Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 10:12

Anima, Bestiae verae, felis sylvestris catus carthiusianorum, passer domesticus, canis lupus familiaris inauratus investigator... du titre aux sous-titres et aux titres de chapitres, Wajdi Mouawad égrenne les mots latins.

Du premier au dernier chapitre, il multiplie aussi les narrateurs : chat, colombe, singe, araignée, chien, corbeau ou rat ... à chaque chapitre il nous faut comprendre selon quel point de vue nous découvrirons l'histoire.

Cette histoire est celle de Wahhch Debch dont le nom est chargé d'un sens qu'il mettra, comme le lecteur, environ 400 pages à découvrir, une histoire qui l'entraîne du Québec aux réserves indiennes d'Amérique, d'Arizona au Colorado... mais toujours plus près de Sabra et Chatila, de l'innommable.

C'est un itinéraire jalonné par des épisodes d'une violence inouïe dont l'unité n'apparaît que lors des derniers chapitres.

C'est aussi en arrivant à ces derniers chapitres de ce gros roman de 494 pages que j'ai compris que les mots latins, les animaux narrateurs, ne sont pas du tout, du tout des caprices de romancier pour se singulariser : Cette histoire ou Histoire a ôté à l'homme toute humanité, la langue même a perdu son sens. "Perdre son âme" c'était même l'objectif pour certains ! alors ce titre_comme la photo en première de couverture_ Anima ressemble à la quête désespérée d'une âme perdue, la voix des narrateurs animaux est comme le souvenir d'une humanité égarée dont paradoxalement les animaux seraient plus détenteurs que nous.

Bref, un très grand roman, d'une violence et d'une puissance qu'il faut être prêt à affronter. Et pour finir, comme je voudrais croire que tout cela est pure imagination !

Je ne résiste pas au désir de revenir sur l'épilogue :

"J'ai vérifié sur une carte. Je les ai imaginés tous les trois monter encore plus haut, pour arriver à Inuvik, attendre la glaciation, avant de poursuivre le long des chenaux gelés, vers Tuktoyaktuk, dans la baie de Kugmallit, ouverte sur la mer de Beaufort et le grand océan Arctique. Que jetteront-ils dans le tumulte des vagues ? Que voudront-ils confier aux abysses ? Quelle douleur ? Quel chagrin ? Il existe, tout au fond des mers,des poissons monstrueux doués de parole, gardiens d'une langue ancienne, oubliée, parlée jadis par les humains et par les bêtes aux rivages des paradis perdus.[...] Nous réapprendrions à parler. Nous inventerions des mots nouveaux Wahhch retrouverait son nom. Tout ne serait pas perdu."

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 18:10
Detambel, Régine, Des petits riens au goût de citron

Nom de l'auteur: Régine Detambel

Titre du recueil : Des petits riens au goût de citron

Édition : Thierry magnier

Collection : nouvelles

Titres des nouvelles que contient ce recueil :

-des petits riens au goût de citron

-Angelo

-une île flottante

-SMS

-entre chien et loup

-les chaussures blanches

-l'homme de sa vie

-un nombre utile aux sages

-nuages

-la lumière du jour

-voleur de paille

-ciels

Voici deux nouvelles

présentation des petits riens au goût de citron :

L’histoire se passe dans un salon

Époque: contemporaine

Les personnages principaux sont: Magali et une dame

Magali est bavarde. La dame est joyeuse

Voici un passage « Elle demande à maman un citron pressé, sans sucre. » Je choisis ce passage car c’est le moment où elle a une envie de citron comme dit le titre. Page 10

présentation de Angelo:

L’histoire ce passe dans un hôpital.

Époque : contemporaine

Les personnages principaux sont: Éva, l’arrière-grand-mère d 'Éva(Jeanne) et Angelo.

Eva est timide. Jeanne est bavarde et rêveuse. Angelo est heureux

Voici un passage « Passe un aide-soignant qui pousse un chariot:-chaud devant ,que j'aille pas te faire tomber de la soupe brûlante sur les cuisses ! Papote, chaud devant. »

J'ai choisi ce passage car c’est le moment où elle rencontre Angelo . Page 25

J'ai bien aimé ce livre car il nous montre plusieurs aspects de la vie .

