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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 09:40

des_hommes_laurent_mauvignier_minuit_editions_list-copie-1.jpg

 

Bernard surnommé Feu de Bois traîne une existence d'exclu alcoolique et sale dans le village français de sa jeunesse où vit aussi toute sa famille. Il est revenu seul au village après avoir fondé une famille avec Mireille à Paris, à son retour d'Algérie. Nul ne sait ce que sont devenus sa femme et ses senfants.



Un après-midi d'hiver , il surprend tout le monde en offrant à sa soeur Solange, un cadeau d'anniversaire, un cadeau de valeur que tous perçoivent comme une provocation de la part d'un tel va-nu-pieds. 

 

 

 

"Après tout ce qu'on a fait pour toi.

Et qui aura parlé en premier de la Vieille. Qui aura dit : la mère.

T'es allé dépouiller la Vieille.

Et Solange lâchant d'un souffle,

Ça suffit,

Reprenant,

Taisez-vous." (p 36)


L'écriture, étrange par sa mise en page, ces phrases comme restées suspendues, fait peu à peu émerger  l'être humain sous sa rebutante carapace. Longtemps enfouis et pourtant si présents qu'ils provoquent chaque nuit les insomnies de Rabut, le cousin de Bernard, les souvenirs échappent peu à peu  au cahot : en 1960, le départ pour l'Algérie et puis cette guerre :

"comment on avait renoncé à croire aussi que l'Algérie, c'était la guerre, parce que la guerre se fait avec des gars en face alors que nous, et puis parce que la guerre c'est fait pour être gagné alors que là, et puis parce que la guerre c'est toujours des salauds qui la font à des types bien et que les types bien là il n'y en avait pas, c'étaient des hommes, c'est tout, et aussi parce que les vieux disaient c'était pas Verdun, qu'est ce qu'on nous a emmerdés avec Verdun, ça une saloperie de Verdun, combien de temps ça va durer encore, Verdun, et les autres après qui ont sauvé l'honneur et tout et tout alors que nous, parce que moi, avait raconté Février, tu vois, moi, j'ai même pas essayé de raconter parce qu'en revenant, il n'y avait rien pour moi..."  (p 229)

Aussi impossible à taire qu'inutile à dire, le souvenir tourmente les hommes et les photos ensoleillées ne disent rien de la peur, des horreurs, de l'ignominie et de l'impossibilité de s'en remettre tout à fait. 

Entre un "Après-midi" (premier chapitre) et un "Matin" d'hiver (dernier chapitre), Laurent Mauvignier plonge son lecteur au coeur des consciences, magma d'où émerge le passé des appelés, des fellagas, des harkis, des colons.

Un livre à lire, pour comprendre un peu...

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 14:18
Le Horla (1886 puis 1887) est une très célèbre nouvelle fantastique de Guy de Maupassant, disponible dans ses trois versions successives (Le Journal d'un fou de 1885 puis les deux versions du Horla de 1886 et 1887) en Folio ou ici en pdf.
Voici la version de 1887 lue pour littérature audio par Romy Riaud à écouter:



 
Le Horla  a déjà été adapté au cinéma à huit reprises, en série TV, courts métrages et films.
Ce court métrage français de Boris Labourguigne et Bastien Raynaud, remarqué au dernier Festival de Cannes, nous propose une autre lecture de l'oeuvre de Guy de Maupassant. L'oeuvre continue de fasciner ...


