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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 23:01
Montella de, Christian, Reste avec moi

Titre: Reste avec moi.

L'auteur: Christian De Montella.

Editeur: Bayard Editions

Collection: Bayard poche

Thème: aventure/ enfant

Genre: roman fantastique

Illustrations de couverture: Jérôme Brasseur

Résumé: Un jeune garçon qui s'appelle Gabriel, écrit à sa cousine. Son ami Angel lui a proposé de faire les abricots pour qu'il ait de l'argent de poche pour s'acheter une nouvelle mobylette car sa précédente ne lui plaisait plus, il disait que c'était une grande machine à coudre. Il s'est donc rendu chez Angel. Quand il est arrivé, il a vu un vieil Espagnol, il lui a donc demandé où était monsieur Ferrer mais le vieil Espagnol ne lui a pas répondu. Gabriel s’est alors dirigé vers une porte et il est rentré mais c'était une remise alors il est allé voir une autre porte et il s’est mis à frapper, il est rentré. C'était un salon. Une jeune fille était assise dans un fauteuil, il la regarde et elle ne le voit pas, elle fredonne une chanson. Une vieille dame vient la chercher et la prend par la main et la met dans une pièce puis repart. Il arrive dans une cuisine. Il trouve Angel et d'autres Espagnols avec son père. Ils partent cueillir les abricots. Le garçon part avec les Espagnols et ils se mettent à récolter les abricots.

Gabriel avait une lumière, c'était la fille qu'il avait vue dans le salon, elle cueillait des roses mais quand il approchait, elle se volatilisait. Angel cherchait Gabriel. Celui-ci lui raconte ce qu'il s'est passé et Angel répond qu'elle sera renvoyée car elle a cueilli des roses. Ils font ensuite une sorte de fête. Gabriel est invité à diner chez eux et il a accepté. Il dort chez Angel, il a pu visiter des pièces et en rentrant dans l’une des pièces, il trouve la fille de monsieur Ferrer. Il avait déjà vu la chambre. Il voit la fille endormie sur son lit mais il a fait du bruit elle s'est donc réveillée, elle lui a parlé, il lui a répondu et ensuite il s’en est allé.

Un jour, il décide de réécrire à sa cousine car depuis trois mois il n'a pas donné de nouvelles mais Angel et son père viennent le chercher pour aller dans un hôpital. Ils ne lui ont pas dit ce qu'il se passe. Il les suit donc sans parler. Il arrive dans une chambre et il voit la fille et elle lui demande si elle doit rester ou partir dans l'autre monde. Il lui répond qu'il faut qu'elle reste et il s’éloigne car elle voulait pleurer. Angel prend Gabriel à part pour qu’ils se disent ce qu’ils devaient se dire. La mère de sa cousine avait dit à la mère de Gabriel qu'il fallait qu'il arrête d'écrire à sa fille car elle était morte. Ils se revirent le jour de la rentrée, ils se dirent quelques mots et ils partirent chacun de son côté.

Léa, 4D, décembre 2015

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11 décembre 2015 5 11 /12 /décembre /2015 19:16
McCLINTOCK, Norah, Cadavre au sous-sol

L’Auteur : Norah McCLINTOCK

Le titre : Cadavre au sous-sol

L’éditeur : Rageot

La collection : Heure noire

L’illustrateur de la couverture : Yann Tisseron

Le genre du roman : roman policier

Natasha Scanlan, surnommée Tasha, vit avec son père depuis que sa mère est partie, il y a cinq ans, s’installer à Vancouver. Sa mère lui manque. Un soir, lorsqu’elle cuisinait en jetant quelques coups d’œil à la télévision, elle apprend que le café Montréal va être détruit le lendemain. Tasha apprend du même coup qu’il y a le cadavre d’une femme tuée il y a près de cinq ans au sous-sol. Elle craint le pire. Quelques jours plus tard, quand Mike dépose Tasha chez elle, il y a une voiture de police. Les inspecteurs Marchand et Pirelli posent des questions, à son père et elle sur la mort de la mère de Tasha, et, elle et Mike, son seul et meilleur ami, vont mener l’enquête pour sortir le père de Tasha, Leonard Scanlan, de prison.

J’ai décidé de décrire Michael Bhupal, alias Mike : c’est le grand ami de Tasha, il a les yeux bruns, sourit presque tout le temps, et a 16 ans.

