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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:15

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Auteur : Mérimée

Titre : Tamango

Edition : MAGNARD

GENRE : histoire triste (nouvelle)

THEME PRINCIPAL : Ledoux et son bateau (l’Espérance) à la recherche de l'esclave                                       

SUJET Ce livre commence en présentant le capitaine Ledoux. Pendant une bataille, il perdit la main gauche. A force d’étude et de volonté, il passa capitaine et se fit un nom dans le métier. Avec la paix, il se recycla en capitaine de négriers. Homme prévoyant et très doué, il devient précieux pour les marchands d’esclaves. Il supervisa lui-même la fabrication de l’Espérance, négrier  très rapide et pouvant contenir de nombreux esclaves. Le capitaine Ledoux partit un vendredi de Nantes en direction du Sénégal.

Tamango était un Africain vendeur d’êtres  humains. Il se faisait payer en alcool et en armes. Lorsqu’arriva le capitaine Ledoux, il était en train de vendre bon marché une grande quantité d’esclaves.

Le capitaine vint le voir pour discuter business autour de nombreuses bouteilles. Fort ivre, Tamango donna la plus jolie de ses épouses (Ayché) au capitaine Ledoux. Le lendemain Tamango se rendit compte de son erreur et tenta de rattraper le navire du capitaine Ledoux. Lorsqu’il y parvint, le capitaine Ledoux le fit prisonnier et le réduisit en esclavage. Tamango se trouva alors dans la même situation que ceux qu’il vendait autrefois sans pitié. Lors de la traversée, le capitaine Ledoux faisait sortir une heure par jour les esclaves pour leur permettre de respirer et de se dégourdir les jambes. Au fil de la traversée, les noirs dirigés par Tamango, se rebellèrent  contre l’équipage et parvinrent à tuer tous les blancs dont le capitaine. Ayché mourut par manque de provisions dans le bateau et Tamango d’une inflammation de la  poitrine.                                                     

 PASSAGE  REMARQUABLE  DU  LIVRE « Il frappa rudement sa femme de la crosse de son fusil »    

On voit qu’il n’aime pas trop sa femme et qu’il n’a pas envie de la revoir.    

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL J’aime bien ce livre car il est bien présenté et j’aime bien quand c’est écrit tout petit, ça donne envie de le lire puis il y a aussi une histoire. Ce livre est très bien fait par contre il n’est  pas très long, c’est ce qui est un petit peu dommage. Je vous conseille de le choisir car tout le monde peu le lire : comme il n’est  pas trop long, même ceux qui ont du mal peuvent le lire. J’aime aussi la page de couverture qui est très bien présentée.

Léonard, 4C, novembre 2012utlign1

 

Auteur : Prosper Mérimée

Titre : Tamango

Edition : Magnard

Genre : Une Nouvelle

Collection : Classique et Contemporains

Thème Principal : L’esclavage, la dénonciation de la traite des esclaves

Résumé : C’est l’histoire d’un capitaine qui se nommait Ledoux. Il était le capitaine de L’Espérance : un navire négrier. Un jour L’Espérance partit de Nantes pour rejoindre le Sénégal. Quand le navire fut arrivé à bord, le capitaine Ledoux descendit sur le rivage et fit la connaissance de Tamango, un négociant et vendeur d’esclaves. Dès leur rencontre la négociation commença. Les deux hommes firent affaire : les esclaves montèrent sur le navire, et en échange Ledoux donna à Tamango des quantités d’eau-de-vie, de la poudre, des pierres à feu etc. Tamango but de nombreux verre d’eau de vie et tomba dans l’ivresse. Sous l’emprise de l’alcool, il donna Ayché (la plus jolie de ses épouses) au capitaine Ledoux. Le lendemain, Tamango se rendit compte de son erreur (avoir donné son épouse Ayché) et essaya de rattraper le navire. Après de multiples efforts, Tamango parvint à monter sur le navire, mais le capitaine Ledoux le fit prisonnier et le réduisit en esclavage. Quelques semaines plus tard Tamango décida d’élaborer une stratégie en concertant tous les esclaves durant la nuit. Lorsque Tamango poussa un cri, ce fut le signal et tous les esclaves combattirent les matelots et Tamango s’occupa de Ledoux. Après des heures de combat, Tamango remporta la victoire. Par la suite Tamango essaya de rejoindre sans succès les côtes du Sénégal. De nombreux esclaves périrent. Un beau jour à son réveil, Tamango trouva à son tour Ayché morte par manque de provisions. Tamango resta seul sur son navire, et finalement fut emporté par une inflammation de la poitrine.

FIN…

 Passage remarquable (p16-p17) : « De la sorte, à la fin du panier, on tomba d’accord. De mauvaises cotonnades, de la poudre, des pierres à feu, trois barriques d’eau -de- vie, cinquante fusils mal raccommodés furent donnés en échange de cent soixante esclaves. Le capitaine, pour ratifier le traité, frappa dans la main du Noir plus qu’à moitié ivre, et aussitôt les esclaves furent remis aux matelots français, qui se hâtèrent de leur ôter leurs fourches de bois pour leur donner des carcans et des menottes en fer ; ce qui montre bien la supériorité de la civilisation européenne. Restait encore une trentaine d’esclaves : c’étaient des enfants, des vieillards, des femmes infirmes. Le navire était plein. Tamango, qui ne savait que faire de ce rebut, offrit au capitaine de les lui vendre pour une bouteille d’eau de vie la pièce. L’offre était séduisante. Ledoux se souvint qu’à la représentation des Vêpres siciliennes à Nantes, il avait vu bon nombre de gens gros et gras entrer dans un parterre déjà plein, et parvenir cependant à s’y asseoir, en vertu de la compressibilité des corps humains. Il prit les vingt plus sveltes des trente esclaves. Alors Tamango ne demanda plus qu’un verre d’eau- de- vie pour chacun des dix restants. Ledoux réfléchit que les enfants ne paient et n’occupent que demi-place dans les voitures publiques. Il prit donc trois enfants ».

J’ai choisi ce passage car il évoque l’embarquement des esclaves dans le navire négrier : marchandés comme du bétail et échangés contre des objets de peu de valeur.

Jugement critique personnel : ce livre est très intéressant et agréable à lire. Il met l’accent sur l’exploitation des noirs, le racisme, et le danger d’être à la quête du profit à n’importe quel prix.

Maël G, 4A, novembre 2012

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Quintin le 3 juin 2014

Très cher Prosper Mérimée,

Je vous écris cette lettre pour vous parler de votre nouvelle, Tamango. Je l’ai trouvée particulièrement réaliste grâce aux descriptions très précises des lieux où on suit Tamango et le capitaine Ledoux.

D’autre part, vous m'avez beaucoup appris sur le commerce triangulaire et plus particulièrement sur l'esclavage et sur la traite négrière.

Vous avez aussi donné beaucoup de détails sur la marine en parlant du capitaine Ledoux comme par exemple les grades.

J'ai vraiment apprécié Tamango.

Mes très sincères salutations,
Dylan R. 4C

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Nom et prénom de l'auteur : Prosper Mérimée.

Titre du livre : Tamango.

Edition : Magnard

Collection : Classique et contemporains.

Titre de la nouvelle : Tamango

 

Abécédaire des mots clés.   

                

A. Aide-timonier "Il avait commencé par être  simple matelot, puis il devint aide-timonier".Pg.9

B. Brick  "Ce fut la construction qu'il dirigea lui même d'un Brick destiné à la traite".Pg.10

C. Corsaire "Il servit, en qualité de second lieutenant, à bord d'un corsaire".Pg.9

D. D'ébène "Le  capitaine Ledoux devint un homme précieux pour les trafic de bois d'ébène".Pg.10

E. Entreponts "Il voulut que les entreponts, étroits et rentrés, n'eussent que trois pieds quatre pouces de haut".Pg10 et 11

F. Fourbe "La fourbe, toute grossière qu'elle était , trouva créance auprès d'homme encore plus grossiers".Pg.30

G. Gréée "L'espérance partit donc un vendredi bien gréée et bien  équipée".Pg.12

H. Harangues "Dans ses harangues, il ne servait que du dialecte des peuls. Pg28

I. Impétuosité " Se levant, avec impétuosité, courut vers le gaillard d'arrière".Pg.24

J. Jouait "Je l'arrangerais  si elle me jouait quelque tour".Pg.26

K. Kingston "Et quand la Bellone aborda à Kingston , Tamango était en parfaite santé".Pg.44

L. Lugubre "Les hommes de garde entendirent d'abord un chant grave , solennel , lugubre , qui partait de l'entrepont".Pg.27

M. Marin : Le capitaine Ledoux était un bon marin.

N.Nègres "Ledoux imagina de placer dans cet intervalle d'autres Nègres".Pg11

O.Obstruer  "Alors les plus hardis des noirs remontèrent sur le tillac et le débarrassèrent des débris qui l'obstruaient".Pg.37

P. Perfide "Perfide! Imposteur! S’écriaient ils , c'est toi qui as causé tous nos maux".Pg.37

Q. Quart "… lui arrache son fusil, et s'en sert pour tuer l'officier de quart".Pg.32

R. Ratifier "Le capitaine, pour ratifier le traité, frappa dans la main du noir plus qu'à moitié ivre".Pg.16

S. Sinuosité "Il pourrait joindre le brick, dont les sinuosités devaient retarder la marche".Pg.19

T. Tillac "Ceux-là se couchaient sur le tillac dans un morne abattement".Pg.38

U : Une chaloupe, l’ayant abordé, y trouva une négresse morte et un nègre si décharné et si maigre, qu’il ressemblait à une momie.

