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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 10:56

Nom, prénom de l'auteur : Alexandre Pouckine9782091884257.GIF

Titre du recueil : La dame de Pique

Edition : Nathan

Collection : Carrés classiques

Titre des nouvelles que contient ce recueil : La Dame de Pique

Abécédaire

 

a) amoureuse : n'y trouvant rien de décourageant, il rentra chez lui assez content du début de son intrigue amoureuse. P35

b) bal : Amène-le à mon bal, et tu me le présenteras là. P19

c) comtesse : la comtesse Anna Fedotovna. P14

d) Dieu : pour l'amour de Dieu, n'ayez pas peur. P40

e) émotion : la comtesse, pour la seconde fois, montra une vive émotion. P42

f) femme : elle s'était hâtée de congédier sa femme de chambre à moitié endormie en lui disant qu'elle n'avait besoin de personne pour se déshabiller. P43

g) gagnant : les gagnants se mirent à table avec grande appétit . P13

h) Hermann : Comment trouvez-vous Hermann ? P14

i) involontairement : Dans cette attitude, il lui rappela involontairement le portrait de Napoléon .

j) jeune : avant qu'elle eût pu se remettre de sa frayeur, le jeune homme avait disparu. P33

l) Lisabeta : Lisabeta Ivanovna n'eut pas plus tôt enlevé manteau et chapeau que la comtesse l'envoya chercher, et fit de nouveau atteler son coupé . P33

m) Moscou : il lui dit nettement qu'il n'avait pas à Paris ses villages des gouvernements de Moscou et de Saratov . P15

n) nues : elle était assise les mains dégantées, les épaules nues.P45

o) officier : mais l'officier du génie n'était plus dans la rue. P24

p) peur : rien ne me fais plus peur que les noyés . P20

q) quarante : L'un représentait un homme de quarante ans . P38

r) Russie : Hermann était le fils d'un allemand établi en Russie . P25

s) secret : pourquoi garder pour vous ce secret ? P41

t) Tomski : fit observer Tomski. P14

u) uniquement : uniquement parce qu'il avait signés quelque-une de ses lettres . P43

v) vénérer : nous bénirons tous votre mémoire et vous vénérons comme une sainte . P41

w) whist : des généraux et des conseillers privés jouaient au whist. P58

z) Zoritch : … un jour, dans sa jeunesse, perdit contre Zoritch environ trois cent mille rouble. P17

 

Mon avis sur ce livre : C'est un très bon ouvrage à lire. J'aime beaucoup les livres avec des histoires d'amour, ce livre est plutôt mystérieux, plein de secrets. Et j'ai beaucoup aimé que ça se passe au XIX ème siècle. L'intrigue m'a passionnée.

Emilie L,                                                                                                                    06/10/2014

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Auteur : Alexandre Pouchkine9782210755727FS.gif

Titre : La Dame de pique

Edition : Magnard

Collection : Classique & Contemporains

Titre de la nouvelle : La Dame de pique

 

A:argent«L'argent seul, voilà ce qui enflammait son âme » P40

B:bal«Amène- le à mon bal et tu me le présenteras »P15

C:comtesse«Mais ce qu'il a de plus étonnant, c’est ma grand-mère la comtesse Anna Fedotovna»P10

D:dame de pique «Au lieu d'un as, il avait devant lui une dame de pique »P53

E:escalier«Dites-moi seulement où je trouverai cet escalier dérobé ; j'irai bien seul »P41

F:fou«Hermann est devenu fou »P54                        

G:gagnantes«Ne pouvez-vous pas, dit  Hermann, m’indiquer trois cartes gagnantes »P54

H:Hermann«Comment trouvez-vous Hermann? dit un des convives en montrant un jeune officier du génie » P10

I:influence«Persuadé que la comtesse pouvait exercer un maligne influence sur sa vie, il s'était imaginé qu’il apaiserait ses mânes en assistant à ses funérailles»P43

J:jeu«Le jeu m'intéresse, dit Hermann mais je ne suis pas d'humeur à risquer le nécessaire pour gagner le superflu »P10

L:Lisabeta Ivanovna «Je te pardonne ma mort pourvu que tu épouses ma demoiselle de compagnie Lisabeta Ivanovna »P46

M:morte«Je la quitte à l'instant, elle est morte »P40

N:Naroumof«On jouait chez Naroumof, lieutenant aux gardes à cheval »P5

O:officier«Elle aperçut un officier du génie, immobile, les yeux fixés sur elle »P21

P:présence«Sa présence fit aussitôt rougir jusqu'aux oreilles  la demoiselle de compagnie »P17

Q:quittant«Plus d'une fois quittant le luxe et l'ennui du salon (...) elle pleurait tout à son aise »P21

R:remords«Au fond du cœur, il sentit bien quelque chose comme un remords, mais cela passa »P33

S:secret«Alors il lui apprit un secret que chacun de vous, j’en suis sûr, payerait fort cher »P13

T:Tchekalinski«Il y avait à Moscou une société de joueurs riches, sous la présidence du célèbre Tchekalinski »P49

V:vision«Hermann rentre dans sa chambre et écrivit aussitôt toutes les circonstances de sa vision »P47

W:whist«Des généraux et des conseillers privés jouaient au whist »P49

Y:yeux«Dans ses yeux ternes on lisait l'absence de la pensée »P23

Z:Zoritch«Un jour, dans sa jeunesse, il perdit contre Zoritch environ trois cents mille roubles »P14

 

Avis : J’ai trouvé cette nouvelle un peu étrange  car  le fantôme de la comtesse  revient pour se venger d'Hermann  , mais ce que j'ai aimé c'est qu'il y a une morale et que l'assassin a été puni.

 

Clément  F. 4B   15/10/14

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Pouchkine Alexandre

La Dame de pique

Edition : Magnard

Collection : livre de poche

Ce titre ne contient qu’une seule nouvelle : La dame de pique.

Elle se déroule en hiver vers le 18e 19e siècle d’après le port des habits des jeunes femmes.

Les deux personnages principaux de l’histoire sont Hermann et Lisabeta Ivanovna.

Hermann : est un jeune officier qui aime bien les jeux d’argent et comme il avait entendu parler des trois cartes gagnantes que détenait Lisabeta, il fera tout pour les obtenir même tuer s’il le faut.

Lisabeta Ivanovna est une jeune femme ravissante

qui est aimable. À la fin elle se fera manipuler par Hermann.

Hermann est devenu fou .Il est à l’hôpital d’Oboukhof. Ça nous montre à quel point les jeux de hasard peuvent nous faire perdre la tête. P 54.

