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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 21:24

Lettres à sa fille de Calamity Jane

 Les principaux personnages du roman sont : 

Calamity Jane, qui écrit les lettres

sa fille, Jean Mc Cormick, dite Janey

et le capitaine James O’Neil, père adoptif de Janey. 

Le personnage que je préfère est le Capitaine O’Neil qui a adopté Janey quand elle avait un an et demi. James O’Neil et sa femme ont adopté Janey afin de lui offrir une vie stable et une éducation.  Il écrivait régulièrement à Calamity Jane pour lui donner des nouvelles de sa fille et il lui envoyait des photos de Janey : « Une lettre de ton papa Jim est arrivée aujourd’hui avec une autre photo de toi. Ton anniversaire tombe ce mois-ci, tu as 7 ans » P35.

Je pense que j’aurais fait comme James O’Neil, j’aurais continué à envoyer des nouvelles de Janey à sa maman car Calamity Jane aime beaucoup sa fille bien qu’elle l’ait abandonnée. Elle l’a fait par amour pour son enfant car son mari est décédé et Calamity Jane n’avait pas une vie stable. Calamity Jane a écrit ses lettres à sa fille pour lui montrer qu’elle pensait à elle malgré l’abandon : «  Jim O’Neil, remettez s’il vous plaît cet album à ma fille, Janey Hickok, après ma mort»  Calamity Jane dit souvent à sa fille que certaines personnes disent du mal d’elle mais que ce ne sont que des mensonges : « Ma chérie, un jour, il se peut que tu viennes dans l’Ouest et que tu entendras un tas de mensonges sur ta mère … » P92

Elle se justifie beaucoup par rapport à la vie qu’elle mène et raconte à sa fille tout ce qu’elle fait de bien pour les autres : « J’ai aussi pris soin d’autres parents, il y a quelque temps. Ils vivent dans le Wyoming, où est né leur marmot. Je les ai aidés à s’en sortir parce qu’ils étaient très pauvres … » P 66

L’élément le plus important, c’est la rencontre entre Calamity Jane et sa fille, c’est son plus beau cadeau : « Je n’oublierai jamais cette party et penserai toujours à toi quand je t’ai aperçue pour la première fois, ce jour où ton papa Jim t’a fait entrer pour faire ma connaissance et où tu m’as demandé pourquoi je pleurais et je t’ai dit que tu me rappelais une petite fille que j’avais connue et je t’ai raconté comme elle avait pris la mer sur un grand navire et ne m’était jamais revenue … » P 53

 L’auteur a créé du suspense dans son livre car les lettres sont chronologiques. J’avais envie de savoir si Calamity Jane allait rencontrer sa fille et de découvrir les différentes aventures de Calamity Jane car elle voyageait beaucoup. Le livre se termine car Calamity Jane est âgée et elle devient aveugle donc elle ne peut pas continuer à écrire.

                                                                        Marc-Antoine L S, 4ème C, octobre 2013

 

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Auteur : Calamity Jane

Titre : Lettres à sa filleimages--1-.jpg

Edition : Rivages

Genre : Ce livre est un recueil de lettres.

Sujet : Il s’agit d’une femme qui est aussi une mère n’ayant pas pu s’occuper de sa fille.

C’est l’histoire d’une femme de L’Ouest des Etats-Unis qui ne peut pas s’occuper de son enfant. Elle le confie à un couple originaire de L’Est Américain, Jim et Helen O’neil. Pendant vingt ans elle écrit des lettres à sa fille. Elle a réussi à la rencontrer simplement deux à trois fois. Cette histoire est très émouvante parce que l’on devine le manque énorme qu’éprouve cette femme face à l’absence de sa fille.

Page 98 à 99 lignes 1à 21, la fille de Calamity Jane ne reconnaît pas sa véritable mère.

J’ai bien aimé ce livre car malgré des dizaines de milliers de kilomètres, Calamity Jane, pense et écrit à sa fille qui ne connaît pas le visage de sa mère. La jeune fille ne peut se représenter sa mère correctement. Je conseille ce livre car il n’est pas très long et il est plein d’émotions. J’attribuerais à ce livre la note de 4/5.  

Martin T, 4C, 14/10/2012

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Maëva R                                                                   
L'Hermitage-Lorge                                              
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maeva@ouvaton.fr                                                                                                                                        

             05/02/16 L'Hermitage-Lorge    


                                                                                                  Madame Jean McCornick   
                                                                                                  12 rue du Brownstone
                                        
    Madame,
 
    Depuis peu j'ai lu avec la plus grande attention, le livre de votre mère, Calamity Jane et j'aimerais en parler avec vous.

    Je trouve que votre vie est très touchante, ça n'a pas pu être facile d'être adoptée mais votre père adoptif James O'Neil avait l'air de tenir à vous. On a l'impression quand votre mère vous avait rendu visite pour la première fois depuis qu'elle vous avait  laissée et que vous ignoriez que c'était votre vraie mère. Vous ressemblez à votre mère, pas physiquement mais mentalement, vous avez la même génorisité, le même caractère, vous pouvez en être fière.
        Votre mère m'a vraiment touchée, son courage, sa volonté de ne rien abandonner, elle était tenace. J'ai bien apprécié les passages où votre mère a expliqué la rencontre avec votre père et comment elle lui avait sauvé la vie ou quand votre mère vous avait envoyé une lettre en
racontant sa première visite auprès de vous depuis qu'elle vous avait laissée. La fin ne m'a pas beaucoup touchée : j'aurais aimé qu'elle vous écrive une lettre en parlant de choses auxquelles on ne s'attendrait pas.

