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6 février 2018 2 06 /02 /février /2018 13:29

Du tout au tout est un roman poétique, satirique, dystopique et magnifique si ce n'est les

écarts langagiers qui jonglent entre le familier et l'argotique. Certes, dans la tradition rabelaisienne, c'est là une langue qui peut faire merveille et même qui donne au roman sa singularité mais cela l'exclut je le crains des CDI et des cours de lycée où pourtant il aurait sa place. En effet, on peut considérer Du tout au tout comme une réécriture de L'Écume des jours à bien des égards : l'univers des quatre-vingts premières pages rappelle celui de Colin : celui-ci est devenu Pierre Pierre mais c'est la même simplicité onomastique et le même portrait lisse et policé. Si Colin est riche et oisif, Pierre n'est ni l'un ni l'autre mais tous deux ont de la chance en dépit de leur maladresse : ici Pierre Pierre qui traînait sur un banc comme les "clodos qui cocotaient l'eau de Cologne" et dont "les cheveux étaient propres comme ceux d'une communiante", la "peau rosée", les "ongles faits"... Pierre Pierre, donc, rencontre César de la Mer, fondateur et patron du Poséidon et se fait engager. Colin a des souris gentilles et empathiques, Pierre Pierre a un chat, Mohair qui gonfle de bonheur quand le monde est à l'harmonie, Colin rencontre Chloé, Pierre Pierre rencontre Isis mais un jour Chloé est victime du nénuphar, mais un jour César de la Mer se retire au cimetière des bateaux, vieux et ruiné. Alors la DRH commet l'irréparable et tout de dégrade, les esthètes du Poséidon sont remplacés par les datas et par les mails des bazoomails de l'entreprise qui désormais est celle de Vulcain, Isis y perd son âme et celle de César s'échappe par toutes les fissures de la bâtisse qui de forme ovoïde est de devenue pyramidale, Mohair est devenu si petit que Pierre Pierre le transporte dans un tube.

Dès lors le roman se fait critique d'une société dans laquelle on reconnaît bien des défauts de la nôtre. Un exemple, p 253 : "On était quatre cents salariés du temps de César. En trois mois, tu sais à combien on est passé ?

_ Trois cents. Moins 25% d'effectif en un trimestre. Par contre, on a trois cents contrats pro.

_ Un par personne. Pour s'en souvenir, c'est du nougat. Ça vient d'où cette mode ? On est tombé sur une ruche ?

_ Le nouveau code du travail. Plus on exploite les mômes, moins on paie d'impôts. Tu parles que c'est pas passé à la direction... On les prend, on les lessive, on les essore et on les jette. Pauvres gosses... "

C'était mon premier roman d'Arnaud Le Guilcher, j'y reviendrai, c'était un très bon moment.

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21 novembre 2017 2 21 /11 /novembre /2017 19:18

Paris, rue du Rendez-Vous, Franprix, caisse 4. Ici, le vendredi matin est un point

d’intersection entre 3 chemins de vie : la caissière, l’homme sombre et notre narratrice observatrice. De cette rencontre hebdomadaire ressort des éléments de leur passé, de leur présent. Jeanne raconte. Premièrement, elle imagine à partir de ce qu’elle voit : une photo qui s’est égarée, des courses suggestives. « J’ai l’œil, je n’oublie à peu près rien, ce que j’oublie, je l’invente. » Puis, peu à peu, elle remonte leur histoire en alternant avec la sienne. La vieille femme découvre beaucoup de choses au sujet de ces deux personnages tout au long du livre.On devine un point commun entre eux : la solitude.

            La façon d’écrire de l’auteure rend la lecture de ce récit très agréable. Du fait qu’il n’y a pas de schéma narratif ordinaire, ce livre ressemble plus à un journal intime, ce qui nous rapproche de la narratrice. L’alternance entre la vie de Jeanne et celle des autres facilite la lecture. En effet, malgré le fait qu’il n’y a pas de chapitre, c’est fluide et on ne reste pas trop longtemps à parler de quelqu’un, ce qui pourrait devenir ennuyant. J’ai lu dans ce livres de jolies figures de style et je trouve qu’il a un côté poétique. C’est essentiellement narratif, descriptif. De ce fait, la moindre chose hors norme qui se passe, tel que la caissière qui sort de sa cabine, devient un exploit et le rythme du passage accélère.

            Le thème choisi par l’auteure est la solitude. C’est un fait social intéressant et elle le traduit bien dans son roman qui a pour cadre spatio-temporel la ville de Paris, de nos jours. Lorsque qu’un personnage parle (ou parlait si c’est un souvenir), aucune des règles du dialogue que l’on apprend à l’école n'est appliquée. La phrase est insérée dans le texte. « Gordana, […] s’employait à soulager l’angoisse du chien en lui répétant, dans un français rogue et chantant, n’aie pas peur Nino elle est revenue voilà, elle est revenue Nino la voilà n’aie pas peur. » Tous les personnages présentés sont, ou ont été seuls, en passant même par Jeanne la narratrice. Ce récit traite aussi des inégalités sociales et de l’immigration à travers ses portraits : « Si elle était née en France, en Allemagne, ou en Angleterre, en Italie même, si elle était née du bon coté, elle aurait été réparée. ». Les histoires sont aussi touchantes les unes que les autres.

