Baracuda for ever est un roman de Pascal Ruter, un écrivain français. Le roman raconte les aventures de Napoléon, un grand père de 85 ans et de son petit fils Léonard. Le grand père est le héros du roman.
Napoléon a été un fameux boxeur. Après avoir mis fin à sa carrière sportive, il est devenu chauffeur de taxi et à 85 ans, il décide de divorcer. Avec son petit fils, ils décident de faire une nouvelle vie, ils commencent par acheter un chien, ils font des travaux dans la maison et le loisir préféré de Napoléon c’est de faire du bowling. Un jour en sortant du bowling une bande de garçons les interpelle, Napoléon avec ses talents de boxeur les fait fuir .Napoléon n’est pas un grand père de tout repos .Il cherche tout le temps quelque chose à faire avec son petit fils.
Ce livre m’a bien plu, il est très intéressant à lire et donne envie à chaque fois de savoir la suite. Le livre est mystérieux et à chaque chapitre une nouvelle aventure commence.
Ce livre a été écrit par Kelly Barnhill. Avant ce livre, je ne connaissais pas cette auteure. Il a été écrit en 2016 : cette date n’a pas de rapport avec l’histoire. À l'origine, il est écrit en anglais mais il a été traduit par Marie de Prémonville. C'est un roman.
Quand je lis ce livre les images et les sons qui me viennent évoquent le mystère. La phrase que j'en retiens est celle-là :"Cette enfant n'a jamais été magique "
Ce texte est destiné aux jeunes lecteurs, je ne pense pas avoir compris le message que l'auteure voulait nous faire passer. L'auteure provoque la joie et parfois la tristesse mais je ne trouve pas que ses intentions sont faciles à percevoir. Cependant, quand on lit ce livre, on ne peut pas hésiter sur le sens de l’histoire.
Je suis resté indifférent en lisant ce livre, j'ai éprouvé de l'ennui. Je pense cependant avoir compris le sens de l’histoire et j'ai été d'accord avec la quasi globalité du livre.
Les personnages principaux sont La fille qui avait bu la Lune et Xan la sorcière. Xan la sorcière est une personne qui récupère les enfants que le Protectorat lui "Sacrifie" Cette action se passe en début de livre. Le livre parle d'une sorcière très gentille qui habite dans les bois, la ville d'à côté la prend pour une personne méchante, Chaque année, les habitants lui sacrifient donc un enfant. D'habitude, elle leur trouve une autre famille mais cette année ce n'est pas pareil, l'enfant a l'air d'avoir des pouvoirs magiques.
Voici l’extrait que j’ai choisi :"Xan s'installa en tailleur par terre et déposa l'enfant endormie au creux de son genou. Impossible de la réveiller. Elle allait dormir ainsi pendant des heures. Xan passa les doigts dans les boucles noires. Malgré son grand âge, elle sentait encore la magie battre sous sa peau, chaque filament s'insinuer entre les cellules, aux confins des tissus et des os. Avec le temps, la petite deviendrait instable- pas définitivement, naturellement. Mais Xan se rappelait les magiciens qui l'avaient éduquée jadis lui avaient raconté combien élever un bébé magique était ardu."
J'ai choisi cet extrait car je trouvais qu'il présentait très bien le livre.
La personne qui a écrit ce livre est Sandrine Beau, je ne connais pas d’autres œuvres de cette auteure. Il a été écrit en Juin 2016 et parle d’un pervers adulte sur une personne mineure.
Ce texte est écrit en français d’origine.
Quand j’ai lu ce livre, j’ai pensé à des images mais pas à des expériences personnelles.
Les personnages principaux sont Mia, la jeune fille, Maminette, la mamie de Mia, Polo, le petit frère de Mia. Il y a aussi Lloyd, le compagnon de la mère de Mia.
Mia attend ses seins avec impatience, elle dit « sauf qu’une semaine après le petit pic, j’avais beau m’approcher au plus près du miroir, je ne voyais rien ».
