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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 18:57

1243221-gf.jpgL’auteur est Ella Balaert.

Le titre est La lettre déchirée.

L’édition est Flammarion.

Sa date est 2009.

Sa collection est castor poche.

C’est un roman par lettres

Thème principalC’est l’histoire d’un petit garçon de treize ans qui s’appelle Stéphane. Il ne sait pas lire. Il a perdu son père à cause d’une dispute entre ses parents.

Résumé du sujet : Le petit garçon s’appelle Stéphane. Depuis que son père est parti, il est malheureux. Il n’a pas de copain et se sent seul. En classe, il est très discret. Quand il est interrogé, il trouve toujours une bonne excuse pour ne pas répondre au professeur, car il cache un lourd secret, celui de ne pas savoir lire alors qu’il a treize ans.  Mais il ne veut pas le dire à sa mère et encore  moins à son professeur car il ne le croirait pas parce qu’il a treize ans.

Un passage remarquable 

"- Stéphane, à vous, prenez la suite d’Arguant. 

- Je ne peux pas, Monsieur, je suis un peu malade.

Quelques-uns dans la classe s’esclaffent, au risque de dénoncer le bluff auprès du professeur. Celui-ci regarde pensivement Stéphane : jusqu’à quel point son enrouement  est-il feint ?"

Cela illustre comment Stéphane s'arrange pour tromper le professeur quand il est interrogé.Je trouve qu’il bluffe très bien le professeur quand il se fait interroger.

 Jugement critique personnel  Je trouve que ce livre est très agréable et facile à lire. La détresse du petit garçon est  émouvante. Ce qui est un peu dommage  c’est que les chapitres se terminent sur un point et commencent  sur un autre mais on ne sait pas ce qu’il y a entre les deux. Je conseille plutôt pour les petits lecteurs.

Johann LL, 4C, 15/10/12 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 10:48

Auteurs : Bazire Laure, Talamon Flore

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Titre : L’Encrier du diable

Édition : 2010, Nathan

Collection : histoire

 

Genre : roman historique

Thème principal : Judith se languit souvent de son mari, pris par ses affaires.

Le sujet : 1762, Judith, jeune femme passionnée et rebelle, a épousé François Marie Mesliand, libraire à Rouen. Elle se languit souvent de son mari, pris par ses affaires. Lorsque ses amis parisiens veulent faire reconnaître le génie de Molière à l'Académie Française, l'enthousiasme la gagne. Or, une rumeur se propage : et si Corneille était le véritable auteur des œuvres signées Molière ? Judith doit en avoir le cœur net. Mais dans l'ombre veillent ceux qui souhaitent le discrédit de Molière... à n'importe quel prix. Judith, qui habite l'ancienne maison de Corneille, se met en tête de trouver les preuves, si elles existent, qui pourraient confirmer la collaboration des deux grands auteurs. Mais, dans l'ombre, un ennemi de toujours veille...

Autre présentation en ligne :

http://www.k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=livre&id=1219

Jugement critique

Je trouve que ce livre est assez émouvant car il raconte la vie d’une personne en détresse. On a donc envie de le lire entièrement pour savoir la fin.

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Indications bibliographique :Auteur : Banzire-TalamonTitre : L’encrier du diableEdition : 2010, Edition NathanGenre : Recueil de lettres

 Thème principal : Lettres entre plusieurs personnes du XVIII°siècle

Le sujet : Une jeune femme nommée Judith est mariée à François-Marie, qui est libraire. Elle a des amis parisiens qui veulent lui faire connaître Molière, cela l’enthousiasme. Mais il y a une rumeur : si Corneille avait écrit les œuvres que Molière avait signées ?

Choisir un passage remarquable d'une dizaine de lignes :P154 :

De Judith Meslian A V. St Val                      le 12 novembre

Cher ami,La date de votre rendez-vous avec le Roi approche. Je sais de sources sûres que notre ennemi apportera un écrit censé prouver que la collaboration de Corneille aux œuvres de Molière était effective. Je vous demande d'aller à cette audience avec une personne avertie, s'y connaissant en faux, en écriture. Assurez-vous bien de sa présence.Judith

Intérêt de ce passage : Pour ce livre, c'est le moment de suspense où on se demande si Molière a vraiment été aidé par Corneille...