V. Vieillard "Allons à un autre! s'écria Tamanoir en visant un vieillard tout cassé. Pg.17

W. Wolof "On s'assit , et un matelot qui savait un peu la langue wolofe servit d'interprète".Pg.14

X Je n'ai pas trouvé de mots en x.

Y Yeux : Lorsque le cadavre du dernier blanc, déchiqueté et coupé par morceaux, eut été jeté à la mer, les noirs, rassasiés de vengeance, levèrent les yeux vers les voiles du navire, qui, toujours enflées par un vent frais, semblaient obéir encore à leurs oppresseurs et mener les vainqueurs, malgré leur triomphe, vers la terre de l’esclavage.

Z Je n'ai pas trouvé de mots en z

Mon avis: Ce livre est très intéressant car il montre l'exploitation du commerce des noirs et montre le racisme à l'époque de Tamango.

L T Delwin, 4D Le 02/10/2014

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Auteur: Prosper Mérimée

Titre: Tamango

Édition: Magnard

Collection: Classiques et Contemporains

Titre de la nouvelle: Tamango

 

Abécédaire :

 A: Africain: « Ainsi équipé, le guerrier africain croyait surpasser en élégance le petit-maître le plus accompli de Paris ou de Londres ». Page 13, Tamango   

B: Bois: « Son bois d'ébène se maintenait sans avaries. ».Page 22, Tamango

C: Capitaine: « Le capitaine Ledoux était un bon marin ». Page 1, Tamango

D: Discussions: « Une nouvelle bouteille fut débouchée, et la discussion recommença ». Page 16, Tamango

E: Exhorter: « Cependant Tamango, renfermé avec les autres esclaves, les exhortait jour et nuit à tenter un effort généreux pour retrouver leur liberté. ».Page 28, Tamango

F: Force: « Grâce à sa force prodigieuse, il parvint à se relever. ». Page 21, Tamango

G: Gréée: « L'Espérance partit donc un vendredi, bien gréée et bien équipée de tout. ».Page 12, Tamango

H: Héroïque: « La résistance du noir fut héroïque. ».Page 21, Tamango

I: Impétuosité: « Se levant avec impétuosité. ».Page 24, Tamango

J: Jurement:«  Puis, murmurant quelques jurements affreux, il se leva comme pour rompre tout marché avec un homme aussi déraisonnable ». Page 16, Tamango

K: Kingston: « Le chirurgien s'en empara, lui donna des soins, et quand la Bellone aborda à Kingston, Tamango était en parfaite santé. ».Page 44, Tamango

L: Lier: « aussitôt on lui lia fortement les pieds et les mains. ».Page 21, Tamango

M: Maladie: « Point de maladies contagieuses. ».Page 22, Tamango

N: Navire: « Le navire était plein »

O: Obstruer: « Alors les noirs  remontèrent sur le tillac et le débarrassèrent des débris qui l'obstruaient. ».Page 37, Tamango

P: Prodigieusement: « On cria, on disputa longtemps, on but prodigieusement d'eau-de-vie; mais l'eau-de-vie produisait un effet bien différent sur les deux parties contractantes ». Page 16, Tamango

Q: Quereller: « Le capitaine remonta sur le pont, de mauvaise humeur, et querella l'officier de quart sur la manœuvre qu'il commandait dans le moment. ».Page 27, Tamango

R: Régaler: « Quelquefois un matelot qui savait jouer du violon les régalait d'un concert. ».Page 23, Tamango

S: Séduisant: « L'offre était séduisante ».Page 17, Tamango

T: Tomber: « Tamango  tomba une seconde fois. ».Page 21, Tamango

U: Un: « voilà un gaillard. ».Page 14, Tamango

V: Vingt: « Il prit les vingt sveltes des trente esclaves. ».Page 17, Tamango

W: Wolofe: « On s'assit et un matelot qui savait un peu la langue wolofe servit d'interprète ». Page 14, Tamango

X: Aucun

Y: Yeux: « A ces mots, le capitaine descendit dans sa chambre, fit venir Ayché et tacha de la consoler ; mais ni les caresses, ni les coups même, car on perd patience à la fin, ne purent rendre traitable la belle Négresse ; des flots de larmes coulaient de ses yeux. ».Page 27,  Tamango

Z: Aucun

 

Mon avis:

Un livre très intéressant sur l'esclavage.

                        

                                                                                 B. Marc, 4D 04/10/14

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A=Affreux page 41 « La plupart demandèrent  qu'on les tuât avant de se séparer d'eux, »

B=Barbare  page 33 « Alors sans se décourager, Tamango, étreignant son adversaire de toute ses forces, le mordit avec tant de violence, que le sang jaillit  comme sous la dent d'un lion.

C=Cruel page 10/11 «  Il voulut  que les entreponts, étroits et rentrés , n'eussent que trois pieds quatre pouces de haut, prétendant que cette dimension permettait aux esclaves de taille raisonnable d'être commodément assis ; et quel besoin ont-ils de se lever ? »

D=Dangereux page 31 « Aussi trois noirs robustes avaient la charge de tuer  l'homme qui portait dans sa poche la clef des fers, et d'aller aussitôt délivrer leurs compagnon enchainés. »

E=Effrayer page 34 « Le peu de matelots qui restaient essayèrent d'implorer la pitié des révoltés ; mais tous, jusqu'à l'interprète qui ne leur avait jamais fait de mal, furent impitoyablement massacrés »

F=Fort page 44 « C'était un fort bel homme »

G=Gagnant page 33/34 « Tamango poussant un cri de triomphe, il perça de coups redoublés son ennemi déjà demi-mort »

H=Haineux  page 19 « Alors le pauvre Tamango versa un torrent de larmes, et poussa des cris de douleurs aussi aigus que ceux d'un malheureux qui subit une opération chirurgicale »

I=Idiot page 18 « Tamango, que de l'eau de vie  avait rendu furieux, ne se posséda plus en voyant qu'on s'opposait à ses volontés. Il frappa rudement sa femme de la crosse de son fusil. »

J=…/ K=…

L=Laborieux page 43  « Je ne sais pas combien de temps après, une frégate anglaise, la Bellone, aperçut un bâtiment démâté et en apparence abandonné de son équipage »

M=…

N=Naufragées page 38 «  Le matin, au réveil, nouveau désespoir. Pendant la nuit, un grand nombre de blessés étaient morts. Le vaisseau flottait entouré de cadavres, »

O=Obtus page 44 « En revanche, il buvait avec excès du rhum et du tafia. Il mourut à l'hôpital d'une inflammation de poitrine

P=…

R=Rager page 19 « A cette nouvelle, Tamango, stupéfait se frappa la tête, puis il prit son fusil… »

S=Sacrifié page 40/41 « C'était trop peu pour contenir environ quatre-vingts nègres encore vivants. Il fallut abandonner tous les blessés et les malades. La plupart demandèrent qu'on les tuât avant de se séparer d'eux.

T=…

U=Unie page 40 « Tous les noirs baissèrent la tête avec respect et se serrèrent autour de lui »

W=… / Y= …/Z=…

Thomas P, 4B                                                                                                      16/10/2014

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nom: Mérimée
prénom: Prosper
titre: Tamango
édition: Magnard
collection: classiques & contemporains


résumé:

C'est l'histoire du capitaine Ledoux qui est chef du bateau négrier " l'espérance " .Il part de Nantes pour aller au Sénégal afin d'acheter beaucoup d'esclaves pour les échanger contre les richesses des autres pays. C'est le commerce triangulaire. Il les achète à Tamango .Sous l'effet de l'alcool, Tamango vend sa propre femme Ayché . Se rendant compte de son erreur, il embarque sur "l'espérance" en tant qu’esclave. Les noirs dirigés par Tamango, se rebellent et tuent tous les blancs même le capitaine Ledoux. Tamango essaye de ramener le bateau vers le Sénégal mais sans succès. Beaucoup d'esclaves moururent de faim et de noyade .Son épouse Ayché mourut faute de quoi manger .Tamango fut recueilli par un navire anglais mais mourut peu de temps après d'une inflammation de la poitrine .

capitaine Ledoux : simple marin au départ, il devint capitaine (après avoir eu la main gauche amputée) du navire négrier " l'espérance «. Il est dur avec les esclaves, il leur laisse peu de liberté.

Tamango : guerrier et vendeur d'hommes noirs, fort ; parfois violent.

Ayché: une des épouses de Tamango, la plus jolie. Elle craint son mari.


Extrait choisi, page: 41 ligne 688 à 700 de "les deux embarcations ... à Ayché"

Ce passage m'a marqué car il me fait penser à ce que l'on entend aux informations actuellement à savoir: les migrants des pays en guerre qui montent sur des embarcations de fortune sans être certain de pouvoir gagner la terre ferme. Beaucoup meurent avant d'arriver car leurs bateaux trop chargés coulent.
Je fais le rapprochement avec le livre de Prosper Mérimée.

Mon avis: j’ai aimé ce livre car il m'a fait comprendre le fonctionnement du commerce triangulaire .Je trouve cela dur de traiter des humains de la sorte. Le racisme est très présent dans ce livre.