Extrait choisi : « Tasha baissa les yeux vers l’homme à la cicatrice. C’était un grand gaillard, avec un nez de travers comme si il avait déjà été cassé, et des mains énormes et noueuses. Des mains de tueur, pensa-t-elle. C’était lui. C’était l’assassin ... »

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Tasha découvre qu’en fait elle s’était trompée car elle suspectait Evart Horstbueller, un homme qui travaillait au Café Montréal, mais Tasha ne suspectait pas du tout la bonne personne. On se rend compte, par la même occasion, que Mike et Tasha étaient suivis sur le trajet jusqu’à la maison d’Evart Horstbueller.

Sur la couverture, on voit une femme morte dont la chemise blanche est tachée de sang au cou, la main droite posée à terre et tendue vers nous, une bague au majeur. En arrière plan, il y a un homme de trois-quarts dos qui monte un escalier dans la lumière qui éclaire le corps de la femme.

La femme morte est en fait Catherine Scanlan, la mère de Tasha.

L’homme qui monte l’escalier en béton en arrière plan est Evart Horstbueller, une des seules personnes qui a vu Catherine Scanlan se faire tuer.

Ce livre m’a plu car il y a de l’action, du suspense, de l’amour, de l’angoisse et, surtout, du fantastique.

Camille GOUCHET 4A, le vendredi 11 décembre

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 12:06

Littoral est la première des quatre pièces qui composent Le Sang des promesses. J'ai lu la seconde, Incendies, avant la première mais ce n'est pas un problème. Les deux pièces ont en commun une manière toute particulière de composer : Wajdi Mouawad part de l'histoire qu'il a en tête et qui est le fruit de ses expériences puis c'est avec les comédiens que la pièce se compose et que les personnages se créent. "Ainsi naît la conviction que, dans son cas, l'écriture ne peut précéder le spectacle sans prendre le risque de se séparer de lui ou de le perdre" explique Charlotte Farcet dans la postface de Littoral édité chez Babel. Toutefois, qu'il s'agisse de Littoral, d'Incendies ou du roman Anima, on retrouve les mêmes préoccupations d'une œuvre à l'autre : le rapport père/fils et le mystère concernant l'identité du père le tout en lien avec un Liban jamais tout à fait nommé mais tout de même identifiable, un Liban en guerre, un Liban déchiré par le massacre de Sabra et Chatila ou un Liban dévasté où ne restent que des orphelins égarés.

C'est justement ce dernier point qui fait l'originalité de Littoral : Wilfrid puis Simone, puis Amé et aussi Sabbé et Massi et Joséphine, tous des orphelins, se rencontrent successivement et traversent le Liban pour gagner ensemble le littoral. Wilfrid est orphelin depuis peu et vient au Liban avec la dépouille de son père, qu'il n'a quasiment pas connu vivant, afin de la déposer dans son pays d'origine. Mais où l'enterrer ? Dans ce pays dévasté par la guerre civile, tous les cimetières sont pleins. Simone "chante à fracasser les crânes [...] folle de colère " depuis qu'elle a vu son amoureux quand il a "explosé, feux, flammes et sang, comme un crachat lancé au visage cruel de sa vie." Amé allume une lumière pour répondre à ce chant du village plus loin. Amé voudrait quant à lui, poser des bombes pour venger les morts, il a lui même tué son père sans s'en rendre compte, pris dans la folie meurtrière mais Simone le convainc de venir avec elle pour raconter ce qui s'est passé et empêcher l'oubli. Sabbé aussi répond depuis longtemps aux messages de Simone, il rit ! lui aussi est orphelin. En chemin ils rencontrent Joséphine qui traîne une quantité de bottins et récite d'interminables litanies de noms de crainte que les morts soient oubliés... Arrivés au littoral tous ensemble, sous la caméra du réalisateur qui depuis le début filme Wilfrid, ils lavent le corps du père de Wilfrid qu'ils considèrent tous comme représentant de leur propre père disparu, ils le lestent des bottins apportés par Joséphine et le confient à la mer, gardien pour toujours des noms des disparus.

Littoral est ainsi le récit d'un parcours initiatique pour le héros Wilfrid qui pourra à la fin se passer du chevalier médiéval qui l'accompagnait tel un ange gardien. Pour ceux qu'il rencontre, ce parcours est surtout celui de la mémoire et du deuil nécessaire.

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 10:12

Anima, Bestiae verae, felis sylvestris catus carthiusianorum, passer domesticus, canis lupus familiaris inauratus investigator... du titre aux sous-titres et aux titres de chapitres, Wajdi Mouawad égrenne les mots latins.

Du premier au dernier chapitre, il multiplie aussi les narrateurs : chat, colombe, singe, araignée, chien, corbeau ou rat ... à chaque chapitre il nous faut comprendre selon quel point de vue nous découvrirons l'histoire.

