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13 décembre 2015 7 13 /12 /décembre /2015 18:20

Titre : Derrière L’écran

Auteur : Pascal Garnier

Édition : Bayard Jeunesse

Date de parution : Septembre 2007

Genre : Fantastique

Personnages principaux : Jimmy et son père

Le sujet : Jimmy n’a pas vu son père depuis six ans. Sa mère avait divorcé avec son père et ce week-end Jimmy va enfin le revoir. Son père vient de sortir de prison. Ils se mettent à sillonner les routes, mais un soir ils tombent en panne d’essence sur une petite route perdue. Jimmy décide de partir à la recherche d’une aide pour lui et son père, il commence à s’enfoncer dans la forêt et il s’y perd très rapidement. Il est désespéré mais tout à coup il voit un château habité par une fille mystérieuse dont il tombe amoureux.

Mon avis personnel : Je n’ai pas aimé ce livre, je le trouve ennuyant.

Marion, 4D, décembre 2015

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:05

TITRE: Nos étoiles contraires

AUTEUR: John Green

EDITION: Nathan

COLLECTION: Roman grand format

GENRE: Roman

THEMES: Amitié, histoire et amour

La première de couverture est dotée d'un fond bleu. Par dessus on peut remarquer deux nuages: l'un est noir comportant le titre du roman qui est écrit en blanc et l'autre nuage est blanc avec le nom de l'auteur écrit en noir. Cette première de couverture donne aussi l'avis de «Entertainment neekly» et mentionne l'autre livre qu'a écrit John Green. La quatrième de couverture quant à elle comporte l'avis de plusieurs personnes (auteurs, lecteurs, magazines,...).

Les personnages principaux de ce livre sont: -Hazel Grace Lancaster: Jeune fille âgée de 16 ans (p.15) Atteinte d'un cancer de la Thyroïde, avec des métastases dans les poumons (p.15)! Cheveux courts, joues de hamster effet secondaire au traitement), ballon en guise de tête, cheville d’éléphant(p.18-19) Timide(p.22)

Augustus Waters: Grand, musclé, tout en longueur . Les cheveux acajou, raides et courts (p.18) Dix-sept ans (p.20) Atteint d'ostéosarcome (p.20) Il a peur de l'oubli (p.21), il boite (p.23) car il a perdu une jambe(p.128)

L'écriture de ce roman est réaliste avec un vocabulaire courant, il y a aussi beaucoup de dialogues «Quoi qu'on lise sur le cancer (brochures,sites internet ou autres),on trouvera toujours la dépression parmi les effets secondaires. Pourtant, la dépression n'est pas un effet secondaire du cancer.» (p.13), cela illustre l'écriture réaliste de ce roman ou «-Je n'ai pas gardé mon vœu, ai-je dit.

-Ah! s'est-il exclamé avant de marquer une pause bien calculée. Mais moi j'ai gardé le mien.

-Ah bon?[...]

-Je l'ai eu en échange de ma jambe, a expliqué Augustus.

Mais ne vas pas t'imaginer que je te donne mon vœu . J'ai moi aussi envie de rencontrer Peter Van Houten. Sauf que je ne vais pas le rencontrer sans la fille qui m'a fait connaître son livre!» (p.99) illustre le fait qu'il y a beaucoup de dialogue dans ce roman.

Je trouve qu'il n'y a rien à changer dans ce roman. Il illustre parfaitement la réalité de la vie en passant par les moments difficiles et heureux. On peut aussi remarquer que l'on peut réaliser ses rêves dans la vie quoi qu'il arrive.

Ce roman est certes un roman sur la maladie, le cancer, les déceptions, mais pas que... car, il y a aussi l'amour, l'amitié, les questionnements sur l'existence elle-même. J'ai aussi trouvé ce livre un peu triste, il reflète l'amour et la vie. Les émotions, riches sont évidement présentes à chaque page. John Green a mêlé à la fois les joies et les peines, l'humour et les larmes, la tendresse et la violence de la maladie. J'ai trouvé ce livre intelligent, poignant et sensible car l'auteur a réussi à mêler plusieurs sentiments différents!

VICTORINE 4eme B

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 18:10

Titre: Le loup de Manigod.

Auteur: Françoise Grard.

Édition: Maxi-livres, 2005.

Collection: Maxi-poche jeunesse.

Genre: roman.

Thèmes: énigme, mystère et enquête.

1ere de couverture:

Il y a Mathilde et son Louis et au loin il y a leur hôtel.

4eme de couverture:

Il y a l'image de la 1ere de couverture, il y a le nom de l'auteur, le début du résumé, le titre, le prix et le code barre.

Les personnages principaux:

Mathilde et Louis sont frère et sœur, ils ont invité un ami Frédéric.

Passage: «Mathilde, son frère Louis et leur ami Frédéric espèrent passer à Manigod d'heureuses vacances » (dans le résumé).

Les grandes caractéristiques de l'écriture:

Le livre est fantastique, il y a peu de dialogues et de description, il est employé un vocabulaire courant.

Les changements du livre:

J'aurai parlé plus du loup et j'aurai fait parler plus Gabriel.

Mon avis: Le livre je l'ai bien compris. J'aurai aimé que l'on parle plus du loup et de la mère des de garçons Gabriel et Ambroise. Il y a quand même du suspens, du mystère et de l'enquête et j'adore ça.

