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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 18:04

uneprincesse04paillette.jpgAuteur : Meg Cabot

Titre : Journal d’une Princesse, Paillettes et courbettes.

Edition : Hachette jeunesse

Collection : Livre de poche jeunesse

Date :  2008

GENRE : Récit d’initiation.

THEME PRINCIPAL : Le journal d’une jeune fille qui devient une princesse.

 

 LE SUJET : Mia Thermopolis, princesse héritière du trône de Genovia, petite principauté qui se trouve entre la France et l’Italie, y passe les vacances de Noël. Juste avant de s’envoler, Michael, le grand amour de sa vie, l’a embrassée ! Elle se demande alors comment elle va faire pour pouvoir passer toutes les vacances de Noël sans lui, surtout qu’il y a un gros décalage horaire entre New-York et Genovia ! Entre les cours de princesse avec sa grand-mère et la préparation de son discours pour le prince William, elle n’a presque pas de temps pour elle !

Mais heureusement, Michael ne l’a pas oubliée quand elle revient aux USA. Son nouveau problème est de trouver son talent secret ; autour de la table, les autres ont tous un talent secret, sauf elle. Elle apprend également qu’on a tourné un film sur elle, Michael l’a invitée au Screening Room vendredi soir, mais sa grand-mère l’oblige à aller à un bal pour la comtesse  de Trevanni.

 

PASSAGE REMARQUABLE : Page 250-251.

« Qu’est-ce qui s’est passé ? m’a-t-il demandé.

Oh, ta sœur est en colère car je n’ai toujours pas découvert quel était mon talent secret, ai-je répondu en rangeant mon journal.

Ton quoi ? a fait Michael.

Mon talent secret. »

Et alors, parce qu’il avait été si honnête avec moi en me disant qu’il m’aimait, j’ai décidé d’être honnête avec lui.

« C’est juste que Lilly et toi, vous avez tellement de talents, ai-je expliqué. Vous êtes bons dans pleins de domaines tandis que moi, je suis nulle partout. Parfois j’ai l’impression de… de ne pas être à ma place. Du moins en étude dirigée.

Mais voyons, Mia, tu es super douée ! s’est exclamé Michael.

Ah oui ? ai-je répondu en montrant ma robe. Douée pour ressembler à un perce-neige ?

Non, a répondu Michael.Quoique, maintenant que tu le dis, tu es assez bonne à ça aussi. Non, je voulais dire douée en écriture. »

Je l’ai regardé fixement et j’ai fait « Hein ? », ce qui n’avait rien des manières d’une princesse, je vous l’accorde.

« Eh bien, ça me paraît évident que tu aimes écrire, a continué Michael. Tu es toujours le nez dans ton journal. Et tu as toujours des supernotes en dissertation. Oui, c’est évident pour moi que tu es un écrivain. »

J’aime beaucoup ce passage car on apprend quel est le talent secret de Mia, et c’est ça qu’elle cherche pendant tout le livre.

 

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J’ai adoré ce livre, l’histoire est très entraînante et c’est le genre de livre que j’aime lire, je n’irais pas jusqu'à dire que c’est mon livre préféré mais j’aime beaucoup ce livre, je me suis rendu compte que je l’avais déjà lu mais c’était bien de le relire !

Maëlle B, 5C, Mars 2013 

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 20:09

Auteur : Marguerite Yourcenar 
titre  : Comment  Wang-Fô fut sauvé ( issu du livre Nouvelles orientales )
Edition  : l'imaginaire Gallimard Comment-Wang-fo-fut-sauve.gif

GENRE :nouvelle

THÈME PRINCIPAL Un peintre et son apprenti partent pour explorer et peindre de nouveaux paysages, cela ce passe dans la Chine antique .

LE SUJET C'est l'histoire d'un peintre nommé Wang-Fô et de son apprenti nommé Ling qui furent faits prisonniers par
un empereur. Celui-ci avait de nombreuses oeuvres de l'artiste mais l'une d'elle n'était pas terminée. Il demanda donc que dans les derniers instants de sa vie le peintre finisse ce tableau inachevé.