Cette histoire est celle de Wahhch Debch dont le nom est chargé d'un sens qu'il mettra, comme le lecteur, environ 400 pages à découvrir, une histoire qui l'entraîne du Québec aux réserves indiennes d'Amérique, d'Arizona au Colorado... mais toujours plus près de Sabra et Chatila, de l'innommable.

C'est un itinéraire jalonné par des épisodes d'une violence inouïe dont l'unité n'apparaît que lors des derniers chapitres.

C'est aussi en arrivant à ces derniers chapitres de ce gros roman de 494 pages que j'ai compris que les mots latins, les animaux narrateurs, ne sont pas du tout, du tout des caprices de romancier pour se singulariser : Cette histoire ou Histoire a ôté à l'homme toute humanité, la langue même a perdu son sens. "Perdre son âme" c'était même l'objectif pour certains ! alors ce titre_comme la photo en première de couverture_ Anima ressemble à la quête désespérée d'une âme perdue, la voix des narrateurs animaux est comme le souvenir d'une humanité égarée dont paradoxalement les animaux seraient plus détenteurs que nous.

Bref, un très grand roman, d'une violence et d'une puissance qu'il faut être prêt à affronter. Et pour finir, comme je voudrais croire que tout cela est pure imagination !

Je ne résiste pas au désir de revenir sur l'épilogue :

"J'ai vérifié sur une carte. Je les ai imaginés tous les trois monter encore plus haut, pour arriver à Inuvik, attendre la glaciation, avant de poursuivre le long des chenaux gelés, vers Tuktoyaktuk, dans la baie de Kugmallit, ouverte sur la mer de Beaufort et le grand océan Arctique. Que jetteront-ils dans le tumulte des vagues ? Que voudront-ils confier aux abysses ? Quelle douleur ? Quel chagrin ? Il existe, tout au fond des mers,des poissons monstrueux doués de parole, gardiens d'une langue ancienne, oubliée, parlée jadis par les humains et par les bêtes aux rivages des paradis perdus.[...] Nous réapprendrions à parler. Nous inventerions des mots nouveaux Wahhch retrouverait son nom. Tout ne serait pas perdu."

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 11:25
UNE VIE
UNE VIE

Titre : Une vie

Auteur : Guy de Maupassant

Édition : 5752-1/1990

Collection : Le Livre de Poche

Genre : Roman

Le thème : une vie de femme du XIXe s.

Première de couverture : On y voit une peinture de Claude Monet « Femme à l’ombrelle » (XIXe siècle). Sur cette peinture, on voit une femme avec une ombrelle et elle est dans le vent. On voit aussi, le titre de la collection (Le livre de poche).Et le titre du roman et le nom de famille de l'auteur.

4ème de couverture : On y trouve le numéro de l'édition, le code-barres, un petit résumé, le lieu où il a été imprimé et encore le tableau.

Les deux personnages principaux sont : Jeanne et Julien

Les personnages principaux :

Jeanne : fille de Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds, elle épouse Julien et devient mère de famille, elle vit bien des épreuves et des désillusions.

« le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds, était un gentilhomme de l'autre siècle et il est le père de Jeanne,...»,p.4

Julien : époux de Jeanne et père de famille, il vit mieux que Jeanne.

« Julien, debout près de sa femme Jeanne, la tenait par la taille, et tout deux regardaient au loin pour découvrir, le point indiqué.», p.78

Les grandes caractéristiques de l'écriture sont le réalisme, il y a beaucoup de descriptions et le vocabulaire est courant.

«La Corse ! Les maquis! Les bandits ! Les montagnes ! La patrie de Napoléon ! Il semblait à Jeanne qu'elle sortait de la réalité pour entrer tout éveillée, dans un rêve.».

Ce que j'aurais changé à ce livre si j'en avais la possibilité : j'aurais enlevé des descriptions et j'aurais mis plus de dialogues, car les personnages, on ne les entend presque pas et les descriptions sont longues et parfois, on ne les comprend pas.

J'ai pensé du livre, que il est triste à la fin, mais c'est dommage qu’il n'y ait pas de dialogues (ou presque pas) et qu’il a trop de descriptions ; c'est plutôt un livre pour bien imaginer, sinon j'ai bien aimé ce livre, car j'ai une bonne imagination.

