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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 13:20

six_comp_chateau_maudit_prem.jpgTitre : Les six compagnons et le château maudit

Auteur: Paul Jacques Bonzon

Collection: bibliothèque verte

Date: juin 2007

Genre: roman d’aventure

Éditeur: Hachette livre

Thème principal : Tidou et ses amis n’aiment pas les questions sans réponses.

Résumé : Tidou  et ses amis voulaient retourner voir Mady. Elle habitait près d’un lac. La chaine de Gnafron, un ami de Tidou, cassa au bout d’un jour et demi de vélo. Ils s’arrêtèrent donc devant un château pour essayer de la réparer. Soudain un homme surgit et dit à la bande de partir. Le mécanicien du château leur dit :

« Je vais vous réparer votre chaîne de vélo. »

Gnafron monta alors sur un porte bagage d’un de ses amis. Quelques minutes plus tard ils arrivèrent  à Meillerie. Quand ils aperçurent Mady,  ils la rejoignirent.  Après avoir discuté longuement, ils se dirigèrent vers un hangar en tôle. Il n’était pas fameux, mais pourtant c’est dans ce lieu  que la bande des « Gros cailloux » allait passer ses vacances. Ils rentrèrent dans le hangar et passèrent à table. Après un très bon repas, les amis allèrent se promener pour visiter les alentours. À côté de leur hangar, il y avait un lac splendide. La nuit tomba et toute la bande dut aller se coucher. Personne n’arrivait à s’endormir. Alors, Tidou décida d’aller faire un tour avec la bande d’amis sur le lac. Ils montèrent dans la barque qu’un homme leur avait prêtée. C’est à ce moment là que tout commença. Kafi le chien de Tidou était sur la barque lui aussi. Au bout de dix-minutes Kafi se mit à aboyer en direction d’une bouée. Les amis décidèrent d’aller voir ce qui se passait. Tidou était à  l’avant de la barque avec la lampe torche. Soudain il cria :

« Un homme à la mer ! »

C’était Totor, leur ami, qui avait réparé le vélo de Gnafron. Ils le remontèrent et la bande lui demanda ce qui s’était passé. Totor avait sentit un choc dans le dos et il était tombé du yacht le « Bella vista ».  Il fallait éclaircir ce mystère et la bande ne croyait pas du tout à un accident. Le lendemain matin la bande des « Gros Cailloux » se mit à résoudre l’enquête.

La question était : qui en voulait à Totor ? Et pourquoi ? 

À vous de lire le livre qui répondra à ses deux questions.

 

Passage remarquable : "Un homme !... nous venons de le dépasser.  Vite Tidou rame en arrière ! »

C’était un homme, en effet. Il était accroché à un de ces flotteurs métalliques en forme de double cône, qui servent de repère aux pêcheurs pour leurs filets.

J’ai choisi ce passage car c’est à ce moment-là que la bande des « Gros Cailloux »  retrouve Totor.

Jugement critique et personnel : J’ai apprécié le suspens qu’il y a dans ce livre. L’auteur fait bien ressentir les sentiments des personnages du roman. J’aurais souhaité plus de dialogue entre les personnages du livre.  

Mathis, 4A, avril 2013

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 19:45

Indications bibliographiques

Roald Dahl

James et la grosse pêchejames.jpg

Folio junior

Genre : roman fantastique et drôle

Thèmes principaux : Aventure, fantastique

Résumé James mène une existence malheureuse, en effet ses deux tantes le tourmentent sans cesse. Pour l’aider un vieil homme lui confie un sac rempli  de petites boules vertes, mais James les fait tomber au pied du pêcher. C’est alors qu’une pêche géante apparaît, celle-ci pourra-t-elle bouleverser la vie malheureuse de James ? …

Choix d’un passage : « Mais tandis que dehors la foire battait son plein, le pauvre James était enfermé à clef dans sa chambre et ce n’est que par les barreaux de sa fenêtre qu’il pouvait voir la foule qui se pressait dans le jardin […] Oh ! S’il vous plaît ! avait supplié le pauvre James. Ça fait des années et des années que je n’ai pas vu d’autres enfants. »

Ce passage montre le cruauté des tantes et la tristesse de James.