UN PASSAGE REMARQUABLE

" Wang-Fô, je veux que tu consacres les heures de lumière qui te restent à finir cette peinture, qui contiendra
ainsi les derniers secrets accumulés au cours de ta longue vie."

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

J'ai bien aimé la façon dont l'auteur a écrit cette histoire et la façon dont elle est mise en scène. 

Marie-Reine, 4C, février 2013

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 20:25

Ce livre raconte l'histoire de deux enfants, Ludovic et Fatouma. Il sont tous les deux en classe de CM1.
 Au début, Ludovic ne faisait pas très attention à Fatouma. Mais un jour, ils se sont retrouvés en classe l'un à côté de l'autre, ils ont commencé à discuter et à mieux se connaître. Il s'entendaient très bien.
Quelques jours avant les vacances d'été, Ludovic trouva que Fatouma éta
it triste mais elle ne lui parla de rien. Les grandes vacances arrivées, Fatouma devait aller à Paris et Ludovic en Bretagne.

Quelques jours avant la rentrée, Ludovic s'inquiétait pour Fatouma car elle ne donnait pas de nouvelles. Pour connaître les raisons de l'absence de Fatouma, lisez ce livre !

 

ALEXANDRA 5A Novembre 2008

 

 

 

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Auteur : Guy Jimenes

Titre : Pense aux jours heureux

Édition: Oskar Jeunesse

Collection : Cadet roman.

 GENRE : Roman d’amour.

 THEME PRINCIPAL Histoire de deux enfants amoureux.

 LE  SUJET

Deux enfants de CM1 sont amoureux, la petite fille, Fatouma Diallo a la peau colorée, le petit Garçon s'appelle Ludovic. Ils se connaissent depuis le CE1, et s'entendent très bien. Un jour, Fatouma disparait sans prévenir Ludovic, il va la chercher partout, jusqu'à la rentrée des classes. Il la revoit le premier jour de CM2, mais il la trouve changée, plus aussi joyeuse qu'avant,  il décide donc de lui parler mais elle ne veut rien lui dire. Il découvre que sa famille est immigrée et que son père est malade, donc il ne peut plus travailler. Les Diallo ne peuvent plus payer leurs factures, et Mme Diallo n'est pas autorisée à travailler, ils doivent alors déménager. Les services sociaux mettent à leur disposition une chambre dans un vieil hôtel de la ville, en attendant la décision du préfet pour la suite. Ludovic suit Fatouma et découvre alors qu'elle vit maintenant dans cet hôtel.

 UN PASSAGE REMARQUABLE D'UNE DIZAINE DE LIGNES page 21.

C'est dommage d'employer un mot aussi banal que " porte-monnaie " à propos du cadeau de Fatouma. C’est un objet magnifique, un objet d'art, aussi beau qu'un bijou ! Il se compose de deux pièces de cuir à peu près carrées : un compartiment avec un rabat dans lequel on peut mettre ce qu'on veut : de l'argent, une photo, un porte-bonheur ou même une carte de crédit (j'en aurai une quand je serai plus grand).

La seconde pièce de cuir est attachée par une lanière à la première. Elle sert à la fermer et à la protéger, comme un étui. Un cordon permet de suspendre l'ensemble à son cou. Je n’avais jamais parlé avec Fatouma de son pays d'origine; Je n'y pensais même pas. Le Sénégal, je savais quand même où c'était. Monsieur Michel nous l'avait montré sur la carte du monde, puis en plus gros sur la carte de l'Afrique. Fatouma était née au Nord de ce pays et l'avait quitté toute petit, à l'âge de 3 ans. Elle n'y était jamais retournée.

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

 J'ai trouvé ce livre très intéressant sur tout ce qui touche les populations qui viennent d'ailleurs, ce qu'il peut se passer s’ils quittent leur pays illégalement etc....J'ai beaucoup aimé ce livre, également car il est très facile à lire et très court, pas du tout ennuyant donc je le conseille pour les personnes qui aiment peu lire.

