chat, défiant la chaleur et le vent brûlant.
Il posa les yeux sur Douglas.
Douglas détourna les siens, nerveusement.
Car on pouvait voir où l’homme avait traversé un champ couvert de hautes herbes jaunes cuites et recuites par huit semaines sans pluie. Il y avait une sente où l’homme avait brisé les herbes et s’était taillé un passage vers la route. La sente allait aussi loin que portait le regard, vers un marécage asséché et le lit d’une crique vide où n’habitaient que des galets chauffés à blanc, de gros cailloux recuits et du sable en fusion.
- Dieu me damne, vous vous êtes arrêtés ! cria l’homme avec humeur.
- Dieu me damne, je me suis arrêtée, lui répondit Neva sur le même ton. Où allez-vous ?
- J’y réfléchirai.
L’homme sauta comme un chat et se retrouva sur le siège arrière :
- En route ! Il nous court après ! Le soleil, je veux dire, bien-sûr !
(Page 17 et 18)
J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Doug et Neva font la connaissance de l’homme brûlant qui est sur la route. Je le trouve significatif, car c’est à ce moment qu’on commence un peu à connaître l’homme.
JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :
Je n’ai pas du tout aimé cette nouvelle, je l’ai trouvée ennuyante, et il y avait beaucoup trop de mots dont je ne comprenais pas la signification. D’habitude, j’aime bien quand il y a des mots que je ne connais pas, ça me permet d’enrichir mon vocabulaire. Seulement là, il y en avait vraiment beaucoup trop. C’était donc pénible de s’arrêter en permanence pour chercher ce que le mot voulait dire. Je n’ai pas aimé les autres nouvelles non plus, je voulais terminer ce livre au plus vite tellement je n’arrivais pas à le comprendre.
Emmanuelle, 4C, novembre 2012
Trégueux, le 10 mai 2014
M. Bradbury,
J’ai lu votre livre « l’homme brulant et autres nouvelles », je l’ai trouvé passionnant et je vais vous présenter ici ce que j’en ai retenu (lieux, époques et quelques citations).
Dans une voiture qui roulait sur une route d’où la poussière s’envolait en brouillard jaune (P.17, L.1 et 2), il y avait deux personnes : la grande mère qui s’appelait Neva et son petit fils appelé Doug. Le temps était très chaud. Soudain, devant eux, il y eut un homme sur le côté de la route (P.17, L.16 et 17). L’homme sauta comme un chat, se retrouva sur le siège arrière (P.18, L.45 et 46) et dit :
« En route ! Il nous court après ! Le soleil (P.18, L.47) dépêchons ! Ou nous allons tous devenir dingues ! » (p. 18, L.49)
L’homme qui parlait sans arrêt de malheur et de génétique énerva Neva qui écrasa la pédale du frein (P.24, L.215) et lui dit :
« Dehors ! Sortez ! (P.24, L.220)
_ Ici, madame ? L’homme était surpris. (P.24, L.221)
_ Ici, ici, ici, dehors, dehors ! (P.24, L.222)
_ Mais, madame… ! (P.24, L.223)
_ Dehors, ou vous êtes fichu, fini ! (P.24, L.224)
C’est une histoire vraiment étonnante, cette histoire de « L’Homme brûlant »
Karim , votre lecteur
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« L’homme brûlant et autres nouvelles de BRADBURY »
Éditions : FLAMMARION
Collection : ETONNANTS CLASSIQUES
Présentation : L’Homme brûlant
Neva, Douglas et l’auto-stoppeur sont les personnages principaux. L’histoire se passe sur une route et dans une Ford délabrée, par une journée de fortes chaleurs. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle. Neva est la tante de Douglas. L’homme, auto-stoppeur, est un personnage bizarre qui tient des propos inquiétants.
« Mangeur de feu, dit Douglas Je mange du feu. La barbe, je n’en peux plus d’attendre ce lac ! »
J’ai choisi cet extrait car cela m’intrigue de voir la suite de la nouvelle. Page 17.
Présentation : Jeu d’Octobre
L’histoire se passe dans une maison, prête à célébrer une fête pleine de rebondissements. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle.
Louise, la mère ; Mich,, le père et Marion, la fille sont les personnages principaux. Le père hait sa femme et sa fille. Il a des projets dangereux.
« Une riche odeur de sucre caramélisé emplit la maison affairée. Louise venait d’étaler sur des pommes des peaux neuves de caramel ». Page 33
J’ai choisi cet extrait car ça me donne envie de manger les pommes au caramel.
Présentation : Je ne suis pas si bête
L’histoire se passe à la campagne dans une ferme, à l’intérieur de la maison de la victime. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle.
Peter, le narrateur, Mr. Simmons, la victime, Mr Crockwell, qui sent le purin, Mr. Duffy qui sent la quincaillerie, Jamie Machugh qui sent la vieille bière de son bar sont les personnages principaux.
« C’était le corps de Mr. Simmons, étendu dans sa ferme déserte et remplie d’échos, envahie depuis des années par les mauvaises herbes ». J’ai choisi cet extrait car j’avais hâte de savoir qui a tué Mr Simmons.
Présentation : Les fruits posés au fond de la coupe
L’histoire se passe dans un bel appartement luxueux, le soir. William Acton et David Huxley sont les personnages principaux. William veut se venger et se rend chez David.
« Ils le trouvèrent, dans la mansarde, époussetant les vieilles malles, les caisses, des chaises défoncées, les petites voitures d’enfant, des jouets, des boîtes à musique, des vases et des couverts, des chevaux de bois et de poussières pièces de monnaie du temps de la guerre civile » Page 80
J’ai choisi cet extrait car il représente bien l’emploi de la description de cette nouvelle, et « ils le trouvèrent »» donne envie de lire le récit pour savoir qui c’est « ils ».
Ce que je pense de ce livre
J’ai apprécié ce livre, les quelques passages angoissants. Je n’étais pas habitué à une description poussée des situations.
Raphaël A, 4D, septembre 2015