J’ai trouvé ce livre passionnant à lire car il y avait de  tout : du suspense, de l’amour, de l’amitié, de la  tristesse, de la manipulation, la mort …      

Quentin B, 4eD        01/10/15

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 10:39

Titre du recueil : Vanina Vanini Le coffre et le Revenant
Auteur : Stendhal 9782011691903FS.gif
Collection : Etonnants Classiques
Edition : GF Flammarion
Titres des nouvelles que contient ce recueil : Une enfance grenobloise, Au service de l’empire, Stendhal italien, Vanina Vanini, le coffre et le revenant


Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :


Angleterre.( ligne 10 p.1) Les beautés blondes et réservées de la noble Angleterre avaient brigué l'honneur d'assister à ce bal; elles arrivaient en foule.
Banquier.(ligne 3 p.1) M. le duc de B***, ce fameux banquier, donnait un bal dans son nouveau palais de la place de Venise.
C’était.(ligne 1 p.1) C'était un soir du printemps de 182*.
Donnait.(ligne 3 p.1) M. le duc de B***, ce fameux banquier, donnait un bal dans son nouveau palais de la place de Venise.
Etait.(ligne 8 p.1)
Fameux.(ligne 3 p.1)
Homme.(ligne 15 p.2)
Disait-ils.(ligne 8 p.2)
Jeune.(ligne 1 p.2)
Les.(ligne 10 p.2)
Moins.(ligne 24 p.3)
Nouvelle.(ligne 7p.3)
On.(ligne 6 p.2)
Presque.(ligne 19 p.2)
Quelle.(ligne 13 p.4)
Rome.(ligne 2 p.1)
Soir.(ligne 1 p.1)
Tout.(ligne 3 p.1)
Unique.(ligne 11 p.4)
Venise.(ligne 2 p.1)
Pour les lettres G,K,W,X ,Y et Z je n’ai pas trouvé dans le livre


Mon avis : J’ai trouvé que ce livre était  ennuyant.
M. Vincent 4D                                                                                                                  06/10/2014

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Auteur: Stendhal

Titre: Vanina Vanini

Edition: Magnard

Collection: Classique et contemporains

 

Abécédaire:

 

A: Asdrubale : p.10;L.27 «Le prince don Asdrubale»         

B: baïonnette : p.17;L.192 «blessé d'un coup de baïonnette»

C: Carbonaro : p10;L.37 «Un jeune carbonaro «         

D: Douleurs : p.47;L.860 «Sa douleur»

E:                   

F: Fort St Ange: p.10;L.37 «détenu au fort Saint Ange»

G: geôlier: p.46;L.853«les geôliers avaient tant promis»         

H: Homme: p.47;L.876 «mariez-vous sagement à l'homme»

I: Inconnu : p.16;L.166 «le lendemain l’inconnu»                

J: Jeune: p.39;L.679 «jeune homme fanatique dangereux»

K

O: opiner: p.38;L.672«mais plusieurs opinèrent»                       

L: Livio Savelli : p.11 ; L.43 «don Livio Saveli»

M: Missiliri : p.17;L.181 «je m'appelle Pietro Missirilli»                

N: Nièce: p.38;L.662 «nièce du gouverneur»                

P: prince:p.11;L.51 «le prince don Asdrubale»

Q:                              

R: Rome : p.9;L.1 «tout Rome était en mouvement»

S: Sauvé : p.10;L38 «de se sauver le soir même»                   

T:

U: «parti» Ultra          

V: Vanina: p.10;L.23 «mais enfin la princesse Vanina Vanini»

W: …/ X:…/ Y: …/          

 

Martin R, 4B                                                                                                        16/10/14

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 18:54

 Titre : Boule de suif

 Collection : classique &patrimoinehttp://ecx.images-amazon.com/images/I/51LhD0R6ZeL.jpg

 

 

Agir ainsi serait moins de la bravoure que de la témérité. P17

Boule de suif et Cordunet. P32

Ce n'était point de la troupe. P8

 Des légions de francs-tireurs aux appellations héroïques. P9

 Ex marchand de suif ou de savon . P9

 Fanatique : Bien qu'il fût fanatique des illustres capitaines, le bon sens de cette paysanne le faisait songer à l'opulence qu'apporteraient dans un pays tant de bras inoccupés et par conséquent ruineux, tant de forces qu'on entretient improductives, si on les employait aux grands travaux industriels qu'il faudra des siècles pour achever.. P39

 Gagner : Il se leva, gagna la porte, répéta encore une fois : « Une infamie ! » et disparut..P64

 Honnête : . elle, tâchait de se montrer plus fière que ses voisines, les femmes honnêtes, tandis que lui, sentant bien qu’il devait l’exemple, continuait en toute son attitude sa mission de résistance commencée au défoncement des routes. P34

Il : si les Français faisaient, comme il en était question, un retour offensif par Dieppe, la rencontre ne pourrait avoir lieu qu’à Tôtes. P51

 Je vous ferais respectueusement observer. Monsieur, que votre général en chef nous a délivré une permission de départ pour gagner Dieppe ; et je ne pense pas que nous ayons rien fait pour mériter vos rigueurs. P14

K(je n'ai pas trouvé )

 L : L’homme, bien connu, était Cornudet le démoc, la terreur des gens respectables..P38

 Mais la forte Mme Loiseau qui avait une âme de gendarme  resta revêche, parlant peu et mangeant beaucoup.. P30

 Nuance : Quand il buvait, sa grande barbe, qui avait gardé la nuance de son breuvage aimé, semblait tressaillir de tendresse. P 37

 On cita toutes les femmes qui ont arrêté des conquérants. P56

 Personne ne la regardait, ne songeait à elle .P24

 Quelle charmante femme. P66

 Rattraper :  « Y songez-vous, dans cette neige ? avec nos femmes ? Et puis nous serions tout de suite poursuivis, rattrapés en dix minutes, et ramenés prisonniers à la merci des soldats. »

Sa spécialité à elle de soigner les militaires.P59

 Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d’une pensée ou d’une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu’ils s’arrêtaient. P56

 Un devoir sacré quand on défend la partie. P39

 Vite : Elles […] se mirent à manger vite après avoir balbutié de remerciement . P27

 W(je n'ai pas trouvé )

 X(je n'ai pas trouvé)

 Y songez-vous  dans cette neige ? P 51

 Z (je n'ai pas trouvé)

 

Morgan B, 4D                                                                                                                    06/10/2014

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 14:43

 Monsieur,

Je vous envoie cette lettre pour vous parler du livre «  Dracula et compagnie  « qui est publié chez chomienne-stephane-dracula-Gallimard.

Vous m’avez fait découvrir le XVIIe  siècle ainsi que un tout petit peu le futur mais j’ai aussi pu

redécouvrir notre époque, celle d’aujourd’hui.

Tout au long du livre, j’ai côtoyé de nombreux « Dracula » : une duchesse normalement morte mais qui s’avère un vampire, une cape transformant toute personne la portant, un mystérieux homme vivant comme un vampire, une petite sœur embêtante  venant de la Roumanie, « une robe toute blanche et propre et soyeuse » ( page 109 ), « […] la race dominante, je suis ce qu’autrefois vous appeliez un navet » ( page 143 ) deux vampires fuyant l’annihilation et s’arrêtant dans le futur où les navets remplacent les humains, un malheureux comte Dracula pris au piège d’une éclipse, un homme jouant au vampire pour effrayer les visiteurs de son château.        