         Personnellement je ne me suis pas identifiée à un personnage dans cette histoire mais j'étais très touchée comme je vous l'ai déjà dit. Le livre est très agréable à lire et facile. J'ai bien apprécié l'ami de votre mère, le prêtre, lui aussi, était très généreux.

    J'espère que vous avez apprécié ma lettre qu'elle vous a rappelé de bons souvenirs.
    Je vous prie d'accepter mes sincères salutations.


                                                                                                 Maëva, collègienne

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 22:20

Le-rapport-Brodeck.jpgCe livre a attendu longtemps sur ma table de chevet : l'illustration de couverture et le sujet abordé me faisaient reculer l'instant de m'y plonger malgré le bonheur que j'ai toujours trouvé à lire Philippe Claudel. Mais voilà, je l'ai lu et il ne me quitte plus ! Vous raconter l'histoire serait un peu vain tant ce livre a connu de succès. Je propose donc cet abécédaire, portrait en 26 touches d'un roman inoubliable. Puisse-t-il vous donner l'envie de le lire, d'y penser, d'en parler. 

 

A comme animal « L’homme est un animal qui toujours recommence » Mais que recommence-t-il ? Ses erreurs ou la construction de ses fragiles échafaudages qui parviennent parfois à le hisser à deux doigts du ciel ? (P 175)

B comme Brodeck, « Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien » dit celui qui a pour mission d’écrire le rapport sur la disparition de L’Anderer (l’autre), ce rapport dont les commanditaires attendent qu’il consigne bien tout ce qui s’est passé, tout, sauf leur monstruosité. Mais Brodeck écrit en secret un autre rapport.

C comme Claudel, auteur mais pas narrateur du Rapport de Brodeck mais aussi des Ames Grises, de La Petite fille de Monsieur Linh, de Parfums… une vingtaine de livres souvent primés, précise l’éditeur.

D comme Diodème, l’instituteur qui écrit des romans ; le tiroir de sa table recèle des secrets bien gardés.

E comme Emilia, la Juste, qui chantonne sans cesse, les yeux dans le vague, corps sans âme

F comme Fédorine, femme sans âge, "échappée du ventre pourri de l’Europe », p 28

G comme Göbbler, le voisin, un méchant, toujours puant le poulailler, toujours menaçant.

H comme Herz : l’entrée de la ferme du maire du village est ornée d’une poterne où est inscrit « Böden und Herz geliecht », « Ventres et cœurs unis » !

I comme inventaire de la flore des montagnes et même de la faune, Brodeck s’y applique avec méticulosité.

J comme « Je n’ai jamais couru aussi vite de ma vie.                                     …………..    Jamais. »                                   

K comme Kelmar, compagnon de Brodeck à S puis durant les cinq jours vers le wagon vers le camp mais « pas plus loin ».

L comme langue : « Ces soldats qui venaient en vainqueurs partageaient nos coutumes, parlaient une langue tellement proche de la nôtre qu’il suffisait de peu d’efforts pour la comprendre et la manier. » ( p 262)

M comme Monsieur Socrate, l’âne de L’Anderer et Mademoiselle Julie, son cheval bai.

N comme neige qui tombe dru sur le village et sur la camp.

O comme Ohnmeist le mystérieux et unique chien du village, chien de personne.

P comme Peiper, le prêtre du village qui se réfugie dans l’alcool au lieu de remplir ses fonctions et comme la peur qui a mené Brodeck aux bourreaux parce « Quelle avait saisi quelques-uns à la gorge » p  271 . Et surtout comme Poupchette l’enfant au doux babil, fruit de l’horreur et promesse du renouveau.

Q comme les quatre uniques exemplaires du précieux Liber florae montanarum dont le village se débarrasse en même temps que de l’Anderer son propriétaire.

R comme renard : pourquoi les renards meurent-ils aux abords du village ? Est-ce qu’ils se suicident ? Pourquoi est-ce un renard « très beau, très vieux », qui précède Brodeck dans sa fuite ?

S comme sacrifice : celui d’Aloïs Cathor sacrifié, décapité en place publique pour que chacun comprenne ce que les bourreaux nomment loyauté.

T comme tout : « Je sais tout Brodeck. Tout. Et tu ne peux même pas imaginer ce que ce Tout veut dire », confie le curé Peiper à Brodeck p 163

U comme Ulli Rätte, l’université de S. où Brodeck est allé étudier grâce aux villageois qui s’étaient cotisé pour en faire un futur instituteur du village.

V comme vouloir : dans l’apologue du tailleur Bilissi, celui-ci choisit de ne rien vouloir de crainte de tout perdre.

W comme « WR », les initiales entrelacées sur le brassard noir de l’étudiant qui sème la terreur en pourchassant les Femdër dans les rues de S

X pour les noms inconnus que Brodeck a préféré ne pas voir sur le testament de Diodème.

