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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 19:24

Titre : Les déferlantes

 

Auteur : Claudie GallayLES DEFERLANTES

 

Edition : Ed. du Rouergue

 

Résumé : Oui, ce roman est un petit bijou ! (Cf critique sur couverture). Les lieux d’abord : l’auteur réussit la performance de nous donner envie de découvrir ce coin perdu de Normandie. Les personnages ensuite : elle nous décrit des hommes et des femmes à la personnalité affirmée, attachante ou particulière. Et les réparties de Max sont succulentes.

L’intrigue enfin se dévoile par petites touches jusqu’à l’émotion puis l’apaisement.

 

Passage : « Une première vague est passée par-dessus la digue. Il y en a eu d’autres. Et avec, ce vacarme infernal… L’orage a crevé. Des déferlantes d’eau se sont abattues sur la maison. Le visage collé à la fenêtre, j’ai essayé de voir dehors. Les lampadaires étaient éteints. Il n’y avait plus de lumière. Dans la lueur des éclairs, les rochers qui encerclaient le phare semblaient voler en éclats. Je n’avais jamais connu ça. Je ne sais pas si j’aurais eu envie d’être ailleurs. Quand j’ai regardé sur le quai, j’ai vu que la voiture de Lambert n’était plus là. Elle remontait en direction du village. Les feux arrière qui s’éloignaient. Et puis plus rien. »

 

Ce passage, tiré des premières pages du livre, nous met tout de suite dans l’ambiance. Le climat est rude. Il convient au personnage principal qui vient du sud pour oublier. Et puis, un autre personnage d’importance pour l’histoire, est ici mentionné.  

 

Véronique Nédélec

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 18:33

Titre : Le chant des lunes

Auteur : Gudule

Edition : Editions Thierry Magnierle-chant-des-lunes-gudule-9782844206428.gif

Genre : nouvelles fantastiques

Thème principal : il n’y a pas de thème, ce sont 10 petites histoires différentes les unes des autres.

Résumé  de la dixième histoire qui s’appelle Le chant des lunes : Hélène Dumas travaille à l’institut médico-légale et adore son travail. Elle a une cinquantaine d’années. Un jour, elle reçoit le corps d’un enfant d’environ sept ans. Elle reconstitue son visage et s’aperçoit que ce visage, c’est le sien lorsqu’elle avait sept ans. Hantée par ce visage, elle décide d’aller voir son père qui lui révèle qu’il a fait cloner sa fille lorsqu’elle était bébé. Hélène se rend compte qu’elle avait une sorte de sœur et pense à tout ce qu’elles auraient pu faire si le clone était encore vivant. Elle retourne voir son père qui lui dit que c’est la vraie Hélène qui est décédée et donc que le clone c’est elle.

Passage du livre remarquable :

-       Ce clone ? articula-t-elle d’une voix sans timbre.

-       C’est toi.

Hélène ne broncha pas. Elle en eût été bien incapable. En elle s’ouvraient des abîmes, des gouffres. Des tourbillons obscurs.

-       J’ai dû corrompre un employé du centre pour qu’il t’enlève… reprit le vieillard…

Commentaire sur le passage du livre :

Je trouve ce passage de l’histoire intéressant car c’est à ce moment qu’Hélène découvre que c’est elle le clone, que c’est elle qui a volé le destin de la vraie Hélène. Ce sont les révélations du père d’Hélène. Ce passage est important pour la suite de l’histoire.

Jugement critique personnel :

Je conseille de lire ce livre car il est intéressant à lire. Il y a en tout dix petites histoires fantastiques à lire. Par contre, ce livre est difficile à comprendre et à lire pour des personnes qui ne sont pas habituées à lire. Je trouve que la dernière histoire est la plus intéressante.

Adèle, 4A, 10/11/2012

****************

Titre du recueil : Le chant des Lunes.

le-chant-des-lunes-gudule-9782844206428.gifAuteur : Gudule (Anne Liger-Belair)

Collection : Nouvelles

Edition : Thierry Magnier                 

Titres

1-La mort qu’on voit danser

2-Enfer-Sur-Meuse    

3-Journal d’un clone

4-La momie

5-Un berceau de dentelle noire

6-La petite fille qui mordait ses poupées

7-La voix

8-Le petit garçon dans les roses thé

9-Niguedouille

10-Le chant des lunes

1-La mort qu’on voit danser

L’histoire se passe dans la Cordillère des Andes à notre époque .

Aude est une jeune femme de vingt-cinq ans qui a la passion du voyage .

 « La poupée !

[…]Le petit automate remuait par saccades. […] Ses doigts articulés saisirent délicatement le bord de sa jupe et la soulevèrent .L’un de ses genoux se plia avec grâce, sa tête bouclée oscilla, ses cils papillonnèrent. Puis, par à coups, sa bouche s’ouvrit, transformant son sourire en une sorte de mastication spasmodique d’où s’échappait une voix aigrelette : « Bien-ve-ni-da… »                          

« La mort … La mort approche ! pensa Aude, en un flash. » p.24

J’ai choisi ce passage car on y apprend que l’histoire des poupées qui accueillent les gens au paradis n’est pas juste une légende .

2- Enfer-Sur-Meuse

L’histoire se déroule dans une petite ville de la Meuse, de nos jours.

C’est l’histoire d’une femme de trente ans qui, atteinte d’un cancer, s’est suicidée .

 « Les suicidés vont en enfer , m’a-t-on appris au catéchisme . L’enfer… Grands dieux, mais… j’y étais !!!

