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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 21:25

 

Titre : Le temps des miracles

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Auteur : Anne Laure Bondoux

Collection : Millésime

Edition : Bayard jeunesse

Genre : Récit de voyage

Résumé du sujet L'histoire est racontée par un garçon âgé de 12 ans, Blaise Fortune, il a été sauvé lors d'un grave accident par Gloria Bohême, celle-ci est toujours restée aux côtés de Blaise, ensemble ils parviennent à quitter le Caucase en guerre.

Il nous raconte aussi toutes les aventures qu'ils réussissent ensemble.

 Passage :  Pages 31-32

 (C’est Gloria qui parle) « Autour de nous, d'autres personnes appelaient à l’aide, mais nous n’étions pas assez nombreux. J'ai pu faire sortir deux enfants par une brèche du

 cinquième wagon. Et c'est là que j'ai entendu l’appel d'une femme. [,,,] Je me suis glissée dans le wagon, et j'ai rampé entre les sièges tordus jusqu'à la femme. […] Cette femme avait le dos brisé, elle ne pouvait plus bouger, j'ai passé mes bras autour du bébé, et je l'ai pris. »

Point de vue personnel :

J'ai beaucoup aimé ce livre, je l'ai trouvé magnifique, on y trouve des moments tristes comme des moments pleins d'humours. Ce livre était très facile à lire, je le recommande fortement.

Théoline, 5C, 29 avril 2013


Anne-Laure Bondoux a créé un site internet sur ce roman afin de donner plus d'information sur l'histoire et les personnages à ses lecteurs,  cliquez ce lien :
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http://letempsdesmiracles.bondoux.net/index.html

 

 

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Le temps des miracles de Anne-Laure Bondoux (Bayard jeunesse.-Millézime 2009)


Blaise Fortune nous raconte comment il a quitté le Caucase en guerre, aidé par Gloria Bohême (celle qui l'a recueilli après un terrible accident). Leur voyage est peuplé de multiples aventures et rencontres.


Ce livre est magnifique. Beaucoup d'amour, de tendresse, d'humour et d'espoir...
Une écriture agréable, des chapitres courts qui donnent du rythme au récit.


 Bref, un très bon moment de lecture.

Véronique Nédellec, 18/11/2011

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 13:20

six_comp_chateau_maudit_prem.jpgTitre : Les six compagnons et le château maudit

Auteur: Paul Jacques Bonzon

Collection: bibliothèque verte

Date: juin 2007

Genre: roman d’aventure

Éditeur: Hachette livre

Thème principal : Tidou et ses amis n’aiment pas les questions sans réponses.

Résumé : Tidou  et ses amis voulaient retourner voir Mady. Elle habitait près d’un lac. La chaine de Gnafron, un ami de Tidou, cassa au bout d’un jour et demi de vélo. Ils s’arrêtèrent donc devant un château pour essayer de la réparer. Soudain un homme surgit et dit à la bande de partir. Le mécanicien du château leur dit :

« Je vais vous réparer votre chaîne de vélo. »

Gnafron monta alors sur un porte bagage d’un de ses amis. Quelques minutes plus tard ils arrivèrent  à Meillerie. Quand ils aperçurent Mady,  ils la rejoignirent.  Après avoir discuté longuement, ils se dirigèrent vers un hangar en tôle. Il n’était pas fameux, mais pourtant c’est dans ce lieu  que la bande des « Gros cailloux » allait passer ses vacances. Ils rentrèrent dans le hangar et passèrent à table. Après un très bon repas, les amis allèrent se promener pour visiter les alentours. À côté de leur hangar, il y avait un lac splendide. La nuit tomba et toute la bande dut aller se coucher. Personne n’arrivait à s’endormir. Alors, Tidou décida d’aller faire un tour avec la bande d’amis sur le lac. Ils montèrent dans la barque qu’un homme leur avait prêtée. C’est à ce moment là que tout commença. Kafi le chien de Tidou était sur la barque lui aussi. Au bout de dix-minutes Kafi se mit à aboyer en direction d’une bouée. Les amis décidèrent d’aller voir ce qui se passait. Tidou était à  l’avant de la barque avec la lampe torche. Soudain il cria :

« Un homme à la mer ! »

C’était Totor, leur ami, qui avait réparé le vélo de Gnafron. Ils le remontèrent et la bande lui demanda ce qui s’était passé. Totor avait sentit un choc dans le dos et il était tombé du yacht le « Bella vista ».  Il fallait éclaircir ce mystère et la bande ne croyait pas du tout à un accident. Le lendemain matin la bande des « Gros Cailloux » se mit à résoudre l’enquête.

La question était : qui en voulait à Totor ? Et pourquoi ? 

À vous de lire le livre qui répondra à ses deux questions.