Océane G. 4D 28 /09/2015

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 17:33

Nom puis prénom de l’auteur : Karle Vincent

Titre du recueil : Un clandestin au Paradis.

Edition : Acte Sud Junior.

Collection : D’une seule voix.

Titre de la nouvelle que contient ce recueil : Un clandestin au Paradis.

Présentation de la nouvelle : L’histoire se passe dans un quartier paisible, Paradis, en France à notre époque.

Les personnages principaux sont Zaher et Matéo. Zaher est Afghan. Il vient d’Afghanistan, il fuit la guerre avec sa famille. Il est lycéen et assez timide. Il apprend vite à parler français et d’autres

langues. Matéo est français et lycéen. Il fume sans que ses parents le sachent. Il adore prendre des photos sans intérêt. Son père est policier et sa mère est professeur.

Extrait représentatif : « Quand j’ai réussi à avoir des nouvelles de Zaher, il était trop tard.

Ils les ont ramenés chez eux. Ils ont réveillé son père et ils l’ont arrêté. Il était endormi, il travaille la nuit et il dort le jour. C’était Zaher qui traduisait ce que disaient les flics. Puis sa mère est rentrée et ils les ont emmenés tous les quatre. On les a enfermés pour la nuit dans un centre de rétention, et on les a expulsés le lendemain matin vers l’Afghanistan.(Page 64)

J’ai choisi ce passage car c’est injuste d’expulser des gens alors qu’ils avaient fait une demande d’asile.

Mon avis sur ce livre : J’ai trouvé ce livre intéressant car il raconte la vraie vie. Il est enrichissant car il montre comment les personnes étrangères sont expulsées.

Noémie C, 4D, 27/09/15

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 15:09
Bourgeyx Claude, Le fil à retordre

Titre : Le fil à retordre : 42 histoires extravagantes

Auteur : Claude Bourgeyx

Illustrations de Serge Bloch et Bruno Jarret.

Éditeur : Nathan

Collection : Pleine lune

Genre : recueil de 42 nouvelles humoristiques

Dialogue pour jouer est la 8e nouvelle du recueil

Cette histoire se passe à l'école. Les principaux personnages sont: Gigi-Crevette et Nono-Gros-Bras. Les deux enfants veulent jouer à un jeu et l’un propose de jouer à Dieu. Ils se chamaillent pour savoir qui sera Dieu et qui sera humain. Nono-Gros-Bras dit que Gigi-Crevette sera une humaine sur terre, mais elle ne veut pas et Nono argumente en disant qu'elle est une fille et que Dieu, lui, est un garçon. Nono-Gros-Bras ajoute : « Toi tu cherches toujours les histoires ! » Et elle dit : « Toi tu veux me rouler dans la farine ! » Alors Nono cherche qui elle sera et propose qu'elle soit la femme de Dieu. Gigi-Crevette se demande comment s'appelle la femme de Dieu et il répond qu'ils feraient mieux de jouer. Elle est d'accord. Mais voilà qu’elle dit quelque chose qui ne fallait pas dire !

J'ai choisi ce livre car on me l’a proposé et j'ai accepté. J’ai bien aimé les nouvelles qu'il y avait dans ce recueil et celle que j'ai choisie s'appelle « Dialogue pour jouer ». Je l'ai trouvée drôle, marrante, avec un peu de suspense à la fin, à la dernier page de la nouvelle. C’est un livre sympa.

Léa LM, 4D, septembre 2015

Partager cet article
Repost0
13 septembre 2015 7 13 /09 /septembre /2015 16:18
Kundera Milan, La Lenteur

Avec ce petit roman (moins de 200 pages), moi qui suis une admiratrice de l'oeuvre de Milan Kundera, j'ai bien failli perdre patience tant l'auteur se joue de nous en mêlant dans une architecture très complexe, autobiographie, essai, fiction et au cœur de la fiction deux histoires qui se développent en symétrie et finissent pourtant par se rejoindre quand se croisent d'une façon très improbable le chevalier du XVIIIe empruntant sa chaise à porteur et Vincent, jeune homme de notre époque, enfourchant sa moto. Tous deux, comme l'auteur et son épouse va, quittent à ce moment-là le château où se déroule tout le roman. Chacun des deux _ Vincent et le Chevalier_ vient de vivre une expérience érotico-amoureuse exceptionnelle dont aucun des deux ne sait au juste s'il en sort ridicule ou glorieux.