            Ce livre m’a cependant moyennement plu car je suis plus amatrice de récits fantastiques et le cadre de l’histoire était trop monotone pour moi. Cependant je l’ai trouvé facile car on peut faire une pause à tout moment. Si vous recherchez une lecture calme, ce livre a été écrit pour vous !

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16 mars 2016 3 16 /03 /mars /2016 10:55
Le Clézio JMG, Désert

Lire Désert c'est se laisser charmer par la poésie de la langue de Le Clézio : "Ils sont apparus, comme dans un rêve, au sommet de la dune, à demi cachés par la brume de sable que leurs pieds soulevaient. Lentement, ils sont descendus dans la vallée, en suivant la piste presque invisible. En tête de la caravane, il y avait les hommes, enveloppés dans leurs manteaux de laine, leurs visages masqués par le voile bleu..." (p 7) "C'est l'eau qui est belle aussi. Quand il commence à pleuvoir, au milieu de l'été, l'eau ruisselle sur les toits de tôle et de papier goudronné, elle fait sa chanson douce dans les bidons, sous les gouttières..." (p .160) ...

Lire Désert c'est se laisser entrainer par les destinées de deux héros, Nour et Lalla, dans deux histoires parallèles, à deux époques différentes :

Nour est un jeune garçon qui en 1909/1910 arrive dans la vallée de la Sagiet el Mamra remontant du Sud Saharien dans une longue caravane de Touaregs fuyant l'invasion franco-espagnole. Avec Nour, nous suivons la lente progression de la caravane unie autour d'un chef charismatique, Ma el MaÏdine jusqu'à l'ultime bataille d'Agadir en 1912. La défaite était prévisible dès les premières pages. L'histoire de Nour et des hommes bleus de la caravane semblait vouée au désastre, "Peut-être que c'était ainsi que les choses devaient de passer, pensait Nour." (p 431)

Lalla est une jeune fille, une orpheline qui descend des "hommes bleus" du Sud Saharien. Elle vit dans une époque moderne non datée, dans "La Cité" un bidonville situé à la lisière du désert. Elle y passe une enfance heureuse malgré le dénuement mais le jour où elle s’aperçoit qu'elle ne pourra pas échapper à un mariage arrangé, elle s'enfuit. On la retrouve à Marseille où elle côtoie la misère des prostituées, des émigrés et des exclus. Mais "elle danse, pour partir, pour devenir invisible, pour monter comme un oiseau vers les nuages. Sous ses pieds nus, le sol de plastique devient brûlant, léger, couleur de sable, et l'air tourne autour de son corps à la vitesse du vent..." p 355 et elle retrouve finalement son pays d'enfance.

Lire Désert c'est aussi se familiariser avec l'histoire de ces peuples Sud Sahariens, une histoire de la résistance des Touaregs organisés autour de Ma el Aïnine face à l'invasion franco-espagnole et à la colonisation et puis un jour de 1910 "Le "fanatique" est acculé, d'un côté à la mer, de l'autre au désert. Le vieux renard va être obligé de capituler. N'a t-il pas été abandonné de tous ? Au Nord, Moulay Hafid a signé l'Acte d'Algésiras, qui met fin à la guerre sainte. Il accepte le protectorat de la France. Et puis, il y a eu la lettre d'Octobre 1909, signée du propre fils de Ma el Ainine, Ahmed Hiba, celui qu'ils appellent Moulay Sebaa, Le Lion.." se rassure l'observateur de l'armée du général Moinier à la veille du grand combat. Sombre et complexe histoire des "hommes bleus" du désert.

J.Bicrel

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L’œuvre romanesque Désert a été écrite par J.MG Le Clézio en 1990. Désert est sa 4ème œuvre principale et il a reçu le prix Nobel en 2008. Le Clézio est un romancier, nouvelliste et essayiste français, et précisément breton. Il a actuellement 76 ans. Désert est un roman tragique et descriptif.

Dans cette œuvre on trouve deux enfants-héros : Nour un garçon et Lalla une jeune fille.