Y comme les yeux de l’Anderer « très ronds, d’un beau vert jade », ils « sortaient un peu de sa face ce qui rendait son regard encore plus pénétrant. » p 24

Z comme la Zeilenesseniss et son nourrisson – « La Mangeuse d’âmes » qui ne manque jamais la pendaison hebdomadaire au camp.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 18:04

uneprincesse04paillette.jpgAuteur : Meg Cabot

Titre : Journal d’une Princesse, Paillettes et courbettes.

Edition : Hachette jeunesse

Collection : Livre de poche jeunesse

Date :  2008

GENRE : Récit d’initiation.

THEME PRINCIPAL : Le journal d’une jeune fille qui devient une princesse.

 

 LE SUJET : Mia Thermopolis, princesse héritière du trône de Genovia, petite principauté qui se trouve entre la France et l’Italie, y passe les vacances de Noël. Juste avant de s’envoler, Michael, le grand amour de sa vie, l’a embrassée ! Elle se demande alors comment elle va faire pour pouvoir passer toutes les vacances de Noël sans lui, surtout qu’il y a un gros décalage horaire entre New-York et Genovia ! Entre les cours de princesse avec sa grand-mère et la préparation de son discours pour le prince William, elle n’a presque pas de temps pour elle !

Mais heureusement, Michael ne l’a pas oubliée quand elle revient aux USA. Son nouveau problème est de trouver son talent secret ; autour de la table, les autres ont tous un talent secret, sauf elle. Elle apprend également qu’on a tourné un film sur elle, Michael l’a invitée au Screening Room vendredi soir, mais sa grand-mère l’oblige à aller à un bal pour la comtesse  de Trevanni.

 

PASSAGE REMARQUABLE : Page 250-251.

« Qu’est-ce qui s’est passé ? m’a-t-il demandé.

Oh, ta sœur est en colère car je n’ai toujours pas découvert quel était mon talent secret, ai-je répondu en rangeant mon journal.

Ton quoi ? a fait Michael.

Mon talent secret. »

Et alors, parce qu’il avait été si honnête avec moi en me disant qu’il m’aimait, j’ai décidé d’être honnête avec lui.

« C’est juste que Lilly et toi, vous avez tellement de talents, ai-je expliqué. Vous êtes bons dans pleins de domaines tandis que moi, je suis nulle partout. Parfois j’ai l’impression de… de ne pas être à ma place. Du moins en étude dirigée.

Mais voyons, Mia, tu es super douée ! s’est exclamé Michael.

Ah oui ? ai-je répondu en montrant ma robe. Douée pour ressembler à un perce-neige ?

Non, a répondu Michael.Quoique, maintenant que tu le dis, tu es assez bonne à ça aussi. Non, je voulais dire douée en écriture. »

Je l’ai regardé fixement et j’ai fait « Hein ? », ce qui n’avait rien des manières d’une princesse, je vous l’accorde.

« Eh bien, ça me paraît évident que tu aimes écrire, a continué Michael. Tu es toujours le nez dans ton journal. Et tu as toujours des supernotes en dissertation. Oui, c’est évident pour moi que tu es un écrivain. »

J’aime beaucoup ce passage car on apprend quel est le talent secret de Mia, et c’est ça qu’elle cherche pendant tout le livre.

 

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J’ai adoré ce livre, l’histoire est très entraînante et c’est le genre de livre que j’aime lire, je n’irais pas jusqu'à dire que c’est mon livre préféré mais j’aime beaucoup ce livre, je me suis rendu compte que je l’avais déjà lu mais c’était bien de le relire !

Maëlle B, 5C, Mars 2013 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 22:28

 

 

AUTEUR : Jacques CASSABOIS 
 TITRE : LE CHEVALIER TRISTAN 
 EDITEUR : Hachette 
COLLECTION : Le livre de poche jeunesse 
DATE DE PARUTION : Avril 2008. GENRE : Recueil de contes 
PERSONNAGES PRINCIPAUX : Tristan, Iseut, Marc 
THEME PRINCIPAL : Un amour impossible entre deux personnages 
RESUME : Tristan est un jeune chevalier dont le père est mort à la bataille et dont la mère est morte de chagrin après sa naissance. Il est recueilli par son oncle Marc qui lui apprend le maniement des armes. Tristan se fait nommer chevalier pour combattre le géant Morholt qu'il terrasse mais il est blessé par son épée empoissonnée. Il embarque dans une barque en espérant soit mourir librement soit trouver un remède miracle. La barque accoste en Irlande où il fait la connaissance de la sœur de Morholt qui le soigne ainsi que de sa fille Iseut. Tristan combat le dragon pour donner la main d'Iseut à son oncle Marc. Mais lors du retour en Cornouailles, ils boivent par erreur un philtre d'amour qui les unira à jamais. Iseut se marie avec Marc mais elle lui sera infidèle avec Tristan. Les barons du Roi Marc jaloux de Tristan, feront tout pour que le roi découvre leur relation. Tristan s'exile en Bretagne où il se marie avec une jeune fille mais refuse de consommer le mariage pour rester fidèle à sa bien aimée.  