Mais comment rendre compte du foisonnement de ce petit roman : essai sur l'hédonisme, sur la vitesse et la lenteur, sur l'intime et le public, sur le secret et la médiatisation mais aussi galerie de portraits plus loufoques les uns que les autres dans un congrès d’entomologistes réunis eux aussi dans ce fameux château "un carré de verdure perdu dans une étendue de laideur sans verdure; un petit morceau d'allées, d'arbres, d'oiseaux au milieu d'un immense filet de routes". Chacun de ces portraits mériterait qu'on s'y attarde !

Voila, je ne hurlerai pas avec "les loups" dont Éva prédit l'attaque quand le romancier évoque son désir d'"écrire un roman où aucun mot ne serait sérieux" (p 110): l'expérience du lecteur est déconcertante bien sûr mais Kundera est passé maitre en la matière.

Si "le degré de la lenteur est directement proportionnel à l'intensité de la mémoire ; le degré de la vitesse est directement proportionnel à l'intensité de l'oubli"(p.52), alors surtout ne lisez pas trop rapidement ce petit roman !

Partager cet article
Repost0
6 septembre 2015 7 06 /09 /septembre /2015 13:18
Foenkinos David, La Délicatesse

D'habitude, je n'écris pas sur les livres que je n'aime pas. Cette fois pourtant, je le fais car je suis perplexe. Voilà un roman qui, dixit l'éditeur, "a obtenu dix prix littéraires et a été traduit dans une quarantaine de langues." Je vois même qu'il a été adapté au cinéma.

Et pourtant je n'y ai trouvé qu'une histoire sentimentale comme on peut en voir dans certains téléfilms, sans relief, à peine vraisemblable : combien iraient jusqu'à assener deux coups de poings à leur patron ?

Certes, quand j'ai choisi cette lecture, je cherchais un roman un peu léger et facile pour pallier le poids de la rentrée mais à ce point, ce n'est plus de la légèreté. Je cherchais aussi un auteur à découvrir. Ce livre est-il représentatif ?

Certes, il y a de l'humour, par moment et quelques jolies phrases aussi mais les définitions, recettes, statistiques... qui entrecoupent le récit s'apparentent à de la désinvolture.

"Une fois chez elle, assise sur son canapé, Nathalie ouvrit le paquet. Elle découvrit un distributeur de Pez. Elle n'en revenait pas, car on n'en trouvait pas en France. Ce geste la touchait profondément. Elle remit son manteau et ressortit. Elle arrêta un taxi en faisant un mouvement du bras (un geste qui lui parut subitement simple).

72

Article Wikipedia concernant les PEZ

Le nom PEZ est dérivé de l'allemand..." (p. 133/134)

Alors est-ce moi qui ai mal compris ce livre ? C'est le sens de cet article : je suis perplexe devant le succès d'un tel livre que moi je n'ai pas apprécié.

Partager cet article
Repost0
27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 20:42

Parler de ce livre n'est pas si simple quand on a à l'esprit que cette fois rien ni personne n'est fictif, ni l'histoire, ni l'auteur, ni le héros. Limonov a pourtant bien l’étoffe d'un héros picaresque côtoyant les voyous soviétiques, les poètes maudits, les bas-fonds new-yorkais, la haute société américaine, les intellectuels contestataires parisiens, le pouvoir russe, les militaires serbes, la prison et les travaux forcés et les femmes aussi belles qu'extravagantes. Cependant l'auteur ne s'attache pas ici à tracer une trajectoire cohérente pour son personnage. Il le montre tantôt pitoyable voire carrément méprisable, tantôt admirable voire héroïque et c'est justement ce qu'Emmanuel Carrère déplore à la fin de l’œuvre : La fin du livre n'est pas un fin de roman, la réalité est beaucoup plus prosaïque.

