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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:46

Titre : Lancelot ou le chevalier de la charrette.

  Auteur : Chrétien de Troyes

  Collection : Bibliocollège

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 Editeur : Hachette

 Genre : Roman de chevalerie

 Thème  Les aventures d'un chevalier de la Table Ronde

 

Résumé :

 

C’est l’histoire de Lancelot, un des chevaliers de la Table Ronde. Un jour Méléagant, un ennemi des chevaliers, vint à la cour et dit que si le roi voulait reprendre tous les prisonniers, il devrait envoyer la reine et un chevalier pour le vaincre. Keu, le sénéchal demanda au roi de pouvoir aller combattre Méléagant, celui-ci refusa mais Keu y alla quand même avec la reine.

Quand ils arrivèrent dans la forêt, ils se firent attaquer et emprisonner par Méléagant. Monseigneur Gauvain qui avait tout vu les suivit mais en route il se rendit compte qu’un autre chevalier voulait libérer la reine. Ce chevalier en question n’était autre que Lancelot du lac.

 

Passage remarquable :

 

Le passage que j’ai préféré est celui où Méléagant et Lancelot se battent. Ce passage est important car c’est là que Lancelot va tuer Méléagant (lignes 175, ...) :

"Lancelot fond sur Méléagant avec une fureur bien digne de sa haine. Avant de l'attaquer, il lui crie cependant d'une voix menaçante:
«Venez par là: je vous fais un défi et tenez pour certain que je ne voudrai pas vous épargner».
Il éperonne alors son destrier et retourne en arrière à une portée d'arc pour prendre un peu de champ. Puis les deux combattants se précipitent l'un sur l'autre au plus grand galop des chevaux. De leurs lances bientôt ils ont heurté si fort leurs solides écus qu'ils les ont transpercés. […] Étriers, sangle, courroies, rien ne put empêcher leur chute: il leur fallut vider leur selle et par-dessus les croupes des chevaux tomber sur le sol nu. Les coursiers fous de peur errent de tous côtés; en ruant, en mordant, ils voudraient eux aussi s'entre-tuer.
Les chevaliers jetés à bas se sont bien vite relevés d'un bond. Ils tirent leurs épées où des devises sont gravées. L’écu à la hauteur de leur visage, ils pensent désormais au moyen le meilleur de se faire du mal avec l'acier tranchant. Lancelot n'avait pas la moindre crainte: il s'entendait deux fois plus que Méléagant à jouer de l'épée, car il avait appris cet art dans son enfance. Ils frappent tous les deux si bien sur leurs écus et sur leurs heaumes lamés d'or que les voilà fendus et bosselés. Mais Lancelot de plus en plus presse Méléagant: d'un coup puissant il tranche le bras droit pourtant bardé de fer que l'imprudent aventurait à découvert par-devant son écu. En se sentant si malmené, Méléagant [...] est presque insensé de rage et de douleur. Il s'estime bien peu, s'il n'a recours à quelque fourberie. Il fond sur l'adversaire en comptant le surprendre. Mais Lancelot se donne garde: avec sa bonne épée, [...] il le frappe en effet au nasal qu'il lui enfonce dans la bouche en lui brisant trois dents.
Dans sa souffrance et sa fureur Méléagant ne peut dire un seul mot. Il ne daigne non plus implorer la pitié, attendu que son coeur, en mauvais conseiller, l'enferme dans les rets de son aveugle orgueil. Son vainqueur vient sur lui: il délace son heaume et lui tranche la tête. Méléagant ne jouera plus de mauvais tour à Lancelot: le voilà tombé mort."

 

Commentaire personnel :

 

J’ai moyennement aimé ce livre, sur 10 je ne lui donne que 5. Ce qui m’a plu est que Lancelot ait eu un tel courage pour sauver la reine des griffes de Méléagant. Ce qui ne m’a pas plu est qu’à certains moment son voyage s’étirait en longueur. Je ne conseillerai pas tellement ce livre.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 19:11

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Titre : Le Temps d es Seigneurs

collection : Bonjour l’histoire 

Auteurs : ouvrage collectif

Adaptation : Karine DELOBBE                                

Edition : Périscope PEMF    

Genre : documentaire

 

 

À  la fin de l’empire romain, le territoire de la France est dirigé par des grands seigneurs : c’est le Moyen-âge et la société féodale.

