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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 17:48

Titre : Et patati, et patata ! Les objets ont la parole

Auteur : Pierre Coran


A . Entrer dans l’univers du recueil1291183_3190786.jpg

Le nom de l’auteur est : Pierre CORAN
  
Les mots et associations de mots qui viennent à l’esprit à partir du titre de ce recueil sont : et puis ceci, et puis cela, parler, les objets sont vivants.

Sur la première de couverture de ce recueil, il y a une reine. Sur la robe de cette reine il y a un cœur, derrière elle il y a la carte de cœur. En face de la reine, il y a un roi avec une lance de pic, et derrière lui il y a une carte. Le tout sur fond orange.
Sur la quatrième de couverture, il y a un personnage avec des altères, et plusieurs couleurs en fond de couverture : rouge, orange et bleu.
La couverture de ce recueil ne nous paraît pas attirante car on dirait un recueil pour jeunes enfants. Cependant, cette couverture illustre bien le titre car nous pouvons distinguer deux cartes tirées d’un jeu. Les personnages sur les cartes semblent discuter ensemble, comme le titre l’indique : « Les objets ont la parole. »

B . Étudier le recueil

L’auteur
Pierre CORAN, de son vrai nom Eugène DELAISSE, est né en 1934 à Saint-Denis en Brocqueroie, près de Mons. Pierre CORAN est un poète et romancier Belge de langue française. Il écrit ses premiers textes rimés à l’âge de 9 ans. Il se voit consacré en 1989, à Paris, par l’obtention du premier « Grand prix de poésie pour la jeunesse ». Il est le père de l’écrivain Carl NORAC.

Pierre Coran a été récompensé et nominé pour plusieurs prix littéraires :

- 1966 Prix Hainaut (littérature)
- 1976 Prix Jean de la Fontaine
- 1989 Grand Prix de poésie pour la jeunesse
- 2000 Candidat Belge au Prix Hans Christian Andersen
- 2006 Candidat Belge au Prix mondial Hans Christian Andersen

Ses principaux recueils sont Jaffabules , Le prince hibou, Animalicieux, Comptines pour ne pas chuinter, Printemps d’artistes, Le Castor paresseux, Comptines en mots d’ici et d’ailleurs, Comptines de bouche à oreilles…

A ses débuts Pierre CORAN était instituteur, directeur d’école, puis professeur d’histoire de la littérature au conservatoire royal de Mons. Ensuite, il fonde «Le Cyclope » revue autour de laquelle graviteront un groupe de jeunes auteurs. Par la suite il composera des poésies et des comptes pour enfants, par l’incitation de ses élèves. Il compose également de nombreux albums, traduits en une douzaine de langues. Il développe des activités de scénariste, d’animateur et de romancier. Pierre CORAN est scénariste d’une centaine de bandes dessinées programmées dans toute l’Europe.

La table des matières  du recueil contient les titres des poèmes.  Parmi ces titres ceux qui nous semblent les plus liés au titre du recueil ceux qui nomment des objets «le cartable », « la gomme », « le ballon », « le drap de lit », « la lampe de chevet », « le mouchoir », « la boîte aux lettres », « la carte à jouer », « l’horloge ». Ces titres reflètent bien le titre du recueil « les objets ont la parole », contrairement aux autres titres qui sont : «un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf et zéro ».

Les deux principaux thèmes de ce recueil sont : les objets et les chiffres.

Nous sommes plus sensibles au thème des objets car il nous semble plus facile d’animer les objets que les chiffres.

LA GOMME

 

Tel un chien de chasse,

Je suis à la trace

Les mots que les mines

Crayonnent, dessinent

Au gré des cahiers.

 

Tel un chien de chasse,

J’efface mes traces

Et je fais le pied

De grue

Comme une statue

Au fond d’un plumier.

 

PIERRE CORAN

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 16:11

Auteur : Timothée de  Fombelle

Titre : Vango, Entre ciel et terre51500619.jpg

 Édition : Gallimard Jeunesse

Genre : Roman d’aventures

Thème principal : Un enfant cherche à déterminer son identité et à

retrouver les assassins de ses parents.