Mon jugement

Ce livre est bien car il est facile à lire et drôle

Thomas, 4A, avril 2013

Récit adapté au cinéma en 1996 : James et la Pêche géante (James and the Giant Peach) de Henry Selick

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 13:43

Titre : Le manteau d’images.

Auteur : Guth Jolyle manteau d'images

Illustrateur : Guth Joly

Genre : Récit de voyage

Thème principal : Une petite fille raconte son voyage en Russie, plus précisément en Sibérie, avec son grand-père pour découvrir le passé de son arrière-arrière-grand-mère.

Résumé : Olga s’ennuie. Mais son grand-père va l’emmener en Russie, son humeur va être mélangée entre l’excitation et l’angoisse. L’excitation de découvrir un nouveau pays, mais l’angoisse de partir loin de ses parents. Elle part pour découvrir le passé de son arrière-arrière-grand-mère qui se nomme Olga Nikolaïovna. C’est en Sibérie près d’ Alexandrovsk sur l'île de Sakhaline qu’elle va se lier d’amitié avec Igor, une personne qui n’est pas aimée. Celui-ci va finir par accepter Olga. Elle va également avoir Zary-voï , un loup et Chkandyba, un phoque comme ami. Ils vont découvrir plusieurs choses sur le passé de cette femme, Olga, mais en plusieurs étapes qui ne leur seront pas de toute facilité.

Passage : page 108.

« Olga part demain. Son cafard est plus épais que le brouillard. Elle caresse Chkandyba et lui souhaite bonne chance. Igor la chahute, la bouscule tendrement :

- Allons, pas de larmes. Tu vas revenir bientôt avec tes parents. Je vais arrêter de vivre comme un ermite et je vais repeindre ma maison pour vous recevoir. Comme ça, vous pourrez y habiter. Mais il faut que je t’avoue quelque chose d’étrange. C’est Zary-voï qui t’a repérée. Le soir de ton arrivée sur l’île, il a filé vers cher Anatole et s’est planté là sans que je puisse le déraciner. Tu étais dans le jardin et il te fixait d’une façon si bizarre. Je n’ai aucune explication.

Olga serre longtemps Zary-voï contre elle, plonge ses yeux humides dans les prunelles fantastiques comme pour y surprendre une réponse.

- Spassiba,chuchote-t-elle.

Elle a rajouté quelques photos dans le manteau d’images dont celle de son ami le loup, bien sûr, et celle aussi du phoque, d’Igor, de Natalia, Natacha, Anatole, Ludmilla. La vie continue. »

Jugement : J’ai adoré ce livre, il était intéressant. J’avais toujours l’envie de lire la suite. Je le conseillerais à toutes personnes. C’est un livre passionnant, il n’est pas ennuyant.

 Donna, 5C, avril 2013

Sur le site de Guth Joly, quelques documents qui lui ont inspiré ce roman, à voir là : http://minisites-charte.fr/sites/guth-joly/ma-cagette-a-livres/article/le-manteau-d-images

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 14:26

Indications bibliographiques

Auteur : Jules Vernesdeux-ans-de-vacances-jules-verne-9782218751226.gif

Titre : Deux ans de vacances 

Edition : Hatier

Genre : roman d’aventure

Thèmes principaux : Action, survie, voyage

Résumé : Quinze garçons d’âges différents,  mais issus du  même pensionnat, le pensionnat Chairman, se retrouvent échoués avec l’épave du Sloughi,  sur une île déserte  du pacifique. Des tensions apparaissent dans ce groupe et des bandits arrivent sur cette île, pour un certain trésor…

Choix d’un passage : « À l’arrière du Sloughi, trois jeunes garçons, âgés l’un de quatorze ans, les deux autres de treize, plus un mousse d’une douzaine d’années, de race nègre, étaient postés à la roue du gouvernail . »

Ce passage montre six des quinze enfants d’âges différents qui s’entraident les uns, les autres. Il n’y a donc pas d’adultes dans ce bateau !

