Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 11:47
Cosem Michel, Liberté pour Hannah

Nom De L'auteur : Michel Cosem

Titre du Livre : Liberté pour Hannah

L’éditeur : Gulf Stream

La Collection : L'histoire comme un roman

L'Illustratrice de couverture : Sylvie Serprix

Le Genre de ce roman : roman d’aventure et historique

Ce livre raconte liste d'Hannah. Un jour, elle passa devant une boulangerie et en vitrine, elle vit un beau gâteau aux fruits confits. Gourmande comme elle était, elle entra dans la boulangerie et vola le gâteau ! La boulangère se mit donc à sa poursuite mais Hannah connaissait chaque recoin de cette rue. Elle emprunta une petite ruelle puis quelques mètres après elle tomba et quelque chose la maintint au sol ! Hannah n’eut pas le temps de se relever, la boulangère l'avait attrapée et avait appelé la police. Un policier était venu chercher Hannah pour l'emmener à la gendarmerie puis à la maison de correction pour jeunes filles de Belle-île. Elle dut prendre le bateau pour s'y rendre.

Lorsque Hannah arriva à la maison correctionnelle, elle se mit aux tâches demandées, c'est à dire, aller jusqu'à la ferme chercher le lait et le ramener à la laiterie. Elle trouva une chienne et lui demanda comment est ce qu'elle était venu jusque là.

Un matin en allant à une corvée, Hannah fit semblant d'avoir le lacet défait pour le refaire, elle laissa partir son groupe et s'en alla par le trou où la chienne passait.

Pour finir, Hannah s'est enfuie de la maison correctionnelle et a regagné le large, pris une barque pour revenir sur son île et revivre sa vie d'avant la maison correctionnelle.

Hannah une petite fille banale, comme toutes les autres petite filles de son âgé, elle est le personnage principal de ce livre. Elle est gentille même si elle pourrait faire peur dans certain moment. Elle a un caractère fort sympathique, même si il y a des moments où elle pourrait en effrayer plus d'un. Elle est aussi très rusée car, pour s'enfuir, elle passa par le trou où la chienne à qui elle avait parler auparavant était rentrée dans la maison correctionnelle.

Extrait choisi : « Son crime, elle le savait, ne lui serait pas pardonné.

Elle avait volé. Non, elle n'avait pas eu faim ce jour-là.

Simplement une envie. Celle d'un beau gâteau fourré aux fruits confits. Elle avait vu sa main s'avancer vers lui, comme si elle ne lui appartenait plus, et ses doigts avaient saisi la boite en carton, puis elle s'était enfuie. La pâtissière criait déjà, car elle avait surveillé l'approche d'Hannah, qu'elle soupçonnait depuis longtemps. La jeune fille avait couru.

La rue était très longue. Elle en connaissait chaque porte, chaque fenêtre. Elle craignait justement que l'une de ces portes ne s'ouvre brusquement et qu'elle ne soit alors reconnue. On la battrait, on se moquerait d'elle. Pourtant, pour rien au monde elle n'aurait lâché son gâteau. Il était pour elle. Elle serrait la boite contre sa poitrine et respirait la délicieuse odeur de la pâte fraîche. Les cris de la pâtissière s'éloignaient, mais d'autres voix se mêlaient à la sienne. Hannah prit une petite ruelle.

À cet instant, un monsieur surgit d'une porte. En entendant les cris, il se retourna d'un geste vif et fit tomber Hannah.

Je trouve que l'illustration de la couverture est très représentative de l'histoire car, elle porte une crinoline que l’on portait jusqu’au XIXe siècle sous les robes et elle ouvre les bras verticalement. Pour moi, cette crinoline forme une « Cage » qui représente la maison de correction et ses bras ouverts évoquent la liberté liée à sa fugue.

J'ai beaucoup apprécié ce livre car, cela pourrait arriver dans les pays du monde. Il n'est pas tellement long à lire, ni à comprendre. L'histoire m'a plu mais, elle était quelquefois un peu lassante, mais sinon dans l’ensemble, c'est un très bon livre.

Louis, 4D, décembre 2015

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 16:26
Causse, Manu, Le pire concert de Rock

Le pire concert de l'histoire du rock

Édition : Les incorruptibles avec l’aimable autorisation des éditions Thierry Magnier