 

Flore, 4A, janvier 2012 

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Titre : Pense aux jours heureux

Auteur : Guy Jimenes

Illustration : Karen Laborie

Le jour de la rentrée, Ludovic, le héros de l'histoire, remarqua une fille qu'il connaissait depuis le CE1 mais cette année, elle ne lui fit pas la même chose, elle l'attira plus. Ils devinrent meilleurs amis et le jour de son anniversaire, Ludovic invita Fatouma. Au moment d'ouvrir les cadeaux, il découvrit le cadeau de Fatouma : un porte-monnaie en cuir qui venait du pays d'origine de Fatouma, le Sénégal. Un jour Ludovic lança le porte-monnaie dans les arbres mais plus tard, il le ramassa.

Puis un jour, en arrivant à l'école, il ne la vit pas, elle arriva en retard et cela plusieurs jours à se suivre. Ludovic déécida de la suivre et s'aperçut qu'elle n'habitait plus au moment endroit : son père était tombé gravement malade alors pour payer les médicaments, la famille de Fatouma avait dû déménager dans un immeuble dégradé et donc moins cher. Un jour, Ludovic décida de dire à Fatouma ce qu'il ressentait et ils redevinrent amis alors qu'ils avaient cessé de l'être.

Léo P, avril 2013

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 19:45
Titre:L'assassin de papa
Edition:Syros jeunesse, collection souris noire
Genre:Roman policier
Le thème principal est un assassin qui tue des femmes.
Un petit garçon et son père vivent sur une péniche.Le père essaie de gagner de l'argent dans le metro, il s'installe et pose une boite devant lui qu'il appelle la boite à "valda".Un jour alors que le père se promène il entel-assasin-de-papa.jpgnd des cris. C'était ceux d'une femme. Il se déplaça de rue en rue guidé par le bruit mais il décida de rentrer à la péniche.Le lendemain il parut dans les journaux qu'une femme avait été tuée, alors le père su que la femme était en fait celle qu'il avait entendu crier la veille. Plus tard dans la soirée il réentendit des cris alors il se précipita dehors et il vit une femme courir et deux hommes qui la poursuivaient, alors il courut vers elle pour aller l'aider, il y avait l'assassin et un autre homme.Le petit garçon curieux alla voir ce qui se passait mais tout à coup il se fit bousculer par l'assassin qui fuyait et tomba dans la Seine, alors à l'aide de l'autre homme le père repécha son fils.La dame proposa de ramener le petit garçon chez elle histoire de prendre une douche bien chaude mais le père hésita puis il accepta de laisser son fils à la dame.Le petit garçon prit un bain tout était merveilleux chez cette dame tout sentait très bon, il n'y était pas habitué lui qui vivait dans une péniche et qui ne prenait que deux douches par mois.Ensuite la dame lui donna des habits elle disait qu'ils étaient vieux mais en réalité ils étaient neufs alors, une fois le petit garçon habillé, l'homme le ramena chez lui, le père n'était pas trop d'accord de le voir avec ces habits neufs alors il lui demanda d'aller les rapporter le lendemain et c'est ce qu'il fit.
Après qu'il eut rapporté les habits il alla se promener avec son père il s'arrétèrent devant le marchand de journaux et le père demanda à son fils de rester là et dit qu'il reviendrait le chercher. Le petit garçon attendit pendant des heures et des heures mais il ne voyait pas son père revenir puis le marchand de journaux ferma sa boutique alors le petit garçon retourna à la péniche mais son père n'y était pas alors il alla chez la dame qu'il avait vue la veille et il passa la nuit chez elle. Le lendemain soir il alla à la péniche et vit un homme qu'il ne reconnaissait pas, puis il s'approcha et il reconnut son père qui n'avait plus de cheveux et qui était deprimé mais le fils lui remonta le moral. Le lendemain l'assassin fut arrété. Le marchand de journaux proposa un travail au père et son fils put aller à l'école.
Passage remarquable d'une dizaine de lignes: "Sur la péniche j'ai d'abord cru qu'il n'y avait personne.Puis quelqu'un a toussé.Je me suis retourné.J'ai reconnu le vieux manteau avant de le reconnaitre,lui. C'était mon père. Il était ratatiné dans un coin sombre.Il n'avait plus de cheveux.
-PAPA ! criai-je.PAPA!"
J'ai choisi ce passage car c'est le moment où le fils retrouve son père.
J'ai bien aimé ce livre car il y a du suspense, qu'il n'est pas très long à lire et qu'il se lit vite.
Emma D, 4A, janvier 2013
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Indications bibliographiques