 

1/ LA SOCIETE FEODALE

La société féodale est divisée en trois états :

  1. le clergé qui enseigne la religion
  2. les seigneurs qui maintiennent l’ordre et qui font la guerre
  3. les paysans, les artisans et les commerçants

Dans la société féodale le pouvoir appartient au clergé et aux seigneurs

 

2/ LES SEIGNEURS ET LES PAYSANS

Un territoire appartient à un seigneur . Ces territoires sont héréditaires. Ces paysans travaillent les terres des seigneurs. On distingue deux sortes de paysans :

1. Les vilains : paysans libres qui paient des redevances

2. Les serfs : paysans attachés à la terre

Les paysans doivent obéir aux seigneurs et payer une taxe. En échange, ils sont protégés. Les seigneurs commandent, rendent la justice et gèrent leurs propres terres.

 

3/ LES CHEVALIERS

 Les chevaliers sont recrutés parmi les jeunes seigneurs. Le jeune chevalier est sous la responsabilité d’un ancien, il apprend le métier d’homme d’armes et reçoit une éducation religieuse. Il devient un chevalier lors de la cérémonie de l’adoubement et ensuite il part combattre.

 

4/ LE CHATEAU FORT

Face à l’insécurité, les seigneurs construisent des châteaux forts pour se protéger. Le château fort est une construction en bois ou en pierre, il est bâti sur une hauteur. Il comprend en son centre une tour, le donjon (logis du Seigneur), une salle d’armes et une chapelle. Les Seigneurs organisent des fêtes somptueuses dans leur château.

 

5/ LE TRAVAIL DES PAYSANS ET DES ARTISANS

Dans les villages, les paysans et les artisans travaillent.On distingue les paysans libres et les paysans sans terre. Les artisans réparent ou fabriquent des outils agricoles (invention de la charrue).

 

6/ LES  CAPETIENS

En 987, Hugues CAPET est roi des Francs. Il  est le premier roi de la dynastie des Capétiens. Sous le règne des Capétiens, le pouvoir est entre les mains des seigneurs et la capitale du royaume de France est Paris, le palais du Louvre est la résidence royale.


7/ LA POPULATION

 Au cours des XIIe et XIIIe siècles, la population de royaume de France a doublé.

 Les raisons sont : un climat doux et sec, une population mieux nourrie (moins de famines) et moins d’épidémies grâce au défrichement des forêts et à l'assèchement des marais.

 

8/ PRODUCTION AGRICOLE ET INDUSTRIELLE

 On assiste à la diversification des productions agricoles.

Céréales : froment, seigle, orge…

Légumes : fèves, pois, lentilles…

On extrait des minerais de divers métaux dans les mines pour fabriquer des outils, de la monnaie, et des objets de luxe.

On assiste au développement de l’industrie drapière (lin, chanvre, laine).

 

9/ LES MOINES

Au Moyen-âge, de nombreux hommes choisissent de se faire moine. Les moines ont un rôle spirituel, intellectuel et économique : ils obéissent à la règle de la pauvreté, de la simplicité et de la charité. Ils se consacrent à la prière, à la lecture et à la copie biblique.

 

10/ LES PELERINAGES ET LES CROISADES

 La société médiévale est très chrétienne : l’Église impose la communion et la confession. Le sacrement du mariage est institué. Les riches doivent faire la charité et l’église persécute les infidèles et les hérétiques.

Le Moyen Age est l’époque des grands pèlerinages vers des lieux saints chrétiens : Jérusalem, Rome, Chartres et St Jacques de Compostelle (Espagne). Les croisades ont débuté quand en 1071 les Turcs empêchèrent les chrétiens d’accéder au Tombeau du Christ et que le Pape demanda à des seigneurs chevaliers du Royaume de France d’aller délivrer le tombeau du Christ, la première croisade eut lieu en 1096.

Beaucoup de chevaliers moururent de faim, d’épuisement ou furent massacrés par les Turcs.

 

11/ EGLISES ART ROMAN ET ART GOTHIQUE

 Au Xe et au XIe siècle, le dynamisme des ordres religieux entraîne la construction d’églises romanes : utilisation de la voûte et de l’arc.

Au XIIe siècle, les premières églises gothiques sont construites en Ile de France avec des voûtes en croisées d’ogives. Elles sont plus hautes et avec des vitraux.

 

12/ LA VILLE

 Au Xe siècle, les seigneurs créent des bourgs installés près des châteaux et des monastères. L’église est au milieu du village. Les bourgs sont entourés de remparts.

Les métiers se regroupent par rue, les rues sont des chemins de terre qui servent de dépotoirs. La place est un lieu important : marché, foire, spectacles.