Auteur : MANU CAUSSE

Type : Roman

Collection animée par Soazig Le Bail

Illustration de couverture : Benjamin Courtault

Résumé : C'est l'histoire d'un jeune garçon de 3ème nommé Jean-Sébastien. Ce jeune est un génie du piano qui se décrit comme '' l'homme invisible '' car à son collège il ne veut pas se faire remarquer ni se faire connaître. Il est passionné de musique classique et joue du piano depuis qu'il est tout petit mais il a la phobie des volatiles. Un jour, ses parents décident de déménager de la capitale, Paris, vers une petite ville située entre Limoges et Guéret pour cause de nouveaux travaux. Jean-Sébastien pensait redevenir ''l'homme invisible'' dans son nouveau collège mais tout ne s'est pas passé comme prévu. En cours de musique, la professeure lui a demandé d'aller jouer du piano devant tous les élèves et il a dû montrer ses talents de musicien devant tous les élèves de sa classe. Par la suite, des ''brutes'', s’appelant Clément, Adrien et Estéban, lui ont demandé s'il voulait jouer dans leur groupe de rock et il a accepté avec regrets. Puis il a commencé à connaître le rock et au fil du temps ça lui a plu. Au final, tout son groupe a fini par faire un concert de rock devant tout le monde et cela a tourné à la catastrophe car après un bout de temps plus personne ne dansait. Alors deux personnes du groupe sont parties de la scène, il n'y avait plus que Jean-Sébastien et Clément, un membre du groupe. Les plombs ont sauté et tout s'est éteint dans la pièce alors que pendant ce temps tous les spectateurs paniquaient et criaient. Par la suite tout s’est rallumé et ils ont fait leur prestation avec succès. Plus tard, Jean-Sébastien ne faisait plus partie du groupe mais enseignait quelques petites choses au chanteur du groupe, qui a fini par jouer de la basse.

Puis Clara, la belle-sœur de Clément a invité Jean-Sébastien à venir à un concert de rock... au final, ça ne sera pas son dernier concert...

Personnage du roman : Le personnage du roman est un jeune garçon s’appelant Jean-Sébastien en classe de 3ème habitant à Paris. C'est un passionné et génie du piano. Il vit chez ses parents, eux même passionnés de musique. Il joue avec ses parents tous les soirs. C'est un jeune garçon qui n'aime pas trop parler aux gens, il veut se jouer comme « l'homme invisible». Il est tout au fond de sa classe pour que l'on ne le remarque pas et reste sur les côtés pendant la récréation. Ses professeurs ne connaissent même pas son prénom. Il est assez timide et n'est pas du tout insolent vu que personne ne le remarque. Il passe ses soirées à jouer au piano comme c'est ce qu'il aime le plus. Il n'a qu'un seul ami, c'est un jeune garçon du même âge que lui qui est passionné de piano lui aussi et ils ne parlent entre eux que de musique.

Avis sur l'illustration de la couverture : Je trouve que l'illustration de la couverture est très bien faite. Elle est très représentative du livre. Elle montre tous les instruments que l'on trouve dans le livre comme la guitare, le synthé qui servira pour Jean-Sébastien, l'enceinte, les baguettes pour la batterie et le micro. Elle représente exactement le rock et tout est bien dessiné. L'écriture sur la couverture aussi est très bien choisie. Il y a même tout en bas le poulet que redoute tant Jean-Sébastien ! Mais c'est un détail à voir.

Extrait du roman page 77-78 :

« - Bon, on y va ? a demandé Clément.

J'ai gravi les trois marches de l'estrade comme on monte à l'échafaud. J'aime cette musique, le rock. J'aime ce que nous faisons. Clément est parfaitement en rythme ; la guitare d'Adrien sonne juste, sa voix est claire, mélodieuse ; et mes mains se promènent librement sur le clavier, martelant la basse tout en créant de nouveaux arrangements. J'improvise, et Clément me fait un clin d’œil : ça marche ! Je me sens aussi bien que dans toutes les auditions que j'avais passées auparavant. Mieux même. Je tape du pied en rythme, mes hanches bougent d'elles-mêmes...mais nom d'un chien, je danse ! Dans le public, les gens font de même. Ils rient, sifflent avec entrain et tapent dans leurs mains. Dans la lumière du projecteur, j'aperçois mon père qui lève un pouce enthousiaste.

Plus loin, Alain et la mère de Clara, enlacés. Et Clara elle-même, qui me regarde et sourit...

Oublié la migraine, les mains qui tremblent, le ventre noué. Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma vie. C'est mon plus beau concert. J'adore le rock.

Un et deux et trois et...

C'est à cet instant précis que mes jambes se dérobent sous moi et je bascule en avant sur mon synthé.»

J'ai choisi cet extrait car je trouvais qu'il représentait beaucoup le livre surtout le moment où

Jean-Sébastien fait enfin son concert avec les autres membres de son groupe et il résume bien le livre.

Mon avis personnel : Je trouve que le livre est très bien. Il se lit très facilement et l'histoire est entraînante, on a envie de savoir la suite. On est vraiment dans la vie de ce jeune garçon, qui raconte exactement comment se passe sa vie en ce moment, ses problèmes, etc. La taille de l'écriture dans le texte est pile bien. Le seul défaut, c'est qu'il se lit trop vite !