Nour vit dans une caravane. C’est un garçon très observateur, particulièrement d’une certaine Ma el aïnine. Un jour il part avec les hommes bleus guidée par Ma el aïnine en direction d’une ville sainte. Mais ils sont poursuivis par les chrétiens et de nombreuses personnes mourront dont Ma el aïnine. Suite à cela Nour devient ami avec un soldat aveugle : «la main du guerrier aveugle le poussait en avant ». Nour continue la marche avec les survivants du massacre par les chrétiens et ils arrivent à la terre sainte : la ville promise. Arrivés là-bas, les survivants se font tuer par les chrétiens, il ne reste que Nour qui n’a pas été tué. Il retourne donc chez ses parents dans une ville voisine, où ils étaient restés. En En parallèle, Lalla est une orpheline qui vit dans un bidonville au Maroc avec sa tante, où elle est heureuse « tout le monde est très pauvre et personne ne se plaint jamais ». La vie là-bas lui plait : » il y a la promenade, l’eau de la fontaine, le feu, le bain, le marché et la fête ». Lalla est de religion musulmane. Elle est amie avec un jeune berger muet qui se nomme « le Hartani », elle va voir en secret Es Ser (« le secret »), c’est un homme mythique dont le corps est bleu. Elle va également rendre visite à Naman, un pêcheur âgé qui lui raconte des histoires sur des villes sur la côte méditerranéenne, comme Malaga en Espagne et Marseille en France. Sa tante ayant du mal financièrement pour nourrir ses fils et sa nièce, Lalla travaille mais celle-ci ne rapportant pas assez d’argent, Amma , sa tante, décide de la marier à un homme fortuné. Mais Lalla n’étant pas en accord avec ce mariage, elle décide de s’enfuir de chez sa tante, et se réfugie chez le pêcheur, qui meurt peu après. Elle va donc rejoindre Le Hartini. Lalla tombe enceinte du berger, et part en direction de Marseille où habite désormais Amma, une ville qu’elle connaissait par le pêcheur. Amma vit dans un quartier pauvre, et Lalla travaille comme femme de ménage. A Marseille, Lalla fait la rencontre d’un jeune mendiant, avec qui elle fera la rencontre d’un photographe. Celui-ci l’embauche comme mannequin. Avec tout l’argent qu’elle gagne et après la mort de Radics, le mendiant, elle repart dans le désert au Maroc, son pays natal. C’est là-bas qu’elle met au monde son enfant.

Ce roman est structuré de façon binaire, « le bonheur » qui se passe au Maroc et « la vie chez les esclaves » qui se passe à Marseille, en France. Il exprime les émotions et les sentiments d’une adolescente. A chaque fois qu’il y a quelque chose de nouveau qui intervient dans l’histoire, comme l’arrivée d’un nouveau personnage ou même un changement d’endroit, l’auteur nous le décrit comme pour nous faire l’imaginer dans les moindres détails et pour nous plonger dans l’univers des personnages : « il a de beaux cheveux très noirs et raides, et la peau cuivrée. Il a des yeux verts, et une petite moustache comme une ombre au-dessus de ses lèvres. Il a surtout un beau sourire(…) il porte un petit anneau »

J’ai assez apprécié le livre, mais il était difficile à mon goût à la compréhension et au suivi du fil conducteur de l’histoire, notamment par les longues descriptions mais aussi le caractère de l’écriture dont je n’ai pas l’habitude dans mes autres lectures. Ce livre m’a fait penser à Mariage de force de Leïla dont j’ai entendu parler, par rapport à l’homme qui lui est destiné par sa famille. Lalla et Leïla, qui raconte son autobiographie, s’opposent à leur mariage et s’enfuient.

Doriane B, 1STL

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12 février 2016 5 12 /02 /février /2016 17:23
Lafontaine, Hugues, La Princesse de Sant Julia

Je remercie Babelio pour ce roman publié en 2012 aux Éditions Chemins de Tr@verse, collection Histoires d'histoire. C'est l’oeuvre d'un professeur d'histoire formé à l'université de Rennes mais installé ensuite à Andorre et passionné par l'histoire de la principauté.

Il s'agit d'un roman aux personnages tout à fait romanesques et au cadre pittoresque qui n'est pas sans rappeler le pittoresque de Colomba ou de Mateo Falcone. Mais ces personnages romanesques évoluent dans le contexte historique de la guerre d'Espagne puis dans celui de la guerre 39/45 et la principauté est alors truffée d'espions de tous bords et traversée en toutes parts par les passeurs clandestins.

Sans doute la part du romanesque qui nous conduit presque jusqu'au trésor des Aztèques est-elle trop grande pour que celle de l'histoire soit réellement édifiante, sans doute l'écriture sans vraiment de relief est-elle trop lisse pour être marquante mais il n'en reste pas moins que ce roman fait découvrir un pan d'histoire souvent ignoré et que l'intrigue conduite avec divers rebondissement est accessible pour de jeunes lecteurs, dès 13 ou 14 ans, je pense.

extrait : "Alors le jeune franquiste, qui dit à voix forte s'appeler Ernesto d'Organya, fils de Jaume Iniacio, commanda du vin pour tous, et il le servit lui-même, passant de table en table. Tous les hommes, et même quelques femmes, levèrent leur verre pour l'Espagne, ce qui n'engageait à rien sinon à trinquer avec lui pour ce pays que tous aimaient, même s'ils ne l'aimaient pas de la même façon. Tous, même les soldats qui ne rechignaient jamais à lever leur verre, tous sauf Roberto. Je le vis du coin de l'oeil qui posait sa main sur son verre à eau. L'autre fronça ses gros sourcils et son oeil droit se ferma, laissant le gauche s'offusquer." (p. 78/79)

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20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 14:13
Librini François, 120 ans plus tard

Titre: 120 ans plus tard.