BAPTISTE W, 4èmeB, juin 2015

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 15:56

Auteur : Mérimée Prosper

Titre Carmen et autres nouvelles71pzTefRHQL.jpg

Edition Booking international

collection : Maxi poche

A : Aristocratiques. « Il allait tirer la grille d’un de ces sanctuaires aristocratiques. » Carmen et autres nouvelles, Prosper MERIMEE. Page 11

B : Bedeau. « Le bedeau avait bien envie d’aller dîner. » page 11

C : Curiosité. « Regardant avec curiosité autour d’elle. » page 11-12

D : Madame La Dauphine. « Elle n’était point attachée à Madame La Dauphine. » page 11

E : Effarés. « Elle trouva ses domestiques effarés. » page 15

F : Frippée. « A vingt sous l’aune, et un peu frippée. » page 12

G : Guillot. « Une de ses locataires était morte, une madame Guillot. » page 14

H : Humble. « Ce sourire bien humble. » page 14

I :  Indicible. « Ouvrant les portes avec une indicible prestesse. » page 15

J : Jeune fille. « Cette jeune fille qu’elle croyait morte. » page 15

K : Je n’ai pas trouvé

L : Langage. « Ce langage était trop étrange aux oreilles de Madame de Piennes. » page 12

M : Messe. «  Son livre de messe. » page 13

N : Nerveuse. « La petite personne est nerveuse. » page 20

O : Oboles. « Elle se rappela les deux oboles de la veuve. » page 13

P : Privation. « Sans m’imposer la moindre privation. » page 13

Q : Quelques jours. « Quelques jours passèrent. » page 20

R : Riche. « Une femme du monde, une riche, jolie qui rendait le pain bénit. » page 20

S : Saint Roch. « Dans la paroisse de Saint Roch. » page 11

T : Tibia. « Le tibia et le péroné, cela se ressoude […] » page 18

U : Je n’ai pas trouvé.

V : Vie. « A qui ai-je parlé de ma vie. » page 25

W : Je n’ai pas trouvé.

X : Je n’ai pas trouvé.

Y : Yeux. « Ses yeux noirs étaient enfoncés et cernés par une teinte bleuâtre. » page 12

Z : Je n’ai pas trouvé.

Laura. P.4B                                                                                                       15/10/14

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 15:27

Auteur: Prosper Mérimée

Titre du recueil: Le vase étrusque                     

Édition: Gallimard Jeunesse

Collection: Folio Junior    product_9782070574506_195x320.jpg

Titres des nouvelles: Le vase étrusque et Tamango                   

 

A. Auguste: Auguste Saint-Clair n'était point aimé dans ce qu'on appelle le monde; la principale raison c'est qu'il ne cherchait à plaire qu'aux gens qui ne lui plaisait qu'à lui-même. P11, Le vase étrusque.

 

B. Brummell: Mais il était beau comme Adonis et mettait sa cravate comme Brummel. P22, Le vase étrusque.

 

C. cymbalier: Le colonel du 75e le vit et le prit pour en faire un cymbalier dans la musique de son régiment. P 85, Tamango.

 

D. douze nègres: Douze nègre seulement et des plus faibles étaient morts de chaleur: c'était bagatelle. P. 64, Tamango.

 

E. espérance: Comme généreux coursier qui se cadre sous l'éperon du cavalier imprudent, le beau brick L'Espérance bondit sur la vague à cette manœuvre inouïe. P77 Tamango

 

F. femme: il regardait Mathilde en souriant malgré lui, partagé entre sa mauvaise humeur et le plaisir de voir une jolie femme qui cherchait à lui plaire par tous ces petits riens qui ont tant de prix pour ces amants. P34, Le vase étrusque.

 

G. guiriot: Elle venait de reconnaître dans le vieillard que son mari allait tuer un guiriot ou magicien, qui lui avait prédit qu'elle serait reine. P59 ,Tamango.

 

H. Hector Roquantin: Je suis tout à fait de l'avis de Saint-Clair dit Hector Roquantin, qui n'avait pas plus de trois pieds et demi de haut. P21, Le vase étrusque.

 

I. impétuosité: Tamango tourna la tête l’aperçut poussa un cri et, se levant avec impétuosité, courut vers le gaillard d'arrière avant que les matelots de garde eussent pu s’opposer à une infraction aussi énorme de toute discipline navale. P66, Tamango. 

 

J. Jourdain: Giourdina c'est-à-dire Jourdain murmura tout bas Thémines. P28,Le vase étrusque.

 

K. Kingston: Le chirurgien s'en empara lui donna des soins, et quand La Bellone aborda à Kingston, Tamango était en parfaite santé. P84, Tamango.

 

L. Ledoux: Ledoux(capitaine)fut surpris de le voir encore plus de l’entendre redemander sa femme. P61, Tamango.

 

M. massigny: Pourtant, je me rappelle … dans mon rêve j'ai vu Massigny; ainsi vous voyez que ce n'était rien de bien amusant. P40, Le vase étrusque.

