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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 19:57

Auteur : Anna Galvada
Titre : 35 kilos d’espoir
Edition : Bayard jeunesse
Genre : Récit initiatique
Thèmes principaux : La haine, le désespoir
Résumé :
C’est l’histoire d’un jeune garçon de 13 ans appelé Grégoire. Grégoire déteste l’école, si fort qu’en sixième il a déjà redoublé deux fois : le CE2 et la sixième. Son seul refuge : le cabanon de son grand-père Léon. Lorsqu’il apprend qu’il se fait renvoyer, Léon est furieux et décide de ne plus l’aider. C’est un nouveau départ pour Grégoire qui avait l’habitude qu’on l’aide dans les moments difficiles

9782747006606

Passage remarquable :
"J’ai deux nouvelles à t’annoncer, une bonne et une mauvaise. Je commence par laquelle ?
-La bonne.
-La directrice de Grandchamps a téléphoné. Elle est d’accord pour te prendre

 

dans le collège, mais il faudra que tu passes un test d’abord…
-Pff… Si c’est ça que t’appelles une bonne nouvelle … Un test ! Qu’est- ce que tu veux que j’en fasse ? Des confettis ? Et la mauvaise ?
-Ton grand-père est à l’hôpital."
Commentaire sur ce passage : Cela a été très dur pour Grégoire d’apprendre que son grand-père était à l’hôpital.

 

Jugement critique personnel  :
Je vous conseille ce livre car tout au long du récit beaucoup de choses changent. Grégoire, au début, commence par détester l’école puis il finit par l’aimer. Au début son grand-père l’aidait maintenant il est indépendant. Voilà les raisons pour lesquelles je vous conseille ce livre.

Apolline LR, 5B, 12/12/2011

 

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Ce livre d'Anna Gavalda publié aux éditions Bayard, m'a beaucoup plu car j'ai bien ai  

 mé la complicité entre le grand-père, Léon et le personnage principal, Grégoire. 

Grégoire est le héros de cette histoire d'un adolescent qui déteste l'école et qui a déjà redoublé deux fois. Son grand-père, Léon, le soutient jusqu'à ce que Grégoire se fasse renvoyer du collège
. De plus, Léon est malade.
 

Une grande détermination du personnage principal fera qu'il y aura une fin heureuse po
ur lui et pour son grand-père.

                             Aéla, 5B, 21/10/2008

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 20:35

Dans le roman de Théophile Gautier, il est vrai qu’il y a une belle histoire, bien construite, celle d’un baron qui par hasard intègre une troupe de théâtre. Il rencontre une fille charmante qui lui plaît énormément, il se passe plein de péripéties. Au cours de la lecture, ce livre révèle plusieurs surprises comme celle de l’amant que l’on découvre comme le frère de cette fille nommée Isabelle.

Cettcapitaine-fracasse.gife histoire est réaliste et se passe au début du XVII ème siècle. Elle nous renseigne à propos de la vie à l’époque : les voyages à cheval ou les combats à l’épée.

 

Voilà les arguments positifs de ce livre, je vais m’attarder sur ceux négatifs.

Je trouve ce roman ennuyant car il y a peu d’actions, elles sont brèves et l’écriture du livre est davantage fondée sur la description. Au début plus de dix pages sont concernées par la description du château. Lors des combats, chaque mouvement est décrit et le narrateur donne son avis, ce qui rallonge le nombre de pages par rapport à l’histoire. Le rythme des péripéties est vraiment très lent, ce qui endort le lecteur.

Il  y a aussi un autre problème qui me gêne c’est le vocabulaire. Sur toutes les pages, il y a au moins cinq ou six mots que je n’avais jamais rencontrés et dont je ne comprenais pas le sens.

J’invite tous les lecteurs de ce livre à aller regarder au moins un extrait vidéo sur internet (You tube) pour mieux comprendre l’histoire.

Je peux en conclure que ce livre est instructif mais ennuyant.

Je le recommande aux bons lecteurs.