Maminette fait le ménage dans l’appartement de Mia car Lloyd ne fait rien, elle dit « tu n’as pas l’impression d’avoir un troisième enfant à nourrir ? Je te jure ! »
Polo ne joue pas un rôle très important dans l’histoire.
Lloyd : Quand Mia va prendre sa douche il rentre dans la salle de bain et ouvre le rideau et la regarde ou essaye de la voir nue « Qu’est-ce que tu fous, toute habillée dans la baignoire ? »
L’action se passe dans la salle de bain quand Mia va prendre sa douche.
Je n’ai pas aimé ce livre car cela parlait du corps d’une jeune fille en pleine croissance et d’un pervers qui essaye de la voir sous la douche il n’y a pas assez d’action.
J’ai compris ce livre, il est destiné à faire réfléchir les gens sur la pédophilie, nous dire qu’il faut réagir. Pour ça, l’auteure a écrit un roman qui parle d’une jeune fille qui subit ces actes. Ses intentions sont faciles percevoir, dès le premier chapitre, on comprend.
Passage choisi p 87 Je n’ai rien dit à ta mère pour cette fois. Mais le coup de la surprise à ta grand -mère, c’est la dernière fois. Quand tu me fais le coup, je te préviens !
Je suis montée dans ma chambre, sans rien répondre. Il a continué dans mon dos. J’ai pris mon pyjama et je suis allée à la salle de bain, les tremblements de mes mains recommençaient. Je suis entrée dans la baignoire et j’ai ouvert le robinet. C’était comme si j’avais envoyé un signal de départ : les ressorts du canapé qui couinaient, le bruit de ses pas dans le couloir. Encore quelques secondes et il serait là. Mais mains sont devenus moites, mon cœur s’est mis à accélérer comme un fou, ma bouche est devenue sèche.
Sylviano 4C
Nuage de mots par Emma, 4C
L’ auteur est Sandrine Beau, elle vient de Picardie. elle est aussi l’auteur de Touche pas à ma mère, Hors de moi et Je sais que tu sais.Ce texte est un roman car c’est une narration. Il a été écrit au 21ème siècles et est paru en 2015 avec la maison d’édition française: Talents Hauts. Ce texte est destiné aux jeunes lecteurs.
Le personnage principal est Mia. C’est une collégienne qui suite a sa puberté est victime de harcèlement de son beau père, Lloyd, qui la regarde lorsqu’elle se douche.. Elle est victime de harcèlement dans la salle de bain quand elle se douche les soirs où sa mère est au travail. Alors, Mia ne se concentre plus à l’école, ne rit plus avec ses amis
Ce texte m’a fait pensé à des cours en primaire sur les conséquences des actes de l’ harcèlement et des cours d’ E.M.C.
L’auteur veut nous dire que si nous sommes victime de harcèlement, il faut en parler à un adulte.
Elle émeut avec cette histoire. On ne peut pas hésiter sur le sens de son texte.
J’ ai aimé ce roman car c’est un texte compréhensible et très intéressant. Il a suscité en moi de la tristesse et de la pitié envers Mia qui était piégée et qui ne pouvait pas en parler.
Je l’ai compris sans difficulté car les mots utilisés étaient relativement simples.
La porte de la salle de bain est un roman, écrit par Sandrine Beau. C'est un livre qui a été écrit en 2015 et en France.
Les personnages principaux sont Mia (la fille qui se fait violer sa vie privée), Lloyd (son beau-père qui cherche à violer son intimité), sa grand-mère ( qui va sauver Mia), Agnès (sa mère) et Polo (son frère).
Le texte parle d'une fille qui s'appelle Mia, qui a douze ans et quand-t-elle prend sa douche son beau père vient la voir nue en ouvrant le rideau de la baignoire et ce à plusieurs reprises. Elle décide donc d’en parler à sa grand-mère qui l’héberge et la sauve de cette situation.
L'action se passe chez Mia, souvent dans la salle de bain de l' appartement de Agnès et Lloyd, les soirs quand Mia doit prendre sa douche et que sa mère est au travail.