Jugement personnel :C'est un roman épistolaire où il y a des complots, et de la romance autour d'une énigme de Molière et Corneille, les plus célèbres dramaturges français...J'ai apprécié  le suspense qu'il y a dans toutes ces lettres adressées à différentes personnes. J'ai un peu moins aimé le fait que ce ne soit que des lettres et qu'il n'y ait pas de dialogue direct. Au début j’étais un peu perdue.

Maëlle V, 4A, 14/10/12 


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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 18:00

Claude-Ber001--2-.jpgAuteure : Claude Ber, poète, dramaturge, professeur à Sciences Po et à la Sorbonne

Titre : Aux Dires de l'écrit

Editions : Chèvre feuille étoilée

Genre : recueil de sept textes, sortes d'essais tirés de conférences, articles, séminaires.

Thèmes : l'écriture et : la folie, la poésie, le féminin, l'oralité, l'enseignement, le travail, la poésie

Sujets et citations choisies :

1. "Aux déchirés de la parole, écriture et folie"

Ce texte est celui d'une conférence à l'université de Nice en 2009. Claude Ber s'y interroge sur l'écriture et la folie. Elle évoque quelques classements distinguant les "fous littéraires [...] dont la folie s'exprime par une production livresque" comme disait Shoshana Feldman, les témoignages sur la folie et l'écriture de la folie, celle de Nerval, d'Artaud, de Virgina Woolf... écriture qui "tente de faire oeuvre littéraire à partir de la folie, avec et malgré la folie". Très vite cependant elle mentionne le défaut de tels classements qui se dispensent de considérer l'histoire personnelle et de s'attarder sur la parole de la folie. Elle observe que l'analyse de l'écriture du fou peut en partie Convenir au texte poétique. Orphée qui incarne la figure du poète fait entendre son chant hors du temps et de l'espace, aux Enfers, tout comme le fou qui écrit à la marge, hors des limites et au contraire d'Oedipe qui raconte son histoire aux personnes qu'il rencontre en chemin. Tout de même, Claude Ber souligne qu' il y a une différence notable entre poète et fou : le "dérèglement raisonné de tous les sens" voulu par Rimbaud, l'expérience de la mescaline par Michaux sont des choix délibérés des poètes alors que le fou qui écrit ne choisit pas sa folie. De même que les fous ne sont pas plus criminels que la moyenne des humains, de même ils ne sont pas plus souvent que les autres des poètes ou des littéraires.

Partant du journal d'Evelyne Encelot Claude Ber insiste sur la souffrance de la personne qui se sent sombrer dans la folie et pour qui l'écriture est tentative de reconquête de soi. Claude Ber explique les fondements de sa réflexion en mentionnant son expérience personnelle d'accompagnement de ce glissement dans la folie jusqu'au mutisme et la publication du livre d'Evelyne Encelot . "Lire les textes, les lire lire avec une attention soutenue, ouverte et aiguë" recommande Claude Ber après avoir cité quelques vers d'E. Encelot pour illustrer la déliquescence du langage du fou :

"Maintenant je n'ai quasi plus rien que mes mots

 Alors j'ai tout le temps

 Et je voyage avec les survivants

 Avec ce qu'il y a

 Comme c'est

 Seulement

 Seulement"

2. La fable/l'histoire_ Notes sur Poésie et narration

Il s'agit ici de notes à visée opératoire plutôt que théorique, numérotés de 0 à 21 concernant la distinction entre poésie et prose et leur rapport avec la narration. Cette analyse est nécessairement à situer dans le temps et l'espace : la réflexion ne concerne que la poésie française actuelle, celle qui ayant "évacué le lyrisme, le chant, la subjectivité, l'expression des sentiments, le figuratif, le narratif, le discursif, etc" tend vers "un dire intransitif".

La note 5 oppose poésie et prose, en associant la première au retour, la seconde à l'avancée ce que le vers (versus) figure dans son retour à la ligne ; ce retour du poème  sur lui-même "débouche sur une langue pliée et reflétée au miroir -à la conscience_ d'elle-même".