Élodie  4B, 1er juin 2015

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Auteur : Françoise Grard

Illustrations ; Hélène Usdin

Editeur : Actes Sud junior

Collection : Les premiers romans. Cadet polar


Une jeune fille ,Mathilde a notre âge . Elle a un frère qui s'appelle Louis. Un jour, ils partent en vacances avec leur ami Frédéric, ils espèrent trouver le soleil mais non. Mathilde rencontre deux jeunes garcons Ange et Ambroise . c'est étrange : ils ont peur. Pour les sauver, Mathilde doit affronter le loup en haut de la montagne. Pour cela, ils dorment tous à l'hotel et le lendemain matin, Mathilde va affronter le loup...

J'ai bien aimé ce livre il n'y a pas de mots difficiles .

Margaux, 5B, 3 mai 2009

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La dédicace de l'auteur

Pour écrire ce roman, le deuxième tome de la série qui met en scène Mathilde, Louis et Frédéric, j'ai été très tentée de prendre pour cadre un pays cher de Haute-Savoie, la vallée de Manigod. Dans ce cadre idyllique, m'est venue l'idée de confronter mes héros aux agissements sournois d'un médecin offrant toutes les apparences de la respectabilité. Une fois de plus, c'est l'intuition de Mathilde, plus qu'une déduction objective, qui va les lancer au secours de deux enfants livrés à la malveillance d'un homme au bord de la faillite et qui profite de l'influence déloyale qu'il exerce sur leur mère pour les entraîner dans sa fuite.
Les héros doivent alors faire la preuve de la malhonnêteté du Docteur Desroy, alors que celui-ci est protégé par la considération générale.
La situation de Mathilde et de ses deux compagnons n'est pas rare : leur condition d'adolescents les laisse sans crédit auprès des adultes. Si forte que soit leur conviction, elle ne fait pas le poids avec l'autorité médicale. Ils doivent donc se battre seuls pour sauver Ambroise et Gabriel. Finalement, seule une fuite hasardeuse, la nuit, sur les sentiers de montagne, tandis que «le loup» est à leur trousses, leur permettra d'arriver à leurs fins.
Car c'est par compassion et solidarité pour «plus petit que soi» que Mathilde trouvera en elle la force et l'opiniâtreté qu'elle n'aurait pas eues pour sa propre sauvegarde.


Françoise Grard

 

La présentation de l'éditeur

Ce n'est pas parce que l'on passe ses vacances au fond d'une vallée retirée des Alpes que l'on n'a aucune chance d'y rencontrer mystère et aventure : Mathilde et Frédéric ont fort à faire, cet été-là, pour percer le secret d'un inquiétant médecin et aider deux jeunes enfants aux yeux tristes. Au détour des sentiers de randonnée, le danger les guette...

 

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 21:09
Gutman Dan, Victor crève l'écran

Le titre du livre que j'ai choisi est « Victor crève l'écran ». L'auteur de ce livre est Dan Gutman.

L'édition est de Flammarion et la collection est de Castor Poche.

Ce livre est un genre fantastique. « Victor crève l'écran » évoque les thèmes de la famille, l'amitié et l'adolescence.

La première page représente Victor, un des personnages principaux de l'histoire, qui sort d'un écran d'ordinateur et on peut également apercevoir Lucas Turner le second personnage principal devant un ordinateur.

Sur la 4ème de couverture on peut voir Paige en train de penser à Victor.

Les deux personnages principaux sont Lucas Turner (également appelé Yip) p.7-8 et Victor p.66.

Le livre est en partie un livre humoristique puisque le grand-père de cette histoire est un ancien producteur de films pour les effets spéciaux p.12. Mais il est également fantastique puisque dans l'histoire une personne sort de l'ordinateur p.84. Il y a beaucoup de dialogues. Ces personnages utilisent un vocabulaire plutôt courant.

Dans cette histoire j'aurais préféré que le personnage « Victor » dure plus longtemps car comme la fin de l'histoire l’explique Victor devait se rendre à Washington pour prendre la place du président, j'aurais aimé voir comment il allait se débrouiller pour, justement, prendre sa place.

J'ai trouvé ce livre très bien, j'ai bien aimé le fait que le grand-père a transmis sa passion pour les effets spéciaux à son fils mais que celui-ci utilise des ordinateurs contrairement à son père et que Lucas Turner utilise un des ordinateurs de son père Willis pour se créer un ami qui au final va devenir un ennemi qui va trahir Lucas !

Ophélie, 4D, juin 2015

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 09:55
grenier
grenier

Titre : Arrêtez la musique !

Auteur : Christian Grenier

Edition : Rageot, 2004

Collection : Heure noire

Ce livre est un roman policier donc avec enquête, énigmes et mystère.

La première de couverture représente un chef d’orchestre et des notes sur une partition d’où s’écoule du sang. Le chef d’orchestre parait très autoritaire et droit donc je dirais qu’il pourrait représenter M.Loustachi dans ce roman qui lui aussi un chef d’orchestre renommé et ami de M.Griocek qui a inventé « la symphonie du sacre » qui est d’ailleurs très présente dans ce roman et très appréciée. Quand à la 4e de couverture elle est rouge et noire pour représenter le mystère. Quant au résumé il détaille très bien l’enquête. Ce livre est recommandé à partir de 12 ans.

Comme personnage principal il y a tout d’abord Logicielle l’enquêtrice de police sur le meurtre de Constant Sylvestre, un chef d’orchestre. Elle va travailler très longtemps sur cette affaire et sera une des premières sur la scène de crime. Comme dans l’extrait de la page 13 :

« Elle s’approcha en jouant des coudes.