 

Passage remarquable : "Un homme !... nous venons de le dépasser.  Vite Tidou rame en arrière ! »

C’était un homme, en effet. Il était accroché à un de ces flotteurs métalliques en forme de double cône, qui servent de repère aux pêcheurs pour leurs filets.

J’ai choisi ce passage car c’est à ce moment-là que la bande des « Gros Cailloux »  retrouve Totor.

Jugement critique et personnel : J’ai apprécié le suspens qu’il y a dans ce livre. L’auteur fait bien ressentir les sentiments des personnages du roman. J’aurais souhaité plus de dialogue entre les personnages du livre.  

Mathis, 4A, avril 2013

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 19:28
Tahar Ben Jelloun
L’école perdue
Folio junior
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genre : récit poétique  à but argumentatif
 
 
sujet : Un maitre essaie d’instruire des enfants et de les faire aller à l’école malgré de nombreuses embuches.
 
l'histoire : Tahar habite dans un village qui ne porte pas de nom. On l’appelle « le village », mais lui l’appelle « le néant ». Il part faire des  études dans la grand ville et a comme projet de  devenir instituteur et pour financer sa formation, il transporte des gens en taxi. Il est hébergé par son oncle qui, lui, est taxidermiste de profession.
Au bout de ses années d’études, il remercie son oncle pour l’avoir hébergé  et se met en route pour son village natal où li a pour ambition d’ouvrir une école.
Les élèves étaient déjà peu nombreux à venir apprendre à lire et à écrire. Mais au fil des jours, le nombre d’élèves absents augmentait et le maître se retrouva seul. Il partit à la recherche des enfants et croisa le fils d’un berger qui gardait ses moutons. Celui-ci indiqua au maître d’école une petite bâtisse où il avait vu des enfants s'engouffrer. Il s’y rendit et découvrit avec stupeur en entrant des enfants assis sur des chaises qui cousaient des chaussures et des ballons et il vit aussi un chef blanc près d’un bureau, il hurlait sur les enfants qui bavardaient, faisaient mal leur travail…En échange le chef blanc leur donnait de l’argent.
Tahar décide d’aller le voir et lui parler de l’article 4 de la déclaration universelle des droits de l’homme. Mais celui-ci le menace d’un gourdin, Tahar a dû s’en aller, les élèves avaient honte. Le jour où il a décidé de partir, les élèves l’ont retenu en disant qu’ils ne voulaient pas qu’il s’en aille.
C'est ainsi, conclut Tahar, que j’ai pu monter mon école : les élèves avaient quitté la bâtisse car le maître blanc était trop sévère et car ils auraient un meilleur travail s’ils allaient à l’école.
 
 
Passage choisi, page 53 :« En Amérique, il utilise des machines, ici, c’est  la main qui coud. C’est du solide. A présent dégage. Je vais porter plainte, je vous rappelle l’article 4 des droits de l’homme »

 Le livre montre que l’éducation est cruciale pour le monde futur et que l’argent ne fait pas le bonheur
Ce livre nous rappelle que nous sommes tous égaux et que si nous avons la volonté de réussir nous réussirons .Ce livre m’a beaucoup  apporté du début à la fin, je vous le conseille, il est très bien .
Documents complémentaires :
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Romain L, 5B, janvier 2012
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Auteur :

Tahar Ben Jelloun

Titre du livre : L'école perdue

Genre : Récit poétique à but argumentatif

Collection : Gallimard Jeunesse

Résumé :

   C'est une histoire qui est arrivée dans un pays d'Afrique de l'Ouest, dans un tout petit village, Ce village n'avait pas de nom, on l'appelle « le village ». Un garçon nommé Tahar, qui habitait dans ce village l’appelait « Le néant », à cause du vide, du vent qui tourne en rond et de la poussière qu'il dégage. Ce garçon devenu grand voulut aider ce village qui était le sien, il alla en ville pour  faire ses études. Il fut hébergé par son oncle, qui était taxidermiste de métier. Tahar pour financer ses études,  conduisait des gens en taxi, pour gagner un peu d'argent . Au bout de ses plusieurs années d'études, il devint instituteur. C'était son objectif pour enseigner dans son village, qui n'avait pas d'école. Il remercia son oncle et repartit en direction de son village natal. Une fois revenu en son village, il ouvrit une classe, les enfants étaient heureux, il n'y avait pas beaucoup d'élèves mais la joie était là.

