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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 20:01

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES

Auteur : Guy de Maupassant 

 Titre : Boule de Suif et autres nouvelles jpg_boule_de_suif.jpg

 Editeur : Librio, 1994

GENRE : Ce livre est un recueil de nouvelles.

THEME PRINCIPAL Ces nouvelles racontent principalement la vie des bourgeois Normands du XIXème  siècle.

NOUVELLE PRINCIPALE : BOULE DE SUIF 

RESUME :

Nous sommes en 1881, c’est l’hiver, les soldats Prussiens occupent la ville de Rouen, alors, pour fuir cette occupation, dix personnes prennent une diligence vers Dieppe : trois couples de bourgeois, deux bonnes sœurs, un démocrate et une prostitué.

Cette dernière, est surnommée « Boule de suif » à cause de son embonpoint et de sa profession honteuse selon lestrois couples. Or, le voyage est ralenti à cause de la neige, il commence à faire faim et personne n’a amené de provision. Mais soudain Boule de suif sort un panier plein de nourriture et à la demande de ses voisins, en distribue à tous les passagers. Le panier est vidé. A la nuit venue, la diligence fait un arrêt dans une auberge et les dix personnes y reste dormir. Cette auberge est également occupée par les Prussiens et le lendemain matin, l’officier Prussien empêche tout ce monde de partir sauf si Boule de suif accepte de coucher avec lui. Celle-ci refuse mais l’officier lui fait du chantage et les compagnons de la jeune fille exaspérés d’être ainsi bloqués dans cet endroit qu’ils détestent font tout pour la convaincre d’accepter l’offre du soldat.

Ravalant sa dignité, elle finit par y aller ; la diligence peut repartir. Mais au moment du départ, plus personne ne lui parle, tout le monde l’ignore comme si elle était une malpropre. Et alors qu’ils voyagent tranquillement depuis trois heures, la faim se fait sentir, et les passagers qui, cette fois ci, avaient préparé des provisions, commencent à manger. Boule de suif, elle, n’a pas eu le temps de préparer quoi que ce soit et a très faim. Or ses voisins l’ignorent toujours, ne lui proposant aucune nourriture, alors qu’elle avait partagé la sienne sans compter avec ces gens pour qui elle s’est sacrifiée et qu’elle croyait qu’ils l’appréciaient.

LE PASSAGE QUE J’AI CHOISI :

« Personne ne la regardait, ne songeait à elle. Elle se sentait noyée dans le mépris de ces gredins honnêtes qui l’avaient sacrifiée d’abord, rejetée ensuite, comme une chose malpropre et inutile. Alors elle songea à son grand panier tout plein de bonnes choses qu’ils avaient goulûment dévorés, à ses deux poulets luisants de gelée, à ses pâtés, à ses poires, à ses quatre bouteilles de bordeaux ; et sa fureur tombant soudain comme une corde trop tendue qui casse, elle se sentit prête à pleurer. Elle fit des effort terribles, se raidit, avala ses sanglots comme les enfants, mais les pleurs montaient, luisaient au bord de ses paupières, et bientôt de grosses larmes se détachant des yeux roulèrent lentement sur ses joues. D’autres les suivirent plus rapides, coulant comme les gouttes d’eau qui filtrent d’une roche, et tombant régulièrement sur la courbe rebondie de sa poitrine. Elle restait droite, le regard fixe, la face rigide et pâle, espérant qu’on ne la verrait pas. Mais la comtesse s’en aperçut et prévint son mari d’un signe. Il haussa les épaules comme pour dire : « Que voulez-vous, ce n’est pas ma faute. » Mme Loiseau eut un rire muet de triomphe et murmura : «  Elle pleure sa honte. » » 

Boule de suif – page 41

MON EXPLICATION CONCERNANT LE PASSAGE :

Ce passage évoque comme un retournement de situation dans le livre car il montre comme les bourgeois sont cruels avec Boule de suif et de quelle ingratitude ils font preuve en l’ignorant et en se moquant d’elle alors que quand ils avaient très faim, elle les avait nourris.

MON COMMENTAIRE CONCERNANT LE PASSAGE :

J’aime bien ce passage car les émotions de cette femme y sont très bien décrites alors c’est comme si nous étions à sa place ; cela fait que nous avons l’impression de ressentir ce qu’elle ressent. C’est un moment très profond de l’histoire.

MON JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL DE LA NOUVELLE :

J’ai moyennement aimé cette nouvelle car bien que l’histoire et les personnages m’aient plu, la notion de guerre omni présente m’a quelque peu ennuyée. Je le recommanderais tout de même car il permet d’apprendre des choses sur le mode de vie des gens à cette époque. Note de cette nouvelle : 7,5/10

LE RESTE DES NOUVELLES : Le reste des nouvelle composant ce livre sont : 

-          La parure

-          Le Lit 29

-          Rose

-          La Serre

-          Une Soirée

-          Le Vengeur

-          L’Attente

-          La Dot

J’ai trouvé que dans l’ensemble, ces nouvelles étaient assez étranges. Elles parlent –pour la plupart- de couples de bourgeois Normands du XIXème  siècle mais surtout d’amour sans être pour autant des histoires à l’eau de roses. Je les ai tout de même moins appréciées que la précédente car, étant plus courtes, il ne s’y passe pas grand-chose à mon goût. Note des autres nouvelles : 6/10

Margaux, 4C, novembre 2012

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 15:00

Titre: Contes de la Bécasse

Auteur: Guy de Maupassant

Édition: Gallimard 1974 Livre de pochecontes-de-la-becasse-295-250-400.jpg

Genre: nouvelles

Thème principal: Regroupement de personnes pour raconter des histoires : 16 nouvelles parmi lesquelles « La Rempailleuse », « Aux Champs », …

Résumé : c'est l'histoire d'un vieux baron des Ravots qui est paralysé qui ne pouvait plus          chasser, il ne pouvait que tirer des pigeons de la fenêtre de son salon ou du haut de son grand perron et le reste du temps il lisait. Au moment des chasses à l'automne  il invitait tous les chasseurs d'à côté au « conte de la bécasse », rituel où chaque convive mange une bécasse, puis donne au baron la tête de la bécasse, celui-ci la met sur le goulot d'une bouteille et la fait tourner jusqu'à ce que le bec désigne le gagnant qui aura le plaisir de manger les têtes et de raconter une histoire.

