Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 17:52
C'est l'histoire de François qui est le narrateur du récit. Il est le fils d'un couple d'instituteurs et prépare sont brevet d'instituteur.
Un jour, Augustin Meaulnes arrive en pension chez lui. Il devient son ami et se fait surnommer "Le Grand Meaulnes" par les élèves. François est fasciné par Augustin.
Augustin Meaulnes fait une fugue pendant laquelle il découvre un endroit mystérieux, avec un château, Yvonne, Frantz ...
Un jour, Frantz arrive dans leur classe, c'est le frère d'Yvonne. Augustin Meaulnes se rapelle sa découverte lors de sa fugue et part à Paris à la recherche d'Yvonne.
C'est François qui retrouve Yvonne par l'intermédiaire de son oncle et il organise un pique-nique avec elle et Meaulnes.
Yvonne et Meaulnes se marient. Mais juste après le mariage, Meaulnes part à la recherche de Valentine, la fiancée de Frantz.
François prend alors la place de Meaulnes aux côtés d'Yvonne. Celle-ci meurt après avoir mis au monde la fille de Meaulnes.
Un jour, Augustin Meaulnes revient avec Valentine, il vient chercher sa fille.

J'ai aimé ce livre pour l'aventure et l'amitié qui existe entre François et Augustin.

Extrait, chapitre 13, la fête étrange :

"Il arriva, sans rencontrer personne, au bas d’un escalier de bois, dans un recoin de cour obscur. L’haleine glacée de la nuit vint lui souffler au visage et soulever un pan de son manteau.

Il fit quelques pas et, grâce à la vague clarté du ciel, il put se rendre compte aussitôt de la configuration des lieux. Il était dans une petite cour formée par des bâtiments des dépendances. Tout y paraissait vieux et ruiné. Les ouvertures au bas des escaliers étaient béantes, car les portes depuis longtemps avaient été enlevées ; on n’avait pas non plus remplacé les carreaux des fenêtres qui faisaient des trous noirs dans les murs. Et pourtant toutes ces bâtisses avaient un mystérieux air de fête. Une sorte de reflet coloré flottait dans les chambres basses où l’on avait dû allumer aussi, du côté de la campagne, des lanternes. La terre était balayée, on avait arraché l’herbe envahissante. Enfin, en prêtant l’oreille, Meaulnes crut entendre comme un chant, comme des voix d’enfants et de jeunes filles, là-bas, vers les bâtiments confus où le vent secouait des branches devant les ouvertures roses, vertes et bleues des fenêtres.

Il était là, dans son grand manteau, comme un chasseur, à demi penché, prêtant l’oreille, lorsqu’un extraordinaire petit jeune homme sortit du bâtiment voisin, qu’on aurait cru désert.

Il avait un chapeau haut de forme très cintré qui brillait dans la nuit comme s’il eût été d’argent ; un habit dont le col lui montait dans les cheveux, un gilet très ouvert, un pantalon à sous-pieds... Cet élégant, qui pouvait avoir quinze ans, marchait sur la pointe des pieds comme s’il eût été soulevé par les élastiques de son pantalon, mais avec une rapidité extraordinaire. Il salua Meaulnes au passage sans s’arrêter, profondément, automatiquement, et disparut dans l’obscurité, vers le bâtiment central, ferme, château ou abbaye, dont la tourelle avait guidé l’écolier au début de l’après-midi."

Partager cet article
Repost0
8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 15:15
 J'ai bien aimé ce livre car Parvana, l'héroïne, se préoccupe des enfants qu'elle trouve comme s'ils étaient ses frères alors qu'elle a déjà du mal à se nourrir elle-même.
Voici un extrait :