Léa M, 4A, décembre 2015

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2015 5 11 /12 /décembre /2015 18:54
Chapentier Oriane, La Vague

Nom et prénom de l’auteur : Orianne Charpentier

Titre du roman : Après la vague

Édition : Gallimard Jeunesse

Collection : Scripto

Illustrateur de la couverture : Pierre Budestschu

Genre de roman : vie quotidienne, psychologie

Résumé du sujet du livre :

Une famille française décide d’aller passer des vacances sur une île magnifique en Asie. L’histoire commence dans un hôtel près d’une très belle plage de sable blanc.

Albert et ses parents décident d’aller visiter un temple. Maxime et Jade, les jumeaux préfèrent passer leur journée à la plage. Mais au bout de quelques instants, une énorme vague va tout engloutir sur son passage. Maxime réussit à rejoindre l’hôtel mais Jade sera emportée par la vague.

Très gravement blessé physiquement et psychologiquement, le jeune homme sera soigné pendant plusieurs semaines avant de pouvoir regagner la France. La famille est détruite

La vie sans Jade est très difficile pour tous mais Maxime est celui qui souffre le plus. Il va même tenter de se suicider. Mickaël, un sans domicile fixe que les jumeaux connaissaient lui sauve la vie. Après cela, Maxime décide de quitter le domicile familial.

Suite à une agression dans un train, une sœur, Magdala l’aide. Elle s’occupe de lui pendant quelques jours et cette rencontre l’aide à mieux supporter la mort de Jade.

Quelques jours plus tard, il rentre chez lui et son frère aîné, Albert, lui propose de partir au Canada pour rencontrer Amber, une jeune fille rencontrée sur Internet. Elle aussi a perdu une sœur dans un tremblement de terre. Elle va aider les deux frères à retrouver une vie plus normale.

Description d’un personnage du roman : Maxime

Maxime va bientôt avoir 16 ans. Il est le personnage principal du roman. C’est un jeune homme prétentieux, très sûr de lui jusqu’à la catastrophe. Il se trouve « beau gosse » et ne fait pas beaucoup attention aux autres contrairement à sa sœur jumelle.

Après la mort de Jade, Maxime a beaucoup de difficultés à se remettre et souffre beaucoup. Il va être opéré plusieurs fois et n’arrive pas à retourner au lycée. C’est beaucoup trop dur pour lui. Malgré l’aide de ses parents et de son frère aîné, il n’arrive pas à retrouver une vie normale.

Pour s’en sortir, il décide de partir. Il rencontre plusieurs personnes qui vont l’aider à faire son deuil.

Extrait du roman choisi : page 17-18 – ligne 1 à 19

« Je suis assis sur ma serviette, en caleçon de bain. Je scrute la plage autour de moi, dans l’espoir de voir la bande de jeunes Américaines que j’ai accostée hier matin. Je rectifie une mèche de mes cheveux, au cas où.

Devant moi, toujours habillée, Jade marche les pieds dans l’eau. La mer brille autour d’elle. Elle regarde un peu au large, la main en visière au-dessus des yeux, et soudain elle sourit et fait un grand signe. Au loin, sur une barque toute cabossée, un vieux pêcheur lui rend son salut.

Malgré moi, je l’envie. Jade connaît déjà les enfants du village voisin, elle sait dire quelques mots dans leur langue et les pêcheurs l’ont invitée hier à prendre un thé dans leur maison. Je n’en ai rien à cirer, moi, de prendre un thé dans une cabane avec des vieux pêcheurs sans dents qui parlent à peine français. Mais quand même, je ne sais pas comment elle fait. »

J’ai choisi cet extrait car c’est le dernier moment agréable que les jumeaux ont passé ensemble avant la catastrophe. Je trouve que ce passage décrit bien le caractère de Maxime et Jade avant le tsunami. Ils sont jumeaux mais sont très différents. Après la vague, la vie de Maxime sera beaucoup plus difficile et il va beaucoup changer en pensant toujours à Jade.

Description de l’illustration de la couverture :

La couverture est une photographie qui représente un jeune homme. Il me fait penser à Maxime, le personnage principal de ce roman. Il semble très triste. Son regard semble rempli de larmes. Je trouve que le mouvement de ses cheveux rappelle une vague.

Mon avis sur ce livre:

Je n’ai pas trop aimé ce roman car il est triste mais on rentre assez vite dans l’histoire. La vie de Maxime a été bouleversée par la mort de sa sœur jumelle. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se remettre de cette épreuve et retrouver une vie presque normale. Heureusement pour lui, sa famille et d’autres personnes rencontrées par hasard ont toujours été présentes pour l’aider à surmonter sa douleur.