   Jour après jour, le nombre d'élèves diminuait. Au début ce n'était pas vraiment inquiétant mais après si. Au bout d'un mois il ne restait plus que la moitié des élèves, et après il se retrouva seul. Tahar décida d'aller à la recherche de ces enfants qui disparaissaient au fil des jours. Il rencontra sur son chemin le fils d'un berger, qui surveillait les moutons, il lui demanda si il avait vu des enfants, le jeune garçon lui indiqua une bâtisse blanche. Il lui dit qu'il avait vu des enfants y rentrer régulièrement qu'ils travaillaient tous là-bas. L'instituteur décida d'y aller faire un tour, il y vit tous ses élèves travailler, il vit aussi un chef blanc qui le menaça directement dès que l'instituteur lui fit rappeler l'article 4 des droits de l'homme. Ces enfants travaillaient là et étaient payés, ils en avaient honte. Tahar était vraiment choqué parce qu'il venait de voir. Il voulut partit du village, mais ce jour là, les enfants ne voulaient pas qu'il parte. Alors il décida de rester, les enfants retournèrent à l'école car le chef blanc était beaucoup trop sévère et ils comprirent que la bâtisse blanche leur faisait gagner de l'argent mais que grâce aux études, ils pourraient avoir un meilleur métier plus tard. Alors tous révèrent à l'école du village.

Passage choisi page 53 :

 

« La tête baissée, les enfants travaillaient en silence et vite. Les objets confectionnés étaient testés par un chef blanc, puis mis dans des boîtes en carton . Je me suis approché. Il s’est étonné puis m’a demandé :

      -Je suppose que tu es l’instituteur ?

      -Oui.

      -Tes élèves préfèrent mon atelier à ton école. Au moins, ici, ils gagnent de l’argent.

    -Mais ce sont des mineurs, vous n’avez pas le droit de les faire travailler.

    -Je ne les oblige pas. D’ailleurs toute ta classe est là. En Amérique, ils utilisent des machines. Ici, c’est la main qui coud. C’est du solide. A présent, dégage.

    -Je vais porter plainte. Je vous rappelle l’article 4 de la Déclaration universelle des droits de l’homme : « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes les formes. » Vous m’entendez : »Sous toutes les formes. ». Le travail des enfants, c’est de l’esclavage. Il est puni par la loi. »

 

On voit que les enfants ont choisi à la fin l’éducation. Ils se sont rendu compte que l’éducation était leur futur, qu’ils pourraient par la suite trouver un meilleur métier, que celui qu’ils pratiquaient pour gagner de l’argent. Il n’y a pas que l’argent qui compte. Ce livre m’a beaucoup appris sur divers choses, je vous le conseille fortement.

Louise, 5C, avril 2013 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 19:54

Titre : Les six compagnons de la croix rousseLES-SIX-COMPAGNONS-DE-LA-CROIX-ROUSsE.jpg

Auteur: Paul Jacques Bonzon

Collection: bibliothèque verte

Date: février 2007

Genre: roman d’aventure

Éditeur: Hachette livre

Thème principal : des enfants  jouent les détectives pour retrouver un chien.

Résumé : Un enfant de 3ème habite à Reillanette. Il doit déménager à Lyon car la ville est pauvre, mais il ne peut pas emmener Kafi, son chien, avec lui. Tidou est triste et laisse  son chien à son ami, le fils de la boulangère. Arrivé à Lyon, Tidou doit se rendre dans son nouveau collège. C’est à la recréation qu’il se joint à la bande des « gros cailloux ». Ils étaient une bonne dizaine. Tidou leur raconte son terrible déménagement. Ils décident alors de ramener Kafi, à Lyon, sans que personne ne le sache. Tidou se réjouissait, mais il y avait une question qu’ils ne s’étaient pas posée. Comment faire pour  ramener Kafi ? Le lendemain matin, Tidou avait trouvé une solution: demander à un chauffeur qui avait l’habitude  de passer à Reillanette de prendre Kafi qu’il déposerait à Lyon, quai Saint-Vincent.

Tidou s’empressa d’écrire une lettre au fils de la boulangère pour lui exposer son idée. Quelques jours plus tard, il reçut une lettre disant que Kafi était en route pour Lyon. Il arriverait donc vers six heures et demie, au quai Saint-Vincent. Le soir même, Tidou se rendit au quai. Impatient de retrouver Kafi,  Tidou commença à s’inquiéter. Il dut rentrer chez lui sans son chien. Le lendemain, il annonça aux « Gros cailloux » ce qui s’était passé. Après les cours, Tidou et un de ses amis se dirigeaient vers le quai Saint-Vincent ; pour demander au bar qui se situait à côté de l’entrepôt si le chauffeur avait déposé Kafi. Mais aucune nouvelle, rien, Kafi avait donc disparu. La bande des Gros Cailloux se mit alors à la recherche de Kafi.