Passage (s) remarquable(s): P 116 "Aux Champs"

"Vous voulez que j'vous vendions Charlot? Ah! mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère ça! Ah! Mais non ! Ce serait abomination.

[…]  La paysanne, exaspérée, lui coupa la parole :

C'est tout vu, c’est tout entendu, c’est tout réfléchi.....Aller- vous- en, et pi, que j'vous revoie point par ici. C'est ti permis d'vouloir prendre un éfant comme ça! »

 Commentaire(s) sur ce(s) passages(s): Quand j'ai lu ces passage haute voix et avec le ton  j'ai rigolé surtout sur le langage des paysans , ces passage là sont très amusants .

 Critique personnelle: Ce livre-là m’a vraiment plu surtout le conte « Aux champs », pour moi je lui mettrais un 8/10. Je le recommande.

Titouan, 4C, novembre 2012 utlign1

 

Auteur : Maupassant.

Titre : Contes de la bécasse, « La bécasse ».

Edition : Albin Michel.

Date : 1984.

Collection : Le livre de poche.

Genre : Recueil de contes, nouvelles.

Thème principal : Le thème principal est un chasseur qui a chassé pendant de longues années devient paralysé des deux jambes et ne peut plus exercer son activité. Ce chasseur est un baron. Il aime aussi inviter quelques-uns de ses amis chasseurs pour manger de la bécasse et pour se raconter des histoires de chasse.

Le sujet : C’est l’histoire d’un vieux baron qui pendant quarante ans avait été le roi des chasseurs de sa province mais depuis cinq ou six années, il était paralysé des deux jambes, il ne pouvait tirer que les pigeons ou d’autres oiseaux de sa fenêtre. Il avait un valet qui lui tenait et rechargeait ses armes, un autre valet était caché derrière les arbres et lâchait de temps en temps des pigeons. Même si le vieux baron ne pouvait plus chasser, il invitait des amis chasseurs pour qu’ils lui racontent leurs exploits de la journée. Les soirs de ces réunions, au dîner, ils mangeaient toujours de la bécasse, ils gardaient les tête pour en faire des chandeliers. Ils désignaient un invité qui devait croquer le crâne. Puis une fois leur repas terminé ils devaient conter une histoire comme :

« Le cochon de Morin », « La folle », « Pierrot », « Menuet », « La peur », « Farce normande », « Les sabots », « La rempailleuse », « En mer »,  « Un normand », « Le testament », « Aux champs », « Un coq chanta », «Un fils », « Saint-Antoine » ,  «L’aventure de Walter Schnaffs ».

Choix d’un passage remarquable d’une dizaine de lignes :

Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le « conte de la bécasse ».Au moment du passage de cette reine des gibiers, la même cérémonie recommençait à chaque dîner. Comme il adorait L’incomparable oiseau, on en mangeait tous les soirs, un par convive ; mais on avait soin de laisser dans un plat toutes les têtes. Alors le baron, officiant comme un évêque, se faisait apporter sur une assiette un peu de graisse, oignait avec soin les têtes précieuses en les tenant par le bout de la mince aiguille qui leur sert de bec. Une chandelle allumée était posée près de lui, et tout le monde se taisait, dans l’anxiété de l’attente. »

 

J’ai choisi ce passage car je trouve qu’il a de l’importance dans le texte, il nous montre pourquoi on a appelé la nouvelle « la bécasse ». Donc le titre va bien au livre.

 

Jugement critique personnel :

J’ai aimé cette nouvelle car elle n’est pas très longue à lire, son titre va bien avec son texte, elle est facilement lisible.

Je conseille ce livre à tous les lecteurs qui aiment lire peu.

Emma D, 4 A, février 2013 utlign1

 

 

Titre : Contes de la bécasse

Auteur : Guy De Maupassant

Edition : Le livre de poche.

Nouvelle présentée : La folle.

Résumé. La folle : 

C’est une  vielle femme, une espèce de folle qui s’est égarée sous le coup du malheur car elle a perdu en un seul mois son père, son mari et son fils. Il y avait une bonne qui restait à côté d’elle pour la faire boire et manger, elle ne voulait que rester coucher dans son lit. Pendant quinze années ce fut comme ça jusqu’à ce que la guerre vint. Un officier s’intéressa à sa maladie : il voulut lui parler et, voyant qu’elle ne lui répondait pas et qu’elle ne voulait pas sortir,  il se vexa et il la fit porter avec son lit au milieu des bois où elle mourut de froid et de faim.
 

Mon passage remarquable est le passage de la page 31 « Quand la mort est entrée une fois dans une maison, elle y revient presque toujours immédiatement, comme si elle connaissait la porte. »

Jugement critique personnel : C’est une triste histoire. Mais je l’ai bien aimée.

Laetitia, 4A, mars 2013utlign1

Nom de l'auteur: De Maupassant

Prénom de l'auteur: Guy

Titre du recueil: Contes de la Bécasse

Édition: Albin Michel

Collection: Le livre de poche

 

Titres des nouvelles qui contient ce recueil: La Bécasse, Ce cochon de Morin, La folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce normande , Les sabots, La rempailleuse, En mer, Un normand, Le testament, Aux champs, Un coq chanta, St-Antoine, L'aventure de Walter Schnaffs, (17 nouvelles).