"In the form of a video-journal, the narrator conveys his troubled thoughts and feelings of anguish. All around him, he senses the presence of a being that he calls the "Horla". The presence of the Horla becomes more and more intolerable to the protagonist." Directors: Boris Labourguigne & Bastien Raynaud Running Time: 19'59 Country: France 

 

 

 

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 21:37

michauxCe  recueil a été publié en 1935. C'est sans doute son premier grand recueil. Le titre, comme souvent dans l'oeuvre de Michaux, est déjà tout un programme : qu'est-ce à dire ? La Nuit remue évoque cette étape éphémère, cette frontière fragile  entre sommeil et veille, entre néant et existence mais aussi cette frontière fragile et mouvante entre la paix sereine des certitudes diurnes et l'angoisse des cauchemars nocturnes. Tel un funambule, Michaux se promène sur ce fil étroit du réel et du rêvé, du clair et du sombre, de l"angoissant et du rassurant et pour cela, il renouvelle sans cesse les rythmes et les formes et fascine ses lecteurs comme sous l'effet d'une magie.  
Voici un choix de quelques poèmes, puisqu'il faut bien choisir, qui devraient convaincre bien mieux que mes paroles :

 






 P 9 "La nuit remue" I

« Tout à coup, le carreau dans la chambre paisible montre une tache. L'édredon à ce moment a un cri, un cri et un sursaut ; ensuite le sang coule. Les draps s'humectent, tout se mouille. L'armoire s'ouvre violemment ; un mort en sort et s'abat. Certes, cela n'est pas réjouissant. Mais c'est un plaisir que de frapper une belette. Bien, ensuite il faut la clouer sur un piano. Il le faut absolument. Après on s'en va. On peut aussi la clouer sur un vase. Mais c'est difficile. Le vase n'y résiste pas. C'est difficile. C'est dommage. Un battant accable l'autre et ne le lâche plus. La porte de l'armoire s'est refermée. On s'enfuit alors, on est des milliers à s'enfuir. De tous côtés, à la nage ; on était donc si nombreux ! Étoile de corps blancs, qui toujours rayonne, rayonne... »

 

 

 

p 30 "Un point, c'est tout"

" L'homme _son être essentiel_ n'est qu'un point. C'est le seul point que la Mort avale. Il doit donc veiller à ne pas être encerclé.
Un jour, en rêve, je fus entouré de quatre chiens, et d'un petit garçon méchant qui les commandait.
Le mal, la difficulté inouïe que j'eus à le frapper, je m'en souviendrai toujours. Quel effort ! Sûrement, je touchai des êtres, mais qui ? En tous cas mes adversaires furent défaits au point de disparaître. Je ne me suis pas laissé tromper par leur apparence, croyez-le ; eux non plus n'étaient que des points, cinq points, mais très forts.[....]"

 

 

 

 

p 79 "Contre !"

" Je vous construirai une ville avec des loques, moi.
Je vous construirai sans plan et sans ciment un édifice que vous ne détruirez pas
Et qu'une espèce d'évidence écumante soutiendra et gonflera,
Qui viendra vous braire au nez, et au nez gelé
De tous vos Parthénons, vos Arts Arabes et de vos Mings.
Avec de la fumée, avec de la dilution de brouillard et du son de peaux de tambours
Je vous assoirai des forteresses écrasantes et superbes,
Des forteresses faites exclusivement de remous et de secousses,
Contre lesquels votre ordre multimillénaire et votre géométrie
Tomberont en fadaises et galimatias et poussières de sable sans raisons.
Glas ! Glas ! Glas ! Sur vous tous! Néant sur les vivants!
Oui! Je crois en Dieu ! Certes, il n'en sait rien.
Foi, semelle inusable pour qui n'avance pas.
Ô monde, monde étranglé, ventre froid !
Même pas symbole, mais néant , je contre, je contre,
Je contre, et te gave de chiens crevés !
En tonnes, vous m'entendez, en tonnes je vous arracherai

 

 

 

http://poezibao.typepad.com/poezibao/images/michaux_montage_copie_basse_def_1.jpg

Ce que vous m'avez refusé en grammes!

Le venin du serpent est son fidèle compagnon.
Fidèle et il l'estime à sa juste valeur.
Frères, mes Frères damnés, suivez moi avec confiance;
Les dents du loup ne lâchent pas le loup.

C'est la chair du mouton qui lâche.

Dans le noir, nous verrons clair, mes frères!
Dans le labyrinthe, nous trouverons la voie droite!
Carcasse, où est ta place ici, gêneuse, pisseuse, pot cassé ?