L’école urbaine se développe les maîtres sont des clercs et l’enseignement se fait en latin. Les premières universités sont créées au XIIe siècle.

La ville compte aussi des pauvres mais elle rejette les malades comme les lépreux.

 

13/LA MONNAIE

 A partir du XIIe siècle l’économie est prospère. Les échanges commerciaux se développent : plusieurs sortes de monnaies circulent et des banquiers s’installent dans les villes. Les seigneurs tirent profit du commerce en prélevant des taxes.

Pour éviter la circulation de grosses sommes d’argent, les commerçant créent «  la lettre de change ».

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 11:01

 

L'auteur : Chrétien de Troyes né vers 1135 et mort vers1183 serait issu d'une famille de la petite noblesse. Il s'est inspiré des légendes des Chevaliers de la Table Ronde pour écrire ses romans, Perceval a été écrit vers 1180.

 

Les principaux personnages :

- Le jeune homme Perceval,

- la mère de Perceval,

- Gornemont de Goort,

- le roi Pêcheur,

- le roi Arthur,

- Blanchefleur,

- l’Ermite.

 

Les thèmes du roman :

- La chevalerie,

- la guerre,

- l'amour

- la religion.

 

Le résumé :

Le roman raconte les aventures d'un jeune homme, Perceval, qui a environ quinze ans. Il vit avec sa mère dans une forêt. Un jour, il rencontre un chevalier avec ses soldats. Il est étonné en voyant ces hommes majestueux qui sont au service du roi Arthur. Il sait maintenant ce qu'il veut faire : partir chez le roi Arthur, devenir chevalier et vivre des aventures. Sa mère est malheureuse car son mari et ses deux autres fils sont morts au combat.

Il part donc sur son cheval, laissant sa mère en pleurs. Sur sa route, il rencontre une dame. Il lui vole un baiser et de la nourriture avant de continuer son chemin. Le roi Arthur accepte de le nommer chevalier mais le sénéchal, Keu, l'oblige à chercher seul ses armes : celles de l'ennemi d'Arthur, le chevalier de Vermeil. Perceval gagne son premier combat et s'empare de l'armure de Vermeil. Il poursuit sa route et rencontre Gornemont de Goort, un noble qui lui enseigne comment manier les armes. Il apprend également à ne pas tuer ses adversaires mais les gracier, et à aider les personnes en difficulté. Sa prochaine rencontre est une demoiselle : Blanchefleur, dont la ville est en danger. Le méchant chevalier Clamadeu veut la conquérir. Perceval se bat contre lui et libère ainsi la demoiselle et sa ville. Perceval décide alors de rentrer chez sa mère. Cette fois, il fait la connaissance du roi Pêcheur qui lui offre une épée et l'invite à son château pour partager son repas. Pendant le dîner, Perceval observe un mystérieux cortège mais reste très discret. Le lendemain, il apprend que le roi Pêcheur est victime de sortilège et qu'il aurait pu le délivrer s'il avait posé des questions sur ce qu'il voyait pendant le repas. Perceval, attristé, continue son chemin et rencontre une autre femme. Elle lui raconte avoir été victime de vol, baiser et nourriture, et que depuis son ami l'Orgueilleux de la Lande la fait souffrir en attendant de rencontrer le voleur. Perceval se bat contre cet Orgueilleux mais ne le tue pas ; il lui demande d'aller servir le roi Arthur à la cour.

Quand le roi Arthur reçoit l’Orgueilleux, il décide de partir retrouver Perceval, ce jeune homme si courageux et si fort. Toute la cour se prépare pour le départ. Deux envoyés du roi, Sagremor et Keu, retrouvent Perceval mais ce dernier ne leur parlent pas, trop occupé à découvrir la nature. C'est Galvan, très courtois qui parvient à ramener Perceval auprès du roi Arthur qui le félicite pour son courage. Pendant la fête organisée pour le jeune homme, une femme laide intervient et lui reproche son attitude chez le roi Pêcheur.

Cinq années passent durant lesquelles Perceval multiplie ses exploits sans se souvenir de Dieu et de la religion. Ce sont trois chevaliers et dix femmes qu'il croise qui lui rappellent ce qu'est la pénitence. Ils lui annoncent que c'est le Vendredi Saint et qu'il doit se rendre chez l'Ermite.

Perceval découvre alors que cet Ermite est son oncle, que le roi Pêcheur est aussi son oncle, que sa mère est morte de chagrin.