Auteur : Malika Ferdjoukh

Titre : L’assassin de papa

Edition : souris noire, mars 2010

Genre : Roman policier

 Thème principal :Valentin et son père vivent dans la misère à Paris et échappent à des tueurs.

Résumé du sujet : Valentin et son père habitent dans le 16e arrondissement de Paris. L’été ils vivent sous le pont de Grenelle dans une vieille  péniche  et l’hiver,  ils logent chez une amie Mona. Ils passent leur vie à faire les fins de marchés, sans jamais se séparer. Valentin ne va pas à l’école. Dans les quartiers,  il y a plusieurs crimes de femmes. Une nuit, ils sont témoins du vol du sac à main d’une jeune femme ; tous les deux défendent la victime et aperçoivent les voleurs. Cette jeune femme,  Laura pour les remercier, prête des vêtements à Valentin  qui était trempé car il était tombé dans l’eau. Plus tard, les voleurs, à nouveau attaquent le père de Valentin qui disparait plusieurs jours. Valentin le cherche  partout, se fait aussi poursuivre par ces voleurs. Valentin pour leur échapper, tombe  une fois encore dans l’eau  et va se réfugier chez Laura. Elle le réchauffe et lui donne à manger. Puis Valentin retourne dans la vieille péniche où il retrouve son père épuisé et traumatisé. Valentin annonce à son père qu’il veut aller à l’école.

Grâce aux témoignages du père et de Valentin, l’étrangleur fut arrêté. Le père travailla à la boutique des journaux du quartier. Valentin commença à fréquenter l’école.

Un passage remarquable d’une dizaine de lignes

« Papa…

-Quoi ?

-Papa… je crois… que ça me plairait d’aller à l’école…

Il m’a serré, a remis le duvet autour de moi, son bras autour du duvet.

-Qu’est-ce  que tu dis ?

J’ai jeté le duvet et je me suis levé.

-J’ai envie d’être comme les autres … d’aller à l’école…

À son tour, il s’est levé. nous sommes  allés sur le pont où le soleil de juillet grimpait dans le ciel.

-Tu sais ce que ça veut dire, hein, fiston…

-Oui

Et tu veux y aller quand même… pourquoi, fiston, pourquoi ? On n’est pas bien tous les deux ? sans comptes à ne rendre à personne ?

-Si… Mais j’ai envie d’aller à l’école …

-… D’apprendre à lire, vraiment lire… Apprendre l’anglais, faire des expériences de chimie… Ecrire…

Je l’ai regardé. Et je me suis mis à pleurer. » 

C’est un moment important car le père veut garder son fils auprès de lui. C’est tout ce qu’il a de plus précieux. Emmener son fils à l’école, représente beaucoup de choses; il faut de l’argent, travailler ; rentrer dans le monde du travail. Ils vont être séparés, mais son fils veut être comme les autres

Jugement critique personnel

J’ai apprécié ce livre car il y a du suspense jusqu’à la fin du livre  car on ne peut pas prévoir  la survie des  héros.  Le père et le fils sont liés d’une belle amitié car ils ne veulent pas se séparer. C’est aussi un livre  triste car ils vivent dans la misère  et cachent la pauvreté. Le papa produit beaucoup d’efforts pour que son fils soit heureux en faisant de la bonne cuisine Ils savent se débrouiller  Le livre se termine bien car l’étrangleur de femmes est arrêté. Le papa trouve un travail  et son fils va à l’école.