Je pense ce roman veut nous dire d'être vigilant envers les personnes qui sont victimes de viol ou d’atteinte à leur intimité.
L'auteur nous émeut en nous racontant le vie d'une jeune fille qui se fait violer son intimité par son beau-père.Les intentions sont faciles à percevoir car l'auteur ne passe pas par quatre chemins, elle nous décrit très vite la situation de cette jeune fille et nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte car l'auteur utilise des mots de vocabulaire assez simples.
Ce livre m'a beaucoup touchée et j'ai trouvé cette histoire assez triste. J'ai ressenti beaucoup de tristesse car je n'avais jamais lu une histoire aussi triste et émouvante. Je n'aimerais pas être à la place de l’héroïne. Mais le roman m'a plu car même si c'était triste, l'histoire avait du suspense.
Ce livre me rappelle des émissions de faits divers, en le lisant je pensais à une salle de bain d'hôtel où on entendait crier lors des moments d’agression sexuelle.
Ce roman a été écrit par Julia Billet en 2012, elle a aussi écrit "De silence et de glace" et "La salle des pas perdus". L'époque de l'histoire du roman est très particulière car il s'agit de la deuxième guerre mondiale.
Ce roman raconte la vie d'une jeune fille juive pendant cette période, son nom est Rachel. Ses parents l'ont d'abord placée dans un internat, à la Maison des Sèvres, où elle a découvert sa passion pour la photographie. Le risque d'être emmenée par les Allemands devenait de plus en plus grand, elle a dû donc partir et changer de nom, elle s'appelait désormais Catherine. Sous l'ordre de la directrice de l'internat, quand elle est partie grâce au réseau de résistance, elle a pris un appareil photo pour faire des photos pour pouvoir les lui donner à la fin de la guerre. Pendant la guerre, elle a rencontré de nombreuses personnes qu'elle a dû souvent quitter à cause du risque d'être enlevée par les Allemands.
Ce roman est un beau récit, on y trouve des personnages attachants: Catherine et ses amis Sarah et Jeannot par exemple. Malheureusement, on ne sait pas ce qui est arrivé à certains d'entre eux. J'ai beaucoup aimé ce roman même si parfois il y avait des scènes vraiment tristes. L'auteure arrive, par des mots, à nous faire éprouver des émotions.
J'aurais voulu savoir ce qui est arrivé aux personnages par la suite mais ce n'est qu'une fiction ! Il doit y avoir une fin obligatoirement. Ce roman est inspiré de faits réels et de personnages ayant vraiment existé. Sa mère (à l'auteure), qui était passionnée de photographie, a été elle même à la Maison des Sèvres. Elle a voulu leur rendre hommage, tout simplement. Ce roman est donc un mélange de réalité et de fiction. Le texte est de plus très facile à comprendre, il émeut tout en rendant hommage.
Je viens d'achever la lecture de La Résistible Ascension d'Arturo Ui traduit de l'allemand par Hélène Mauler et René Zahnd pour les éditions de L'Arche. Quelle histoire ! Chacun connaît aujourd'hui, avec plus ou moins de détails, la crise de 29, la montée du nazisme en Allemagne, la prohibition aux États-Unis, Al Capone et ses gangsters, Hitler et ses tristes sbires Göring et Goebbels... La pièce compose avec tout cela en 15 scènes écrites en vers blancs, précédées d'un prologue et closes par un épilogue dont le célèbre dernier vers
"Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde"
est traduit de façon plus allusive et plus proche du texte initial par :
"Le ventre est encore fécond d'où ça sort."