Alors, l'Ermite lui apprend à faire pénitence, à secourir les filles, les veuves et les orphelins et surtout à aimer et croire en Dieu.

Le dimanche suivant, le jour de Pâques, Perceval communie.

 

Damien M, 5D, 2 Novembre 2011


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Titre: Perceval ou le conte du Graal

 Auteur: Chrétien de Troyes9782011697356-G.jpg

 Éditeur: Hachette 2008 

 Collection: Biblio collège

 Description: 143 pages

 Genre: Roman

 Date de parution: XIIe siècle

 

Thème Principal: Les aventures d'un chevalier

 

Résumé :

Après la mort de son père et de ses deux frères chevaliers, sa mère élève seule l'enfant qui deviendra Perceval ,dans la forêt jusqu'à' l'âge de 15 ans, dans l'ignorance du monde de la chevalerie,de peur de perdre comme elle a perdu son époux et ses deux fils. Mais un jour l'enfant jouait au javelot dans la foret, et il rencontre cinq chevaliers aux belles armures , qui lui donnent envie de leur faire confiance.

Perceval veut alors devenir chevalier et se rend à la cour du roi Arthur où une jeune fille lui prédit

un grand avenir. Perceval se fait remarquer, cependant il sort vainqueur de son premier combat et s'empare de l'armure de son adversaire, le chevalier Vermeil qu'il a tué. Perceval s'affronte et gagne successivement contre le sénéchal Anguingueron et son maitre Clamadieu des iles. Blancheflor devient l'amie de Perceval. Un soir Perceval est hébergé dans le château du roi pêcheur et assiste à une scène étrange, un valet tient une lance et à sa pointe perle une goutte de sang , puis une belle jeune fille porte un Graal d'or pur orné de pierres précieuses. Perceval est curieux mais son éducation fait qu'il ne pose pas de question. Pourtant s'il l'avait fait, il aurait pu guérir le roi pêcheur de ses blessures et supprimer la malédiction de ses terres. Désormais, la réputation de Perceval n'est plus à faire ,c'est un chevalier qui a fait ses preuves et il est reconnu à la cour du roi Arthur . Monseigneur Gauvain devient son ami.

 

Jugement personnel :

J'ai bien aimé ce livre car il y a des combats , mais je l'ai trouvé compliqué dans certains passages .

 

Je conseille ce livre à ceux qui aiment les aventures , les légendes , la chevalerie.

Dylan B , 5D 1 novembre 2011


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Titre : Perceval ou le conte du Graal

Genre : roman

Thème principal : Les aventures d'un chevalier


Date : fin du XIIe siècle


Résumé :


Un jour, un jeune garçon rencontre dans la forêt une troupe de chevaliers en arme. Il décide de se rendre dans la cour du roi Arthur pour se faire adouber.
Commence alors pour lui une toute nouvelle aventure merveilleuse et périlleuse.


Passage choisi : Perceval chez le roi Pêcheur


"Le bois dont ils étaient faits avait une double propriété, car les pièces sont indestructibles.
De quoi étaient-ils faits?  d'ébène et de ce bois personne ne redoute qu’il pourrisse ou qu’il brûle. De ces deux risques, il n’a garde ."

 

Killian C, 5B 22 octobre 2011


 

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J'ai lu ce récit de Chrétien de Troyes adapté en 172 pages par Anne-Marie Cadot-Collin pour l'édition Hachette jeunesse.


Un jeune garçon qui a perdu ses frères et son père à la guerre est élevé par sa mère. Un jour, il rencontre des chevaliers. A partir de là, il se met à la recherche du roi Artur pour que celui-ci procède à son adoubement. Le roi l'adoube. Dès lors, le jeune garçon se lance dans de multiples aventures où il risque plusieurs fois sa vie.

Je conseillerais ce livre à ceux qui aiment les histoires de chevaliers.


Florian, 5B le 12 novembre 2008


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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 18:05

9782700235487 AUTEUR : Eléonore Canonne

TITRE: Changement de famille

EDITION : Rageot, collection Rageot roman, date 2010

GENRE: roman d'humour

THEME PRINCIPAL: Une jeune fille veut changer de famille pendant une semaine

 

Résumé:

 C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Hortensia et qui rêve d'avoir une famille normale c'est-à-dire le contraire de la sienne. En revanche son meilleur ami Martin lui, a plutôt envie d'une famille amusante et originale comme celle d'Hortensia. Hortensia se sent rejetée et ne comprend pas pourquoi elle n'aime pas ce style de vie. Et comme si cela ne suffisait pas, depuis la mort de sa grand-mère, toute sa famille l'entend parler et  fait comme si elle était encore vivante. Elle en a assez !