Gaëtan, 5C, mars 2013

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 19:36

Titre : Dans le grand bain

Auteur : Jean-Hugues Oppeldans-le-grand-bain-jean-hugues-oppel-9782841466467.gif 

Edition: Syros jeunesse

Genre : Roman d’aventure

Thème principal : La complicité entre l’homme et l’animal

Résumé : C’est l’histoire d’une jeune fille, Delphine et de ses parents, qui héritent d’un parc aquatique le Marineland Chambier, après le décès du grand-père. Le parc a été fermé pour cause de dégradation et tous les poissons ont été vendus sauf deux : une Orque surnommée Sagane et un  grand requin blanc. Lors des vacances Delphine se baignait dans le grand bassin avec son amie Sagane . Mais un jour  lors d’une baignade, elle aperçut une ombre profilée ; ses parents  étaient absents : ils négociaient  avec le maire. Elle nagea plus et là elle découvrit un grand requin blanc. Elle essaya de rejoindre le bord avec l’échelle en point de mire, mais un geste de plus et le requin risquait de remonter brutalement à la surface. Terrifiée elle resta au milieu du bassin.

De retour chez eux, la mère de Delphine décida d’aller bronzer sur la tourelle du parc où le soleil tapait fort. Quand sa mère longea devant le grand bassin elle aperçut une grande et une petite silhouette et soudainement, elle vit le grand requin blanc et Delphine faire surface en hurlant et  criant : « Maman au secours ».Alors sa mère lança un matelas pneumatique et fit un plongeon dans l’eau : Delphine et sa mère se trouvaient  maintenant prises au piège dans le grand bassin. Le requin blanc surgit, la gueule ouverte devant Delphine qui s’était éloignée de sa mère blessée. Le père de Delphine  (Jacques) arriva sur les lieux et lança une bouée de liège dans la gueule du requin blanc. Cela permit à la mère de Delphine de rejoindre péniblement le bord en laissant derrière elle, une  trainée de sang. La mère était saine et sauve. Delphine entendit des bruits au fond du bassin : c’était sa copine Sagane qui souhaitait défier le grand requin blanc mais une barrière grillagée les séparait. Jacques ouvrit la barrière par le sas de répartition ; et Sagane  fonça vers Delphine. Cette dernière monta sur le dos de l’Orque qui lui permit  de rejoindre l’échelle, et  d’être à son tour sauvée des dents du Requin blanc. Quant à Sagane , elle retourna défier le grand Requin Blanc … 

                                                                            

Passage remarquable : pages 50-51

-Mais que s’est- il passé, merde ?! répète sa mère avec  une grossièreté qui  ne lui est pas coutumière.                                                     

 -Je ne sais pas, je ne comprends pas …                                                                                                                                                                         -On comprendra plus tard ! D’abord, il faut sortir de l’eau… Ne  cherche pas  à me rejoindre, Delphine ! Si nous restons séparées, nous pouvons perturber le requin, le faire hésiter entre nous deux…

Charmante perspective. Delphine cesse de nager vers sa mère à contrecœur. Réuni, on fait front ; on a moins peur. Pour ce qui est de la tactique des cibles distinctes, elle doute : quand il a décidé d’attaquer, le grand blanc peut atteindre une vitesse de pointe de vingt-cinq kilomètres- heure. Pas de quoi faire la course avec une Ferrari mais bien assez pour frapper successivement deux proies distantes de quelques   mètres.

- Fallait pas plonger, maman, tu...

- Je sais, merci, mais c’est trop tard !

 En rage Agnès  Chambier, qu’un sentiment  de culpabilité tourmente plus que le sel  de l’eau de mer ne lui irrite les muqueuses.

Jugement critique personnel : Je n’ai  pas critique  sur ce livre. Il met en évidence la complicité, l’amitié entre Delphine et Sagane ; allant jusqu’au sauvetage de Delphine par son amie l’orque.

Maël, 4C, janvier 2013

 

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20 janvier 2013 7 20 /01 /janvier /2013 19:16

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUE

Auteur: Christian Grenier big-bug-christian-grenier-9782700229561.giftitre: Big Bug
Edition: Rageot
Collection: Heure noire 

GENRE Roman policier

THÈME PRINCIPAL Guy Gata un informaticien , à été assassiné dans son appartement , ce sont  Logicielle et Max deux policiers qui on été mis sur cette affaire.