Erwan, 4D,  septembre 2015

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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 18:55

Nom puis prénom de l’auteur : De Maupassant Guy

Titre du recueil : Les Dimanches d'un bourgeois de Paris

Édition : Magnardhttp://www.babelio.com/couv/CVT_Les-Dimanches-dun-bourgeois-de-Paris--Et-autres-_191.jpeg

Collection : Classiques et contemporains

Titres des nouvelles que contient ce recueil : Les Dimanches d'un bourgeois de Paris

 

 

A : Attaque : « Dans la rue, un soir, tout à coup , un étourdissement le prit qui lui fit craindre une attaque. » page 13 ,Les dimanches d'un bourgeois de Paris

 

B: Borgeois, Les dimanches d'un bourgeois de Paris (titre)

 

C: Célibataire : « M .X..., cinquante-deux ans, célibataire, employé » page 13 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

D: Dimanche : « C'était de visiter à pied, chaque dimanche, les environs de Paris » page 14, Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

E: Employé : « Comme employé d'abord, comme français ensuite, comme homme d'ordre enfin » page 10, Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

F: Français : « Comme employé d'abord, comme français ensuite, comme homme d'ordre enfin » page 10 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

G: Gouvernement : «Le gouvernement d'un seul est une monstruosité» page 82, Les dimanches d'un bourgeois de Paris.

 

H: Hameçons :« Pour le goujon, il eut des hameçons n°15,du n°12 pour la brème et il comptait bien, avec le n°7,emplir son panier de carpes et de barbillons .» page 36 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

I : Illumination : «Alors il eut une illumination » page 14 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

J: Jérusalem :« Tout le long de la route on voyait des hommes se diriger dans le même sens, comme pour un immense pèlerinage vers une Jérusalem inconnue . » page 37 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

K:

 

L: Liberté : « Liberté ! Égalité! Fraternité ! » page 91, Les dimanches d'un bourgeois de Paris.

 

M: Marseillaise : « Un orgue de Barbarie, en passant, jeta une phrase de La Marseillaise» page 59, Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

N: Nature : «Il pressentit le charme des poétiques amours, la douceur des abandons, et la participation de la nature à nos tendresses qu'elle enveloppe.» page 25, Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

O: Ouvrages : «Oh ! Monsieur, si vous saviez combien j'apprécie vos ouvrages !» page 51, Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

P: Paris : «Monsieur Patissot, né à Paris, après avoir fait , comme beaucoup d'autres, de mauvaises études au collège Henri IV » page 9 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

Q : Quai : «Aussitôt sur le quai , il ouvrit sa carte de l'état-major, pour ne commettre aucune erreur » page 20 ,Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

R: Romans : « Ses dimanches étaient généralement passés à lire des romans d'aventures » page 13, Les dimanches d'un bourgeois de Paris.

 

S: Sédentaire : «Toute sa vie avait été sédentaire » page 13 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

T: Train : «Patissot prit le train de huit heures » page 27 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

U: Un : « Un paysan attardé les secourut et les remit dans leur chemin. »

 

V: Voyages : «Son équipement pour ces voyages occupa son esprit toute une semaine » page 14 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

 

W: Waterloo : « Le journaliste, tenant le bras de Patissot, philosophait, d'une voix lente : "Tout général a son Waterloo, disait-il ; tout Balzac a ses Jardies et tout artiste habitant la campagne a son coeur de propriétaire. »

 

X: Chapitre X : « X _ Séance publique _ Des deux côtés d'une porte au-dessus de laquelle le mot "Bal" s'étalait en lettres voyantes, de larges affiches d'un rouge violent annonçaient que, ce dimanche-là, ce lieu de plaisir populaire recevait une autre destination. M. Patissot, qui flânait comme un bon bourgeois, en digérant son déjeuner, et se dirigeait tout doucement vers la gare, s'arrêta, l'oeil saisi par cette couleur écarlate, et il lut :

ASSOCIATION GÉNÉRALE INTERNATIONALE _ POUR LA REVENDICATION DES DROITS DE LA FEMME

 

Y:

Z: Zola :« La tour fut édifiée par Zola » page 44 , Les dimanches d'un bourgeois de Paris .

H. Lucile, 4e D 28/09/2014

*******************************************

 

Auteur : GUY DE MAUPASSANT           

Titre : LES DIMANCHES D’UN BOURGEOIS DE PARIS

Edition : MAGNARD

 

Titres des chapitres :

 

1-préparatifs de voyage

2-première sortie

3-chez un ami

4-pêche à la ligne

5-deux hommes célèbres

6-avant la fête

7-une triste histoire

8-essai d’amour

9-un diner et quelques idées

10-séance publique

 

  1. PREPARATIF DE VOYAGE :

Cette nouvelle nous raconte qu’à paris vers 1859, un bourgeois nommé M. PATTISSOT âgé d’une cinquantaine d’années est atteint d’une congestion (maladie vasculaire).

Il décide pour se soigner de faire une activité physique à pratiquer tous les dimanches.

PHRASE : « ….il  a aujourd’hui cinquante-deux ans, et c’est à cet âge qu’il commence à parcourir, en touriste, toute cette partie de la France qui s’étend entre les fortifications et la province. » 

Chapitre 1 page 9 ligne 8

J’ai choisi cet extrait qui souligne le fait que Mr Pattissot né à paris redécouvre sa ville natale avec le point vue d’un touriste à l’âge tardif de 52 ans.

2 –PREMIERE SORTIE :

Ce passage se situe sur une ile « St Cloud ».

M. Pattissot  visite celle-ci pour la première fois.

PHRASE : « … après avoir chargé sur le dos son sac bourré de viande, de fromage et de bouteilles de vins (car l’exercice, assurément, lui creuserait l’estomac), il partit, sa canne à la main. »

Chapitre 2 page 18 ligne 20

Cette phrase marque le début des aventures …

3-CHEZ UN AMI

Cette nouvelle se déroule dans la maison de vacances  de M. Boivin, ami de Mr Pattissot .

PHRASE : « …le père Boivin , pour cimenter cette sympathie naissante , l’invita à déjeuner pour le dimanche suivant . »

Chapitre 3 page 27 ligne 10

M. Pattissot découvre enfin son voisin après plusieurs années à vivre à coté l’un de l’autre sans jamais s’y intéresser, une amitié est en train de naitre … 

4-PECHE A LA LIGNE

M. Pattissot et M. Boivin partent à la pêche au bord d’un lac, là où ils vont faire une rencontre fort sympathique d’un inconnu.

PHRASE : « … la veille du jour où il devait pour la première fois de sa vie , lancer un hameçon … " Chapitre 4 page 35 ligne 1

Grâce à sa maladie, M. Pattissot va découvrir les joies de la pèches .

5-DEUX HOMMES CELEBRES

Cette histoire se déroule à Poissy puis à Medan .

Mr Pattissot va faire connaissance Zola et Meissonnier grâce à son cousin rencontrer  par hasard à paris

PHRASE : « …je ferai, en passant , une visite à meissonier , dans sa propriété de Poissy ; puis nous gagnerons à pied Medan , ou habite Zola , à qui j’ai mission de demander son prochain roman pour notre journal … »

Chapitre5 page 44 ligne 15

M. Pattissot va avoir la chance de rencontrer de 2 hommes exceptionnels .

6-AVANT LA FETE

Pour la première fois Mr Pattissot va fêté la fête nationale avec grand succès.

PHRASE : »… au premier étage de sa maison habitait un riche particulier, noble et royaliste dont le cocher …M.Pattissot supposa que, en y mettant le prix, toute conscience peut être achetée, et il proposa cent sous à ce citoyen du fouet, pour lui céder son logis de midi jusqu’à minuit. »

Chapitre 6 page 55 ligne 45

M. Pattissot met tous les moyens possibles pour réussir sa première fête nationale jusqu’à louer un logement supplémentaire afin d’accueillir tous ses invités.

7-UNE TRISTE HISTOIRE

Ce récit se déroule dans un musée puis sur le bord de la Seine.

M. Pattissot rencontre un homme qui lui raconte son histoire d’amour.

PHRASE : « … ma demoiselle, il me semble que je ne pourrai plus vivre loin de vous. »

Chapitre 7 page 64 ligne 84

M. Pattissot grâce à sa sortie du dimanche au musée fait la rencontre d’un inconnu qui lui livre les joies mais aussi les douleurs que peuvent provoquer l’amour d’une femme chez un homme, malgré tout M. Pattissot se dit qu’il aimerait partager ses sentiments avec quelqu’un.

8-ESSAI D’ AMOUR

Ce passage est  particulier car M. Pattissot désire avoir une histoire d’amour mais le jeune femme dont il est amoureux ne partage pas ses sentiments.

PHRASE : «  … M. Pattissot, comme les autres, fut pris d’une rage de tendresse, de doux baisers rendus le long des sentiers... « 

Chapitre 8 page 69 ligne 9

M. Pattissot recherche tendresse et amour.

9-UN DINER ET QUELQUES IDEES

Ce récit parle du pot de départ d’un employé de l’entreprise où travaille M. Pattissot .

PHRASE : «  … la maison, enluminée d’ornement moresques, avait un aspect café –concert, mais sa situation lui donnait de la valeur, … « 

Chapitre 9 page 75 ligne 10

M. Pattissot est intrigué par la voie de chemin de fer traversant  le jardin de son collègue.

10-SEANCE PUBLIQUE

Des personnes se révoltent dans une salle prés du métro, M. Pattissot s’arrête pour comprendre leurs revendications.

PHRASE : «  … association générale internationale pour la revendication des droits de la femme … »

Chapitre 10 page 86 ligne 8

M. Pattissot partage pour la première fois sur ce sujet de la condition de la femme, jusque là il ne s’y était jamais vraiment intéressé.

CONCLUSION :

À travers toutes ses nouvelles, nous découvrons un homme qui a 52 ans suite à son problème vasculaire , grâce à l’obligation de faire de l’exercice, découvre sa ville natale et son voisin, rencontre des hommes célèbres, se met à pécher, organise une fête et se pose des questions sur l’amour et la condition des femmes .

