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11 décembre 2008 4 11 /12 /décembre /2008 18:59

Titre: Un boulot d' enfer.
Auteur:
Florence Thinard.
Collection: Romans.
Éditions: Édition Thierry Magnier.
Genre : Roman.
Illustrateur: Claude Cachin.   

J''ai pris ce livre parce que:   
-J'ai trouvé que la première de couverture,  était bien illustrée.  
-J'ai trouvé que le texte était bien écrit, ni trop gros, ni trop petit.   
-J'ai trouvé que c' était bien qu'il n'y ait pas d' images à  l'intérieur. 

 

Après avoir lu le livre:   
-J'ai trouvé que le texte ne correspondait pas à la première de  couverture, celle qui représente une jeune fille en salopette avec des ailes sur un nuage.

-J'ai trouvé qu'il n'y avait pas assez d'actions.

Des trois illustrations de couverture, je trouve que c'est la première (paysage vert vu du dessus) qui correspond le moins à l'histoire car elle ne montre pas qu'il y a eu un accident de voiture, les deux autres sont plus proches de l'histoire car on voit un ange mais aucune ne montre qu'il y a eu un accident de voiture et que son père est décédé dans cet accident en même temps que la jeune fille.

 

 

Céline, 5A, 11 décembre 2008

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L'auteur est Florence Thinard, le titre du livre "un Boulot D'Enfer", l'illustrateur de couverture est Claude Cachin. L'éditeur est Thierry Magnier ainsi que la collection. C'est un roman fanstastique.

 

Nina une collégienne de 13 ans et son père homme d'affaires stressé toujours avec son portable meurent dans un accident de voiture, le matin sur la route du collège (ils étaient en retard). Nina aurait préféré avant de partir serrer fort une dernière fois sa maman dans ses bras et lui dire "je t'aime", elle avait un petit frère nommé Hugo, ce matin-là ils n'étaient pas très complices. Sa maman était infirmière. Mais bon cela n'a plus vraiment d'importance car les voilà anges au paradis, un endroit merveilleux où on voit ce qu'on a envie de voir, ils retrouvent des membres de leur famille, il y a Mamie Margot, Tante Alice, Tante Olga ... Tout ceux qu'ils avaient aimés, ils rencontrent même leurs propres anges gardiens qui n avaient pas été très efficaces ce jour-là. Pendant ce temps de retrouvailles, les proches des jeunes morts apprennent la nouvelle et cela cause énormément de chagrin. Après un temps d'habitude a ce nouveau mode de vie, Nina et son père ont à leur tour a été nommés anges gardiens. Nina veillera sur son ennemie de toujours l'infâme Pricille Grant. Le père de Pricille ne cessait de les comparer, ce qui avait tendance à embêter Nina. Quant à son père il tentera de sauver un nourrisson afghan orphelin dans un camp de réfugiés. Nina et son père passent du temps avec Hugo et sa mère sans qu'ils s'en aperçoivent. Tout se finira bien pour nos deux anges et aussi pour la mère de Nina et son petit frère.

 

J'ai choisi de décrire Nina car je pense qu'on se reconnaît très facilement dans ce personnage. Comme Nina on a tous un(e) ennemi(e), on va tous mourir un jour, on ne croit pas aux anges gardiens ou du moins on ne croyait pas aux anges gardiens. Son rôle dans le livre c'est d'être l'ange gardien d'une de ses ennemies du temps où elle était collégienne, elle doit s'occuper de Pricille Grant. Les traits de caractère de Nina sont maligne, un peu étourdie et parfois elle peut se montrer mal élevée dans sa façon de parler... Son comportement est exemplaire, car elle a pu gérer une situation pareille mais en même temps elle avait abusé de la situation et elle a fait peur à Pricille quand elle est intervenue dans le "rêves de Pricille.

 