La note 6 renforce cette idée de retour en évoquant les strates du poème, "millefeuilles" où rythme, sonorités, figures, dispositions... se superposent pour produire du sens. Le poème se caractérise ainsi par son épaisseur, sa "pluralité de sens non éparpillés" disait Heidegger.

Au contraire de la prose qui "renvoie à l'histoire" et se déploie plutôt horizontalement, la poésie revient sur "ce que parler veut dire" c'est à dire sur l'énonciation et le langage. (note 7). La prose "déroule" alors que la poèsie "enroule", là se trouve la frontière (note10).

Dans la note 11, Claude Ber reprend l'oposition entre Orphée et Oedipe puis explore quelques autres éléments de distinction de la poésie : elle est fragment, elle explore le son et l'oralité, les images, les rythmes et elle s'y "mire" ce que la prose ne fait pas..

Dans la note 15, Claude Ber insiste sur ce point : "Même narratif, même prose narrative, le mouvement du poème est [...] indissociable de [...] la démultiplication des reflets aux facettes des cristaux, là où la prose promène toujours, d'une certaine manière, le long du chemin, le miroir stendhalien."

Note 16, elle reprend le mythe d'Orphée pour observer que le chant naît quand l'histoire est finie. Dans le poème, la "fable" a tout perdu, temps, personnages alors que dans la prose elle renoue les fils de l"histoire. Le poème "dit intransitivement. La prose, elle, dévoile, révéle" précise-t-elle dans la note 18 avant d'ajouter, note 20, que la narration concerne aussi bien la prose que la poésie. Le poème "pose la question de la narration" alors que la prose privilégie la narration.

3. L'entre-deux ou une conscience du féminin dans l'écriture

Claude Ber choisit d'intervenir en tant qu'écrivain à ce séminaire où elle aborde la problématique du "féminin dans l'écriture". A ce titre, elle s'attarde sur les effets de la dénomination et observe que la muliplication des termes employés pour parler des femmes qui écrivent  révèle une difficulté. En ce qui la concerne, elle choisit un entre deux, elle est une ou la poète. Elle insiste sur l'acte d'écrire, travail tout à fait singulier, qui fonde l'identité de l'écrivain et de la sorte, parler d'écriture féminine revient à refuser aux femmes la reconnaissance de la singularité de leur travail d'écrivain alors que nul ne songe à parler d'homme-écrivain ou d'écrivain- homme. C'est que la place de l'homme à l'agora et dans la polis ne pose pas problème mais qu'à la femme est dévolue la domus. Pourtant, "Le je qui écrit, le sujet de l'écriture est autre et distinct de celui ou celle qui écrit." Le je, sujet de l'écriture "advient et devient en écrivant" ce qui rend inapprpprié le concept d'écriture féminine.

Réfléchissant à l'emploi du pseudonyme par les écrivains comme Jean-Baptiste Arouet (Voltaire), Aurore Dupin (George Sand), Mohamed Moulessehoul (Yasmina Khadra) elle note cepedant que "se nommer au masculin ou au féminin, écrire au masculin ou au féminin, change la donne" Elle-même choisissant de se prénommer Claude opte pour un prénom féminin et masculin qui la relie aux célèbres claudicateurs "de la lignée de Dionysos, Héphaïstos, Oedipe ou Jacob". En somme, comme l'annonçait le titre, elle se positionne dans "l'entre-deux" face à cette question.