Un jour, Tidou rencontra une fillette de son âge. Malade, elle ne pouvait pas bouger. Tidou raconta son histoire à Mady et elle aussi se mit à l’aider. Apprenant la situation de Mady, la bande des « Gros Cailloux » construisit un « carrosse » pour qu’elle puisse aller se balader. Quand ils l’eurent terminé Mady décida de partir à la recherche de Kafi dans les rues. Un jour, Mady se promenait avec la bande des « Gros Cailloux ».  Soudain elle aperçut Kafi dans une voiture. Tidou se réjouissait mais trop tard la voiture était déjà partie. Mady donna l’alerte et Tidou reprit confiance. Il chercha la maison du voleur. Un beau jour, Tidou trouva Kafi dans une maison isolée. Il était tout maigre. Tidou alla sonner chez la personne à qui cette maison appartenait, mais celle ci ne voulait pas rendre Kafi. Tidou et toute la bande se rendirent au commissariat. Les policiers ne voulurent pas aider Tidou et les « Gros Cailloux ». Ils se mirent donc à réfléchir à un plan pour récupérer Kafi. Après avoir retrouvé Kafi ils étaient fous de joie mais Tidou ne l’était pas tout à fait car Mady devait déménager pour guérir plus vite. Tidou et la bande eurent une idée. Celle-ci était d’installer Mady dans l’ancienne maison qui appartenait aux parents de Tidou. Finalement, tout le monde était content. D’une part ils avaient retrouvé Kafi et d’autre part ils avaient trouvé une maison pour Mady.

 

Passage remarquable

 « Kafi!... Mon brave Kafi! »

Oh! Cet instant où je retrouvai mon chien!

Oubliant d’un seul coup ses misères, la pauvre bête se jeta sur moi me bousculant me donnant des coups de tête, mordillant mes vêtements comme si, dans sa joie, elle ne savait plus ce qu’elle faisait. (page 154 du livre).

 Ce passage est très important car Tidou revoit son chien qu’il n’a pas vu depuis des mois. Il est très heureux et ce passage du livre nous fait bien ressentir la joie de Tidou. De plus, cela signifie que Kafi est fidèle à son maître Tidou.

Jugement critique et personnel

  J’ai apprécié la façon dont l’auteur nous fait ressentir la joie ou la tristesse des personnages du roman. En revanche le livre n’a pas d’illustration ce qui aurait permis de mieux imaginer les visages des personnages. Je pense que ce livre peut être très apprécié par tous les enfants qui ont eu le bonheur d’aimer un chien.

Mathis B, avril 2013

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 21:40

 titre : Qui a volé mon chien ? 2700231465.08.LZZZZZZZ
 Auteur :Roselyne Bertin 

 Edition : Rageot

Le sujet : Arthur est un jeune garçon de douze ans, collégien, qui vit avec ses parents et sa chienne adorée nommée Zoé. Zoé est une chienne de race labrador de couleur chocolat, elle est agée de cinq ans. Un jour,en rentrant du collège, Arthur constate que Zoé n’est pas là, à l’attendre, devant la maison, comme à son habitude. Arthur est effondré. Zoé a DISPARU ! Les parents d'Arthur ont signalé la disparition de Zoé à la gendarmerie.Arthur est convaincu que sa chienne a été enlevée. Face à la faible implication de la gendarmerie, Arthur et ses copains ménent l’enquête, et collent des affiches ... Un jour, Arthur reconnaît Zoé sur Internet dans une annonce de vente de chiens. Avec l’aide des gendarmes, Arthur et ses amis finissent par sauver Zoé.

Mes impressions : J’ai pris du plaisir à lire ce livre, j’ai aimé aussi l’amour entre un humain et un chien.Facile à lire, ce roman comporte un peu de suspense et l’histoire finit bien.


  Benjamin, 5C. Mars 2013 
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 18:54

Titre : Sigrid et les mondes perdussigrid.jpg

L’œil de la pieuvre

Auteur : Serge Brussolo

Edition : Le livre de poche jeunesse

Genre : roman fantastique

Thème principal :

Faire que les gens apprécient ce livre en faisant plein de surprise

Résumé :

Sigrid  est  une  jeune  fille  orpheline  qui  depuis  l'age  de  dix  ans  est  en  mission sur  une  autre  planète,  à bord  du  sous-marin   Blue  Deep.  Pour  l'équipage  du  Blue Deep,   pas  question  de  sortir  barboter  dans  l'eau  sous  peine  d'être   transformé  en  poisson. La  planète  Almoha  est  entièrement  recouverte   par  un  océan empoisonné  qui  a  le  pouvoir  de  métamorphoser  les  êtres  vivants  quand   le  seul  et  unique   continent   d'Almoha  s'est  enfoncé  dans  les flots, ses  habitants furent changés  en  poissons. Un  jour,  le  sous-marin  découvre  l'existence  de  plusieurs  vaisseaux-forêts  chargés  de  conserver  les  derniers  végétaux  existants  sur  cette planète. Sigrid  et  ses  amis  sont  envoyés  en  expédition  sur  ces  ilots  flottants  avec mission  de  les  faire  exploser.  Mais  pourquoi  détruire  les derniers  vestiges  d'un peuple  disparu?  Que  craignent  donc  les  officiers  du  Blue Deep ?  Lors  d'une  mission  de  surveillance  dans  une  zone reculée  et  abandonnée  du  sous-marin, Sigrid  fait  une  étrange  découverte: Un  hublot  oublié  par  lequel  elle  peut  pour  la première  fois  observer  le  monde  sous-marin  d'Almoha. Quel  est  donc  le  mystère  que  cachent  ces  eaux  profondes ? Tout le monde se le demande.