 

N. Napoléon :Les premiers compliments de politesse échangés, un mousse apporta un panier de bouteille d'eau-de-vie; on but, et le capitaine, pour mettre Tamango en humeur, lui fit présent d'une jolie poire à poudre en cuivre, ornée du portrait de Napoléon en relief. P56,Tamango.

 

O. orient: Mais au bout de quelques visites il a reconnu que j’étais un voyageur sans préjugés, curieux de m'instruire à fond des coutumes de mœurs et de la politique de l'Orient. P28, Le vase étrusque.

 

P. prodigieuse: Grâce à sa force prodigieuse, il parvint à se relever. P62, Tamango.

 

Q. quand: Quand il se réveilla, le vaisseau était déjà sous voiles et descendait la rivière. P56, Tamango.

 

R. Roméo: C'est alors que Roméo dit adieu à Juliette, c'est leur classique ou tous les amants doivent se séparer. P35, Le vase étrusque.

 

S. Schroth: Massigny fut d'abord très assidu; il me donnait comme de lui des aquarelles qu'il achetait chez Schroth, et me parlait musique et peinture avec un ton de supériorité tout à fait divertissant. P44, Le vase étrusque.

 

T. tafia: En revanche, il buvait avec excès du rhum et du tafia. Il mourut à l'hôpital d'une inflammation de poitrine. P85, Tamango.

 

U. une: L'idée qu'il avait caressée le plus amoureusement, c'était que sa maîtresse n'était pas une femme comme une autre, qu'elle n'avait aimé et ne pourrait jamais aimer que lui. P30, Le vase étrusque.

 

V. vase étrusque: Saint-Clair était debout devant une cheminée la clef  du parc à la main, les yeux attentivement fixés sur le vase étrusque dont nous avons déjà parlé. P35, Le vase étrusque.

 

W. wolofe: On s'assit et un matelot qui savait un peu la langue wolofe servit d’interprète. P56, Tamango .  

 

Y. yataghan: J'ai un djerid qui a appartenu au fameux Mourad bey colonel, j'ai un yataghan pour vous et un Khandjar pour Auguste. P27, Le vase étrusque.

 

Élodie R. 4B                                                                                          16 Octobre 2014

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Le vase étrusque

L'auteur est Prosper Mérimée.

La collection est Folio Junior.

L'édition est Gallimard Jeunesse.

 

Les nouvelles que contient ce recueil sont : Le vase étrusque et Tamango.

 

Le vase étrusque

L'histoire se passe environ au 17ème siècle

Les principaux personnages sont : Auguste Saint Claire, et sa bien aimée.

 

 

Auguste Saint Claire : C'est un jeune homme fier et sensible, il est fou amoureux de sa femme et il est aussi très jaloux.

Sa bien aimée : Elle est très séduisante et elle aussi folle amoureuse de Auguste Saint Claire.

 

Tamango

L'histoire se déroule sur un bateau au XVIIIe siècle.

Les principaux personnages sont : Tamango et le Capitaine Ledoux

Tamango : Il est fait prisonnier pendant la traite des noirs et sa mère essaye de le sauver ( ?), il se libère et prend la suite du Capitaine Ledoux.

 

Le Capitaine : C'est le Capitaine Ledoux, il s'occupe du bateau qui transporte les esclaves noirs.

Cassandre, 4A, 5 Octobre 2015

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 11:28

Nom et Prénom de l’auteur: Guy de Maupassant.

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Titre du recueil: Le Horla ; Contes du jour et de la nuit

 

Édition: Booking international

 

 

Collection: Maxi poche

Titres des nouvelles que contient ce recueil:

Dans la section des Contes du jour et de la nuit: Le crime au Père Boniface, Rose, Le père ,L’Aveu, La Parure, Le Bonheur, Le Vieux, Un Lâche, L’Ivrogne, Une vendetta, Coco, La Main, Le Gueux, Un parricide, Le Petit, La Roche aux guillemots, Tombouctou, Histoire vraie, Adieu, Souvenir, La  confession.

 

Dans la section sur Le Horla : Le Horla, Amour, Le trou, Sauvée, Clochette, Le marquis de Fumerol, Le signe, Le diable, Les rois, Au bois, Une famille, Joseph, L'auberge, Le vagabond

Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et numéro de pages de ces citations :

A. Aboyant «Il s'est mis à courir en aboyant et il a disparu dans la forêt.»

B. Bretonne «La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolée et des rêves éperdus.»

C. Campagnarde «Je m'habillai bien vite et je partis, voulant passer la journée dans les bois, à respirer les feuilles ; car je suis d'origine campagnarde, ayant été élevé dans l'herbe et sous les arbres.