4. Le dirécrire, variations


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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 22:16
 Auteur : Emmanuel BOURDIER Titre : 4 ans 6 mois et 3 jours plus tard ... Edition : Castor Poche Flammarion Genre : Roman d'amour ou Roman tragique Thème Principal : L'histoire d'un jeune garçon qui sort du coma Résumé : Lorsque Julien se réveille, il n'a plus dix ans mais bientôt quinze ans, tout a changé, ses immenses pieds, sa nouvelle tête, celle de ses amis dans la cour du collège, leurs conversations ... et les filles ! Et surtout la jolie Suzanne. 4 ans 6 mois et 3 jours plus tard ... C'est le temps que Julien est resté dans le coma. A son réveil, ses parents sont en larmes mais curieusement un autre homme les accompagne. Soudain, il embrasse sa mère, Julien vient de comprendre que ses parents se sont séparés. A son retour, Julien retrouve sa chambre de petit garçon qui n'a pas changé et ses vêtements trop petits. Julien va rendre visite à son vieil ami Alain. Une enseignante à la retraite se charge de lui enseigner tous les cours auxquels il n'a pu assister pendant ces 4 ans, en seulement huit semaines. Quand Julien reprend l'école, il tombe sous le charme de la jolie Suzanne mais il se fait un ennemi redoutable en défendant un sixième des mains de Jean-Marie, un garçon costaud de son âge. Suzanne invite Julien à jouer des pièces de théâtre, dans une compagnie de théâtre où il se découvre un nouveau talent caché. Il joue une pièce de théâtre devant son école et fait beaucoup rire Jean-Marie qui lui pardonne ses erreurs. Finalement Julien réussit à se réintégrer dans la société. 804314 2942303 Passage choisi :  "Perdu dans ses souvenirs, Julien pédale de bon coeur ..." "Le mur du son n'en mène pas large ...." "Mais soudain, à pleine vitesse, il réalise où il se trouve ..." "Dans quelques secondes, il sera exactement 
au carrefour de l'Oubliette ..." Le carrefour.
Celui du choc; Celui de l'accident. Celui d'il y a pile deux ans. Non ... six ans. Il ne sait plus ... Mais c'est là. Là juste au bout de la descente. La peur, tel un fauve endormi, se réveille alors d'un coup. elle lui serre les poumons, paralyse ses membres, s'empare de sa raison;" (page 86) Jugement personnel : Ce livre est triste et tragique. Même s'il se réveille, il reste cette pensée du coma dans lequel il a sombré durant 4 ans. Malgré l'amour qu'il éprouve pour Suzanne, l'univers du roman reste glauque. Pour cela, je n'ai pas énormément apprécié ce livre mais il peut plaire à certain(e)s.
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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 20:00

Auteur : Evelyne Brisou-Pellen

Titre : Deux graines de cacao9782013218030FS.gif

Editeur : Hachette

Collection : Le livre de poche jeunesse et récit initiatique

Date : 13 Aout 2007   

Genre : roman historique d’aventure  

Thème principal: L’adoption et l’esclavage 


Résumé :

C’est lors d’une petite dispute avec un camarade que Julien, jeune Breton de 1819, apprend qu’il a été adopté à Haïti. Choqué par cette révélation il s’enfuit vers son pays natal, sur un bateau appelé le Prince Sauvage, accompagné par Gabriel qui s’embarque comme chirurgien. Julien sympathise avec Jos et Youen mais quand ils apprennent qu’ils naviguent sur un navire négrier et qu’ils ne partent pas en « droiture » à Haïti, l’ambiance change : les matelots vivent dans la peur d’être attrapés par la Royal Navy et que les noirs se révoltent. Julien et Gabriel prennent alors conscience du terrible sort réservé à ces hommes et ces femmes noirs. Gabriel doit donc s’occuper des malades et Julien les détendre en jouant des airs de musiques au  violon. L’atmosphère est lourde et chargée de terreur pour les esclaves. Lorsque Julien parvient enfin à atteindre Haïti, il est accueilli dans le foyer de Youen. Il cherche à percer des secrets pour découvrir qui sont ses vrais parents et pourquoi ils l’ont abandonné.

 

Passage remarquable :

Les Noirs, alignés le long du bord, regardaient avec effroi les bateaux qui cinglaient sur eux. Comprenaient-ils que les navires anglais venaient les sauver, et pourquoi on les avait attachés, eux, à la chaîne de l’ancre ?

« Gabriel, cria Julien au comble de l’énervement, tu sais ce que fait le capitaine?

-Il fait un bouclier humain avec les Noirs, en espérant que les Anglais ne voudront pas tirer sur eux.

-Non ! Il s’apprête à les noyer ! À jeter l’ancre. Il paraît que si on ne trouve aucun prisonnier sur son bateau lors de l’abordage, il ne peut pas être condamné.