Pas dans les flammes d’un brasier peuplé de démons cornus, non. Pas rôtissant sur le gril des damnés. Dans mon enfer, à moi (chacun le sien je suppose ?), Enfer-Sur-Meuse […]. » p.35

J’ai choisi ce passage vu qu’il illustre bien l’idée que le personnage se fait de sa ville et de son enfer.

3-Journal d’un clone

La nouvelle se passe dans une ville au XXI e siècle .

Le personnage principal est un clone HD22 , très gentil , maltraité par son propriétaire , Yannick , un petit garçon méchant .

 « Le HD22 est un clone recommandé pour les enfants nerveux […] , et c’est ainsi que je me suis retrouvé au Noël suivant , devant leur sapin . » p.42-43

J’ai choisi ce passage puisqu’ il montre comment le clone est arrivé dans sa famille et pour qui il est recommandé.

 4-La momie

L’histoire se déroule dans un hôpital à notre époque .

Mme Delcourt , défigurée lors d’un voyage en Egypte par un animal est le personnage principal de cette nouvelle .Elle fait de la chirurgie pour retrouver son ancien visage .

 « Aaargh , que font-ils ! Ils déroulent la bandelette. Un tour, deux … […] AAAAAAAAH !

-Du calme, madame Delcourt, dit le chirurgien […] La greffe a pris ne vous inquiétez pas, je vous promets que vous retrouverez votre visage. » p.63-65

Ce passage démontre que le titre est une image , en réalité la narratrice n’est pas une momie mais une personne défigurée . C’est pour cela que je l’ai choisi.

5-Un berceau de dentelle

La nouvelle se déroule dans une ville inconnue, en été , de nos jours .

Les personnages principaux sont Sarah , une femme petite et frêle passionnée par les antiquités et  Suzanne , une vieille femme morte dont l’esprit cruel est emprisonné dans un tableau.

 « Face au portrait de Suzanne, Sarah semble hypnotisée. Elle claque des dents. Ses mains, son visage sont glacés.

-La voix cette nuit c’était la sienne.

[…]Mon bébé est à la maison, Sarah. Tout seul dans son berceau de dentelle. […]Le cœur en débandade, Sarah traverse la cave et se penche sur le berceau. » p.82-83-91

J’ai retenu ce passage parce qu’’il expliquait bien le titre .

 6-La petite fille qui mordait ses poupées

Le récit se passe au XXIème siècle dans une maison.

Le personnage principal est une petite fille qui ne peut s’empêcher de mordre au cou ses jouets .

 « Presque à mon insu, j’ai planté mes dents dans le cou de Totote .[…] Entre temps mon vice avait pris de l’ampleur . J’avais testé le cou de tous mes jouets, sans y trouver la satisfaction espérée. » p.96-97

J’ai relevé ce passage car il montre que la petite fille n’a pas un comportement normal.

7-La voix

L’histoire se déroule au XXIème siècle dans un quartier rempli d’immeubles .

Hélène est une jeune femme qui habite dans un appartement et qui entend sans cesse une voix .

-Camille est une petite fille très étrange qui à une voix de bourreau.

 « Camille ouvre une bouche édentée , fait un visible effort.

-Bonjour, articule-t-elle enfin.

La voix. C’est l’atroce voix du bourreau qui sort de cette gorge enfantine. » p.114-115

On découvre que la voix de tyran qu’entendait Hélène est en fait la voix d’une petite fille, Camille , c’est pour ça que j’ai choisi ce passage .

 8-Le petit garçon dans les roses thé

L’histoire se passe à notre époque dans une petite ville et plus précisément dans un jardin.

Les personnages principaux sont Eloi un petit garçon qui possède la jeunesse éternelle et une jeune femme passionnée par ce garçon qui va en tomber amoureuse.

 « Il ne protesta pas lorsque je l’égorgeai. Blottie contre le cadavre je connus enfin l’amour. Une nuit tout entière […] Une nuit à me gorger du parfum des roses thé, jusqu’à en frôler l’overdose. » p.130

J’ai choisi ce passage montrant que la jeune femme en voulait à Eloi de ne pas vieillir donc elle le tue .

9-Niguedouille

C’est dans le futur que se déroule cette histoire , dans un monde où l’informatique est plus utilisé que la mémoire .

Le personnage principal est Niguedouille, une vieille femme, seule survivante de la perte de l’assistance mémorielle par le reste du monde .

 « Niguedouille, tout le monde l’appelait comme ça . Elle n’avait jamais su utiliser l’assistance mémorielle. » p.135-136

Niguedouille se fait appeler ainsi par les autres parce qu’elle ne sait pas utiliser l’assistance mémorielle.  C’est pour cela que j’ai retenu ce passage.                                                       

10-Le chant des lunes

Le récit se déroule au XXIème siècle dans un lieu inconnu .

Hélène Dumas est une femme de cinquante ans dont le métier est anthropologue spécialisée dans la reconstruction faciale.

 « À l’aube après une nuit de travail frénétique, force lui fut d’admettre l’incroyable vérité : la petite fille qu’elle avait devant elle c’était elle-même. » p.161-162

J’ai choisi ce passage car c’est la révélation qui va lui faire découvrir ses vraies origines.

 

Mon avis sur ce livre : J’ai apprécié ce livre pour plusieurs raisons :

-le suspens dans chaque nouvelle rendait le livre palpitant.

-les histoires étaient fantastiques et j’aime bien ce genre de lectures.

J’ai observé que les nouvelles finissaient le plus souvent mal.