UN PASSAGE REMARQUABLE : page 69

 Une autre année de solitude s'écoule. Les amants se terrent comme des bêtes, résistent au froid, à la pluie. Les privations n'altèrent pas leur ardeur. Pourtant, l'été qui revient est le troisième depuis qu'ils ont bu le vin et les effets du breuvage se dissipent. Ils se voient tels qu'ils sont, hagards, maigres. Ils n'en peuvent plus de vivre dans ce désert, mais ne savent pas comment réintégrer le monde sans se renier. Seul Ogrin peut les aider. Ils quittent leurs broussailles et se rendent à son ermitage. Le sage les reçoit et leur rédige une lettre de reddition que Tristan porte de nuit à Tintagel. Il réveille son oncle et s'enfuit.

 Ce passage met en avant la remise en question de nos deux amoureux. Malgré leur amour, ils acceptent de se séparer : Izeut retourne auprès de Marc et Tristan s'exile en Bretagne.

  CRITIQUE PERSONNELLE : Ce livre est intéressant et agréable à lire car l'histoire se déroule au moyen âge et il y a un peu de fantastique avec le dragon, le géant Morholt et la potion magique. Par contre, je trouve qu'il y a un peu trop de personnages. Tristan est partagé entre son amour pour Iseut et sa fidélité envers son roi Marc.

Antoine, 5C, novembre 2012

 

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Auteur : Jacques Cassabois

Titre : Le chevalier Tristan

Edition : le livre de poche

Genre : roman d’aventure

Thème principal : L’histoire de Tristan

  Le sujet :

 Un valeureux chevalier, neveu du Roi Marc roi de Cornouailles du nom de Tristan enchaine les victoires que ce soit au combat ou dans la vie. Mais un défi s’oppose à lui : le combat de Morholt, une bête qui va perdre en défiant Tristan. Blessé  il part pour l’Irlande où il va se faire soigner, il y retourne plus tard pour ramener Iseult future épouse du roi Marc. Mais pendant le retour en Cornouailles, Tristan voulant s’abreuver  but un breuvage qui fait aimer quelqu’un. Cette personne étai Iseult. Ils tombèrent amoureux et s’aimèrent en cachette. Mais arriva le moment où ils furent découverts, s’en suivit  une suite de péripéties.

Passage remarquable : - ¨C’est pour y creuser ta tombe que tu as choisi cette île, ironise le géant. Et évite aux tiens d’y transporter ta dépouille.

Il meugle comme un taureau. Quand il parle ses lèvres se retroussent et découvrent ses dents acérées de bête noire¨

Commentaire : on sent la puissance de la bête dans cette phrase et on sent aussi la tension entre les deux guerriers qui vont s’affronter.

 C’est un bon livre je le conseille aux autres personnes.

Matthieu P, 5C, 23/10/2012

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C'est l'histoire du roi Rivalin et de la reine Blanchefleur. Ils régnaient sur le royaume de Lohonois, en terre d'Armorique. Ils eurent un fils qui se nommait Tristan. Lorsqu'ils moururent, ils confièrent leur enfant à leur sénéchal. Un jour qu'il partait en mer, il fut emmené au pays de son oncle et là, il commença une histoire fabuleuse.

Florian, 5B, 22/01/2009

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 08:59

Titre : C'était la guerre 

 Auteurs : Annie Saumont, Italo Calvino, Robert Westall, Hervé

               Le Tellier, Jean-Noël Blanc, Jaroslaw Iwaszkiewicz

L’éditeur : Hachette Jeunesse

Collection : Courts Toujours51THPAYCCBL.jpg

Genre : anthologie de six nouvelles

 

Présentation  de la nouvelle : « Adolf » de Robert Westall

Thème principal : Une amitié entre un adolescent et un ancien héros de guerre

Résumé 

C’est l’histoire de Billy Martin qui va chercher une bière à l’épicerie pour son père. Sur le chemin, il fait la connaissance d’Adolf qui lui propose de faire ses courses en échange d’un peu d’argent. Billy accepte et quand il ramène les courses à Adolf, il lui montre ses tableaux et ils discutent de plusieurs sujets. Un jour, Adolf lui parle de « Dresde », une ville allemande qui s’est fait bombarder par les anglais pendant la guerre 1939-1945. Billy fait des recherches pour trouver ce qui s’est vraiment passé là-bas mais il ne se trouve qu’en face de personnes qui ne disent pas la vérité. Après plusieurs recherches, il trouve le livre d’Adolf Hitler qui raconte tout ce qui s’est passé sur la guerre, il le lit et en parle à un camarade. C’est là que les ennuis commencent car il raconte à tout le monde qu’Adolf est Adolf Hitler. Un groupe de punk tague sa maison d’insultes, une émeute éclate devant chez lui. Billy, inquiet, décide de tout raconter à son père qui lui dit qu'Adolf ne peut pas être Adolf Hitler car il était mort depuis longtemps. Ils partent à la maison d’Adolf qui est en flammes. Ils appellent la police qui sauve Adolf. Plus tard, ils apprennent qu’Adolf était en fait un grand héros de guerre polonais.