On peut se demander si ce n’est pas un peu tard pour vivre tous ces moments et pourquoi M. Pattissot a attendu la maladie pour prendre le temps de découvrir toutes ces choses importantes dans la vie.

L’histoire ne m’a pas touchée et le vocabulaire était trop compliqué, dans l’ensemble je n’ai pas pris de plaisir à cette lecture.

CECILE  4A, LE 4 OCTOBRE 2015

 

 

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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 11:05

Auteur : MERIMEE Prosper                      

Titre : La Vénus d’Ille9782011678508-G.jpg

Edition : Hachette

Collection : Biblio collège

Genre : Nouvelle fantastique

Thème principal : Enquête et surnaturel au XIXème siècle

Résumé : Un jeune archéologue parisien se rend à Ille, pour faire la connaissance de M. de Peyrehorade un vieil antiquaire passionné par son idole : « La vénus d’ Ille ». Ce dernier est à la recherche d’informations sur cette statue en bronze récemment découverte, qui éveille les soupçons des habitants d’Ille qui se méfient de la statue. C’est elle qui aurait déjà brisé la jambe de Jean Coll, un ami de M.de Peyrehorade. Vérité ou superstition ?                                  

Le jeune chercheur remarque alors sur la Vénus de mystérieuses inscriptions révélant entre-autre des menaces, et constate une expression étrange et sévère sur son visage. Pendant ce temps se prépare le mariage du fils de M. de Peyrehorade et Melle de Puygarrig. C’est alors que le drame survient et bouleverse  tout.

Passage remarquable : « Quant à la figure, jamais je ne parviendrais à exprimer son caractère étrange, et dont le type ne se rapprochait de celui d’aucune statue antique dont il me souvienne. Ce n’était point cette beauté calme et sévère  des sculpteurs grecs, qui, par système, donnaient à tous les traits une majestueuse immobilité. Ici, au contraire, j’observais avec surprise l’intention marquée de l’artiste de rendre la malice arrivant jusqu’à la méchanceté. »

Je pense que dans ce passage on apprend que la Vénus n’était pas seulement belle et douce mais était aussi pleine de malveillance et de méchanceté.

 

Jugement critique : Tradition et mystère. Ce livre nous en apprend plus sur le Roussillon et ses coutumes.  De plus, le mystère qui règne tout au long du livre nous pousse à nous poser des questions sur nos superstitions et nos croyances. Ce livre est très facile à lire, intéressant et j’aime beaucoup la fin car elle à un côté mystérieux  c’est pourquoi j’apprécie cette nouvelle et je la conseille à tout le monde. 

Fanny, 4C, 11/11/2012 

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Le Vendredi  9 Mai 2014 à Cannes

 

Monsieur Mérimée,

J’ai lu La Vénus d’Ille et je vous envoie cette lettre pour vous dire que j’ai bien aimé l’histoire de ce livre. Vous m’avez fait découvrir un lieu que je ne connaissais pas, la ville d’Ille qui se situe au Roussillon.

Dans ce livre j’ai fait connaissance de plusieurs personnages :

-le narrateur : qui est un archéologue parisien, il n’est jamais nommé dans le récit.

-M. de Peyrehorade : notable cultivé d’Ille, M. de Peyrehorade est un antiquaire celui qui accueille chaleureusement le

narrateur.

-Alphonse de Peyrehorade : c’est le fils de M. de Peyrehorade.

-Mlle de Puygarring : Mlle de Puygarring  une jeune fille fortunée de la région future épouse d’ Alphonse de Peyrehorade.

-Mme Peyrehorade : l’épouse de M. de Peyrehorade. Elle incarne l’étroitesse d’esprit de la bourgeoisie provinciale.

 

 Clément K.4C

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Prosper Mérimée                                                                                   Fait le 12 mai 2014, à Quintin

N°5 Rue d’ Ille

65200 Perpignan

 

Monsieur Mérimée,

Votre livre m’a fait découvrir une région que je ne connaissais pas, La Catalogne, mais aussi des lieux comme par exemple, le Canigou (p.11), la ville de Perpignan (P.13), la ville de Dax (p.13) et bien sûr la ville d’Ille (P.11 et tout au long du livre).

J’ai aussi découvert grâce aux personnages des noms de  famille particuliers propres à cette région comme Peyrehorade, père d’Alphonse fiancé de Mlle de Puygarrig, nom également  typique.

Votre histoire se passe vraisemblablement au 19ème siècle, car dans le récit certains personnages jouent à une partie de jeu de paume : « En ce moment commençait, sur le jeu de paume dont j’ai parlé, une partie qui, sur-le-champ attira  l’attention de M. Alphonse » (P.57). Ce qui m’a mis également sur la voie est le fait que vous avez écrit l’histoire au 19ème siècle.

J’ai trouvé que la description des personnages était développée, apportant ainsi un  enrichissement culturel intéressant. Cette précision présente également pour les lieux et les  événements apporte de plus du réalisme à votre œuvre.

En ce qui concerne le récit en lui-même, l’étrange intrigue présente tout au long de l’histoire permet d’introduire avec dynamisme tous les éléments culturels.

Je tenais à vous adresser mes remerciements pour tout ce que votre œuvre m’a permis d’apprendre.

Sincères salutations.

                                                                                                                                   Pierre-Louis G. 4C

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                                                                                                                         Quintin, Le 30 avril 2014

 

Cher M. Mérimée,

 

J’ai lu votre nouvelle, La Vénus d’Ille. Merci de m'avoir fait découvrir ce livre. Je l'ai bien aimé, j’ai surtout apprécié l'histoire : le narrateur rencontre M de Peyrehorade qui doit lui montrer des ruines antiques là où M. de Peyrehorade vient de trouver une statue ''la statue de Vénus''.

Le lendemain matin M. de Peyrehorade le réveille pour lui faire admirer sa Vénus. Sur le socle de la Vénus, était inscrit ''Prends garde à toi si elle t'aime''.

Alphonse, le fils de M. de Peyrehorade devait se marier avec Mlle Puygarrig. Il ne l'aimait pas vraiment, il l'épousait pour son argent. Le lendemain matin le narrateur essaie en vain de dessiner la statue pour une cérémonie grotesque pour honorer Vénus et faire des vœux pour les futurs mariés. Le jour de la cérémonie de mariage, les jeunes gens  allèrent jouer au jeu de paume. Alphonse les rejoignit alors pour jouer, il enleva son costume de mariage et la bague destinée à son épouse qu’il posa sur l'annulaire de la statue.

La partie finie, il se rhabilla pour le mariage mais il fut très ennuyé car il avait oublié la bague sur la statue alors il donna la bague qu'il avait au doigt à sa nouvelle épouse.

Il demanda au narrateur de l'aider à récupérer la bague sur le doigt de la statue car, disait-il, elle avait replié son doigt. Mais le narrateur ne le crut pas et il alla se coucher.

Il fut réveillé par des pas lourds et  les craquements dans l’escalier et par des cris. Il alla voir d’où venaient les cris. Il trouva M Alphonse mort sur le lit nuptial, le corps couvert de contusions. Il retrouva la bague qui normalement était sur la statue.

Alors un procès commença où beaucoup de preuves étaient contre la statue et même la mariée se souvenait avoir vu la statue entrer dans la chambre et poser son mari sur le lit.

Après l'enterrement  le narrateur rentra à Paris. Quelques mois plus tard, il apprit que M. de Peyrehorade avait fait fondre la statue en cloche et qu'il était mort juste après. 

C’est une histoire vraiment fascinante et je tenais, Cher M. Mérimée, à vous faire part de mes impressions.                                                                                                       Sébastien M. 4C

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La Vénus d'Ille
HACHETTE
bibliothèque collège


A : au (p.11 l.5): dis je au Catalan qui me servait de guide

B : Bientôt (p.12 l.13): Bientôt ! il se peut que déjà les violons soit commandés

C : Ce (p.12 l.14): Ce soir, peut être, demain, après demain, que sais-je?

D : de (p.13 l.50): ... qui  y allait de tout coeur ? il donne un coup de pioche

E : Et(p.13 l.59): Et le voilà, avec la pioche...

F : femme (p.14 l.63): Une grande femme noire plus qu'à moitié nue...

G : grâce (p.20 l.122): ... un peu trop grasse,comme la plupart des Catalanes.

H : homme (p.22 l.180): Mais vous êtes un homme et vous ne regarder plus de femme...

I : il(p.23 l.208): il y en a des douzaines, et en bronze aussi.

K:

L : Les (p.26 l.264): Les fenêtres étaient fermées.

M : maison (p.26 l.272): à une vingtaine de toises de la maison.

N : narines (p.33 l.364): les narines quelque peu gonflées.

O : Oui(p.40 l.407): Oui ; mais le premier , c'est Vulcain.

P : paume (p.32 L;335): la paume en dedans, le pouce et les deux premiers doigts étendus

Q : quelques (p.43 l.495): quelques bien à la cité de Turbul.

R : rêve (p.44 l.517): ...qu'un amoureux voit Vénus en rêve...

S : semblable (p.45 l.531): Je remarquai une trace semblable sur les doigts.

T : tout (p.64 l.758: ...chanta même, le tout fort longuement.

U: un (p.65 l.780): un torrent de larmes et des embrassements sans fin.

V : Vous (p.69 l.858): Vous savez bien, mon anneau ?


Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car je trouve qu'il n'y a pas beaucoup d'action. Je n'aime pas beaucoup le thème du livre, je le pensais plus palpitant.