-Vous permettez ? Bonsoir…

On s’écarta sur son passage ; elle aperçut enfin la cause de l’attroupement : un homme assez âgé, vêtu d’une queue-de-pie, était allongé sur le dos, le visage bouffi, la bouche ouverte, les traits révulsés. Sa main droite était crispée sur une baguette. Logicielle reconnut, accroupi près de lui, le médecin légiste qu’elle salua à voix basse. »

Max, l’ami et le coéquipier de Logicielle a éclairé l’enquête sans même le savoir en faisant une bêtise. Germain un ancien policier à la retraite lui aussi apporte de l’aide à Logicielle.

L’écriture est plutôt réaliste et il y a beaucoup de dialogues.

Si je pouvais changer quelque chose dans ce livre ca pourrait-être ralentir la quantité d’informations qu’il y a vers la fin car toutes les informations affluent d’un coup et c’est dur de tout comprendre la 1ère fois donc il vaut mieux relire deux fois la fin pour avoir tout compris.

Mais sinon j’ai adoré ce livre plein de mystère et de suspence il décrit bien que dans une enquête il faut avoir beaucoup de patience.

Marianne, 4D, juin 2015

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 18:36

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Auteurs : Théophile Gautier – Prosper Mérinée –Edgard Allan Poe

Titre du recueil : Arria Marcella

Edition : le livre de poche jeunesse  

Collection : classique

Titre des nouvelles : le pied de momie – La venus d’Ille – petite discussion avec une momie.

A.    Arria « … était accoudée Arria Marcella dans une pose voluptueuse et sereine … » (ligne 24, page 43) Arria Marcella

B.    Bronze  « … en me sentent un peu mal à mon aise devant cette figure de bronze. » (ligne 9, page 92) La Vénus d’Ille

C.     Catalan « vous savez, dis-je au catalan que me servait de guide depuis la veille… » (ligne 5, page 75) La Vénus d’Ille

D.    Désœuvrement  « j’étais rentré par désœuvrement chez un de ces marchants. » (ligne 1, page 55) Le pied de momie

E.     Esclaves  « … prit au hasard quelques bouchés sur les plats que lui tendait de petits esclaves asiatiques » (ligne29, page 44) Arria  Marcella

F.     Figuration «la figuration matérielle ne disparait  que pour les regards… » (ligne 29, page 45) Arria Marcella

G.    Germanicus « … que l’on désigne, je ne sais pas pourquoi, sous le nom de Germanicus. » (ligne 13, page 90) La Vénus d’Ille

H.    Hermonthis « je posais le pied de la divine princesse Hermonthis sur la liasse de papiers » (ligne 15, page 61) le pied de momie

I.       Idole « c’est une idole vous dis-je, on le voit bien à son air. » (ligne 18, page 78) la Vénus d’Ille

J.       Jennings « … avec un habit noir de la meilleure coupe de jennings (ligne 29, page  139) Petite discussion avec une momie

L.      Lysippe « un ouvrage du meilleur temps, peut-être une fonte de Lysippe. » (ligne 2, page 59) Le pied de momie

M.   Mourre  « l’attitude de cette statue rappelait celle du joueur de mourre. » (ligne 12, page 90)  La Vénus d’Ille

N.   New York « allez voir, criait-il avec enthousiasme, la fontaine du jeu de boule à New York. » (ligne 9 page 149) Petite discussion avec une momie

O.   Oblongue « Elle était oblongue, mais pas en forme de bouteille. » (ligne 10, page 130) Petite discussion avec une momie

P.     Pied « Ah, vous voulez le pied de la princesse Hermonthis dit le marchand avec un rire étrange. » (ligne 21, page 59) Le pied de momie

R.    Résine « l’intervalle entre les deux était comblé de résine. » (ligne 28 page 130) Petite discussion avec une momie

S.     Spectre « … et les spectres qui s’en détachent peuplent à l’infini. » (ligne 30, page 45) Arria Marcella

T.     Taffetas « … nous lui appliquâmes un pouce carré de taffetas noir sur le bout du nez. » (ligne 23, page 139) Petite discussion avec une momie

U.    Universel « …suffisamment  explicites sur un sujet d’un intérêt universel… » (ligne 16, page 146) petite discussion avec une momie

V.    Vénus « Et ma Vénus que vous n’avez pas encore vue. » (ligne 17, page 89) La Vénus d’Ille

W. Whing « … l’idée absolument moderne de whing. » (ligne 26, page 138) petite discussion avec une momie

Y.     Yankees « … quand on les compare avec les modernes et plus spécialement les Yankees. » (ligne 24 page 147) Petite discussion avec une momie

Z.     Zèle « … poursuivre nos expériences avec rigueur et zèle. » (ligne 7, page 135)  Petite discussion avec une momie

Romane P  4D  06/10/14                                                                                                                                                      

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Noms puis prénoms des auteurs : Théophile Gautier, Prosper Mérimée et Edgar Allan Poe

Titre du recueil : Arria Marcella

Edition : Classique collège

Collection : Le Livre de Poche jeunesse

Titre des nouvelles que contient ce recueil : Arria Marcella (Souvenir De Pompéi), Le pied de momie, La Vénus d’Ille, Petite discussion avec une momie


Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :

 

A.    Aimerais « Je comprenais que je n’aimerais jamais que hors du temps et de l’espace. » Page 46, Souvenir de Pompéi

 

B.    Blessé « Qui n’a pas été blessé par Vénus ? » Page 85, La Vénus d’Ille

 

C.    Cadavre « Alors Octavien, en qui toutes les idées de temps se brouillait, put se convaincre qu’il se promenait non dans une Pompéi morte, froide cadavre de ville qu’on a tiré à demi de son linceul, mais dans une Pompéi vivante, jeune, intacte, sur laquelle n’avaient pas coulé des torrents de boue brillante du Vénus. » Page 30, Souvenir de Pompéi