Passage remarquable :

 «La guerre, a ajouté Simms, elle a de drôles d’effets sur les gens – des années après. Le vieux Krainer a commencé par combattre Hitler et il a fini par se prendre pour Hitler. Je suis content d’avoir seulement été dans la défense anti-aérienne – loin de Lowestoft. Papa et moi, on a pris notre bière et on est parti. Les fenêtres aveugles de la maison incendiée d’Adolf Krainer ont semblé nous suivre, comme des yeux, tout le long de Tennyson Terrace."

La guerre fait changer les gens, elle laisse des traces sur les visages et sur les caractères.

Jugement critique :

J’ai apprécié cette nouvelle car cela parle d’une amitié entre un adolescent de 14 ans, qui pourrait être moi, et un vieil homme marqué par la guerre, puis d’une rumeur qui s’installe autour de cette amitié, et qui a failli couter la vie à une personne. Mais cet adolescent a permis au vieil homme de récupérer son honneur de héros.

 

Ewen, 4A, novembre 2012

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51THPAYCCBL.jpgTitre du recueil: C’était la guerre

Edition: Hachette Jeunesse

Collection: Courts Toujours !

Titres des nouvelles:     -Les voilà

                                       -Un beau jour ne dure jamais longtemps

                                       - Le corbeau vient le dernier

                                       - Adolf

                                       - Mon frère David

                                       - Petit Péteux

                                       - Icare    

 

1: Annie Saumont : “Les voilà

On ne sait pas où se passe l’histoire ni à quelle époque mais les personnages principaux sont un enfant et son grand-père. Nous n’avons pas de renseignements sur eux. L’enfant écoute les vieilles histoires vécues par son grand-père quand il était jeune.

Extrait : “De là, je voyais sans être vu. Je les trouvais beaux, les soldats. Ils ont répété : serrez-vous ! Puis ils ont lancé des grenades. »  (p 18)

J’ai choisi cet extrait car je le trouve plutôt triste.

2: Italo Calvino,  “Un beau jour ne dure jamais longtemps”

L’histoire se passe sur les bords d’un petit ruisseau, en pleine seconde guerre mondiale, c'est-à-dire entre 1939 et 1945. Giovannino et Sérénella jouaient à la guerre avec des roseaux mais après avoir sifflé dans les roseaux, ils se retrouvèrent en plein champ de bataille, en pleine guerre…

Extrait: “... Ils revoyaient toujours le regard triste de ce soldat-là allongé par terre… (p 36)

J’ai choisi cet extrait car on voit à peu près comment étaient les soldats pendant la guerre. »

3: Italo Calvino “Le Corbeau vient le dernier”

L’histoire se passe d’abord au bord d’une petite rivière et vers la fin, dans un champ de bataille. Trois soldats sont au bord d’une rivière à regarder les truites passer. À un moment,  un des trois propose de lancer une grenade pour voir la réaction des truites. C’est alors qu’arrive un « gosse ». Il demande un fusil et on lui en donne un. Le gosse tire sur une truite, puis une autre. Ensuite sur une pomme de pin, puis deux puis trois. Une perdrix et une hirondelle tombent à leur tour au sol. Le chef des soldats décide de prendre le gosse sous son aile et c’est comme ça que le gosse est devenu soldat.

 Extrait:“... Mais, venant d’apercevoir des boutons dorés sur la poitrine de l’un d’eux, le gosse avait déjà fait feu en visant l’un de ces boutons ...”(p.49)

J’ai choisi cet extrait car on voit ce que les Français faisaient lorqu’ils voyaient des Allemands.

4: Robert Westall : « Adolf ».

L’histoire se déroule en Angleterre. C’est un jeune garçon appelé Billy Martin qui allait tranquillement chercher des bières pour son père. Il descendait la rue de Tennyson-Terrance quand soudain un vieil homme l’interpella. Il lui demanda d’aller faire ses courses. À son retour, Billy rentra chez “ le vieil Adolf”, c’est comme ça que les villageois l’appelle. Après avoir longuement parlé de ses tableaux qui rappelaient la seconde guerre mondiale, Billy décida de rentrer chez lui car il se faisait tard et que son père s’inquiétait. Le lendemain, à la bibliothèque du collège, Billy cherchait le livre que Hitler avait écrit “Mein kampf”. Après l’avoir lu, le garçon se demanda comment Adolf pouvait savoir autant de choses sur Hitler. Une idée lui vint à l’esprit : Adolf était en fait Adolf Hitler !!!!!  Il alla de ce pas le dire à ses parents qui, bien sûr ne le crurent pas. Mais suite à un article dans le journal qui disait qu’ un dangereux criminel de guerre habitait dans Tennyson- Terrence, le père de Billy partit de suite de la maison,  avec Billy. Devant la maison d’Adolf, un groupe de punks se tenait là, avec des coctails Molotov en main et ils les lançaient à travers la fenêtre de la maison. La semaine suivante, Billy apprit que Adolf était mort mais aussi que Adolf était ancien pilote de bombardier anglais et que, après avoir lu plusieurs fois le livre d’Hitler,  il le copiait: coiffure, style vestimentaire, etc. Depuis ce jour, le père de Billy l’accompagnait à chaque fois que Billy descendait la rue.