-Mon Dieu, souffla Gabriel. Il faut… Il faut… » 

 

J’ai choisi ce passage pour montrer l’inhumanité et la lâcheté  de ces hommes qui pratiquent le commerce triangulaire sur des malheureux qui ne peuvent résister, face  au courage de certains qui se lèvent pour  défendre des êtres humains, et qui refusent cette barbarie.

 

Jugement critique :

Ce roman historique s’appuie sur des faits réels. Au fil de l’histoire on découvre l’horreur de l’esclavage et la destinée terrible de ces hommes et femmes de couleur. Ce roman m’a beaucoup émue et m’a fait toucher du doigt toute l’injustice du racisme.                                                                                                                                                          

C’est un voyage à travers une époque dure où les noirs tentent de survivre. C’est un roman passionnant  que j’ai eu du mal à lâcher. Il se lit facilement, et on apprend de nombreux mots et informations sur la vie au temps des négriers.

Fanny LM, 5D, 07/12/11

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Willy, Florian, Mélissa de 4e F présentent quatre personnages :

Julien est un enfant adopté, il recherche ses vrais parents. Sa date d'adoption est le
10 aout 1808 à Saint Pere, sa vraie date de naissance est le 22  février 1808 à Haïti.(Page 14)
Vairon: est celui qui a dit que Julien a été adopté et qui l'a insulté. il est mal éduqué  (Page 8)

Gabriel: c'est un infirmier.(Page 16)
Chevillot: c'est le capitaine du bateau "le Prince Sauvage". (Page 19)

Pierre, Mathieu et Thomas de 4e F ont choisi ces deux passages
:

Chapitre 3 ; Le prince sauvage .

"Ils navaient pas pu trouver de place avec les autres dans le poste d’équipage, et le capitaine Chevillot les avaient envoyés Gabriel et lui coucher dans la soute à pain sur les sacs de biscuits . C 'était abominablement inconfortable mais quelle importance ?"

 On a choisi ce passage puisqu’ils dorment dans la soute car il n’y a plus de place, le capitaine se moque bien de Gabriel et de Julien.

Chapitre 12 : Infamie p 117

"Sans comprendre le sens de ces ordres, les matelots attachèrent un par un les noirs à la chaine de l’ancre autour du bateau.
« Qu’est ce qu’il font ? demanda Julien

-m'est avis qu’ils font une salle besogne, grommela Jos.
-Quoi ?
»

Nous avons choisi cet extrait puisq’il parle de l’enchainement des esclaves noirs (traffic) et parce que Julien ne comprend pas tout ce qui se passe sur le bateau . Ce passage se
situe à la moitié du livre.

Malaurie, Tudual, Gwendoline et  François ont construit cet abécédaire.

A=Adopté le personnage principal a été adopté.

B=Bretagne,le début de l'histoire se passe en Bretagne.
C=Cacao, le titre comporte le mot cacao.
D=Douze, l'âge de Julien.
E=Evelyne, prénom de l'auteur.

F=Fugue, Julien fugue et quitte son pays.
G=Gabriel, le surveillant de Julien.
H=Haîti,le pays où  Julien a été adopté.
I= Île sur babord est le titre du chapitre 7.
J=Julien, le personnage principal s'appelle Julien.
K=Kaki, la couleur du pantalon de Julien

L=Lueur,Une faible lueur diffusait la chandelle.
M=Maroc, l'auteur a passé son enfance au Maroc.
N=Nicolas est le prénom l'illustrateur.
O=Origine de Julien.
P=Prince sauvage, le nom du bateau.
Q= Question fatale, celle du professeur dans l'incipit

R=René Abalain le père de Julien.
S=Saint-Père-En-Retz la ville natale de Julien.