 

D.    Déesse « Il était évident que la pierre avait rebondit sur le métal, et avait puni ce drôle de l’outrage qu’il faisait à la déesse. » Page 88, La Vénus d’Ille

 

E.   Égyptienne « Je débitai ce discours d’un ton Régence et troubadour qui dut surprendre la belle Égyptienne. » Page 67, Le pied de momie

 

F.     Frayeur « J’étais assez mécontent de mon acquisition, aimant les serre-papiers sédentaire et trouvant peu naturel de voir les pieds se promener sans jambes, et je commençais à éprouver quelque chose qui ressemblait fort à de la frayeur. » Pages 63-64, Le pied de momie

 

G.   Gîte  « Alors commencèrent de nouvelles excuses sur le mauvais gîte que j’allais avoir. » Page 86, La Vénus d’Ille

 

H.    Honneur « Vendredi ! s’écria son mari, c’est le jour de Vénus ! Bon jour pour un mariage ! Vous le voyez, mon cher collège, je ne pense qu’à ma Vénus. D’honneur ! c’est la cause d’elle que j’ai choisi le vendredi. » Page 102, La Vénus d’Ille

 

I.      Idole « C’est une idole, vous dis-je : on le voit bien à son air. » Page 78, La Vénus d’Ille

 

J.     Jambe « Il a donné de l’argent à Jean Coll, qui tout de même est encore au lit depuis quinze jours que cela lui est arrivé, et le médecin dit qu’il ne marchera jamais de cette jambe-là comme de l’autre. » Pages 79-80, La Vénus d’Ille

 

K.    ?

 

L.     Légendes « Prodigieux travail que nul œil humain vivant ne devrait voir, interminables légendes de granit que les morts avaient seul le temps de lire pendant l’éternité. » Page 69, Le pied de momie

 

M.    Méchanceté « Elle a l’air méchante… et elle l’est aussi. – Méchante ! Quelle méchanceté vous a-t-elle faites ? » Page 79, La Vénus d’Ille

 

N.    Noce « Vous ferez la noce avec nous, en famille, car la futur est en deuil d’une tante dont elle hérite. » Page 83, La Vénus d’Ille

 

O.    Offrande « Je pense qu’il a servi à fixer quelque chose, un bracelet, par exemple, que ce Myron donna à Vénus en offrande expiatoire. »Page 97, La Vénus d’Ille

 

P.    Pied « je fus surpris de sa légèreté ; ce n’était pas un pied de métal, mais bien un pied de chair, un pied embaumé, un pied de momie. » Page 59, Le pied de momie

 

Q.   Questions « Il conclut en insinuant, - car ce ne fut qu’une insinuation -, que, puisque toutes ces petites questions étaient maintenant éclaircies, on pouvait aussi bien procéder à l’examen projeté. » Page 139, Petite discussion avec une momie

 

R.    Ruine « Le soleil se levait, et la salle ornée tout à l’heure avec tant d’éclat n’était plus qu’une ruine démantelée. » Page 50, Souvenir de Pompéi

 

S.   Statue «  Vous voulez dire une statue en terre cuite, en argile ? » Page 77, La Vénus d’Ille

 

T.   Tristesse « Quoiqu’elle ne parlât pas, je discernais clairement sa pensée : elle regardait le pied, car c’était bien le sien, avec une expression de tristesse coquette d’une grâce infinie ; mais le pied sautait et courait çà et là comme s’il eût été poussé par des ressorts d’acier. » Page 65, Le pied de momie

 

U.    Unanime « On croira généralement, sans aucun doute, qu’en entendant un pareil discours, dans de telles circonstances, nous avons tous filé vers la porte, ou que nous sommes tombés dans de violentes attaques de nerfs, ou dans un évanouissement unanime. » Page 136, Petite discussion avec une momie

 

V.    Vieillards « Je vis, assis sur des trônes, les rois des races souterraines : c’étaient de grands vieillards secs, ridés, parcheminés, noirs de naphte et de bitume, coiffés de pschents d’or, bardés de pectoraux et de hausse-cols, constellés de pierreries avec des yeux d’une fixité de sphinx et de longues barbes blanchies par de la neige des siècles. » Page 69, Le pied de momie

 

W.  Whig « De même, M. Buckingham n’aurait jamais réussi à lui traduire l’idée absolument moderne de whig (perruque), si, à une suggestion du docteur Ponnonner, il n’était devenu très pâle et n’avait consenti à ôter la sienne. » Page 138, Petite discussion avec une momie

 

X.    ?

 

Y.    Yeux « Les yeux, à ce qu’il semblait, avaient été enlevés, et on leur avait substitué des yeux de verre, fort beaux et simulant merveilleusement la vie, sauf leur fixité un peu trop prononcée. » Page 132, Petite discussion avec une momie

 

Z.     Zèle «  Nous nous précipitâmes en masse pour rapporter les débris mutilés de l’infortuné ; mais nous eûmes le bonheur de le rencontrer sur l’escalier, remontant avec une inconcevable diligence, bouillant de la plus grande ardeur philosophique, et plus que jamais frappé de la nécessité de poursuivre nos expériences, avec rigueur et avec zèle. » Page 135, Petite discussion avec une momie

 

Votre avis sur ce livre : J’ai bien aimé ce livre composé de nouvelles car se sont des histoires sur l’antiquité ou sur des aventures irréelles.