Auteur: François Librini.

L’éditeur: Oskar jeunesse.

Illustration de la couverture: Hélène Swynghedauw.

Le Genre du Roman: Policier, Aventures.

Alexandre Guérini et ses parents quittent Paris pour aller s’installer en Auvergne à Montbeyssoux dans la maison dont ils viennent d’hériter qui appartient à leur famille depuis plus de cent ans. Ils reçoivent dès leur arrivée des lettres anonymes. Les parents d’Alexandre ne se posent pas de questions, ils disent que ce sont certainement des gens qui s’amusent à leur faire peur pour les faire partir. Mais Alexandre se pose des questions. Quelques jours avant la rentrée, Alexandre rencontre Julien, un garçon du même âge que lui qui est tellement plus gentil que tous les autres habitants de Monybeyssoux, mais vu la réaction que les parents de Julien ont quand ils apprennent qu’il habite à la Bournerie, quand Julien l’invite chez lui à prendre le goûter, Alexandre se pose vraiment la question : peut-il compter sur Julien ? Le jour de la rentrée, Julien ne parle pas à Alexandre de la journée et laisse la bande de Stéphane Faure le traiter d’assassin. Mais Julien et Alexandre se voient en cachette et c’est avec lui qu’Alexandre décide de se lancer dans une enquête pour savoir pourquoi son arrière-arrière grand-père était un assassin. Julien sera choqué par la révélation de son enquête.

Alexandre est un enfant calme, mystérieux, très habile enquêteur. Il a des idées plein la tête. Il a un rôle d’enfant mais aussi d’enquêteur, on dirait un adulte. Il a un comportement très correct, il est bien élevé mais il a de mauvaises relations au collège. Julien est un grand ami pour lui.

Extrait choisi : « Asseyez-vous, dit-elle, je vais vous chercher de quoi goûter ! Monsieur Faure entra à son tour. Sous son air sévère et sa moustache drue se dessina un léger sourire lorsqu’il salua le nouvel ami de son fils.

–Alors, Alexandre, tu es nouveau au village ? demanda la mère de Julien en remplissant les verres de jus d’orange.

–Oui madame. On habitait à Paris avant. On est arrivé ici il y a trois semaines.

–Et que font tes parents ?

–Papa est traducteur. Il travaillait dans un cabinet à Paris. Maintenant, il s’est mis à son compte, et il envoie ses traductions par Internet.

_ Et ta mère ?

–Elle est infirmière à l’hôpital d’Issoire.

– Alors, vous avez fui la grande ville pour venir goûter au calme à la campagne, si je comprends bien.

–C’est ça, disons que… Mon grand père est mort il y a quelque mois, et mon père a hérité de sa maison ici. Il a dû faire de gros travaux parce qu’il parait que ça faisait plus de cent ans qu’elle était inhabitée.

–Cent ans !

–Oui, et il y en avait du boulot !

– Je veux bien te croire ! Et elle est où cette maison ? demanda madame Faure tout en se dirigeant vers la cuisine.

–Au bard du ruisseau, un hameau où il n’y a qu’une seule maison et qui s’appelle… La Bournerie. »

L’illustration correspond bien à l’histoire elle nous rappelle quand Julien et Alexandre se rejoignaient dans leur petit trou, leur cachette.

J’ai bien aimé ce livre parce que je n’ai pas eu trop de mal à comprendre, j’ai plutôt facilement compris et je suis vite rentrée dans le livre. C’est un livre hyper intéressant parce que cela montre qu’il a des gens qui parlent sans savoir la vérité, je dirais des personnes qui ne savent mais sont obligées de suivre les autres alors qu’ils ne savent pas la vérité. J’ai bien aimé ce livre.

Romane, 4D, décembre 2015

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18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 19:40
Lenain Thierry, La Fille du canal

Auteur: Thierry Lenain
Titre: La Fille du canal
Collection: Pocket Jeunesse
Édition: Pocket Junior
Genre: roman
Mon livre parle d'une enfant, Sarah, qui est un peu différente des autres. Cette histoire se déroule après les fêtes de noël et du nouvel an et dans un lieu non précisé, mais on sait qu'il y a un canal dans cette ville. Sarah se balade dans une rue et pourtant il fait froid et Sarah a le manteau ouvert, l'écharpe qui ne lui protège pas le cou, elle ne réagit même pas au froid. Sa maitresse écrit tous les jours dans son journal (peut-être intime) et ce jour-là elle note : "Sarah a l'air différente des autres et un peu seule comme fille ".