En réfléchissant avec Martin ils trouvèrent la solution à leur problème : échanger de famille pendant une semaine. Ils demandèrent chacun de son côté à leurs parents et la réponse fut "OUI" !

La semaine suivante Martin et Hortensia échangèrent de famille et chacun découvrit le quotidien de  l'autre : Hortensia vivait sérieusement, se couchait tôt , mangeait tôt … tout était organisé à l'avance par  la mère de Martin , même les repas de la semaine étaient écrits sur une liste une semaine à l'avance !

De son côté , Martin vit la vie que mène Hortensia au quotidien et apprécie surtout que tout ne soit pas  organisé une semaine à l'avance.

Mais vivre sept jours la vie de son meilleur ami présente quelques inconvénients .

 

PASSAGE REMARQUABLE :

 

"Le dimanche soir, je n'étais plus vraiment sûre que cette histoire d'échange soit une si bonne idée. Je m'étais laissée entraîner par l'enthousiasme de Martin et de ma famille. Je déteste les bouleversements. Je hais la nouveauté. J'exècre les révolutions. Certes , il était un peu tard pour le  réaliser. Mon réveil affichait 18H57 et les parents de Martin devaient arriver à 19 heures. Mes affaires étaient prêtes . "

 J'ai aimé ce passage du récit car il décrit bien le doute que ressent Hortensia au moment de partir habiter chez Martin .  J'ai aussi apprécié ce passage parce qu'il résume très bien le roman et il peut aider à comprendre un peu l'histoire.  Mais il contient cependant des mots assez compliqués. 

 

 JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :

 

J'ai apprécié ce livre car l'histoire m'a beaucoup plu et je trouve qu'il est bien écrit .  J'ai aussi aimé ce roman car il y a beaucoup d'humour et les personnages sont  drôles et on peut donc s'imaginer dans l'histoire . Par contre il y a quelque mots que  je n'ai pas très bien compris .

Je conseille de lire ce livre !

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 19:27

pendant-guerre-cent-ans.jpgTitre : Pendant la guerre de Cent Ans : Journal de Jeanne Letourner, 1418
 Auteur : Brigitte Coppin
Edition : Gallimard Jeunesse - 2005

Collection : « Mon histoire »

Genre : récit de fiction de B Coppin présenté comme un journal écrit au Moyen-Âge.

Le thème principal est le journal de Jeanne Letourner pendant la guerre de Cent Ans.

Résumé
Jeanne Letourner a 14 ans. Elle est obligée de quitter Louviers, sa ville natale, à cause des soldats anglais qui se dirigent vers la ville. Jeanne se rend à Paris où elle est accueillie par Dame Emeline avec l’aide de Pierre Le Flament, un usurier. Elle est nourrie et logée dans l’auberge de Dame Emeline en échange de son travail. La jeune fille partage sa chambre avec deux filles de son âge : Berthilde et Catherine. Jeanne rencontre Marie et son petit chien Scampette. Marie raconte à Jeanne qu’elle vit avec sa grand-mère. Hélas, après l’invasion des anglais, Marie est enfermée à la Bastille. Quelques jours plus tard, Jeanne la retrouve brûlée … Jeanne a reçu une lettre de Louviers. Ses parents tentent de résister à l’invasion anglaise. Sa vie s’écoule péniblement, rongée par la peur et le chagrin. Un jour pourtant, tout bascule …

Passage remarquable, page 67 :
"29ème jour de mai, vers midi
« Je vais m’efforcer de tout noter avec exactitude. J’ai commencé par réveiller Berthilde et Catherine.
- Vite, les Bourguignons ont attaqué ! Venez voir dehors, cela fera moins peur. Je suis sûre que Dame Emeline y est déjà.
Des feux étaient allumés. Des groupes surgissaient de toutes les rues, brandissaient des étendards portant la croix de Saint-André. La rumeur croissait. Elle semblait venir de l’Ouest. Des messagers essoufflés accouraient.
- Les voila ! Ils approchent. Ils sont à Saint-Séverin !
Je n’en revenais pas. Ils étaient déjà dans Paris ?! »

Jugement, critique personnel
J’ai beaucoup apprécié ce livre car l’auteur décrit très bien les émotions de Jeanne. La faim, le froid, la peur … Ce roman écrit comme un jounal intime nous montre à quel point cela devait être dur de vivre à Paris et dans les campagnes pendant la guerre de Cent Ans.
On peut en apprendre davantage grâce à ce roman. Il y a beaucoup de suspens et c’est très intéressant. Cependant, un vocabulaire parfois compliqué peut déranger la lecture.
Je recommande ce livre à toutes les personnes qui s’intéressent au Moyen-Âge.