Mon passage : Page 333

Un jour, alors qu’elle tournait autour de la maison pour juger de l’effet de ses arrangements, elle fut rejointe par un grand poisson efflanqué, dont le museau était couvert de taches roussâtres. Son instinct lui souffla qu’il s’agissait de Gus, mais lorsqu’elle voulut demander son nom à l’inconnu, elle ne réussit qu’à cracher de grosses bulles muettes. était-ce important ?

Si le livre était bien ou non :

J’ai bien aimé ce livre car j’adore les livres d’aventure. Ce livre est mon style et je pourrais pourquoi pas lire la suite (Le mangeur de muraille) Pourquoi j'ai aimé ce livre  Ce roman est merveilleux. Page après page, vous allez de surprises en surprises ; la suite n'est jamais celle que vous aviez imaginée. L'univers sous-marin de Serge Brussolo est réellement magique.

Clémence 5C Mars 2013

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 19:19

UN-CHEVAL.JPGTitre : Un cheval de rêve

 Auteur : Evelyne Brisou-Pellen

 Collection :  Pleine Lune

 Edition : Nathan

 Genre : Roman de vie

 Résumé du sujet : C'est l'histoire d'une petite fille, Marie , qui aime l'école.

Mais au début du siècle il n'y a pas beaucoup de filles qui ont la possibilité d'y aller.

Pour se rendre à l'école, Marie, emprunte un chemin dont elle a peur, il fait très froid, il fait noir, le sol est gelé, mais surtout sur son chemin elle croise, tous les jours, Ambroise, un jeune homme qui est très méchant avec elle, qui lui fait des réflexions si désagréable comme :

 « Marie Madec qui pue du bec. »

Et plein d'autres encore...

Elle rêve d'avoir un cheval, car grâce à lui, elle pourrait traverser ce chemin, sans aucune crainte.

Ce rêve finit par se réaliser !

 

Passage :

« Évidemment, tu peux toujours renoncer

C'est le maire qui a eu l'idée, voilà ce qu'on a trouvé.»

Et il ouvrit la porte.

Dehors, dans la cour, il y avait …

Dragon noir.

Quand je pense à ce moment, j'en ai les larmes aux yeux .

[…]

 « Ça ira très bien, murmurais-je la gorge serrée, je crois que je vais me débrouiller. » ( Page 176-177 )


Point de vue personnel : J'ai aimé ce livre, car j'aime beaucoup les chevaux, je rêve moi même d'en posséder un. L'histoire est bien racontée, car on peut facilement se mettre dans la peau de Marie.

 

Couleur qui représente le mieux ce livre à mes yeux:  Marron, car ça parle de chevaux.

Théoline, 5C, janvier 2013

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 15:15

 

Indications bibliographiques :

Auteur : Evelyne Brisou Pellen.

Titre : La bague aux trois hermines.

Edition : Milan 1991, collection Zanzibar.

Genre :Roman d'aventure, roman d'amour.

Thème principal : La vie d'Alix, une servante au Moyen Age.

 Résumé : L'histoire se passe au Moyen Age quand Sire Orderic décide de marier sa fille : Dame Isabelle. Il fait venir tous les prétendants du royaume pour choisir lequel sera l'époux de sa fille quand l'un d'eux se fait mystérieusement assassiner d'une flèche dans le cœur . Alix qui a décidé d'être les yeux et les oreilles de Dame Isabelle se charge de l'enquête et rapporte tout à sa maîtresse.

Un jour, Alix fait la connaissance de Sire Etienne. Elle le trouve parfait pour Dame Isabelle. Elle va alors tout faire pour que les deux âmes sœurs se rencontrent tout en menant l'enquête. Elle en arrivera même à soupçonner Sire Etienne.

Au fil de l'histoire, elle soupçonnera plusieurs personnes, comme Ordin le jongleur. Qui a assassiné le seigneur ? Un valet, un seigneur ou un marchand ? Alix se le demande. Elle ne peut plus faire confiance à personne. Le coupable essayera même de la tuer. Elle trouvera des preuves qui en accuseront certains et en disculperont d'autres.  Alors, qui est le meurtrier? Vous le découvrirez en lisant ce livre.