Un jour, Sarah a vu le canal de la ville glacé et depuis Sarah n'est plus la même. Un soir, elle rentre chez elle et prend sa poupée et avec un briquet elle la brûle un petit peu mais assez pour qu'elle noircisse. Elle veut ensuite acheter une nouvelle poupée et se couper les cheveux courts comme un garçon. Le soir même sa mère lui dit une super nouvelle : « Sarah, ton professeur d'art plastique m'a informée d'un concours, veux-tu le faire ? » Sarah refuse. Sa mère s’énerve car Sarah ne va jamais au bout de ce qu'elle fait. Le dialogue entre son père et elle ne passait pas très bien or avec sa mère il passe mieux en général. Sa maitresse devait vraiment affectionner Sarah car toutes les deux minutes, elle voulait lui poser une question. Puis elle se rend compte que Sarah et elle se ressemblent vraiment. Son prof d'art plastique lui demande de poser pour la peindre mais à moitié nue puis sa maitresse arrive et le monde s'arrête sauf pour Sarah et sa maitresse.

Sarah reprit « demain l'eau du canal coulera ».

Pierre B, 4D, décembre 2015

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 12:28
Lorient Frédérique, La Corde rouge

Nom et prénom de l’auteur : LORIENT Frédérique

Titre : La corde rouge

L’éditeur : Rageot romans

L’illustrateur de la couverture : Jaouen SALAUN

Genre du roman : aventure, amour, intrigue et alpinisme.

Résumé du roman

Cette histoire se déroule à Chamonix dans les Alpes au 21ème siècle. Lucille est une lycéenne qui a deux frères : Marius le plus âgé qui veut devenir guide comme son père et Gaspard qui lui a du mal à trouver sa place. C’est une famille d’alpinistes. A la rentrée, Lucille se fait une nouvelle copine qui s’appelle Bérénice, elle est belle, elle vient de Strasbourg. Ses parents viennent de reprendre un camping. Gaspard est amoureux d’elle mais il n’ose pas le lui dire. Un jour Lucille, Bérénice, Gaspard et ses parents partent faire une sortie randonnée. Marius et un copain sont partis de leur côté. Une tempête s’annonce car des nuages commencent à se former. Marius et son copain sont restés coincés dans cette tempête. Lucille et ses parents sont très inquiets. Après cet événement, Gaspard embrasse Bérénice quand ils se retrouvent au cinéma. Un jour, Gaspard l’embrasse et Bérénice tombe car elle est allergique aux arachides. Il venait de manger des m&m’s. Bérénice va à l’hôpital. Gaspard est déprimé car il se dit qu’il l’a tuée. Il part de la maison. Alors Marius et Lucille essaient de le retrouver.

Description d’un personnage

Gaspard un jeune homme est le frère de Lucille sa petit sœur et de Marius son grand frère. Il est au lycée. Il n’aime pas beaucoup les randonnées ni ranger dans la maison de ses parents. Gaspard se sent rejeté et se dispute très souvent avec son père ou son frère Marius qui est brillant et intelligent. Gaspard aurait bien voulu que son frère meure dans la tempête. Il est amoureux de Bérénice Zimmer car il la trouve très belle. Il est aux petits soins pour elle.

Extrait du roman

« - Marius et Julien sont perdus quelque part sur le Mont Blanc, explique ma mère. On ne les voit plus à la longue-vue depuis longtemps.

-Tu crois…

Les mots ont du mal à sortir de ma bouche :

-Tu crois qu’ils sont tombés dans une crevasse ?

- Non crie ma mère. Ne parle pas de ça ! Je viens de te dire qu’ils sont perdus ! Personne ne les a vus tomber !

- Les secours sont partis ?

- Impossible. Là-haut le temps est affreux. En plus ils n’ont plus de téléphone et on ne peut pas les localiser.

Ma mère se tait. Ses lèvres tremblent, comme si elles priaient toutes seules.

Je bondis vers elle :

-Alors, y a pas eu d’accident encore, maman ?

Ma mère passe les mains sur son visage.

-Non… Pas encore… On ne sait pas… Mais il ne faut pas se leurrer. Tout peut arriver.

- Où est papa ?

- Il est en train de monter au refuge avec Patrick Morel. Ils veulent partir à leur recherche. Mais le mauvais temps va les rattraper, c’est sûr…»

Ligne 1à 25, page 45 et 46, chapitre 5.

Avis

J’ai choisi se passage car il y a de l’action et du suspense car Marius et Julien sont perdus dans la montagne avec un mauvais temps. Lucille et sa mère sont inquiètes pour eux. Elles se font des idées sur ce qui pourrait leur arriver. On ne sait pas ce qui va se passer car le suspense est maintenu par le narrateur. C’est une course contre la montre car si les secours n’arrivent pas à les retrouver ils vont sûrement mourir.