 

Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation +N° de la page de ces citations:

 

A: abomination: « Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère çà ! Ah mais non ! Ce serait une abomination.» p.116, Aux champs

B: Bonne femme: «la bonne femme pleurait dans son assiette » p.120, Aux champs

C: Cochon: « Pourquoi diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitât de «cochon» » p.15, Le cochon de Morin

D: Dame: « Madame Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes » p.37, Pierrot

E : Épouvantable peur: « Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger, il hurla comme dans l'angoisse d'un rêve; et la peur, l’épouvantable peur entrait en moi.» p.57, La peur

F: Fille: « La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs

G: Garçon: « La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs

H: Homme: « La plus violente douleur qu'on puisse éprouver, certes, est la perte d'un enfant pour une mère, et la perte d'une mère pour un homme.» p.45, Menuet

I: Inquièter : « En voilà un qui les exécute facilement et qui les lâche sans remords, et qui ne s'en inquète guère.» p.128, Un fils

J: Jeune femme: « La jeune femme reprit:

- Il faut que je les embrasse ! Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit.» p.114, Aux champs

K: ?

L: La peur : « Mais la peur, ce n'est pas cela. Je l'ai pressentie en Afrique. »

M : Mère : « Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère, ça ! » p.116, Aux champs

N : Not' maître : « Me... not' maître... Il hurlait : « J'aime pas manger tout seule, nom de D...» p.73, Les sabots

O: Oncle : « L'oncle, M. Tonnelet, était justement un abonné du Fanal, un fervent coreligionnaire politique qui nous reçut à bras ouverts » p.20, Ce cochon de Morin

P: Père Tuvache : « Alors père Tuvache articula d'un ton coléreux : « Vas-tu pas nous r'procher d' t’avoir gardé ? » p.120, Aux champs

Q:?

R: Rolleport :La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» p.113, Aux champs

S: Saint-Antoine : « Lorsque arriva l'invasion prussien, Saint-Antoine, au cabaret, promettait de manger une armée » p.141, Saint-Antoine

T: Tuvache : « Les Tuvache, sur leur porte, le regardaient partir, muets, sévères, regrettant peut-être leur refus. » p.118, Aux champs

U:?

V: Vieille mère : « La vieille mère lavait ses tabliers; le père infirme , sommeillait près de l'âtre » p.119, Aux champs

W: Walter Schnaffs : « Walter Schnaffs se jugeait le plus malheureux des Hommes. » p.153, Les aventures de Walter Schnaffs

X:? Y:? Z:?

 

Point de vue sur le livre :

 

J'ai bien aimé ce livre, car les histoires se passent en Normandie, ma région préférée et les nouvelles sont intéressantes et drôles.

Baptiste W, 4B                                                                                                               15/10/2014

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Titre du recueil : Les Contes de la Bécasse

Edition : Albin Michel

 Collection : Le livre de poche

 Titre des Nouvelles que contient ce recueil : La Bécasse, Ce cochon de Morin, La Folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce Normande, Les Sabots, La Rempailleuse, En Mer, Un Normand, Le Testament, Aux Champs, Un coq chanta, Un fils, Saint Antoine, L’aventure de Walter Schnaffs

 

Abécédaire :

 

A – Automne : « A l’automne, au moment des chasses, il invitait, comme à l’ancien temps, ses amis, et il aimait entendre au loin les détonations ». Page 8, La Bécasse.

 

B – Bécasse : «  Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le conte de la bécasse » Page 9, La Bécasse.

 

C – Cochon : «  Ca, mon ami, dis je à Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots-ce cochon de Morin ». Page 15, Ce cochon de Morin.

 

D – Dévorait : « Morin la dévorait des yeux ». Page 17, Ce cochon de Morin.

 

E – Enfant : « Jadis, à l’âge de vingt cinq ans, elle avait perdu, en un seul mois, son père, son mari, et son enfant nouveau-né ». Page 39, La Folle.

 

F – Folle : « On ne revit plus la folle ». Page 43, La Folle.

 

G – Gendarme : « Le Gendarme présent arrêta Morin ». Page 20, Ce cochon de Morin.

 

H – Hautain : « Alors elle, qui n’avait point dormi, regardant cet homme dépeigné, aux yeux rouges, à la lèvre épaisse, répondit, du ton hautain dont elle parlait à son mari ». Page 195, Un coq Chanta.

 

I –  Instruction : « Et il savait interroger à la façon du juge d’Instruction ». Page 7, La Bécasse.

 

J – Jadis : « Oui, Monsieur, c’est un vrai temps de jadis ». Page 68, Conte de La Bécasse.

 

K – ?

 

L – Livide : « Nous restions immobiles, livides, dans l’attente d’un événement affreux, l’oreille tendue, le cœur battant, bouleversés au moindre bruit ». Page 85, La Peur.

 

M – Marmaille : « Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir ».  Page 174, Aux Champs.

 

N – Noblesse : « C’étaient sans cesse des fêtes, des chasses, des plaisirs nouveaux auxquels il invitait la noblesse des châteaux environnants. » Page 188, Contes de la Bécasse.

 

O –.Orateur : « Toutes les cinq minutes un nouvel orateur prononçait : « J’entends : « Birr !Birr ! » et une compagnie magnifique me part à dix pas. ». Page 9, La Bécasse.

 

P – Prussiens : «  Dans les premiers jours de décembre, les prussiens pénétrèrent à Cormeil ». Page 40, La Folle.

 

Q – Quai : « Tu as connu Morin, n’est ce pas, et tu te rappelles son grand magasin de mercerie sur le quai de la Rochelle ? ». Page 15, Ce Cochon de Morin.

 

R – Rempailleuse : « Son père était rempailleur et sa mère rempailleuse ». Page120, La Rempailleuse.

 

S – Soldat : «  Deux heures plus tard les soldats revinrent tout seuls ». Page 43, La Folle.

 

T – Tuvache : « La première des deux demeures, en venant de la station d’eau de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure  abritait les Vallin, qui avait une fille et trois garçons ». Page 174, Aux Champs.

 

U – ?

 

V – Voisin : «  Non, c’est aux voisins ; vous pouvez y allez si vous voulez. » Page 178, Aux Champs.

 

W – WALTER : « Walters Schnaffs  se jugeait le plus malheureux des hommes ». Page 239, L’Aventure de Walter Schnaffs.

 

X –Y –Z – ?