Poulie gémissante, comme tu vas sentir les cordages tendus des quatre mondes !
Comme je vais t'écarteler !  "


Et l'un de mes préférés, dans le même recueil mais dans la section Mes Propriétés,

 

 

p 143, "Intervention"

"Autrefois, j'avais trop le respect de la nature. Je me mettais devant les  choses et les paysages et je les laissais faire.

 

Fini, maintenant j'interviendrai

J'étais donc à Honfleur et je m'y ennuyais.

Alors résolument, j'y mis du chameau. Cela ne paraît pas fort indiqué. N'importe, c'était mon idée. D'ailleurs, je la mis à exécution avec la plus grande prudence. Je les introduisis d'abord les jours de grande affluence, le samedi sur la place du Marche'. L'encombrement devint indescriptible et les touristes disaient : " Ah ! ce que ça pue ! Sont-ils sales les gens d'ici ! " L'odeur gagna le port et se mit à terrasser celle de la crevette. On sortait de la foule plein de poussières et de poils d'on ne savait quoi.

Et la nuit, il fallait entendre les coups de pattes des chameaux quand ils essayaient de franchir les écluses , gong ! gong ! sur le métal et les madriers !

L'envahissement par les chameaux se fit avec suite et sûreté.

On commençait à voir les Honfleurais loucher à chaque instant avec ce regard soupçonneux spécial aux chameliers, quand ils inspectent leur caravane pour voir si rien ne manque et si on peut continuer à faire route ; mais je dus quitter Honfleur le quatrième jour.

J'avais lancé également un train de voyageurs. Il partait à toute allure de la Grand-Place, et résolument s'avançait sur la mer sans s'inquiéter de la lourdeur du matériel ; il filait en avant, sauvé par la foi.

Dommage que j'aie dû m'en aller, mais je doute fort que le calme renaisse tout de suite en cette petite ville de pêcheurs de crevettes et de moules."

Deux exemplaires de La Nuit remue  sont disponibles au CDI du centre en 841 MIC

231-Honfleur.jpg

 

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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 22:26
Andreï Makine est l'auteur de l'inoubliable Testament français, roman qui lui avait valu le prix Goncourt, le prix Goncourt des lycéens et le prix Médicis en 1995 et, si je ne m'abuse, la naturalisation française qu'il tentait vainement d'obtenir (est-ce une légende?). Andrei Makine en effet est d'origine russe, il a vécu 30 ans en Russie mais titulaire d'un doctorat de littérature obtenu à la Sorbonne, il maîtrise parfaitement notre langue dans laquelle il a écrit le Testament français comme La vie d'un homme inconnu.

Etrange titre pour ce roman, un paradoxe dirait-on. Il faut attendre les toutes dernières pages, l'explication des énigmatiques F.I et H.I pour comprendre de quel "homme inconnu" l'auteur écrit la vie. Au début, il semble bien que le  héros soit le narrateur, Choutov (le clown, le bouffon en russe), un écrivain russe confronté au manque de reconnaissance de la littérature dans le Paris actuel. Certes, il " fait une télé", une fois, très tard et son amie Léa est fière de lui mais il voit bien que tout est faux, que les français ont la nostalgie des images des grands romans russes, de Saint-Pétersbourg (Là, je me sens visée !) mais qu'ils ne s'intéressent plus à la littérature. Quand sa (trop) jeune amie le quitte, Choutov s'envole vers son pays décidé à se ressourcer auprès de  son pays et peut-être, auprès de son premier amour.
Son pays, oui mais lequel ? L'Union Soviétique qu'il avait quittée nest plus: on s'y active, on construit, on consomme, on fait la fête... à tout prix ! Choutov est un peu perdu dans cette nouvelle Saint-Pétersbourg. Son amour de jeunesse le reçoit mais n'a pas de temps pour lui, trente ans ont passé, elle est devenue une femme d'affaires très reconnue et hyper active.
C'est dans l'appartement en pleine restructuration de celle-ci que Choutov engage une longue conversation avec un vieil homme sur le point d'être évacué des lieux. Ce vieil homme, c'est   Volski. Avec lui s'amorce un tournant du livre qui devient alors littéralement poignant. ... Raconter serait trop réduire, l'écriture est splendide, le récit passionnant, du grand MAKINE, à ne surtout pas manquer.