 Choix d’un passage remarquable d'une dizaine de lignes :

 « Ma tante, chuchota Alix, je vais être sincère avec vous : un seigneur a été tué sur le chemin de la forêt hier matin, et je sais que c'est Ordin le Jongleur qui a  fait cela.

- Que me racontes-tu là? s'effraya la femme.

- Rassurez-vous ma tante, je ne le dirai à personne. Ce que je veux savoir, c'est qui l'a payé pour cela, c'est tout ».

La peur quitta peu à peu le gros visage, faisant place à la méfiance :

- « Si Ordin savait ce que tu sais... »

 (Pages 111 à 112)

Ce passage est important car le lecteur peut croire que Alix a enfin trouvé le coupable mais, en fait, non. Ordin rira de ces accusations. Mais, Alix soupçonnera bien vite quelqu'un d'autre...

Jugement critique personnel :

 J'ai bien aimé ce livre mais la fin était un peu compliquée. J'ai apprécié car il y a de l'amour et de l'action. Je conseille ce livre à ceux qui aiment ce genre de roman.

Mais, j'ai trouvé qu'Alix changeait trop souvent de suspect et donc, on finissait par être certain que ce n'était pas celui qu'elle croyait être le meurtrier. Mais, à part ça, ce livre est très intéressant. 

 

Mathilde A.5C,  Décembre 2012

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Titre : La Bague aux trois hermines

Auteur : Brisou-Pellen Evelyne

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genre : roman policier

Thème : un meurtre dans un château-fort au Moyen-Age

Le sujet : Ce roman se déroule au XIIe siècle dans le cadre clos d'un château-fort. Alix est une servante éduquée dans un château. Un jour, elle apprit que sa jeune maîtresse devait se marier mais Alix n'avait pas son mot à dire.Comme la future mariée ne pouvait voir ses prétendants, Alix s'en chargea elle-même. Elle espionna les futurs fiancés, elle fit la curieuse. Mais un problème survint ... Suspense !

Passage que je trouve remarquable : "En traversant une fois de plus la cour, Alix croisa Etienne qui lui fit un signe de la main" (p 153 à 165)

J’aime ce passage car il y a un dialogue intéressant et on y découvre que, rien qu’ en faisant un signe de la main, on peut résoudre une énigme. Alix a résolu une partie de son enquête à ce moment du livre.

 

Avis personnel : La personnalité d'Alix contribue fortement à l'intérêt de ce roman. Elle a de l'audace c'est pour cela ou grâce à cela qu'elle parvient à découvrir le coupable. Les relations entre les personnes sont bien décrites. Il y a de nombreuses incursions du côté des cuisines et des écuries ce qui permet de reconstituer le cadre d'un château et de résoudre une énigme très complexe.

 
Mathis, 5D, octobre 2011
 
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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 18:03

L’auteur est : Ray Bradbury

Le titre est : « L’heure H et autres nouvelles »9782080720504FS--1-.gif

L’édition est : GF-Flammarion 

La date de publication est 1961

Sa collection est Etonnants Classique

Le genre de ce livre : c'est un recueuil de nouvelles de science-fiction, plutôt tristes.

Thème principal : Il pleut depuis 7ans sur la planète vénus.

 Résumé

 Une petite fille qui s’appelait Margot se tenait à l’écart de ses camarades de classe. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’époque où il ne tombait jamais de pluie. Un jour ses camarades ont eu marre qu’elle regarde toujours la pluie à travers la grande vitre. Ils ont eu l’idée de l’enfermer dans un placard et Margot leur disait : « Non ! Non ! »  en faisant des pas en arrière et en criant : «  non, s’il vous plait la pluie va s’arrêter aujourd’hui ». Un de ses camarades avait éclaté de rire, Margot leur avait dit : « c’est pourtant aujourd’hui que les savants ont prévu, ont dit, ont affirmé que le soleil refera surface ». Ses camarades ne l’écoutaient pas et la mirent dans un placard fermé à double tour. Puis ils retournèrent en classe et la maitresse arrivait juste. La maitresse leur demanda où était passée Margot, ils répondirent tous qu’il n’en savait rien. Tout d’un coup la pluie s’arrêta, le soleil se montra et tout le monde sortit. Cela n’aura duré qu’une heure avant que la pluie revienne. Ils allèrent libérer Margot qui restait aussi triste qu’avant car elle n’avait pas vu le soleil.

Un passage :  

Les jours avaient succédé aux jours, fondus dans la même grisaille, le tambourinement de l’eau sur le sol, le son régulier et cristallin des averses alterné avec le grondement des tempêtes si énormes qu’on eut dit des raz de marée qui engourdissaient les îles.