 

Anne B.  4B                                                                                                                       16/10/2014

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Nom puis prénom de l’auteur

: Guy de Maupassant.

Titre du recueil : Contes de la bécasse.

Collection : Classique Français

Édition : Maxi Poche.

Titres des nouvelles que contient ce recueil :

La Bécasse , Ce cochon de Morin , La Folle , Pierrot , Menuet , La Peur , Farce normande , Les Sabots , La Rempailleuse , En mer , Un Normand , Le Testament , Aux Champs , Un coq chanta , Un Fils , Saint-Antoine , L'aventure de Walter Schnaffs.

 

Abécédaire des mots clés de ce recueil :

A. Adorait: il adorait les contes, les petits contes polissons, et aussi les histoires vraies arrivées dans son entourage .page11, La Bécasse

B.belle: Une belle jeune fille vint  nous ouvrir. Page 20, Ce cochon de Morin

C. Cormeil: Vous connaissez ma propriété dans le faubourg de Cormeil. Page31, La Folle

Donc.Donc, on volait dans le pays, puis on pouvait revenir. page37, Pierrot

E. elle: Elle est très vieille, mais vive comme d'hier. page46, Menuet

F. fichtre: « fichtre ! Je vous réponds bien que j'ai eu peur, moi. » page52,La peur

G. gars: Le marié était beau gars, Jean Patu, le plus riche fermier du pays. Page59, Face Normande

H. honnête: « -M. Césaire Omont voudrait bien trouver une jeune fille honnête comme servante. » page 66, Les sabots

I.il:Il en est des amoureux comme des ivrognes. page74,La rempailleuse

J. Javel: Javel aîné était alors patron d'un chalutier. page83, En mer

K.il n'y a pas de mots commençant par k dans le conte Un Normand

L. liés: Cet homme me plaisant tout à fait, nous fûmes bientôt liés. Page 99, Le testament

M. marmaille :Devant les deux portes voisines, toute la marmaille  grouillait du matin au soir. page105, Aux champs

N.ne: « Ne  m'avez- vous point donné l'ordre d'abattre moi-même l'animal ? »page115, Un coq chanta

O. on: Dans tout métier on fait la part des profits et pertes. Page121, Un fils

P. pénétrer : Le Normand malin le pénétra tout de suite, et, rassuré, lui fit signe de s'asseoir. Page 134 , Saint-Antoine

Q.qui:Qui donc les nourrirait et les élèverait ? page146, L'aventure de Walter Schnaffs.

R. récits: Voici quelques-uns de ces récits: page13,La bécasse

S. suffirait: Il me suffirait peut-être d'être audacieux. page16, Ce cochon de Morin

T. tenez: Tenez, dit M. Mathieu d'Endolin, les bécasses me rappellent une bien sinistre anecdote de la guerre.

U.il n'y a pas de mots commençant par u dans le conte de Pierrot

V. venir: Je venais là presque tous les matins. Page 47,Menuet

W. wagon: Quand elle eut fait ses adieux à la vieille, elle entra dans la salle d'attente, et Morin la suivit; puis elle passa sur le quai, et Morin la suivit encore; puis elle monta dans un wagon vide, et Morin la suivit toujours. page16, Ce cochon de Morin

X.il n'y a pas de mots commençant par x dans le conte de Farce Normande

Y.il n'y a pas de mots commençant par Y dans le conte de Les sabots

Z.il n'y a pas de mots commençant par Z dans le conte de La rempailleuse

mon avis: j'ai trouvé qu'il y a beaucoup d'amour dans chaque conte de ce livre et de la tristesse. J'ai bien aimé ce livre.

Flora R 4B                                                                                                             le 16 octobre 2014

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 15:07

      Et sous ce lien, une dix-huitième lecture, arrivée en retard.

Commentaires critiques mais bienveillants vivement souhaités.

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 09:47


Auteur : Claire Mazard

Titre : L.O.L.A

Edition du Père Castor9782081646759.jpg

Genre : récit de vie

Thème principal : Lola, une fille de treize ans, reçoit des lettres d'une personne qu'elle ne connaît pas mais qui a déécidé de faire d'elle sa confidente et c'est comme ça que Lola va découvrir la vie de cet inconnu.

Résumé : Lola, une jeune adolescente, et Medhi, son meilleur ami, se mettent à la recherche du mystérieux inconnu qui envoie des lettres en cachette à Lola, sans les signer.

L'inconnu a choisi Lola car il voulait lui confier une mission, à elle et pas à une autre personne car Lola et son demi-frère Jérôme _demi-frère que Lola n'arrive pas à accepter_ lui font penser à lui-même avec sa cousine. Sa cousine était devenue sa soeur après la mort de ses parents et il se rappelle combien il l'avait fait souffrir. Désormais, il s'en veut, il aimerait pouvoir s'excuser mais il va bientôt mourir et c'est pour cela qu'il charge Lola de cette mission.

Extrait choisi :

Jérôme : -Je t'aime pas Lola, quand tu parles comme ça.

Lola : - Eh bien, moi non plus je t'aime pas.

Medhi : - Laisse tomber, Lola. Je mets des hamburgers au micro-onde ?

Lola : - Si ça t'éclate de jouer les garde-mioches !

Tous les mercredis après-midi, même galère : se coltiner Jérôme, trois ans, fils de Michel, le nouveau compagnon de ma mère.

Jérôme : -Et mon dessert, Lola ?

Lola : Allez, à la sieste !

Lola : -Ouf, deux heures avant de se replonger dans l'enfer "jérémien" du mercredi : "Je veux aller au parc, je veux aller ..., je veux", ras le bol du morveux !"

Jugement personnel : J'ai bien aimé ce livre car il montre comment des personnes peuvent se détester et ensuite se regretter, je trouve cette histoire émouvante.

Marie-Reine L, 4C, 15/10/2012

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Titre : L.O.L.A

Auteur : Claire Mazard

Illustrateur : Marie Diaz

Editeur : Père Castor Flammarion

Collection. Castor poche

J'ai beaucoup aimé ce livre car il y a du suspense et que l'auteur de la lettre vit la même histoire que l' héroïne, Lola : leurs parents ont divorcé.