 

Le sujet :

Vango, lorsqu'il n'était encore qu'un nourrisson, a échoué sur une île proche de la Sicile, avec sa nourrisse, Mademoiselle, qui l’éduque. Il ne connaît pas son histoire, avant cet échouage sur la plage. Sur une île proche de la sienne, il fait la connaissance de Zefiro, « padre » d’un monastère clandestin, appelé le « Monastère Invisible ». Celui-ci l’envoie faire un tour du monde à bord d’un zeppelin appartenant au commandant Eckner, un ancien ami de Zefiro. Durant ce voyage, Vango fait la connaissance de la charmante Ethel qui tombe éperdument amoureuse de lui.

Quelques années après avoir quitté le commandant et son zeppelin, il s’aperçoit qu’il est la cible des services secrets russes et fait tout son possible pour leur échapper  mais les Russes ne sont pas les seuls à lui vouloir du mal pour des raisons qu’il ne connaît pas…

Ce volume comme sa suite raconte les péri

péties de la recherche de ses origines par le jeune homme et de son entourage, durant la montée en puissance de l’Allemagne nazie.

 

Passage remarquable :

Page 81 : « Je me souviens quand tu es arrivé .Tu n’étais pas en meilleure forme qu’aujourd’hui. D’où viens-tu ? »

Il regarda attentivement son ami .Vango était épuisé, il venait de traversé la France, la Suisse, l’Allemagne en échappant  à la police qui le cherchait.

 

Jugement critique personnel :

J’ai aimé ce livre car l’histoire est agréable et très bien imaginée avec de l’action à couper le souffle …Cela nous entraine dans un livre émouvant, passionnant, je vous le conseille malgré l’écriture un peu compliquée.

 

******

Voici l'auteur qui nous présente la parution du tome 2 au salon du livre de Paris :

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 14:46

andree_chedid_est_morte.jpg  L’auteure de ce recueil est Andrée Chedid. D’origine syro-libanaise elle est née le 20 mars 1920 au Caire (Égypte).Elle est connue comme auteure et aussi comme  mère du chanteur Louis Chedid et grand-mère de Mathieu. Elle décède suite à la maladie d’Alzheimer le 6 février 2011 à Paris où elle vivait depuis 1946.

Elle était romancière, dramaturge, nouvelliste  et poète, prix Goncourt de la poésie en 2002.

Elle a écrit de nombreux recueils dont  les premiers sont On the Trails of my Fancy (son premier recueil (en anglais), le jardin perdu (1943). Son œuvre poétique est maintenant rassemblée dans deux volumes : Textes pour un poème (1949-1970) et Poèmes pour un texte (1970-1991).

Le recueil : Fêtes et lubies 

Genre : recueil poétique

Edition : Flammarion

Date d’édition : 1973

D’après le titre, les mots qui nous viennent à l’esprit sont : la fête, le plaisir, l’extravagance, les caprices.

FETES-ET-LUBIES-ETONNANTS-CLASSIQUES-GF.gifLa couverture représente un enfant tenant un œuf dans la main et regardant au loin, vers le ciel. Un oiseau semble posé sur son épaule. Leurs regards se dirigent vers un soleil et une feuille. Les couleurs dominantes sont le noir, le bleu et l’orange.

Nous trouvons cette couverture peu attirante du fait de couleurs peu attrayantes. De plus il est difficile de faire une relation entre le titre et l’illustration. Seul le mot lubies nous semble illustré par l’impression de rêve que donne l’illustration.

La table des matières contient les titres des parties du recueil puis dans chaque partie les titres des poèmes.

Les titres qui nous semblent les plus liés au titre du recueil sont:

« le ballon » car le ballon est un accessoire de fête

« la cérémonie »  car la fête et la cérémonie sont parfois liées

« le rêve de bubu » car le rêve peut être parfois extravagant (lubie)

Les thèmes les plus abordés dans ce recueil sont 

Les animaux : « le dinosaure », « la mort du pou » , « le chat mineur », « la fourmi et la cigale », « ozi le poisson », etc,

La nourriture : « vive la pomme », « quelle salade ! », « le petit pain », « l’artichaut  manchot » etc

Le mystère : « le rêve de bubu », « la voyante », « le secret », etc

La ponctuation :« Pavane de la virgule », « Éloge de l’accent », etc

Éloge de l'Accent

Aigu
Grave
Ou circonflexe
Avec zèle
J’annexe
Par kyrielles
Les Voyelles !