Lily   L.T,  4A, le 04/10/15

 

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 11:16

Auteur : Christopher Gravett

Titre : Le Temps Des Chevaliers9782070615193_1_75.jpg

Edition : Gallimard

Genre : Documentaire

Thème principal : Des informations et images sur le Moyen Âge.

Résumé du sujet : Ce livre offre des renseignements sur la vie au Moyen Âge en partant des chevaliers aux samouraïs du pays du soleil levant.

Ce livre offre également des précisions sur leurs armures et leurs armes, hallebarde, katana, masse etc., et autres objets, broches, mobiliers, chandeliers, pot de chambre, etc. Les guerriers, lors des batailles étaient impitoyables et ne respectaient pas toujours le code d’honneur. Le cheval était très important car il était indispensable lors des batailles. Au IX siècle, les châteaux en pierre apparaissent, ils sont construits de manière défensive. Ils possèdent des meurtrières : petites fentes servant à tirer des flèches, et des mâchicoulis pour verser de l’huile bouillante sur les ennemis.

Un passage que je trouve remarquable : Page 24 : « Le château entre en guerre ».

 « Les défenses des châteaux devinrent de plus en plus ingénieuses. L’assaillant devait d’abord franchir les fossés, parfois hérissés de piquets qui ralentissaient sa marche et en faisaient une cible facile pour les archers postés sur les murailles. Les douves, ou fossés remplis d’eau, étaient assez rares mais constituaient un réel obstacle et empêchaient tout travail de sape à la base des murs. Les tours en saillie, sur la courtine, offraient aux défenseurs d’excellents champs de tir, sans angles morts ni recoins pour abriter l’ennemi ».

On ne peut pas parler de chevaliers sans parler de leur château, ils étaient leurs résidences principales et ils devaient à tout prix le protéger.

Jugement critique personnel : J’ai pris plaisir à lire ce livre, c’est pour ça que je le recommande, car il est rempli de détails intéressants et il n’est pas ennuyeux. J’ai particulièrement apprécié le chapitre des samouraïs avec leurs katanas et leurs masques et armures. 

Théo O, 25/10/2012

Des compléments sont disponibles en ligne sur le site de l'éditeur, à cette adresse :

http://www.decouvertes-gallimard-jeunesse.fr/Yeux-Decouverte/ydd_accueil.php?id=A61519 

 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 21:48

Indications bibliographiques :

  •  Auteur : Christopher Gravett 
  • Titre : Le temps des châteaux fort 
  •  Edition : GALLIMARD

Genre :  Documentaire

Thème principal :

Il raconte l'histoire de la vie quotidienne au Moyen Age et l’histoire des châteaux forts.

Résumer le sujet :

Ce livre permet d'apprendre beaucoup sur le Moyen âge, pas seulement sur les châteaux forts mais aussi sur la vie quotidienne au Moyen âge. Les étapes de leurs constructions sont expliquées et il montre aussi leurs transformations au fil des siècles des matériaux, des types de donjons, les vestiges des derniers monticules recouverts d’herbe où étaient placés avant les premiers châteaux en bois et en terre : Yelden ( Angleterre) ; La motte de Pleshey ( Angleterre ), les activités qui se déroulaient dans le château comme l’orgue de barbarie, les bouffons et les fous, jeux de balles et pleins d’autres choses variées. Certaines pièces sont expliquées comme la cuisine, la grande salle, la prison, etc.. La défense est aussi très importante, ils ont élaboré plusieurs types de défense comme le tir plongeant ( Angleterre ), mâchicoulis, tourelle de guet ou guette, meurtrières,.. Dans les châteaux il y avait des officiers : le sénéchal surveille les fortifications et garnison ; le maréchal le soin des chevaux ; le chambellan veille à la nourriture et aux boissons…

Choisir un passage remarquable d'une dizaine de lignes :

Les premiers châteaux forts apparaissent en France, en Allemagne et en Italie du Nord entre le IXe et le Xe siècle, au moment où l'empire de Charlemagne s'écroule sous la pression des raids vikings et hongrois. Les seigneurs bâtissent alors des forteresses pour se protéger et abriter leurs soldats. Nombreux sont les châteaux forts qui se dressent encore dans le paysage d'aujourd'hui. Au Moyen- Age, un château fort est la résidence fortifiée d'un seigneur, qu'il soit roi ou un simple baron. C’est un symbole 

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de pouvoir mais aussi un lieu d'habitation et une place forte capable de tenir de longs sièg


Ce court passage montre globalement l’évolution de la construction des châteaux forts et leurs rôles sur la société de l’époque. Dès le début du livre, on comprend beaucoup de choses sur la naissance des châteaux, et en peu de temps.
es. (Pages 6 et 8)

Jugement critique personnel :

Ce livre est vraiment intéressant et vraiment très détaillé je trouve et peut être un peu trop, c'est vrai que l’on apprend et comprend beaucoup de choses sur la vie au Moyen Age, et il y a même des études de cas. Ce recueil est très chargé en illustrations, ce qui permet de mieux imaginer la vie à cette époque. 

Louise, 5C, 20/10/2012

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Auteur :Christopher GRAVETT.

Titre : Le temps des châteaux forts 

Edition : septembre 2000, Gallimard et Dorling Kindersley, collection Les Yeux De La Découverte

Genre : documentaire.

Thème principal : Ce document  parle des châteaux forts et de la vie quotidienne dans ces châteaux au Moyen-âge.