Mais j’ai aussi rencontré les héros : un des gardiens d’un cimetière prêt à tout pour quitter cet effroyable cimetière, un jeune garçon résolu à démasquer l’homme vivant comme un vampire, une petite fille qui veut démontrer qu’elle avait bien une mère, …   .

Les différentes nouvelles m’ont  emmenée dans des maisons, châteaux,  appartement, cimetière.

Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire ma lettre.

                                                                                                                              Marion, 4C, mai 2014

PS Ce livre est un recueil de nouvelles du XXe siècle sur le personnage de Dracula. Stéphane Chromienne rassemble ds nouvelles de Jean Ray, Ray Bradbury, Lovecraft, Richard Matheson, Karen Robards, David A. Johnstone, Fredric Brown et Woody Allen

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Auteur : Stéphane Chomienne

Titre du recueil : Dracula et compagnie                        

Edition:  La bibliothèque              

Collection: Gallimard

Titres des nouvelles que contient ce recueil : 

- " Le gardien du cimetière " , " La cape " , " L'homme du second " , " Je suis d'ailleurs " , "La robe de soie blanche", "Petite sœur ou bien ... " , " Du sang ! " , "Monsieur Alucard " , "Le compte Dracula "

Abécédaire :  

A. Ange " Mon ange , murmura-t-il. " Page 54 , La cape .

B. Balivernes " Balivernes  , dit encore Henderson ." Page 34 , La cape.

C. Cape  " Et je vais vous donner une vraie cape de vampire. Page 39 , La cape .

D. Diable " Mon diable , parodia-t-elle " Page 54 , La cape .

E. Extraire  " extrayait l'outillage nécessaire à l'accomplissement de ses miracles ." Page 60 , L'homme du second .

F. Femme " la femme la plus poulettière qu'on puisse imaginer.  " Page 68, L'homme du second.

G. Grandpa " Hi ! Grandpa ! " Page 68 L'homme du second.

H. Henderson  " C'était la voix d’Henderson, son timbre sépulcral. " Page 50, La cape .

I. Incendie " Incendie chez un costumier ... " Page 52 , La cape .

J. Jane ( Mary Jane ) " Je crois que ça m'a rendue méchante . Je veux dire avec Mary Jane " Page 107, La robe de soie blanche .

K. Koberman " Il voyait à travers la paroi du ventre de M.Koberman , en plein dans son interieur . " Page 72 L'homme du second.

L. Leonardo " Je tourne la tète de Leonardo dans le bon sens. "  Page 115, Petite sœur ou bien ...

M. Merveilleuse " Peter a une merveilleuse imagination, n'est-ce pas, mon ange ? " Page 124, Petite sœur ou bien ...

N. N'y" Il était occupé à se regarder dans le miroir et il n'y voyait personne ! " Page 45 , La cape .

O. Ossip " Ossip et Velitcho me regardent. Ils croient que je dors. Je résisterai encore une minute, une seconde peut-être ... " Page 29, Le gardien du cimetière.

P. Poser" Dans l'esprit de Mme Grimm s'évanouirent toutes les questions qu'elle avait pensé pourvoir lui poser. " Page 149, Monsieur Alucard .

Q.  /

R. Regarde " Regarde  j'ai dis méchamment regarde la tableau. " Page 110, La robe de soie blanche .

S. Sheila " Et voilà que Sheila , cet ange blond , était apparue et qu'elle lui avait sorti de l'esprit toutes ses pensées morbides , ses idées de boissons , de folie , de miroir sans reflets , pour le plonger dans des rêves éperdus de lèvres rouges , d'yeux d'un bleu éthéré , et de délicats bras blancs . " Page 47, La cape.

T. Type " Un type ne peut même plus se défendre " Page 119, Petite sœur ou bien ...  .

U. Un " Je ne veux pas dire.. Un miracle ... Non. Je veux dire s'il était tout a fait différent à l’intérieur. " Page 69, L'homme du second.

V . Velitcho " Ni Ossip ni Velitcho ne boivent le "chur " ; ce matin ils ont oubliés les trois tasses sur la table, seule la mienne contenait les restes de breuvage, la leur était nette ! " Page 29, Le gardien du cimetière.

W : /

X : /

Y : Yeux " Les yeux  assoiffés de sang " Page 69 , L'homme du second .

Z : Zéro Je n'ai pas trouvé : zéro mot qui commence par la lettre Z .

Mon avis sur le livre :

J'ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup de moment de suspens dans les passages du livre où le vampire s'apprête à tuer sa proie et que ça proie lui échappe. Ce qui était un peu ennuyant c'est que c'était toujours les vampires qui mouraient donc on pouvait facilement deviner la fin de l'histoire .

Théo J. 4D                                                                                                            05/10/2014.

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 Titre du recueil : Dracula et compagnie

 Edition : 9 nouvelles

Collection : La bibliothèque Gallimard

Titre des nouvelles que contient ce recueil :

               -Le Gardien du cimetière

               - La Cape

               -L’Homme du second

               -Je suis d’ailleurs

               -La Robe de soie blanche

               -Petite Sœur ou bien…

               -Du Sang !

               -Monsieur Alucard

               -Le Compte Dracula

 

RAY ; Jean  Le Gardien du cimetière

L’histoire se déroule dans le cimetière de Saint-Guitton. Cela se passe fin XIXe et début XXe siècle.

Les personnages principaux sont Velitcho, Ossip et l’homme dont on ne connaît pas le nom. Velitcho, qui est un tireur remarquable, a l’apparence de bouledogue. Quant à Ossip, on ne sait rien de lui mis à part qu’il a, lui aussi une apparence de bouledogue et qu’il cuisine extrêmement bien.

« Ami, si tu ne peux pas fuir, ceci sera la place de ta tombe.

Ils en ont tué sept. Je serai le huitième, car je n’ai plus de force, je ne sais ce qui se passe ici. C’est un horrible mystère. Fuis !  Pierre BRUNEN.»

J’ai choisi ce passage car c’est le message du prédécesseur du personnage principal et je trouve qu’il représente bien la nouvelle. Il se trouve à la page 30.

BLOCH, Robert, La Cape

L’histoire se déroule chez Lindstrom ; un ami à Henderson. Cela se passe à peu près au XXe siècle.

 Les personnages principaux  sont Henderson, Sheila DARRLY, et Marcus Lindstrom. Henderson et Sheila ont une cape qui les vampirise. Mais Lindstrom n’en sait rien.

 « Du sang. Comme il serait bon de voir du sang. De pouvoir aspirer sa chaleur, goûter au rouge flux de sa vie. »

J’ai choisi ce passage car je trouve qu’il représente bien l’histoire. Il se trouve à la page 53.