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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 16:46
C'est l'histoire d'un jeune garçon, Florent, qui est placé dans une famille d'accueil à Favolle car son beau-père est en prison et sa mère internée chez les fous. Son père biologique l'avait abandonné à la naissance, le laissant seul avec sa mère.
Dans sa nouvelle famille, Florent a, au début, du mal à s'intégrer mais plus les années passent et mieux il se s
ent. Pourtant, Florent est obsédé par une légende de la bête de Gévaudan, légende qui se serait passée vers 1760 à Favolle, là où il vit maintenant. Cette bête a des yeux étincelants et ses dents craquent les unes contres les autres... Sa queue est longue et grosse, ses pattes de derrière, armées de six griffes, sont garnies de sabots comme celles d'un cheval et son dos de caÏman est couvert d'écailles terminées en pointe... Elle ressemble tantôt à un léopard d'Assyrie, tantôt à un chat-tigre qu'on trouve dans le Yucatan, une presqu'île du Mexique.
FLorent tombe amoureux de Lucie, une voisine. Lorsqu'un jour le père de Lucie, Roger, les surprend en train de s'embrasser, Roger hurle à Florent "Sale bâtard !", il sépare Lucie et Florent l'un de l'autre comme si il fendait un arbre en deux et il envoie son poing dans les gencives de Florent, qui s'effondre sur le plancher. Roger traite Lucie de traînée et Lucie murmure : "Ivrogne".
A partir de ce moment-là, Florent a une rage incroyable contre Roger, et veut à tous prix se venger de cette bête...

J'ai bien aimé ce livre. C'est une histoire intéressante car elle pourrait être réelle. Une jeune fille ayant un père alcoolique et violent, cela peut arriver.
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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 20:14
Titre: Le voyage à Pitchipoï
Collection: Médium
Auteur: Jean-Claude Moscovici

Le père de Jean-Claude Moscovici était le médecin du village quand un jour la famille fut arrêtée par les nazis qui l'ont dispersée car la famille était juive. Ce livre est un témoignage sur ce qu' a vécu une famille juive pendant la deuxième guerre mondiale. Ce livre est intéressant à lire car il détaille bien ce qui s'est passé. Je conseille ce livre.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:41

Titre : J'ETAIS ENFANT PENDANT LA GUERRE DE 14-18

Auteur : Christophe Malavoy

Illustrateur : Claude Cachin

Editions : du Sorbier

Collection : J'étais enfant

Année de parution : 1997




C'est l'histoire d'un enfant qui passe ses vacances dans l'ancienne maison de ses grands parents, jusqu'au jour où son père reçoit un télégramme qui dit que tous les hommes âgés de plus de 18 ans son appelés à rejoindre le Champs de Mars dans l'après-midi. C'est la guerre qui commence...
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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 19:26


J’ai adoré lire les deux premiers volets de cette même saga. Mais là j’ai eu plus de mal à comprendre le déroulement de l’histoire. J’ai l’impression qu’il ne s’est presque rien déroulé dans ce livre. Il n’y a pas grand-chose qui m'a marquée ou alors j’ai la mémoire courte, c’est pour cela que mon résumé est court et plutôt flou. Certains mots sont difficiles à comprendre malgré la définition, ils sont, le plus souvent, familiers.