T=Terre : le titre du chapitre 13.
U=
V=Vairon est l'ennemi de Julien.
W=Wintz est le nom de l'illustrateur.
X=
Y=
Z=

Quentin de 4e A propose cet autre abécédaire :

Adopté : Julien était un enfant adopté
Bateau : Lorsque Julien voulut voir ses vrais parents il a fait la traversée en bateau.
Canon : Sur le bateau lors de la traversée il y avait des canons.
Deux graines de cacao : Titre du livre.
Evelyne Brisou-Pellen : Auteur du livre.
France : Pays où se débute l’histoire.
Gabriel : Personne qui était chargée de la responsabilité de Julien.
Haïti : Endroit où voulut se rendre Julien.
Intrépide : Le capitaine du navire ne craignait rien.
Julien : Personnage principal de l’histoire.
Kiamba : Personnage de l’histoire.
Lalité : Personnage de l’histoire.
Mat : Le teint de Julien était mat.
Négrier : Le bateau était un négrier.
On : Le narrateur de l’histoire emploie souvent « On » car ils sont plusieurs sur le bateau.
Prince sauvage : Nom du bateau.
Querelle : Sur le bateau, il y avait des querelles entre les marins et les esclaves.
Roman : Ce roman m’a permis d’apprendre le vocabulaire des bateaux…
Sinistre : L’endroit où dormait Gabriel et Julien était sinistre.
Teint de Julien : Foncé.
Violon : Julien joue du violon.
Wintz Nicolas est l'illustrateur du roman.
Youenn : Il est un homme de l’équipage, le timonier.


Et voici l'abécédaire imaginé par Benjamin de 4e A :


Abalain : c’est le nom de Julien, personnage principal du livre
Bateau : c’est par ce moyen de transport qu’ils vont voyager
Cacao : chocolat que fabrique le père de Julien
Deux graines de cacao : titre du livre
Eveline Brisou-Pellen : auteur du livre
France : pays où débute l’histoire
Gabriel : celui qui a accompagné Julien en Haiti
Hâte : Julien avait hâte d’arriver à Haïti
Intrépide : le capitaine du navire ne craignait rien
Julien : personnage principal du livre du livre
Kiambu : personnage de l’histoire
Lanterne : on s’en servait la nuit sur le bateau
Matelot : personne sur le bâteau
Négrier : on aurait pu croire que le bateau était un négrier
Outre mer : le bâteau se rendait sur des îles Outre-mer
Prince sauvage : le bateau portait ce nom
Querelle : sur le bateau, il y avait des querelles entre les mains et les entraves
Révolte : les esclaves se révoltaient de temps en temps
Sinistre : l’endroit où dormaient Gabriel et Julien
Tabac : les membres de l'équipage du bateau fumaient pour la plupart
Violon : Julien jouait du violon
Wintz Nicolas est l'illustrateur du roman
Youenn : il est un homme de l’équipage
Zen : personne n’était zen dans l’histoire


L'incipit a été étudié en cours.(4e A, novembre 2010)



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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 18:52

Titre : L’enfant et la rivière
Auteur : Henri Bosco
Collection Foliolenfant-et-la-riviere.jpg
Éditions Gallimard, 1953
Genre : Roman d’aventures
Thème principal : La vie d'un jeune garçon et ses aventures sur une rivière.

Résumé : C’est l’histoire d’un jeune garçon nommé Pascalet. Il habite à la campagne avec ses parents et sa grand-tante, tante Martine, près d’une grande rivière. Un jour que ses parents sont partis, il s’éloigne vers la rivière interdite. Là-bas, il trouve une barque et monte dedans. Elle se détache et s’éloigne du rivage. Pascalet débarque sur une île où il se rend compte que les habitants retiennent prisonnier Gatzo, un jeune bohémien de son âge. Une nuit, il le délivre puis part avec lui sur une autre barque trouvée là. Les deux jeunes garçons commencent à vivre sur l’eau, pour échapper aux habitants de l’île. Un jour, ils arrivent près d’une côte. Pascalet va se promener, mais quand il revient , Gatzo n’est plus là. Il part à sa recherche, arrive dans un village, et voit que son ami a retrouvé son grand-père. Le matin, un pêcheur le ramène chez lui. Quelque temps après, une nuit, Gatzo lui rend visite, car son grand-père est mort, et il vient vivre chez son ami.