Voir pour vous faire une idée le texte intégral sur Wikisource

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 15:24
Philippe Grimbert est le célèbre auteur d'Un Secret, présenté ici par Céline, il est aussi psychanalyste et ce roman publié chez Grasset en porte clairement la marque. Dédié "à mes fantômes" par Grimbert, c'est un roman à la première personne où le narrateur, Loup, raconte sa propre existence en partant non pas de sa naissance mais de sa rencontre au jardin public du petit Mando qui devient à partir de ce jour-là son meilleur ami. Or le récit s'attache de façon insistante aux petites lâchetés du narrateur, à ses infidélités, à ses ambiguës  accointances avec la mort des autres ou à ses trahisons et l'on peine à en saisir la raison. Au fil du temps, les intérêts de Loup (pour la psychanalyse) et de Mando divergent, ils se voient moins jusqu'au jour où Loup reçoit un appel désespéré de Mando. Il le retrouve transformé, devenu fantôme de lui même, au bord du suicide. Loup retarde le geste fatal par un long face à face où il apprend que déjà dans leur enfance, Mando avait fait une crise lorsque Loup lui avait fait faux bond pour aller en colonie de vacances mais ce face à face ne constitue qu'une suspension provisoire d'un acte décisif qui livre le narrateur aux remords et aux interrogations sans réponses.
Ce texte est le roman d'une amitié _et c'est en effet un roman que je souhaitais lire_ mais plus encore, _le psychanalyste a pris la pas sur le romancier_ il m'apparaît comme la quête d'un  apaisement  improbable. Les vers de "La Servante au grand coeur" de Baudelaire, placés en exergue l'annonçaient d'ailleurs :

Et quand octobre souffle, émondeur des vieux arbres,
Son vent mélancolique à l'entour de leurs marbres,
Certes, ils doivent trouver les vivants bien ingrats,
A dormir, comme ils font, chaudement dans leurs draps,

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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 18:47

On peut en voir quelques pages ici :
 http://webcast-litteraire.sncf.com/pageflip.php?xmlfile=0901_le_photographe.xml

Une fois n'est pas coutume, c'est d'une bande dessinée que je m'apprête à parler. Certes, vous avez déjà noté le paradoxe : une BD intitulée Le Photographe, voilà un étrange mariage entre sixième et neuvième art !  Plus encore, le Photographe se décline en trois tomes comme s'il était un roman fleuve et pourtant il ne raconte JAMAIS de fiction !


Cette trilogie, comment la résumer ? Peut-être vaut-il mieux tenter un abécédaire :

A : Afghanistan, 1986
B : Brun, ocre, jaune : les couleurs de la plupart des dessins, un peu de rouge aussi.
C : Caravanes de transport d'armes entre Pakistan et Afghanistan
D : Dessin, il raconte le ressenti, le subjectif quand les photos montrent le réel
E : Emmanuel Guibert est le créateur des dessins dans cette BD
F : Facile à lire, ce reportage autobiographique est simplement chronologique.
G : La guerre qui oppose les Soviétiques aux Moudjahidin en 1986
H : hôpital de Palandara, construit pour les interventions de MSF
I :  interventions chirugicales réalisées par MSF dans des conditions très précaires.
J : Juillet 1986, départ du photographe pour sa mission en Afghanistan
K : Kandinissa, fillette de 10 ans morte après six mois de souffrance,victime d'un éclat d'obus
L : Lefèvre Didier, c'est le photographe dont on suit la trace dans sa mission en Afghanistan, il est décédé en 2007.
M : Médecins sans frontières, le photographe accompagne une équipe de MSF en Afghanistan.
N : Noirs et blancs, c'est ce qui caractérise toutes les photos présentes dans les trois livres
O : Off, la voix du narrateur qui se confond avec celle du photographe Didier Lefèvre.
P : Précaire, l'adjectif qui qualifie le mieux la situation des envoyés de MSF
Q : quinquonce, c'est ainsi que l'on transporte en camions les chevaux jusqu'aux montagnes. Plusieurs mouraient durant le voyage.
R : reportage, c'est le mot qui pourrait définir le genre de ces livres.
S : Silence : il y des pages de photos sans un mot.
T : traquer, c'est ce que font les hélicoptères russes, ils traquent les gens qui passent la frontière.
U : URSS ou Union Soviétique que combattaient en Afghanistan les Moudjahidin.
V : véreux, le policier pakistanais qui séquestre le photographe à la frontière.
W : Wakil, le député qui dirigeait une des vallées les plus pauves d'Aghanistan
X : xénophobie, c'est ce qui guette le photographe lorsque, traversant seul les montagnes pour retourner au Pakistan, il se sent en danger permanent.
Y : Yeh ! Yeh ! crient les Afghans pour obliger les ânes à avancer sur le col caillouteux.
Z : Zendabochi : Reste en vie (formule de politesse afghane)

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 18:57
Martin, jeune polonais juif, vit au ghetto de Varsovie avec sa famille durant la Seconde Guerre Mondiale. Il trafique et passe le mur de Varsovie du côté aryen pour que sa famille ne manque de rien et mange à sa faim . Il réussit plusieurs fois à se sortir de situations délicates en s'enfuyant .
Mais il se fait arrêter avec sa famille et est déporté à Tréblinka. Sa mère et ses frères sont immédiatement gazés . Martin, lui,
doit travailler, jeter des cadavres dans des fosses ...

Il réussit à s'échapper en s'enfuyant et en
se cachant sous un camion.