Mon jugement

Ce livre est bien car il nous apprend énormément de choses sur la géographie, la nature …

Thomas M, avril 2013

sous ce lien : le livre en pdf gratuit

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 21:19

-indications bibliographiques

Charles DICKENS

 Le drôle de Noël de Scrooge (adaptation du conte Le Chant de Noël)dickens.jpg

Livre de poche jeunesse

genre : conte merveilleux et drôle

thème principal : le merveilleux et la fête de Noël

Résumé :

Le soir de noël, un homme, vieux, égoïste et solitaire choisit de passer cette belle soirée seul. Mais des esprits l’entrainent dans son passé puis dans son futur. Ils vont lui montrer ce qui l’attend s’il continue à ignorer le bonheur et s’il continue à penser à son ami décédé. Changera t-il…

choix d’un passage :

« Et comment ne pas l’être, repartit l’oncle, lorsqu’on vit dans un monde de fous tel que celui-ci ? Un joyeux Noël ! Au diable vos joyeux Noël ! Qu’est-ce que Noël, si ce n’est une époque pour payer l’échéance de vos billets, souvent sans avoir d’argent. »

Il nous montre le mauvais caractère de Scrooge

Mon jugement : Ce livre est bien il est drôle et surprenant, il nous montre l’importance de Noël.

Thomas, 4A, avril 2013

 

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 19:28
Tahar Ben Jelloun
L’école perdue
Folio junior
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genre : récit poétique  à but argumentatif
 
 
sujet : Un maitre essaie d’instruire des enfants et de les faire aller à l’école malgré de nombreuses embuches.
 
l'histoire : Tahar habite dans un village qui ne porte pas de nom. On l’appelle « le village », mais lui l’appelle « le néant ». Il part faire des  études dans la grand ville et a comme projet de  devenir instituteur et pour financer sa formation, il transporte des gens en taxi. Il est hébergé par son oncle qui, lui, est taxidermiste de profession.
Au bout de ses années d’études, il remercie son oncle pour l’avoir hébergé  et se met en route pour son village natal où li a pour ambition d’ouvrir une école.
Les élèves étaient déjà peu nombreux à venir apprendre à lire et à écrire. Mais au fil des jours, le nombre d’élèves absents augmentait et le maître se retrouva seul. Il partit à la recherche des enfants et croisa le fils d’un berger qui gardait ses moutons. Celui-ci indiqua au maître d’école une petite bâtisse où il avait vu des enfants s'engouffrer. Il s’y rendit et découvrit avec stupeur en entrant des enfants assis sur des chaises qui cousaient des chaussures et des ballons et il vit aussi un chef blanc près d’un bureau, il hurlait sur les enfants qui bavardaient, faisaient mal leur travail…En échange le chef blanc leur donnait de l’argent.
Tahar décide d’aller le voir et lui parler de l’article 4 de la déclaration universelle des droits de l’homme. Mais celui-ci le menace d’un gourdin, Tahar a dû s’en aller, les élèves avaient honte. Le jour où il a décidé de partir, les élèves l’ont retenu en disant qu’ils ne voulaient pas qu’il s’en aille.
C'est ainsi, conclut Tahar, que j’ai pu monter mon école : les élèves avaient quitté la bâtisse car le maître blanc était trop sévère et car ils auraient un meilleur travail s’ils allaient à l’école.
 
 
Passage choisi, page 53 :« En Amérique, il utilise des machines, ici, c’est  la main qui coud. C’est du solide. A présent dégage. Je vais porter plainte, je vous rappelle l’article 4 des droits de l’homme »

 Le livre montre que l’éducation est cruciale pour le monde futur et que l’argent ne fait pas le bonheur
Ce livre nous rappelle que nous sommes tous égaux et que si nous avons la volonté de réussir nous réussirons .Ce livre m’a beaucoup  apporté du début à la fin, je vous le conseille, il est très bien .
Documents complémentaires :
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Romain L, 5B, janvier 2012
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Auteur :

Tahar Ben Jelloun

Titre du livre : L'école perdue

Genre : Récit poétique à but argumentatif

Collection : Gallimard Jeunesse

Résumé :

