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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 14:50

Auteur: Valérie Zenatti

Titre: Une bouteille dans la mer de Gazaune-bouteille-dans-la-mer-de-gaza-16390.jpg

Edition: Date:2005 ; Editeur: école des loisirs ; Collection: médium

Genre: Roman par lettres

Thème principal, les lettres de deux personnes qui ne se sont jamais rencontrés.

Résumé du sujet : C'est l'histoire d'une jeune fille qui s'appelle Tal elle habite à Jérusalem. Un jour il y eu un attentat moyen, il y eu 6 morts mais tout paraissait normal pour les habitants sauf pour Tal, elle n'arrivait pas à s'habituer à tous ces attentats. Elle écrivait chaque jour tout ce qui s'était passé dans la journée. Son frère, un medecin militaire, allait partir sur un bateau, mais Tal lui demanda une faveur avant qu'il parte.Elle lui demanda s'il pouvait jeter sa bouteille à la mer; dans cette bouteille il y avait une lettre avec écrit dessus une demande de paix pour son pays et celui de son pays avec son e-mail pour réponse, son frère accepta. Quelques jours plus tard elle reçut un e-mail, quelqu'un avait reçu sa bouteille.

Passage remarquable : "Dans ce paquet il y a une bouteille, j'aimerais que tu la jettes dans la mer à Gaza " ( page 25 )

Ce passage est le début de l'échange entre les deux personnes.

Jugement : Ce livre est agréable à lire. Je l'ai apprécié car il y a du suspens.

Emma D. 4ème A, Novembre 2012

Ce livre a été adapté au cinéma par Thierry Benisti  sous le titre "Une bouteille à la mer" en 2011. Il a reçu  le "Prix national lycéen du cinéma"

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Titre : Israël, une bouteille dans la mer de gaza          

Auteur : Valérie Zenatti

 Les personnages principaux sont : Tal et Naim. Mon personnage préféré est Naim car il a l’air méchant (citation 1) mais en vrai il est gentil (citation 2).

« Fifille à son papa tout pur et sensible » (p 27) 

« Je n’ai plus envie de me moquer de Tal » (p 84)

Même si j’avais le pouvoir de faire disparaître un personnage je n’en supprimerais aucun car ils sont tous indispensables dans le livre.

L’auteure a écrit ce livre pour nous montrer la communication de deux personnes de pays ennemis. Elle a essayé de dire que deux personnes peuvent communiquer par lettres même si elles ne se connaissent pas. Elle met du suspense pour inciter à poursuivre la lecture du livre.

Pour moi l’élément le plus important dans ce livre est l’amitié entre Tal et Naim.

« Je m’inquiète. Tu ne m’as pas répondu, ça fait déjà deux jours. » (p104)

Si je pouvais, j’aimerais demander à l’auteur pourquoi à la fin du livre Tal n’a pas répondu à Naim. Selon moi ce livre s'est terminé de cette façon car Naim avait peur de tomber amoureux de Tal.

Pour moi je n’ai jamais lu ce genre de livre car j’ai plutôt l’habitude de lire des romans policiers et pas des romans épistolaires (par lettres).

Karim, 4C, octobre 2013

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 14:25

Titre : Moi, Delphine, 13 ans…

Auteur : Brigitte  Peskinemoi-delphine-13-ans-de-brigitte-peskine-334168.gif

Edition :    -date : janvier 2004

                  -éditeur : Pocket jeunesse

                  -collection : Pocket junior

Genre : recueil de lettres entre deux personnes

Thème principal : la vie d’une jeune fille de 13 ans qui vit dans un village d’enfants avec sa fratrie. 

Résumé : Delphine âgée de 13 ans, après la séparation de ses parents et ses années passées dans un foyer, est envoyée dans un village d’enfants avec sa sœur, Elodie, qui rentre en sixième. Elle commence alors à correspondre avec Audrey, une fille de son ancien collège qui lui avait donné son adresse à la fin de l’année scolaire. Elle réside dans une maison avec deux jumeaux et la mère, Camille. Dans le village, il y a un collège avec plusieurs enfants de son âge. Peu de temps après, son petit frère de sept ans les rejoint. Elle se lie d’amitié avec Marion, une autre fille du village. Juste avant le rendez-vous avec leur mère, Steve leur apprend qu’elle a eu une autre petite fille, Myriam. 

Quelque temps ensuite, ils apprennent que Frank, leur grand frère qui a un an de plus que Delphine va venir vivre avec eux, Delphine le déteste. Après le décès de leur père et la nouvelle de l’arrivée de la petite Myriam, Delphine commence à apprécier la vie au village.

 Extrait : page 95.

« Pourquoi tu me détestes ? » a-t-il grogné

J’ai carrément halluciné. Il posait la question !

« On s’est pas vus pendant cinq ans, a-t-il insisté. Je t’aurais même pas reconnue. Qu’est-ce que je t’ai fait pour que tu me pourrisses la vie ?

-Attends, c’est moi qui te pourris la vie ? Je rêve !

-Quand on m’a dit que j’allais venir ici, avec vous, a poursuivi Frank, j’étais content.

-Pas moi, ai-je dit.

-Je sais ! Ce que je sais pas, c’est pourquoi.

-Eh ben, demande-toi !

-J’arrête pas, justement ! Je vois qu’une raison. T’es jalouse parce que je suis resté avec papa quand maman est partie(…) »

 

J’ai copié ce passage car l’on apprend que Delphine et Frank se détestent, qu’ils ne se sont pas vus depuis cinq ans et que Frank est resté vivre avec son père pendant que Delphine et sa sœur étaient dans un foyer.

Jugement personnel :

  Je ne conseille pas ce livre. Je l’ai trouvé ennuyant  Je trouve qu’il n’y a pas assez d’action et que l’histoire est trop banale, elle est trop calme. Elle est trop réelle et pas assez fictive. Cela pourrait arriver à n’importe qui. Je préfère largement les livres du genre Fantasy et Fantastique aux recueils de lettres. L’histoire n’est pas assez compliquée. Il n’y a rien de surnaturel ou de magique. Ce n’est pas mon genre de livre. Tout ceci explique que je n’ai pas  aimé ce livre.

Kim LC, 4C, 15/10/2012

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Quintin le 12 octobre 2013

 

           

            Chère auteure,

 

            Je viens de lire votre livre « Moi,Delphine,13 ans... » et je pense que c’est un livre très intéressant car il  raconte de façon réaliste la vie d'une fille, Delphine, qui est dans une situation difficile : ses parents ne s'occupent pas d'elle. Après avoir lu votre livre j'arrive à comprendre un peu plus, comment la vie peut être pour les enfants dont les parents boivent trop d'alcool.

            J’aimerais bien savoir ce qui vous a inspirée pour  écrire ce livre. Peut être connaissez-vous quelqu'un comme Delphine.  Pourquoi avez-vous décidé d’écrire cette histoire, et pourquoi en forme de lettres? En tous cas, je trouve que c’est une bonne idée  d'écrire en forme de lettres. C’est beaucoup plus facile de comprendre et de retenir l'histoire.

            Votre histoire fait d’ailleurs réfléchir aux problèmes des filles qui ont l'âge de Delphine, par exemple savoir qui sont des vrais amis et qui sont les faux. Ainsi, Audrey n'était jamais la vraie copine de Delphine. Votre idée d'ajouter Antonin à la fin m’a surprise ! Je n'avais pas prévu cela !

            Je vous remercie pour ce livre que je recommanderai à mes amis.

            Bien cordialement,  

 

Cassie, 4C

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Q. Joséphine

Collégienne

22800 Quintin

0296Z8U500

joséphine@hItmail.com

Lundi 15 février 2016, Quintin

 

 

 

Brigitte Peskine

Auteure du livre Moi,Delphine,13 ans…

3 rue des Champs-Elysés Paris

 

Votre roman : Moi, Delphine,13 ans..

 

Madame,

 

Je voulais vous donner mon avis, ma critique suite  à ma lecture de votre roman : Moi, Delphine, 13 ans…. paru en Janvier 2004

 

Je ne fais pas partie de ce milieu où les parents ne sont pas présents, mais je ne sais pas si les réactions des enfants sont vraiment justifiées. Après je ne suis jamais allée là bas mais de mon point de vue les réactions sont trop violentes et vont un peu trop loin. Par exemple un moment Elodie la petite sœur dit que sa « maman » la frappe juste pour retourner chez elle mais à 11 ans on sait très bien que ce genre d’accusation peut coûter cher

C’est vrai qu’en ce moment beaucoup de jeunes se retrouvent dans des foyers ou des « Villages » comme vous le dites dans le livre, car les parents ne sont pas stables : alcools, drogues et j’en passe. Je trouve ça très bien que vous sensibilisiez les jeunes d’aujourd’hui.