Une fois libre , il ne pense qu'à venger les siens . Il s'engage d'abord dans la résistance puis dans l'armée soviétique : L'Armée Rouge. Puis, il part aux Etats-Unis rejoindre la seule famille qui lui reste : sa grand-mère maternelle. Il rencontre Dina, son grand amour avec qui il a quatre enfants : Nicole , Suzanne , Charles et Richard. Il part ensuite s'installer dans le Sud de la France. C'est par un été de 1970 que sa femme et ses enfants périront dans un incendie .
J'ai trouvé cette autobiographie bouleversante et très touchante.
Je le recommande, avec un paquet de mouchoirs à côté de soi.

EXTRAIT
L'incipit- Chapitre 1 : Je suis né avec la guerre
Je suis né avec la guerre. Les sirènes ont hurlé, les bombardiers passaient au ras
des toits, leur ombre glissait sur la chaussée, dans les rues les gens couraient
prenant leur tête entre les mains. Je suis né avec la guerre : nous dévalons l'escalier vers la cave, les murs tremblent et le plâtre par plaques blanches tombe sur nos cheveux. Ma mère est toute blanche, mes yeux brûlent, des femmes crient. Puis s'établit le silence précédant les klaxons des pompiers et à nouveau les cris des femmes. C'est septembre 1939 : les mois de ma naissance véritable. Des quatorze années qui précèdent ces jours je ne sais presque plus rien. Je ne peux même pas fouiller en moi, je ne veux pas. A quoi bon rappeler ce temps de la douceur ? Nous courions dans les rues derrière les droshkas jusqu'à la place de la Vieille-Ville au coeur de Varsovie. Mon père me prenait par la main et nous allions jusqu'à l'usine. Les machines venaient d'Amérique : il me montrait, gravés dans l'acier, le nom de
la firme et la ville, Manchester, Michigan. Je marchais fièrement près de mon père entre les machines. Mon père passait un bas ou un gant dans sa main. Il me faisait déchiffrer la marque, 7777, notre marque, et nous étions les associés d'une grande usine, nous vendions des bas, et des gants dans toute la Pologne, à l'étranger, et j'avais aussi des parents aux Etats-Unis, une grand-mère qui habitait New York. Parfois, nous allions vers la Vistule en suivant les Allées de Jérusalem jusqu'au
pont Poniatowski. Nous traversions les jardins Krasinski. Des Juifs marchandaient entre eux. Ils me semblaient toujours vêtus des mêmes pardessus noirs, ils étaient pauvres. Mais je ne savais pas ce qu'était la pauvreté. Je ne savais même pas vraiment que nous étions juifs. Nous célébrions les grandes fêtes mais nous avions des catholiques dans notre famille. Nous étions entre les deux religions et mon père, grand, droit, avec sa main forte, me paraissait être à lui seul le début du monde.
Nous rentrions, je traînais dans l'Ogrod Saski, les derniers jardins avant la rue Senatorska. Chez nous. Mon père ouvrait la porte : je me souviens encore d'une odeur douce, des cris de mes deux frères. Ma mère était là et la table mise. C'était avant ma naissance, bien avant, une époque de beau temps qui s'acheva avec l'été 1939. Brusquement, la guerre. Mon père est en uniforme d'officier, il me prend par
les épaules et je me rends compte que je suis presque aussi grand que lui. Nous laissons ma mère et mes deux frères à la maison et nous partons, tous les deux,
vers la gare. Dans les rues tout est déjà différent : des soldats en groupes, des camions, les premières queues devant les magasins. Nous marchons côte à côte
sur la chaussée, épaule contre épaule, il ne me tient plus par la main : je suis un homme. Il m'a crié quelque chose de la fenêtre de son wagon que je n'ai pas
entendu et je me suis retrouvé seul dans la rue. Il me semble que c'est ce jour-là
que nous avons eu le premier bombardement : j'ai regardé les bombardiers
argentés à croix noire qui volaient bas, en formation de trois. - Rentre ici. Un policier polonais hurlait dans ma direction depuis un porche où s'agglutinaient des passants affolés. Je me suis mis à courir dans la rue déserte : il faut que je rentre chez moi,
je n'obéis à personne. Et je voyais mon père qui criait quelque chose depuis son wagon. Il faut que je sois aussi fort que lui. Ma mère m'a poussé dans la cave : le plâtre est tombé, nous étouffions, les femmes criaient et pleuraient. De la fenêtre
nous avons vu, après la fin de l'alerte, les premiers incendies, vers Praga, dans les faubourgs ouvriers.
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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 12:19
Titre: La prophétie des grenouilles
Auteur: Jacques-Rémy Girerd
Collection: Hachette Livre
Edition: Le Livre de Poche

J'ai bien aimé ce livre car il m'a fait penser à l'Arche de Noé.
Il y a quelques moments drôles comme quand les animaux sont entre eux et avec Tom, ses parents et Lili.