 BRADBURY, Ray, L’Homme du second.

Cette histoire se déroule en l’an 1927.

Les personnages principaux sont Mr Koberman et Douglas. Ce dernier a 11 ans, est curieux et fait un nombre incalculable de bêtises. Mr Koberman est raide, grand et pâle. Il n’est pas précisé sa nature mais il n’est ni humain, ni animal. C’est une sorte de monstre solide ou un vampire.

« Le soleil mettait une froide lumière sur un trésor à demi révélé : six dollars soixante-dix en décimes d’argent dans la poitrine de Mr Koberman. »

J’ai choisi ce passage car c’est à ce moment que l’on apprend que Mr Koberman n’est pas un humain mais plutôt un vampire. Il se trouve à la page 77.

LOVECRAFT, Howard Phillips, Je suis d’ailleurs

L’histoire se déroule dans un vieux château au cœur d’une grande forêt sombre apparemment en Égypte. Cela se passe à peu près au XIXe siècle.

Le personnage principal est le narrateur de la nouvelle. On ne sait pratiquement rien de lui mis à part qu’il vit seul dans un château sombre au cœur d’une grande forêt toute aussi sombre.

« Je me rendis soudainement compte, dans un moment d’agonie, que la répugnante charogne était à quelques centimètres de moi ; il me semblait entendre la sifflante et caverneuse respiration. Presque fou, j’eus encore la force de tendre le bras pour écarter la fétide apparition si proche de moi quand, dans une seconde où les cauchemars du cosmos rejoignirent les accidents du présent, mes doigts entrèrent en contact avec la pâte pourrissante et couverte du monstre sous cet encadrement d’or. »

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où le personnage principal voit le monstre en décomposition. Il se trouve à la page 102.

MATHESON, Richard, La robe de soie blanche

L’histoire se déroule au XXe siècle. La nouvelle est ce qui vient de se passer.

Le personnage principal est le narrateur de la nouvelle et une fille. Elle n’a pas connu sa mère.

 « Si j’en ai une. J’ai presque crié ça. En pointant un doigt sur le portrait de maman. »

 J’ai choisi ce passage car c’est le moment que j’ai préféré dans la nouvelle. Il se trouve à la page 109.

 

ROBARDS, Karen, Petite sœur ou bien…

L’histoire se déroule au XXe siècle. La nouvelle se déroule à l’instant présent.

Le personnage principal est Peter. Il a 6 ans. Il a, pour Noël, été en Roumanie chercher une petite sœur qui, en fait, était un vampire.

« Ça continue à approcher, ça se coule, ça se traîne sur le bois poli du couloir. Puis ça s’arrête, et je commence à me détendre – jusqu’à ce qu’il me vienne à l’esprit que le bruis ne s’est peut être pas arrêté si la chose est passée du parquet à la moquette, qui étouffe le bruit. »

J’ai choisi ce passage car c’est le début du moment le plus terrifiant de la nouvelle. Il se trouve à la page 132.

BROWN, Frédéric, Du sang !

 L’histoire se déroule à peu près en 502 200. C’est l’instant présent, comme dans quasiment toutes les nouvelles de ce recueil.

 Les deux personnages principaux sont Vron et Dreena. Ils sont les derniers survivants de la race des vampires. Dreena est plus remarquée que Vron dans la nouvelle.

« Dans leur machine à explorer le temps, Vron et Dreena, les deux derniers survivants de la race des vampire, s’enfuyaient vers le futur pour échapper à l’annihilation. Ils se tenaient par la main et se consolaient mutuellement de leur terreur et de leur faim. »

J’ai choisi ce passage car c’est la situation initiale de la nouvelle et parce que j’ai bien aimé ce moment. Il se trouve à la page 141.

JOHNSTONE, David A.Monsieur Alucard

L’histoire se déroule aux environs du XXe siècle. L’histoire se déroule à sept heures du soir.

Les personnages principaux sont Mme Grimm et Mr Alucard. Ce sont les deux seuls personnages de la nouvelle.

«  Le bruit se répercuta dans la cave tandis qu’un autre son provenait de l’intérieur de la bière. Mme Grimm souleva le couvercle, et son visage se creusa de rides douloureuses. »

J’ai choisi ce passage car c’est le moment où Mme Grimm réveille Mr Alucard. Il se trouve à la page 145.

ALLEN, Woody, Le Compte Dracula

L’histoire se déroule quelque part en Transylvanie, vers le XXe siècle.

Le personnage principal est le Compte Dracula. C’est un vampire.

« La clarté du jour envahit le placard ; l’horrible monstre pousse un cri perçant et se transforme lentement en un squelette. Puis il se dissout en poussières devant les yeux des quatre personnes présentes »

Votre avis sur le livre :

J’ai trouvé ce livre fascinant car il y a des vampires partout, mais aussi captivant car on veut savoir la suite.

 

                                   Camille G. 4A, le 2 Octobre 2015

 

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 14:43

Ce recueil de nouvelles fantastiques est publié par Magnard, collection Classiques et contemporains. Poe, Gautier, Gogol, Maupassant sont les auteurs de ces nouvelles.

La
 première histoire a pour titre "Le coeur révélateur", son auteur est Edgar Allan Poe. Je trouve l'histoire intéressante car il y a beaucoup de suspense, du début jusqu'à la fin. Contrairement à d'autres histoires, on devine difficilement la fin, elle est très surprenante.

"Deux acteurs pour un rôle" de Théophile Gautier est une autre nouvelle de ce recueil. L'histoire y est intéressante car très mouvementée, il y a beaucoup d'événements, très fascinants, il y a aussi beaucoup de suspense et la fin de l'histoire n'est pas très facile à imaginer, elle est très originale. Finalement, à la fin de l'histoire, le comédien a tout à gagner mais en fait il ne veut rien, juste retrouver une vie paisible. L'histoire est surprenante, on est étonné quand on arrive à la fin.

Julie, 3D, 10/10/2008feuilles


Nouvelles fantastiques, réponses aux quatre auteurs :

 

Cher Edgar Poe,
J'ai lu votre texte Le Coeur révélateur, qui a été traduit par Charles Baudelaire. A la fin de la lecture de votre texte j'ai pu découvrir des personnages comme: Celui qui incarne le personnage principale (vous, le narrateur), le vieillard avec un de ces yeux qui ressemble à celui d'un vautour et les trois policiers. Cette histoire se passe dans la maison du vieillard. Parfois vous répétiez plusieurs fois le ou les même(s) mot(s) par exemple ligne 37:. « écoutez ! plus haut ! — plus haut ! — toujours plus haut ! — toujours plus haut ! »

J'ai apprécié la lecture de ce texte.