Voici un passage significatif , extrait de la première lettre que reçoit Lola d'une personne inconnue :

'Lola,

Tu ne me connais pas, je ne te connais pas vraiment non plus et ma démarche va te paraître curieuse, un peu folle, irréelle. J'ai une maladie, il est trop tard pour en guérir et je vais bientôt mourir"

Marie, 5B, 21/11/2008

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Plouvara, le 6 février 2016.

 

Chère auteure,

Je vous écris pour vous parler de votre livre.

Le passage qui m'a touchée c'est quand l'inconnu parle dans ses lettres de la mort de sa maman parce qu'à ce moment-là il se rend compte de ses erreurs. Ce qui m'a déçue c'est comment Lola se comporte avec son demi-frère, qu'elle traite comme un «morveux». Je n'ai pas été déroutée par l'intrigue, je n'aurais rien changé, la fin du livre m'a plu. Les personnages ont des réactions réalistes,Lola a un comportement méchant avec son demi-frère, Mehdi soutient beaucoup Lola, il est toujours là pour elle. Les personnages posent beaucoup de doutes.

Je suis vite rentrée dans l'histoire, je me sentais à la place de Lola comme si j'étais elle. Le livre est agréable à lire, il n'est pas écrit trop petit ni trop gros, le vocabulaire n'est pas trop compliqué.

Merci beaucoup de m'avoir fait découvrir cette jolie histoire.

Romane G

 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 17:23

titre du livre : Lettres d’amour de 0 à 10amour.jpg

auteur : Susie MORGENSTERN

maison d'édition :Neuf de L'école des loisirs

résumé du livre :Ernest est un jeune homme de 10 ans qui n’a plus de parents car sa mère est morte le jour de sa naissance et son père, de douleur, est parti. Ernest cohabite avec sa grand- mère, Précieuse, qui est très monotone et régulière. Quand Victoire arrive dans sa vie, elle provoque une tornade de bonheur et de nouvautés. Elle va tout changer dans la vie d'Ernest...

L'extrait qui m'a le plus plu : « Elle l’attendait quand il ressortit. Ernest marchait d'un pas déterminé comme si Victoire n'était pas là. Pour bien lui faire sentir sa présence, elle lui prit le bras et l’interrogea : « Ça fait longtemps que tu habites ici ? »

Ernest hocha la tête .

« Tu ne manges jamais à cantine ? »

Il fit non de le tête.

« Tu as des frères et sœurs ? »

Sa tête bascula de gauche à droite.

« Tes parents sont ils sévères ? »

Peu importait à Victoire qu’Ernest réponde ou pas à son interrogatoire, elle avait assez de conversation pour deux . « Mes parents sont très sévères:on n'a pas le droit de regarder la télé avant d’avoir fini ses devoirs. Quelle est ton émission préférée? Quel est ton plat préféré? Qui est ton chanteur préféré? Qu'est ce que tu fais comme activité le mercredi? Moi c'est piano et piscine. Où allez vous en vacances? Est ce que tu fais une collection?  Moi c’est les papiers métalliques des tablettes de chocolats. As-tu visité un pays étranger ? Tes parents te permettent-ils d’aller à des boums ? »

 Pourquoi je préfère cet extrait : J'ai préféré cet extrait car de voir Victoire poser des questions sans cesse et ne pas avoir de réponses doit l'énerver alors que Ernest est tout à fait le contraire de Victoire.

 pourquoi je conseille ou ne conseille pas ce livre : Je conseille ce livre pour ceux qui aiment lire car il est long, il est très bien écrit et l'histoire est très intéressante.

 Julie M, 4C, 14/10/2012 

 

 

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 17:11

Titre : Lettres à une disparue

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Auteur : Véronique Massenot

Source : CDI

Genre : Ce livre, composé de lettres, est réaliste.

Le sujet : Ce livre nous parle d’une mère séparée de sa fille portée disparue, victime de la barbarie dans un pays soumis à la dictature. Celle-ci contient ses émotions en écrivant à sa fille de façon je pense à supporter l’insupportable. 

Ce livre ayant beaucoup de suspense nous apprendra par la suite que sa fille Nina est vivante.

Avis personnel et général de la lecture :

Ce livre est passionnant. C’est un livre vivant dont on ne se lasse pas tellement son contenu est poignant.

Emilie H, 4C, 08/10/2012

 

 

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INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES :

 Véronique Massenot

 Lettre à une disparue

 Date : Non indiquée ;

 Editeur : Le Livre de Poche Jeunesse ;

 Collection : Contemporain_ Collège

 Genre :  Contemporain

 Thème principal : Une mère écrit à sa fille, qui est portée disparue.

 Le sujet : L’histoire se passe en Amérique latine. Ce livre parle de  Mélina, la mère qui écrit à sa fille, Paloma qui est “ portée disparue “. Paloma a été enlevée par des militaires. Au bout de quatre ans, Mélina décide d’écrire pour exprimer sa douleur et son amour, pour recréer un lien avec Paloma. Mais Paloma ne répond pas.

Puis un jour, on apprend que Nina, la fille de Paloma serait vivante…

 

Choix d'un passage remarquable : Dans ce livre, mon passage préféré a été :

« Huit ans.

   Huit ans, petite colombe, qu’ils t’ont assassinée.

    Huit ans de désespoir, huit ans de dignité

    Huit ans, cent ans, mille ans.

     Mille ans d’impunité.

    Tu n’as plus de pays que celui de mon cœur.»

      J’ai aimé ce passage car je le trouve émouvant. C’est la dernière lettre qu’adresse Mélina à Paloma. Puis après, Mélina décède et c’est Nina qui écrit une lettre qui sera la dernière du livre à Paloma.

Jugement critique personnel : Moi qui n’aime pas lire j’ai adoré ce livre. Je vous le conseille fortement car il émouvant et accrochant. J’ai adoré.