Devaient-ils traverser le champ et risquer de sauter sur une mine ? Ou bien rester là où ils étaient et mourir de faim et de soif ? Comment savoir quelle était la meilleure décision ? Elle n'en pouvait plus de fatigue et de chagrin et était incapable d'imaginer quoi que ce soit. Elle avait le sentiment que de toute façon ils allaient vers une mort certaine. Jamais elles ne se retrouveraient, Shauzia et elle. Elle pensa à son amie, assise en haut de la tour Eiffel, qui attendrait durant des heures pour rien.
Parvana avait posé son menton sur l'épaule d'Asif, et peu à peu leurs pleurs s'étaie
nt calmés, ce n'était plus que des sanglots silencieux. Elle regarda à nouveau le champ. Tout ce qu'elle apercevait, c'étaient des rochers, de la poussière, et des collines à perte de vue faites de rochers et de poussière.
Son regard fut attiré par quelque chose qui bougeait et venait dans leur direction. Elle cligna les yeux pour être sûre de ne pas se tromper, puis se redressa.

«Il y a quelqu'un qui vient, dit-elle, il traverse le champ de mines.»


Ce livre est le second volume d'une série de trois. J'ai lu le premier, Parvana, une enfance en Afghanistan, (livre du concours 5NicoLire) je l'ai trouvé bien : je les conseille à ceux qui aiment lire et qui s'intéressent au monde réel, à l'actualité.
Le troisième volume s'intitule On se reverra Parvana ...
Les trois volumes sont au CDI de St Nicolas. Cote : R ELL
Partager cet article
Repost0
7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 14:27
C’est un roman policier , je l’ai beaucoup aimé car il y a du suspense jusqu’à la fin.


Un matin, au village de Chipping Cleghorn, tout le monde découvrit un petite annonce dans la gazette locale. Elle annonçait qu’ un meurtre aurait lieu le vendredi 29 octobre à 18h30 à Little Paddocks. Les habitants du quartier pensaient que c’était une invitation, très originale, à une fête.
A 18h30, la plupart des voisins se rendirent à Little Paddocks. Mais quand l’heure eut sonné, les lumières s’éteignirent et des coups de feu retentirent dans la maison.
L’étranger dont tout le monde semblait penser que c’était lui qui avait tiré, était effondré sur le sol avec son arme à la main, mort.
Alors l’inspecteur Craddock entreprit d'interroger toutes les personnes présentes à cette terrible mascarade pour essayer de découvrir la vérité.


Ce livre n'est pas disponible au CDI: s'il vous intéresse, demandez à l'une des documentalistes de le commander.
Partager cet article
Repost0
28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 12:19
Titre: La prophétie des grenouilles
Auteur: Jacques-Rémy Girerd
Collection: Hachette Livre
Edition: Le Livre de Poche

J'ai bien aimé ce livre car il m'a fait penser à l'Arche de Noé.
Il y a quelques moments drôles comme quand les animaux sont entre eux et avec Tom, ses parents et Lili.

C'est l'histoire de Tom qui vit avec ses parents adoptifs, Ferdinand et Juliette.
Un jour il rencontre avec son amie Lili des grenouilles qui leur annoncent qu'il va y avoir un grand déluge.
Quand celui-ci commence, Ferdinand transforma leur grange en une vraie arche de Noé, et Tom, Lili, Juliette, Ferdinand lui-même et quelques animaux voisins y montèrent pour quarante jours et quarante nuits !

JR Girerd est un réalisateur de cinéma : il a écrit La prophétie des grenouilles pour en faire un film d'animation qui est sorti sur les écrans en 2003.
Partager cet article
Repost0
28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 12:01

J'ai bien aimé c
e livre : il y a des aventures et un peu de tistesse car Charlotte et son père doivent partir d'Ethiopie à cause de la guerre civile, en 1982. Elle est obligée de quitter son cheval. Tamarth, un jeune garçon, refuse d'être enrôlé dans l'armée éthiopienne. Le jeune garçon entame une longue marche à travers le pays avec le cheval.