 

 

 

L. C. Lise, 4D                                                                                               Vendredi 3 Octobre 2014

 

 

 

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titres : Arria Marcella /Le pied de momie/La Vénus d'Ille/Petite discussion avec une momie

auteurs :T. Gautier /P. Mérimée/E. Poe

maison d’édition : le livre de poche jeunesse

genre : nouvelles / fiction

Arria Marcella de Théophile Gautier

Résumé : Un jeune homme nommé Octavien vient à visiter Pompéi, ville enfouie sous les cendres depuis deux mille ans et il ne sait pas par quel prodige mais il va se retrouver dans Pompéi au temps de Titus c’est à dire 2000 ans plus tôt.

Extrait choisi : Un prodige inconcevable le reportait, lui, français du dix-neuvième sicle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants du passé ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine.

Le pied de momie de Théophile Gautier

Résumé : un jeune homme achète à un antiquaire un pied de momie pour en faire un presse papier mais alors qu’il va aller dormir il fait une rencontre insolite avec la propriétaire de ce pied …

Extrait choisi : Au lieu d’être immobile comme il convient à un pied embaumé depuis quatre mille ans, il s’agitait, se contractait et sautillait sur les papiers comme un grenouille effarée : on l’aurait cru en contact avec une pile voltaïque ; j’entendais fort distinctement le bruit sec que produisait son petit talon, dur comme un sabot de gazelle.

Pourquoi j’ai aimé ou je n’ai pas aimé ce livre : J’ai aimé ce livre car il parle de « voyage dans le temps » et qu’il est captivant.

Julie M, 4C, novembre 2012

 

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Théophile Gautier est bien connu pour être à la fois un grand romantique, poète, romancier, nouvelliste, ... et un maître de la nouvelle fantastique. Avec Arria Marcella, il nous entraîne en Italie avec trois jeunes gens Max, le plus sensuel, Fabio, le plus séducteur et Octavien, le plus romantique. Arrivés à Naples, ils visitent le musée de Studj où Octavien, le plus jeune des trois, reste pétrifié devant l'empreinte d'un corps de femme dans un morceau de cendre noire.  Plus tard, ils empruntent le corricolo qui "avec ses grandes roues rouges, son strapontin constellé de clous de cuivre, son cheval maigre et plein de feu, harnaché comme une mule d’Espagne, courant au galop sur les larges dalles de lave," les conduit à Pompei. Ils visitent la ville antique, guidés par "un cicerone" qui les "prit" dès leur arrivée à l'osteria."Calamité qu'il est difficile de conjurer en Italie", souligne le narrateur. Le soir, de retour à l'auberge, il dînent sur la terrasse qui s'ouvre sur la ville antique et goûtent au vin de Falerne en écoutant un jeune garçon leur jouer des cantilènes à la flûte. Au moment d'aller se coucher, Max et Fabio se retirent dans leur chambre mais Octavien croit voir des ombres bouger dans les ruines de Pompéi, il s'aventure dans les rues et voilà qu' "un prodige inconcevable le reportait, lui, Français du XIXe siècle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants disparus ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine"...

Ne comptez pas sur moi pour dénouer l'intrigue fantastique. En revanche l'intérêt documentaire et  pittoresque ne peut me laisser insensible, je ne résiste pas à partager au moins cet extrait : "Octavien se trouva dans une cour entourée de colonnes de marbre grec d’ordre ionique peintes, jusqu’à la moitié de leur hauteur, d’un jaune vif, et le chapiteau relevé d’ornements rouges et bleus ; une guirlande d’aristoloche suspendait ses larges feuilles vertes en forme de cœur aux saillies de l’architecture comme une arabesque naturelle, et près d’un bassin encadré de plantes, un flamant rose se tenait debout sur une patte, fleur de plume parmi les fleurs végétales.

 

Des panneaux de fresque représentant des architectures capricieuses ou des paysages de fantaisie décoraient les murailles. Octavien vit tous ces détails d’un coup d’oeil rapide, car Tyché le remit aux mains des esclaves baigneurs qui firent subir à son impatience toutes les recherches des thermes antiques. Après avoir passé par les différents degrés de chaleur vaporisée, supporté le racloir du strigilaire, senti ruisseler sur lui les cosmétiques et les huiles parfumées, il fut revêtu d’une tunique blanche, et retrouva à l’autre porte Tyché, qui lui prit la main et le conduisit dans une autre salle extrêmement ornée.

Sur le plafond étaient peints, avec une pureté  de dessin, un éclat de coloris et une liberté de touche qui sentaient le grand maître et non plus le simple décorateur à l’adresse vulgaire, Mars, Vénus et l’Amour ; une frise composée de cerfs, de lièvres et d’oiseaux se jouant parmi les feuillages régnait au-dessus d’un revêtement de marbre cipolin ; la mosaïque du pavé, travail merveilleux dû peut— être à Sosimus de Pergame, représentait des reliefs de festin exécutés avec un art qui faisait illusion."

On s'y croirait !   Rien que pour cette illusion, cette nouvelle du XIXe mérite bien d'être lue.

                                                                                                                                                                     JBicrel, juillet 2012

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 18:53
Auteur : Gogol  Nicolas
Titre : Le manteau, Le nez
Edition : GF  Flammarion

genre : recueil de nouvelles49749.jpg

présentation d’une seule nouvelle, « Le Nez »:

Thème principal une enquête sur une personne ayant perdu son nez.

Résumé : C 'est l'histoire d'un homme IVAN YAKOVLETICH  qui un jour retrouve dans son petit déjeuner un nez. Sa femme ne veut pas que son mari le garde chez  eux, il essaye donc de s'en séparer en le jetant mais chaque tentative échoue   ...  l'assesseur du collège en même temps cherche son nez partout accusant à tort et à travers diverses personnes auprès de la gendarmerie pour au final retrouver son nez un matin.