Description et avis sur l’illustration de la couverture

Sur l’illustration de la couverture on voit deux personnages. Je suppose que ce sont Marius et Julien car ce sont des garçons et ils sont grands. On voit aussi la montagne et de la neige derrière eux. Les garçons sont équipés d’un matériel d’alpiniste et on peut voir la corde rouge qui les relie. Sur une paroi d’un rocher on voit un visage. Celui-ci pourrait être celui de Bérénice. On découvre pour finir des nuages gris qui commencent à se former.

J’aime bien l’illustration car elle est en couleur et les dessins sont bien fait, on voit bien ce que ça représente. On suppose qui va se passer quelque chose d’anormal dans cette cordée.

Avis sur le livre

J’ai bien aimé ce livre car il est simple à lire et il donne envie de savoir ce qui se passe après. Les chapitres sont réguliers, un long et un court. L’histoire n’est pas trop vieille donc on la comprend mieux. Il y a du suspense car on se demande ce qui va arriver à Marius et Julien. Après la tempête on se demande ce qui va se produire avec Gaspard et Bérénice. Je le conseille aux autres.

Thibault G, 4D Décembre 2015

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 11:17
Lorentzen Birgitte, À la folie

L’auteure : Birgitte Lorentzen

Titre du livre : À la folie

Collection : Bayard Jeunesse

Illustrateur : Harvez Macauly-imperiet

Genre de roman : fantastique

L’histoire commence dans la chambre de Luisa, surnommée Loulou. Depuis quelques temps elle reçoit toutes les nuits la visite d’une petite fille qui l’empêche de dormir, un esprit dit-elle. Aucune nuit ne se passe sans la visite de cette petite fille qui demande de l’aide mais impossible pour Luisa de l’aider car elle ne la voit pas. Luisa est perdue et terrifiée, elle n’ose se confier à personne. Jusqu’au jour où elle va rencontrer Thomas un beau garçon de la section P, tout le monde croit qu’il est fou car il est le seul à voir les fantômes, y compris celui qui rend visite à Luisa. Loulou et Thomas vont se rapprocher de plus en plus et feront des recherches sur le fantôme nommé Rosa. L’histoire de Rosa s’éclaircit un peu plus pour Thomas et Loulou, ils vont vite comprendre qui est Rosa et pourquoi elle est là. Ils vont rencontrer une certaine Ruth qui va les aider un peu plus sur cette histoire. Luisa est obligée d’affronter toutes ces épreuves si elle veut que cette histoire s’arrête.

Mais cette visite chez Ruth ne suffira pas pour bien comprendre ce que veut cette Rosa. Thomas et Luisa iront à la recherche du petit frère de Rosa un survivant du bombardement dont ils ont été victimes Rosa et lui, explique t-il à Luisa et Thomas. Grâce à la rencontre Luisa et Thomas vont réussir à se débarrasser de ce fantôme.

Luisa surnommée Loulou est une adolescente timide, elle reçoit une visite d’un fantôme dans sa chambre, cela la fragilise peu à peu. Elle a une sœur, Julia et sa mère. Elle a aussi une meilleure amie qui s’appelle Stella, et son amoureux Thomas.

Extrait choisi : « Je me rends bien compte que la plupart des ces symptômes correspondent bien à ceux dont souffre Thomas. Mais moi aussi, j’en ai certains… Je veux dire ; moi aussi, je perds parfois contact avec la réalité et j’ai l’humeur très changeante. Sans parler de mes hallucinations…

Je ne suis qu’une adolescente en pleine « crise existentielle », paraît-il. Je n’ai pas à m’inquiéter. Alors pourquoi n’est-ce pas la même chose pour Thomas ?

Parce que ça se manifeste de façon plus violente chez lui ? Il n’a pas de mère à qui se confier, lui… Ca m’a soulagée de tout raconter à la mienne ! Thomas n’a qu’un geek de père, sans doute capable de démontrer le théorème de Pythagore dans son sommeil, mais qui ne doit pas savoir épeler le mot « sentiment ». Enfin, à mon avis.

Parfois, je ne sais pas ce qui vaut mieux. Etre un vrai psychotique avec des hallucinations incroyables ou être comme moi, un zombie terne et insensible, qui traîne lamentablement sa carcasse, jour après jour ?

Je sais bien que j’avais peur du temps où Rosa m’apparaissait dans mon imagination…et où Thomas faisait partie de ma vie.

J’ai choisi ces 15 lignes la du livre parce-que on voit que Luisa croit qu’elle aussi devient à cause de cette histoire car c’est dur. Mais elle ne perd pas espoir !

L’illustration de la couverture du livre correspond à l’histoire car on observe une cage bleue vide qui est la cage de son oiseau qui s’est échappé et on voit aussi une fille allongée aux cheveux bruns qui représente Rosa, le fantôme.