Cher Théophile Gautier,
Après avoir lu votre texte, Deux acteurs pour un rôle, j'ai découvert les personnages : Henrich, Viennoise, Le diable et Katy, la Tante. Quelques paroles du diable (ligne 27 du III) : « Ah ! ah ! mon petit monsieur, vous voulez jouer le rôle du diable ! Vous avez été bien médiocre dans le premier acte, et vous donneriez vraiment une trop mauvaise opinion de moi aux braves habitants de Vienne. Vous me permettrez de vous remplacer ce soir, et, comme vous me gêneriez, je vais vous envoyer au second dessous. »


Cher Guy de Maupassant,
J’ai fini de lire votre texte La nuit : cauchemar. Le seul personnage que j’ai pu découvrir est vous (le narrateur) vous faite toute l’histoire a vous seul. Vous m’avez fait découvrir Paris : « Je m'arrêtai sous l'Arc de Triomphe pour regarder l'avenue, la longue et admirable avenue étoilée, allant vers Paris entre deux lignes de feux, et les astres ! Les astres là-haut, les astres inconnus jetés au hasard dans l'immensité où ils dessinent ces figures bizarres, qui font tant rêver, qui font tant songer.

J'entrai dans le bois de Boulogne et j'y restai longtemps, longtemps. »

Cher Nicolas Gogol,
Lors de la lecture passionnante de votre texte La Perspective Nevski vous m’avez fait découvrir les personnages suivants :« je », Le lieutenant Pirogov, Le peintre Piskariov, Schiller, Hoffmann, Kuntz
J’ai apprécié quand vous écrivez (ligne 54) : « À cette heure du jour, il serait gênant pour une dame de se trouver dans la rue, car le peuple russe affectionne les expressions fortes, et les dames n'entendent jamais de semblables, même au théâtre. »

Kevin LB, 4C, 12/05/2014

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Auteurs : Poe Edgar Allan, Gautier Théophile, De Maupassant Guy, Gogol Nikolaï                                                                                 

 Titre : Nouvelles fantastiques

Éditeur : Magnard

 Collection : Classiques & contemporains

 Titres des nouvelles : Le cœur révélateur, Deux acteurs pour un rôle, La nuit, La perspective Nevski

 

A. Acteur « N'est-ce pas, monsieur, qu’aucun acteur n'a mieux joué le rôle de Méphistophélès que mon camarade que voilà ? » Page 34, Deux acteurs pour un rôle

B. Blonde « Moi, je te parle de la blonde, celle qui marchait derrière elle et qui est partie de ce côté-là ! » Page 66, La perspective Nevski

 C. Cœur « J'avoue la chose!- arrachez ces planches ! C'est là!-c'est le battement de son affreux cœur ! » Page 19, Le cœur révélateur

 D. Diable « Avez-vous jamais vu le Diable, monsieur Heinrich ? » Page 34, Deux acteurs pour un rôle

 E. Éperon « Les éperons furent enfin prêts. » Page 107 La perspective Nevski

 F. Fantasmagories « Quelles fantasmagories s'y déroulent en un seul jour ! » Page 57 La perspective Nevski

 G. Gracieuse « Et quelle démarche gracieuse et ravissante » Page 88 La perspective Nevski

 H. Heure « Mais l'heure! L’heure ? Qui me dirait l'heure ? » Page51 La nuit

 I. Illusion « Non! Ce n'était pas une illusion ! » Page 72  La perspective Nevski

 J. Jour « Mais le jour était encore loin, si loin de paraître ! » Page 48 La nuit

 K. Kopeck « Pour un seul nez, quatorze roubles et quarante kopecks. » Page 101 La perspective Nevski

 L. Lieutenant « Je suis lieutenant, et alors ? » Page 99 La perspective Nevski

 M. Méphistophélès « Le rideau baissé, le public demanda à grands cris que Méphistophélès reparût. » Page 39 Deux acteurs pour un rôle

 N. Nuit « Mais depuis quand la nuit dure-t-elle ? » Page 44 La nuit

 O. Œil « Son œil désormais ne me tourmenterait plus. » Page 15 Le cœur révélateur

 P. Perspective « Oh! La perspective Nevski plaît encore plus aux dames. » Page 55 La perspective Nevski

 Q. Quotidienne « La banalité quotidienne résonnait singulièrement dans sa tête. » Page 86 La perspective Nevski

 R. Rêve « Non! C’étaient ses propres rêves qui se moquaient de lui. » Page 71 La perspective Nevski

 S. Stupide « Il était vraiment aussi stupide et naïf qu'un enfant. » Page 76 La perspective Nevski

 T. Théâtre « Aussi quelle idée avez-vous eue de vous livrer au théâtre ; » Page 25 Deux acteurs pour un rôle

 V. Violence « Ce qu'on aime avec violence finit toujours par vous tuer. » Page 44 La nuit

 

J'ai aimé la nouvelle «  La nuit » de Maupassant car l'univers de Paris désert m'a plu. Croire et imaginer que l'on est le seul homme vivant sur terre me plaît.

 

C. MALO , 4D                                                                                                            6 Octobre 2014

 

 

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 14:00

Quintin, Lundi 12 mai 2014

 

Cher Philippe Claudel,

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J’ai lu votre livre « Les confidents et autres nouvelles »

La première nouvelle de ce recueil est « Les confidents ». Cette nouvelle nous transporte au XVIIe siècle dans le « Sud de la France qui pourrait être l’Espagne » comme vous le dites dans cette nouvelle. On y rencontre Beata Désidéro, une jeune comtesse qui fait un rêve étrange.

 

La nouvelle « L’Autre » évoque le destin d’Eugène Frolon. Il veut suivre les traces du poète Jean-Arthur Rimbaud mais il est dépouillé au cours du voyage donc il vit en ascète à Tunis. Il est rebaptisé Reïmbo par les Arabes. Il leur récite des poèmes de Rimbaud qu’il connaît par cœur. Il entreprend de rejoindre Harrar mais il est rendu presque inconscient par la fatigue et la faim en traversant ces déserts. Il finit enfin par rencontrer Rimbaud. Cette nouvelle se déroule au XIXe siècle.

 

La nouvelle « Paliure » est un texte dont la lecture convoque spontanément une série de références fantastiques. La nouvelle se déroule au XIXe ou XXe siècle.

 

Dans « Le voleur et le marchand » on rencontre le voleur Colin le Bihot. Cette nouvelle se déroule au XIXe siècle.

 

Cassie 4ème C

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Auteur : Claudel Philippe.

Titre : Les Confidents et autres nouvelles

Titres des nouvelles du recueil : 1. Les Confidents. 2. L’Autre. 3. Paliure. 4. Le Voleur et le Marchand.

Edition : Flammarion.

Collection : Étonnants Classiques.

Abécédaire :

Affliction : D’aucuns se méprirent sur ce changement, et crurent qu’il indiquait que la jeune comtesse, enfin sortie de son affliction, donnait ainsi la licence d’être de nouveau courtisée ; quelques audacieux furent vite détrompés ; elle continua à scruter les regards. (Les confidents. Ligne 82, page 30).