On le voit, la fable est sombre et la réalité qu'elle évoque (la montée d'Hitler au pouvoir) est rappelée et expliquée à l'issue des scènes par des tableaux montrés au public et écrits en lettres capitales). Pourtant la théâtralité de certaines scènes, voire le comique, conduisent à une sorte de mise à distance de cette sinistre réalité : le marché qui met Chicago à feu et à sang est le marché du chou-fleur ! dans la scène 6 Ui prend des leçons de diction et de maintien (à la manière shakespearienne) et la scène rappelle Le Bourgeois Gentilhomme. Dans la scène 13, la présence de UI et de ses sbires à l'enterrement du journaliste Dullfeet qu'ils ont fait assassiner, puis le chantage exercé sur l'épouse de Dullfeet et dans la scène 14 où Ui reçoit la visite en songe de Roma, son ami depuis 18 ans, qu'il a pourtant froidement assassiné, on se croit chez Shakespeare.
En somme, l'enjeu est bien d'attirer l'attention sur le processus qui a amené Hitler au pouvoir et de démonter que cette "ascension" était "résistible". Ainsi le "Troisième gars de Chicago" alors que lui et ses collègues n'ont pas su résister à Ui, déclare aux gars de Cicero (alias l'Autriche, prochain objectif de conquête de Ui) :
"Vous entendez, vous devez
Vous défendre, les gars ! Cette peste noire
Doit être stoppée ! Faut-il que le pays
Tout entier soit dévoré par cette épidémie ?"
Mais la pièce est d'autant plus efficace qu'elle ne se borne pas à son enjeu et exploite avec éclat les diverses potentialités du genre qu'est le théâtre. Écrite en 1941 mais déjà en germe en 1934, la pièce n'a été créée qu'en 1958. J'attends avec impatience de voir comment elle sera interprétée en 2017 par Philippe Torreton (Ui) dans une mise en scène de Dominique Pitoiset.
J'ai lu votre livre je vous dis ce que j'en pense : Il y a plusieurs passages qui m'ont touchée et déçue : Celui où Stéphanie fait la rencontre de Anne VALLIO, sa mère biologique vingt ans après sa naissance car elles ne connaissent rien du passé de l'autre. Ainsi que celui où Stéphanie apprend que sa mère biologique a le cancer et qu'elle risque de mourir bientôt, elles viennent juste de se retrouver et voilà que sa mère biologique meurt.
J'ai été déroutée par l'intrigue, j'aurais préféré que l'histoire se termine bien c'est-à-dire qu’Anne VALLIO ne meure pas et puisse continuer sa nouvelle vie au côté de sa fille Stéphanie.
J'ai bien aimé les personnages, je pense que les réactions et le comportement des personnages était comme je l'imaginais avant de lire ce livre : Ils sont touchants, avec beaucoup de caractère.
Je pense que j'ai pu m'identifier à Stéphanie car son comportement est peut être celui que j’aurais eu si j'avais été adoptée.
J'aime beaucoup votre style, la présentation du livre est simple mais l'écriture est un peu trop petite. Le vocabulaire est bien employé avec un langage courant donc assez facile à comprendre.
Bonjour, votre livre ‘’ Chaque jour, je t’écrirai ‘’ m’a beaucoup plus, j’ai trouvé le livre touchant.
Le passage qui m’a le plus touchée est que Léa écrit des lettres à son frère alors qu’il est mort et que chaque année elle invente un nom, un style, une vie …. Pour son frère. J’ai trouvé l’histoire triste, car les lettres qu’elle envoie, elle sait bien qu’elle n’aura pas de retour et que son frère ne les lira jamais. La fin du livre m’a plu mais j’aurais pensé et aimé avoir plus de rebondissements.
Les personnages du livre sont attachants : Léa a du caractère, mais au fond c’est une jeune fille sensible qui est prête à tout pour rendre heureux sa famille et ses amies, elle préfère être seule pour écrire les lettres pour son frère. Les parents de Léa ne sont pas toujours présents dans le livre. La mère ne parle pas beaucoup de la mort de son fils à Léa et dès qu’elle en parle, elle a toujours les larmes aux yeux. Le père n’est pas présent dans le livre. Tristan le moniteur d’escalade est un garçon charmant et Jennifer est une fille avec un gros caractère mais il faut creuser un peu et on y découvre une fille superbe. Je ne m’identifie pas aux personnages.