 

Résumé :Ce livre renseigne sur les  châteaux forts, la façon d’y vivre et leurs constructions. Il nous raconte aussi les activités du château : les jongleurs contant les fabliaux, les bouffons amusant leurs seigneurs,  les jeux de balles… Il y a aussi l’explication de la construction et des inventions de leur système de défense. On parle des métiers de cette époque, comme les forgerons, les cuisiniers, les serviteurs… on parle des châteaux forts différents selon leur localisation (comme ceux du Japon ou de France). Les différentes pièces y sont décrites comme la prison, la cuisine, les résidences du seigneur ou du roi…


Mon passage préféré est à la page 26, de la ligne 1 à la ligne 13 :

« Les archers ajustent leur tir 

Même en temps de guerre, les châteaux disposent rarement d’une garnison comptant plus d’une centaine d’hommes. En réalité, un petit effectif bien retranché dans le château suffit à empêcher l’assaut d’un plus grand nombre. Les parapets et les mâchicoulis qui couronnent les murs permettent aux archers de battre l’ensemble de la muraille. Sur les parapets, les créneaux (parties creuses) sont parfois garnis de volets (huchettes) contre les projectiles ennemis tandis que les melons (parties pleines) sont percés de meurtrières pour faciliter le tir. »

J’aime ce passage là car il exprime comment cela se passait au moyen-âge quand un château était assailli et cela montre l’effectif qu’il y avait dans les châteaux.

 

Jugement personnel sur ce livre :

J ai aimé ce livre car il était intéressant et tout est bien expliqué. Ce que je n’ai pas apprécié  dans ce documentaire est qu’il  ne raconte pas qui gagnait le plus souvent dans les batailles et  ne raconte  pas non plus les conflits entre les camps. Ce livre est facile à lire car les mots compliqués sont expliqués. Je le conseille pour tout le monde car la lecture de ce documentaire  est facile.

Pierre LM, 5B, 20/10/2011

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 20:34

paroles-de-poilus-lettres-et-carnets-du-front-1914-1918-jea.gifIndications bibliographiques

éditeurs : Jean Pierre Guéno et Yves Laplume                               

Titre : Paroles de Poilus 

Edition : 1998, la Fleche, Librio      

Genre  recueil de lettres de Poilus

Thème principal :  Lettres de Poilus de la grande guerre

Résumé :  Ils avaient entre dix-sept et vingt-cinq ans et partaient pour la guerre en devenant  artilleurs, fantassins... Beaucoup d'entre eux moururent du tétanos, de balles transperçant leurs corps ou bien d'éclats d'obus. Ils envoyèrent des lettres à leurs proches pour expliquer la vie à la guerre, et donner de leurs nouvelles. C'est grâce à ces lettres que le livre est sorti.

Choix d’ un  passage

" Je crois n'avoir jamais été aussi sale. Ce n'est pas ici une boue liquide,  comme dans L'Argone. C'est une boue de glaise épaisse et collante dont il est presque impossible de se débarrasser, les hommes se brossent avec des étrilles [...] par ces temps de pluie, les terres des tranchées, bouleversées  par les obus."(p.61).

Il montre bien l'esprit de la guerre.

Mon jugement

Ce livre est bien car il nous explique la guerre tout en nous donnant les détails. Les lettres sont écrites par les poilus dans les tranchées. Nous pouvons voir leurs niveaux de français.

Je le conseille.

Thomas M. 4 A, 9 octobre 2012


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Paroles de Poilus est un livre où sont rassemblées différentes lettres envoyées à leur famille par des soldats pendant la guerre 1914-1918.
C'est un livre qui est facile à lire une fois qu'on est bien concentré. On y rencontre parfois beaucoup de violence mais aussi beaucoup d'amour.
J'ai beaucoup aimé le lire car il est très intéressant, on peut presque se sentir dans la guerre. Je le recommande mais âmes sensibles s'abstenir.

extrait (fin de la lettre du 22 février 1915, de Maurice à Marie)
 