En allant interroger les collègues de Gata,  Max et Logicielle se rendirent compte qu'il utilisait les ordinateurs de sa société pour faire de gros calculs,  mais à quoi cela pouvait-il lui servir ? En  fouillant dans sa vie, les deux policiers se rendirent compte que chez lui il n' y avait plus aucune affaire personnelle, plus aucun de ses disques  durs n'était à sa place, plus de photo de son passé, juste une photo de cette femme asiatique. Personne ne la connaissait, elle était comme un fantôme. 

Mais en fouillant, les enquêteurs trouvèrent d'où elle venait et pourquoi Gata la
protégeait. Une chose leur restait inconnue : maintenant que Gata est mort, où est-elle ?

CHOIX D'UN PASSAGE REMARQUABLE

"Dix minutes suffirent à Logicielle pour fouiller le contenu des mémoires. Leurs données concernaient exclusivement l'entreprise.
Quel genre de calcul Gata avait-il pu exiger de si gros ordinateurs dont son micro ne contenait aucune trace ?
-Les dernières modification on eu lieu se matin à 8 h 10, là encore l’assassin nous a doublés.
-Max ! ça y est j'ai découvert ce que je cherchais , l’assassin a oublié un détail , une clés USB."

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL

J'ai apprécié la mise en place de l'intrigue ainsi que le suspense. Ce qui m'a déplu, c'est que l'histoire est faite de répétitions et d'idées trop peu développées. 
Malgré tout c'est un livre agréable, assez facile à lire.

Marie-Reine, 4C, Janvier 2013

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 20:15

Indications bibliographiques

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Titre :  Avant qu’il soit trop tard

Auteur : Stéphane Daniel

Editeur : Rageot, 2005

Collection : Heure noire

 

Genre :  Ce livre est un roman biographique et policier

Thème principal : Le parcours difficile de Fabien, un garçon en classe de 5ème  racketté par trois autres élèves de son collège en classe de 4ème .

 

Résumé : Fabien Kemp est un garçon de 13 ans. En classe de 5ème, il est assez bon élève et vit paisiblement avec ses parents bien que leur profession respective les empêche de passer beaucoup de temps avec lui.  Or, Fabien est différent ces derniers temps : il est distant, ne parle plus, ne va plus à son club d’échecs ni au collège et ses notes chutent gravement. Car en effet, voilà plusieurs mois qu’il se fait racketter par des élèves en classe de 4ème. Ils lui volent de l’argent, des habits, des CDs et  vont même jusqu'à le frapper.

Il ne sait pas comment s’en sortir, il a très peur. Personne n’est au courant à part lui.

Lorsqu’un jour, son père, lui même ancien racketteur, aperçoit son fils en train de se faire agresser, par peur d’aller de nouveau en prison, il n’agit pas.

Malik, son meilleur ami le découvre également, mais lui décide d’envoyer une lettre anonyme au proviseur qui convoque immédiatement les délinquants, les menaçant avec l’aide d’un commissaire de police.

Pensant que la lettre est l’œuvre de Fabien, il est de nouveau roué de coups par les malfaiteurs mais beaucoup plus rudement cette fois ci.

Le pauvre garçon en a assez ! Il rentre chez lui, prend un couteau et se rend chez Johnson, le chef de la bande afin de régler ses comptes une bonne fois pour toutes.

Or, face à Johnson, lui aussi armé, Fabien n’a aucune chance. C’est alors que son père, qui l’avait suivi, arrive et pour défendre son fils, menace l’adolescent avec un bâton.

Mais au moment d’utiliser son arme, le policier chargé de surveiller les malfrats intervient, juste à temps pour empêcher le père de Fabien de faire une grave erreur qui l’aurait mené tout droit au pénitencier.

Prenant désormais l’affaire au sérieux, la police interdit la fréquentation du collège et ses environs au racketteur et Fabien peut désormais revivre normalement comme si rien ne s’était jamais passé.

Passage remarquable

« _Je tenais à vous voir, madame, pour vous alerter. Il me semble que votre fils est sur une      mauvaise pente.