 

Recevez, chère Madame, mes salutations distinguées.

 

 

Joséphine Q.

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 18:09

AUTEUR : Hélène Montardre

TITRE : Amies sans frontières

EDITION : avril 2010 ; collection rageot romansamies-sans-frontieres-78716-250-400.jpg

 GENRE : Roman épistolaire

 THEME PRINCIPAL : Les lettres de deux adolescentes qui ne se sont jamais rencontrées.

C'est l'histoire de Laure, 12 ans, qui habite en ville dans un appartement et qui a une vie normale d'adolescente de son âge et de Moodame du même âge mais qui elle , habite en Thaïlande dans une hutte dans un petit village des montagnes du Nord. La correspondance se fait grâce à l'oncle de Laure, Robert  qui est parti en mission humanitaire en Thaïlande et qui leur écrit des lettres de temps en temps pour leur donner de ses nouvelles. Elles font peu à peu connaissance et découvrent qu'elles ont des point communs  malgré la distance qui les sépare, elles se racontent chacune leur vie, leurs problèmes et leurs modes de vie très différents. Un jour, alors que la correspondance se passe à merveille, Laure s'étonne de ne pas avoir reçu de lettre de Moodame depuis un certain temps, elle continue de lui écrire comme d'habitude mais en la questionnant sur le fait qu'elle ne réponde pas. Toujours aucune réponse de Moodame. Laure reçoit une lettre spécialement pour elle de son oncle qui est toujours en Thaïlande qui raconte qu'elle ne lui écrira plus, expliquant qu'elle à été enlevée dans son village ainsi que d'autres enfants pour être réduite en esclavage par des maîtres. Quand Laure apprend la nouvelle, elle est prise de tristesse et décide de continuer à lui écrire tous les jours, même si elle sait que Moodame ne recevra jamais ses lettres.

 

PASSAGE REMARQUABLE : ( p 109 )

Laure,

Tu vas être surprise. D'habitude, c'est à vous tous que j'écris. Aujourd'hui, il y a une lettre pour ta mère et une pour toi. C'est parce que quelque chose de grave est arrivé : Moodame a isparu. Enlevée, comme d'autres enfants des montagnes où elle habite.

 Il faut que tu saches que dans certains pays, il y a encore des loups – des loups à forme humaine –qui menacent les enfants. Moodame a eu le tort de ne pas s'en méfier. Tu as dû te rendre compte qu'elle ne répondait plus à tes lettres. C'est pour cela. Là où elle est, elle ne pourra plus jamais écrire, à personne. On ne le lui permettra pas.

Je t'embrasse

                                                                                                                                Robert

Je trouve que ce passage est très symbolique pour le livre et explique bien la fin du roman , comment Moodame a été enlevée , et l'annonce de l'oncle de Laure (Robert) est bien faite . Il signifie aussi comment un enlèvement dans un village de pays étranger peut se dérouler .

 

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J'ai vraiment apprécié ce roman car la correspondance des deux adolescentes est intéressante et prouve que l'on peut se comprendre sans se voir et en étant de deux pays différents. J'ai aussi aimé quand on raconte comment ce passe la vie de Moodame en Thaïlande, très différente de celle de Laure et quand elle décrit son mode de vie, la garde de sa sœur, le travail très dur dans les champs … Mais la fin est triste donc il faut aimer les péripéties.

Je conseille ce livre car je l'ai vraiment beaucoup apprécié.                                                                                                                             Eva C  4A, 14/10/2012

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Auteur : Hélène Montarde

Titre : Amies sans frontières

Date : Avril 2010

Éditeur : Rageot

Genre : Journal, récit de vie

Thème principal : Laure apprend à connaître une Thaïlandaise de son âge.

Résumé:

Robert (l'oncle de Laure) qui voyage tout le temps et qui vit en Thaïlande la plupart du temps est en France.

Ce jour là, il propose à Laure d'avoir une correspondante thaïlandaise; Laure le prend pour un fou mais décide finalement d'accepter à condition que ce soit la correspondante qui lui écrive en premier.

Sa correspondante s'appelle Moodame. Moodame parle en Thaï, c'est donc l'institutrice de cette dernière qui traduira les lettres en Français pour Laure et en Thaï pour Moodame. Laure se disait que de toute façon elles ne s'écriraient pas très longtemps.

Mais même à la première lettre elles se comprennent et deviennent vite très amies.

De son côté, Laure apprend à connaître une des filles de son collège, Émilie qui devient sa meilleure amie.

Mais au bout de huit mois, Moodame ne répond plus, pourquoi ? Elle qui était si gentille, si optimiste et si rayonnante !

Robert va apprendre à Laure une terrible nouvelle qui va la bouleverser ...

Passage remarquable (p.7) :

-Une correspondante Thaïlandaise ???

Dans la voix de Laure, il y avait de la surprise, une touche d'incrédulité et une nuance d'indécision; l'air de dire : « Tu crois m'avoir, mais j'ai bien compris que tu plaisantes »

Sur les lèvres de Robert, le sourire était joyeux.

Gai. Trop gai pour qu'il s'agisse d'une plaisanterie.

Et au fond de ses yeux brillait une lueur pleine de persuasion, comme un message :

« Si, je t'assure. C'est bien, il faut le faire...

- Mais en quoi on va s'écrire ? Qu'est ce qu'on parle en Thaïlande ? Et puis d'abord, c'est où la Thaïlande ? »

Là, Laure exagérait. Robert lui avait déjà montré sur le globe terrestre installé dans sa chambre, sur une tache rose au bord de l'immense continent asiatique. C'était cela la Thaïlande, cette masse coincée entre le Laos, la Birmanie et la mer de Chine, d'où son oncle revenait régulièrement, épuisé, amaigri et dont il parlait avec une passion qui faisait vibrer sa voix.

 Jugement critique personnel :

J'ai apprécié ce livre car il était agréable à lire. La fin est un peu trop triste. J'ai trouvé dommage que l'auteur ne montre pas les lettres que Moodame écrivait à Laure.

Clarisse, 5C, avril 2013

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Amies sans frontières.

Edition : Rageot 2010

Collection : Cascade pluriel.                                                          

Genre : Roman épistolaire.

Thème de fiction : amitié, enfance, esclavage.

Laure, 13 ans ainsi que Moodame même âge sont les principaux personnages du romans. Mais Robert, l'oncle de Laure a aussi un rôle important dans ce récit. J'ai beaucoup apprécié Laure car c'est une jeune fille qui me ressemble, je réagirais de la même façon si l'on me proposait de correspondre avec une jeune Thaïlandaise.

Autre point important : le suspense, il incite le lecteur à poursuivre sa  lecture. Pour moi, l'élément le plus important est la fin, là où l'on  apprend le tragique enlèvement de Moodame. Je pense que l'auteur a écrit ce livre pour sensibiliser le lecteur et lui faire comprendre ce qui se passe dans le monde. Si je pouvais poser une question à l'auteur ce serait : pourquoi l'histoire se termine-t-elle aussi tristement ? pourquoi ne pas avoir ajouté une touche d'espoir ? Mais je pense que l'histoire se termine comme ça parce que c'est la réalité. L'auteur essaye de dire au lecteur que la justice ne fait pas de son mieux. Si je pouvais, je ferais disparaître les personnages qui ont enlevé Moodame car c'est à cause d'eux que ce récit devient tragique. Je pense que l'histoire n'aurait pas de sens si on les enlevait mais au moins, Moodame et les autres enfants seraient heureux de vivre !

      Linday, 4A, octobre 2013

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Titre : AMIES SANS FRONTIERES

Edition : Rageot  éditeur

Auteur : Hélène Montardre

Type : Roman

Illustration de couverture : Nicolas Delort

Collection : Rageot Collection

 

Résumé :

 

Laure est une jeune fille de 4ème. Un jour son oncle Robert  lui propose  d'écrire à une correspondante Thaïlandaise, nommée « Moodame ». Cette Thaïlandaise vit très loin, et ses habitudes ne sont pas du tout pareilles qu'en France, là ou vit Laure. Là-bas, l'école est rare, et il est mieux de travailler dans les champs, aider ses parents. Peu d'enfants sont scolarisés en Thaïlande. Laure est très contente à l'idée de parler à cette inconnue, mais croit que c'est une blague. La seule fois où elle avait essayé d'avoir une correspondante, elle ne lui avait jamais répondu...Mais elle pouvait faire confiance à Moodame car son oncle travaillait pour une association là-bas, donc il la connaissait bien, cette Moodame. Laure se posait pleins de questions : « Comment parle t-elle ? », «  Il faudra que je lui parle en thaïlandais ? », « me répondra t-elle ? ».  Mais pour ces lettres, son oncle lui dit qu’elle peut écrire en français, la professeur de Moodame les traduira et les écrira pour elle. Par la suite, Laure parle à une de ses amies des lettres qu'elle écrit pour une correspondante. Elle a très hâte de recevoir sa première lettre. Après des semaines d'attentes, Laure reçoit une première lettre, puis lui répond. Mais quelques mois ensuite, toujours rien. Laure pense que c'est fini, qu’elle ne répondra plus. Un beau jour, il y a une nouvelle lettre de Moodame, Laure n'y croyait plus. Et au fil des lettres, en invitant une amie chez elle, elles découvrent que chaque lettre comporte un dessin d'un petit bout de son village, et qu'en les assemblant, on remarque là où elle vit, son habitat.. Elle écrit son histoire dans son journal.