Passage remarquable : " ..l'ayant partagé en deux il aperçut à son grand étonnement une masse blanchâtre dans la mie; il piqua la chose avec précaution du bout de son couteau , puis la tata du doigt: " c'est dur, se dit-il ; qu'est-ce que cela pourrait bien être? " il plongea ses doigts dans la mie et en retira ...un nez!. ."

Mon avis : ce livre, peu à mon goût, ne m'a pas du tout touchée. Je n'ai pris aucun plaisir dans sa lecture .

Jusqu'à la fin qui je trouve qu'il s'enlise encore plus, je ne le garderai pas en mémoire, passons vite à une autre  lecture...

Loïse, 4A, 25 novembre 2012

 Le livre en entier : http://www.archive-host.com/link/c8be8b0a1fcce352d349b44125ca7fd9f5fe4fdf.pdf 

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Le 12 mai 2014

Monsieur Nicolas Gogol,

 

Je vous envoie cette lettre  pour vous parler du livre que vous avez écrit

et dont j’ai lu deux nouvelles, Le Manteau  et Le Nez dans l’adition Étonnants Classiques GF Flammarion.

 

Votre livre était bien fait, mais j’ai eu du mal à deviner qui parlait même si c’était marqué en haut des pages. C'était un peu bizarre  de voir des fantômes  voler des manteaux (P92), mais aussi un nez marcher : « Au bout de deux minutes, le Nez réapparut ; il portait un uniforme brodé d’or, à grand col droit, un pantalon de chamois et une épée au côté. Son bicorne à plumes laissait inférer qu’il avait rang de conseiller d’État. Il faisait à coup sûr une tournée de visites. Il regarda de côté et d’autre, héla sa voiture, y prit place et disparut. »

Autrement j'ai aimé l'histoire du nez qui marche dans la rue sans trop déranger les gens. Le pauvre Koliakov quand il perd son  nez ( P 22 ) a l’air désespéré à l'idée de plus avoir de nez. Il a même lancé un avis de recherche dans un journal (P47). Et lorsqu'il l'a retrouvé (P 53) et qu'il a essayé de le remettre ( P 56) il a dû faire appel au docteur mais celui-ci lui a dit que cela ne servirait à rien car il ne tiendrait pas. 

Et si j’ai bien compris c'est le même type de personnage dans  l'histoire du manteau. Il se nomme Akaki Akakiévitch. Là aussi, c'était un peu irréel quand il a retrouvé son manteau en apprenant que c'étaient des fantômes qui l'avaient volé.

C'est ça que j’ai bien aimé dans ce livre car il m'a tenu en suspens jusqu'à la fin, Et j'ai aussi pu découvrir un peu Saint-Pétersbourg. 

Merci d'avoir lu ma lettre

Loïse, 4A 17/05/2014

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Nom puis prénom de l’auteur : Nicolas Vassilievitch Gogol

 

Titre du recueil : Le manteau, Le nez

 

Edition : Flammarion

 

Collection : Etonnants Classiques

 

Titre des nouvelles que contient ce recueil : Le Manteau et Le Nez

 

Abécédaire 

 

A.   Assesseur « Il avait reconnu ce nez, qui n’était autre que le nez de l’assesseur de collège » p.20-21, Le nez

 

B.   Barbier « Le barbier Ivan Iakovlévitch, demeurant avenue Voznéssenki. »p.19, Le nez

 

C.   Cocher « Eh ! Cocher ! chez le préfet de police ! »p.32, Le nez

 

D.   Diable « Que le diable m’emporte si je sais ce qu’il faut  faire ! »p.29, Le nez

 

E.   Etat « Le plumet qui ornait son chapeau permettait de croire qu’il avait le grade de conseiller d’Etat. »p.28, Le nez

                    

F.    Fantôme «  Le fantôme, était cette fois de taille beaucoup plus haute et portait d’immenses moustaches. »p.108, Le manteau

 

 G. Gratification  « Contre toute attente, le directeur octroya à Akaki Akakiévitch une gratification non de quarante ou de quarante-cinq roubles mais de soixante roubles. »p.81, Le manteau

 

H. Honteux  « Akaki Akakiévitch, lui, commença par refuser ; mais on lui dit que ce n’était pas poli, que c’était même honteux, et il fut obligé d’accepter. »p.85, Le manteau

 

I. Ivan Iakovlévitch « Ivan Iakovlévitch ne parvenait pas à saisir l’instant propice. »p.22, Le nez

 

J. Journal  « Le journal risque de perdre sa réputation » p.37,Le nez

 

K. Kopeks « Le chien ne vaut pas plus de quatre-vingts kopeks.»p.34, Le nez

 

L. Lecteur «Le lecteur trouvera peut-être ce nom étrange et quelque peu recherché. » p.62, Le manteau

 

M.  Manteau «Il songea enfin qu’il pouvait y avoir quelque accroc à son manteau. »p.70, Le manteau.                                              

 

N. Nez « Le nez regarda le major et fronça légèrement les sourcils. »p.30, Le nez

 

O. Octroyer « En un mot, tout cet argent avait déjà son emploi, et même si le directeur avait la bonté de lui octroyer non pas quarante, mais quarante-cinq roubles, ou bien même cinquante, il ne lui resterait que des broutilles. »p.79, Le manteau

 

P. Pétersbourg «Le 25 mars, un évènement  tout  à fait étrange s’est produit à Pétersbourg »p.19 Le nez

 

Q. Quolibets «Ces moqueries ne parvenaient même pas à entraver son travail, et au milieu de tous cesquolibets il ne commettait jamais une erreur. »p.64-65, Le manteau