Coralie – 4ème D le 08/12/2015

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 08:59

C'est le 2nd roman de Sorj Chalandon, il a été publié en 2006 et a obtenu cette année-là le prix Médicis. Après la lecture de deux romans plus récents, Le Quatrième Mur (2013) et Profession du père (2015), j'ai eu l'impression de ne pas reconnaitre l'auteur ! l'écriture comme le sujet m'ont semblé complètement différents. Je ne m'attendais pas à ces personnages d'un milieu populaire mayennais, je ne ne m'attendais pas non plus à toute cette délicatesse d'écriture et à cette poésie qui fait la spécificité de ce roman, je m'étais habituée au narrateur-personnage.

La surprise passée, j'ai poursuivi la lecture, touchée par l'amitié sans faux-semblant qui unit les personnages, par l'humanité qui se dégage de chaque portrait de personnage, par l'extrême délicatesse de l'écriture... mais aussi dérangée par le sujet : tout le livre concerne un deuil! Sans doute suis-je dans une période de la vie où un tel sujet pèse particulièrement.

Extrait qui me parait représentatif (p.174/175) :

"_ Voilà, c'est mon histoire. Elle n'est pas comme les vôtres, il lui manque un milieu et une fin, mais c'est la seule que j'ai.

_C'est bien que tu l'aies racontée, dit Madeleine.

_ Bien ou pas, je m'en fous complètement, lui répond Berthevin.

_Il s'en fout ? Tu crois ? demande Fauvette.

Étienne a les yeux fermés, comme quand la mort vous gagne.

_ Il est bouleversé, répond son mari.

_Tu crois que les autres le savent ?

_ Qu'est-ce que nous savons les uns des autres ?

Elle regarde son vieil homme. Elle sourit. Ils entendent l vie qui murmure dans la pièce du bas."

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 14:28
Chalandon Sorj, Profession du père

C’est le dernier roman de Sorj Chalandon et il me tardait de le lire. Voilà je l’ai lu, d’une traite. C’est encore un roman à la première personne. Cette fois, c’est Émile qui raconte, Émile Choulans, ce fils qui ne fait qu’écrire sur la ligne « Profession du père » de ses fiches de rentrée scolaire. Il est vrai que ce père ne quitte jamais la maison sauf pour aller s’assoir chez le garagiste d’à côté. Pourtant il revêt robe pastorale noire à rabats blancs et étole violette pour confesser son fils et même, une fois, pour l’exorciser, il a un béret rouge de parachutiste sur la plage arrière de sa voiture, il est chanteur mais a sacrifié sa carrière pour permettre aux Compagnons de la chanson de réussir la leur, il est un rebelle de l’OAS aux côtés de Salan, Challe, Jouhaud et Zeller, il est aussi agent secret.
Émile vit seul avec son énigmatique père et avec sa mère. Tous deux subissent les brimades et la violence d’André Choulans, le père. La mère la subit en silence, parce que c’est ainsi. Quand son époux bat Émile ou quand il le contraint à un entrainement militaire en pleine nuit, elle l’ignore ou elle vient ensuite vers Émile en lui disant qu’il le sait bien, que son père est comme ça.
Outre le sujet poignant de ce récit, ce que je trouve intéressant c’est le regard d’Émile comme narrateur. Il est Émile enfant, prêt à tuer le général de Gaule quand son père le lui demande, prêt enrôler un camarade dans l’OAS pour faire comme son père, prêt aussi à se mettre en boule, en position fœtale pour subir les coups de ceinture de son père, pleurant avant et après les coups mais jamais pendant. Et on le voit jeune adulte chassé de chez lui, jeune papa venu présenter son enfant et ne rencontrant qu’indifférence de ses parents puis homme racontant leur histoire familiale aux médecins de l’hôpital où son père a été interné et puis en 2011 seul avec sa mère : « Nous n’étions que nous, ma mère et moi. Lorsque le cercueil de mon père est entré dans la pièce, posé sur un chariot, j’ai pensé à une desserte de restaurant. Les croque-morts étaient trois. Visages gris, vestes noires, cravates mal nouées, pantalons trop courts, chaussettes blanches et chaussures molles. Ni dignes, ni graves, ils ne savaient que faire de leur regard et de leurs mains. J’ai chassé un sourire. Mon père allait être congédié par des videurs de boîte de nuit. »

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 17:23
Collectif, Cinq crimes à vous coller au fauteuil

Les auteurs sont Richard Matheson, Robert E. Alter et William Brittain.

Le titre est : Cinq crimes à vous coller au fauteuil.

L'édition est : Pocket junior.

Ce recueil contient : - Les enfants de Noé - La chasse aux monstres - La main - La maison de la peur - L’automobiliste.

Les enfants de noé: La nouvelle se passe à Zachry de nos jours, les principaux personnages sont Mr Kertchum et les policiers.