   C'est une histoire qui est arrivée dans un pays d'Afrique de l'Ouest, dans un tout petit village, Ce village n'avait pas de nom, on l'appelle « le village ». Un garçon nommé Tahar, qui habitait dans ce village l’appelait « Le néant », à cause du vide, du vent qui tourne en rond et de la poussière qu'il dégage. Ce garçon devenu grand voulut aider ce village qui était le sien, il alla en ville pour  faire ses études. Il fut hébergé par son oncle, qui était taxidermiste de métier. Tahar pour financer ses études,  conduisait des gens en taxi, pour gagner un peu d'argent . Au bout de ses plusieurs années d'études, il devint instituteur. C'était son objectif pour enseigner dans son village, qui n'avait pas d'école. Il remercia son oncle et repartit en direction de son village natal. Une fois revenu en son village, il ouvrit une classe, les enfants étaient heureux, il n'y avait pas beaucoup d'élèves mais la joie était là.

   Jour après jour, le nombre d'élèves diminuait. Au début ce n'était pas vraiment inquiétant mais après si. Au bout d'un mois il ne restait plus que la moitié des élèves, et après il se retrouva seul. Tahar décida d'aller à la recherche de ces enfants qui disparaissaient au fil des jours. Il rencontra sur son chemin le fils d'un berger, qui surveillait les moutons, il lui demanda si il avait vu des enfants, le jeune garçon lui indiqua une bâtisse blanche. Il lui dit qu'il avait vu des enfants y rentrer régulièrement qu'ils travaillaient tous là-bas. L'instituteur décida d'y aller faire un tour, il y vit tous ses élèves travailler, il vit aussi un chef blanc qui le menaça directement dès que l'instituteur lui fit rappeler l'article 4 des droits de l'homme. Ces enfants travaillaient là et étaient payés, ils en avaient honte. Tahar était vraiment choqué parce qu'il venait de voir. Il voulut partit du village, mais ce jour là, les enfants ne voulaient pas qu'il parte. Alors il décida de rester, les enfants retournèrent à l'école car le chef blanc était beaucoup trop sévère et ils comprirent que la bâtisse blanche leur faisait gagner de l'argent mais que grâce aux études, ils pourraient avoir un meilleur métier plus tard. Alors tous révèrent à l'école du village.

Passage choisi page 53 :

 

« La tête baissée, les enfants travaillaient en silence et vite. Les objets confectionnés étaient testés par un chef blanc, puis mis dans des boîtes en carton . Je me suis approché. Il s’est étonné puis m’a demandé :

      -Je suppose que tu es l’instituteur ?

      -Oui.

      -Tes élèves préfèrent mon atelier à ton école. Au moins, ici, ils gagnent de l’argent.

    -Mais ce sont des mineurs, vous n’avez pas le droit de les faire travailler.

    -Je ne les oblige pas. D’ailleurs toute ta classe est là. En Amérique, ils utilisent des machines. Ici, c’est la main qui coud. C’est du solide. A présent, dégage.

    -Je vais porter plainte. Je vous rappelle l’article 4 de la Déclaration universelle des droits de l’homme : « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes les formes. » Vous m’entendez : »Sous toutes les formes. ». Le travail des enfants, c’est de l’esclavage. Il est puni par la loi. »

 

On voit que les enfants ont choisi à la fin l’éducation. Ils se sont rendu compte que l’éducation était leur futur, qu’ils pourraient par la suite trouver un meilleur métier, que celui qu’ils pratiquaient pour gagner de l’argent. Il n’y a pas que l’argent qui compte. Ce livre m’a beaucoup appris sur divers choses, je vous le conseille fortement.

Louise, 5C, avril 2013 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 22:04

Auteur : Chantal Laborde
Illustrateurs: Stan et vince

Collection : Castor poche

Ce que j'ai aimé : Il y a une histoire d'amour , il y a des bonds dans le passé pour essayer de changer le présent, c'est une histoire fantastique, il y a beaucoup de suspense jusqu'à la fin du tour.