 

Description de Laure : Laure est une jeune adolescente de douze ans et demi, avec de beaux et longs cheveux blonds. Elle est dans un groupe de filles, plutôt intéressées  par les garçons. Mais un jour elle commence à rester avec une des filles du groupe, nommé Emilie. Elle était un peu discrète, mais savait se faire respecter. Laure adore écouter de la musique, regarder la télévision, les séries... Comme toutes les jeunes filles de son âge. Pour elle, avoir une correspondante venue d'ailleurs était une bonne expérience, surtout si elle était bien réelle. Savoir de nouvelles choses, apprendre des habitudes de vies différentes, partager ses pensées, comparer les états naturels etc. Elle était déterminée pour lui parler. Au fil du temps elle commence à bien connaître Moodame, se dit en elle que cette jeune Thaïlandaise du même âge qu'elle lui correspond, qu’elle a au fond les mêmes goûts qu'elle et serait une super amie si elle habitait en France. Laure est une fille qui a l'air très sympathique, elle a la joie de vivre, est aimable. Mais n'est pas comme beaucoup de filles de son âge. Elle aime découvrir de nouvelles choses, donc pour elle parler avec Moodame est une très belle expérience à faire, ça lui permet de découvrir plein de nouvelles choses auxquelles elle ne pensait pas, et d’échanger ses idées. On remarque qu'elle est intéressée par beaucoup de choses, est intéressée de tout, aime partager ses avis et son mode de vie.

 

Illustration de couverture : Je trouve que la couverture de ce livre représente très bien l'histoire. On remarque Laure, habillée avec un simple sweat et un jean, tenant un portable,  une technologie que l'on ne pourrait pas utiliser en Thaïlande, et qui est presque inconnue. Puis on voit Moodame, cette Thaïlandaise du même âge que Laure, portant un chapeau pour se protéger du soleil, comme il fait très chaud là-bas. D'ailleurs on remarque le soleil au fond du livre. Je trouve cette couverture très bien illustrée.

Extrait du roman :

«  - Une correspondante Thaïlandaise ???

Dans la voix de Laure, il y avait de la surprise, une touche d'incrédulité et une nuance d'indécision ; l'air de dire : «Tu crois m'avoir, mais j'ai bien compris que tu plaisantes. »

Sur les lèvres de Robert, le sourire était joyeux. Gai. Trop gai pour qu'il s'agisse d'une plaisanterie. Et au fond de ses yeux brillait une lueur pleine de persuasion, comme un message : «  Si, je t'assure. C'est bien, il faut le faire.

- Mais en quoi on va écrire ? Qu'est-ce qu'on parle en Thaïlande ? Et puis d'abord, c'est où la Thaïlande ?

Là, Laure exagérait. Robert lui avait déjà montré, sur le globe terrestre installé dans sa chambre, une tache rose au bord de l'immense continent asiatique. C'était cela la Thaïlande, cette masse coincée entre le Laos, la Birmanie et la mer de Chine, d'où son oncle revenait régulièrement, épuisé, amaigri, et dont il parlait avec passion, qui faisait vibrer sa voix. Mais ce pays restait bien abstrait. Pour Laure c'était si loin ces contrées de l'autre côté du globe. Les peuples qui vivent là-bas, au milieu de paysages qui ne ressemblent pas aux nôtres, lui paraissaient si différents. Ils parlent une langue qui sonne de façon étrange à nos oreilles ; leurs vêtements, leurs coutumes, leur façon de vivre : tout est pour moi objet de curiosité. Et inversement sans doute. »

 

J'ai choisi cet extrait car je trouve qu'il résume bien la situation de Laure, cette fille qui ne connaît rien à ce pays si différent du nôtre. La découverte qu'elle va faire, la joie de parler à cette jeune fille inconnue. Découvrir tout ce qui se passe là-bas, comment sont leurs maisons, comment eux s'habillent, si l'école est bien là-bas...

 

Je trouve que ce livre est très bien car on découvre à travers la vie de Laure, comment se passe la vie en France et en Thaïlande, voir comment ça se passe là-bas, découvrir de nouvelles choses, suivre l'histoire de cette Laure. Le texte est bien écrit, la taille de la police de caractère est moyenne, c’est très facile à lire. On est tout de suite impliqué dans cette incroyable histoire qui donne envie de lire la suite, suivre l'histoire de ces deux jeunes filles.

Léa M.15 février 2015

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 16:43

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES :

Auteurs : Séverine Forlani/ José Féron Romano

lettres d'une ado

Titre : Lettres d’un écrivain à une adolescente.

Edition : Hachette Jeunesse

GENRE:  Roman par lettres / Récit de vie

THEME PRINCIPAL : Un écrivain répond à une adolescente sous le pseudonyme de Laure

LE SUJET : C’est un écrivain qui décide de répondre à une adolescente qui lui a écrit un certain nombre de lettres, l’adolescente s’est choisi un pseudonyme « Laure ». L’écrivain essaye tant bien que mal  de chercher qui elle est, il la surnomme  «  mon inaccessible  étoile » car il la contemple en disant qu’elle se trouve entre la Grande Ourse et Beltégeuse, à côté d’Andromède ou derrière Cassiopée. En réalité il raconte sa vie tout en écrivant à Laure. Parfois il se prend pour Mozart ou Rimbaud, on se demande  s’il écrit des lettres ou s’il les vit.

CHOIX D’UN PASSAGE :

« Et Voici que je me décide à vous écrire, alors que j’ai ouvert hier votre sixième courrier, courrier daté du 1erjuillet .Vous ne me demandez rien. J’ignore votre adresse. Vous vous êtes choisi un pseudonyme pour vous cacher, et non point pour paraître. Et voici que je me décide à vous écrire …

Pourquoi ? Peut-être parce que je pressens là comme le début d’une histoire et que vous avez piqué ma curiosité en vous réfugiant dans l’anonymat. Peut-être encore parce que c’est une occasion de faire le point, une manière pour moi aussi de voir plus clair, de trouver des moments de calme au milieu de cette effervescence  qu’est devenue ma vie.me courrier, courrier daté du 1er juillet .Vous ne me demandez rien. J’ignore votre adresse. Vous vous êtes choisi un pseudonyme pour vous cacher, et non point pour paraître. Et voici que je me décide à vous écrire …"

COMMENTAIRES : J’ai choisi ce passage car il nous donne des renseignements comme : Qu’elle a envoyé  au moins six courriers, qu’elle écrit depuis le 1er juillet, qu’elle a choisi un pseudonyme pour se cacher et non point pour paraître, et il montre aussi pourquoi il a voulu lui répondre à elle.

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL :

Je n’ai pas beaucoup aimé ce livre car il est très dur à lire et à comprendre aussi car ce n’est que du langage soutenu. Il parle un peu de tout, des étoiles, des livres  (Les trois Mousquetaires, Don quichotte , Jack London, Roméo et Juliette etc …) Non je ne conseillerais pas ce livre car je n’ai pas très bien compris ce livre mais pour le comprendre, je pense qu’il faudrait lire le livre « Lettres d’une adolescente à un écrivain » du même auteur.

Valentin R, 4C, 15/10/2012

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Le principal personnage de ce roman est J.-F.N.  J.-F.N se préoccupe de répondre  aux lettres de Laure. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui ressemble a J.-F.N. A sa place, moi aussi, j'aurais répondu aux lettres de Laure. Dans ce livre le personnage principal écrit des lettres au personnage secondaire qui est Laure.

 Le style d'écriture et la construction du texte sont différents de ceux d'autres auteurs que je connais car l'auteur de ce livre écrit en langage courant mais par moment utilise des mots de langage soutenu et il écrit en forme de lettres. Je pense que l'auteur a écrit ce livre pour remettre au goût du jour les lettres et nous apprendre à présenter une lettre. L'auteur nous incite a lire le livre en créant des suspenses entre les lettres et en écrivant des poèmes comme Page 40. J’aimerais demander à l’auteur s’il est aussi poète.