Jugement critique

J’ai très apprécié de lire ce livre, je le conseille plutôt pour des petits lecteurs. J’ai également trouvé passionnant ce livre parce qu’il se déroule autre part que sur la terre, il se déroule sur Vénus.

Johann, 4C, novembre 2012

feuilles

 

P............, le 10/05/2014

 

M. Badbury,

J'ai récemment eu l'occasion de lire votre livre « L'heure H et autres nouvelles » un étonnant flammarion072050-1996.jpgclassique de nouvelles fantastiques. À travers les trois récits qui composent ce livre, «Et l'été ne dura qu'un jour», «Automates, société anonyme», «L'heure H», l'on fait un « voyage dans le temps».

J'ai été agréablement étonnée de voir cette association de personnages avec ce genre d'histoire : des terriens sur Vénus où le soleil n'était pas au rendez-vous depuis sept années « Car il pleuvait. Et il pleuvait depuis sept ans.» (l.10.p17) ou bien des automates dans la vie banale d'un homme : « Tandis que Smith descendait l'avenue pour prendre son autobus, Braling et Braling Deux s'engagèrent dans un couloir. » (l.21.p40) ; ou encore un jeu d'enfant qui aurait pour but une vraie invasion d'un certain commando : « De toutes les maisons de la rue, les enfants apportaient des couteaux, des fourchettes, des tisonniers, des bouts de tuyaux, des ouvre-boîtes. » (l.8.p48)

Le point de départ de ces trois nouvelles est le point qui les réunit toutes : ces histoires débutent par une vie qui semble assez banale, puis petit à petit nous pouvons découvrir que non, elle n’est pas banale car plus on avance dans le livre, plus on découvre des faits étonnants.

Je trouve qu'il n'y a pas de difficulté pour lire ce livre, les nouvelles sont originales et agréables à lire, j'ai bien aimé.

 

Salutations distinguées,

Amélie O.4C

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 18:27

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES : Auteur : Ray Bradbury (écrivain américain décédé en juin 2012, voir ici)

9782080721105

Traducteurs de l'anglais américain au français: Roland Delouya; Richard Negrou; Pierre Girard

Titre : L’homme brûlant et autres nouvelles

Edition : Flammarion_ directeur d'édition Patrice Kleff

GENRE : recueil de nouvelles de science-fiction

THEME PRINCIPAL : Comme il y a plusieurs nouvelles, j’ai choisi de parler de L’homme brûlant. Deux personnes vont rencontrer un homme étrange qui fuit le soleil.

LE SUJET : Doug et Neva sont partis pique-niquer. Sur la route, ils rencontrent un auto-stoppeur plutôt surprenant, qui cherche à fuir le soleil. De plus, cet homme a des sujets de conversation bizarres et pose certaines questions un peu étranges.

UN PASSAGE REMARQUABLE D’UNE DIZAINE DE LIGNES :

Soudain, devant eux, il y eut un homme sur le côté de la route.

Chemise ouverte pour montrer son corps bronzé jusqu’à la taille, les cheveux couleur de blé comme mûris par le soleil de juillet, les yeux de l’homme brûlaient d’un bleu ardent dans un nid de rides, de craquelures de soleil. Il agita la main, mourant dans la chaleur.

Neva écrasa la pédale du frein. L’homme disparut dans des nuages de poussière. Lorsque la poussière dorée se dissipa, ses yeux jaune vif brillèrent de façon sinistre, comme ceux d’un chat, défiant la chaleur et le vent brûlant.

Il posa les yeux sur Douglas.

Douglas détourna les siens, nerveusement.

Car on pouvait voir où l’homme avait traversé un champ couvert de hautes herbes jaunes cuites et recuites par huit semaines sans pluie. Il y avait une sente où l’homme avait brisé les herbes et s’était taillé un passage vers la route. La sente allait aussi loin que portait le regard, vers un marécage asséché et le lit d’une crique vide où n’habitaient que des galets chauffés à blanc, de gros cailloux recuits et du sable en fusion.

- Dieu me damne, vous vous êtes arrêtés ! cria l’homme avec humeur.

- Dieu me damne, je me suis arrêtée, lui répondit Neva sur le même ton. Où allez-vous ?

- J’y réfléchirai.

L’homme sauta comme un chat et se retrouva sur le siège arrière :

- En route ! Il nous court après ! Le soleil, je veux dire, bien-sûr !

(Page 17 et 18)

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Doug et Neva font la connaissance de l’homme brûlant qui est sur la route. Je le trouve significatif, car c’est à ce moment qu’on commence un peu à connaître l’homme.

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :

Je n’ai pas du tout aimé cette nouvelle, je l’ai trouvée ennuyante, et il y avait beaucoup trop de mots dont je ne comprenais pas la signification. D’habitude, j’aime bien quand il y a des mots que je ne connais pas, ça me permet d’enrichir mon vocabulaire. Seulement là, il y en avait vraiment beaucoup trop. C’était donc pénible de s’arrêter en permanence pour chercher ce que le mot voulait dire. Je n’ai pas aimé les autres nouvelles non plus, je voulais terminer ce livre au plus vite tellement je n’arrivais pas à le comprendre.