Baudruche : Mieux valait, pensait-elle, le laisser crever tout seul sa sotte lubie comme une baudruche que de lui en montrer inutilement tout le ridicule. (L’Autre. Ligne 127, page 46).

Colin : Colin vit alors le faux marchand se lever, et s’en aller dans la nuit. (Le Voleur et le Marchand. Ligne 95 page 87).

Décati : Il passait ses quelques jours de loisirs dans les bibliothèques de la ville, à moissonner les moribonds dans les in-quarto à tranches décaties, les opuscules rancis de mémorialiste des temps anciens, les libelles pédants et fielleux de petits-maîtres atrabilaires tout en mastiquant du pain noir et de la saucisse d’âne. (Paliure. Ligne106, page 73).

Empommadé : De même à la cour, prenait-elle un soin qu’on ne lui connaissait guère jusque-là à dévisager les hommes, nobliaux de province aux bottes encore crottées de la boue de leurs terres, venus mendier quelque faveurs, ou grands Royaume, empommadés et blanchis par les onguents, et qui déambulaient sous les portiques avec les suffisances hautaines de ceux qui ne sont rien, mais qui l’ignorent encore. (Les Confidents. Ligne 75, page 30).

Fatras : C’est ainsi qu’il fit l’acquisition de tout un vain fatras d’objets dont un vendeur souriant et au débit intarissable lui avait démontré l’absolue nécessité pour qui voulait affronter les étendues de l’Afrique. (L’Autre. Ligne 78, page 48).

Génie : Quand un gouri s’approcha de l’ancien marchand, celui-ci yeux clos récitait dans de grands tremblements de lèvres des phrases de génie.(L’Autre. Ligne 605, page 65).

Hospice : Chaque année, il versait une forte somme à l’hospice. ( Le Voleur et le Marchand. Ligne 201, page 90).

Inconscient : Elle était devenue inconsciente. (Les confidents. Ligne 145 page 34).

Jésuite : Beata Désidério n’osa confier son rêve à son confesseur, un jésuite borné comme un chasse-roue, qui voyait le diable jusque dans les porcs éventrés à l’étal des boucheries. (Les Confidents. Ligne 92, page 31).

Kilomètre : Mais il présentait que ce voyage serait peut-être la seule façon, et aussi la dernière, de donner à sa vie un autre dessein que celui d’une éternité creuse emplie seulement de kilomètres de cordages vendus, de soirées à se mourir d’ennui chez la notabilité de C.., d’étreintes sages dans l’obscurité d’encre de la chambre conjugale. (L’Autre. Ligne 117, page 45).

 Larcins : Colin avait une belle horreur des questions, et même s’il n’était venu depuis longtemps dans cette ville, le souvenir de ses larcins y avait peut-être perduré dans quelque mémoire pétrie de rancune. (Le Voleur et le Marchand. Ligne 9, page 83).

Mélasse : Et soudain, il eut le sentiment qu’un brouillard se dissipait, le brouillard de cette mélasse de sens et, revenu à son interrogation obsédante, il vit, oui, il vit son paliure scintiller en lettres claires et comme iridescentes devant ses yeux, pour s’offrir enfin et s’éclairer de sa lumineuse définition. (Paliure. Ligne 138, page 74).

Nef : Au-dedans, la pénombre de la nef ainsi que sa fraîcheur firent courir sur la peau de la comtesse la morsure d’un frisson. (Les Confidents. Ligne 215, page 35).

Officient : là, un petit homme sec et cireux dont les lèvres s’ornaient d’une moustache lissée de salive sacrifiait déjà malgré l’heure matinale à la cérémonie de l'absinthe avec le sérieux d’un officiant. (L’Autre. Ligne 304, page 53).

Pendards : Les anciens pendards qui hantaient jadis en compagnie de Colin les étuves et les villages ravagés par les reîtres de l’Espagnol auraient eu peine à reconnaître sous les traits de ce jeune homme à la bonne figure, qui portait bel habit et à qui tout le monde donnait désormais du « Monsieur Colin », leur ancien compagnon de débauche et de brigandage. (Le Voleur et le Marchand. Ligne 150, page 89).

Quiétude : Quant aux traits de son visage, lisses, et à la beauté de son regard ouvert par un très doux sourire, ils faisaient songer à quelque figure de bien heureux que les sculpteurs taillent dans des pierres tendres et roses, et dont ils ornent les niches oubliées d’églises à l’abandon, que l’étouffante chaleur pousse parfois, et comme par mégarde, à visiter, car le promeneur un peu las du cours de son voyage sait y trouver une fraîche quiétude propre à la rêverie et à la méditation. (Les Confidents. Ligne 312, page 39).

Ruisseau : La foule lambinait comme un gros serpent le long des boutiques d’écriture et de bougies, et chacun essayait tant bien que mal d’éviter les mares que la neige fondante avait formées dans le ruisseau. (Paliure. Ligne 7, page 69).

Silence mystique :  S’enfermant alors dans cet bureaux, il put ainsi lire, dans un silence mystique, des phrases insoupçonnables qui lui parlaient de lui et des effrois du monde, et le faisaient un peu plus, à la lecture de chaque poème de cet étrange Rimbaud, approcher un frère absent. (L’Autre. Ligne 51, page 43).

Torchis : Un soleil plein embrasait les torchis des maisons. (Le Voleur et le Marchand. Ligne 224, page 91).

Un : Il mangeait peu et son corps déjà maigre achevait quelque mois de prendre l’apparence d’un vieux cuir brun doué de paroles. (L’Autre. Ligne 504, page 61).

Vermeil : Le premier coup claqua comme un tonnerre et son écho gifla les vitraux, les voûtes, les tuyaux muets des orgues, les grands luminaires de vermeil, aux pendeloques de cristal pour aller prolonger sa course en une onde furieuse lancée jusque dans les membres de Beata, dans ses vaisseaux et ses muscles, et son ventre lui parut devenir, au terme atténué de l’écho, le siège d’une grande tempête qui la fit soudainement se pâmer. (Les Confidents. Ligne 235, page 36).

 William  Turner : Il craqua une allumette contre les vagues furieuses d’une tempête embrumée de William Turner. (Peintre aquarelliste anglais), (Paliure. Ligne 198, page 76).

X : Je n’ai pas trouvé de mot commençant la lettre X.

Youre : On a le choix, peut-être du moldave-youre qui signifie en-dessous, ou bien le bas crétois, dont le sens indique plutôt la circularité, ou encore le croate-liure qui veut dire non, ce n’est pas possible le croate… bon sang, fichue mot, fichue mémoire.

Zéro : Il y a zéro mot commençant par la lettre z !