D. Désastre «Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre.»

E. Épouvanté «Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans s

 

avoir même s'il pourrait y faire honneur et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs.»

F. Forestier «Mme Forestier»

G. Pas trouvé

Héroïquement «Elle prit son parti d'ailleurs tout d'un coup héroïquement.»

I. îles «Après avoir passé entre deux îles.»

J. Jeune « La jeune femme, tout à coup, se tournant vers moi, et changeant de ton avec une très singulière rapidité, prononça... »

K. Pas trouvé

 L. Lentement « Et je me mis à marcher lentement, sous les feuilles nouvelles, buvant cet air savoureux que parfument les bougeons et les sèves»

M. Ménage «C'était assurément un ménage de petits bourgeois parisiens»

N. Nécessiteux « Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux»

O. Obtenir «Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps»

P. Pauvreté « Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal»

Q. Pas trouvé

R. Redouter « Elle n'ouvrit pas l’Écrin, ce que redoutait son amie» pages 56

S. Substitution « Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'aurait elle pensé? Qu'aurait elle dit? N

e l'aurait-elle pas prise pour une voleuse?» pages56

T. Toilette « Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal» pages54

U. Usure «Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout avec le taux de l'usure,et l’accumulation des intérêts superposé» pages 57

V. Voleuse « Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse?» pages 57

W. X. Y.Z.Pas trouvés

Romane G.  4B                                                                                                                   16/10/2014                                                                

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 16:54

 

Nom, prénom de l’auteur :  (de) Maupassant  Guy

Titre du recueil : Contes et nouvelleshttp://www.editions-hatier.fr/sites/default/files/livres/imagecouv_380510.jpg

Édition : classiques Hatier

 Collection : Classiques Hatier

dirigée par Hélène Potelet et Georges Décote

 

Contes et nouvelles :

                        1 - Pierrot  (Contes de la bécasse)
                        2 - Aux champs  (Contes de la bécasse)
                        3 - Le papa de Simon  (La maison Tellier)
                        4 - Farce normande  (Contes de la bécasse)
                        5 - La parure  (Contes du jour et de la nuit)
                        6 - Mademoiselle Cocotte  (Clair de lune)
                        7 - La dot  (Toine)
                        8 - La rempailleuse  (Contes de la bécasse)
                        9 - Première neige.

 

   
Abécédaire Contes et nouvelles

 

A.  accoutumé « Quand il sera bien accoutumé à la maison, on le laissera libre. Il trouvera à manger en rôdant par le pays,» Page 14, lignes 62 à 63, Pierrot 

B.  braves  « Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien … je voudrais bien emmener avec moi votre… votre petit garçon.» Page 24, lignes 62 à 64, Aux champs

C.  corromperie « Les parents, chaque mois, allaient toucher leurs cent vingt francs chez le notaire ; et ils étaient fâchés avec leurs voisins parce que la mère Tuvache les agonisait d'ignominies, répétant sans cesse de porte en porte qu'il fallait être dénaturé pour vendre son enfant, que c'était une horreur, une saleté, une corromperie.»  Pages 27- 28, lignes 144 à 150, Aux champs

Dot « Et puis, il ne faut rien oublier, préviens ton père de tenir ta dot toute prête ; je l'emporterai, avec nous et je paierai par la même occasion maître Papillon.» Page 89, lignes de 44 à 46, La dot'

E.  Écrin « Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière ; j'ai dû seulement fournir l'écrin.» Page 68, lignes 216-217 La Parure

F. flasque « L'animal s'enfuit un peu plus loin avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut tourné le dos.» Page 78, lignes 33 à 36 Mademoiselle Cocotte

G. gueux « Sa femme, aussi exaspérée que lui, répétait : Cette gueuse ! Cette gueuse ! Cette gueuse ! ....» Page 107, lignes 193 à 194, La rempailleuse

H.  haillonneux « Toute petite, elle errait, haillonneuse, vermineuse, sordide..» Page 102, lignes 66 à 67 La rempailleuse

I. Inébranlable « Simon ne répondit rien ; et, inébranlable dans sa foi, il les défiait de l'œil, prêt à se laisser martyriser plutôt que de fuir devant eux. »  Page 43, lignes 215 à 218,  Le papa de Simon

J. Joue « Une rougeur cuisante couvrit les joues de la jeune femme, et, meurtrie jusqu'au fond de sa chair, elle embrassa son enfant avec violence pendant que les larmes rapides lui coulaient sur la figure.»  Page 42, lignes  188 à 191, Le papa de Simon