C'est l'histoire de Tom qui vit avec ses parents adoptifs, Ferdinand et Juliette.
Un jour il rencontre avec son amie Lili des grenouilles qui leur annoncent qu'il va y avoir un grand déluge.
Quand celui-ci commence, Ferdinand transforma leur grange en une vraie arche de Noé, et Tom, Lili, Juliette, Ferdinand lui-même et quelques animaux voisins y montèrent pour quarante jours et quarante nuits !

JR Girerd est un réalisateur de cinéma : il a écrit La prophétie des grenouilles pour en faire un film d'animation qui est sorti sur les écrans en 2003.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 21:01
 



Je n'ai p
as aimé le livre car Benjamin Pratridge se promène presque que dans la nuit et va voir les gens et frappe à leur porte pour leur donner des médicaments et pour les soigner . Je n'ai pas aimé ce livre.
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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 14:02
  • Titre : UN SECRET

  • Auteur : Philippe Grimbert

  • Éditeur : Grasset et Fasquelle

  • Genre : Roman autobiographique

L'histoire se déroule après la guerre 39-45. Le narrateur est un petit garçon, il est fils unique et il s'invente un frère. Louise, une vieille amie de ses parents, devient sa confidente, et elle lui revèle un lourd et bouleversant secret  : le frère qu'il invente s'appelle Simon et il a vraiment existé et il est mort au camp de concentration avec sa mère Hanna, la première épouse de Maxime. Le passé surgit d'un coup, le narrateur imagine Maxime et Tania, ses parents, vivant leur amour coupable .
Vous pouvez lire ici les premiers chapitres.

Ce livre a obtenu le prix Goncourt des Lycéens 2004. Il est inspiré de l'histoire personnelle de l'auteur, écrivain et psychanalyste, c'est un roman autobiographique.

Une adaptation pour le cinéma a été produite en 2007, réalisée par Claude Miller d'après le roman autobiographique de  Philippe Grimbert, avec: Patrick Bruel, Cécile De France, Ludivine Sagnier, Mathieu Amalric, Julie Depardieu, Nathalie Boutefeu, Eric Godon, Annie Grégorio, Amelia Jacob, Yves Jacques... (Sortie  le 03 Octobre 2007 )

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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 17:46
titre: Treize à la douzaine
Auteurs: Ernestine et Franck Gilberth
collection: folio junior
éditeur : Gallimard


Ce que j'aime bien: ce livre est bien, il raconte l'enfance des auteurs dans une famille de douze enfants. Cette famille de douze enfants a inventé un système pour se donner rendez-vous dans le salon : le premier arrivé reçoit la plus belle recompense et les onze autres en reçoivent une aussi mais moins belle ... et le livre raconte pleins d'autres aventures de cette famille. Ce que j'aime bien c'est que cette famille n'est pas comme les autres : le système est original.
Ce que j'aime moins: quand j'ai vu la première de couverture, je le pensais plus marrant que lorsque je l'ai lu.
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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 21:57
Titre : Mon amie, Anne Frank
Auteur : Alison Leslie Gold
Edition : Bayard Edition
Illustration de couverture : Pierre Mornet

Un jour de juillet 1942, Anne Frank, une jeune fille Juive d'Amsterdam disparaît avec toute sa famille. Son journal est devenu un témoignage majeur de la Seconde Guerre mondiale. Voici le récit de sa meilleure amie, Hannah Goslar, qui, elle, a survécu à l'Holocauste. A travers ce nouveau témoignage, le lecteur va découvrir l'amitié de deux enfants juives pendant la guerre; les humiliations et les souffrances infligées par les nazis, et, dans l'horreur quotidienne des camps, un intense moment d'espoir.

Ce livre m'a beaucoup plu, le récit est très intéressant et en rapport avec notre programme d'histoire. Ce roman aide les lecteurs à mieux connaître Anne Frank et à reconstituer son histoire, avant pendant et après la guerre. Ce livre m'a permis de comprendre le fonctionnement des nazis avec les juifs pendant le Seconde Guerre Mondiale et aussi de voir les conditions de vie dans lesquelles les prisonniers vivaient dans les camps de concentration.
Je recommande ce livre à ceux qui sont intéressés par l'histoire d'Anne Frank et de son entourage. C'est un bon livre aussi pour découvrir l'horreur quotidienne que vivaient ces personnes, toujours dans la peur et l'angoisse de se faire arrêter. Il est intéressant et passionnant mais peut-être parfois un peu dur par les événements qui s'y déroulent.


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