 

R. Rouble «Le major Kovaliov n’avait rien non plus contre le mariage, à condition toutefois que la fiancée eût deux cent mille roubles de dot. »p.26, Le nez

 

S. Serf d’un seigneur « Il fut un temps où on l’appelait tout simplement Grigori car il était serf d’un seigneur » p.71, Le manteau

 

T. Tailleur « Ayant constaté la chose, Akaki Akakiévitch résolut de porter son manteau chez Pétrovitch, un tailleur qui habitait quelque part fort loin, au troisième, une chambre où l’on accédait par un escalier de service. »p.71, Le manteau

 

U. Union « Je suis prête sur-le-champ à vous satisfaire, car cette union est l’objet de mes plus vifs désirs. »p.51 Le nez

 

V.  Visions «Il avait des visions plus étranges les unes que les autres. »p.99, Le manteau

 

W. Whist «  Chez tous ceux qui possèdent des joues roses et rebondies et qui jouent parfaitement bien au whist. »p.26, Le nez

 

X. Je n’ai pas trouvé de X mais Le nez  se déroule dans la première moitié du XIXe siècle. P.15

 

Y. Yeux « En effet, un sergent de ville du quartier de Kolomna vit de ses propres yeux le fantôme apparaître subitement à un coin de rue. »p.107, Le manteau

 

Z. Zèle « Dire qu’il l’accomplissait avec zèle aurait été insuffisant »p.65 , Le manteau.

 

Mon avis sur le livre : Je n’ai pas particulièrement aimé les deux nouvelles. J’ai eu du mal à comprendre le sens du Nez, l’histoire est étrange et invraisemblable. Le manteau est plus réaliste.

 

 

M. Anne-Lise 4D Le 01/10/2014

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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 22:19


Dans ce récit autobiographique, Romain Gary présente  son existence à partir de son plus jeune âge en Russie puis en Pologne puis à Nice jusqu'à la Libération et au retour triomphal à Nice en passant par Salon de Provence, Avord puis Londres, puis l'Afrique du Nord.GARY_1_75-713247-copie-1.jpg


Or ce qui fait l'unité de ce récit, c'est bien plus la figure maternelle que  celle du héros. Comédienne, créatrice de mode,  marchande de bijoux de famille, restauratrice, cette mère élève seule son fils et surtout le convainc de la singularité de sa destinée : Romain sera écrivain, il sera diplomate, il sera aviateur, il sauvera le monde. Rien n'est trop grand pour son fils dont elle  vante partout les qualités d'exception. En contrepartie, elle exige de lui qu'il défende sa mère à tout prix, dût-il se battre pieds et poings.


Mère-courage et mère romanesque, toute empreinte des amours d'Anna Karénine, elle avale des couleuvres lorsque son fils, seul sur trois cents postulants est refusé dans le rang des officiers de l'Air pour la simple raison que sa naturalisation est trop récente. A son retour à Nice, Romain Gary parvient à en faire une fierté pour sa mère en prétendant que son échec est une sanction pour avoir séduit la belle épouse du capitaine ! En réalité il devra attendre la fin de la guerre et les décorations (Croix de Guerre, Compagnon de la Libération, ...) pour enfin devenir capitaine. Trop tard pour que sa mere le sache.


Dans tout son livre, Romain Gary s'attache à illustrer à quel point cette mère a façonné sa vie. Il est en effet devenu écrivain et même deux fois prix Goncourt, (il s'est même battu en duel ! ), diplomate, aviateur, héros de la France Libre. Même morte, elle a continué à le pousser à aller toujours au plus fort, véritable phénix, en lui faisant porter des lettres qu'elle
avait écrites avant de mourir afin qu'il ne manque pas de soutien.


En somme dans ce récit tout à fait passionnant on en apprend beaucoup sur Romain Gary mais surtout on découvre un vibrant hommage à sa mère.

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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 19:07

Lundi 12 mai 2014

 

  Cher  M. Gautier.

 

  Votre livre de « Récits fantastiques », qui regroupe plusieurs nouvelles, m’a beaucoup plu. J’ai trouvé qu'il était très bien écrit, le vocabulaire utilisé était très recherché, les histoires captivantes notamment celle de « La morte amoureuse » (p.75 à p.112), ou encore

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celle de « La cafetière » (p.10 à p.22).

Ce livre a beau être long (450 pages) je ne le remarquais pas tant ces contes sont captivants. La particularité de votre livre c'est qu’à chaque début d'histoire on se sent un peu perdu mais en avançant dans le récit, tout devient clair. De plus, l'époque a beau ne pas être précisée, on réussit à la deviner.

L'histoire que j'ai préférée est « Avatar » qui était l'un des plus

longs mais aussi le plus captivant des récits. Toutes les histoires sont différentes mais se ressemblent par le motif principal : c'est toujours le récit d'un homme qui tombe amoureux d'une belle femme, mais l’histoire finit presque toujours mal. Seul « Le club des Hachischins » n’aborde pas le thème de l'amour. « La morte amoureuse » où un jeune prêtre pieux est arraché à sa vie de moine par une femme ravissante,  « Avatar » qui raconte l'histoire d'un homme désespéré à cause d'une femme qu'il aime qui est fidèle à son mari, ou encore « Onuphrius » qui harcelé par les démons devient fou et perd l'amour de Jacyntha…., chaque histoire a une fin plus ou moins  dramatique, et chacune d'elle est captivante.