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 11:31

Titre : Chevaliers et châteauxA.jpg

Auteurs : plusieurs et non identifiés

Éditeur :  Gallimard Jeunesse, 2007

Collection : Mes grandes découvertes

Genre : documentaire

Résumé du sujet : Au Moyen-âge, les châteaux sont la demeure d'un roi ou d'un seigneur. Pour construire un château, un maître architecte faisait les plans. Les châteaux en bois était vite construits mais peu solides, les châteaux en pierre était solides mais plus longs à construire.
Pour défendre les châteaux, les chevaliers était équipés d'arcs,d épées et de lances. Pour se protéger, les chevaliers portaient un casque, une armure et une cotte de mailles.

Passage choisi, pages 32 et 33 (copie à venir)

Ce passage explique comment se passaient les tournois du Moyen-âge : dans les premiers tournois, il avait beaucoup de morts donc beaucoup de tournois furent interdits.

Jugement critique

J'ai bien aimé ce livre car j ai appris beaucoup de choses sur le Moyen-âge : sur les armes, les tournois, les blasons, les équipements, la cuisine...

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 18:28

 

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Titre : fabliaux du MOYEN AGE
Auteurs : divers et souvent anonymes

Editeur : Flammarion
Date : 1998
Collection : étonnants classiques

Genre : recueil de fabliaux

Thème : histoires satiriques sur les gens du Moyen-âge

Résumer le sujet d'un fabliau : c’est l’histoire d’un riche vilain qui faisait le marché d’Arras, d’Abbeville et de Lens. Comme tous les jours Brifaut part pour aller faire le marché vendre des toiles de bonne qualité. Quand il arriva, un jeune homme le suivait depuis quelque temps avant et d’un coup Brifaut se retrouve à terre sans ses toiles et il crie « où son mes toiles ?  Au voleur !"».Le voleur arriva devant Brifaut et il lui dit d’arrêter de crier .... 

Passage remarquable : "Un loustic le suivait, prêt à lui jouer un bon tour .il passe un fil dans une aiguille, soulève un peu la toile du sol, la serre contre sa poitrine et la coud à sa tunique ; il reste tout près du vilain qui s’est perdu dans la foule, et au beau milieu de la presse, il le pousse et le tire jusqu'à le faire trébucher."

Jugement critique : j’ai apprécié cette lecture.

Noémie, 5B

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Indications bibliographiques
auteurs: anonymes

Traducteur : Alexandre Micha
Titre : Fabliaux du moyen age
édition Flammarion 1998

Genre : recueil de fabliaux

Thème principal La vie quotidienne au moyen-âge

Résumé du sujet de l'un des fabliaux

Les 3 bossus

Dans un château vivait un bossu très laid qui avait épousé la fille ravissante d'un pauvre bourgeois. Dans la ville il y avait trois bossus très laids. A noël les trois bossus arrivèrent manger chez la jeune mariée. Après le repas, pendant que les bossus chantaient, le mari arriva mais il ne vit pas les bossus qui étaient enfermés dans des coffres. Les bossus étouffèrent dedans. Elle voulut s’en débarrasser au plus vite. Elle appela un porteur pour aller les jeter dans la rivière. Pendant que le porteur jetait le nain elle en sortit un autre de dessous le lit. Le porteur s’étonna, que le bossu fut revenu. Le porteur alla le jeter puis la femme refit la même chose. Le porteur revenait de la rivière et rencontra le mari et,  en croyant que c’était le nain bossu, il le frappa, l’emmena à la rivière puis se fit payer par la fille du bourgeois.

Le texte complet peut être lu en ligne à cette adresse : http://www.fabiendelorme.fr/textes/troisbossus.html

Ronan, 5B

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Auteur : anonyme.fabliaux--2-.jpg

Edition : Hachette

Genre : Fabliau,

 

Thème principal : Le livre comporte plusieurs petits fabliaux du Moyen Age.

le sujet : L’histoire est un tailleur d’un Roi qui taillait  de très riche habits pour célébrer une fête. Le tailleur s’appelait Niduit il savait coudre et tailler… Un jour Niduit était absent  de l’assemblée. La  famille  de Niduit  mangea sans lui.