T. Louis, 4D                                                                                          lundi 6 octobre 2014

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Nom puis prénom de l'auteur : Prosper Mérimée

Titre du recueil : La Vénus d'Ille

Edition : Nathan

Collection : Carrés Classiques Collège

Titre des nouvelles que contient ce recueil : La Vénus d'Ille de Mérimée puis La Cafetière et Omphale de Théophile Gautier

 

Abécédaire :

 

A. antique : “ Un antique ! un antique ! “ p17 la Vénus d'Ille ( antique : objet d'atant de l'antiquité).

B. Bague : “ Il tirait de son petit doigt une grosse bague enrichie de diamant » p39 la Vénus d'Ille. 

C. Canigou : “ je descendais le dernier coteau du Canigou “ p15 la Vénus d'Ille.

D. Danser : “ On dansa d'abord le menuet.” p90 la Cafetière.

E. Echarpe : “ Angela s'assit m'entourant de ses bras comme d'une écharpe blanche.”P94 la Cafetière.

F. Feu : “ Tout à coup le feu prit un étrange degré d'activité.” p87 la Cafetière.

G. Genoux : “ Qu'est-ce que cela fait, mon bel ange ? Je vous prendrai sur mes genoux.”

H. Harassés : “ Nous étions harassés.” p87 la Cafetière.

 I. Idole : “Mr de Peyrehorade avait trouvé une idole en terre.”p   la Vénus d'Ille. (Idole : représentation d'une divinité)

J. Joueur de paume : “ le plus malin joueur de paume.” p18 la Vénus d'Ille.

K.

L. Lit : “ Le lit s'agitait sous moi comme une vague...”p86 la Cafetière

M. Mariage : “ Ce mariage se fera-t-il bientôt “ p15 la Vénus d'Ille.

N.  Normandie : “ passer quelques jours dans une terre au fond de la Normandie.”P85 la Cafetière

O. Ouïr : “ La plus curieuse que j'aie jamais ouïe.”

P. Perpignan : l'action se passe dans le village d'Ille près de Perpignan.

Q.

R. Roussillon : “ Il faut que vous appreniez à connaitre notre Roussillon.” p20 la Vénus d'Ille.

S. Soufflet : “ Les bougies s'allumèrent toutes seules ; le soufflet, sans qu'aucun être visible lui imprimât le mouvement, se mit à souffler le feu...” p87 la Cafetière.

T. Tapisserie : “ de sorte qu'on pouvait sans peine distinguer les personnages de la tapisserie et les figures des portraits enfumés pendus à la muraille.” p87 la Cafetière.

U.

V. Vénus : “ Ah il vous a parlé de l'idole, car c'est ainsi qu'ils appellent ma belle Vénus. “ p21 la Vénus d'Ille.

X./ Y./ Z.

 

Avis : j'ai bien aimé ce recueil car il y avait beaucoup de suspense et le côté fantastique m'a aussi plu.

 

Lisa L. 4B,                                                                                          mercredi 15 octobre 2014.

                                                                                                                                                              

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 14:12

Titre : Papillons noirs                                                                                                          

Auteur : Claire Mazard                                                                                                   41-vOmxxFCL.jpg    

Editeur : Oskar éditions

Résumé :

Vanessa 16 ans vient de se faire repérer par une agence de mode et parvient à obtenir un rendez-vous avec la directrice de Maud'elle.

Mais quelques jours avant son rendez-vous,  elle reçoit des messages menaçants :

"Tu es belle

Tu es jeune

Tu vas mourir... assassinée"

Vanessa se demande si elle ne devrait pas annuler son entretien. Finalement elle se décide à y aller !

Quelques temps après, la police est alertée qu'un meurtre a été commis à l'agence. La directrice est retrouvée morte dans son bureau et Vanessa a disparu. La commissaire Karine Raczynski va devoir  mener l'enquête.

Passage du livre :

            "10 heures.

            - Good morning !

            L'aboiement de la prof d'anglais faisant l'appel était particulièrement insupportable aujourd'hui.

            - Carafa Myriam ? Cortez Vanessa ?

            Silence.

            - Where is Cortez Vanessa ?

            Jennifer eut un geste d'impuissance. La place à côté d'elle était vide. Désespérément vide depuis ce matin.

            Toute la nuit, elle avait attendu l'appel de son amie sur son portable.

            Devant cette chaise vide, elle avait envie de hurler maintenant.

            Il était arrivé quelque chose à Vanessa ! "

Jennifer est la meilleure amie de Vanessa qui avait rendez-vous la veille au soir chez Maud'Elle. Vanessa devait l'appeler mais elle ne l'a pas fait et Jennifer est vraiment très inquiète pour son amie.

Mon avis :

J'ai bien aimé ce livre parce qu'il y a de l'action et du suspense. L'histoire est intéressante, elle représente bien le monde des mannequins. Je conseille ce livre à tous ceux qui aiment les enquêtes policières.

Bleuenn N 4A, 16 janvier 2014 

 

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Papillons noirs de Claire Mazard (Oskar éditions 2010) 

 

Des messages de mort sur des papillons noirs, le meurtre de la directrice de l'agence Maud'Elle, la disparition de Vanessa, 16 ans...

 

Bien des mystères à éclaircir pour le commissaire Karine Raczynski qui se lance dans une enquête aux nombreux rebondissements ! 

Véronique N, doc. du CDI, 18 novembre 2011

26

Auteur : Claire Mazara

Titre : Papillons Noirs

Editeur : Oskar éditions

Collection : Les incorruptibles

Illustrateur de la couverture : Virginie Morgand

Genre : Roman 

Une jeune fille Vanessa âgée de 16 ans est repérée pour devenir top-modèle à l'agence Maud’ Elle. Mais quelques jours avant elle recevait des messages et des papillons noirs menaçant en disant « TU ES BELLE , TU ES JEUNE ...... , TU VAS MOURRIR ..... ASSASINEE ».

Ne se doutant de rien, Vanessa se rendit à l'agence Maud’ Elle, mais quelques heures après on annonçait à la télévision qu’un meurtre s'était passé à l'agence Maud’ Elle. Une jeune fille était à l'hôpital dans le coma et la directrice de l'agence Maud avait été horriblement assassinée. Personne ne savait qui l'avait tuée, ni quand. La commissaire Karine Raczynski était chargée de l'enquête. Mais où était passée Vanessa ? On ne connaissait pas l'identité de la jeune fille dans le coma personne ne la connaissait. Entre  un meurtre, une disparition, plusieurs suspects inculpés, une jeune fille dont on ne connait pas l’identité, des papillons noirs donnés à plusieurs jeunes filles et des messages menaçants, les énigmes sont nombreuses. Qui a envoyé ces papillons et messages menaçants ? est-ce pour prévenir les jeunes filles ? L’agence Maud’ Elle est-t-elle une bonne agence de mannequin ? La commissaire Karine Raczynski va devoir mener l'enquête ....

Vanessa une lycéenne âgée de 16 ans a une copine Jennifer et un petit copain (anonyme). Elle est le personnage principal dans le livre .Elle avait un comportement étrange depuis qu'elle recevait des messages menaçant " TU ES BELLE .... TU ES JEUNE .... TU VAS MOURIR .... ASSASSINEE "  et des PAPILLONS NOIRS. Elle avait une bonne relation avec sa famille même si sa maman était partie dans un autre pays pour le travail. Elle avait un caractère difficile et elle était toujours prête à avoir ce qu'elle veut. Vanessa a un rôle important dans le livre car elle est portée disparue.

" L'appel reçu au commissariat nous prévenait d'un double meurtre, mais en fait une des deux victimes est dans le coma. L'ambulance vient juste de l'emporter, vous avez dû l'apercevoir. Karine acquiesça. -Je vous fais mon topo, patron ? La jeune fille dans le coma : une inconnue, pour l'instant. On n'a rien trouvé qui puisse l'identifier , ni sac ni papier . La morte, c'est la directrice de l’agence. Je vous préviens, ce n'est pas beau à voir. Karine s'avança dans le bureau. Elle réprima une grimace. Le spectacle était horrible. Ce qui vous glaçait le sang : cet œil rond, noir, grand ouvert. Le visage était écrasé sur tout le côté gauche. Sang sur les vêtements. La tête pendait comme celle d'une marionnette. page 28,29.

J'ai choisi ce passage car pour moi c'est ici que débute vraiment l'histoire et c'est la partie la plus affreuse de l'histoire où la commissaire découvre le corps de Maud la directrice de l'agence.

Sur l'illustration on découvre Vanessa la jeune fille , en train de regarder les messages qu'on lui envoie et le papier en forme de papillons noirs . Le décor est comme si elle était perdue. L'illustration évoque bien l'histoire du livre .

J'ai bien aimé ce livre. Au début, je l’ai trouvée surprenante. Elle est intrigante et l'enquêté de la commissaire apportait du suspense.

Lea H, 4 A, décembre 2015

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 16:45

   

Titre: Cool !

Auteur: Michael Morpurgo 9782070566136.jpg

Edition: Gallimard jeunesse

Collection: folio junior

  

Robbie 10 ans est victime d’un accident, il est dans le coma. Il sortait de chez lui avec son chien et son chien s’est emballé sur la route suivi de Robbie… Le crash avec la voiture était inévitable, le chauffeur n‘a pas pu l‘éviter, tout s’est passé trop vite.

Lorsqu’il est dans le coma, Robie entend tout. Ses parents, ses amis d’école, de foot font tout pour le réveiller, il lui faut une forte émotion pour le sortir du coma.

 

Je trouve ce livre très intéressant, touchant, facile à lire   je l’ai aimé, j’aime l’histoire. Je pense que ce livre a été fait pour savoir ce qu’est vraiment le coma.