Selon moi si le livre se termine de cette façon, c’est parce que sinon le roman ne finirait jamais donc l'auteur des lettres a écrit que Laure a arrêté d'écrire des lettres.

Sébastien, 4C, octobre 2013

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L******** Lily

Élève collège Jean 23

22800 Quintin

jazz@monmail.fr

                                                                                               le 5 février 2016, Quintin

  

                                                                                                       José Féron Romano

                                                                                                       Ecrivain   

                                                                                                       29 avenue Maupassant,

                                                                                     La Flèche 72200 

 

Objet : Mon avis sur votre livre « Lettres d’un écrivain à une adolescente. ».

 

                    Cher auteur,

                    Je suis une collégienne de 13 ans et je vous écris à propos de votre dernier livre intitulé « Lettres d’un écrivain à une adolescente. ».

                   Je ne me suis pas identifiée aux personnages de votre histoire car je ne me suis ni retrouvée dans votre style d’écriture, ni dans la manière du personnage principal de parler ou de penser. L’écrivain de l’histoire n’avait pas du tout une vie et des occupations similaires aux miennes car par exemple je n’aime pas spécialement écrire des lettres ou bien être seule. La jeune fille était également assez différente de moi car elle pouvait se livrer facilement  à quelqu’un qu’elle ne connaissait presque pas, ce que je ne pourrais pas faire.

                     Je n’ai pas trop aimé votre style d’écriture car je n’ai pas trouvé le livre agréable à lire. J’aurai préféré que vous écriviez également les lettres qu’adressait la jeune fille à l’écrivain car j’avais du mal à comprendre ce qu’elle lui disait car c’était implicitement marqué dans les lettres de l’homme. J’ai compris une grande partie du vocabulaire que vous avez employé sauf  parfois quelques phrases à sens figuré ou des phrases de nature philosophiques.                        

                    Certains passages m’ont particulièrement touchée, particulièrement lorsque l’écrivain de votre histoire évoque son bonheur d’écrire à « Laure », l’adolescente.  Mais aussi également lorsqu’il est heureux pour des choses qui peuvent nous paraître très simples .Malheureusement, le dernier chapitre m’a beaucoup déçue car il raconte que Laure décide de mettre un terme à leurs échanges alors que c’était une des seules choses qui illuminaient son quotidien d’homme solitaire.   

                     Merci d’avoir pris le temps de lire mes avis sur votre lettre. J’espère que vous le prendrez bien. Je vous prie d’agréer mes plus sincères salutations.         

                                                                                                                                                                                                                     L********** Lily.                                                                

 

 

 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 14:42

51HC8F9JETL._SL500_AA300_-copie-2.jpg Titre : Je t'écris , j'écris ...                                                                Auteur : Geva Caban

 Éditeur : Gallimard jeunesse, 2011                                                  

llustrateur : Zina Modiano

Collection : Folio Cadet                                                                   Description : 83 Pages  

Genre : roman épistolaire

Thème Principal :   Ce sont des lettres entre deux adolescents qui ne se sont jamais rencontrés.

résumé : C'est le mois de juillet, les vacances. Une fille attend le facteur, tous les jours, elle écrit une lettre à un garçon qu'elle aime. Le mois suivant, déçue, elle commence un journal intime . Elle y écrit sa tristesse mais aussi sa colère, ses nouvelles amitiés, le nouveau chaton quelle a eu , puis le souvenir des vingt-quatre lettres quelle a écrites. Mais elle n'a jamais eu de réponse. Dans ses lettres elle décrivait la plage, ses parents, ses vacances, sa chatte et ses chatons .

 Passage Choisi : P 13 "Maman ne veut plus me passer un timbre tous les jours . Mais mon père m'a donné cinquante francs . On est allé tous les deux à pieds au village par la corniche . C'était long avec la chaleur . A la poste j'ai acheté vingt timbres d'un coup. Comme ça je dépenserai tout mon argent seulement pour toi, pour t'écrire. J'espère que j'aurai ta première lettre demain et que tu pourras venir en aout."

Jugement Critique Personnel J'ai bien aimé car la lecture est facile à comprendre , je le conseille à ceux qui n aiment pas trop lire.

Dylan B.4A, 24/10/12

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Je t'écris, j'écris…

De Geva Caban, illustré par Zina Modiano.

Ce livre est un recueil de lettres, une page est égale à une lettre.

C’est l’histoire d’une jeune fille qui écrit à un garçon, dont elle ne veut pas dire le nom. Ils étaient amoureux et ils s’étaient promis de s’écrire quand ils ne se verraient plus. Alors cette jeune fille commence à écrire. Elle écrit, écrit, écrit mais aucune réponse. Elle désespère, un jour elle reçoit une petite carte de lui, elle était heureuse. Elle lui répond mais plus de nouvelles encore une fois.

Des nouveaux voisins venaient d’arriver dans la maison en face de chez elle, car cette maison est louée pendant les vacances. Elle commence à faire la connaissance d’un gentil garçon, il est vraiment un ami. Un jour, elle explique à ce garçon ce qui s’est passé avec ce jeune homme auquel elle écrivait. Ce garçon comprend la jeune fille et décide de l’appeler en se faisant passer pour celui à qui elle écrivait, il l’appelle !

Elle eut le jeune homme au téléphone, il lui expliqua pourquoi il ne répondait pas à ses lettres. La jeune fille était quand même énervée, puis le jeune homme lui dit de venir. Elle était tellement heureuse. Le jour d’après, elle partit en voiture avec le garçon qui l’avait aidée, à qui elle avait donné de multiples surnoms, et ses parents.

 

Extrait : « Je t’écris. Vite. Je t’écris sur mes genoux. Dans la voiture. Les parents se promènent dans une petite forêt, à côté de la route. Tu vois, c’est moi qui commence. On s’écrira tous les jours. On a juré. Il fait trop chaud. Je t’aime trop. Je ne mets pas ton nom. Je ne mets pas mon nom. A cause du secret. »

Louise, 5C, mars 2013

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Le texte est écrit à la 1e personne du singulier : on ne sait pas le prénom de celle qui écrit. Je n'ai pas de préférence concernant les personnages et je n'ai jamais rencontré de personnage  principal qui ressemble à cette héroïne. L'auteur a ajouté des personnages secondaires pour donner de la vie dans l'histoire. L'auteur a peut être voulu essayez de raconter la vie d'une petite fille sous forme de lettres. Moi , je n'aurais pas disposé ce livre en forme de lettres. Voici la lettre que j'écrirais à l'auteure : 

 

 

P…… Azeline

4 Rue des Bisounours

1123 ..........................                                                      Vendredi 11 Octobre 2013

 

 

 

                                                                                            

                                                                                                                     Caban Geva

                                                                                                    2 Rue des Livres

                                                                                                    75000 Paris

 

  Madame,        

 

       J'ai aimé votre livre, sa disposition en forme de lettres . Cette petite fille dont vous dites pas le prénom raconte sa vie de tous les jours à un garçon dont on ne sait pas non plus le prénom. Pourquoi cette fille n’a-t-elle pas de prénom, et le garçon non plus ? Je voudrais bien le savoir.

La fille parle à un garçon dans ses lettres et croit qu'elle lui parle directement alors qu'elle parle à son imagination. Après la page 51, elle dit "Je n'écrirai plus à personne, mais j'écrirai quand même ." et c'est à partir de là que la disposition du texte n’est plus le même qu’au début En faite,  elle écrit sa vie de tous les jours à son imagination et non plus au garçon de ses pensées.

Si j'ai bien compris votre histoire, cette fille dont on ne connaît pas le prénom racontait sa vie de tous les jours à un garçon inconnu de ses pensées, et après elle décide de ne plus écrire à personne mais à son imagination. 

 

                                                                                                                  Azeline 4A

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Coralie R….

1 impasse des Châtaigniers

22170 Plouagat

Plouagat, le 31 janvier 2016

 

Madame CABAN

Rue de la Mairie

33000 Bordeaux

 

Objet : Mon avis sur votre livre « Je t’écris, j’écris… »

 

Madame,

Dans ce roman composé de lettres, vous racontez les vacances d’une jeune fille partie avec ses parents à la mer pendant 2 mois.

 

Elle est triste car elle a dû quitter le garçon qu’elle aime. Elle lui écrit donc une lettre chaque jour pour lui raconter tout ce qu’elle fait mais ne reçoit jamais de réponse. Elle refuse de sortir et de rencontrer d’autres enfants. Son père va donc lui proposer d’écrire un journal pour décrire ses journées, ses émotions. Grâce à l’écriture de ce journal intime, qu’elle fait parfois lire à son père, au bout de quelques jours, elle accepte de sortir et rencontre d’autres enfants de son âge.