Extrait choisi : "Ce boulot d'ange gardien est un véritable enfer. Je vous conseille vivement, le moment venu, de choisir un truc peinard, genre chorale ou création d'espèces. Eh oui, création d'espèces! Les scientifiques estiment qu'au moins dix millions d'espèces végétales et autant d'insectes sont encore inconnus. D'où croyez-vous qu'ils sortent, au rythme où les humains massacrent leur univers? Ce sont des cohortes d'anges qui les imaginent et les créent, pour bonnes surprises. Sans parler  de ceux qui fabriquent des galaxies au fur et à mesure de la conquête de l'espace. Enfin n'importe quoi, plutôt que de se casser le tronc à améliorer l'existence d'humains qui n'arrêtent pas de résister et de se fourrer dans des situations impossibles! Inimaginable, l'énergie que nous dûmes gaspiller pour envoyer le Dr Barreau dans la même ville que maman : une grève des trains, du brouillard sur l'aéroport, un vol de portefeuille, des clés englouties dans un égout et j'en passe. Heureusement qu'on a pu compter sur la BISE! Pour Daniel, l'infirmière à éliminer, ce fut plus simple. Avec son ange et celui de sa sœur, nous négociâmes une crise d'appendicite pour cette dernière, si bien que Danièle dut renoncer à partir au Turkménistan pour s'occuper de ses cinq neveux." J'ai choisi de choisir cet extrait car il nous montre bien que le boulot d'anges n'est pas de tout repos et qu’ils nous contrôlent comme des simples marionnettes. Mais en faisant toujours en sorte qu'on soit heureux.

 

Mon avis sur l'illustration de couverture: Quand je vois la première de couverture cela ne m’attire pas énormément, car on ne voit rien de mystérieux qui me donne envie de lire. Avec le titre et l'image, on a  déjà les informations nécessaires pour s'imaginer l'histoire et par conséquent on risque de n’être pas attiré par le livre. Néanmoins, la page est très bien réalisée et quand on voit ceci on peut penser que l'écriture du lire doit être de même.

 

Mon avis sur livre: je le trouve un peu banal car le début de l'histoire est très attendu, on le voit un peu partout. Il est facile à lire, il est bien expliqué ce qui permet de bien suivre l'histoire même si par moment on est distrait. Florence Thinard arrive à faire comprendre des mots nouveaux par la tournure de la phrase ce qui permet d'éviter d'aller chercher dans le dictionnaire.

Mais beaucoup de passage sont prévisibles donc on n’a pas beaucoup de mystère. Je le recommande plus particulièrement à ceux qui ont du mal à lire.

Maëva, 4D, décembre 2015

 

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 20:00
José Saramago est un écrivain portugais, prix Nobel de littérature en 1998. Je ne connaissais rien de son oeuvre jusqu'à ce roman paru en 2005 qui m'a littéralement fascinée.
Le titre français est chargé de multiples échos liés au mythe du double et de l'identité mais le titre portugais,  O Homen duplicado, homme dupliqué, dédoublé, plus neutre est sans doute aussi plus juste car ce roman est à la fois un récit d'intrigue qui revisite et modernise le thème fantastique du double et un roman aux consonances philosophiques et tragiques qui ne vous laisse pas en paix et vous fait sans cesse vous interroger sur ce que c'est qu'être soi, sur le rapport que l'on entretient avec les autres, sur la vie.
Vous dire cela ne suffit pas à rendre compte de ce que ce roman a de fabuleux. Il faut pour le savoir se laisser prendre dans les longues phrases sinueuses et les paragraphes démesurés (je n'en avais jamais vu de si longs, je crois) qui vous entraînent comme dans une valse tourbillonnante d'où vous ne sortez qu'à regret, complètement étourdi.
 Voici, pour finir de vous convaincre, un article de la revue
Lire de février 2005 sur ce roman :

"Des remarques subtiles sur le langage. Des passages délicieux sur l'enseignement. Du fantastique à la Maupassant. Des analyses psychologiques à la Sarraute. On mélange le tout et l'on plonge dans le roman très troublant de José Saramago, qui tisse ses histoires avec une logique implacable où l'absurde se conjugue à l'humour.

Tertuliano Maximo Afonso est un prof d'histoire dépressif, misanthrope, et peut-être parano. Un jour, il loue dans un vidéoclub un film qui va changer sa vie. Pourquoi? Parce que l'un des personnages de ce film est son sosie parfait... Commence alors une course-poursuite au bout de laquelle notre prof retrouvera ce double, qui lui jouera un bien mauvais tour. Un suspense hitchcockien, où le Nobel 1998 prouve qu'il est un romancier du vertige."


Je recommande vivement cette lecture aux bons lecteurs de troisième, aux lycéens et adultes et serait ravie de connaître ensuite leur avis. Je doute que ce roman puisse laisser indifférent !


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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 09:47

Etre attiré par un livre à cause (ou grâce à ) la couverture est un fait  banal, me direz-vous, et qui arrive à une grande quantité de lecteurs mais il arrive que chez certains et certaines cela provoque un tel bouleversement que la lecture ne les quitte plus.

C'est ce qui arrive à Mikael Ollivier l'auteur de Celui qui n'aimait pas lire.


Publié dans la collection Confessions des éditions de La Martinière, le livre est un témoignage plus que passionnant, vivant et enthousiaste  sur le thème de l'amour des livres et de la lecture.