Loïc C, 15 janvier 2014

Du même auteur sur Lirélire :

  Morpurgo Michael, Cheval de guerre

  Morpurgo Michaël, Robin des Bois

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 21:00
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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 10:45

Vanille, flibustière des Antilles
Nicole Maymat
Seuil
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Ce sont cinq équipages de pirates (nouvelle-Espagne, indien caraïbes, arawaks, sirena negra et lourds galions espagnols) qui se battent sans relâche pour un trésor appelé d’ix chilam balam.


Mes cinq mots sont :

 Bataille car ils se battent.
Amis car il y a quand même des amis.
Trésor car ils se battent pour un trésor.
Pirates car ce sont des pirates.
Bateaux car les pirates sont sur des bateaux.

Moi je n’aime pas les livres de pirates du XVI e siècle mais j’aurais quand même décidé de publier ce livre car il y a des personnes qui aiment ce genre de livre.

Ce livre était trop compliqué pour moi. Il y avait trop de mots difficiles.

Extraits représentatifs :

« Si Bravy avait eu connaissance des états d'âme de Malamuera à son égard, il en aurait souri, et peut-être aurait-il été inconsidérément rassuré. Heureusement pour lui, il ignora tout des sentiments contradictoires du vieux forban. Une seule chose lui importait : Vanille, et il comprit très vite que s'il voulait la retrouver, il n'avait rien de mieux à faire que de rester à bord de la Sirena negra. C'est encore là qu'il avait le plus de chances de la rencontrer ! C'était risqué. Très risqué. Mais Bravy aime et il est prêt à tout. »

 

« Ils avaient osé !

En avant du charnier, une croix était dressée. Ils avaient osé planter une croix devant le bûcher ! Bravy s'était précipité, d'un geste d'une violence inouïe, de ses deux mains l'avait brisée.

Ricardo, le chirurgien de bord, avait tenté de s'interposer :

« Arrête ! Tu profanes !

- Je profane ? Tu oses dire que je profane !

- Tu profanes et tu blasphèmes !

- QUOI ? »

Épouvanté par le sacrilège, l’équipage regardait Bravy, complètement stupéfié.

Mais Ricardo insistait :

« Celui qui a été sur cette croix n’est pas coupable !

- Ils ont dévoyé sa parole ! On tue, on massacre en son nom ! Et tu veux que je dise amen ! AMEN ! »

Bravy hurlait, au paroxysme de sa colère.

« Heureux, les pauvres de cœur : le royaume des cieux est à eux !

Heureux, les doux : ils auront la terre en partage !

Heureux, ceux qui pleurent : ils seront consolés !

Heureux, ceux qui ont faim et soif de la justice : ils seront rassasiés !

Heureux ! Heureux ! Heureux ! » martelait-il, en écho aux cris et aux combats de son enfance… »


04/12/13 Karim, 4c

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 20:53

Frérot Frangin de Thierry Maricourt et Tardi.

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Les principaux personnages du livre sont Frérot et Frangin (couverture). Je préfère Frérot parce qu’il n’est pas en prison et il est en classe de neige (dessin en couleurs de la montagne (p.16). Ce personnage se préoccupe de son frère qui est en prison (dessin en marron et gris p.18). Il y a pas de personnages secondaires car ces deux-là sont déjà importants (couverture). J’aurais préféré enlever Frangin car la prison ce n’est pas joyeux (dessin p.28).

J’ai déjà rencontré ce genre de situation dans un autre livre qui ressemble à celui-là. C’étaient deux frères qui voulaient se retrouver. Ce livre  s’appelle Les retrouvailles.

Je pense que l’auteur a écrit ce livre parce qu’il a peut être vécu cela ou alors ce n’est que son imagination. L’élément le plus important est de dire qu’ils sont séparés un en prison et l’autre en classe de neige (dessin de l’apprentissage du ski p.20-21).

J’aimerais poser comme question à l’auteur : « Pourquoi avoir choisi ce thème ?»

 Noa 4A Octobre 2013 

**********************************************************************************************************

 Quentin G….

4 rue sainte Anne

Le Foeil

 

Le frangin

Monsieur,

Le passage qui m’a déçu c’est quand le frérot est en prison et l’autre parti en voyage de ski avec l’école et que l’un s’amuse et l’autre pas.

J’ai été dérouté par l’intrigue : la fin que j’aurais préférée c’est que le frérot sorte de prison.

Je pense que le frérot est jaloux de son frangin car il est au ski.

J’aime le style d'écriture, le livre est agréable à lire.

Je vous prie de croire, Monsieur, en ma sincère reconnaissance.

                                              G Quentin

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 18:09

AUTEUR : Hélène Montardre

TITRE : Amies sans frontières

EDITION : avril 2010 ; collection rageot romansamies-sans-frontieres-78716-250-400.jpg

 GENRE : Roman épistolaire

 THEME PRINCIPAL : Les lettres de deux adolescentes qui ne se sont jamais rencontrées.

C'est l'histoire de Laure, 12 ans, qui habite en ville dans un appartement et qui a une vie normale d'adolescente de son âge et de Moodame du même âge mais qui elle , habite en Thaïlande dans une hutte dans un petit village des montagnes du Nord. La correspondance se fait grâce à l'oncle de Laure, Robert  qui est parti en mission humanitaire en Thaïlande et qui leur écrit des lettres de temps en temps pour leur donner de ses nouvelles. Elles font peu à peu connaissance et découvrent qu'elles ont des point communs  malgré la distance qui les sépare, elles se racontent chacune leur vie, leurs problèmes et leurs modes de vie très différents. Un jour, alors que la correspondance se passe à merveille, Laure s'étonne de ne pas avoir reçu de lettre de Moodame depuis un certain temps, elle continue de lui écrire comme d'habitude mais en la questionnant sur le fait qu'elle ne réponde pas. Toujours aucune réponse de Moodame. Laure reçoit une lettre spécialement pour elle de son oncle qui est toujours en Thaïlande qui raconte qu'elle ne lui écrira plus, expliquant qu'elle à été enlevée dans son village ainsi que d'autres enfants pour être réduite en esclavage par des maîtres. Quand Laure apprend la nouvelle, elle est prise de tristesse et décide de continuer à lui écrire tous les jours, même si elle sait que Moodame ne recevra jamais ses lettres.

 

PASSAGE REMARQUABLE : ( p 109 )

Laure,

Tu vas être surprise. D'habitude, c'est à vous tous que j'écris. Aujourd'hui, il y a une lettre pour ta mère et une pour toi. C'est parce que quelque chose de grave est arrivé : Moodame a isparu. Enlevée, comme d'autres enfants des montagnes où elle habite.

 Il faut que tu saches que dans certains pays, il y a encore des loups – des loups à forme humaine –qui menacent les enfants. Moodame a eu le tort de ne pas s'en méfier. Tu as dû te rendre compte qu'elle ne répondait plus à tes lettres. C'est pour cela. Là où elle est, elle ne pourra plus jamais écrire, à personne. On ne le lui permettra pas.

Je t'embrasse

                                                                                                                                Robert

Je trouve que ce passage est très symbolique pour le livre et explique bien la fin du roman , comment Moodame a été enlevée , et l'annonce de l'oncle de Laure (Robert) est bien faite . Il signifie aussi comment un enlèvement dans un village de pays étranger peut se dérouler .

 

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J'ai vraiment apprécié ce roman car la correspondance des deux adolescentes est intéressante et prouve que l'on peut se comprendre sans se voir et en étant de deux pays différents. J'ai aussi aimé quand on raconte comment ce passe la vie de Moodame en Thaïlande, très différente de celle de Laure et quand elle décrit son mode de vie, la garde de sa sœur, le travail très dur dans les champs … Mais la fin est triste donc il faut aimer les péripéties.

Je conseille ce livre car je l'ai vraiment beaucoup apprécié.                                                                                                                             Eva C  4A, 14/10/2012

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Auteur : Hélène Montarde

Titre : Amies sans frontières

Date : Avril 2010

Éditeur : Rageot

Genre : Journal, récit de vie

Thème principal : Laure apprend à connaître une Thaïlandaise de son âge.

Résumé:

Robert (l'oncle de Laure) qui voyage tout le temps et qui vit en Thaïlande la plupart du temps est en France.

Ce jour là, il propose à Laure d'avoir une correspondante thaïlandaise; Laure le prend pour un fou mais décide finalement d'accepter à condition que ce soit la correspondante qui lui écrive en premier.

Sa correspondante s'appelle Moodame. Moodame parle en Thaï, c'est donc l'institutrice de cette dernière qui traduira les lettres en Français pour Laure et en Thaï pour Moodame. Laure se disait que de toute façon elles ne s'écriraient pas très longtemps.

Mais même à la première lettre elles se comprennent et deviennent vite très amies.

De son côté, Laure apprend à connaître une des filles de son collège, Émilie qui devient sa meilleure amie.

Mais au bout de huit mois, Moodame ne répond plus, pourquoi ? Elle qui était si gentille, si optimiste et si rayonnante !

Robert va apprendre à Laure une terrible nouvelle qui va la bouleverser ...

Passage remarquable (p.7) :

-Une correspondante Thaïlandaise ???

Dans la voix de Laure, il y avait de la surprise, une touche d'incrédulité et une nuance d'indécision; l'air de dire : « Tu crois m'avoir, mais j'ai bien compris que tu plaisantes »

Sur les lèvres de Robert, le sourire était joyeux.

Gai. Trop gai pour qu'il s'agisse d'une plaisanterie.

Et au fond de ses yeux brillait une lueur pleine de persuasion, comme un message :

« Si, je t'assure. C'est bien, il faut le faire...