Extrait : ... « Le vieux Krainer a commencé par combattre Hitler. À la fin, il a fini par se prendre pour Hitler »... (p.103)

5 : Hervé le Tellier: «  Mon frère David. »

L’histoire se passe dans un camp de concentration allemand.  Le petit Michel écoutait les histoires de son grand frère David, qui lui contait leurs bons et mauvais souvenirs, à la sortie du camp de concentration dans lequel ils étaient tous les deux prisonniers.

Extrait : “debout Michel, encore un effort, un dernier effort. c’est l’arme rouge. Les allemands ont perdu la guerre. »

J’ai choisi cet extrait car on sait comment s’est passe la libération des camps de concentration allemands.

6: Jean-Noël Blanc: » Petit péteux. »

On ne sait pas où se passe exactement l’histoire mais elle se passe dans un petit village.

Amédée vit à la campagne avec son vieux père. Il allait tous les jours au village acheter à manger, boire un coup avec les villageois et voir sa petite copine. Mais un jour, son père vient à mourir. Amédée, sous le choc, ne sort plus de chez lui, ne se lave plus, il grossit... bref, il ne fait plus rien ! Puis un jour, comme tout le monde un jour, il vient à mourir, probablement d’une attaque, comme toute sa famille avant lui ...

Extrait: Je n’ai pas trouve d’extrait intéressant.

7: Jaroslaw Iwaszkiewicz: « Icare ».

L’histoire se passe en Varsovie. Michas regardait le tableau de la chute d’Icare et il se rappela de ce petit garçon, là, sur la route qui lisait tranquillement un livre quand soudain vint cette camionnette noire. De cette camionnette sortirent trois hommes cagoulés qui embarquèrent l’enfant. Personne n’avait rien vu, tout comme Icare , lors de sa chute. Personne, sauf Michas.

Extrait: “Ceux  qui allait périr au combat savaient pourquoi. Peut être éprouvaient-ils une consolation à l’idée que leur mort aurait un sens.”(p.158)

J’ai choisi cet extrait car on apprend comment étaient les soldats à l’idée de mourir.

J’ai trouve ce livre intéressant car je suis intéressé par la guerre.

Tom, 4D Septembre 2015

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 22:04

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

·   Auteur : Claude Clément

·     Titre : Le cadeau oubliéle-cadeau-oublie-claude-clement-9782841466221.gif

·     Édition : SYROS jeunesse

 GENRE Récit de vie

 THEME PRINCIPAL La vie d’un émigré.

 LE SUJET Saïd a 11 ans, il vit avec ses frères et sœurs ainsi que sa mère à Ménilmontant. Et il rêve d’avoir le Walkman qui se trouve dans le bazar d’Ahmed mais il n’a pas assez d’argent pour se le payer. Son frère lui avait promis de le lui offrir à son anniversaire. Malheureusement tout le monde oublie ce jour là. Alors Saïd décide de voler son cadeau de rêve pendant que tout le monde est occupé à plaindre la pauvre Tosca, autrefois Chanteuse au Casino de Paris, qui vient de se faire renverser par la camionnette nettoyeuse. Quand Ahmed s’en aperçoit il demande au frère de Saïd de le punir. Il convient de le faire travailler chez Tosca pour l’aider avec ses béquilles, à faire ses courses ou bien à faire le ménage... Il gagnera ainsi une somme d’argent tous les jours pour rembourser son Walkman. En plus de ça il se lie d’amitié avec elle.

 MON PASSAGE REMARQUABLE EN DIX LIGNES Pages 43 et 44

 « Même Aziz avait mis le nez hors de l’entrepôt afin de commenter un évènement auquel il n’avait même pas assisté, tandis que Virgile se lamentait toujours en disant qu’il ne l’avait pas vue, qu’elle s’était jetée sous ses roues. Bientôt, la sirène en alerte, une ambulance se gara en double file. Tandis qu’on emmenait Tosca, Saïd profita de la confusion générale pour pénétrer dans le bazar. Le baladeur se trouvait toujours sur l’étagère. Ahmed avait pris soin de fermer son tiroir-caisse à clé. Personne ne faisait attention à lui. Il tendit la main, prit le Walkman et sortit. »

 C’est le moment où Saïd décide de voler le Walkman.

Je trouve que c’est le moment le plus important du livre car c’est à partir de là que ses aventures vont commencer : il va devoir aider Tosca, rembourser son Walkman.

Mon jugement critique personnel :

 Je trouve que la situation initiale est beaucoup trop longue, elle prend quatre chapitres sur dix. Mais l’histoire en elle-même est très bien, c’est plutôt original car il y a des évènements inattendus. Et l’histoire se finit très bien parce que tout rentre dans l’ordre.

Leïla, 4C, Novembre 2012

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 16:00

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES:

Auteur: Sarah Cohen-Scali9782081613478_cb.jpg

Titre: Mauvais sangs

Edition: flammmarion/tribal/27/09/00/

genre: recueil de six nouvelles : "La maison", "Justice" ...

Présentation de l'une de ces six nouvelles : "Mauvais plan":

 Thème principal: Un chirurgien répute est accusé d’avoir défiguré un homme.

 Resumé :

Un jeune malfrat défiguré lors d’un accident de moto est soigné par un chirurgien esthétique réputé. … Ce dernier l’opère et le défigure.

Il sera donc présenté en justice pour avoir commis une faute grave pendant l’opération d’une personne. Il ne sera donc plus connu sous le nom d’un médecin célèbre.