Donc c'est assez triste comme livre mais je l'ai bien aimé.
Partager cet article
Repost0
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 21:29


C'est l'histoire de Marion un fille qui rêve de s'acheter un lecteur CD mais le souci c'est qu'elle n'a pas d'argent et que son seul moyen de pouvoir l'acheter c'est de travailler pour avoir de l'argent. Elle passe donc une annonce dans le journal. Peu après, elle décroche un job : baby-sitter. Elle doit garder Barnadé mais il est très méchant et va lui en faire baver et lui en faire voir de toutes les couleurs.
Partager cet article
Repost0
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 21:01
 



Je n'ai p
as aimé le livre car Benjamin Pratridge se promène presque que dans la nuit et va voir les gens et frappe à leur porte pour leur donner des médicaments et pour les soigner . Je n'ai pas aimé ce livre.
Partager cet article
Repost0
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:41

Titre : J'ETAIS ENFANT PENDANT LA GUERRE DE 14-18

Auteur : Christophe Malavoy

Illustrateur : Claude Cachin

Editions : du Sorbier

Collection : J'étais enfant

Année de parution : 1997




C'est l'histoire d'un enfant qui passe ses vacances dans l'ancienne maison de ses grands parents, jusqu'au jour où son père reçoit un télégramme qui dit que tous les hommes âgés de plus de 18 ans son appelés à rejoindre le Champs de Mars dans l'après-midi. C'est la guerre qui commence...
Partager cet article
Repost0
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:27



C'est l'histoire d'une jeune fille de treize ans, Mathilde, qui a beaucoup de mal à s'exprimer dans sa famille. Un soir, elle décide de fuguer. Pendant sa fugue, elle rencontre Loïc ...

J'ai bien aimé ce livre car on a l'impression d'être dans l'histoire, c'est Mathilde qui la raconte , elle parle en employant le pronom ''je''on a ainsi l'impression d'être à la place de Mathilde. Cette histoire se passe dans une ville, et elle pourrait être réelle.
Partager cet article
Repost0
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:01
TITRE: Poil de Carotte
AUTEUR: Jules Renard
EDITION: Hachette jeunesse
COLLECTION: Bibliothèque verte

Je n'ai pas aimé ce livre, il y a plein de choses horribles : le personnage principal fait preuve d'un sadisme sans pareil. Il est maltraité par sa mère qui n'est pas digne d'une mère mais son père l'aime bien (logique pour un père).
Ce roman est en partie autobiographique ; l'auteur lui aussi s'est senti mal aimé dans son enfance.
Ce livre est composé de plusieurs histoires qui se passent dans différents endroits.

Un extrait que je trouve représentatif :
"Poil de Carotte trouve dans son chemin une taupe, noire comme un ramonat (raifort). Quand il a bien joué avec, il se décide à la tuer. Il la lance en l'air plusieurs fois, adroitement, afin qu'elle puisse retomber sur une pierre.
D'abord, tout va bien et rondement.
Déjà la taupe s'est brisé les pattes, fendu la tête, cassé le dos, et elle semble n'avoir pas la vie dure.
Puis, stupéfait, Poil de Carotte s'aperçoit qu'elle s'arrête de mourir. Il a beau la lancer assez haut pour couvrir une maison, jusqu'au ciel, ça n'avance plus.
-Mâtin de mâtin ! elle n'est pas morte, dit-il.
En effet, sur la pierre tachée de sang, la taupe se pétrit ; son ventre plein de graisse tremble comme une gelée, et, par ce tremblement, donne l'illusion de la vie.
-Mâtin de mâtin ! crie Poil de Carotte qui s'acharne, elle n'est pas encore morte !
Il la ramasse, l'injurie et change de méthode.
Rouge, les larmes aux yeux, il crache sur la taupe et la jette de toutes ses forces, à bout portant, contre la pierre. Mais le ventre informe bouge toujours.

Et plus Poil de Carotte enragé tape, moins la taupe lui parait mourir."
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : LIRELIRE
  • : Ce blog est destiné à recevoir et à diffuser nos avis de lecteurs à propos des livres choisis (élire) et lus (lire).
  • Contact

licence et trace carbone

Lirelire   Josiane Bicrel est mis à disposition selon les termes de la licence creativecommons by-nc-sa/4.0

Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les mêmes Conditions 

Lirelire est neutre en carbone.

 

Rechercher

Classement Alphabétique Des Auteurs