Ne crois-tu pas chère Marie que tous ces morts quels qu'ils soient doivent aller droit au ciel après de semblables actes d'héroïsme et ne crois-tu pas odieux, honteux, scandaleux que Messieurs les Députés à la chambre veuillent refuser ou même discuter l'attribution d'une " croix de guerre " à ces hommes, tous des héros, sous prétexte qu'il faut qu'ils soient cités à l'ordre de l'armée... Pour eux l'ordre du jour de la Division n'est pas suffisant. " Oh! injustice et ingratitude humaines " Tandis que vous vous promenez dans les rues ou les lieux de plaisir de Paris tandis que mollement assis dans un bon fauteuil de velours, au coin d'un bon feu, à l'abri de la pluie et scandalisés si un grain de poussière ou une goutte d'eau viennent ternir l'éclat de vos bottines, vous discutez pour savoir si l'absinthe est un poison ou si le mot " bar " est mieux que " débit de boissons " ou " établissement " tandis que loin du danger vous vous demandez d'un air fâché et dédaigneux : " Qu'est-ce qu'ils font donc? Pourquoi n'avancent-ils pas ? Si j'étais au feu je ferais cela.. " Pendant ce temps Messieurs les Députés, vos concitoyens fiançais, vos frères, les fantassins dont le nom seul évoque on ne sait pourquoi, le mépris le plus grand, les soldats en général sont en train de recommander leur âme à Dieu avant d'accomplir "dans l'ombre" sans rien attendre de la postérité le plus grand des sacrifices, le sacrifice de leur vie. Et c'est vous qui êtes si prompts à vous décerner mutuellement des décorations plus ou moins méritées par quelque beau discours ou quelque puissant appui, c'est vous dis-je qui refusez d 'accorder à nos soldats la petite " croix de guerre " si vaillamment méritée; bien petit dédommagement, en vérité pour une jambe ou un bras de moins, qu'un petit morceau de métal suspendu à un ruban quelconque, mais ce sera pourtant tout ce qui restera dans quelques années d'ici pour rappeler la conduite sublime de ces malheureux estropiés que le monde regardera d'un œil dédaigneux.
De plus c'est si simple et ça ferait tant de plaisir à ces braves, ça stimulerait tant le courage des autres. Certes, ce n est pas pour ça qu'ils se battraient; mais ce serait tout de même une juste récompense.
Alors que nos ennemis distribuent à tort et à travers des croix de fer, de cuivre ou de bronze, nous nous montrerions si parcimonieux. Excuse mon bavardage, ma chère Marie, mais je suis écœuré de toutes ces discussions à la Chambre.
Et que penser (tant pis si la censure arrête ma lettre), je ne cite d'ailleurs pas de noms, que penser de certains chefs qui lancent des hommes sur un obstacle insurmontable, les vouant ainsi à une mort presque certaine et qui semblent jouer avec eux, comme on joue aux échecs, avec comme enjeu de la patrie s'ils gagnent, un galon de plus.
Ne te scandalise pas, ma chère Marie, je t'écris encore sous le coup de l'émotion d'hier et de cette nuit et bien que je n ai pas du tout pris part à cette lutte, j'ai été très touché ainsi que d'ailleurs tous les officiers même supérieurs qui sont ici; l'un d'eux ce matin en pleurait de rage et de pitié.
Ne crois pas d'ailleurs que mon moral soit atteint le moins du monde, il est excellent.

Maurice

 

Mélanie, 3D, 11 mars 2009

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Mon personnage préféré est un soldat qui a reçu une balle dans l'épaule, elle a traversé tout son corps et est venue se loger dans son pied  (page 24) . Vu la douleur je ne sais pas ce que j’aurais fait à sa place.

 

L’auteur continue le recueil les lettres de nouveaux personnages  (p13 et 14,  il y a deux lettres de Maurice Marechal). L'auteur a bien disposé les lettres  pour donner envie de continuer à lire. Il a disposé les lettres comme il faut pour faire poursuivre la lecture. L’élément le plus important à retenir est que la guerre est très dure et que les soldats, s’ils n’étaient pas tués, ils étaient  sûrs d’être blessés. Le livre montre la cruauté de la guerre et démontre comment les soldats ont pu souffrir. Si je rencontrais l'auteur, j'aimerais lui demander pourquoi il n’a pas classé toutes les lettres d’un soldat à sa famille ou à sa femme en chapitres ?

 

Il n’y a pas beaucoup d’humour dans ce livre mais parfois les soldats sont blessés très gravement mais ils montrent qu’ils sont plus inquiétés du sort des autres que de leur propre sort. Le style de l’écriture change car ces lettres émanent de plusieurs personnes.

Paul 4A Octobre 2013

 


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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 14:54

J-AI-SOIF-d-INNOCENCE.jpgRomain Gary alias Roman Kacew alias Émile Ajar est sans doute plus connu pour son autobiographie,  La Promesse de l'Aube, et pour son roman, La Vie devant soi que pour ses nouvelles. Les six nouvelles présentées dans le recueil J'ai soif d'innocence dans la collection "Les contemporains classiques de demain" chez Larousse sont tirées du recueil Les Oiseaux vont mourir au Pérou, publié par Romain Gary en 1975 avec 15 nouvelles.

L'édition Larousse est une édition scolaire dans laquelle un appareillage scolaire très conséquent s'ajoute aux textes. On peut s'en servir ou l'oublier et se laisser porter par la lecture cursive. Les six nouvelles ont toutes un atout non négligeable : elles sont très courtes, de 130 à 500 lignes et réservent toutes une surprise en guise de chute. Elles sont aussi emplies des valeurs humanistes chères à l'auteur et teintées de son ironie.

"J'ai soif d'innocence" présente la quête d'innocence d'un narrateur fatigué des "fausses valeurs" de la civilisation, ses rêves semblent se réaliser sur cette île du Pacifique où il s'installe, avec la bienveillance d'une veille femme,Taratonga, pour commencer un nouvelle vie...

"Un humaniste" nous transporte à Munich, au moment où Hitler accède au pouvoir. Karl Loewy, un fabricant de jouets, jovial, bon vivant et doté d'une inébranlable confiance en la nature humaine, finit par se résoudre à se réfugier dans sa cave en attendant "la bonne saison". Ses domestiques se chargent d'apporter à leur patron nourriture, vin, nouvelles du dehors. Au début, il reçoit même les journaux et écoute la radio mais comme les nouvelles restent désespéreantes, il finit par y renoncer, ...

"Le faux" est une nouvelle qui se déroule dans le milieu huppé des marchands d'art qui achètent des Van Gogh et des Rembrandt. S... a acquis dans ce milieu la réputation d'un expert incontesté aussi lorsqu'il déclare que le Van Gogh acheté par Beretta est un faux, Beretta est furieux et menace S... : "Vous verrez que l'on apprend dans les rues de Naples des coups aussi foireux que dans celle de Smyrne" siffle-t-il avant de s'en aller.... 

"Citoyen pigeon" se passe à Moscou en 1932. Le narrateur et son associé Rakussen viennent de "subir à la Bourse de New-York des pertes désastreuses", ils quittent Wall Street pour l'URSS en quête de "valeurs nouvelles"...