Extrait : « Zachry : 67 habitants. Il émit un grognement. Encore une localité de cet interminable chapelet de la côte du Maine. »

J'ai choisi ce passage car il nous parle de cette ville si mystérieuse.

La chasse aux monstres : La nouvelle se passe dans un quartier résidentiel, de nos jours. Les personnages principaux sont les humains et un serpent à sonnette.

« Le projectile aurait de toute façon manqué sa cible de dix bons centimètres, mais avant même que le caillou eut heurté le sol, le serpent perçut le danger et battit en retraite dans un grouillement d'anneaux. »

J'ai choisi ce passage car il donne toute l'intrigue.

La main : La nouvelle se passe sur une autoroute lors d'un embouteillage, de nos jours. Les personnages sont le narrateur et la conductrice du break.

C'était une main humaine, sans aucun doute. C'est simple ; si toutes les vitres de ce break n'avaient pas été fermées, j'aurais pu la toucher en allongeant le bras. »

J'ai choisi ce passage car il permet toutes les suppositions possibles sur cette histoire.

La maison de la peur : La nouvelle se passe non loin du lac Oneida. C'est l'histoire d'une maison qui a été le lieu d'un massacre et la légende dit qu'il y aurait un trésor. L'action se déroule de nos jours. Les principaux personnages sont Joe, Gert et Phil.

« À en croire la superstition locale, cette demeure est hantée ; mais certains esprits forts la qualifient en plaisantant de « maison malade ».

J’ai choisi ce passage car c'est cette superstition qui va faire dérouler l'intrigue.

L'automobiliste : La nouvelle se passe sur l'autoroute en direction de Buffalo. Les personnages sont l'automobiliste et un auto-stoppeur, de nos jours.

« Lorsque la voiture passa devant lui, l'homme agita son pouce d'un air implorant. »

J'ai choisi ce passage car c'est le début de l'histoire.

J'ai retrouvé dans les différentes histoires les intrigues qu'Alfred Hitchock montre dans ses films. Il y a toujours du suspense. On a envie de connaître la fin.

Évan L.M 4A le 2 octobre 2015

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 12:50

Auteurs: BLANC Jean-Noel,HUGHES Yves ,ARROU-VIGNOD Jean-Phillipe,MONTAIGNAC Christian,DELERM phillipe

Titre du recueil:Coups Francs

Edition:Gallimard Jeunesse

Collection:Folio Junior

Titres des nouvelles que contient ce recueil :

_Un petit peu d'air dans un peu de cuir p5

_Petite main p19

_Goal volant p37

_Le meilleur de la rue p62

_Sonny la crevette p74

Présentation du récit : Un petit peu d'air dans un peu de cuir

Cela se passe dans les années 1970 pendant une coupe du monde au Mexique et pendant une coupe d'Europe des clubs champions à Saint Etienne. Le personnage principal est le narrateur

Je choisis ce passage « Car ce jeu est une des plus belles choses que l'on ait inventées pour fabriquer du bonheur avec un peu d'air enfermé dans une enveloppe de cuir, beaucoup d'espace et plus encore d'amitié: encore plus que ça, beaucoup plus, vraiment beaucoup plus. » P18. Cet extrait reflète le bonheur que le football a apporté à beaucoup de monde pour peu d'investissement.

Présentation du récit:Petite main

L'histoire se passe à Paris près du Stade de France en 1998. Les personnages principaux sont Michel Platini, un joueur de Football,« Papa »,  un homme qui connait bien Michel Platini, « Moi »,un adolescent handicapé qui crée le ballon de la finale de la coupe du monde.Je choisis le passage P31-32 « Et là, au milieu de la pelouse verte sous les projecteurs et les yeux des millions de téléspectateurs, mon ballon. » Car cela montre l'importance de ce ballon pour le garçon.

Présentation du récit: Goal volant

Dans le collège Chateaubriand ,  un tournoi est organisé   dans les années 2000. Les personnages principaux sont M Tricotz, le professeur de Gym, Rémi Pharamon ,un adolescent et capitaine de son équipe, Philibert, adolescent et joueur de l'équipe, Pierre-Paul de Culbert, un adolescent très intelligent et grassouillet et Mathilde, déléguée de la classe de 4ème 2.

Je choisis le passage « Certains soirs, je viens la regarder en cachette. C'est la seule coupe que j'ai jamais gagnée. » P61 car cela montre le bonheur que  lui procure en regardant la seule coupe qu'il avait gagnée.