Justine H, 4D                                                                                                                     05/10/14

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Auteur: Philippe CLAUDEL

Titre: Les Confidents

Collection : Flammarion

 

Titre des nouvelles: Les Confidents, L'Autre, Paliure, Le Voleur et le Marchand

 

A; artiste : Ce que les artistes n'avaient pas pu lui donner, elle demanda au sommeil.

B; burnous : Tant bien que mal , les missionnaires essayaient de vendre Jésus-Christ dans les villages ou sous les tentes de nomades , devant un parterre d'hommes souvent hilares qui finissaient par relever leur burnous pour leur montrer leur derrières ou leurs sexes dressés .

C ; charrier: Il put ainsi pour la première fois de son existence gagner honnêtement un repas en aidant un tonnelier à charrier ses foudres neufs et ses barriques

D:

E ; épastrouillant : Epastrouillant n'est-ce pas?

F; filles). Il partit donc mais en silence tandis que ses filles dormaient encore et après avoir déposé un baiser sur leur front.

G; grainetier: A l'approche du Caire, les frères allemands, épuisés, las et affamés troquèrent à un grainetier..,

H ; humer : Il huma le parfum du sel ...

I ; indigènes : Quelques femmes indigènes lui baignèrent le front et le firent boire.

J; jours en amande : Et cela recommença , recommença , un deuxième coup , puis un troisième coup, un quatrième , et tous les suivants , et pour chacun d'eux , le même trajet de l'oncle qui menait aux entrailles , et livrait la comtesse à un trouble grandissant qui lui faisait oublier jusqu'au nom même de Dieu , sous l'exhortation des deux hommes, dont les regards glissaient entre les jours en amande...

K;

L; lubie : Mieux valait , pensait-elle le laisser crever tout seul sa sotte lubie comme une baudruche que lui en montrer inutilement tout le ridicule.

M; masure : Parfois certains soirs, accueilli dans l'unique pièce d'une masure et invité à partager la soupe ...

N; nimbé : Les chars d'argent et de cuivre , les proues d'acier et d'argent ouvrirent des jours vierges des jours où chaque heure, essentielle, serait nimbée d'une immarcescible grâce.

 

O;

P ; peintre : Très vite elle convoqua les peintres les plus renommés.

Q:

R: ruisseau : La foule lambinait comme un gros serpent le long des boutiques d'écriture et des bougies , et chacun essayait tant bien que mal d'éviter les mares que la neige fondante avait formées dans le ruisseau.

S; submerger : La comtesse au coup porté se sentit comme envahie d'un flot de poix qui la submergeait.

T; tenter . Il se mit à genoux et tenta de rassembler les souvenirs de quelques prières, péniblement apprises jadis grâce à quelques coups de trique.

 

 

Je n'ai pas vraiment aimé ce livre.

C.Lauriane , 4D                                                                                              samedi 4 octobre 2014

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 23:00

P....., le 10 mai2014

M. Mérimée,

Je vous écris aujourd’hui à propos de « Colomba », votre livre sur la Corse du XIXème siècle, imagecouv_279538.jpgaux éditions Hatier.

Votre livre raconte, à travers une nouvelle réaliste, le voyage en Corse de Miss Lydia, une touriste irlandaise (vous le dites à la page 8) et de son père, le colonel Sir Thomas Nevil (vous l’indiquez encore une fois à la page 8). Miss Lydia veut s’y rendre pour y dessiner, et son père envisageait de pratiquer la chasse.

Lors de leur voyage, ils font la connaissance du lieutenant Orso Della Rebbia, que l’on pensait caporal (Page 21, ligne 141 « Vous m’appelez caporal et je suis lieutenant. »).

Un jour où le colonel et le lieutenant, devenus amis, n’étaient pas encore rentrés de la chasse, une jeune femme vêtue de noir arrive à cheval (à la page 40, ligne 4 : « une jeune femme vêtue de noir montée sur un cheval de petite taille ») devant l’hôtel où le colonel, sa fille et le lieutenant sont hébergés. Le lieutenant, quand il voit la jeune femme, reconnaît tout de suite sa sœur, Colomba.

Dans l’extrait 5, la fille du colonel et Orso se promènent au bord du golfe. Leur discussion les amène à se mettre en froid quelques temps, car le lieutenant n’a pas apprécié les railleries de Miss Lydia, dont l’intention était juste de plaisanter.

Colomba et son frère partent alors pour Pietranera. Les extraits 6 à 8 racontent alors le temps où le frère et la sœur sont séparés de leurs amis.

Lors de l’extrait 9, c’est la vengeance d’Orso par rapport à la mort de son père qui est racontée. Je n’en dis pas plus pour conserver le suspens. Mais on apprend également que le lieutenant est amoureux de la fille du colonel (page 115) à travers une lettre destinée à la jeune femme.

Cordialement

Raphaëlle (4ème C)

 

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Nom puis prénom de l’auteur : Prosper Mérimée

Titre du recueil : Colomba

Edition : Hatier

Collection : classiques Hatier

Titre des nouvelles que ce livre contient : Colomba

 

Abécédaire :

 A. admiration« L’admiration continue des voyageurs enthousiaste a produit une réaction. » Page 8, Colomba.

B. Birmingham  «  La Transfiguration lui avait paru médiocre, le Vésuve en éruption à peine supérieur aux cheminées des usines de Birmingham. » Page 8, Colomba

C. Corse « et le colonel apprit qu’il n’y a pas de pays où elle soit plus belle qu’en Corse » Page 10, Colomba

 D. disposition« Ces tristes dispositions étaient partagées par le colonel Nevil, qui, depuis la mort de sa femme, ne voyait les choses que par les yeux de Miss Lydia. » Page 9, Colomba

 E. Enfin « Enfin, il mit à ses pieds un joli petit stylet, moins remarquable par sa forme et da monture en cuivre que par son origine. » Page 10, Colomba

F. fille «  En outre, d’après les volontés de sa fille, le colonel stipula que le capitaine ne prendrait aucun passager » Page 12, Colomba

G. glorifier « En effet, ma famille se glorifie de compter des caporaux parmi ses ancêtres » Page 20, Colomba

 H.  Horace «  Pour se singulariser, beaucoup de touristes aujourd’hui prennent pour devise le nil admirari d’Horace » Page 8, Colomba 

I. Italie « Je ne connais de l’Italie, dit Orso, que Pise, où j’ai passé quelques temps au collège » Page 24, Colomba

 J. joli « C’est très joli, dit-elle en baillant » Page 24, Colomba

K.