 

J’ai bien aimé la page 47 car la fille s’est liée d’amitié avec un jeune garçon grâce à son chat. Je ne m’identifie pas à cette personne car je trouve dommage d’attendre toujours des réponses à des lettres au lieu de profiter des vacances. J’ai apprécié votre livre car le vocabulaire utilisé est simple à comprendre, les illustrations sont très colorées et l’histoire se termine bien puisque la jeune fille rencontre des nouveaux amis. Elle va même s’expliquer avec le garçon qu’elle aime à la fin des vacances.

J’espère que vous écrirez d’autres romans de ce genre.

Bien cordialement,

 

                                                                                                                       Coralie R.

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 14:13

Auteures : Nancy Huston en collaboration avec Leïla Sebbar

Titre : Lettres parisienneslettres-parisiennes.jpg

Edition : J’ai lu


Résumé :

Nancy Huston, Canadienne, et Leïla Sebbar, Algérienne, habitent à présent à Paris et entretiennent une correspondance pendant plus d’un an. Le sujet qu’elles abordent principalement est celui de l’exil car l’une se sent en exil, l’autre pas. Ici l’Algérienne a le mal du pays. Elles comparent également les mauvais côtés de la vie de tous les jours en France par rapport à leur pays natal respectif : les gens dans la rue, l’amabilité des responsables de restaurant, les codes sociaux….Celles-ci ont obtenu bon nombre de concours littéraires ou en rapport avec l’écriture ce qui leur permet d’employer des mots très soutenus qui enrichissent leurs phrases. Même si elles se contredisent sur l’exil, sur le style d’écriture ou sur d’autres sujets, malgré ces différences elles vont se lier d’amitié.

Mes commentaires :


Nancy Huston et Leïla Sebbar sont les personnages du récit. Je préfère Leïla Sebbar car elle est très simple et j’apprécie son côté pessimiste. Je choisirais de supprimer Nancy Huston, l’une des héroïnes, si j’avais le choix, car son optimisme est assez agaçant voire gênant et lassant à la fin. Il y a des personnages secondaires comme Léa, fille de Nancy Huston car sinon l’histoire serait répétitive, monotone et lassante.

Nancy et Leïla se préoccupent toutes deux de l’exil dans un pays étranger, ici la France, et de la vie de tous les jours avec cette nationalité différente : (pg.5) « Deux femmes s’écrivent […] décident de s’écrire des lettres d’exil. »

A leur place, j’aurais exprimé à tout le monde mes pensées sur l’exil et sur les nationalités différentes pour que cessent les problèmes.

Les auteures ont crée du suspense car grâce au système des correspondances, on attend la réponse de la lettre. (pg.115) « Il faut […] Peut-être parviendrai-je à la joie ? … »

Les auteures ont écrit ce roman pour dire qu’il ne faut juger les gens à tort et que ce n’est que pas parce qu’on se sent exilé qu’on l’est forcément, c’est pour dénoncer quelque chose sur l’exil.

 

Baptiste, 4C, octobre 2013

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 13:42

Le roman s’intitule «  Un papillon dans la peau », l’auteure est Virginie Lou.51CSVC8WTVL._SY300_.jpg

Les personnages principaux de ce roman sont Alexandre et Omar. Je préfère Alexandre car il est plus mystérieux, il est différent des personnages que l’on a l’habitude de trouver dans les romans : « Alexandre ne ressemblait à personne. Il était tellement différent de nous, tellement à part, tellement au-dessus de nous. » (page 7). Dans ce roman, Alexandre veut trouver un moyen pour échapper à son père qui le maltraite. Je n’ai jamais rencontré dans d’autres livres des personnages qui ressemblent aux personnages principaux de ce roman, car ces personnages sont très spéciaux, ils sont originaux. Si j’étais à la place d’Alexandre, je me serais enfuie et à la place d’Omar je ne me serais pas mêlée des affaires d’Alexandre, car à cause de lui Omar s’attire beaucoup de problèmes. Si j’avais le pouvoir de faire disparaitre un personnage de ce roman je choisirais sans hésiter le père d’Alexandre car il est très méchant et brut, mais cela changerait toute l’histoire et elle n’aurait plus d’intérêt ni de suspense.

L’auteure a réussi à créer du suspense dans ce livre car à aucun moment, elle ne nous dit ce qui s’est réellement  passé dans le passé d’Alexandre, ni pourquoi son père le maltraite. Il n’y a pas vraiment d’humour dans ce livre car c’est plutôt un livre tragique. Je pense que l’auteure de ce roman essaye de nous dire que si l’on se fait maltraiter, il faut en parler à quelqu’un et se faire aider sinon sa pourrait mal finir, comme dans ce livre.

 

Klervie, 4ème C. Octobre 2013

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G Océane

Rue des énigmes

22800 Quintin

050-9R-558-U0-9Y

oceane@hItmail.com

 

 

 

Quintin, 26janvier 2016

 

Virginie Lou

écrivaine

14 rue des palmier

22070 Veniano

 

À propos du livre Un papillon dans la peau

 

Madame,

J'ai bien aimé votre livre. Il est très intéressant et j'ai bien aimé le suspense à la fin du livre car ça nous laisse deviner où est Alexandre.

Votre livre est touchant. J'ai trouvé le moment où Omar a deviné qu'Alexandre n’était pas en sécurité chez son père très triste car je ne pensais pas qu'Alexandre se faisait battre et Omar est un super ami car aller chercher Alexandre dans un petit village qu'il ne connaît même pas, c'est très courageux.

Le passage qui m'a déçue, c'est le moment où Omar a essayé de noyer un de ses camarades car j'aurais bien voulu plus de détails, la réaction de ses parents et de son professeur...Ce livre est très agréable à lire. Quand j'ai fini de lire mon livre je me suis posé une question.

Voici ma question: est- ce que c'est une histoire vraie ?

Aurevoir, Madame, je suis impatiente de découvrir vos prochains livres.

Océane G, collégienne

 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 13:35

Titre : l’agendaL-Agenda.jpg

Auteur : Hélène Montardre

Edition : Rageot romans

Genre : Roman avec des lettres

Thème principal : Une enquête d’un collégien

Résumé : C’est l’histoire d’un collégien qui trouve un agenda au CDI tout à fait par hasard. Il décide donc de le prendre. Arrivé chez lui, il l’ouvre : il y a plein de dessins à l’intérieur, des dessins de fille. Seul problème aucune information n’est donnée sur son ou sa propriétaire. Alors à l’aide des petits mots inscrits à l’intérieur Jérémie va découvrir que l’agenda appartient à Laura, une fille de sa classe dont la maman est morte. Plus tard dans l’année, la maman de Jérémie meurt elle aussi alors Laura et lui vont se soutenir mutuellement.

Passage remarquable :

Page 74 : A force d’être immobile, j’avais complètement oublié que j’avais ce truc sous le bras! On est resté là tous les deux quelques secondes, piqués de chaque côté du petit rectangle vert sombre avec son liseré doré, puis Laura s’est approchée, elle s’est baissée, elle l’a ramassé, l’a serré contre elle de ses deux bras, a planté son regard dans le mien et demandé :

-       Tu l’as lu ?

-       Oui bien sûr ai-je répondu spontanément.

 

Commentaire sur ce passage du livre : Je trouve ce passage du livre intéressant car c’est à ce moment que Jérémie découvre que l’agenda est à Laura et que Laura découvre que c’est Jérémie qui avait son agenda depuis environ trois semaines. C’est un moment important de l’histoire.

Jugement critique personnel :

Je conseille de lire ce livre car il montre ce que n’importe qui d’entre nous pourrait faire : voler quelque chose qui traine. L’histoire est un peu  émouvante car la maman de Laura est décédée et celle de Jérémie aussi. L’histoire est réaliste car les mots dans l’agenda sont un peu comme ceux qu’on trouve dans l’agenda d’une fille.  Mais par contre ce livre est difficile à comprendre, au moins la fin de l’histoire.

Adèle M 4A  25/10/2012
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Agenda: c'est le titre du roman.
Bruchet: c'est le professeur de mathématiques du collège.
Cahier rouge: c'est un cahier que Jérémie héros de l'histoire prend comme journal.
Duroux Marie: c'est une fille de la classe de cinquième de Jérémie.
Encre violette: utilisée par la propriétaire pour écrire sur son agenda.
Feuille blanche où Jérémie écrit des mots.
Géographie: c'est la matière où l'on peut préparer un exposé au C.D.I.
Hélène Montardre: c'est l'écrivain du livre.
Images: ce sont des images collées sur l'agenda.
Jolie Anita: c'est aussi une fille de la classe de Jérémie.
Kitsch: Jérémie trouve la carte postale belle mais de mauvais goût.
Lucie: c'est la soeur du héros.
Michel: c'est le compagnon de Lucie.
Nuit: c'est le moment où le héros écrit dans le journal.
Orange: c'est la lumière chaude, jaune et rouge qui se trouve dans la chambre de Jérémie le soir.
Parc des Allouettes: c'est l'endroit où Jérémie aime bien aller.
Quinze: c'est le nombre d'années passées depuis la fin de l'histoire .
Robe noire à pois: elle figure sur une photo dans l'agenda.
Secrets: ce sont des secrets notés dans l'agenda.
Timbre qui a été collé sur une enveloppe par le héros.
Une: c'est la première page d'un journal.
Verlaine Paul: c'est un écrivain que Jérémie adore.
Week-ends: ce sont les moments où se retrouvaient parfois Lucie et Jérémie.
Yeux: ce sont les yeux fermés des chatons sur la carte.
Zazou: c'est le surnom d'un personnage.
 