A E I O U, mes Belles !
Je vous suis providentiel !
 
Je vous coiffe à tire-d’aile
Je vous gèle
Je vous flagelle
Je vous grêle
Je vous ombrelle !

U O I E A, Agnelles!
Rendez-vous à mes appels ! 
   
Aigu
Grave
Ou circonflexe
Je le répète sans complexe :
C’est l’Accent
Qui fait le Texte !

 

Le thème auquel nous sommes le plus sensible est la nourriture car Andrée Chédid anime les aliments tels des personnages.


Pour en savoir plus sur Andrée Chédid, voici une courte video de l'INA :

 

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 15:36

A . Entrer dans l'univers du recueil cathalo.jpg

 

L'auteur de ce recueil est Georges Cathalo . Sur la couverture, on voit un garçon avec une sacoche d'où sortent des lettres. Les couleurs dominantes sont l'orange et le bleu turquoise. La couverture nous attire car elle a des couleurs chatoyantes. Cette couverture aide à comprendre le titre car des lettres sortent de la sacoche or le titre est « Des mots plein les poches », on croirait que c'est une expression.  Les mots et associations de mots qui nous viennent alors à  l'esprit sont les jeux de mots et les mots .

  

B . Étudier le recueil

L'auteur du recueil est Georges Cathalo qui est né en 1947, il est instituteur à la retraite et auteur d'une vingtaine de recueils de poésie et d'ouvrages sur le modèle de brèves. ll n'est pas seulement poète mais il est aussi un critique littéraire qui donne de nombreux articles et des chroniques à diverses revues.

Les titres de ses principaux recueils sont :

Des mots plein les poches , A l'envers des nuages, Noms communs , Quotidiennes pour oublier , Noms communs deuxième vague,  L'échappée, Au carrefour des errances, Quotidiennes pour dire, Quotidiennes pour écrire

Dans ce recueil, Des mots plein les poches, il y a pas de table des matières . Aucun titre n'est clairement lié au titre du recueil car auncun titre ne renvoie à des poches remplies de mots. Les principaux thèmes du recueil sont en lien avec une action précise comme mitonner, pousser, attacher , …  

Nous sommes plus sensibles au thème de l'action car il se passe quelque chose dans chaque poème .

Texte de 4e de couverture :

Le poète suit son traintrain bien tranquille, ramasse des mots usagés, cueille des poussières d'étoiles... et quand on croit le rencontrer, il a disparu pour toujours.

                                                                          

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 18:00

Claude-Ber001--2-.jpgAuteure : Claude Ber, poète, dramaturge, professeur à Sciences Po et à la Sorbonne

Titre : Aux Dires de l'écrit

Editions : Chèvre feuille étoilée

Genre : recueil de sept textes, sortes d'essais tirés de conférences, articles, séminaires.

Thèmes : l'écriture et : la folie, la poésie, le féminin, l'oralité, l'enseignement, le travail, la poésie

Sujets et citations choisies :

1. "Aux déchirés de la parole, écriture et folie"

Ce texte est celui d'une conférence à l'université de Nice en 2009. Claude Ber s'y interroge sur l'écriture et la folie. Elle évoque quelques classements distinguant les "fous littéraires [...] dont la folie s'exprime par une production livresque" comme disait Shoshana Feldman, les témoignages sur la folie et l'écriture de la folie, celle de Nerval, d'Artaud, de Virgina Woolf... écriture qui "tente de faire oeuvre littéraire à partir de la folie, avec et malgré la folie". Très vite cependant elle mentionne le défaut de tels classements qui se dispensent de considérer l'histoire personnelle et de s'attarder sur la parole de la folie. Elle observe que l'analyse de l'écriture du fou peut en partie Convenir au texte poétique. Orphée qui incarne la figure du poète fait entendre son chant hors du temps et de l'espace, aux Enfers, tout comme le fou qui écrit à la marge, hors des limites et au contraire d'Oedipe qui raconte son histoire aux personnes qu'il rencontre en chemin. Tout de même, Claude Ber souligne qu' il y a une différence notable entre poète et fou : le "dérèglement raisonné de tous les sens" voulu par Rimbaud, l'expérience de la mescaline par Michaux sont des choix délibérés des poètes alors que le fou qui écrit ne choisit pas sa folie. De même que les fous ne sont pas plus criminels que la moyenne des humains, de même ils ne sont pas plus souvent que les autres des poètes ou des littéraires.