Passage recopié p 35 :

«Le jour pointait à peine. Tante Martine dormait encore dans sa chambre. Elle avait fureté jusqu’à minuit. Je profitai de son sommeil pour bourrer de provisions un petit sac : figues, noix, quignon de pain. Une heure après, j’étais au bord de la rivière.
Quelle splendeur ! L’onde était devenue limpide et le bleu d’un ciel vif, lavé, où le vent poussait en riant deux petits nuages, se reflétait sur ces eaux claires qui d’un grand mouvement fuyaient vers un horizon de collines.»

Ce passage du texte est l’élément perturbateur du récit : Pascalet est tenté par la rivière et part à l’aventure sur une barque.

Jugement critique personnel :

Ce livre est dépaysant, on a l’impression que c’est irréel. Il est bien écrit, facile à lire. Je le conseille à tous les lecteurs, car il est très intéressant. Il y a un peu de suspense à certains moments.

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A cette adresse http://chamane51.skyrock.com, vous trouverez un autre article d'impressions sur L'Enfant et la rivière. A lire en complément de l'article de Floriane.

 

Voici un extrait du début du film réalisé par Maurice Chateau comme adaptation du roman d'Henri Bosco


 

 

Et voici un autre extrait d'un film plus récent de JP Lenoir

 

 

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 17:41

Auteur : Virginie Buisson

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Titre : L'Algérie ou la mort des autres

Éditeur : Gallimard

Collection : folio junior

Genre : roman historique

Thème : une jeune française en Algérie pendant la guerre d'indépendance

 

 

Texte de quatrième de couverture en collection Folio : "Une jeune adolescente quitte les plaines brumeuses de Lorraine pour l'Algérie, où son père, militaire, a été muté.
C'est tout d'abord l'enchantement : Le village éclaboussé de soleil, la mer, la liberté... Mais l'angoisse vient, et bientôt l'horreur : la guerre éclate. La guerre d'Algérie. La violence, la haine, la cruauté. Les premières amours, l'éveil, la croissance dans un environnement déchiré. La jeune fille observe, vit passionnément ces années douloureuses au rendez-vous de l'Histoire. Une Histoire vécue."

 

Passage que je trouve remarquable : "Un rappelé s'est mutilé pour ne pas y aller.

A leur retour, les prisonniers remplissent les cours. Des vieilles femmes viennent près des grilles, elles restent des heures, impassibles, elles font apporter de la galette par des enfants, je n'ose pas affronter leur regard. Les hurlements recommencent. Je suis remontée, le dos au mur. Mon père est rentré, le coeur à la renverse..."

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 19:41

Auteur : Philippe Brochard6040482_6577628.jpg

Éditeur : Hachette

Collection : La Vie Privée Des Hommes

Date de parution : 1980

Genre : documentaire

Thème : la vie quotidienne au Moyen-âge

Résumé :

La constuction d'une place forte. A quoi servait-t-elle? Quelle main d'oeuvre et materiaux étaient utilisés pour sa construction? Nombreux étaient les hommes de mains qui y travaillaient (bucherons, couvreurs et artisans de toutes sortes).Dans les châteaux on trouvait des maréchaux- ferrants et des marchands en quantité. Les élèves étaient instruits par des moines. Les hommes à l'automne récoltaient leur production qui constituait la base des repas. Au repas, les cuisiniers se donnaient bien du mal en cuisine pour régaler les convives. Beaucoup de divertissements étaient proposés durant les repas. Les journées n'étaient pas toutes parfaites car des conflis éclataient entre seigneurs.

 

 Extrait choisi, Page35

 

"Ce n'est qu'au 11ème siècle que les chatelains découvrent l'usage de la fourchette à deux dents. Auparavant, ils prenaient les aliments avec les doigts ou avec la pointe du couteau."


 Jugement personnel sur ce livre :

Ce documentaire est très intéressant et il comporte de bonnes illustrations, je conseille ce livre qui m'a beaucoup plu !

Romain L, 5B Le 01/11/2011

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résumé : Ce livre évoque l'utilité des châteaux-forts au Moyen-âge ainsi que leur construction. Nous découvrons la vie de la famille royale et celle des serviteurs à l'intérieur et à l'extérieur du château. Le roi dirige tout, et le peuple lui doit beaucoup.... Les combats militaires sont courants et obligatoires. Le peuple doit défendre le roi et protéger le château. Il peut être assiégé par les adversaires, c'est l'abandon. Aujourd'hui, certains ont été restaurés, d'autres sont abandonnés.