- Mais en quoi on va s'écrire ? Qu'est ce qu'on parle en Thaïlande ? Et puis d'abord, c'est où la Thaïlande ? »

Là, Laure exagérait. Robert lui avait déjà montré sur le globe terrestre installé dans sa chambre, sur une tache rose au bord de l'immense continent asiatique. C'était cela la Thaïlande, cette masse coincée entre le Laos, la Birmanie et la mer de Chine, d'où son oncle revenait régulièrement, épuisé, amaigri et dont il parlait avec une passion qui faisait vibrer sa voix.

 Jugement critique personnel :

J'ai apprécié ce livre car il était agréable à lire. La fin est un peu trop triste. J'ai trouvé dommage que l'auteur ne montre pas les lettres que Moodame écrivait à Laure.

Clarisse, 5C, avril 2013

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Amies sans frontières.

Edition : Rageot 2010

Collection : Cascade pluriel.                                                          

Genre : Roman épistolaire.

Thème de fiction : amitié, enfance, esclavage.

Laure, 13 ans ainsi que Moodame même âge sont les principaux personnages du romans. Mais Robert, l'oncle de Laure a aussi un rôle important dans ce récit. J'ai beaucoup apprécié Laure car c'est une jeune fille qui me ressemble, je réagirais de la même façon si l'on me proposait de correspondre avec une jeune Thaïlandaise.

Autre point important : le suspense, il incite le lecteur à poursuivre sa  lecture. Pour moi, l'élément le plus important est la fin, là où l'on  apprend le tragique enlèvement de Moodame. Je pense que l'auteur a écrit ce livre pour sensibiliser le lecteur et lui faire comprendre ce qui se passe dans le monde. Si je pouvais poser une question à l'auteur ce serait : pourquoi l'histoire se termine-t-elle aussi tristement ? pourquoi ne pas avoir ajouté une touche d'espoir ? Mais je pense que l'histoire se termine comme ça parce que c'est la réalité. L'auteur essaye de dire au lecteur que la justice ne fait pas de son mieux. Si je pouvais, je ferais disparaître les personnages qui ont enlevé Moodame car c'est à cause d'eux que ce récit devient tragique. Je pense que l'histoire n'aurait pas de sens si on les enlevait mais au moins, Moodame et les autres enfants seraient heureux de vivre !

      Linday, 4A, octobre 2013

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Titre : AMIES SANS FRONTIERES

Edition : Rageot  éditeur

Auteur : Hélène Montardre

Type : Roman

Illustration de couverture : Nicolas Delort

Collection : Rageot Collection

 

Résumé :

 

Laure est une jeune fille de 4ème. Un jour son oncle Robert  lui propose  d'écrire à une correspondante Thaïlandaise, nommée « Moodame ». Cette Thaïlandaise vit très loin, et ses habitudes ne sont pas du tout pareilles qu'en France, là ou vit Laure. Là-bas, l'école est rare, et il est mieux de travailler dans les champs, aider ses parents. Peu d'enfants sont scolarisés en Thaïlande. Laure est très contente à l'idée de parler à cette inconnue, mais croit que c'est une blague. La seule fois où elle avait essayé d'avoir une correspondante, elle ne lui avait jamais répondu...Mais elle pouvait faire confiance à Moodame car son oncle travaillait pour une association là-bas, donc il la connaissait bien, cette Moodame. Laure se posait pleins de questions : « Comment parle t-elle ? », «  Il faudra que je lui parle en thaïlandais ? », « me répondra t-elle ? ».  Mais pour ces lettres, son oncle lui dit qu’elle peut écrire en français, la professeur de Moodame les traduira et les écrira pour elle. Par la suite, Laure parle à une de ses amies des lettres qu'elle écrit pour une correspondante. Elle a très hâte de recevoir sa première lettre. Après des semaines d'attentes, Laure reçoit une première lettre, puis lui répond. Mais quelques mois ensuite, toujours rien. Laure pense que c'est fini, qu’elle ne répondra plus. Un beau jour, il y a une nouvelle lettre de Moodame, Laure n'y croyait plus. Et au fil des lettres, en invitant une amie chez elle, elles découvrent que chaque lettre comporte un dessin d'un petit bout de son village, et qu'en les assemblant, on remarque là où elle vit, son habitat.. Elle écrit son histoire dans son journal.

 

Description de Laure : Laure est une jeune adolescente de douze ans et demi, avec de beaux et longs cheveux blonds. Elle est dans un groupe de filles, plutôt intéressées  par les garçons. Mais un jour elle commence à rester avec une des filles du groupe, nommé Emilie. Elle était un peu discrète, mais savait se faire respecter. Laure adore écouter de la musique, regarder la télévision, les séries... Comme toutes les jeunes filles de son âge. Pour elle, avoir une correspondante venue d'ailleurs était une bonne expérience, surtout si elle était bien réelle. Savoir de nouvelles choses, apprendre des habitudes de vies différentes, partager ses pensées, comparer les états naturels etc. Elle était déterminée pour lui parler. Au fil du temps elle commence à bien connaître Moodame, se dit en elle que cette jeune Thaïlandaise du même âge qu'elle lui correspond, qu’elle a au fond les mêmes goûts qu'elle et serait une super amie si elle habitait en France. Laure est une fille qui a l'air très sympathique, elle a la joie de vivre, est aimable. Mais n'est pas comme beaucoup de filles de son âge. Elle aime découvrir de nouvelles choses, donc pour elle parler avec Moodame est une très belle expérience à faire, ça lui permet de découvrir plein de nouvelles choses auxquelles elle ne pensait pas, et d’échanger ses idées. On remarque qu'elle est intéressée par beaucoup de choses, est intéressée de tout, aime partager ses avis et son mode de vie.

 

Illustration de couverture : Je trouve que la couverture de ce livre représente très bien l'histoire. On remarque Laure, habillée avec un simple sweat et un jean, tenant un portable,  une technologie que l'on ne pourrait pas utiliser en Thaïlande, et qui est presque inconnue. Puis on voit Moodame, cette Thaïlandaise du même âge que Laure, portant un chapeau pour se protéger du soleil, comme il fait très chaud là-bas. D'ailleurs on remarque le soleil au fond du livre. Je trouve cette couverture très bien illustrée.

Extrait du roman :

«  - Une correspondante Thaïlandaise ???

Dans la voix de Laure, il y avait de la surprise, une touche d'incrédulité et une nuance d'indécision ; l'air de dire : «Tu crois m'avoir, mais j'ai bien compris que tu plaisantes. »

Sur les lèvres de Robert, le sourire était joyeux. Gai. Trop gai pour qu'il s'agisse d'une plaisanterie. Et au fond de ses yeux brillait une lueur pleine de persuasion, comme un message : «  Si, je t'assure. C'est bien, il faut le faire.

- Mais en quoi on va écrire ? Qu'est-ce qu'on parle en Thaïlande ? Et puis d'abord, c'est où la Thaïlande ?

Là, Laure exagérait. Robert lui avait déjà montré, sur le globe terrestre installé dans sa chambre, une tache rose au bord de l'immense continent asiatique. C'était cela la Thaïlande, cette masse coincée entre le Laos, la Birmanie et la mer de Chine, d'où son oncle revenait régulièrement, épuisé, amaigri, et dont il parlait avec passion, qui faisait vibrer sa voix. Mais ce pays restait bien abstrait. Pour Laure c'était si loin ces contrées de l'autre côté du globe. Les peuples qui vivent là-bas, au milieu de paysages qui ne ressemblent pas aux nôtres, lui paraissaient si différents. Ils parlent une langue qui sonne de façon étrange à nos oreilles ; leurs vêtements, leurs coutumes, leur façon de vivre : tout est pour moi objet de curiosité. Et inversement sans doute. »

 

J'ai choisi cet extrait car je trouve qu'il résume bien la situation de Laure, cette fille qui ne connaît rien à ce pays si différent du nôtre. La découverte qu'elle va faire, la joie de parler à cette jeune fille inconnue. Découvrir tout ce qui se passe là-bas, comment sont leurs maisons, comment eux s'habillent, si l'école est bien là-bas...

 

Je trouve que ce livre est très bien car on découvre à travers la vie de Laure, comment se passe la vie en France et en Thaïlande, voir comment ça se passe là-bas, découvrir de nouvelles choses, suivre l'histoire de cette Laure. Le texte est bien écrit, la taille de la police de caractère est moyenne, c’est très facile à lire. On est tout de suite impliqué dans cette incroyable histoire qui donne envie de lire la suite, suivre l'histoire de ces deux jeunes filles.

Léa M.15 février 2015

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 13:35

Titre : l’agendaL-Agenda.jpg

Auteur : Hélène Montardre

Edition : Rageot romans

Genre : Roman avec des lettres

Thème principal : Une enquête d’un collégien

Résumé : C’est l’histoire d’un collégien qui trouve un agenda au CDI tout à fait par hasard. Il décide donc de le prendre. Arrivé chez lui, il l’ouvre : il y a plein de dessins à l’intérieur, des dessins de fille. Seul problème aucune information n’est donnée sur son ou sa propriétaire. Alors à l’aide des petits mots inscrits à l’intérieur Jérémie va découvrir que l’agenda appartient à Laura, une fille de sa classe dont la maman est morte. Plus tard dans l’année, la maman de Jérémie meurt elle aussi alors Laura et lui vont se soutenir mutuellement.