Passage remarquable: « Recroquevillé sur un matelas éventré et sordide, il considère d’un œil morne la bouteille d’alcool . Vide.

Il la lâche avec un geste d’automate. »

AVIS: On peut remarquer dans ce passage que ce dernier est dépressif. Car auparavent cet homme a vécu un enfer à cause d’une chirurgie esthétique qui a mal tourné.

Jugement personnel: Ce livre est parfois compliqué à comprendre. Il est pour autant très bien.

Je le conseille à des personnes qui n’ont pas de difficulté à lire des romans. L’auteur a voulu nous dire que ce n’est pas parce que une personne est réputée dans son métier qu’il ne peut pas faire d’erreur.

Adrien B, 4C, novembre 2012

****************************************************************

Sarah Cohen-Scali

Mauvais sangs

Edition : Flammarion

Collection : tribal

Le recueil comprend quatre nouvelles :

Mauvais plan : L’histoire se déroule dans un hôpital. Les principaux personnages sont  le blessé, la belle infirmière, le toubib. La victime a eu un accident de moto et il ne peut plus parler car son casque lui a ouvert les cordes vocales. La belle infirmière sent bon et fait craquer le handicapé, le toubib est le meilleur médecin du bâtiment et fait peur au blessé. « Il m’observe un instant, s’arrête sur ma boucle d’oreille. À son tour, il fait danser le p’tit triangle d’or pendant quelques secondes ». P.21. J’ai choisi ce passage car après le soignant lui dit qu’il possède la même boucle d’oreille. J’ai bien aimé car du suspense est présent tout au long de cette histoire.

The end : L’histoire se déroule sur une scène de théâtre. Les personnages sont  Marc et Pierre, tous deux de grands comédiens qui font à chaque spectacle plaisir aux spectateurs. « Une balle en plein cœur. Ou dans la tête. À moins qu’il n’ait opté pour l’arme blanche. Dans ce cas il le saignera comme un vulgaire animal ». J’ai choisi ce passage de la nouvelle car on ne se doute pas que c’est une mise en scène. Page 25.

La maison : La nouvelle se situe sur une falaise où se trouve une maison en bois. Les personnages sont le guide touristique, la prof, et les élèves. Dans l’histoire, le guide est en fait le tueur en série de la famille qui habitait dans ce lieu. L’enseignante emmène ses élèves sur une grande falaise en bord de mer. « Comme on vous l’a dit, une famille a été massacrée dans cette maison. La police n’a jamais retrouvé l’assassin et l’affaire a été classée ». J’ai choisi ce passage car on commence à entrer dans le suspense. Page45.  

Le prince charmant : la scène se passe dans un petit village. Les personnages sont une sdf et un vieux monsieur gentil avec tout le monde. La vieille dame insulte tout le monde même l’homme qui va l’aider et l’homme en question est un vieillard qui va aider la sans-abri. « Bande de tarés ! Z’etes encore en train de ronfler ! y a personne dans c’bled à la con. » J’ai choisi ce passage car il montre bien la réalité : certains sdf agonisent sur le trottoir pour qu’au final quand ils ont un peu d’argent, ils le dépensent dans l’alcool comme dans le livre. Page.81

Pierre-Anne 4A Lundi 5 octobre 2015

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 23:44

Indications bibliographiques :

 

Auteur : Brigitte Coppin.

 

Illustrateurs : Erwann Surcouf et Maurice Pommier

 

Titre : Au temps des châteaux forts

 

Édition : Gallimard Jeunesse

 

Collection : Le Journal d'un Enfant

 

Genre : Journal, récit de vie.

 

 Thème Principal : La vie du jeune Arnaud à l’époque du Moyen-Âge.

 

 Résumé : Arnaud est un jeune villageois de 12 ans, habitant au village des Courtils, dans le Nord du royaume de France. Il a une petite sœur, Margot. Leur mère est morte l'année passée, leur père, est parti dans une ville bien meilleure que la leur, laissant ses enfants avec leur belle-mère. Pour l'instant, Arnaud s'occupe des moutons, un jour, il sera menuisier, comme son père. L'hiver, il va à l'école du village, le curé leur apprend à lire et écrire. Ce dernier, lui a offert du papier et de l'encre pour qu'il puisse écrire quand il voudra. Il retourne aux champs l’été. Arnaud raconte sa vie, au fil des jours, quand il a une mauvaise ou bonne nouvelle, quand il part de nouveau aux champs, quand il rencontre des gens étrangers...

 

Il travaille dur pour sa famille, il essaye même de combattre sa peur des chevaux pour travailler.

 

Choisir un passage remarquable d'une dizaine de lignes : (page 24)

 

5è jour d'Octobre

 

Aujourd'hui, le maréchal ferrant est venu pour Albo, un beau coursier d'Espagne qu'on a livré pour le seigneur. J'ai bien vu que le cheval était agité et qu'il fallait l'attacher solidement ! Lorsqu'il a rué j'ai reculé et j'ai renversé le brasero où le maréchal faisait chauffer les fers. Résultat : je me suis brûlé le bras, j'ai été renvoyé de l'écurie et maintenant je vais sûrement me faire fouetter par messire Robert. J'en ai assez d'être ici !