Présentation du récit :Le meilleur de la rue

Nous sommes en 1955 à Joeuf en Meurthe et Moselle. Les personnages principaux sont Michel, une enfant d'une dizaine d'années qui adore le football, la famille Protois où Michel joue au ballon, et toute l'équipe de Michel :Fred, Vespi, Hervé, Dominique, Philipe, Yves, Pierre et René;

Je choisis  le passage « C'était le bon temps où une rue vivait au rythme du cœur d'un enfant » .P73 car il regrette le temps où les enfants se rencontraient le dimanche pour jouer au football

Présentation du récit: Sonny la crevette

L'histoire se déroule à Port Harcourt au Nigeria dans les années 2000. Les personnages principaux sont Sonny, adolescent de 13 ans qui joue dans l'équipe de Football, Teddy Okumi l'entraineur d'une équipe.

Je choisis le passage « Et puis un jour, Sonny la crevette serait un grand footballeur! » P91 car il a de   l'ambition.

J'ai aimé le livre car il parle de football et des émotions qu'il peut apporter.

Pierre M. 4A, 4 octobre 2015

 

Partager cet article
Repost0
6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 17:49
Collectif, Le Train perdu et autres histoires

Titre du recueil : Le train perdu et autres histoires mystérieuses

Collection : Médium

Edition : école des loisirs

Sophie Cathala : Un gentil petit bled 13

Michel Carrouges : Le cache nez de caoutchouc 27

J.G Ballard: Le Vinci disparu 43

Tomas Owen : Une aile de papillon mort 83

Claude Farrère : Le train perdu 93

Bernard Cassac : L’arbre du Portugais 105

Un gentil petit bled :

L’histoire raconte une mésaventure d’André Faulk un homme simple sans grande particularité physique. Il devait se rendre à un rendez-vous important avec son patron mais sur la route un des pneus de sa voiture se dégonfle .Par chance un garage se trouvait non loin mais quand il arrive, plusieurs personnes attendent aussi que leur voiture soit réparée .Alors il décide de passer la nuit dans une auberge où le téléphone ne fonctionne plus et quelques personnes jouaient à la belote. Le lendemain le garagiste lui apprend que la batterie ne se recharge pas .Désespéré il marche sur la route en faisant du stop .Au final il arrive à une petite maison avec à l’intérieur des joueurs de belote comme dans la première, il demande le téléphone mais il est lui aussi en dérangement alors il demande une chambre comme la première fois.

Passage que j’ai aimé : « Je voudrais une chambre » , dit-il « Une belle chambre .Une chambre ensoleillée même en décembre… » .

Conclusion : Cette histoire m’a beaucoup plu.

« Vous auriez plutôt intérêt à prendre de l’avance. Ici on ne voit pas tellement de circulation ».Ce passage représente bien l’histoire.

Le cache-nez de caoutchouc

C’est l’histoire d’un jeune garçon qui vivait à Niort avec ses parents et un jour il entre dans le bureau de son père et prend les jumelles qu’il n’avait pas le droit de prendre .En regardant par la fenêtre avec l’objet il aperçut son professeur, M .Carmolaux , qui parlait avec un homme. Le professeur poussa l’homme et celui-ci enferma M.Carmolaux dans une petite fiole et partit. Le matin suivant le professeur ne venait pas et la classe commença à s’agiter, le proviseur entra dans la classe et calma les élèves puis repartit .Le lendemain matin les parents du jeune garçon lui demandèrent de sortir. En partant il prit le journal dans la cuisine . Dehors il lut un article sur la disparition du proviseur et de M.Carmolaux . L’article préconisait de faire sortir les enfants de la ville afin de les protéger, la mère du garçon arriva dans le jardin, prit le journal et dit « Que je t’y reprenne, petit malheureux, à chiper les journaux ! »Dans le train pour aller chez sa grand-mère l’homme que le jeune garçon avait vu enlever le professeur lui donna un journal. Arrivé à la gare, l’homme partit en trombe et le garçon n’avait pas pu lui rendre son journal .À son arrivée chez sa grand-mère celle-ci prit le journal et dit « Sale gosse, que je t’y reprenne encore à voler des journaux ! »

Passage représentatif : « Sale gosse que le t’y reprenne encore à voler des journaux ! »(page41)

Une aile de papillon mort

Un jour un homme du nom de Fédor Glyn voulait se peser sur la balance du parc. Il monte sur la machine incère la pièce et là, l’aiguille montre 2kg 900. Fédor va donc essayer une autre balance mais le résultat est le même alors il décide d’aller voir le responsable. Après lui avoir raconté son histoire Fédor lui propose d’aller vérifier si la balance fonctionne bien mais une fois de plus même avec le réglage l’aiguille affiche toujours 2kg 900. En rentrent chez lui il voulut vérifier quel poids il faisait, alors il alla dans la pharmacie la plus proche et encore une fois le résultat ne changea pas, alors il rentra chez lui pour revérifier. Il posa ses vêtements sur la balance, avec son chapeau, le tout pesait 2kg 900. Quand sa femme arriva elle dit qu’elle aussi ne pesait plus rien.