Passage remarquable :

Page 74 : A force d’être immobile, j’avais complètement oublié que j’avais ce truc sous le bras! On est resté là tous les deux quelques secondes, piqués de chaque côté du petit rectangle vert sombre avec son liseré doré, puis Laura s’est approchée, elle s’est baissée, elle l’a ramassé, l’a serré contre elle de ses deux bras, a planté son regard dans le mien et demandé :

-       Tu l’as lu ?

-       Oui bien sûr ai-je répondu spontanément.

 

Commentaire sur ce passage du livre : Je trouve ce passage du livre intéressant car c’est à ce moment que Jérémie découvre que l’agenda est à Laura et que Laura découvre que c’est Jérémie qui avait son agenda depuis environ trois semaines. C’est un moment important de l’histoire.

Jugement critique personnel :

Je conseille de lire ce livre car il montre ce que n’importe qui d’entre nous pourrait faire : voler quelque chose qui traine. L’histoire est un peu  émouvante car la maman de Laura est décédée et celle de Jérémie aussi. L’histoire est réaliste car les mots dans l’agenda sont un peu comme ceux qu’on trouve dans l’agenda d’une fille.  Mais par contre ce livre est difficile à comprendre, au moins la fin de l’histoire.

Adèle M 4A  25/10/2012
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Agenda: c'est le titre du roman.
Bruchet: c'est le professeur de mathématiques du collège.
Cahier rouge: c'est un cahier que Jérémie héros de l'histoire prend comme journal.
Duroux Marie: c'est une fille de la classe de cinquième de Jérémie.
Encre violette: utilisée par la propriétaire pour écrire sur son agenda.
Feuille blanche où Jérémie écrit des mots.
Géographie: c'est la matière où l'on peut préparer un exposé au C.D.I.
Hélène Montardre: c'est l'écrivain du livre.
Images: ce sont des images collées sur l'agenda.
Jolie Anita: c'est aussi une fille de la classe de Jérémie.
Kitsch: Jérémie trouve la carte postale belle mais de mauvais goût.
Lucie: c'est la soeur du héros.
Michel: c'est le compagnon de Lucie.
Nuit: c'est le moment où le héros écrit dans le journal.
Orange: c'est la lumière chaude, jaune et rouge qui se trouve dans la chambre de Jérémie le soir.
Parc des Allouettes: c'est l'endroit où Jérémie aime bien aller.
Quinze: c'est le nombre d'années passées depuis la fin de l'histoire .
Robe noire à pois: elle figure sur une photo dans l'agenda.
Secrets: ce sont des secrets notés dans l'agenda.
Timbre qui a été collé sur une enveloppe par le héros.
Une: c'est la première page d'un journal.
Verlaine Paul: c'est un écrivain que Jérémie adore.
Week-ends: ce sont les moments où se retrouvaient parfois Lucie et Jérémie.
Yeux: ce sont les yeux fermés des chatons sur la carte.
Zazou: c'est le surnom d'un personnage.
 
J'ai bien aimé ce roman mais la fin de l'histoire m'a surprise.
Laëtitia, 4A, 22/11/2010
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Titre : L’agenda

 

Auteur : Hélène Montardre

 

Illustration : Sophie  Ledesma

 

Editions : Hatier

 

Collection : Rageot Romans

 

 

Résumé :

C’est un jeune homme qui s’appelle Jérémy, qui trouve un agenda dans le CDI, il décide de le garder, de le mettre dans son sac. Et tous les soirs il le feuillette puis il trouve que l’agenda est très bien décoré par rapport au sien, un jour dans l’agenda c’était écrit « Rendez-vous au parc à  15 h demain » Le lendemain il alla au rendez-vous, il se cacha, la jeune fille arriva et Jérémy la reconnut, il éternua sans faire exprès et la jeune fille s’approcha, lui partit en douce mais le journal tomba, elle ramassa le journal  et courut en pleurs. Le garçon dépité de son rendez-vous  lui écrivit! Et il se réconcilia, il lui posa plein de questions en rapport avec l’agenda, et ils devinrent  amis.

Mon avis /J’ai bien aimé ce livre car, j’aime bien lire l’agenda et découvrir ce qui se passe, et il y avait quelques aventures …

Oriane, 5C, mars 2013 

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C’est l’histoire d’un garçon prénommé Jérémie qui est élève en classe de 5ème B. : « Mais ce n’était pas un film, juste moi, Jérémie, douze ans presque treize, élève de cinquième B […]. » (Page 12)
Les principaux personnages du roman sont : Jérémie et Laura. Je préfère Jérémie car il raconte davantage l’histoire que Laura.
Un jour, dans la bibliothèque de son collège, Jérémie trouve un agenda qui appartient à une certaine Laura. « […] Quand je l’ai reconnue, j’ai laissé échapper un soupir de dépit. Laura ! […] » (Page 71) Tous deux étant dans le même collège, il va chercher la propriétaire de l’agenda trouvé.
 
À sa place, j’aurais fait la même chose, car il est difficile de ne pas lire un agenda trouvé, et je chercherais son propriétaire. 
Dans ce livre, l’auteur a créé du suspense grâce aux lettres échangées entre les personnages. De plus cela rend le livre plus intéressant à lire.
L’auteur raconte son histoire personnelle. En effet, elle ne possédait pas d’agenda, mais elle avait un cahier de textes et un agenda secret comme celui de Laura. « Au collège, nous n’avions pas d’agenda, mais un cahier de textes […] ! Alors j’avais un agenda : […] » (Page 126).
Devenus adultes, Jérémie et Laura se sont revus. Selon moi, le livre s’est terminé ainsi parce qu’ils avaient vécu une belle histoire d’amitié.
L’auteur essaye de dire que si l’on perd son agenda, il ne faut pas dramatiser car une personne honnête le retrouvera, le lira et le restituera. De plus, une amitié pourra se créer…

Lisa, 4C, octobre 2013

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Auteur : Hélène Montardre

Titre : L’agenda

Éditeur : Rageot

Collection : Oceania

Illustrateur de la couverture : Sophie Ledesma

Genre : Sentimental

C’est l’histoire d’une fille qui trouve une sorte de livre, mais ce n’était pas vraiment un livre mais plutôt un agenda secret dans le CDI du collège.

Le 24 Mars à  14h15 la fille avait franchi le portail du parc des Alouettes, l’agenda serré sous son bras gauche. Elle regarda autour d’elle mais il n’y avait personne. L’inconnu n’était pas encore arrivé, elle était en avance alors elle s’est cachée dans un buisson. Les heures passent et toujours personne. À 14h50 une fille est arrivée c’était Laura une fille qu’elle n’aime pas trop, mais ce n’était pas Laura qu’elle attendait mais la personne à qui l’agenda appartenait. L’agenda était bien à Laura.

Description d’un personnage : Le personnage s’appelle Gérémie, elle a 12 ans presque 13, elle est en 5°B au collège Albert-Camus, elle est sérieuse, c’est elle qui a trouvé l’agenda dans le CDI.

Extrait du roman :  Il était posé sur la table. D’abord j’ai cru qu’il s’agissait d’un livre et je me suis dit : « Tiens, un livre dans la salle des revues, ça va pas, ça… »

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Gérémie découvre le l’agenda dans la salle des revues mais avant de le prendre elle se demande ce qu’il fait ici et pense que ce n’est pas normal car c’est la salle des revues et pas des livres et après vu qu’il y avait personne autour d’elle, elle a pris l’agenda.

Avis sur la couverture du livre : Je trouve que la couverture du livre est très bien faite il y a de la couleur, des écritures et des dessins.

Avis sur le livre : J’ai bien aimé ce livre car il y a un peu de suspente, de l’aventure.

                                                     Lou-Marine, Mercredi 16 Décembre 2015

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Camille G......

Apprentie sorcière

A Poudlard,

01 001 Dans Le Brouillard

Tel : 01.23.45.67.89

Mail : fofodu22@wouf-mail.fr

Le 3 Mai 2008, à Dourdu

Mr Cornélius Fudge

Sorcier diplômé

Au 8, rue des Embrumes

12 345 Ville Insouciante

Objet : Les lectures des gens normaux.

 

            Cher Cornélius,

 

            Je vous écris pour prendre de vos nouvelles, et répondre à votre question sur les lectures des gens normaux. Voici le résumé d’un livre qu’une bibliothécaire m’a conseillé.

            Ce livre, intitulé L’Agenda, écrit par Hélène MONTARDRE, est paru en novembre 2007 aux éditions Rageot roman.

            Les personnages sont assez nombreux mais restent simples à distinguer les uns des autres. Laura et Jérémie, par exemple, sont les personnages principaux du livre. Laura est timide, réservée et refermée sur elle-même. Jérémie est tout le contraire de Laura : souriant, ouvert et à l’aise. Jérémie et Laura sont en 5A, au collège Albert Camus, mais cela va changer quand Laura va déménager au 18, rue des Aubépines, à Perche-en-Valdemar. Je n’ai pu m’identifier à aucun d’eux car ils ne possèdent pas nos attributs magiques.

            L’histoire me paraissait banale pendant les deux premières parties du livre, jusqu’à ce que je lise la troisième partie où on se rend compte que les personnalités de Jérémie et Laura sont inversées dans les deux premières parties du livre. J’aurai préféré que Laura et Jérémie se revoient plus souvent, qu’ils soient amis. Cependant, j’imaginais les personnages plus toniques et plus raffinés dans leurs réactions, leurs émotions et leurs caractères.

            Je trouve que le style d’Hélène MONTARDRE est assez facile et simple à comprendre mais je préférerais qu’il y ait plus d’action, que le livre soit plus long.

            Je ne vais pas vous en dire plus car ce serait dommage si vous connaissiez toute l’histoire avant d’avoir lu le livre, si vous voulez le lire.

 

Camille G

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