J'ai bien aimé ce roman mais la fin de l'histoire m'a surprise.
Laëtitia, 4A, 22/11/2010
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Titre : L’agenda

 

Auteur : Hélène Montardre

 

Illustration : Sophie  Ledesma

 

Editions : Hatier

 

Collection : Rageot Romans

 

 

Résumé :

C’est un jeune homme qui s’appelle Jérémy, qui trouve un agenda dans le CDI, il décide de le garder, de le mettre dans son sac. Et tous les soirs il le feuillette puis il trouve que l’agenda est très bien décoré par rapport au sien, un jour dans l’agenda c’était écrit « Rendez-vous au parc à  15 h demain » Le lendemain il alla au rendez-vous, il se cacha, la jeune fille arriva et Jérémy la reconnut, il éternua sans faire exprès et la jeune fille s’approcha, lui partit en douce mais le journal tomba, elle ramassa le journal  et courut en pleurs. Le garçon dépité de son rendez-vous  lui écrivit! Et il se réconcilia, il lui posa plein de questions en rapport avec l’agenda, et ils devinrent  amis.

Mon avis /J’ai bien aimé ce livre car, j’aime bien lire l’agenda et découvrir ce qui se passe, et il y avait quelques aventures …

Oriane, 5C, mars 2013 

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C’est l’histoire d’un garçon prénommé Jérémie qui est élève en classe de 5ème B. : « Mais ce n’était pas un film, juste moi, Jérémie, douze ans presque treize, élève de cinquième B […]. » (Page 12)
Les principaux personnages du roman sont : Jérémie et Laura. Je préfère Jérémie car il raconte davantage l’histoire que Laura.
Un jour, dans la bibliothèque de son collège, Jérémie trouve un agenda qui appartient à une certaine Laura. « […] Quand je l’ai reconnue, j’ai laissé échapper un soupir de dépit. Laura ! […] » (Page 71) Tous deux étant dans le même collège, il va chercher la propriétaire de l’agenda trouvé.
 
À sa place, j’aurais fait la même chose, car il est difficile de ne pas lire un agenda trouvé, et je chercherais son propriétaire. 
Dans ce livre, l’auteur a créé du suspense grâce aux lettres échangées entre les personnages. De plus cela rend le livre plus intéressant à lire.
L’auteur raconte son histoire personnelle. En effet, elle ne possédait pas d’agenda, mais elle avait un cahier de textes et un agenda secret comme celui de Laura. « Au collège, nous n’avions pas d’agenda, mais un cahier de textes […] ! Alors j’avais un agenda : […] » (Page 126).
Devenus adultes, Jérémie et Laura se sont revus. Selon moi, le livre s’est terminé ainsi parce qu’ils avaient vécu une belle histoire d’amitié.
L’auteur essaye de dire que si l’on perd son agenda, il ne faut pas dramatiser car une personne honnête le retrouvera, le lira et le restituera. De plus, une amitié pourra se créer…

Lisa, 4C, octobre 2013

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Auteur : Hélène Montardre

Titre : L’agenda

Éditeur : Rageot

Collection : Oceania

Illustrateur de la couverture : Sophie Ledesma

Genre : Sentimental

C’est l’histoire d’une fille qui trouve une sorte de livre, mais ce n’était pas vraiment un livre mais plutôt un agenda secret dans le CDI du collège.

Le 24 Mars à  14h15 la fille avait franchi le portail du parc des Alouettes, l’agenda serré sous son bras gauche. Elle regarda autour d’elle mais il n’y avait personne. L’inconnu n’était pas encore arrivé, elle était en avance alors elle s’est cachée dans un buisson. Les heures passent et toujours personne. À 14h50 une fille est arrivée c’était Laura une fille qu’elle n’aime pas trop, mais ce n’était pas Laura qu’elle attendait mais la personne à qui l’agenda appartenait. L’agenda était bien à Laura.

Description d’un personnage : Le personnage s’appelle Gérémie, elle a 12 ans presque 13, elle est en 5°B au collège Albert-Camus, elle est sérieuse, c’est elle qui a trouvé l’agenda dans le CDI.

Extrait du roman :  Il était posé sur la table. D’abord j’ai cru qu’il s’agissait d’un livre et je me suis dit : « Tiens, un livre dans la salle des revues, ça va pas, ça… »

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Gérémie découvre le l’agenda dans la salle des revues mais avant de le prendre elle se demande ce qu’il fait ici et pense que ce n’est pas normal car c’est la salle des revues et pas des livres et après vu qu’il y avait personne autour d’elle, elle a pris l’agenda.

Avis sur la couverture du livre : Je trouve que la couverture du livre est très bien faite il y a de la couleur, des écritures et des dessins.

Avis sur le livre : J’ai bien aimé ce livre car il y a un peu de suspente, de l’aventure.

                                                     Lou-Marine, Mercredi 16 Décembre 2015

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Camille G......

Apprentie sorcière

A Poudlard,

01 001 Dans Le Brouillard

Tel : 01.23.45.67.89

Mail : fofodu22@wouf-mail.fr

Le 3 Mai 2008, à Dourdu

Mr Cornélius Fudge

Sorcier diplômé

Au 8, rue des Embrumes

12 345 Ville Insouciante

Objet : Les lectures des gens normaux.

 

            Cher Cornélius,

 

            Je vous écris pour prendre de vos nouvelles, et répondre à votre question sur les lectures des gens normaux. Voici le résumé d’un livre qu’une bibliothécaire m’a conseillé.

            Ce livre, intitulé L’Agenda, écrit par Hélène MONTARDRE, est paru en novembre 2007 aux éditions Rageot roman.

            Les personnages sont assez nombreux mais restent simples à distinguer les uns des autres. Laura et Jérémie, par exemple, sont les personnages principaux du livre. Laura est timide, réservée et refermée sur elle-même. Jérémie est tout le contraire de Laura : souriant, ouvert et à l’aise. Jérémie et Laura sont en 5A, au collège Albert Camus, mais cela va changer quand Laura va déménager au 18, rue des Aubépines, à Perche-en-Valdemar. Je n’ai pu m’identifier à aucun d’eux car ils ne possèdent pas nos attributs magiques.

            L’histoire me paraissait banale pendant les deux premières parties du livre, jusqu’à ce que je lise la troisième partie où on se rend compte que les personnalités de Jérémie et Laura sont inversées dans les deux premières parties du livre. J’aurai préféré que Laura et Jérémie se revoient plus souvent, qu’ils soient amis. Cependant, j’imaginais les personnages plus toniques et plus raffinés dans leurs réactions, leurs émotions et leurs caractères.

            Je trouve que le style d’Hélène MONTARDRE est assez facile et simple à comprendre mais je préférerais qu’il y ait plus d’action, que le livre soit plus long.

            Je ne vais pas vous en dire plus car ce serait dommage si vous connaissiez toute l’histoire avant d’avoir lu le livre, si vous voulez le lire.

 

Camille G

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 19:01

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Auteurs : Ichirô Hatano et Isoko Hatano

Traducteur : Seiichi Motono

 Titre : L'Enfant d'Hiroshima

Edition / collection : Folio Junior Gallimard

Genre : récit de vie

Thème principal : correspondance entre une mère et son fils

Résumé : Ichirô a quatorze ans, il est dans un lycée de Tokyo pendant que sa mère et le reste de sa famille se retirent en province dans la ville de Suwa. Il garde un lien avec sa mère encorrespondant par lettres. Il lui écrit sur sa situation scolaire et sur la situation sanitaire. Il est hébergé chez une marchande de tabac où il trouve qu'il n'est pas assez nourri.

Peu après, il rejoint sa mère à Suwa, de peur que la ville de Tokyo soit bombardée mais même à Suwa, ils correspondent dans un petit carnet, cela leur permet d'échanger en privé.