Passage représentatif de l’histoire : Quand à Fédor Glyn, malgré son petit ventre qui l’attristait souvent, rien …Zéro. Zéro…Zéro …un souffle. (page91)

Le train perdu

Tiphaigne Hoff était un chef de gare dans les années 1900.Un soir, le train 1815 allait partir. Tiphaigne criait son habituel « en arrière, les voyageurs !» mais ce soir-là il n’y avait pas un chat. Il se retourna et vit son collègue qui frappait chaque roue du train avec un marteau puis regarda derrière lui et vit deux personnes sur le quai et resta bouche bée. Il y avait un grand homme et un petit, le grand portait un manteau sombre tandis que le petit était très vieux, sa tenue était particulière avec sur sa tête un chapeau castor. Le plus petit monta avec une agilité étonnante dans le train. Le plus grand restait immobile alors Tiphaigne alla à sa rencontre mais le vieillard lui dit de ne pas le toucher. Le géant monta et le train partit. Le chef de gare dans laquelle le train 1815 était sensé arriver assurait qu’aucun train n’était arrivé ce soir-là. La machine qui était partie voir si le train avait déraillé est arrivée à la gare en question et n’avait rien vu .Le train 1815 avait mystérieusement disparu.

Passage représentatif de l’histoire: personne n’a plus ouï parler du train 1815.

L’arbre de portugais

Julien était condamné à trois mois de prison pour recel. Il fut placé dans une prison avec un homme que l’on appelait le portugais. En arrivant dans la pièce le portugais fit de la place sur l’étagère pour Julien. Le portugais avait été enfermé pour avoir tué sa femme. La première nuit fut très dure pour Julien, son partenaire de chambre avait crié toute la nuit car il faisait un cauchemar, d’après le gardien. Le lendemain Julien demanda au portugais pourquoi il criait la nuit, l’autre lui répondit qu’il devait couper un arbre dans son jardin mais qu’il ne réussirait pas tout seul alors il demandait à Julien de l’aide. Et pendant des nuits et des nuits ils coupaient l’arbre. Quand ils vinrent à bout de l’arbre celui-ci s’écroula sur le sol Une nuit Julien se réveilla et vit le portugais en sang, les infirmiers prirent le portugais le posèrent sur une civière et l’emmenèrent.

Tristan, 4A, le 4 octobre 2015

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 21:10
Collectif, Le Crime n'est jamais parfait

Nom et prénom des auteurs : LEBLANC Maurice (l’écharpe de soie rouge), CONAN DOYLE Arthur (la crinière du lion), CHESTERTON J.K (l’oracle du chien) et STEEMAN S.A (la mort dans l’ascenseur).

Titre du recueil : Le crime n’est jamais parfait

Édition : Flammarion

Collection : Étonnants classiques

Titres des nouvelles : L’écharpe de soie rouge, la crinière du lion, l’oracle du chien, et la mort dans l’ascenseur

Abécédaire des mots clés de ce recueil :