En face, Mme Kemp opine, les mâchoires serrées.

-   En effet, ses résultats sont à la baisse et c’est inquiétant pour deux raisons : la première est qu’il ne paraît pas s’en alarmer outre mesure ce qui compromet une réaction rapide, la seconde que son niveau de départ ne justifie en rien une telle débandade.

-   Débandade ? réagit Marie Kemp. A ce point-là ?

-   Oui. Ses moyennes ont chuté, et en tant que professeur principal, je puis vous dire que cette tendance est générale.

Et elle rentre dans les détails, matière par matière. En face, la mère accuse le choc. »

 

Explication du passage Ce passage est très important pour le livre car c’est le moment où la mère de Fabien s’aperçoit que quelque chose ne va pas pour son fils même si elle ignore encore ce que c’est.

 Mon avis sur ce passage  J’apprécie ce passage car il y à beaucoup de dialogue bien qu’il soit  un peu long dans sa totalité.

 Mon avis sur ce livre

Bien qu’il ne m’eût pas franchement attirée au premier coup d’œil , j’ai beaucoup aimé ce livre.

L’histoire est prenante, il est facile à lire, je ne me suis pas du tout ennuyée en le lisant c’est pourquoi je le conseille à tout le monde. Il est très réaliste et l’auteur se met dans la peau de personnages différents à chaque chapitre, c’est intéressant de pouvoir observer les différents raisonnements des protagonistes de l’histoire.

J’attribuerais à ce livre la note de 17/20.

Margaux, 4A, Janvier 2013

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 19:31

Titre: Les clefs de Babel

Auteur: Carina Rozenfeld

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Edition Syros

Collection: Les Incorruptibles

Résumé: C'est l'histoire d'un garçon, Liram, qui vit chez les Aériens c'est à dire les gens qui habitent dans les étages les plus hauts de la tour de Babel. Cette tour a été conçue pour accueillir la population lors du passage du Grand Nuage qui détruisait toute sorte de vie sur son passage. Plus tard il fait la connaissance de quatre adolescents avec en commun un tatouage très étrange... Pendant 10 siècles, les cinq jeunes adolescents dormaient et ne se réveillaient qu'au bout de 100 ans pour voir si la Nature avait bien avancé dans l'élimination de toute trace du passage du Grand Nuage. Mais le dernier centenaire ils se réveillèrent 50 ans plus tôt que ce qui était prévu. Pourquoi? Parce que la nature s'est débarrassée plus vite que prévu des traces du Grand Nuage. Ils se réveillèrent tous et l'un d'eux alla vers une armoire. Dedans se trouvait posée une boîte, il enleva la poussière qui était dessus et l'ouvrit : à l'intérieur se trouvaient cinq clés. Ces cinq clés permettaient d'ouvrir la porte de la tour de Babel et ainsi de libérer ses habitants. 15 ...plus tard ... Liram vient d'avoir 14 ans et son père lui a promis un cadeau exceptionnel. Après avoir soufflé ses bougies il déballe son cadeau et voit un jeune chaton. Son père lui dit que c'est un prototype, car c'est un chaton qui parle, et quand il parlera Liram devra tout de suite le dire à son père.

 

Mon avis:  J'aime bien ce livre parce que il est plein d'aventures et il est intéressant.

Morgane, 5C, janvier 2013

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 19:19

UN-CHEVAL.JPGTitre : Un cheval de rêve

 Auteur : Evelyne Brisou-Pellen

 Collection :  Pleine Lune

 Edition : Nathan

 Genre : Roman de vie

 Résumé du sujet : C'est l'histoire d'une petite fille, Marie , qui aime l'école.

Mais au début du siècle il n'y a pas beaucoup de filles qui ont la possibilité d'y aller.

Pour se rendre à l'école, Marie, emprunte un chemin dont elle a peur, il fait très froid, il fait noir, le sol est gelé, mais surtout sur son chemin elle croise, tous les jours, Ambroise, un jeune homme qui est très méchant avec elle, qui lui fait des réflexions si désagréable comme :

 « Marie Madec qui pue du bec. »

Et plein d'autres encore...