"Tout va bien sur le Kilimandjaro" présente l'histoire de l'énigmatique et fabuleux Albert Mézigue. Ses concitoyens de Touchehagues, sur la route d'Aix, ont ouvert une salle de la mairie en guise de musée pour exposer "plus de mille cartes postales envoyées de tous les coins du monde" par cet "illustre pionnier de la géographie et conquérant des terres vierges" mais qui était réellement Albert Mézigue et pourquoi envoyait-il ainsi des cartes à tous ses concitoyens, sans même oublier son rival en amour ?

"Je parle de l'héroïsme" est l'histoire du narrateur, conférencier littéraire, invité à l'Institut français d'Haïti pour faire une conférence sur un sujet de son choix. Sans hésiter, il choisit l'héroïsme. Il réussit une brillante prestation devant un public de choix mais il est frappé par l'attention particulière d'une personne au premier rang. Lorsqu'il quitte l'estrade à la fin de son discours, cette personne vient vers lui, c'est le docteur Bonbon, il est chargé de transmettre au narrateur une demande particulière de ses lecteurs...

Ces nouvelles sont à la fois modernes, variées, imprévisibles, elles illustrent parfaitement le genre de la nouvelle à chute et peuvent constituer de jolis tremplins vers l'écriture.

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26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 20:08

Titre : Sa majesté des mouches
Auteur : William GOLDING
Adaptation française : Lola Tranec21886c--2-.jpg
Illustration : Gabor Szittya
Collection : Folio
Edition : Gallimard

Genre : récit initiatique

Thème principal : Ce sont les aventures d’une bande de garçons de six à douze ans naufragés sur une île déserte montagneuse.

Résumé : Un groupe de jeunes garçons échoue sur une île déserte montagneuse. Ils ont eu un accident d’avion, il n’y a aucun adultes avec eux. Ces jeunes garçons sont tous anglais. Au début, tout leur parait super, il y a une bonne entente entre eux. Ils s’organisent, ils décident d’élire un chef pour le commandement, ce sera Ralph. Seulement voilà, Jack, un autre garçon aurait lui aussi souhaité avoir ce titre. Tant pis, lui sera élu maître de la chasse et des chasseurs. Les ennuis vont commencer le jour où le chef Ralph et son adjoint Jack ne sont plus en accord sur les priorités de la vie au campement. Ralph souhaite donner la priorité à la conservation du  feu, tandis que Jack préfère mettre toute son énergie et celle du reste du campement à la chasse. Drame, le feu restera sans surveillance, Ralph avait pourtant prévenu qu’il ne fallait pas qu’il s’éteigne. Le feu c’était leur seul et unique espoir d’être secourus, si un bateau passait au large de l’île. Leur désaccord déclenche une vraie guerre, qui finit par en tuer deux d’entre eux.

Passage remarquable, pages 219 à 220

« Mais Jack s’était mis à crier aussi fort et couvrait la voix de Ralph. Il s’était joint à la tribu et le groupe formait un bloc menaçant, hérissé de javelots. Ils se préparaient confusément à l’assaut, ou du moins l’intention semblait se dessiner dans la masse de nettoyer le pont rocheux. Ralph se tenait face à la tribu, un peu sur le côté, l’arme prête. Porcinet était près de lui qui ne lâchait pas le talisman, le coquillage à la beauté fragile. L’orage de hurlements venait se briser contre eux, comme une incantation de haine. Là-haut, cédant avec délices à ses instincts, Roger pesa de tout son poids sur le levier.
Ralph entendit le gros rocher avant de le voir. Il sentit une secousse à travers les semelles de ses chaussures et le déchirement de la rocaille au sommet de la falaise. Alors, la monstrueuse masse rouge bondit sur le pont rocheux et Ralph se jeta à plat ventre tandis que la tribu poussait des cris.
La roche frappa Porcinet de plein fouet, du menton aux genoux ; la conque explosa en mille morceaux et disparut. Sans avoir le temps de pousser le moindre soupir, Porcinet fut projeté de côté dans le vide et se retourna dans sa chute. La roche rebondit deux fois et se perdit dans la forêt. Porcinet s’écrasa sur le dos, quinze mètres plus bas, sur une dalle rocheuse entourée d’eau. Sa tête se fendit et il en sortit une matière qui rougit aussitôt. Ses membres eurent un soubresaut, comme les pattes d’un cochon égorgé. Puis la mer poussa un soupir prolongé ; l’eau bouillonna, rouge et blanche, en recouvrant le rocher, et lorsqu’elle se retira dans un bruit d’aspiration, le corps de Porcinet avait disparu.
Cette fois-ci, le silence était total. Les lèvres de Ralph formèrent un mot, mais il n’en sortit pas un son.
Soudain, Jack se détacha de la masse en poussant des cris sauvages.
- Tu vois ? Tu vois ? Voilà ce qui t’attend ! Voilà ce que j’ai ordonné ! Tu n’as plus de tribu ! Et plus de conque… »


Jugement critique sur le passage : ce passage nous décrit la fin d’une belle aventure entre copains. La querelle de deux d’entre eux, menant à la division de ce groupe, pour enfin nous conduire à la perte de Porcinet dans des conditions des plus atroces.