Partant du journal d'Evelyne Encelot Claude Ber insiste sur la souffrance de la personne qui se sent sombrer dans la folie et pour qui l'écriture est tentative de reconquête de soi. Claude Ber explique les fondements de sa réflexion en mentionnant son expérience personnelle d'accompagnement de ce glissement dans la folie jusqu'au mutisme et la publication du livre d'Evelyne Encelot . "Lire les textes, les lire lire avec une attention soutenue, ouverte et aiguë" recommande Claude Ber après avoir cité quelques vers d'E. Encelot pour illustrer la déliquescence du langage du fou :

"Maintenant je n'ai quasi plus rien que mes mots

 Alors j'ai tout le temps

 Et je voyage avec les survivants

 Avec ce qu'il y a

 Comme c'est

 Seulement

 Seulement"

2. La fable/l'histoire_ Notes sur Poésie et narration

Il s'agit ici de notes à visée opératoire plutôt que théorique, numérotés de 0 à 21 concernant la distinction entre poésie et prose et leur rapport avec la narration. Cette analyse est nécessairement à situer dans le temps et l'espace : la réflexion ne concerne que la poésie française actuelle, celle qui ayant "évacué le lyrisme, le chant, la subjectivité, l'expression des sentiments, le figuratif, le narratif, le discursif, etc" tend vers "un dire intransitif".

La note 5 oppose poésie et prose, en associant la première au retour, la seconde à l'avancée ce que le vers (versus) figure dans son retour à la ligne ; ce retour du poème  sur lui-même "débouche sur une langue pliée et reflétée au miroir -à la conscience_ d'elle-même".

La note 6 renforce cette idée de retour en évoquant les strates du poème, "millefeuilles" où rythme, sonorités, figures, dispositions... se superposent pour produire du sens. Le poème se caractérise ainsi par son épaisseur, sa "pluralité de sens non éparpillés" disait Heidegger.

Au contraire de la prose qui "renvoie à l'histoire" et se déploie plutôt horizontalement, la poésie revient sur "ce que parler veut dire" c'est à dire sur l'énonciation et le langage. (note 7). La prose "déroule" alors que la poèsie "enroule", là se trouve la frontière (note10).

Dans la note 11, Claude Ber reprend l'oposition entre Orphée et Oedipe puis explore quelques autres éléments de distinction de la poésie : elle est fragment, elle explore le son et l'oralité, les images, les rythmes et elle s'y "mire" ce que la prose ne fait pas..

Dans la note 15, Claude Ber insiste sur ce point : "Même narratif, même prose narrative, le mouvement du poème est [...] indissociable de [...] la démultiplication des reflets aux facettes des cristaux, là où la prose promène toujours, d'une certaine manière, le long du chemin, le miroir stendhalien."

Note 16, elle reprend le mythe d'Orphée pour observer que le chant naît quand l'histoire est finie. Dans le poème, la "fable" a tout perdu, temps, personnages alors que dans la prose elle renoue les fils de l"histoire. Le poème "dit intransitivement. La prose, elle, dévoile, révéle" précise-t-elle dans la note 18 avant d'ajouter, note 20, que la narration concerne aussi bien la prose que la poésie. Le poème "pose la question de la narration" alors que la prose privilégie la narration.