Mathis LB, 4A, 11/10/2012

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Titre : Lettres à une disparue

Auteur : Véronique Massenot

Editeur : Hachette jeunesse, 1998

Genre : roman épistolaire

Thème principal : lettres d'une mère à sa fille  

Le sujet : C'est l'histoire de Melina qui écrit des lettres à sa fille Paloma. Celle-ci a disparu avec son mari et sa fille depuis 6 ans et Melina pense qu'ils ont été enlevés. En effet, cette histoire se déroule dans un pays soumis à la dictature. Maintenant, Melina pense avoir retrouvé la trace de sa petite-fille et elle fait tout pour la récupérer.  

Passage choisi : p. 56 "Sur ton lit, une poupée. Les bras tendus, les joues dorées, qui semblait m'accueillir. Et j'ai revu Nina, dans le jardin, passant des heures à la coiffer, la faire manger, la promener dans sa voiture d'enfant. Elle était là, debout, à l'arrêt d'autobus. J'ai traversé la place. Nous nous sommes observées. Face à face. J'ai ouvert mon grand sac. "Tiens, Nina, ta poupée." Très lentement, la fillette a tendu le bras, saisi le jouet. Longuement l'a dévisagée, lui caressant les cheveux et les joues. Et sans me regarder, sans prononcer un mot, s'est enfuie en courant."

Remarque sur ce passage : J'ai choisi ce passage car, avec cette poupée qui était à sa fille, puis à sa petite fille, Melina pense pouvoir renouer des liens avec Nina. Malheureusement la petite fille part en courant et cela annonce que les retrouvailles familiales ne seront pas faciles.

Jugement personnel : J'ai bien aimé ce livre. Je l'ai lu rapidement, il est assez facile à comprendre. L'histoire est intéressante : on apprend des choses sur les pays soumis à la dictature, les arrestations, les violences. C'est aussi émouvant.  

Bleuenn, 5C, mars 2013 

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Les personnages de ce livre sont une mère et sa fille disparue, Pamola ( pg 9 et 17) Mon personnage préféré est la mère car elle fait tout pour chercher sa fille. Ce personnage se préoccupe de raconter  l’histoire de son pays et sa recherche du passé. (pg 15,16,17,18,20…) (pg 37…)

Je n’ai jamais rencontré ce type de personnage auparavant. L’auteur a créé des personnages secondaires dans le but de dire que ce n’est pas un personnage qui a été enlevé mais plusieurs.

L’auteur a créé du suspense en faisant sorte que Pamola n’écrive pas à sa mère et en créant une surprise à la fin.

Il divise le livre en huit lettres suivant les recherches du personnage. L’auteur met dans ses lettres des anecdotes. Mais l’élément le plus important du livre est justement la recherche de Pamola. Je ne sais pas pourquoi ce livre se termine de cette façon : Pamola  a-elle bien reçu ces lettres ? L’auteur essaye sûrement de nous dire qu’il faut aimer la famille.

Si je rencontrais l’auteur, je lui demanderais pourquoi elle n’a pas choisi un pays précis pour situer  l’histoire.

  

Bastian, 4A, octobre 2013 

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                                                                                    Jeudi 4 février 2016, à Plaintel

 

                Chère auteure,

 

             Je vous écris aujourd’hui pour vous donner mes impressions à propos de l’histoire que vous avez écrite.

                Vos personnages étaient très faciles à comprendre et l’on se met facilement dans leur peau. J’ai apprécié tous les personnages de l’histoire mais plus particulièrement : Mélina, Lélia et Pablo. J’ai beaucoup aimé le courage et la détermination du personnage principal de votre histoire, Mélina, qui n’a pas baissé les bras et a fini par retrouver sa petite fille. Il y avait également Lélia qui a beaucoup aidé  Paloma dans la recherche de sa petite fille et lui a transmis sa force et son espoir dans sa quête et le mari de Mélina qui a été le premier à croire qu’ils pourraient retrouver leur petite fille.

                J’aurais, par contre, préféré une autre fin, plus joyeuse. Votre histoire a une fin tragique, puisque Paloma meurt. J’aurais aimé la voir heureuse plus longtemps aux côtés de sa petite fille, Nina, dont elle venait juste de se rapprocher et d’acquérir la confiance et de son mari, Pablo, avec qui elle avait traversé toutes les épreuves : de la guerre à l’enlèvement de leur fille et de leur petite fille. J’aurais aussi préféré que Paloma donne quelques signes de vie, et réapparaisse après sa disparition pour qu’elle puisse revoir sa fille et continuer la vie qu’elle avait avec elle avant qu’elles ne soient séparées.

               J’ai beaucoup aimé votre style d’écriture. L’histoire était très facile à lire et à comprendre, le vocabulaire était très accessible car vous n’employiez pas de mots trop compliqués. L’histoire était de la bonne longueur : ni trop longue ni trop courte. J’ai tout de suite aimé le sujet du livre qui parle de la vie d’une famille et qui pourrait très bien être une histoire vraie, et le fait que l’histoire se passait après une guerre violente rendait l’histoire encore plus réaliste. C’était un livre très agréable à lire. Le moment que j’ai préféré c’est l’épilogue pendant lequel la petite fille de Mélina écrit à son tour à sa mère après la mort de sa grand-mère.

               Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire cette lettre qui contient mes impressions sur votre histoire, mes plus sincères salutations.

                                                                                                                      

                                                                                                                       Evaelle.

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Dans un pays soumis à la dictature.                                

        

         Chère Paloma,

         Ma tendre fille, toi qui es partie si tôt en laissant ta fille seule avec son père.

       Si tu me voyais Paloma…Depuis quatre ans, je me suis laissé vaincre. Par le temps passé à t’attendre, par l’espoir sans cesse déçu, par la tristesse et le découragement. Au début, je ne voulais pas croire à ta « disparition ». Je pensais : « Ils l’ont enlevée, interrogée, mais comme elle refuse de parler, ils la gardent en prison ».     

        Ne t’en fais pas ma fille, ton mari et moi-même sommes en train de nous battre contre la justice pour récupérer ta petite Nina adorée.