Outre cette histoire de Limonov, ce livre est aussi une analyse des événements qui se sont déroulés depuis la chute du bloc soviétique. Carrère prend souvent appui sur ce qu'en pense sa mère Hélène Carrère d'Encausse, académicienne spécialiste de la Russie. De ce point de vue, le livre est captivant car il permet de découvrir sous un autre angle des événements qui nous ont été présentés de façon souvent unilatérale au moment des événements.

Extrait de p 484, Limonov demande à Carrère : "C'est bizarre, quand même. Pourquoi est- ce que vous voulez écrire un livre sur moi ?"
Je suis pris de court mais je réponds, sincèrement : parce qu'il a _ou parce qu'il a eu, je ne me rappelle plus le temps que j'ai employé_une vie passionnante. Une vie romanesque, dangereuse, une vie qui a pris le risque de se mêler à l'histoire
." répond Emmanuel Carrère.

Dans une interview au Point, Limonov répondant à une question sur ce qu'est l'âme russe déclare :

"Vous avez lu le livre d'Emmanuel Carrère ? Voilà, vous pouvez voir que l'âme russe se manifeste encore de temps en temps."

En somme, un livre qui m'a parfois dérangée m'a toujours beaucoup intéressée. Il m'a donné envie de lire quelques textes de Limonov.

Partager cet article
Repost0
7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 14:02
Hassan Yaël, La bonne couleur

Titre: La bonne couleur

Auteur: Yaël Hassan

Edition: Casterman

Collection: Feeling

Genre: Roman

Les thèmes: angoisses, racisme, tolérance, société.

Présentation des pages de couverture:

Sur la première de couverture il y a le titre, auteur, édition, collection. Il y a Max dans une cour de récréation qui regarde Félix. Et Félix qui regarde aussi Max en s'appuyant sur un bras.

Sur la 4ème page de couverture il y a le titre en haut à gauche, le résumé à peu près au milieu, en dessous du résumé il y a une phrase «La liberté, le plus beau des combats» et il y a une image en dessous où on voit le cou de Max et 3 personnes habillées en rouge.

Présentation des deux personnages principaux:

Le premier personnage principal est Max.

Le deuxième personnage principal est Félix.

les grandes caractéristiques de l'écriture.

L'histoire est écrite en dans vocabulaire courant. (Page 8 l.8)

Ce que j'aurais pu changer dans ce livre si j'en avais eu la possibilité.

Je n'aurai rien changé. J’ai trouvé que le livre était bien comme il était, qu’il n’y avait rien à rajouter ni rien à enlever.

Ce que j’ai pensé du livre.

J’ai aimé ce livre car j'ai été surprise, quand j'ai pris ce livre le titre m’a plus parlé du thème du racisme, de la couleur de peau alors quand j'ai commencé à lire j'étais surprise. Ce livre m’a plu car il parlait de la liberté. Je le conseille aux autres car on ne se rend pas compte de tout sur le racisme.

Romane, 4B, juin 2015

****************************************************************************************************************************

Titre du livre: La bonne couleur
L'auteur: Yaël Hassan
L'éditeur: Muriel Lefebure
Collection: Casterman
L'illustrateur de la couverture:
Le genre de roman: Aventure, sentimental (triste et heureux)

Max, un garçon qui est au lycée avec un uniforme brun (le lycée a un code de couleur et la couleur brune est la pire) est un joueur de échec. Chaque jour, il est moqué à cause de sa couleur par des couleurs qui sont mieux cotées : vert, rouge et la meilleure, le violet. Il habite avec sa mère, Magda. Depuis l’année précédente, leur relation était distante, très distante. Magda ne le supportait pas, même dans les pires des cas. . . Max avait un ami qui s'appelait Franck, c’était un ami proche mais quand Franck a obtenu une autre couleur, les gens l’ont accepté alors Max s’est encore retrouvé seul. Un jour, il faisait son chemin pour aller au lycée un matin, il passe une boutique où se trouve un vieil homme, qui s'appelle Félix. Félix demande à Max s’il peut l’aider à porter un colis dans son appartement. Max accepte et l’aide. Là, une amitié commence entre les deux. Quelques semaines après, une fille de lycée avec un uniforme violet rencontre Max, elle s'appelle Marilyn. Marilyn est intéressée par Max mais Max ne connait pas "l'amour".