3. L'entre-deux ou une conscience du féminin dans l'écriture

Claude Ber choisit d'intervenir en tant qu'écrivain à ce séminaire où elle aborde la problématique du "féminin dans l'écriture". A ce titre, elle s'attarde sur les effets de la dénomination et observe que la muliplication des termes employés pour parler des femmes qui écrivent  révèle une difficulté. En ce qui la concerne, elle choisit un entre deux, elle est une ou la poète. Elle insiste sur l'acte d'écrire, travail tout à fait singulier, qui fonde l'identité de l'écrivain et de la sorte, parler d'écriture féminine revient à refuser aux femmes la reconnaissance de la singularité de leur travail d'écrivain alors que nul ne songe à parler d'homme-écrivain ou d'écrivain- homme. C'est que la place de l'homme à l'agora et dans la polis ne pose pas problème mais qu'à la femme est dévolue la domus. Pourtant, "Le je qui écrit, le sujet de l'écriture est autre et distinct de celui ou celle qui écrit." Le je, sujet de l'écriture "advient et devient en écrivant" ce qui rend inapprpprié le concept d'écriture féminine.

Réfléchissant à l'emploi du pseudonyme par les écrivains comme Jean-Baptiste Arouet (Voltaire), Aurore Dupin (George Sand), Mohamed Moulessehoul (Yasmina Khadra) elle note cepedant que "se nommer au masculin ou au féminin, écrire au masculin ou au féminin, change la donne" Elle-même choisissant de se prénommer Claude opte pour un prénom féminin et masculin qui la relie aux célèbres claudicateurs "de la lignée de Dionysos, Héphaïstos, Oedipe ou Jacob". En somme, comme l'annonçait le titre, elle se positionne dans "l'entre-deux" face à cette question.

4. Le dirécrire, variations


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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 19:26

 

C'est l'histoire d'un nommé Charlie. Son père et sa mère n'étaient pas bien riches mais un jour, le directeur de la chocolaterie ouvrit pour la première fois les portes de son usine. Pour y entrer, il fallait trouver un ticket d'or.

Joachim, 5A, 20/12/2008

 

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Auteur: Roald Dahl

Titre: Charlie et la chocolaterie

Édition: folio junior

Genre: roman

Thème principal: L'enfance, la pauvreté, l'éducation

sujet : Charlie est un enfant pauvre. Il vit dans une petite maison en bois sans nourriture. À chacun de ses anniversaires, Charlie reçoit une tablette de chocolat ; il l’aime tellement qu’il en mange un tout petit bout chaque jour. De plus, il passe tous les jours devant une chocolaterie mais pas n’importe laquelle, la plus grande au monde. Un jour, Monsieur Willy Wonka, le directeur de la chocolaterie fit cinq tickets dorés gagnants. Pas plus de cinq enfants pourront rentrer dans la chocolaterie pour la visiter. Charlie aimerait bien avoir un ticket mais il n’a pas assez d’argent pour acheter une tablette de chocolat.

Ce fut le moment où il trouva une pièce d’argent dans un caniveau. Devinez ce qu’il fit ? Il alla au premier magasin et acheta une tablette de chocolat. Après l’avoir achetée, il l’ouvrit et trouva un ticket doré. Quelques jours plus tard, ce fit le moment où Charlie dut se rendre à la chocolaterie avec son grand-père. Quand la visite fut terminée Monsieur Wonka proposa à Charlie d’être le directeur. Ce qui ce fit et Charlie fut riche jusqu’à la fin de ses jours.

Passage remarquable

« Mais Monsieur Wonka, lui cria grand papa Joe, il n’y a plus que Charlie. »

Il eut un silence.

Charlie resta immobile en serrant fort la main de son grand père.

« Mais mon petit, s’exclama-til cela signifie que tu as gagné ! »

 

Commentaire:

Ce passage est remarquable car Charlie apprend qu’il va être le directeur de la chocolaterie et qu’il sera riche.

 

Jugement critique personnel

J’ai apprécié ce livre car il y a beaucoup de suspens. Charlie montre de l’enthousiasme car il court pour aller acheter une tablette de chocolat.

Ce livre est plein d’imagination c'est-à-dire qu’il y a des choses merveilleuses et fantaisistes comme l’ascenseur qui s’élève dans les airs.