Ce que je n'ai pas aimé : Il y a des manques d'informations sur deux des personnages qui me semblent importants dans le livre : les deux inventeurs de la machine à remonter le temps.


Passage : cha
pitre 13
page 100-1
01


Ce que j'ai aimé dans ce passage c'est que je peux m'identifier à ce garçon qui réussit à sauver de la mort son amie.
Gwendal, 5B, février 2009
ligne separateur

Indications bibliographiques :

Auteure : Chantal Laborde

Titre : 24 heures pour tout changer 24-heures-pour-tout-changer.1.jpg

Collection : Castor poche

Genre : aventure

Thème principal : Aventure et surnaturel

Résumé : Benjamin est le premier de la classe, mais il en a assez de ne réussir qu’en cours, lui préférerait attirer l’attention de sa camarade Chloé, c’est sans compter sur son ennemi Fred. Ses vieilles amies vont l’aider grâce à une drôle de machine. Benjamin n’aura que 24 heures pour tout changer…

Choix d’un  passage :

« Comme s’il était devenu l’un des leurs, et non plus le petit génie, premier de la classe, trop jeune et complètement décalé, celui qui n’avait jamais pu s’intégrer. Bien sûr, il n’était pas remonté assez loin dans le temps pour effacer sa bagarre avec le grand Fred […] Il s’arracha à la contemplation de Chloé »

Mon jugement :

Ce livre est super car il est motivant et donne l’envie de connaître la suite.

Thomas, 4A, avril 2013

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 16:58
Zhora-L-Insoumise.gif
Zohra l'insoumise
AUTEUR : Michel Leydier  
EDITEUR : Père Castor Flammarion
COLLECTION : Castor poche
C'est une fille, Zohra, elle vit au Maroc, elle a eu quatorze ans il y a deux mois. Elle doit fêter son anniversaire mais ses parents sont bien trop pauvres pour faire un anniversaire. Elle a un grand frère, Nourredine, mais lui, c'est un vrai pacha : quand on lui dit de faire quelque chose, il demande toujours à Zohra si elle peut le faire. Ils ont aussi d'autres frères et soeurs : Nadia, Azzedine, Abdelatif, Latifa. Ils appellent leur mère mama Fatima.
Un jour, Zohra apprend qu'elle a une tante en Europe, elle ne le savait pas du tout et pourtant cette tante veut que Zohra rejoigne sa famille en Europe. Zohra a  rencontré l'instituteur, il s'appelle Sidi Omar Tamzaouine. Il enseigne l'arabe, le berbère et aussi le français. Mais Papa Driss, le père de Zohra, ne veut pas que sa fille aille à l'école, il voudrait que Zohra reste aux côtés de sa mère. C'est que dans la famille, on prend un peu Zohra comme une femme de ménage. Or Zohra en a un peu marre d'être la boniche de la famille. La mère de Zohra, elle aussi, voulait que Zohra reste avec elle car Mama Fatima était enceinte mais Zohra ne  veut pas rester, elle veut apprendre toutes les langues.
..


J'ai bien aimé ce livre, c'est le contraire de nous : on voit que les pnts de Zohra ne veulent pas qu'elle apprenne des choses à l'école alors que Zohra, elle, ne rêve que de ça, elle aime bien l'école. Pour nous, à l'inverse, nos parents veulent justement qu'on aille à l'école, qu'on apprenne et nous, non. Surtout moi, je ne veux pas aller à l'école !

Margaux, 5e B LE 20/10/08

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Artisan : c'est le métier de papa Driss

Bourzate : lieu où le papa de Zhora vend des choses.

Curieuse : Zhora se comporte de cette façon.

Domestique : elle se fait traiter comme une domestique.

Eduquer : c'était le projet pour Zhora avant l'arrivée de Richarda.

France : pays où habite Richarda.

Gens : Zhora a été l'esclave de ces gens.

Honte : elle ronge Zhora.

Ignorait : Zhora ignorait si ses larmes étaient de joie ou d'amertume.

Joie : comme les larmes de joie.

Larmes : Zhora en a versé pendant des semaines.