Depuis qu’Edward Cullen est revenu dans la vie de Bella Swan, Jacob Black le meilleur ami de l’héroïne, ne veut plus l’être. Il ne peut accepter que son amie sorte avec un « buveur de sang ». Bella essaye de réconcilier les deux parties d’elle-même, la Bella d’Edward et la Bella de Jacob.
Mais d’autres faits la préoccupent, Seattle est devenue la cible de plusieurs meurtres mystérieux en à peine quelques mois. Une guerre se prépare entre les vampires civilisés et les « autres ». Bella est la cible même de cet affrontement, ce qui confirme ce qu’elle pense : elle est faible et veut subir sa transformation au plus vite.
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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 18:58
Bella Swan et Edward Cullen vivent maintenant des jours heureux, sans jamais oublier que leur plus grande différence risque, un jour ou l’autre, de tuer Bella. C’est alors le 18ème anniversaire de Bella. Alice, la sœur d’Edward, organise une fête chez elle avec sa famille. Bella, réticente, ne veut pas y aller. Elle sait qu’elle attire les ennuis comme un aimant et ne désire pas déranger la famille Cullen. Forcée par Edward, ils s’y rendent ensemble. C’est maintenant l’heure des cadeaux. Bella les ouvre, non sans maladresse, et au deuxième paquet, elle se coupe le doigt avec le papier. Dans la seconde qui suit Jasper, le plus jeune arrivant dans la famille Cullen, se jette sur Bella mais est arrêté par Edward.
Ce que toute la famille espérait ne jamais voir se passer était arrivé. Quelques jours après, Edward rompit avec Bella. Il ne l’aimait plus et devait partir de Forks. Le lendemain, la famille Cullen était partie. Bella ne s’en remit pas. Elle était brisée.
Un jour pourtant, elle se lie d’amitié avec un jeune indien de la réserve, Jacob Black. Elle veut qu’il répare deux motos qu’elle a trouvées. Le garçon, très habile en mécanique, ne met pas longtemps à les remettre en état de marche. Il apprend alors à Bella comment se servir de ces engins. Lors de sa première leçon de conduite, Bella croit entendre la douce voix d’Edward résonner dans ses oreilles, sans doute à cause de l’adrénaline que lui procure la vitesse. Elle en conclut que les situations périlleuses lui permettent d’entendre cette voix qu’elle aime tant.
Les jours passent plus sereinement pour Bella depuis qu’elle côtoie Jacob. Mais un jour elle se rend compte qu’il essayait de tout faire pour l’éviter. Serait-ce à cause de ses nouvelles fréquentations, quatre indiens de la même réserve que Jacob ? Bella réalise que la vérité est tout autre.
Bella fait un dangereux saut au dessus d’une falaise dans l'espoir d'entendre encore la voix d’Edward. Celui-ci croit qu’elle s’est suicidée et décide de partir en Italie pour mettre fin à ses jours. Alice vient avertir Bella de cette confusion et elles partent toutes les deux en Italie pour ramener Edward en l’espérant sain et sauf...


Le premier tome a fait l'objet d'un article et de commentaires sur ce blog. Ce livre, publié en 2006, est le deuxième de la série Saga Fascination : quatre volumes et un supplément (pas encore traduit) composent cette série. D'après un article Wikipedia, l'auteure a, à ce jour, vendu plus de dix-huit millions de copies de la Saga Fascination dans trente-sept pays,et plus de huit millions et demi de copies uniquement aux Etats-Unis.
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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 21:23
TITRE Inukshuk, le garçon de pierre
AUTEUR : Gérard Moncomble - -
ILLUSTRATIONS : Thomas Ehretsman -
EDITEUR : Milan
THEMES : Grand Nord - Inuit - Mythe - Légende -

Les illustrations dans cet album sont de Thomas Ehretsman, elles sont très bien faites, je pense qu'elles sont faites à la peinture. La couleur bleue domine ce qui me semble normal puisque l'histoire se passe au pôle  Nord. Voici une illustration que j'ai choisie comme exemple :


 C'est Gérard Moncomble qui a écrit le récit, c'est une histoire qui mélange le vrai et le fantastique. On apprend par cette histoire que la jalousie peut mener à une colère très puissante.
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