J’ai beaucoup aimé ce livre car dès le début de l’histoire on est dedans, l’auteur a je trouve bien commencé l’histoire pour nous donner envie de lire la suite. Il se passe toujours quelque chose de nouveau et nous avons envie de savoir la suite. Ce livre m’a donné des frissons car j’aime beaucoup les histoires de fantômes, d’esprits… Ce livre est à présent devenu mon préféré ! Romy, 4A, décembre 2015

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14 décembre 2015 1 14 /12 /décembre /2015 22:39
LABORDE, Chantal, 24 heures pour tout changer

Auteur: Chantal LABORDE

Titre: 24 heures pour tout changer

Editeur: Flammarion

Collection: Castor poche

Illustrateur: Stan et Vince

Genre: Roman fantastique et aventure

C'est l'histoire fantastique de Benjamin Lalande, un collégien. Benjamin est en troisième, il est le premier de sa classe, il est amoureux de Chloé Delfon dans sa classe. Il a deux vieilles amies Rose et Albine. Alors que Benjamin était confiant pour son épreuve de français il était épouvanté lorsqu'il a lu l’épreuve. Il rentra chez lui puis alla chez ses deux amies. Il parla de son épreuve de français ratée puis les deux vielles amies pour l'aider lui offrirent en cadeau une mobylette rafistolée et peinturlurée, Alphonsine. Sur la route du retour Alphonsine fit un drôle de bruit puis accéléra soudainement. Tout à coup et contre sa volonté les 24 dernières heures de sa vie défilèrent à l'envers (Benjamin a remonté le temps d'une journée grâce à Alphonsine). Il se ressaisit et rentra chez lui. Il repassa toute la journée comme il l'avait passée en changeant quelques éléments. Il voulut recommencer encore une fois. Cette fois encore il repassa la journée en modifiant certaines choses. Un jour alors que tout allait bien, une voiture rentra dans Chloé Delfon . Pris de panique il remonta le temps une dernière fois pour la sauver. Il revint à l'époque espérée, il repassa toute la journée normalement et juste avant que la voiture ne la renverse, il lui demanda de venir avec lui à l'écart, et la voiture passa .Donc elle fut sauvée.

Benjamin Lalande

Rôle: Benjamin a le rôle principal dans cette histoire . C'est lui qui fait intervenir Alphonsine (élément fantastique). Benjamin joue aussi le rôle du souffre-douleur.

Aspect: Benjamin est plutôt petit, faible, binoclard, non sportif.

Caractère: Benjamin est un petit peu lâche, il est intelligent, il aime être seul, il est timide.

comportement: Benjamin a un comportement exemplaire, fier; amical, gentil, amoureux.

relations:

Sa famille: Il y a sa mère Cécile Lalande son père Monsieur Lalande et son frère Ludovic Lalande .

Ses amis: Il y a David , Rose et Albine .

son amoureuse: Il est amoureux de Chloé Delfon

« Il écouta attentivement le bruit du moteur. Il tournait en rond, mais à la manière d'un appareil ménager. Bizarre ! Toutefois « la brave petite fonçait à bonne allure ». Aucune idée de la vitesse, puisque l'engin en était dépourvu de compteur. S'il se faisait arrêter par les gendarmes, son compte était bon . Il n'avait pas quatorze ans, et il relevait probablement une dizaine d'infractions sur la mobylette. La route devint meilleure et plus droite. Soudain, Alphonsine eut un autre hoquet et passa à la vitesse supérieure. Il n'avait pourtant touché à rien ! De plus en plus bizarre... A présent, les bas-côtés défilaient à tout allure, comme défilait le cours sinistre de ses pensées... Contre sa volonté, les vingt-quatre dernières maudites heures se déroulaient sous ses yeux : la mocheté qu'il chevauchait maintenant, malgré lui , le départ des deux sœurs, sa fuite devant ses camarades, l'air déçu de Chloé et l'abandon de David. Le poète aux idées débiles : un copain des frangines. Dans le genre d'Alphonse le chéri de ces dames. Le trac qui l'avait paralysé devant sa copie. Et pour finir, la soirée de la veille placée sous le signe du rugby et la promesse de Booster... plus il remontait le temps plus il creusait le gouffre de ses désillusions. »

Si j'ai choisi ce passage c'est parce que Benjamin utilise Alphonsine pour la première fois (élément fantastique dans l’histoire) parce que c'est une des étapes de l'intrigue fantastique: l'épisode central : l'affrontement avec les forces surnaturelles autrement dit l'un des passages les plus importants de l'intrigue fantastique.

La couverture du livre:

Sur la couverture du livre on voit garçon sur une mobylette. Le garçon est en train de conduire la mobylette. On voit qu'il fait nuit, on voit la lune surdimensionnée .Sur la couverture du livre on voit une mobylette ce qui correspond à Alphonsine et Benjamin. Je pense que la couverture du livre correspond bien à l'histoire car tous les éléments de la couverture sont retrouvés dans l'histoire.

Ce que j'ai aimé dans ce livre : C’est la mise en page avec une police d'écriture qui n'est pas trop petite, elle est espacée. J'aime l'élément fantastique et le personnage principal et l'histoire est plutôt intéressant.