Ménage : c'est ce que fait Zhora de ses journées.

Nourredine : frère aîné de Zhora

Olive : c'est ce que les parents de Zhora mangent en apéritif.

Parole : elle est blessante, sortant de la bouche de papa Driss.

Quitter : Zhora a dû quitter sa famille et son pays.

Richarda : la tante de Zhora.

Séparation : lorsque Zhora part en France avec Richarda.

Thé : la boisson que papa Driss boit avec ses amis.

Voler : papa Driss s'est fait voler par un marchand.

Yeux : noirs et immenses, ils font peur.

Zohra : héroïne de ce livre, elle a 14 ans, elle est marocaine.

 

Mon avis : c'est une histoire triste mais elle se finit bien.

Guillaume R, 4A,  26/11/10

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Titre : Zohra L’insoumise

Auteur : Michel Leydier

Edition : Castor Poche

Collection : La vie en vrai

Résumé  : C’est une fille qui s’appelle Zohra. Elle habite au Maroc et elle a 14 ans. Elle est l’aînée de sa famille donc la bonne à tout faire vu que sa mère (Mama Fatima) est enceinte. Mais un jour une tante mystérieuse fait son entrée dans sa vie et lui demande d’être sa bonne à tout faire en France. Zohra ne le veux pas mais ses parents l’obligent à y aller car ils sont pauvres et n’ont pas beaucoup d’argent. En effet, en échange de la venue de Zohra en France sa tante versera de l’argent pour sa famille, pour la nourrir.

A son arrivée, alors que la tante lui avait promis qu’elle aurait une chambre pour elle toute seule et également qu’elle irait à l’école, elle dut dormir tous les soirs dans le canapé, et elle n’avait le droit de parler à personne ! Sa tante la traitait très mal, elle l’insultait de plus en plus. La petite Zorha confiait tout à Karima, la meilleure amie de sa tante Rachida, mais Karima rapportait tout à Rachida. Zorha en avait marre d’être insultée et maltraitée. Un jour elle fit une fugue et partit loin de la maison, mais le chien de la famille et le mari de Rachida, Christian, la retrouvèrent. Depuis cette fugue elle dormit dans le garage et pendant une journée elle n’avait pas le droit de sortir. Un soir quand Christian arrivait avec sa voiture, après avoir bu, alors que Rachida, sa femme était partie au Maroc sans prévenir, Christian harcela et essaya d’embrasser Zorha, et elle criait de toutes ses forces et Karima arriva mais elle fut très méchante et  prit par la main Christian comme si Karima et Christian avaient eu une relation. Après cela Zohra ne faisait que des bêtises alors Rachida la ramena au Maroc mais la remplaça par Amina une marocaine très sage comme Zorha, à son arrivée. Avant de prendre l’avion Zorha pensa à Amina et voulut  tout dévoiler aux gendarmes mais n’en eut pas le courage. Quand elle arriva chez elle tout le monde lui disait qu’elle aurait dû rester en France, car Rachida avait inventé que Zorha faisait des bêtises, que tout le monde prenait soin d’elle mais qu’elle prenait les autres pour des bonnes et que c’était Zorha qui voulait partir. C’était le cas mais elle était insoumise à Rachida, alors personne ne l’écouta. Après une semaine le maître de Zorha qui l’avait enseigner à écrire et à lire mourut, elle était très triste mais son fils qui avait une femme deux enfants voulait l’accueillir chez lui pour être la bonne mais aussi pour aller à l’école.  La famille habitait à Casablanca, la famille était très riche, alors les parents de Zohra acceptèrent le marché et Zohra eut cette fois une chambre pour elle toute seule.

Trois ans plus tard Zorha avait une chambre pour elle toute seule, allait à l’école et elle avait raconté à Mounir, le père de la famille mais aussi le fils de son maître, tout ce qu’elle avait vécu en France. Mounir porta plainte. Trois jours plus tard, Mounir  devait aller en France, et le couple fut arrêté. Quant à Amina elle fut libérée,  elle créa une association contre l’esclavage, et  réussit son Baccalauréat. Puis elle s’est inscrite en faculté de droit.