Jugement critique personnel sur le livre : l’histoire de ce récit aurait pu être tirée d’un fait réel. L’histoire est bien construite, le désaccord entre bande rivale, nous montre et nous décrit jusqu’où les hommes sont prêts à aller pour acquérir le pouvoir. Ce livre ne me déplait pas. En revanche, j’ai trouvé cela un peu long car l'auteur insiste beaucoup trop sur la description détaillée des paysages et des personnages. Je le conseille à ceux qui aiment les aventures un peu du genre de celles de Robinson mais aussi, à ceux qui aiment le vocabulaire descriptif des paysages.

Célia G, 5D

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Auteur : William Golding (1954)

 Titre : Sa majesté des mouches

 Collection : folio junior

 Genre : récit initiatique et d’aventure

 

Sujet : Ralph, un jeune garçon blond se retrouve sur une Ile, après un naufrage. Pour survivre, lui et d’autres garçons vont devoir chasser et s’entraider. Mais cela semble plus compliqué que prévu.

 

Résumé : Ralph et Piggy, deux garçons échoués sur une île se demandent comment cela a pu arriver. Bien vite ils vont découvrir qu’ils ne sont en fait pas les seuls sur cette île. En découvrant les autres, Ralph se propose comme chef, mais il n’est pas le seul. Jack, un autre garçon se propose aussi comme chef, mais c’est Ralph qui obtient ce titre. Après des jours et des jours loin de leur maison et de leurs parents, la tension monte. Mais très vite nos amis vont apprendre à vivre ensemble et à communiquer.

 

Remarques : J’ai  bien aimé ce livre, je le trouvais très entraînant et passionnant à la foi.  Je le conseille à ceux qui aiment l’aventure.             

Lionel M, 5D

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 12:47

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 TITRE : Comme une fleur coupée…

AUTEUR : Françoise Grard et Robert Bigot

COLLECTION: Les romans                                                                       

EDITEUR: Gulf Stream

GENRE: roman d’initiation

THEME : les secrets d’une famille

 
                               

Résumé : C’est l’histoire d’une famille tout à fait banale : la famille Clarisse.

   Un jour, Benjamin  âgé de  16  ans  est renvoyé de son lycée à cause d’une bagarre  et ses parents décident de l’envoyer  en pension en Autriche chez des amis de sa mère. Mais Sophie, l’aînée de la famille en décide autrement et veut à tout prix trouver une solution pour retenir le plus  longtemps possible son frère. En cherchant le livret de famille, les deux adolescents tombent sur des papiers écrits en langue étrangère. Les deux complices inquiets font appel à un ami qui leur traduit le papier : Sophie aurait été adoptée ! Arrivé en Autriche Benjamin décide de mener son enquête là-bas et découvre des secrets  familiaux  qui pourraient bien créer des problèmes au sein de la famille. Benjamin apprend encore certaines choses qui n’arrangent pas la situation déjà bien endommagée. Heureusement les tensions s’apaisent et la sérénité  règne de nouveau chez les Clarisse.

 

Passage remarquable, pages 44 à 45 : « Sophie ne jeta qu’un coup d’œil distrait au cliché que Benjamin lui tendait. Au bord d’un lac, probablement en Autriche, sa mère, âgée  d’une quinzaine d’années, lisait  assise sur un fauteuil de rotin. Une joue ronde, un profil de chat, des boucles rousses .On eût plutôt dit une petite sœur de Birgit …

-         Donne, on n’a pas le temps…

La fouille reprit, de plus en plus fébrile .On ne pouvait plus reculer. Désormais, chaque minute aggravait le risque de se faire surprendre.

Enfin un étroit tendu de velours bleu, gravé de lettres dorées, apparut :

-Le voila.

Sophie recula en  caressant la surface du document dont l’aspect officiel inspirait un respect mêlé de crainte.

- Remontons, souffla Benjamin. »

J’ai  choisi ce passage car je trouve qu’il est assez représentatif du  livre, les actions et les événements surgissent à partir de ce passage du texte et des séries de péripéties s’enchaînent ensuite.  

 

Jugement critique personnel : J’ai beaucoup aimé ce roman car il y a beaucoup                  d’action et de suspens. On a beaucoup de plaisir à lire ce livre et à découvrir ce qui ce passe au fil de l’histoire.

 Eva C, 5D, 16/12/2011

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Adoptée : Au début, Sophie découvre qu’elle a été adoptée.   

Benjamin : C’est un des héros, c’est le frère de Sophie.

Clarisse : C’est le nom de famille de Benjamin et Sophie.

Date : Il y a une date au début de chaque chapitre.

Enquêtent : Le frère et la sœur enquêtent sur les origines de Sophie.

François : C’est le père de Benjamin et Sophie.

Gulf Stream : C’est l’éditeur du livre.

Hongroise : C’est la vraie nationalité de Sophie  

Indulgence : Birgit sa mère est indulgente envers Benjamin

Jardinier : C’est la profession de Jean-Louis, l’oncle de Sophie  

Livret de famille : C’est à cause de la découverte de ce livret que tout à commencé.

Martha : C’est la petite sœur de Benjamin et Sophie.

Naïma : C’est la petite copine de Benjamin. 

Obéit : Benjamin obéit à sa mère quand elle lui dit d’aller en Autriche.

Piano : La tante de Benjamin, Sophie et Martha donne des cours de piano.

Quatre-vingt-un, 81 : C’est l’été 81 que Sophie aurait été trouvée. 

Révoltée : Sophie est révoltée contre ses parents. 

Sophie : C’est une héroïne, la sœur de Benjamin et Martha. 

Troupe de marionnettistes : Étant jeune, Birgit en faisait partie

Viré : Benjamin est viré de son collège.

Wolgang : C’est l’oncle de Benjamin, le frère de Birgit.