Elle rêve d'avoir un cheval, car grâce à lui, elle pourrait traverser ce chemin, sans aucune crainte.

Ce rêve finit par se réaliser !

 

Passage :

« Évidemment, tu peux toujours renoncer

C'est le maire qui a eu l'idée, voilà ce qu'on a trouvé.»

Et il ouvrit la porte.

Dehors, dans la cour, il y avait …

Dragon noir.

Quand je pense à ce moment, j'en ai les larmes aux yeux .

[…]

 « Ça ira très bien, murmurais-je la gorge serrée, je crois que je vais me débrouiller. » ( Page 176-177 )


Point de vue personnel : J'ai aimé ce livre, car j'aime beaucoup les chevaux, je rêve moi même d'en posséder un. L'histoire est bien racontée, car on peut facilement se mettre dans la peau de Marie.

 

Couleur qui représente le mieux ce livre à mes yeux:  Marron, car ça parle de chevaux.

Théoline, 5C, janvier 2013

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 17:48

INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES :

Auteur : Gudule

Titre : La fille au chien noir28348486_5681074.jpg

Edition : Livre de poche jeunesse

GENRE : Je dirai que c’est plutôt un roman d’amour.

THÊME PRINCIPAL : Alex, un jeune garçon de 4ème n’a aucun ami. Il trouve chaque soir du réconfort près d’un chien errant. Mais un jour, ce chien meurt. Cependant, il va revivre dans les rêves d’Alex, avec la fille parfaite aux yeux d’Alex.

LE SUJET : Alex est un jeune garçon de 4èmetrès intelligent. Tout le monde se moque de lui. Il se fait souvent insulter, et n’a aucun ami. Puis un jour, il rencontre un chien errant, qui va devenir son ami. Hélas, les parents d’Alex ne veulent pas de ce chien chez eux. Alex a peur car l’hiver arrive et le chien reste dans le froid. Hélas, le chien meurt, et Alex se retrouve seul, il commence donc à imaginer la fille de ses rêves et à la dessiner sur son journal. Un soir, alors que des élèves de sa classe veulent le frapper, la fille de ses rêves et Vador, le chien qui est décédé apparaissent et le défendent. Comment est-ce possible ?

CHOIX D'UN PASAGE REMARQUABLE D’UNE DIZAINE DE LIGNES :

"A-t’il réalisé que ses agresseurs ne le tenaient plus ? Non, il était trop stupéfait pour ça. Un seul mot est parvenu à son esprit, un seul. Un mot inouï. Un nom. Vador.

Un souffle chaud sur sa main le tire de son hébétude, ainsi qu’une voix féminine, maintenant de toute douceur :

-          Tiens, remets vite tes lunettes !

Il obéit avec des gestes d’automate. Retrouve l’usage de la vue. Et manque d’avaler sa langue. Longs cheveux noirs, silhouette étroite, gracieuse, altière. Visage triangulaire pourvu de pommettes hautes. Regard sombre, un rien ironique…Bon sang, il la connaît cette fille ! Il ne connaît même qu’elle ! C’est celle qu’il a imaginée quelques jours plus tôt, et si imparfaitement dessinée.

Et à son côté…à son côté…

Non, ce n’est pas possible. Alex rêve. C’est ça, il rêve. Il doit s’être évanoui ou quelque chose de ce genre…

Pourtant, la truffe tiède qui cherche ses doigts semble si réelle !

-          Va…Vador ?"

 (Page 64-65) J’ai choisi ce passage, car c’est à ce moment qu’Alex rencontre la fille de ses rêves et retrouve Vador, son ami, le chien décédé un peu plus tôt.

 

JUGEMENT CRITIQUE PERSONNEL : J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre. Au début j’ai eu du mal à accrocher et puis après j’ai continué et j’ai adoré. C’est un peu fantastique et le fait qu’Alex rencontre la fille de ses rêves et retrouve son ami, c’est génial. Je le conseille pour tout le monde… Je pense qu’il peut plaire à n’importe quel lecteur.

Emmanuëlle, 4C, janvier 2013

 

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