  1. astrakan « C’était un jeune homme de vingt-huit à trente ans, qui portait des favoris coupés court, des lunettes un veston d’appartement fourré d’astrakan et qui avait l’air d’un étranger, d’un russe. »page 32, l’écharpe de soie rouge.
  2. Balivernes « parle, dit-il… et pas de balivernes. »page 33, l’écharpe de soie rouge
  3. Chaperonnage « A huit cents mètres, toutefois, se dresse le collège bien connu de Harold Stackurst, Les Pignons ; c’est une grande propriété où sont réunis une vingtaine de jeunes garçons qui se préparent à diverses professions sous le chaperonnage de plusieurs maîtres. »page 63, la crinière du lion
  4. Dégingandée « Impossible de se tromper sur la haute, anguleuse, dégingandée. » page 68 , la crinière du lion.
  5. « Il m’a frappé comme étant de cette sorte d’hommes, doucereuse, souriante, équivoque, et l’un de ses gestes me sembla un indice. » page 100, l’oracle du chien.
  6. Favoris « Il portait une paire de longs favoris d’un noir luxuriant tel qu’il ne s’en n’est pas vu depuis l’ère victorienne. » page 95, l’oracle du chien
  7. Guet-apens « Inquiet, la rage au cœur, plein de haine, il résolut de prendre toutes les précautions nécessaires, non seulement pour ne pas tomber dans un guet-apens, mais même pour ne pas manquer, puisque l’occasion s’en présentait, de prendre son ennemi au piège. » page 48, l’écharpe de soie rouge
  8. Honnêtement « Vous vous êtes demandé comment il m’est possible de deviner ce qui se passe à cent miles de distance ; mais, je l’avoue honnêtement, et cela vous fait honneur : vous décrivez si bien les gens que je reconnais leurs types.»page 113, l’oracle du chien.
  9. Insubordination « ce n’est pas la première fois que je me heurte à votre insubordination.»page70, la crinière du lion.
  10. Jaillir « Les derniers mots que j’entendis et que je compris jaillirent de ses lèvres comme un cri. »page 63, la crinière du lion.
  11. Kiosque «Alors c’était dans un kiosque, n’est-ce-pas ? page 92, l’oracle du chien.
  12. Lugubre « Je vais vous le dire, annonça Fiennes avec une lugubre emphase : quand nous sommes revenus dans le jardin, la première personne que nous avons rencontrée fut Traill, le notaire. » page 98, l’oracle du chien.
  13. Mobile « Et en faisant le tour, nous finirons bien par découvrir le mobile, qui à son tour nous mènera au criminel. »page 69, la crinière du lion
  14. Naturellement « Naturellement, reste le crime en lui-même… et la question de savoir qui a pu tuer le vieux Druce, alors qu’il était seul dans le kiosque… » page 92, l’oracle du chien.
  15. Obligeance « Et tu vois, il n’y avait pas de piège dans tout ça…rien que de l’obligeance…un service de camarade à camarade, de copain à copain. »page 50, l’écharpe de soie rouge.
  16. Perspicaces « Simple manie, sans doute, divertissement puéril auquel personne n’eut prêté attention ; mais Ganimard était un de ces observateurs perspicaces que rien ne laisse indifférents, et qui ne sont satisfaits que quand ils savent la raison secrète des choses. »page29, l’écharpe de soie rouge.
  17. Question« Naturellement, reste le crime en lui-même… et la question de savoir qui a pu tuer le vieux Druce, alors qu’il était seul dans le kiosque… » page 92, l’oracle du chien.
  18. Réhabilité « Du moins me voilà réhabilité ! déclara Murdoch en se remettant lentement debout. »page 84, la crinière du lion
  19. Stylet « Le docteur Valentine-encore dans le voisinage immédiat-revint et certifia que la blessure avait été faite par une sorte de stylet qui, entrant sous l’omoplate, avait transpercé le cœur. »page 94, l’oracle du chien.
  20. Taciturne « Murdoch était le professeur de mathématiques ; grand brun maigre, il était si taciturne et distant qu’il n’avait pas d’amis. »page 64, la crinière du lion.
  21. Unanimes « Mais aussi à des explosions intermittentes de mauvaise humeur qu’ils étaient unanimes à dépeindre comme féroces. »page 64, la crinière du lion.
  22. Velléités « Non sans laisser peut-être certaines velléités de vengeance »

Y. Yankees « C’est souvent le cas de ces Yankees affairés. » page113, l’oracle du chien

Avis : J’ai aimé ce livre car il y a des criminels très différents à chaque fois

Raphaël, 4A 3/10/15

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 20:42
Collectif, Nouvelles du XXe s

Titre du recueil : Nouvelles du XXe siècle

Édition : Hatier, Jeanne Boyer

Collection : Œuvres et thèmes, dirigée par Helène Potelet et Georges Décote.

Titres des nouvelles que contient ce recueil : Le proverbe de Marcel Aymé, Écrire debout de Michel Tournier, Villa Aurore de J.-M.G. Le Clézio, Pauvre petit garçon de Dino Buzzati, Jeu de Roald Dahl, Comment Wang-Fô fut sauvé de Marguerite Yourcenar.

Le proverbe de Marcel Aymé

L'histoire se passe à Paris, en 1925, les principaux personnages sont M. Jacotin, Lucien, Chapusot, Fourmont, Béruchard

Extrait choisi: -Comme ça, tu as été dehors toute la journée ? Du matin au soir ? Bien entendu, puisque tu as passé ton jeudi à t'amuser, j'imagine que tu as fait tes devoirs ?

Le père avait prononcé ces dernières paroles sur un ton doucereux qui suspendait tous les souffles.

-Mes devoirs ? murmura Lucien.

-Oui tes devoirs.

-J'ai travaillé hier soir en rentrant de classe.

-Je ne te demande pas si tu as travaillé hier soir. Je te demande si tu as fait tes devoirs pour demain.

Chacun sentait mûrir le drame et aurait voulu l'écarter mais l'expérience avait appris que toute intervention en pareille circonstance ne pouvait que gâter les choses et changer en fureur la hargne de cet homme violent.

J'ai bien aimé ce livre car j'ai vite compris l'histoire en lisant ce livre.

Goulven, 4A 4 octobre 2015

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : LIRELIRE
  • : Ce blog est destiné à recevoir et à diffuser nos avis de lecteurs à propos des livres choisis (élire) et lus (lire).
  • Contact

licence et trace carbone

Lirelire   Josiane Bicrel est mis à disposition selon les termes de la licence creativecommons by-nc-sa/4.0

Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les mêmes Conditions 

Lirelire est neutre en carbone.

 

Rechercher

Classement Alphabétique Des Auteurs