Ce livre est à votre disposition au CDI du Centre qui possède, par ailleurs, un certain nombre d'ouvrages de Mikael Ollivier. Pour cela il vous suffit de consulter la base de données du CDI en allant sur le site de l'établissement www.jean23-quintin.net ou directement en cliquant ce lien vers pmb Jean XXIII


Bonnes lectures à tous

Mme Etesse

 

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 22:10

Auteur: Angie Sage

Titre: MAGYK (livre3) La Reine maudite

Édition: Albin Michel

Collection: Wiz

Traductrice: Nathalie Serval



Bilan de lecture:


Je l'ai moins bien aimé que les deux précédents, je ne saurais dire pourquoi. Peut être y a-t-il des choses qu'il n'y avait pas dans les autres ou le contraire. Je ne dis pas pour autant qu'il n'est pas bien ou qu'il ne faut pas le lire!


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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 17:49

Auteur : Évelyne Brisou-Pellen
Editeur : Rageot
Collection : Cascade
Roman à partir de 7 ans

C'est l'histoire de Nicolas : il va à la conquête d'un trésor que deux chouettes gardent dans un bois.

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 17:32
TITRE : Carton noir
AUTEUR : Stéphane Daniel -  - 
EDITEUR : Magnard jeunesse
COLLECTION : Romans Magnard jeunesse à partir de 12 ans



Olivier pénètre pour la première fois dans un  stade pour voir un match en vrai. Il peut voir les joueurs, observer les supporters, écouter leurs hymnes jusqu'au moment où le poids d'un homme l'écrase : l'homme a été poignardé. Dans sa main, il a une carte à jouer, l'as de pique...
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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 20:23
Si vous voulez rencontrer les auteurs des livres que vous avez lus et appréciés allez faire un tour samedi 13 décembre à Ploufragan.
Vous y verrez :
Eric Simard, auteur des Chimères de la mort que Florian a présenté ici,
Yves Pinguilly dont Quentin a lu Le Ballon d'or tandis que Justine et Alice ont présenté Direct Au Coeur,
Catherine Missonnier dont Floriane et Marie ont présenté Sombre Trafic,
Guy Jimenes  qui a écrit Pense aux jours heureux qu'Alexandra et Amandine ont présenté,
Anne-Marie Desplat-Duc dont Kilyann nous a présenté Un Héros pas comme les autres,
Hubert Ben Kemoun dont Morgane a présenté Le Tombé du Jour
et encore beaucoup d'autres dont vous trouverez le nom à cette adresse :
                      http://livrejeunesse.salon.free.fr/index.php?lng=fr

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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 20:09
L'auteur de ce roman édité dans la revue Je Bouquine n° 277 est Gudule, l'illustrateur est Yann Tisseron.
Pink et Lola vont partir seules passer deux jours à Bruges. Elles sont très heureuses de partir mais elles ne savent pas ce qui les attend : elles ne vont pas être déçues du voyage car cette ville est pleine de mystère.

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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 19:53

Titre : C'était mon oncle !

auteur : Yves Grevet

Editeur: Syros
Collection: Tempo

Illustrateur : Tomas Zarachowicz

Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car il parle d'un meurtre et c'est un roman policier or, moi, je n'aime pas ce genre de romans.
J'ai juste aimé un peu le début quand le héros, Noé, est dans le salon avec ses parents.
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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 14:25
Titre: L'assassin à la fourchette
Auteur:
Thierry Lefèvre
Collection:
Les petits polars
 

Editions : Actes Sud Junior


J'ai bien aimé ce livre, il y a de l'aventure, de l'action, on ne s'attend pas à la fin de l'histoire.


Ce que j'ai moins bien aimé c'est qu'il n'y a un mort qu'à plus de la moitié du livre.


C'est l'histoire d'un adolescent, Thomas Adjean, parti faire un stage au Gaulois, un restaurant. Il va mener une enquête avec sa petite amie, Emma,  sur une mort suspecte...  
On appelle ce livre "L'assassin à la fourchette" à cause d'une vieille histoire où un homme fortuné passe sa vie dans les restaurants.
Celui-ci adore par-dessus tout avoir à sa table un  gourmand qu'il invite midi et soir durant des mois jusqu'à le faire mourir d'indigestion, jusqu'au jour où il se prend à son propre piège. Sa dernière victime résistait encore et, en voulant l'encourager à manger plus, l'homme se surpassa et mourut d'indigestion en mangeant sa quatorzième tranche d'aloyau.    
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