Votre livre est écrit avec un vocabulaire enrichissant et accessible, il est agréable à lire, l’histoire est bien racontée mais quand même intrigant.
C'est l'histoire d'une jeune fille qui se prénomme Ava.
C'était une adolescente de 14 ans.
C'était une jeune fille pas comme les autres, car depuis l'âge de 3 ans Ava a un don qui est de voir les fantômes et de communiquer avec eux.
Mais c'est un secret très lourd à porter pour Ava car elle ne l'avait dit à personne et surtout pas à ses parents qui ne le comprendraient pas.
Un jour pendant les vacances Ava part chez son oncle qu'elle n'a pas vu depuis des années. Son oncle vit dans un immense manoir sur l'île de Jersey.
Quand elle arrive à jersey, l'ambiance entre elle et son oncle est très tendue et elle n'est pas prêt de s'améliorer car un événement inattendu va venir bousculer tout le séjour d'Ava chez son oncle Vincent.
Présentation d'un personnage :
Ava est le personnage principal de ce livre.
Elle joue le rôle d'une jeune fille qui a un don inexplicable qui est de voir les fantômes.
Mais elle n'ose pas le dire à ses parents par peur de se faire traiter de menteuse ou même de folle. Ils veulent représenter Ava comme une jeune fille solitaire et timide qui n'ose pas trop parler.
extrait choisi, pages 11 à12 :
La première fois que Ava vit Billie Gombrowiez, elle crut qu'elle était morte.
En vérité, elle respirait encore faiblement, et c'est une demi-heure plus tard, alors qu'elle essayait d'échapper à son assassin, qu'elle finit sa vie au bas des falaises de l'île de Jersey.
Pour l'instant, elle était effondrée sous un arbre, comme une poupée oubliée, la tête légèrement penchée en avant, les yeux fermés, les bras relâchés, les paumes ouvertes, les jambes écartées.
Elle était un peu plus âgée qu'Ava, vingt ans peut-être, très jolie. Elle avait des cheveux blonds et bouclés, des joues rondes, le teint très pâle, un imperméable, une robe rose et des escarpins.
Fallait-il que l'adolescente s'en approche, l’appelle,la touche, si elle ne répondait pas?
J'ai choisi ce passage car c'est à ce moment que Ava va se faire tuer par Billie Gombrowiez.
Et le narrateur a préféré commencer l'histoire par la fin du livre et c'est pour ça qu'on est aussi passionné par ce livre.
L'illustration de la couverture de couverture montre un dessin d'une jeune fille assise.
Je pense qu'il aurait fallu mettre un fantôme à côté de Ava car ça serait en rapport avec le titre du livre.
Mon avis sur le livre :
Je trouve que c'est un livre très intéressant. Quand on commence à lire ce livre on ne s'arrête plus. C'est un livre fantastique mais à la fois surnaturel car ce n'est pas tous les
jours qu'on voit des fantômes et qu'on leur parle.
Nathanaëlle 15 ans apprend le jour de noël que ses grands-parents paternels sont mort noyés à deux pas de chez eux dans une rivière. La famille est bouleversée par ce qui est arrivé à ses grands-parents dont Nathanaëlle. Elle aimerait bien comprendre ce qui s'est réellement passé et pourquoi une personne serait capable d'un tel acte de barbarie. La gendarmerie les mène sur une piste : le suicide. Non, Nathanaëlle ne veut pas croire à cette piste. Un matin où ses parents sont partis en voyage et où son frère est parti avec des amis, elle décide d’aller en bus jusqu'à la maison familiale pour y mener l'enquête et dormir là-bas. Le lendemain Nathanaëlle décide d'interroger tout le voisinage pour essayer de comprendre cette histoire, elle va interroger la vieille dame qui habitait à deux pas de la maison et celle-ci lui raconte que ce serait peut-être une vengeance. Le voisin lui raconte qu'il avait entendu crier de chez lui. Nathanaëlle est perdue, elle ne sait pas quoi penser de cette affaire. Peut-être que ça serait l'ex compagnon de Mamie '' Virgile '' qui aurait été capable de cet acte par jalousie, peut-être que Mamie et Papy ce seraient disputés et Mamie se serait précipitée dehors pour se calmer et aurait fait un malaise. Nathanaëlle ne sait plus du tout ce quelle doit faire jusqu'au jour où Nathanaëlle trouve le carnet intime de Élise, sa mamie, et toute l'affaire s'élucide . . . .