Jugement critique personnel : J'ai apprécié ce livre car il raconte la vie dans les châteaux-forts au moyen-âge sous forme de scènes. Il est facile à lire.

Florent C, 5B Le 03/11/11

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 19:09

Auteur : Evelyne Brisou-Pellen9782700233810FS.gif
Illustrateur : Nathaele Vogel
Editeur : Rageot 
Collection : Cascades
Genre : «La Cour aux Etoiles» est un roman historique.

Thème principal : Les aventures d’un jeune garçon du Moyen-âge.

 

 

Résumé :

Vers la fin du servage Moyen-âge, pour échapper à un seigneur, Renaud le jeune serf quitte ses proches dont le prêtre qui lui avait appris à lire, et gagne Paris . Sans refuge ni argent, il erre dans la Cour aux Etoiles dirigée par Thibault, le maître incontesté des gueux, qui le forme à voler et une vieille sorcière qui lui apprend à mendier . C’est en mendiant qu’il rencontre une jeune fille, qui d’ailleurs tombe amoureuse de Renaud ; et je pense que celui-ci a également un faible pour elle . Puis enfin, il décide de prendre les choses en mains, donc, avec l’aide de ses nouveaux amis, il réussit à convaincre le seigneur de libérer ses frères et sœurs . Alors la famille au complet, se retrouve de nouveau réunie grâce à Renaud et ses partisans !

Passage remarquable : 

«Archambaud avait les yeux moqueurs et le ton sarcastique, mais il inspirait confiance. Ses cheveux bruns, qu’il portait assez longs, étaient soignés . Ses chausses n’avaient point de trou et la couleur de son surcot paraissait encore vive . Toute sa personne respirait la propreté.»
(Page n°26)

Ce passage est assez remarquable et important car il décrit un des personnages principaux du livre, Archambaud joue un rôle essentiel avec son camarade : Le Clerc.

Critique personnelle :

Ce livre ne m’a pas tellement intéressée car, en général, je n’apprécie pas les livres du Moyen-âge. Mais, je peux conseiller cet ouvrage aux personnes qui aiment lire des romans historiques et pleins d’aventures.

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 18:45

9782700235319Titre : La demoiselle et le troubadour
Auteur : Roselyne Bertin

édition : Rageot
Collection : Romans

date de parution : juin 2009
Genre : roman historique sentimental

thème principal : la vie quotidienne au Moyen -Age

Résumé :
C’est l’histoire d’une fille qui s’appelle Jeanne, elle vivait à la campagne avec ses parents et ses frères.
Un jour son oncle arriva chez eux et leur dit que sa femme était malade et qu’il n’y avait plus personne pour s’occuper de ses enfants. Jeanne alla avec lui et s’occupa d’eux pendant quelques semaines.
Un jour, une dame vint pour acheter des objets à l’oncle de Jeanne, cette dame était la dame de Crussol. Cette dernière fut charmée par la voix de Jeanne, elle voulut l’emmener avec elle et la jeune fille l’accompagna.
Il se passa des choses pendant qu’elle était là bas. Elle rencontra un maître de musique et avec le fils de Crussol, il se passa de bizarres choses…


Extrait choisi :
« Jeanne eut du mal à détacher d’elle les doigts de Pierre qui refusait de la lâcher, à détourner les yeux du visage de Fantine sur lequel glissaient les larmes. Elle jeta un dernier regard sur le logis qui avait été comme sien des semaines durant et où elle ne reviendrait peut-être jamais. » p.73

 J'ai choisi ce passage car il raconte la séparation de Jeanne avec des personnes auxquelles elle s’était attachée, ça m'a touchée que les enfants ne veuillent plus quitter Jeanne : ils se sont attachés à elle.


Jugement critique :
Je trouvais que l’auteur exagérait sur le fait que Guy, le jeune seigneur, voulait que Jeanne soit sa femme, mais ce qui est bien c’est qu’elle est belle mais elle ne s’en vante pas.

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