 

6è jour d'Octobre

 

Dieu merci, l'intendant n'était pas là et j'ai échappé à la raclée. Mon bras gauche me fait très mal.

 

 Ce passage est douloureux pour Arnaud, car, il se fait très mal et en même temps, il se fait renvoyer. Heureusement, après, il se fait soigner par des gens aimables et chaleureux.

 

Son mal a encore duré plusieurs jours, mais il est parti d'un coup.

 

Jugement critique personnel :

 

J'ai bien aimé ce livre car :Il explique bien la vie au Moyen-âge, il est bien construit, on peut même soulever des volets. Et c'est une belle histoire.

Camille C, 5C, 21/10/2012

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Auteur : Coppin Brigitte

Titre : Le journal d’un enfant au temps des châteaux forts
Genre : Récit de vie
Thème principal : La vie d’un enfant au temps des châteaux fortsproduct_9782070559459_244x0.jpg

Résumé
En 1390, Arnaud a 12 ans et habite le petit village des Courtils, près du château de Coucy, sur la route de Soissons, dans le Nord de la France. Il a une petite sœur, Margot. Leur mère est morte l’année précédente et leur père s’est remarié les laissant avec leur nouvelle belle-mère pour s’installer en ville. Mais cette dernière confie Arnaud au château de Coucy pour que la famille ait moins d’impôts à payer. Après son arrivée au château, Arnaud aide à de multiples taches : Nettoyer les lieux d’aisance, aider à l’écurie, porter des coffres et du lourd matériel… D’ailleurs, après avoir déchargé le chariot de la dame, Arnaud est suspecté d’avoir égaré un coffret contenant certainement des objets très précieux.
Le jeune garçon raconte ce qu’il vit au quotidien.

Jugement critique personnel
C’est un très bon livre, je le trouve vraiment intéressant et je le conseille fortement à ceux qui aiment le Moyen-Âge, les châteaux forts, mais avant tout à tous les lecteurs. Ce qui est bien dans ce livre c’est qu’il y a beaucoup de définitions et d’indications.

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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 11:51

22290.gifAuteur: Beverly Cleary

Titre: Signé, Lou

Edition: Neuf de L’école des loisirs .

Genre: Roman par lettres.

Thème: C’est un enfant qui envoie des lettres à un auteur célèbre.

Résumé : L’histoire  parle d’un enfant dont les parents sont divorcés et d’un chien Bandit qui est avec le père de l’enfant dans un camion car le père est chauffeur routier,  Lou vit avec sa mère . Il adore le livre « Comment distraire un chien » de M. Henshaw, un auteur célèbre. M. Henshaw envoie une liste de questions à Lou. Au début, Lou ne voulait pas répondre mais sa mère l’a obligé. À chaque fois que Lou prend son sac-déjeuner à l’école, ses meilleurs repas sont volés alors il invente un système d’alarme mais le jour où il le teste, personne ne lui vole son déjeuner alors il ne sait pas qui est le voleur. À noël Lou attend le coup de téléphone que son père avait promis comme tous les ans, il s'inquiète que son père ne l'appelle pas  alors il décide de faire un journal intime. Il reçoit un grand cadeau par un collègue de son père et après noël le père de Lou l’appelle. Son père lui annonce qu’il a perdu Bandit son chien  dans la neige, mais Lou ne perd pas espoir. Sa bibliothécaire  annonce qu’il devra faire une histoire pour un concours, le gagnant aura le droit de déjeuner avec un auteur célèbre. Son histoire intitulée « Un jour dans le camion de papa » termine dans les cinq premières et donc il déjeune avec Angela Badger . Un beau jour il voit un camion  près de la maison  et il retrouve Bandit et son père.

Corentin B, 4A, 24/10/2012

 

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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 10:52

 

Auteur : Stan Cullimore

Titre : Pourquoi les filles grandissent-elles?

Edition : hachette  jeunesse, 2002

Genre : roman par lettres9782011167897 1 75

Thème principal : la vie d'une adolescente à travers le regard de son père.

Résumé : Le père de Tammy, une adolescente indisciplinée de 13 ans, retrace par une correspondance avec sa femme en déplacement de six mois  aux USA  toutes les péripéties de la vie de leur fille.

Écrivain de métier, son père se retrouve à  cours d’inspiration, soucieux de l’avenir, ne sachant comment réagir  face à une jeune fille en pleine rébellion en l'absence de sa mère.

Grace au journal intime de sa fille, il va finalement réaliser un roman retraçant la vie d'une adolescente afin  de répondre aux exigences de son éditeur.

Passage remarquable : «… comme je persistais à refuser ,elle s'est livrée à son jeu favori "J'essaye de zigouiller toutes les portes de la maison" avant de lancer avec des trémolos dans la voix que je ne devais pas l'aimer beaucoup, puisque moi je n'essayais pas d'acheter son affection. »

Mon avis : ce livre m'a touchée en tant que jeune fille malgé des situations  parfois exagérées à mon sens. Il est intéressant d'aborder l'adolescente à travers le regard d'un parent, cela permet de se rendre compte des incompréhensions, et d'avoir les deux points de vue.

                                                                                                         Loïse G, 4A, 26/10/2012 

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