Emmanuelle, 4C, novembre 2012

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                                                                                                                         Trégueux, le 10 mai 2014

M. Bradbury,

J’ai lu votre livre « l’homme brulant et autres nouvelles », je l’ai trouvé passionnant et je vais vous présenter ici ce que j’en ai retenu  (lieux, époques et quelques citations).
Dans une voiture qui roulait sur une route d’où la poussière s’envolait en brouillard jaune (P.17, L.1 et 2), il y avait deux personnes : la grande mère qui s’appelait Neva et son petit fils appelé Doug. Le temps était très chaud. Soudain, devant eux, il y eut un homme sur le côté de la route (P.17, L.16 et 17). L’homme sauta comme un chat, se retrouva sur le siège arrière (P.18, L.45 et 46) et dit :
«  En route !  Il nous court après ! Le soleil (P.18, L.47) dépêchons ! Ou nous allons tous devenir dingues ! » (p. 18, L.49)

L’homme qui parlait sans arrêt de malheur et de génétique énerva Neva qui écrasa la pédale du frein (P.24, L.215) et lui dit :
«  Dehors ! Sortez ! (P.24, L.220)
_  Ici, madame ? L’homme était surpris. (P.24, L.221)
_  Ici, ici, ici, dehors, dehors ! (P.24, L.222)
_  Mais, madame… ! (P.24, L.223)
_  Dehors, ou vous êtes fichu, fini ! (P.24, L.224)
C’est une histoire vraiment étonnante, cette histoire de « L’Homme brûlant »

                                                                                                                 Karim , votre lecteur

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« L’homme brûlant et autres nouvelles de BRADBURY »

Éditions : FLAMMARION

Collection : ETONNANTS CLASSIQUES

 

 

Présentation : L’Homme brûlant 

 

Neva, Douglas et l’auto-stoppeur sont les personnages principaux. L’histoire se passe sur une route et dans une Ford délabrée, par une journée de fortes chaleurs. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle. Neva est la tante de Douglas. L’homme, auto-stoppeur, est un personnage bizarre qui tient des propos inquiétants.

 

«  Mangeur de feu, dit Douglas Je mange du feu. La barbe, je n’en peux plus d’attendre ce lac ! » 

J’ai  choisi cet extrait car cela m’intrigue de voir la suite de la nouvelle. Page 17.

 

Présentation : Jeu d’Octobre 

 

L’histoire se passe dans une maison, prête à célébrer une fête pleine de rebondissements. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle.

Louise, la mère ; Mich,, le père et Marion, la fille sont les personnages principaux. Le père hait sa femme et sa fille. Il a des projets dangereux.

 

 

« Une riche odeur de sucre caramélisé emplit la maison affairée. Louise venait d’étaler sur des pommes des peaux neuves de caramel ». Page 33

 J’ai choisi cet extrait car ça me donne envie de manger les pommes au caramel.

 

Présentation : Je ne suis pas si bête

 

L’histoire se passe à la campagne dans une ferme, à l’intérieur de la maison de la victime. Je suppose que cette nouvelle est écrite au 20ème siècle.

Peter, le narrateur, Mr. Simmons, la victime, Mr  Crockwell, qui sent le purin, Mr. Duffy qui sent la quincaillerie, Jamie Machugh qui sent la vieille bière de son bar sont les personnages principaux.

 

« C’était le corps de Mr. Simmons, étendu dans sa ferme déserte et remplie d’échos, envahie depuis des années par les mauvaises herbes ». J’ai choisi cet extrait car j’avais hâte de savoir qui a tué Mr Simmons.

 

Présentation : Les fruits posés au fond de la coupe

 

L’histoire se passe dans un bel appartement luxueux, le soir. William Acton et David Huxley sont les personnages principaux. William veut se venger et se rend chez David.

 

« Ils le trouvèrent,  dans la mansarde, époussetant les vieilles malles, les caisses, des chaises défoncées, les petites voitures d’enfant, des jouets, des boîtes à musique, des vases et des couverts, des chevaux de bois et de poussières pièces de monnaie du temps de la guerre civile » Page 80 

J’ai choisi cet extrait car il  représente bien l’emploi de la description de cette nouvelle, et « ils  le trouvèrent »» donne envie de lire le récit pour savoir qui c’est «  ils ».

Ce que je pense de ce livre

J’ai apprécié ce livre, les quelques passages angoissants.  Je n’étais pas habitué à une description poussée des situations.

 

Raphaël A, 4D, septembre 2015

 

 

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