K. kirsch « On me fit asseoir ; on m'offrit un kirsch, que j'acceptai ; et je commençai mon discours d'une voix émue, persuadé qu'ils allaient pleurer. »  Page 106, lignes 185 à 187, La Rempailleuse

L. Lugubre « Elle les regardait, chaque soir, le cœur serré, toute pénétrée par la lugubre mélancolie de la nuit tombant sur les terres désertes.» Page 116, lignes 108 à 110, Première neige

M. Mouvement  « Je t'assure qu'on gèle, mon ami, tu ne t'en aperçois pas, parce que tu es toujours en mouvement, mais on gèle.»  Page 118, lignes 142 à 143, Première neige

N. Niant « Oui, j'vous le r'proche, que vous n'êtes que des niants. » Page 30, ligne 208, Aux champs.

O. Opiniâtre « Sa main droite, qui tient la lettre, retombe lentement sur ses genoux, tandis qu'elle porte à sa bouche sa main gauche comme pour calmer la toux opiniâtre qui lui déchire la poitrine» Page 123, lignes 300 à 303, Première neige

 P. Parcimonieuse  « Elle faisait, après réflexion, mille objections, terrifiée par l'image d'une jatte pleine de pâtée ; car elle était de cette race parcimonieuse de dames campagnardes qui porte toujours des centimes dans leur poche pour faire l'aumône ostensiblement aux pauvres des chemins, et donner aux quêtes du dimanche .» Page 13,  lignes 36 à 41, Pierrot

Q, Quin « Madame Lefèvre déclara qu’elle voulait bien nourrir un « Quin »  mais qu'elle n'en achèterait pas..» Page 13,  lignes 49 à 50, Pierrot

R. Roquet « Madame Lefèvre trouva fort beau ce Roquet immonde, qui ne coûtait rien.» Page 14,  lignes 56 à 57, Pierrot

S. Sous « Des dames lui ayant donné quelques sous, elle les garda soigneusement.» Page  103,  lignes 87 à 88, La rempailleuse

T. Tison « Nous ne sommes pas des Parisiens, sacrebleu ! Pour vivre dans les tisons. Page  118,  lignes 146 à 148, Première neige

U. Usuriers « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Pages 68-69, lignes 232 à 234  La Parure

V. Vaugirard « Nous sommes  à Vaugirard, parbleu, voilà vingt fois que je le crie. »

 Page 94, lignes 152 à 153, La dot

W. Wagon « Ils se précipitèrent dans un wagon  où se trouvaient deux vieilles dames. » page 90, lignes 64 à 65 La dot

X. XIXème Siècle « Noces en Normandie (1888), peinture. » Page 53, Farce normande

Y. Yeux  «Tous les ans elle revenait ; passait devant lui sans oser le saluer et sans qu'il daignât même tourner les yeux vers elle. » page 105, lignes 145 à 146, La rempailleuse

Z. Zigzag « Cela lui rappela un joujou fait avec d'étroites planchettes de bois clouées en zigzag les unes sur les autres, qui, par un mouvement semblable, conduisaient l'exercice de petits soldats piqués dessus. »  Page 40 lignes 142 à 145, Le papa de Simon.

Mon avis :

Ce livre est très intéressant, très prenant,  l'auteur porte au XIX ème siècle, un certain regard sur les femmes qui ne sont pas considérées. Il prouve encore que l'argent peut corrompre facilement la société et permettre de tout acheter même les sentiments.

Certains êtres humains, les plus aisés, sont souvent mal mal intentionnés même envers leurs proches, ils rendent la vie impossible aux autres. L'avarice ne mène à rien, sauf à empoisonner la vie d'autrui. Les plus pauvres s'en sortent plus honnêtement...!

Le papa de Simon est exemplaire, c'est l'histoire qui m’a parue la plus humaine.

En conclusion : La vie est peut-être plus juste vis à vis des femmes et épouses aujourd'hui, mais on retrouve encore souvent ces problèmes. L'argent reste toujours source tabou et de pouvoir... !

Loana R.4ème B                                                                                             Le 12/10/2014

feuilles

Nom puis prénom de l’auteur : Guy De Maupassant

Titre du recueil : Contes et Nouvelleshttp://img.livraddict.com/covers/91/91966/couv14695964.jpg

Edition : Larousse

           Collection : Nouveaux Classiques Larousse

Titres des nouvelles que contient ce recueil : 1 .Petit Soldat 2 .Mademoiselle Perle 3 .Alexandre 4 .Deux Amis  5 .Le Père Milon  6. la mère sauvage 7 .Sur l’eau 8 .La Peur 9 .L’orphelin 10 .L’Auberge    11 .La Nuit 12 .Apparition 13 .Lui ? 14 .Qui sait ?