À l'âge de dix-huit ans, Ichirô retourne à Tokyo pour ses études. Lors d'une lettre, sa mère lui apprend le décès de son père. Cet événement met fin à leur correspondance. Ichirô  trouve un travail à Tokyo et il fait souvent le trajet de Tokyo à Suwa pour voir sa mère. 

Passage choisi :

"Maman chérie,

Je suis arrivé sain et sauf. Depuis si longtemps que nous ne nous étions pas vus, j'ai été bien heureux de passer ces quelques jours avec toi. Je voudrais qu'il y ait souvent des alertes !"

J'ai choisi ce passage car il montre l'attachement d'Ichirô à sa mère, son besopin d'être avec elle et donc l'importance de leur correspondance, quand il est à Tokyo tout seul.

Jugement critique personnel : J'ai apprécié ce livre, on y retyrouve des témoignages forts de la population sur ce moment de l'histoire du Japon. On se rend compte des difficultés que rencontre un jeune garçon pour vivre à cette époque dans une métropole. Ce livre met en évidence l'importance de la correspondance entre une mère et son fils à une époque où l'Internet et les téléphones portables n'existaient pas. Je le conseille aussi pour enrichir la culture générale.

Romain L, 4C, 16/10/2012

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Titre du livre: L’enfant d’Hiroshima

Lettres écrites par: Isoko et Ichirô Htano

Traduit du japonais par : Seiichi Motono

Ce livre est un recueil de lettres écrites pendant la guerre d’Hiroshima entre une mère et son fils. Ichirô (le fils) va prendre conscience des responsabilités que sa mère supporte chaque jour et des impacts qu’a la guerre sur la population.

Les personnages principaux sont : Isoko et Ichirô Hatano. Je préfère Ichirô car il prend conscience des responsabilités de sa mère et essaye de la protéger. Il se préoccupe de l’état de sa mère. J’aurais réagi de la même façon à sa place. Dans d’autres livres, j’ai déjà rencontré des personnages qui ressemblaient à Ichirô et qui  essayaient de protéger quelqu’un tout comme Ichirô. C’est l’inquiétude d’Ichirô pour sa mère qui est le plus important dans ce livre. Comme c’est une histoire vraie, il n’y a pas de personnages  mais si je pouvais, j’aimerais bien faire disparaitre les paysans car ils sont très désagréables avec la mère d’Ichirô mais alors  Isoko et Ichirô  n’auraient de quoi se ravitailler car ce sont les paysans qui leur donnaient la nourriture.

 

Je pense qu’Ichirô et sa mère se sont envoyé des lettres à cause de l’éloignement parce que Ichirô n’habite pas au même endroit que sa mère. Ce qui crée le suspense c’est qu’on  ne sait pas de quelle manière va réagir le  destinataire en découvrant la lettre.  A chaque fin de lettre l’émetteur posait une question au destinataire et je voulais donc connaitre la réponse.

Le style d’écriture  me semble original, je ne l’ai vu dans aucun autre livre. Il n’y a ni humour, ni message direct à nous transmettre car les lettres ne nous sont pas destinées mais la lecture de ces lettres nous donne une leçon de morale.

 

Pierre-Louis, 4C, octobre 2013


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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 19:00

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Titre: Écoute mon cœur

Auteur: Janine Teisson

Éditeur: Syros

Collection: Les uns les autres

Date: Octobre 2006

 

Genre: roman par lettres et récit de vie. Roman à deux voix.

Thème: Handicap

Thème principal: La vie de deux mêmes conditions dans un siècle différent.

 

Récit en parallèle par chapitres alternés.

 

Résumé:

 

Ce récit se passe dans le Sud de la France à notre époque, un homme au grand cœur, cardiaque et âgé de 76 ans, Paulou vend sa maison ( située à côté d'une autoroute où il y a beaucoup de bruit ) à des sourds-muets avec lesquels il sympathise. Leur fils Antoine Fournet est devenu un des amis de Paulou et lui apprend le langage des sourds-muets: la langue des signes. Au village les habitants les appellent « ces gens-là » car pour eux les sourds ne sont pas les bienvenus. Une immense inondation s'abat sur eux et met en péril tout le village et surtout  la maison des Fournet (les sourds-muets) et les champs de taureaux (les taureaux sont pour les villageois les animaux importants d'une de leur fête et sont le symbole de la ville).Les Fournet s'en sortent et ils sauvent les troupeaux de taureaux. Ils se font accepter et sont acclamés comme des héros par le village qui comprend que le mot « sourd » ne veut pas forcément dire « idiot » !

 

Au XIXème siècle, un petit garçon sourd-muet nommé Jean Peyre, part à Paris dans une institution spécialisée pour que les entendants et les sourds puissent communiquer sans problèmes. Il raconte sa vie à Paris à sa sœur: sa réussite scolaire, ses progrès en langue des signes, plus tard son métier de professeur et son amour pour une sourde. Puis au fil du temps tout change. Il y a la guerre à Paris où la communication devient difficile et la vie dure. Le téléphone est inventé et les« oralistes » veulent faire parler les sourds et triomphent. Tout le monde les prend alors pour des « sans-cervelles » ou des « sauvages ».Les parents de la fiancée de Jean ne veulent pas qu'il l'épouse sous prétexte que: « ils ne faut pas que les sourds se reproduisent, ils seront des problèmes ». Sa sœur, encore en vie, est atteinte d'une maladie qui la fera mourir avant le retour de Jean dans son village natal. Désespéré, Jean se suicide dans son village qui est en fait... le village de Paulou!

Il apprend que l'arbre le plus vieux et le plus gros où Maurice, son ami d'enfance, et lui jouaient est nommé « l'arbre du sourd-pendu » qui est en fait, l'arbre sûr lequel Jean s'est suicidé.

 

Un passage que je trouve remarquable: Page 10/11:

 

« Les sourds sont revenus le lendemain avec leur interprète, Laurence, une charmante fille blonde, et nous avons discuté pendant plus de deux heures. Elle me traduisait leurs signes et traduisait mes mots. Et là, j'ai eu un drôle de sentiment.

Le père a commencé à «parler». Il faudrait dire «signer», mais ça ne me vient pas. Il me posait des questions. Ses mains dansaient, voletait, elles griffaient l’air, tapotaient, passaient sur son visage, frappaient ses côtes, là, à droite, juste au-dessus de la taille. Que disait-il ? En voix off, comme on dirait au cinéma, la traductrice – ils disent l'interprète – traduisait la danse, les mouvements saccadés, énergiques et soudain si doux, et le visage élastique que nous, les «entendants» dirions grimaçants, outré ou ridicule. Que disait-il ? Je n'entendais plus l'interprète. J'étais obligé de la faire répéter, tellement j'étais fasciné par le mime de cet homme. De temps en temps sa femme aussi prenait la parole, si on peut dire ainsi, et le petit garçons touchait le bras de son père et «signait» à toute vitesse quelque chose qui les faisait rire tous les trois. Moi j'étais en dehors. Étranger. S'il n'y avait pas eu l'interprète, les mains de ces trois  personnes, tantôt souriantes, tantôt sérieuses, auraient dansé pour rien, dans le silence, dans l'ignorance. Mon ignorance. Et pour eux ma voix ne servait à rien. J'étais assommé par cette révélation. « Qui est le handicapé ici? C'est moi! » ai-je pensé. Je me suis senti anormal. C'était bizarre.

 

Mon commentaire personnel:

 

J'ai aimé ce livre car il montre la différence entre les croyances de maintenant et celles d'autrefois. Il y a une vision complètement différente et c'est ça qui fait le charme du livre. Il raconte aussi l'histoire de l'affection entre les entendants et les sourds et montre l'attachement que peuvent avoir les gens. La fin est un peu triste pour Jean mais l’histoire se finit bien pour les Fournet. Et voilà le charme du livre. Il est un peu difficile à lire (recommandé dès 13 ans ) mais c'est un défi à relever !

Marianne K, 4 A, 24/10/2012

TITRE : ECOUTE MON COEURdyn005 original 333 79 gif 9088acd107a2d031b8ed3a052b4d8f9

AUTEUR : JANINE TEISSON

EDITEUR : SYROS

COLLECTION : LES UNS LES AUTRES, Mars 2005

GENRE: C’est un recueil de lettres.

THEME PRINCIPAL : Lettres d’enfants sourds.

RESUMÉ DU SUJET:  C’est l'histoire d'une famille de sourds qui achète une maison au vieux Paulou. Ces sourds sont très mal vus dans le village, le village ne les prend pas comme amis sauf le vieux Paulou qui éprouve de la sympathie pour eux.

Un siècle plus tôt, c’est un jeune sourd né dans une famille non sourde qui raconte ce qu'il fait dans l'institut où il a été placé. Il devient, à l’âge de 18 ans, professeur mais sa carrière est menacée car l'État encourage les oralistes.