Mon avis : J’ai bien aimé ce livre car l’histoire était intéressante mais assez tragique. Cependant elle se finit bien.

Oriane, 5C, avril 2013

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 21:27

Auteur : Mitali PERKINS

Titre : De père en fille pere-fille-mitali-perkins-L-1--1-.jpeg

Edition Flammarion 2008

Collection Castor poche

Genre : Histoire d'ailleurs

Thème principal :C'est une jeune fille du Bangladesh

Résumé :

C'est l'histoire d'une jeune fille du Bangladesh s’appelant Naïma qui voudrait aider son père conducteur de rickshaw (cyclo-pousse) mais elle ne peut pas étant donné que c'est une fille (au Bangladesh les filles n'ont pas le droit de travailler pour gagner de l'argent, ou en tout cas, très peu de filles). Un jour elle se dépêcha  d'effectuer toutes ses corvées pour pouvoir attendre son père et en l'attendant elle dessinait des Alpanas (taxis à bicyclettes)  sur le seuil de la porte. Un jour tellement décidée à aider son père elle prit son rickshaw pour essayer de le conduire mais elle ne savait pas le conduire et elle alla dans une descente et fonça droit sur un tas de ronces et de branches. Naïma eut le temps de sauter du  rickshaw, mais celui-ci fonça droit dans l’amas de ronces et de branches. Peu de temps après toute sa famille arriva et demanda à Naïma si elle allait bien alors que son père était déjà en train de dégager le rickshaw tout rayé et tout bosselé de partout. Le soir même la mère de Naïma, très en colère, alla jusqu'à dire qu’un garçon est beaucoup plus précieux qu'une fille. Un jour Naïma eu l'idée d'aller chez le réparateur de rickshaw pour proposer ses services en tant que décoratrice de rickshaw en échange de la réparation gratuite du rickshaw de son père.

Cette proposition au propriétaire fut acceptée et Naïma resta embauchée dans l'atelier de réparation.

Passage remarquable :

                     Excusez-moi, je cherche l'atelier de réparation d'Hassan. C'est bien ici ? S'enquit-elle du ton de voix le plus grave possible.

                    Que veux-tu ? Tu ne vois donc pas que je suis occupée? [...]

                    Le rickshaw de mon père a besoin  de réparations, répondit-elle. Je suis venue voir si je pouvais offrir mon travail en paiement.

    

Jugement critique personnel :

C'est un livre qui nous apprend comment les gens vivent au Bangladesh. La condition de vie des femmes dépend de celle des hommes ; ils ont plus de droits. Ce livre indique aussi que quand une personne est motivée, elle arrive à son but quels que soient les obstacles.

 Fabien, 5C, avril 2013

 

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 17:58

Titre : Un été en Sicile

Auteur : Rose Tremain

Illustrations : Agnès AudrasUn-ete-en-Sicile.jpg

Collection : Gallimard Jeunesse

Genre : roman

 C’est l’histoire d’une famille anglaise, Anna la mère, Robert le père et George leur fils.Anna est originaire de Sicile, un jour elle abandonne George et Robert pour aller en Sicile, quelques jours plus tard elle  revient en Angleterre, pour prendre George et l’emmener en Sicile à Aquilone, pour qu’il rencontre sa grand-mère Violetta avant qu’elle ne meure. Lorsque Robert remarque que George ne rentre pas, il prend peur et appellle chez Gishy. Gishy lui ment et lorsque le père Gishy entre dans la cave, caché sous les journaux, il voit le vélo de George. Gishy lui raconte toute la vérité. Le père de Gishy raconte tout à Robert. Serafima Smith l’amie d’Anna essaye de résonner Robert, mais n’y arrive pas. Lorsque Robert comprend que sa famille d’Aquilone est importante pour Anna et il va voir son père qui vit seul depuis trop longtemps. À  Aquilone,  le volcan entre en éruption ce qui provoque beaucoup de morts dont celle de Violetta. À la fin de l’été, Robert va chercher Anna et George pour rentrer à Londres.   

 

Alexis 5C, avril 2013

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