Personnages:
- Max, le personnage principal, un jeune homme qui a un uniforme brun, il est distant mais l'air curieux. C’est un garçon intelligent mais il n'utilise pas son intelligence. Il a une relation distante avec sa mère et son ami, Franck, il a l'habitude de rester seul. Quand il rencontre Félix, c’est un des moments superbes dans sa vie. Il sait très peu de choses au sujet de son père sauf qu'il est en prison. . .

- Félix, un personnage adjuvant, c’est un vieil homme qui garde un boutique d'antiquité. Quand il rencontre Max, il le traite comme si Max était son garçon. Lui seul est proche de Max, il le comprend plus que Magda. D’un naturel sympathique et courageux, il apprend à Max de tout ce qu'il peut.

- Magda, la mère du Max, après des incidents de l’année précédente, elle est devenue très irritable avec Max et elle ne le soutient pas comme une mère. Petit par petit, elle regrette ses actions et devient plus gentille avec Max.

- Franck, le meilleur ami de Max mais il s’en est éloigné car il est avec d'autre relations. Franck ne traîne pas avec Max car son uniforme est brun et car le brun est le pire couleur, il ne veux pas rester avec Max.

- Marilyn: Une fille sympathique. Depuis qu’elle a vu Max aux échecs, elle a des sentiments pour lui. Pour une fille avec un uniforme violet, elle essaye de son mieux d’être là pour Max.

Extrait choisi: « Concernant le gamin, il n'avait plus de réelles inquiétudes. L'intime conviction, voila ce qui comptait. Celle-ci ne lui avait jamais réservé la moindre mauvaise surprise. Et Felix était intimement convaincu que Max était une bonne recrue, malgré son jeune âge. Mais c’était Magda qu'il redoutait par-dessus tout. (Page 39).

Sur l'illustration de couverture du livre, on voit un jeune homme avec un uniforme brun (Max) qui regarde une fille avec un uniforme violet (Marilyn). On voit que les autres gens l’ignorent car ils ont une couleur différente (vert et rouge).

Ce que m’a plu dans ce livre c’est qu’il est un livre court mais qui peut émouvoir le lecteur. Ce livre explique la discrimination, par les vêtements et même par l’attitude des gens du groupe. Je conseille ce livre pour des lecteurs qui ont un peu du mal à comprendre des histoires ou à des gens qui veulent savoir comment la discrimination peut-être vécue par certaines personnes.

Rebekka, 4D, décembre 2015

Partager cet article
Repost0
6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 14:05

J'ai choisi ce livre car j'aime bien le foot et il avait l'air intéressant.
Il était bien car le langage est un peu familier et car on dirait une histoire vraie.
C'est l'histoire d'un enfant nommé Bandian qui adore le foot mais il n'a pas de ballon alors tous les matins, il vend du bois. Un jour, le docteur lui donne un ballon. Bandian décide de le peindre en bleu. Plus tard, il se fait repérer par le recruteur de St Etienne. Bandian accepte de rejoindre le club et sera la star du ballon rond
.

Extrait (p 129) : "Touré blessé, fut évacué. Karim demanda à Bandian de rentrer en jeu . Quand Touré porté sur une civière de fortune, passa prés de Bandian, il lui tendit la main

 

 

-Bandian à toi de marquer, montre-leur...Il faut gagner. Et méfie-toi du numéro 4, c'est un salaud!

Dans la tribune Béchir souriait encore et toujours, la caméra vissée à l'oeil. Quand peu aprés l'arbitre siffla la mi- temps, il se tourna vers Fanta et lui dit:

-Je savais bien que Bandian jouerait.

A la reprise, Bandian fit des étincelles. Les Castors s'étaient beaucoup usés en première mi-temps et le petit plus toujours nécessaire pour marquer leur manquait. Bandian plus vif qu'une mouche à feu dans la nuit, plus zigzaguant qu'un moustique, était partout. Il anticipait l'action et passait: petit pont. Il relançait la contre-attaque et débordait: grand-pont. Quand il réussit une belle reprise de volée ..."