Mathis B, 5D, 26/03/2012

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 19:30

9782203158122FS.gifTitre : L’Ami   

Auteur :   Yaël  Hassan

Editeur : Casterman

Collection : Comme la vie

Date d’édition :  2003

Genre : récit de vie,  roman initiatique

Thèmes  principaux :  L’ amour , la vie quotidienne au foyer, la maladie, l’ amitié, la mort et la séparation

Résumé du sujet : Samir, enfant né sous x il y a dix ans, vit au foyer où il s’est lié d’amitié avec Pierre. Ce dernier connait sa mère, Lili, mais en raison de sa maladie elle ne peut  s’en occuper. L’amitié des deux garçons a permis à Samir de  retrouver la joie de vivre et d’avoir un confident. Pourtant un jour Samir est convoqué chez le directeur qui lui annonce qu’il va définitivement quitter le foyer pour rejoindre une famille d’accueil. À l’idée d’être séparé de son confident, les larmes coulent et la tristesse est à son comble .Samir doit préparer ses valises car son départ est imminent. Après une séparation très difficile, Samir rejoint sa nouvelle famille où l’attendent un couple et Margot, leur fille de dix ans.

Le temps passe très vite et voila  déjà un an que Samir a quitté le foyer, un an passé sans nouvelles de Pierre. Aussi décide-t-il de lui écrire et il apprend alors que son ami a perdu sa maman. Pour le consoler,  Mireille décide d’inviter Pierre.

 Passage remarquable :.(p42) 

« - J’ai une excellente nouvelle à t’annoncer, Samir.

Le directeur sourit de toutes ses dents

- Je t’ai enfin trouvé une famille d’accueil. Nous y avons mis le temps, j’en conviens, mais nos efforts ont été récompensés. Tu y seras très heureux, tu verras. Ils ont une fille de ton âge et habitent une jolie ferme à la campagne. Ce sera pour toi une nouvelle vie, une vie comme tu n’en as jamais connu.

D’un revers de la main rageur, Samir écrase une larme qui s’est échappée. Le directeur croit qu’il s’agit de la larme de joie alors que Samir a l’impression que son cœur va exploser de douleur... Mais il n’ose pas et se tait. »

C’est un passage significatif car ce passage est un moment bouleversant dans la vie de Samir. Il va certes avoir une nouvelle famille mais pour cela il doit se séparer de son meilleur ami  confident Pierre.

Mon avis personnel :  C’est un livre passionnant car au fil de la lecture on assiste à la naissance de véritables amitiés et du bonheur de Samir.

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 23:33
                                                                        
 Acherub 05 couv3duteur : Robert Muchamore
Série : Chérub
Titre : Les survivants (tome 5 de la série qui en compte 13)
Edition : Casterman
 
Les services de renseignements britanniques font appel à Cherub, un service d’agents
 âgés de six à dix-sept ans recueillis et entraînés dans des orphelinats et à leurs contrôleurs de mission pour prouver l’existence d’un lien entre une secte religieuse très importante et le groupe terroriste «Sauver la terre.»
James Adams, jeune adolescent de 14 ans,  un agent de Cherub, part en mission dans un campus de "survivants" en vue de se faire transférer dans une arche. Les "survivants" disent être des anges et pensent que les autres hommes sont des démons.
James grâce à ses résultats très concluants est transféré dans l’arche où il fait connaissance avec Rathbone, un enfant de Q.I. très élevé, fils du gourou qui a créé les survivants.
Mais celui-ci meurt , empoisonné par sa femme et sa mort déclenche une bataille entre démons et survivants. James, averti par son contrôleur de mission, s’enfuit par les égoûts et les forces de l’ordre font arrêter tous les survivants .
 
 
extrait choisi, page 203 :"Gloire à toi seigneur, nous sommes tes anges nés pour te servir.
Protège- nous. Nos âmes sont pures .Nos pensés sont honnêtes.
Nous sommes des chefs. Nous guiderons l’humanité …"
autre extrait représentatif :
" Pourquoi tu fais ça ? gémit James. C'est parce que je suis bleu marine, c'est ça ? Tu sais, tu ne peux pas en vouloir à tout le monde parce que tu n'as pas eu de chance avec tes missions. En tout cas, moi, je ne suis pas responsable.
- Allez, laisse-moi partir, implora James, furieux, en tortillant vainement. Si Takada nous trouve ici à son retour, on risque d'avoir de gros ennuis.
- T'inquiète. Il faut qu'elle aide les gamins à se changer. Ca nous laisse quelques minutes.
-- Quelques minutes pour quoi ?
- Tu vas voir, dit Dana en positionnant son visage à la verticale de celui de James.
Elle gonfla les joues pendant quelques secondes puis entrouvrit les lèvres. Un épais filet de salive s'en échappa et coula lentement sur le visage de son camarade."