         Trois semaines ! Trois semaines et ce soir le verdict attendu. Nina nous est « rendue » !

         Je suis tellement fière de t’annoncer cette nouvelle ! Ma fille, ma Paloma, ton enfant est sauvée. Elle grandira parmi les siens et dans la vérité…

          Ma chérie je te remercie pour ta compréhension.

                                                         Maman. 

  1. Le passage qui m’a déçu est le moment où Nina ne parle pas directement à sa grand-mère car celle-ci s’est battue pour elle mais  sa petite- fille ne lui parle pas.
  2. Non je n’ai pas été dérouté par l’intrigue. La fin que j’aurais voulu lire est que Paloma, sa fille revienne dans la famille.
  3. Je trouve que : La mère est triste. Sa petite fille est perdue moralement,                                           elle est désemparée et calme.   
  4. Je me suis un petit peu identifié à la grand-mère car j’aime bien voyager et faire des dessins comme elle.

 

  1. Non je n’aime pas le style de l’auteur car je préfère le roman policier qu’épistolaire. Le livre très souvent répétitif et le vocabulaire est parfois complexe tel « propice aux confidences ».

Pierre-Anne, 4A, 21 février 2015

 

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25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 11:19

Octave Mirbeau est l'auteur du Journal d'une femme de chambre et pourtant le film qui en est tiré, avec Jeanne Moreau comme inoubliable héroïne, est bien plus célèbre que le livre et que son auteur. A travers ce livre, j'ai donc découvert, l'auteur et son écriture. Même si selon la 4e de couverture, Mirbeau fut "salué par les plus grands, de TolstoÏ à Apollinaire, en passant par Zola", les quatre nouvelles qui composent ce recueil ne m'ont pas vraiment convaincue :

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"Mémoire pour un avocat" est la plus longue des quatre nouvelles (une cinquantaine de pages), elle se présente comme un "mémoire" envoyé par le narrateur à son avocat afin de l'aider à plaider sa cause dans son divorce. Ce qu'il reproche à son épouse, ce n'est pas une infidélité. En réalité, "sa conduite fut toujours parfaite". Ce qu'il lui reproche c'est au fond d'avoir cessé du jour au lendemain, dès leur mariage, de correspondre  à son idéal féminin de la femme semblable à lui-même en tous points par ses goûts, ses habitudes : "nous aimions les mêmes poètes, les mêmes paysages, la même musique, les mêmes pauvres". Dès leur départ en voyage de noces, Jeanne est devenue insensible, froide, dominatrice, calculatrice, avare et lui-même, a toujours été incapable de lui résister, "car j'abdiquai, tout de suite entre les mains de ma femme", dit-il. Plusieurs mois de fiançailles ne lui avaient pas laissé imaginer le calvaire que serait pour lui une vie conjugale avec Jeanne, il n'avait vu alors que sa beauté et la femme idéale dont il projetait l'image en elle.

Dans "Clothilde et moi" le narrateur est encore le protagoniste principal. Pour profiter de trois mois en tête à tête avec Clothilde, la femme qu'il aime en cachette à Paris dans une relation adultère, il loue une "belle villa" sur la côte anglaise. Clothilde et lui attendent avec enthousiasme ces mois de liberté où ils seraient parfaitement libres de s'aimer. Pourtant, le moment venu, Clothilde arrive avec deux semaines de retard et "trente-trois grosses malles". Elle passe alors tout son temps à installer ses nombreuses toilettes dans la villa qu'elle envahit et qu'elle trouve trop petite et incommode, tant et si bien qu'elle finit par demander à celui qui n'a d'yeux que pour elle de sortir car elle manque de place. 

Dans "Le Pont", le narrateur vient d'épouser "une petite femme rose et blonde, très singulière, vive et charmante petite bestiole qui sautait, de-ci, de-là comme un chevrau dans la luzerne, et babillait, comme un oiseau dans les bois au printemps." Laure était sa "sixième épouse": des cinq autres deux étaient mortes on ne sait pourquoi, trois l'avaient quitté, on ne sait pourquoi. A la fin d'une promenade, Laure propose de prendre un raccourcis et de descendre vers la rivière pour regagner leur maison sur l'autre rive. Le narrateur a beau lui dire que c'est impossible car il n'y a pas de pont, elle s'entête et quand arrivée à la rivière, elle doit se rendre à l'évidence, elle rebrousse chemin, épuisée et fachée, irrémédiablement fachée. "Mon Dieu ! [pense le narrateur, ...], encore une qui m'échappe... Et Pourquoi ? ... Et que se passe-t-il en elle? [...] Déjà Clémence m'avait quitté, parce qu'un soir, en sortant du bal, il avait plu et que sa toilette fut perdue..."

"Veuve" est la dernière nouvelle du recueil : le narrateur est l'ami d'un couple très uni, Lucien et Lucienne. Un jour, il reçoit une lettre de Lucienne qui lui dit "Lucien est mort. Venez tout de suite." Il se précipite, persuadé qu'il y a une erreur, que c'est impossible, il trouve Lucienne en pleurs, Lucien est bien mort. Lucienne est éplorée, si éplorée, qu'elle... tombe dans ses bras.

Ces quatre nouvelles me paraissent finalement très datées : les narrateurs, sans doute très proches de l'auteur, semblent tous souffrir d'une méconnaissance des femmes ce qui les mène tous à la désillusion. Certains sans doute pourraient les taxer de misogynie mais cela me paraît excessif car ces narrateurs sont des êtres falots, sans caractère, prisonniers de leurs a priori. Quant à l'écriture, elle est très dépouillée mais manque un peu de relief à mon goût.

Publié dans la nouvelle collection étonnantiss!me de Flammarion, ce recueil est conçu pour la lecture cursive en 1e.  Il est en effet très facile à lire en lecture cursive.