Zsynagoga : (synagogue) C’est ce que lit Benjamin sur une pancarte à Budapest.

Youna N, 4A, 22/11/2010

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 23:00

Auteur : Yves Grevet

Titre : Jacquot et le grand père indigne

Edition (date, éditeur, collection) : SYROS 2007

Genre : Roman initiatique

thème : la dispute entre un grand père et un enfant 

 

sujet : C’est l’histoire d’un enfant appelé Jacquot et de son grand père. Jacquot habite avec sa mère dans un appartement et le grand père dans sa maison, Jacquot a perdu sa grand-mère et son père est parti juste après sa naissance . Son grand-père qui est arrivé âgé ne veut pas aller en maison de retraite alors sa fille le pousse à y aller mais il ne veut pas. Jacquot n’aime pas trop son grand père. Son grand père cache le cahier rouge de Jacquot, celui-ci, après avoir retrouvé son cahier rouge cache la télécommande de son grand père pour se venger. Un soir en revenant de l'école il veut entrer dans la cuisine mais la porte est coincée avec le grand-père qui est à terre alors Jacquot fait les premiers soins, appelle les secours et prévient sa mère. La mère et Jacquot vont à l'hôpital voir le grand père tous les jours après l’école et vont  prendre des nouvelles avec Théodore, l’infirmier. Jacquot décide d’inviter Théodore à dîner, puis quelques jours plus tard son grand père va en maison de retraite.

 passage choisi :  

"Je regarde alors mon grand père.

C’est comme si ses yeux s'étaient allumés.

-Jacquot…j’ai soif…s’il te plaît.

Je touche sa main pour le rassurer et je sors.

Maman et Théodore papotent dans le couloir.

-Papi a parlé ! Il a soif ...Venez !!

-Je m'en occupe, dit calmement Théodore.

Mon grand père s'est réveillé.

Je suis presque sûr qu’il a attendu que je sois là pour le faire."

J’aime ce passage car Jacquot et son grand père ne se disputent plus et sont devenus amis. Le grand-père a attendu que son petit- fils soit présent pour dire ses premiers mots après cet accident.

 Jugement personnel : Ce livre est intéressant car il même s''il ny a pas d'image, il n'est pas difficile à lire ni à comprendre, je l' ai bien aimé comme livre.

                                                                                                                                                                          Yann G. 5B, 15/12/2011

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J'ai bien aimé les personnages de ce récit : d'abord Jacquot car il est courageux et combatif; puis son grand-père car il ne parlait que pour hausser la voix ; ensuite, sa mère car elle ne savait pas faire la cuisine et avait toujours le dernier mot et enfin Mehdi, le copain de Jacquot, qui voulait toujours avoir les mêmes histoires que Jacquot.

Je ne vois pas le rapport entre le titre et l'histoire, je pense qu'il n'a rien à voir avec l'histoire. 

Johan G, 5B, 16/12/2008

 
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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 17:11

 

Auteur: Claude Gutman
Titre: La maison vide
Édition: Gallimard

Date:1989

Collection :page blanche
Genre: roman historique
Thème principal: la vie d'un garçon juif pendant la seconde guerre mondiale

Résumé

David vivait avec ses parents juifs à Paris. Il était le fils unique d'un second mariage. Son père était déjà marié en Pologne et avait trois enfants, mais sa famille a été assassinée par des antisémites. La guerre a commencé et les allemands gagnaient de plus en plus de terrain sur la France. Son père ne voulait pas fuir Paris et s'est plié aux règles des allemands. Par peur, ses parents obligeaient David à dormir chez leurs voisins qui n'étaient pas juifs et dont le fils est mort au combat. Un matin, les allemands sont arrivés et ont enlevé tous les juifs du quartier. David se retrouvait sans parents et a du aller vivre dans un couvent. Il devait changer d'identité et nier ses origines pour ne pas se faire attraper. Il avait du mal à accepter la vie religieuse au monastère et n'arrivait pas à s'intégrer. Ainsi David a été envoyé dans un refuge pour enfants juifs. Petit à petit il s'y plaisait, retrouvait goût à la vie et tomba même amoureux. Mais un jour alors que David rentrait le matin à l'orphelinat, il a vu les allemands emmener sa nouvelle famille.

Passage remarquable :

(p52) « On a entendu les cris, au tout petit matin du 16 juillet, avec Mme Bianchotti, on s' est mis à la fenêtre. Un hurlement énorme, horrible, et dans la rue une masse de policiers. Mme Bianchotti, de sa toute petite force m'a mis la main sur la bouche. »
J'ai choisi ce passage car c'est là où il est séparé de ses parents et où sa vie se met à changer définitivement.

Critique personnelle : J’ai bien aimé ce livre car il est très émouvant et il nous montre que la guerre est quelque chose qui peut bouleverser notre vie et même la gâcher.

Julie L, 5B, 14/12/2011

 

 

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C'est un roman historique qui a pour contexte la guerre 39-45.
David est un enfant juif qui pendant la guerre a vu ses parents se faire enmener. Lui n'avait pas été emmené car pendant cette période, il vivait chez ses voisins.
David se sent coupable. Coupable d'être en vie, d'avoir survécu. Il ne veut qu'un seule chose : retrouver ses parents.
J'ai bien aimé ce livre. Il est tres facile et les mots ne sont pas très compliqués. C'est un roman émouvant.


Ce roman est le premier d'une trilogie , le deuxième tome est "L'hôtel du Retour" et le troisième tome est "Rue de Paris".

Julie, 3eD, 12/03/2009

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