Quentin 5e A 23/10/2008

TITRE : Le Ballon d’Or 

AUTEUR : Yves Pinguilly

EDITION : Rageot

COLLECTION : Rageot Romans

GENRE : Roman

THEMES : Adolescence, Football

Première de couverture :   C’est une peinture représentant Bandian (personnage principal) jouant au  ballon devant son village. ET il y a le titre.

 Quatrième de couverture : On y voit un résumé de l’histoire, le titre, l’auteur, à partir de quel âge on peut lire le livre, le code barre et le prix.

Le personnage principal : BANDIAN  est de taille normale, yeux bleus, brun, il est né un soir où la lune ressemblait à un ballon d’or  dans le ciel, il court très vite.  P12 : « Bandian était né un soir de pleine lune ... un soir où la lune était un ballon d’or dans le ciel ... un ballon de foot.»

Je n’ai pas trouvé de second personnage principal, il y en a plein...

Caractéristiques de l’écriture : elle est réaliste avec beaucoup de dialogues mais aussi de descriptions, un vocabulaire courant, avec parfois des mots de cultures africaines. P53 à 57. Il est facile à lire.

Ce que j’aurais changé au livre : Si j’avais pu, j’aurais enlevé le passage où Bandian et son ami vont en prison, car il ne sert quasiment à rien et ne change rien à l’histoire.

J’ai plutôt apprécié ce livre. Il n’est pas très dur à lire. Certains passages sont parfois amusants. Je conseille ce livre à quelqu’un qui aurait envie de lire ce livre. Il est bien.

Pierre T. 4B 1er juin 2015 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 21:54
Hugo Hector, La Rage au coeur

Titre : La Rage Au Cœur

Auteur : Hector Hugo

Edition : Hachette

Collection : Le livre de poche

Genre : Roman

Le ou les thèmes : Adolescence, famille, amitié, guerre.

Présentation de la page n°1 et 4 :- Première page : Au premier plan une adolescente brune tient en sa ma main une feuille où il y a écrit « Justice ». Au deuxième la façade d’un commerce où est écrit « meubles ».

Quatrième page : Le résumé et à sa gauche une miniature de la première couverture.

Les deux personnages principaux sont Fatimzara et Monsieur et Madame Bedar

Les grandes caractéristiques de l’écriture : C’est un roman qui est réaliste, avec beaucoup de dialogues, l’auteur utilise un vocabulaire courant. Exemples :

« -Bonjour monsieur, nous venons pour les meubles que j’ai acheté pour mes enfants. -Quels meubles ?

-Un bureau et des lits superposés. Je vous ai payé d’avance.

-- Oui, je m’en rappelle. Cela ne va pas chercher très loin.

-Vous deviez nous livrer mais il y a encore rien d’arriver.

-Je suis en faillite. » (Page.44, Dialogue entre Monsieur Frollo et Monsieur Bedar)

« D’autant que le client est sorti du magasin et qu’il écoute tout ce qui se passe. Maudite journée.

- Écoutez il s’agit d’un mal entendu gênant. Je vais vous expliquer. » (Page79, Dialogue entre un client et Monsieur Frollo)

Je n’aurais rien changé à ce roman car je pense que sinon le livre aurait été ennuyeux.

Ce roman n’est pas ennuyeux, car il montre ce que vivent certaines personnes victimes d’arnaques. De plus cette famille était pauvre, et avec l’aide des idées de Fatimzara elle a pu récupérer ses meubles. J’ai donc trouvé ce livre intéressant.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : LIRELIRE
  • : Ce blog est destiné à recevoir et à diffuser nos avis de lecteurs à propos des livres choisis (élire) et lus (lire).
  • Contact

licence et trace carbone

Lirelire   Josiane Bicrel est mis à disposition selon les termes de la licence creativecommons by-nc-sa/4.0

Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les mêmes Conditions 

Lirelire est neutre en carbone.

 

Rechercher

Mon profil sur Babelio.com

Classement Alphabétique Des Auteurs

Mon profil sur Babelio.com