Le personnage principal s'appelle Nathanaëlle c'est une jeune fille de 15 ans elle est curieuse et très indépendante, elle adorait ses grands-parents, elle est déterminée et prête à tout. Quand elle a une idée en tête on ne peut plus la lui enlever, elle n'a peur de rien ; elle est aussi très fouineuse, elle fouine partout. C’est grâce à son défaut qu'elle a trouvé le journal intime. Elle s'habille bien et elle aime prendre soin des autres et faire des gâteaux pour sa vieille tante. Elle est très sensible et affectueuse, elle n'est pas du tout timide, elle est même très à l'aise avec les gens.
Extrait choisi :
« 23 juillet. Cette fois, c’est à La Grabottine qu'ils sont allés. Ils ont emmené les cochons.
Il paraît qu'ils ont le droit. Réquisition. La France a été vaincue en 1940, il faut qu'elle paie. Et ils ont prévenu que si on dissimulait la moindre bête, on serait jeté en prison. Ce qui est à nous leur appartient de droit ! J'enrage. Heureusement qu'on a nos légumes, et que les verts de gris ne sont pas encore venus voir dans notre jardin. Mes sœurs et moi, on n'y travaille qu'au petit matin, et tard le soir, pour qu'on ne nous remarque pas.
28 Juillet. René me fait bien rire, il me regarde tout le temps avec des yeux de merlan frit. Je dis que ça me fait rire mais y a des jours où ça m'énerve vraiment. Est-ce qu'il va comprendre bientôt que je ne l'aime pas ? En plus, nous n'avons les mêmes avis sur rien, et son attitude me dégoûte un peu. Je posai le cahier sur mes genoux: je ne sais pas de quelle attitude parlait Mamie, mais finalement, elle avait quand même été sensible à son amour. Rien n'est donc définitif ! En tout cas, pas de coup de foudre de sa part, c'est le moins qu'on puisse dire. Je calculai qu'à cette date, Mamie avait... vingt deux ans, et Pilou aussi. »
Cet extrait vient de la page 67.
J'ai choisi ce roman car il explique ce que ressentaient les gens du village autrefois à l'époque de la guerre, ils vivaient l'enfer et cela me touche. Ce passage montre aussi ce qu’Élise ressent pour René, il montre aussi la curiosité de Nathanaëlle.
L'illustration de couverture représente Nathanaëlle qui est en train de lire le carnet intime de sa mamie avec la maison familial derrière. Cette illustration à une allure de peinture et Nathanaëlle a l'air plongée dans le carnet intime de sa mamie Élise.
J'ai adoré ce livre, il était super, il y avait beaucoup de vocabulaire enrichissant, j'ai appris aussi des mots utilisés lors de la guerre (ex : Bosch). Malgré tout il y avait tout de même des passages ennuyants et difficiles à lire. J'ai bien fait de choisir ce livre car l'histoire est bien et le livre n'est pas trop dur à lire, la police d’écriture est assez grande et le livre est bien écrit.
Peter Nelson un berger, avait fait son plan, ce soir-là, il l'avait choisi, un soir sans lune.
Il avait tué une de ses brebis et l'avait mise dans l'enclos des loups de Morgan Newman, il avait une idée derrière la tête.
Au matin Thomas Filmore l'homme à tout faire de l'enclos des loups de Morgan, venait de découvrir la brebis morte et dévorée, il appela Morgan. Ils étaient sous le choc et ils se posaient plein de questions ...
Puis un autre jour Thomas comprit ....