Maxime D. 4C

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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 11:05

Editeur: Alain Grousset

 

Titre:10 nouvelles fantastiques de l’Antiquité à nos jours

 

Date: 2005

 

Collection : CASTOR POCHE

 

Genre : nouvelles

 

 THEME PRINCIPAL :

 

Les différentes nouvelles de ce livre sont fantastiques, j'ai particulièrement apprécié l'une d'elle qui est Bisclavret. C'est l'histoire d'un couple très amoureux mais tourmenté par le mensonge et le secret jusqu'au jour où l'homme décida de tout avouer à sa femme qui elle devait le garder ainsi secret.

Nouvelle choisie : Bisclavet de Marie de France

 

RESUME de Bisclavet :

 

C'est l'histoire d'un couple très amoureux mais tourmenté par le mensonge et le secret jusqu'au jour où l'homme décida de tout avouer à sa femme. Son secret pouvait le bannir à jamais de la vie humaine si quelqu'un devait un jour le révéler. Cet homme était souvent absent et cela  faisait beaucoup d’interrogations dans l'esprit de sa bien aimée. Alors un soir elle décida de lui poser l'ultime question dont elle redoutait la réponse. Son mari répondit à sa question. Cet homme pendant la nuit devenait loup-garou et si quelqu'un venait a révéler ce secret lourd à porter,  l'homme resterait animal jusqu'à la fin de ses jours. La femme va-t-elle garder ce secret pour elle afin de protéger son bien aimé ou alors tout dire au premier venu ?

 

PASSAGE REMARQUABLE : p.14

 

« Quand la dame a entendu sa réponse, elle a bien compris qu'il ne plaisantait pas. A plusieurs reprises, elle lui posa la question. A force de le flatter et de le cajoler, elle finit par obtenir qu'il lui raconte son aventure. Il ne lui cacha rien.

 

-Dame, je deviens loup-garou. Je pénètre dans cette grande forêt, et au plus profond des bois, je vis de proies et de rapine.

 

Quand il lui eut tout raconté, elle lui demande de préciser s'il enlève ses vêtements ou s'il les garde.

 

-Dame, répond-il, j'y vais tout nu.

 

-Dites-moi, au nom de Dieu, où sont vos vêtements ?

 

-Dame, cela, je ne peux pas vous le dire, car si je les perdais et si l'on découvrait la vérité à son sujet, je resterais loup-garou à tout jamais. Il n'y aurait plus que moi aucun recours tant que l'on ne m'aurait pas rendu mes vêtements. C'est pour cela que je veux garder le secret sur tout cela.

 

COMMENTAIRES PERSONNEL :

 

J'apprécie cette nouvelle car elle est originale et assez différente de certains autres contes, légendes et récits fantastiques. Quand je lis ce genre de livre je plonge assez vite dans l'histoire et j'en veux souvent plus qu'il n'y en a, je ne veux pas de fin. J'ai aimé ce livre car il est plein de différentes émotions et plein d'interrogations.

Emma S, 4C, novembre 2013

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1- caractétistiques bibliographiques

 Auteurs de diverses époques : Pline le Jeune, Marie de France, Maupassant, Edgar Poe, Hoffman, Nerval, Stephen King, ...  réunis dans cette anthologie par Alain Grousset

 Titre :10 nouvelles fantastiques

  Edition :Castor Poche9782081250246.jpg

 2- Ce livre est un recueil de nouvelles.

 3- Ce livre comporte 10 nouvelles fantastiques qui se déroulent de l’Antiquité à nos jours.

 4- Je vais résumer une nouvelle qui se nomme « Le château du diable » :

Un château, d’une triste renommée fut détruit. La nuit les voisins entendirent des rires et des fracas de bouteilles de verre. Les jours passaient et les bruits se répétèrent de plus en plus. Un jour ces derniers appelèrent le lieutenant de police. Les militaires se demandèrent ce qui se passait. Quand les voisins eurent terminé de raconter cette histoire le lieutenant descendit à la cave et vit des bouteilles rouges et vertes bouger toutes seules. Le lieutenant prit peur et partit.

 5- extrait choisi page 41 « La danse s’arrêta, des cris se firent entendre dans tous les coins de la cave , et le sergent sentit ses cheveux se dresser en voyant que le vin répandu paraissaient former une marre de sang ».

 Ce passage a de la signification pour cette histoire car le diable est en bouteille et le sergent a fait tomber une bouteille qu a provoqué le mécontentement des autres bouteilles.

 6- Je n’ai  apprécié ce livre car il n’est pas à mon goût mais je le conseille aux personnes qui aiment le frisson et le fantastique. La note que j’attribuerais à ce livre serait de 3/5.   

Martin, 4C, novembre 2012barrefleur15fx3

      

Vendredi 9 mai 2014 à Quintin,

 

            Monsieur GROUSSET,

            Je voudrais vous parler de votre livre que j’ai lu récemment, il s’agit de : « 10nouvelles fantastiques de l’Antiquité à nos jours » de l’édition Flammarion, collection Castor Poche.

            J’ai apprécié la lecture de ce livre qui est un regroupement de nouvelles fantastiques de plusieurs époques : le Moyen-Âge, l’Antiquité, aujourd’hui… Les lieux varient selon les nouvelles, il y a par exemple Athènes, Paris, ou encore la Bretagne.

             J’ai découvert plusieurs personnages, tels que Marie de France et Bisclavret, le diable Vauvert, Honoré Subrac, Johnny Bishop, il y avait aussi Balthazar et beaucoup d’autres.

             Les deux nouvelles que j’ai préférées sont : « Bisclarvet » (pages 11 à 22) et « Fonds d’écran » (p.139 à 150)

 

Clémence 4C

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