Mais un jour Niduit  reçut des ciseaux de maître pour la fête...

Et  l’histoire se finit que le chambellan  et tousles apprentis qui éclatèrent de rire et par une morale : celui qui trompe son compagnon mérite de recevoir la monnaie de sa pièce.

 

un passage remarquable :

 Page 51, les quatre dernières lignes. "Le chambellan et tous ses apprentis et grands éclatèrent de rire et ce fut à juste titre car celui qui trompe ses compagnons mérite  de recevoir la monnaie de sa pièce.

Celui  qui sème le mal récolte ce qu’il a semé."

 

Jugement critique personnel:

Je trouve que ce livre est à lire. Pour  ce qui veulent lire des Fabliaux  je le conseille. Et pour ce qui veulent savoir un peu plus sur le Moyen Age aussi.

Adrien R, 5B, le 17/11/11

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Titre : Fabliaux du Moyen-âge.
Illustration: Joëlle Jalivet.
Edition : Flammarion.
Collection : Etonnants Classiques.

Les Trois Bossus :
 
Un soir, un bossu invita trois bossus pour faire la fête. La voisine les invita ensuite chez elle. Quand son mari arriva, elle cacha les trois bossus dans trois caisses différentes. Mais ils mouruent étouffés. Elle demanda donc à son autre voisin de porter un bossu jusqu'à la rivière sans lui dire qu'ils étaient trois. Il exécuta contre de l'argent, mais à chaque fois elle lui dit qu'il revenait . A la troisième fois, il assomma le bossu vivant et le voisin eut son argent .
 
 
Le prêtre qui fut prit au lardier
 
Un jour, un prêtre fut amoureux d'une femme mariée avec Nicolas. Celui-ci se doutait de quelque chose, et demanda ce qui se passait à son fils. Il eut donc la réponse. Nicolas eut
comme plan de les surprendre. Or, avant que Nicolas n'arrive, sa femme mit le prêtre dans un lardier, mais Nicolas, ayant vu la scène, frappa le lardier devant la foule. Le prêtre parla, son frère, sachant la situation, acheta le lardier et libéra le prêtre. Par conséquent celui-ci ne voulut plus coucher avec la femme de Nicolas.
 
Brifaut
 
Un jour, Brifaut voulu vendre une toile de drap au marché mais la perdit. Il remonta donc chez lui et promit à sa femme que s'il mentait, il mourrait. Il mourut donc sur le champ.
 

 

J'ai choisi ces fabliaux car ils sont drôles, et les histoires sont plus compréhensibles que les autres.
Timothée R, 5B, 19/11/11

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 17:46


Titre : Chez nous au moyen âge
Auteur : Brigitte Coppin
Genre : documentaire9782081638488FS.gif
Editeur :Père Castor Flammarion
Collection :Castor doc

Thème principal : Vie quotidienne au Moyen-âge

Sujet : Les gens du moyen âge ont vécu leur vie, ont construit des châteaux, des cathédrales…et ont fait différents métiers. Ils ont réalisé d’innombrables prières et inventé chansons et fabliaux pour leur rêve.
Ce livre parle de chevaliers et de rois mais aussi parfois des artisans, moines, paysans …,tous ceux qui ont vécu pendant les dix siècles du moyen âge. Le livre commence et se termine par un petit texte raconté par un homme de la catégorie, je pense, des nobles.

Voici le passage du texte que je préfère :

« En 1030, il y aura bientôt mille ans, le vieil Adalbéron de Laon sait que sa mort est proche et il se dépêche d’achever un poème qu’il dédie au roi Robert.
Il a plus de quatre vingt ans ; un très grand âge pour cette époque où les maladies et les famines tuent tant de gens.
Mais Adalbéron,de toute sa longue vie,n’a pas souffert de la faim. Il est né dans une famille riche : son père était comte de Verdun et son oncle évêque de Reims, le plus prestigieux des évêque de France . Lui-même a hérité d’une charge qui le couvre de richesses et d’honneurs : il dirige depuis 977 l’évêché du Laon,dans le Nord de la France. »

Critique personnelle : Ce documentaire est captivant, on se rend compte de ce qu’enduraient les paysans à cette époque...