J’aime ce livre car il y a de l’action, du suspense. Il est facile à lire et très bien écrit et je vous le conseille à vous, fans des récits d’actions.
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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 21:57

Série : Les évadés du zoo

titre du tome 1 : Signé : Le gang des animaux libres!9782747030144FS-copie-1.gif

Auteur: A. Marx -­‐ B. Pfeiffer

Edition : Bayard poche

Date: 2010

Genre: roman d’aventure

Sujet:

Dans une cage Hamlet, le loup, est mort de peur car il se demande comment il va échapper à Monsieur Leveau. Il veut utiliser sa fourrure pour en faire un manteau. Grâce à son ami il arrive à s’enfuir. Une fois dehors, il rejoint le gang des animaux libres. Mais il n’y a pas à manger et la troupe n’est pas très accueillante. Pourtant face au danger il va découvrir qu’il peut vraiment compter sur ses nouveaux amis.

 

Passage remarquable : "Il bande ses muscles, démarre en trombe,pile net au bord du toit, fait volteface et revient ventre à terre vers ses compagnons.

-­‐ Génial Ah! mes amis, c’est absolument merveilleux !

Puis, devant ses copains ahuris, il renverse la tête en arrière et pousse un long hurlement."

 Commentaire de ce passage :

Ce passage est bien parce que Hamlet reprend confiance en lui avec ses nouveaux compagnons.

Hamlet découvre ce que c’est de vivre en liberté.

 

Jugement personnel : Ce livre est intéressant, il y a du suspense. Hamlet trouve des amis pas très accueillants mais il découvre qu’il peut compter sur eux. Ce qui fait l’histoire passionnante et intéressante c’est que les amis d’Hamlet lui font découvrir la liberté. De plus, ce roman est plein d'imagination. Celle-­‐ci est exprimée par des passages merveilleux. Par  exemple, au retour, ils survolent les toits ….

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 20:13

9782844200389FS.gifAuteur : Rose-Claire Labalestra
Illustrateur : Antoine Guillopé
Éditeur : Thierry Magnier
Date : 1999

Genre : "Ésie-la-bête" est roman qui se présente comme un récit de vie
Thème principal : Aventures d'une jeune fille malheureuse.

Résumé :
C'est l'histoire d'une jeune fille nommée Élisabeth, ses camarades de classe la surnomment "Ésie-la-bête" parce que ses parents sont handicapés mentaux. Depuis onze ans, son existence se partage entre l'amour de ses parents, l'aide des éducateurs et le soutien de son institutrice. Mais aujourd'hui, Élisabeth ne parvient plus à assumer le handicap de ses parents à cause des moqueries de certains élèves de sa classe. Elle décide alors de quitter la maison pour aller dans un foyer appelé " Bon Accueil ", là-bas, elle rencontre des amis, Milane et Mounir, et une bibliothécaire très sympathique. Après avoir passé plusieurs mois dans ce centre, Élisabeth est de retour chez elle, heureuse avec sa famille.

Passage remarquable :
" C'est difficile de commencer une nouvelle vie loin de ses parents, même si Élisabeth sait qu'elle peut retourner vivre chez eux quand elle le voudra. Justement. Ça aussi, c'est difficile. Elle a l'impression d'avoir à décider du bonheur ou de la peine à ceux qu'elle aime. " (Page 103 )
Ce passage de l'histoire est remarquable car c'est une décision importante qu'Élisabeth doit prendre pour le départ au foyer, et il décrit les sentiments de la jeune fille lors de cette conclusion.

Critique personnelle :
J'ai bien aimé cet ouvrage car il y a beaucoup de péripéties et pas mal d'humour. Je trouve que l'héroïne de l'histoire a énormément de caractère, elle est très courageuse pour surmonter cette situation.

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