Abécédaire :

A .apaiser « J’allais tenter encore de les apaiser» page 71 ligne 171

B .brave « Mais cela n’a lieu quand on est brave» page 67 ligne 36

C .craintes  « Las d’assister à ces craintes imbéciles »page 71 ligne 165

D .dune « Je traversais les grandes dunes au sud de Ouargla» page 68 ligne 62

E .épouvantés « les Arabe, épouvantés se regardaient ; et l’un dit, en sa langue :  « la mort est sur nous.»page 69 ligne 87

F .fichtre «fichtre ! je vous réponds bien que j’ai eu peur moi. »

G. gravir «il faut gravir ces lames de cendre d’or, redescendre, gravir encore, gravir sans cesse, sans repos et sans ombre. » page  68 ligne 72

H. Heureusement « Heureusement que nous avons été recueillis» page 67 ligne 14

I. immobile « et nous demeurâmes immobiles» page 68 ligne 80

J. Judas « une sorte de judas» page 70 ligne 160

K.

L. lieue « à deux cents lieues de tout village français »page 69 ligne 97

M. moire « et striées comme de la moire» page 68 ligne 70

N. nuit « les nuits sont claires et vides de légendes» page 68 ligne 55

O. ouragan «au milieu d’un ouragan» page 68 ligne 66

P. peur «permettez-moi de m’expliquer ! la peur « page 67 ligne 31

Q. quelque « quelque part, près de nous» page 69 ligne 83

R. remarquez « remarquez bien ceci « page 68 ligne 55

S. spasme « un spasme affreux « page 67 ligne 34

T. trempé «trempés dans le courage « page 67 ligne 22

U.

V. voleur «J’ai été laissé pour mort par des voleurs « page 67 ligne 48

W./ X.

Y. yeux « levait les yeux et murmurait» page 67 ligne 126

Z.

Mon avis sur ce livre : J’ai trouvé ce livre compliqué. Dans La Peur, l’histoire se passe sur un bateau. Le commandant raconte sa peur. Un grand homme dit que ce n’est pas ça la vraie peur. Puis il raconte à son tour ses peurs à lui.

L. Dylan, 4ème B                                                                                                            16/10/2014

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 20:52

 - Auteur : Prosper Mérimée

 - Titre : Mateo Falcone

 - Collection : Nouveaux Classiques Larousse

 -Nouvelles du livre : Mateo Falcone,  L’Enlèvement de la Redoute  et Tamango 

 

Alphabétaire :  http://img.livraddict.com/covers/25/25306/couv35761330.jpg

 

A. Automne : Un certain jour d’automne.  (page 21) M.F.

B. Berger : Le maquis était la patrie des bergers Corses.  (page 19) M.F.
C. Corse : Quand j’étais en Corse en 18.  (page 20) M.F.

D. Diable : Que le diable te confonde.  (page 24) M.F.
E. Embarrassé : Gamba paraissait évidemment embarrassé. (page 25) M.F.
F. Fortunato : Mateo eut un fils ; Fortunato.  (page 21) M.F.
G. Gianetto : Moi, je suis Gianetto Sanpiero.  (page 22) M.F.
H. Homme : Comme un homme accablé.  (page 32) M.F.

I. Indiquer : Il indiqua du pouce le tas de foin. (page 28) M.F.

J. Justice : Qu’as-tu fait ? Justice.  (page 34) M.F.
K.
L. Lune : Il remarqua la couleur de la lune. (page 43) L.E.R.
M. Militaire : Je connaissais cette superstition militaire. (page 45) L.E.R.
N. Net : Je n’avais presque plus de souvenirs nets.  (page 48) L.E.R.
O. Onze : Onze prisonniers russes étaient avec eux.  (page 48) L.E.R.

P. Pierre : En envoyant de la terre et des pierres.  (page44) L.E.R.
Q. Que : Je n’oublierai jamais ce que je vis.  (page 47) L.E.R.
R. Redoute : L’enlèvement de la Redoute. (page 42) L.E.R.
S. Sénégal : Il n’allait que jusqu’au Sénégal. (page 61) Tamango.
T. Tamango : Tamango.  (page 59) Tamango.

U. Un : Ledoux devint un homme précieux.  (page 60) Tamango.
V. Vite : Le capitaine s’occupa au plus vite d’embarquer sa cargaison.  (page 66) Tamango.
W…. / X...
Y. Yeux : Des flots de larmes coulaient de ses yeux. (page 72) Tamango.
Z….


Avis : J’ai plutôt aimé ce livre.

 

 

PIERRE T. 4.B                                                                                                                16/10/2014   

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