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 20:06
Titre : Le Moyen-Age, Souverains. Chevaliers. Hommes d'Eglise
Paru le : 26 avril 2008
Editeur : Cerise bleue600_____P01_56784320068425_360.jpg
Collection : Le savoir compact
Genre: Recueil de documentaires.
Sujets abordés :

La vie au Moyen-Age

  La société médiévale est divisée en classes et repose sur trois activités principales : la religion,la guerre et l'agriculture. Les paysans, les commerçants,les musiciens et gens du théâtre, le clergé, a noblesse forment des classes bien définies,reconnaissables entre autres à leur tenue vestimentaire.En général on se marie aussi dans sa propre classe. La plupart des villes sont sous la protection d'un seigneur qui leur accorde le droit de tenir un marché et de frapper leur monnaie.Le roi est au sommet du système féodal*.


 La poésie et les chansons

La poésie et les chansons chevaleresques* ou courtoises* sont un art à l'époque médiévale. Chaque cour seigneuriale a ses trouvères, troubadours qui exaltent* les mérites des seigneurs et de leur dames.

 Le commerce

La plupart des villes médiévales ce sont créées autour d'évêchés, sur les littoraux ou de routes marchandes. Ces villes sont souvent rivales*,mais parfois elles forment des associations.Des villes  ont acquis les droits de commerces et de s'administrer elles-mêmes.Dès lors elles ne doivent plus qu'à un souverain. Les marchands et les artisans se rassemblent et leurs associations  réglementent la production et l'écoulement de marchandises,et ils se protègent ainsi de la concurrence.

La paysannerie

L'agriculture constitue la base de l'économie dans la plupart des États occidentaux depuis que le commerce initié par les villes romaines, a sombré après la chute de l'Empire Romain d'Occident et le déclin des villes.

Le travail de la terre est principalement une entreprise familiale. Outre les fermes autonomes exploitées par les paysans libres, il y a une forme de paysannerie appelée le servage. Les tâches agricoles sont très pénibles et les résultats aléatoires. Les paysans à cette époque redoutent les épidémies chez les animaux, la faim et les mauvaises récoltes. Les paysans plantent de l'avoine, du blé, de l'orge ainsi que du seigle. Le bétail est emmené sur les champs une fois que la récolte est terminée.

Les Chevaliers
A partir de l'an 1000, les puissants dans la société sont des guerriers combattant à cheval : les chevaliers.Leur principales activités sont l'entraînement au métier des armes, la chasse et la guerre.
Vers 6 ans, le seigneur place son fils chez un parents ou un ami qui devient son parrain.Bien des chevaliers adultes se souviendront avec de tristesse de cette séparation. Au fil du temps le garçon fait son apprentissage.Il apprend à monter à cheval et à manier l'épée.
Pendant quelques années, il est tour à tour page, puis écuyer, portant sur le champ de bataille l'écu et le bouclier de son maître.Puis voilà enfin le grand jour où il va être sacré chevalier. L'adoubement est la première grande cérémonie de sa vie.Ce jour-là son maître le 
seigneur qui l'a hébergé et nourri depuis son enfance, va lui remettre solennellement ses armes.

Jugement personnel sur ce livre

J'ai trouvé que ce documentaire parlait beaucoup des civilisations du monde au moyen-âge
Le documentaire informe sur le commerce, la paysannerie, les anglo-saxons, les vikings les chinois, et les peuples de l'Afrique du nord 
                
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8 août 2009 6 08 /08 /août /2009 19:25
Je viens de terminer la lecture de ce roman de 1010 pages, publié en 1968, année où Cohen s'est vu attribuer le grand prix du roman de l'Académie française. Je ne vais pas m'aventurer à résumer une telle oeuvre, d'autres l'ont déjà fait de façon très détaillée sur Wikipedia ou plus analytique dans L'Encyclopédie Universalis.
Pour présenter ce roman somme que je quitte à regret et qui me hantera sûrement encore longtemps, je retiendrais surtout des chocs, des luttes permanentes entre
tragédie et comédie
amour et haine
nature et culture
beauté et laideur
passion et vie
vie sociale et isolement
Juifs et chrétiens
hommes et femmes
richesse et pauvreté
réussite et échec
ennui et vie....

Une belle leçon sur la vie, étourdissante et inoubliable comme la valse qui entraînait Solal et Ariane, grave, désespérée aussi. C'est un livre à lire absolument mais mieux vaut attendre d'être un peu armé par la vie. Je le conseille plutôt aux adultes.

La valse de Camille Claudel me paraît être une bonne illustration. La voici, photographiée lors d'une expo en 2005 à Dinan :



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