Ce que je n'ai pas aimé dans ce livre: A la fin de l'histoire il reste trop de suspense à mon goût, le phénomène fantastique a, je pense, été répétée une fois de trop ce qui donne des répétitions, l'histoire est un petit peu courte.

Dara, 4A, décembre 2015

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 14:44

Jack LONDON

L'évasion de la goélette et d'autres histoires de mer

Gallimard Jeunesse

Voyage en page

Ce recueil contient :

  • L'évasion de la goélette
  • À l'abordage
  • Une incursion chez les pilleurs d'huîtres

L'évasion de la goélette

L'histoire se passe sur la mer dans un bateau appelé la « Mary Thomas » . Les principaux personnages sont :

  • L'avocat
  • Jack
  • Le Capitaine
  • Bub

L'avocat est une personne qui est plutôt sympathique en défendant un de ses camarades : « Ça va, Jack, repartit l'Avocat. C'est son droit. Il risque de perdre sa paie, comme n'importe lequel d'entre nous. »

Jack est un peu grincheux : « Quand les anciens parlent, un morveux de ton espèce doit se taire, protesta de sa couchette un matelot anglais. » (Jack)

Le capitaine est une personne qu'on entend moins, le narrateur explique ses émotions dans ce passage du texte : « À cet instant le capitaine de la Mary Thomas évoquait avec une netteté singulière sa petite maison de Californie, sa femme et ses deux gamins blonds ; dans sa gorge une étrange sensation d'étouffement lui fit craindre d’éclater en sanglots s'il essayait de prononcer une parole. »

Bub est un gamin assez inoffensif le narrateur montre qu'il aime bien aider les gens : «Bub ne raisonna pas davantage. Il rampa jusqu'au câble, ouvrit son couteau et se mit à la besogne. La lame ne coupait guère et il sciait lentement les fils l'un après l'autre. À chaque effort lui apparaissait de plus en plus terrible la perspective de l'exil en Sibérie qu'il lui faudrait endurer tout seul. Un tel destin partagé avec ses camarades était déjà redoutable, mais l'affronter seul lui apparaissait odieux. »

Extrait représentatif : J'ai choisi ce passage car je trouve qu'il montre le début de l’évasion de la goélette. Page 25

« Que se passe t-il sur la Mary Thomas ? Bub se posait toutes sortes de questions. Un fait lui paraissait certain : ses camarades, abandonnant leur passivité, se rendraient maîtres de l'enseigne et des quatre marins russes ! Au bout d'un instant, il aperçut une brève lueur et en écoutant avec attention discerna la faible détonation d'un revolver. Puis, ô bonheur ! Les feux disparurent brusquement.

La Mary Thomas était reconquise ! »

À l'abordage

L'histoire se passe sur la mer dans un bateau avec deux personnages qui sont copains.

Les principaux personnages sont :

  • Bob
  • Paul

Bob et Paul sont deux copains, ils habitent porte à porte, sur le début de cette nouvelle, ils se disputent sur un débat.

Extrait représentatif : J'ai choisi ce passage car l'abordage comme le titre de cette nouvelle commence ici. Page 37

« Je saisis Paul par le bras . Nous perçûmes le bruit d'avirons sur les tolets, tandis que le petit feu blanc, maintenant à proximité de nous, oscillait de haut en bas.

-Eh bien, le voilà, ton bateau pirate ! murmurai-je histoire de plaisanter. Rappelle l'équipage aux postes de combat et qu'il se prépare à repousser l'abordage !

Une incursion chez les pilleurs d’huîtres

L'histoire se passe sur la mer et sur un bateau appelé « La Maggie-Goudron »

Les personnages principaux sont :

  • Le Grant ( Charley )
  • Neil Partington
  • Mr Taft
  • Le Marsouin
  • Le Mille-Pattes

Le Grand ( Charley ) est un patrouilleur et est plutôt curieux

Neil Partington est honnête et courageux

Mr Taft est plutôt sympathique pour les affaires en guise de récompense

Le Marsouin est assez insolent comme son camarade le Mille-Pattes

Extrait représentatif :

« En attendant, toi et moi pourrions accomplir bonne besogne. Qu'en dis-tu ?

-Mais certainement, mais certainement ! s'écria MrTaft lorsque Charley se fut présenté et lui eut expliqué son dessein. Ces pirates me dérobent chaque année plusieurs milliers de dollars, et je serais heureux de les faire pincer et mettre en prison. Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'offre cinquante dollars par tête... et j'y trouve encore mon compte. Ils ont pillé mes parcs à huîtres, arraché mes bouées de signalisation, terrorisée mes gardiens, et l’année dernière tué l'un d'eux. Malheureusement, il m'est impossible d'en fournir les preuves. Le délit a été commis au milieu de la nuit. Je n'avais que le cadavre du pauvre gardien et aucun indice : les détectives n'ont rien pu faire.»

 

Mon avis sur ce livre :

J'ai trouvé toutes ces nouvelles intéressantes, pleines d'actions, pleines d'émotions.

 

Logan 4A 05/10/2015

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