PASSAGE REMARQUABLE:

20 septembre 1866

Chère parents, chère ma sœur,

Regarde tous mon écriture. Elle ne pas encore trop bonne mais monsieur Chassou  dit moi écrire vous pour montrer. J’appris épeler le français avec les mains. On dit : français manuel. Grands  progrès je fais.

Je passe en deuxième niveau. Je suis plus jeune de tous. Neuf ans demain (9). Je compris le voyage de notre village à Paris coute  cher. Je être courageux. Pour mes dix ans ira vous retrouve ?

 Soyez en bonne santé. Merci ma sœur des lettre je lis. Bel dessin.

 J’embrasse tous. Caresse mon chien.                 

Jean.         

JUGEMENT :

Je vous conseille de lire ce livre car il nous apprend ce que vivent les sourds toute leur vie et car c’est un très beau livre.

Flavio B, 4A, 13/10/12

Et voici un autre extrait enregistré par un élève de 3e ! http://0z.fr/W68zP

 

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Auteur : Janine Teisson

Titre : « Écoute mon cœur » 

Genre : Récit de vie

 

Thème principal : Un vieil homme apprend un langage des signes grâce à une famille sourde, et également, on peut voir dans ce livre, une personne nommée Jean Peyre, sourd, qui écrit à sa famille, depuis son école.

 

Résumé : Un vieil, homme, Paulou, vend une maison charmante, malheureusement qui est à côté d’une autoroute. Paulou vend sa maison à des sourds pour qu’ils n’entendent pas le bruit des voitures. Paulou va énormément s’attacher à cette famille. Un jour, une pluie énorme tombe sur le village, et Paulou, s’inquiéte pour les sourds. Il eut l’idée de leur parler en « morse » à l’aide d’un parapluie. La famille comprit et répondit que la maman qui attendait un bébé, souffrait. Paulou appela les pompiers. Paulou sut que le papa sourd avait sauvé les taureaux du village, les vedettes. Donc les sourds devinrent les « héros » du village.

 

Puis dans ce livre, on peut voir des lettres qu’avait écrites Jean Peyre, une personne sourde qui travaillait comme professeur dans une école. Celui-ci fut exclu puisque de nouvelles règles se mettaient en place dans l’école. Les sourds étaient forcés de parler « par la bouche » et les professeurs devaient être entendants.

Jean Peyre est décédé de désespoir, en perdant sa femme qui devait rester dans un « refuge » pour jeune sourde.

 

Passage : Page 9.
« Une semaine après, la famille sourdes était bien là. Le petit sautait de joie. Ils ne parlaient pas, ne poussaient que des cris, mais je voyais bien que tout leur plaisait : le petit bois de chênes verts, le Vidourle qui coulait tranquillement en contrebas, le pré avec les taureaux, le figuier, l’olivette, tout ! Le monsieur a écrit sur une ardoise magique : « Cette maison nous intéresse, C’est possible de venir demain avec un interprète pour discuter ? » 

J’ai pris le crayon, et j’ai écrit « OUI »

Il a ajouté « Demain, 15hOO ? »

J’ai encore écrit « OUI ».

Ce passage, montre que des sourds, sont venus, acheter la maison et qu’ils ne peuvent pas parler correctement.

 

Jugement personnel : J’ai vraiment apprécié ce livre. Lire ce livre ne m’a pas paru « long », je l’ai trouvé très intéressant, d’autant plus que j’ai moi-même, des proches atteints de surdité. Donc, ce livre m’a plu énormément. Je le conseille à tous.

Donna, 5C, mars 2012

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Janine Teisson                                                                                    A Paris, le 12 octobre 2013,

7e arrondissement

75630 Paris,

France

 

Bonjour,

J’ai beaucoup aimé lire votre livre. Il est à la fois émouvant, instructif et amusant. Le livre est composé de deux histoires sur la vie des sourds. Personnellement, j’ai préféré l’histoire de Paulou, un vieil homme qui a vendu sa maison à une famille de sourds. Cette histoire raconte une amitié qui se forme entre une personne entendante et plusieurs personnes sourdes. Il y a beaucoup d’humour dans ce récit mais il y a aussi des passages de suspens et d’aventure. Le personnage principal de ce récit, Paulou, raconte l’histoire, ce qui assez amusant car il est âgé de soixante-seize ans. J’aimerais savoir ce que Maurice, son ami, est devenu car à la fin de l’histoire il est malade.

La deuxième histoire parle de Jean Peyre, un jeune sourd né dans une famille d’entendants. Il écrit des lettres à sa sœur pour lui raconter sa vie car il a été placé dans un institut spécialisé pour les sourds. Il y fait toutes ses études et devient instituteur à dix-huit ans. Dans ses lettres la langue est assez soutenue. Jean rencontre Fanette, une jeune sourde, institutrice elle aussi, et tombe amoureux. Mais des personnes s’acharnent à éliminer la langue des signes, les oralistes. Jean et Fanette sont alors renvoyés de l’institut, et Fanette placée dans un refuge de jeunes sourdes muettes où elle restera sûrement jusqu'à la fin de ses jours.

Le personnage principal persévère beaucoup pour arriver à ses fins, je trouve que c’est un très bon exemple à suivre. J’ai beaucoup aimé cette histoire, mais je trouve qu’elle s’arrête un peu brutalement. J’aurais aimé une suite, savoir si Fanette est sortie du refuge, si la sœur de Jean est guérie  …

Ce roman m’a beaucoup appris sur la vie des sourds. Ils sont très souvent maltraités à cause de leur handicap.

Vous pouvez être fière de votre livre.              

Clémence T 4e C

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Les principaux personnages du livre sont Paulou et Jean Peyre. Je préfère Jean Peyre car on parle plus de lui dans le livre. Il se préoccupe de son avenir parmi les sourds. Exemple:      « L’État encourage les oralistes  qui s'acharnent à éliminer la langue des signes, unique  moyen de communiquer avec les sourds et de s'instruire. » J'aurais continué à enseigner la langue des signes, si j’avais été à sa place. L'élément le plus important dans ce livre c'est que Jean est sourd et Paulou lui est entendant. Si je devais effacer un personnage de ce livre, je ferais disparaître Paulou .L’auteure a ajouté des personnages secondaires pour mettre plus de suspense dans ce livre. Il y a du suspense dans ce livre car on se pose des questions pour le futur des sourds.

Je pense que l'auteure a écrit ce livre car elle devait connaitre des sourds. Si je la rencontrais, j’aimerais lui demander pourquoi elle a écrit ce livre.

 

Antoine, 4C, octobre 2013

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                                                                                samedi 6 février 2016 à Boquého                                                 

 Léa  LM

Collège St Nicolas

22800 Quintin                                                                                                        

Mme Teisson, écrivain   

Rue du Sud de la France          

Chère auteure de « écoute mon cœur »,

J'ai beaucoup aimé lire votre livre. Il est à la fois émouvant, instructif et  amusant. Le livre est composé de deux histoires sur la vie des sourds. Moi, j'ai préféré l'histoire de Paulou, un vieil homme qui a vendu sa maison à une famille de sourds. Cette histoire raconte une amitié qui se forme entre deux personnes qui entendent et plusieurs personnes sourdes. Il y a beaucoup d'humour dans ce récit mais il y a aussi des passages de suspens et d'aventure. Le personnage principal de ce récit Paulou, raconte  l'histoire, ce qui assez amusant car il est âgé de soixante-seize ans. J'aimerais savoir ce que Maurice, son ami, est devenu car à la fin de l'histoire il était malade.

La deuxième histoire parle de Jean Peyre , un jeune sourd dans une famille d'entendants. Il écrit des lettres à sa sœur pour lui  raconter sa vie car il a été placé dans un institut spécialisé pour les sourds. Il y fait toutes ses études et devient instituteur à dix-huit ans. Dans ses lettres la langue est assez soutenue. Jean rencontre Fanette, une jeune sourde, institutrice elle aussi, et tombe amoureux. Mais des personnes s'acharnent  à éliminer la langue des signes, les oralismes. Jean et Fanette sont alors renvoyés de l'institut, et Fanette placée dans un refuge de jeunes sourdes muettes où  elle restera sûrement jusqu'à la fin de sa vie. Le personnage principal persévère beaucoup pour arriver à ses fins, je trouve que c'est un très bon exemple à suivre. J’ai aimé cette histoire, mais je trouve qu'elle s'arrête un peu trop brutalement. J'aurais aimé une suite, savoir si Fanette est sortie de ce refuge, si la sœur de Jean est guérie...

Ce roman m'a beaucoup appris sur la vie des sourds. Ils sont très maltraités à cause de leur handicap.

Je vous remercie donc pour cette lecture et vous assure de mes meilleurs sentiments.

Léa LM

 

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