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 23:33
                                                                        
 Acherub 05 couv3duteur : Robert Muchamore
Série : Chérub
Titre : Les survivants (tome 5 de la série qui en compte 13)
Edition : Casterman
 
Les services de renseignements britanniques font appel à Cherub, un service d’agents
 âgés de six à dix-sept ans recueillis et entraînés dans des orphelinats et à leurs contrôleurs de mission pour prouver l’existence d’un lien entre une secte religieuse très importante et le groupe terroriste «Sauver la terre.»
James Adams, jeune adolescent de 14 ans,  un agent de Cherub, part en mission dans un campus de "survivants" en vue de se faire transférer dans une arche. Les "survivants" disent être des anges et pensent que les autres hommes sont des démons.
James grâce à ses résultats très concluants est transféré dans l’arche où il fait connaissance avec Rathbone, un enfant de Q.I. très élevé, fils du gourou qui a créé les survivants.
Mais celui-ci meurt , empoisonné par sa femme et sa mort déclenche une bataille entre démons et survivants. James, averti par son contrôleur de mission, s’enfuit par les égoûts et les forces de l’ordre font arrêter tous les survivants .
 
 
extrait choisi, page 203 :"Gloire à toi seigneur, nous sommes tes anges nés pour te servir.
Protège- nous. Nos âmes sont pures .Nos pensés sont honnêtes.
Nous sommes des chefs. Nous guiderons l’humanité …"
autre extrait représentatif :
" Pourquoi tu fais ça ? gémit James. C'est parce que je suis bleu marine, c'est ça ? Tu sais, tu ne peux pas en vouloir à tout le monde parce que tu n'as pas eu de chance avec tes missions. En tout cas, moi, je ne suis pas responsable.
- Allez, laisse-moi partir, implora James, furieux, en tortillant vainement. Si Takada nous trouve ici à son retour, on risque d'avoir de gros ennuis.
- T'inquiète. Il faut qu'elle aide les gamins à se changer. Ca nous laisse quelques minutes.
-- Quelques minutes pour quoi ?
- Tu vas voir, dit Dana en positionnant son visage à la verticale de celui de James.
Elle gonfla les joues pendant quelques secondes puis entrouvrit les lèvres. Un épais filet de salive s'en échappa et coula lentement sur le visage de son camarade."

J’aime ce livre car il y a de l’action, du suspense. Il est facile à lire et très bien écrit et je vous le conseille à vous, fans des récits d’actions.
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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 21:57

Série : Les évadés du zoo

titre du tome 1 : Signé : Le gang des animaux libres!9782747030144FS-copie-1.gif

Auteur: A. Marx -­‐ B. Pfeiffer

Edition : Bayard poche

Date: 2010

Genre: roman d’aventure

Sujet:

Dans une cage Hamlet, le loup, est mort de peur car il se demande comment il va échapper à Monsieur Leveau. Il veut utiliser sa fourrure pour en faire un manteau. Grâce à son ami il arrive à s’enfuir. Une fois dehors, il rejoint le gang des animaux libres. Mais il n’y a pas à manger et la troupe n’est pas très accueillante. Pourtant face au danger il va découvrir qu’il peut vraiment compter sur ses nouveaux amis.

 

Passage remarquable : "Il bande ses muscles, démarre en trombe,pile net au bord du toit, fait volteface et revient ventre à terre vers ses compagnons.

-­‐ Génial Ah! mes amis, c’est absolument merveilleux !

Puis, devant ses copains ahuris, il renverse la tête en arrière et pousse un long hurlement."

 Commentaire de ce passage :

Ce passage est bien parce que Hamlet reprend confiance en lui avec ses nouveaux compagnons.

Hamlet découvre ce que c’est de vivre en liberté.

 

Jugement personnel : Ce livre est intéressant, il y a du suspense. Hamlet trouve des amis pas très accueillants mais il découvre qu’il peut compter sur eux. Ce qui fait l’histoire passionnante et intéressante c’est que les amis d’Hamlet lui font découvrir la liberté. De plus, ce roman est plein d'imagination. Celle-­‐ci est exprimée par des passages merveilleux. Par  exemple, au retour, ils survolent les toits ….

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 15:54

Indications bibliographiques

Auteur : Marie-Aude Murail9782211092630FS.gif

Illustrations de la couverture : Robert Combas (peintre) 

Titre    : Baby-sitter Blues

Collection : Médium poche

Éditeur: Jean Lamour

Date: 03/1993

Éditions : école des loisirs

 Genre : récit de vie

 Thème principal : quelqu’un qui fait du baby sitting

 Résumé

C’est un garçon qui s’appelle Émilien. Il décide de se lancer dans le baby sitting  pour gagner de l’argent et avoir les mêmes choses que ses copains. Émilien raconte plein de mensonges à plusieurs personnes et une fois il s’est fait attraper par les familles dont il gardait les enfants. Il a gagné suffisamment d’argent pour acheter ce qu’il voulait. Finalement il s’aperçoit qu’il aimerait avoir un frère.

 Choisir un passage remarquable :

Page 12

« Maman se retourna lentement. De temps en temps, quand je la sens en colère, je ne sais pas pourquoi, mais je me recule un peu. Je ne suis pas un môme, pourtant.

On est presque de la même taille maintenant.

-       Si tu as tellement besoin d’argent, me dit-elle doucement, pourquoi est-ce que tu n’en gagnes pas ?

-       Ah non merci ! Cent sous pour vider la poubelle. Tu m’as regardé ?

-       Oui, tu es moche !

-       Si tu te crois belle…

On s’est regardés en plein et on a rigolé parce que, pour la beauté, franchement, on est à égalité.
C’est comme ça ma mère et moi. On s’énerve, on crie, on crie. Tout le monde crain
t le pire, le flot d’injures, la mare de sang, la paire de claques. Pour finir on rigole. »

 

J’ai choisi ce passage parce qu’il y a des réponses drôles.

 

Jugement critique personnel

 

J’ai trouvé le livre drôle : les mensonges qu’il racontait, les réponses au quart de tour. J’ai trouvé ce livre très facile à lire.

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Une présentation complémentaire est disponible sur le site de l'éditeur, voyez là 

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