L. ligne « Au lieu d’être en vedette, les vers se suivaient sur la même ligne » Page 47, Colomba

M.  maquis« Ils sortent d’un taillis qu’ils nomment  maquis » Page 10, Colomba

N. Nevil « Est-ce l’usage ici, dit miss Nevil en souriant, que les demoiselles portent ce petit instrument dans leur corset ?» Page 48, Colomba

 O. Orso « Je m’appelle Orso della Rebbia »Page 22, Colomba

 P. Poète « Miss Lydia répondit en souriant que c’était un poète florentin »Page 45, Colomba

Q. Quand « Quand la lecture fut terminée » Page 45, Colomba

 R. Rimini « Orso choisit le chant de l’enfer où se trouve l’épisode de Francesca Rimini » Page 45, Colomba

 S. Sang « Sang de la Madone, Quel trou »Page 99, Colomba

 T. Torture « Ah ! Voici enfin cette petite torture de Chilina. » Page 101, Colomba

 U. Un « Un grand figuier »Page 91, Colomba

 V. Vincentello « Quoi ! Vincentello mort aussi »Page 99, Colomba

 W. Waterloo« Est-ce que vous avez été à Waterloo ?  Vous êtes bien jeune.» Page 18, Colomba

 X. il y a un chapitre X et même un XXI dans cette nouvelle.

 Y. Yole « Sur le port, près de la yole du capitaine » Page 17, Colomba

 Z. zigzag « S’éloignant à grands pas du village, elle prit un chemin creux qui serpentait dans les vignes, après avoir envoyé devant elle le chien, à qui elle fit un signe qu’il semblait bien connaître ; car aussitôt il se mit à courir en zigzag, passant dans les vignes, tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, toujours à cinquante pas de sa maîtresse, et quelquefois s’arrêtant au milieu du chemin pour la regarder en remuant la queue. »

 

Mon avis :

J’ai bien aimé ce livre car je n’avais encore jamais lu de livre de ce genre chez moi mais il était difficile par moment à lire, (des mots difficiles).

 

 Antoine H, 4eD                                                                                                         5 octobre 2014    

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 19:00

Indications bibliographiques      

Livre : Le Scarabée d'or et La Lettre volée  

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Titre : La lettre volée   
Auteur : Edgar Allan Poe

Editeur et collection : Castor Poche Flammarion

 Genre : nouvelle d’énigme et policier

Thème principal : Enquête policière

 RésuméL’inspecteur Dupin est contacté par le préfet de police de Paris. Il lui demande de l’aider pour résoudre le mystérieux vol d’une lettre très importante, qui peut mettre en péril l’honneur et la sécurité de son propriétaire. Comment faire pour trouver ce que tout le monde cherche sans résultat ? Changer de méthode …

Choix d’un  passage

Je donnerais vraiment cinquante mille francs à quiconque me tirerait d’affaires, dit le préfet.

Dans ce cas, répliqua Dupin, ouvrant un tiroir et en tirant un livre de mandats, vous pouvez aussi bien me faire un bon pour la somme susdite. Quand vous l’aurez signé, je vous remettrai votre lettre. "(p.108)

Cet extrait montre bien l’efficacité de Dupin grâce à son changement de méthode.

 Mon jugement : Je trouve que ce livre est moyennement bien car parfois il est difficile de comprendre les phrases.

Thomas M. 4A, 07/11/2012

 

Voici un enregistrement audio de cette nouvelle par Louis Riv. de Litterature audio:

et un lien de téléchargement en MP3

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Cher auteur,

 

Le livre « Le Scarabée d’or suivi de La Lettre volée » m’a beaucoup plu. Dans « Le Scarabée d’or » j’ai apprécié surtout un des personnages, Jupiter.

Quand William Legrand découvrit le scarabée d’or et le parchemin déposé avec celui-ci sur la plage de l’île où il résidait, il rentra chez lui. Jupiter et le narrateur  l’attendaient dans sa demeure. Il ne voulut pas leur  montrer le scarabée qu’il  avait attrapé.

William Legrand découvrit une tête de mort sur le parchemin peu de temps après.

Et le mois suivant, Jupiter vint rendre visite au narrateur et lui apprit que son maitre était très «malade». Jupiter pensait que tout cela était de la faute du scarabée, qu’il aurait été mordu pas l’insecte. William Legrand avait demandé à Jupiter d’envoyer au narrateur la lettre que Massa Will avait écrit pour lui. Sur cette lettre, il demandait que le narrateur aille lui rendre visite le soir même car il avait quelque chose de très important à lui communiquer.

Quand Jupiter et le narrateur arrivèrent à la demeure de Legrand, celui-ci expliqua qu’il allait partir en expédition sur les collines et il voulait que le narrateur  l’accompagne.

Alors, ils partirent en expédition tous les trois. Arrivé sur la colline, William demanda à Jupiter de monter dans l’arbre, et Jupiter trouva un crâne, il mit le scarabée dans l’œil gauche de ce crâne, et il tomba et Legrand voulut creuser à l’endroit même et puis il se rendit compte que ça n’était point là. Alors, il creusa à l’autre endroit qu’il avait repéré et trouva le trésor en cherchant le code. Ils trouvèrent aussi  beaucoup de corps en creusant.

 

Dans « La Lettre volée », c’est le ministre qui a volé le document et qui s’en sert comme moyen de pression. Le propriétaire de la missive demande au préfet de police de récupérer son bien, mais celui-ci refuse. Il n’y avait pas de moyens pour récupérer son œuvre. Il se confie alors à Dupin et au narrateur. À la fin on découvre que Dupin retrouve la lettre en se moquant du ministre.

 

                                                                         Jeanne Henri, 4e C

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Nom puis prénom de l’auteur : Edgar Allan Poe  

Titre du recueil: Le scarabée d’or suivi de La lettre volée  

Edition: Flammarion  

Collection: Castor poche  

Titres des nouvelles que contient ce recueil: Le scarabée d’or et La lettre volée   Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :   A. Ainsi : « Ainsi, dis-je, vous avez fait fausse route, et la lettre n’est pas dans l’hôtel, comme vous le supposiez. »  page105, La lettre volée    

B. Brûlante : « J’allumai immédiatement du feu, et je soumis chaque parte brûlante.  » page64, Le scarabée d’or  

C. Crâne : « Eh ! ce n’est rien qu’un crâne ; quelqu’un a laissé sa tête sur l’arbre, et les corbeaux ont becqueté toute la viande. « page 40, Le scarabée d’or  

D. Diamants : «Nous trouvâmes des diamants, dont quelques-uns très beaux. » page 54, Le scarabée d’or  

E. Environ : « Environ un mois après, il nous fit une seconde visite, et nous trouva occupés à peu près de la même façon. »  page 105, La lettre volée  

F. Fer-blanc : « Puis je le plaçai  dans une casserole de fer-blanc, le crâne en dessous. » page 68, Le scarabée d’or  

G. Guets-apens : «Évidemment, il devait avoir prévu - et l’événement l’a prouvé- les guet-apens qui lui ont été préparés. « page 119, La lettre volée  

H. Hutte : « Au plus profond de ce taillis, non loin de l’extrémité orientale de l’île, c’est-à-dire de la plus éloignée, Legrand s’était bâti lui-même une petite hutte, qu’il occupait quand, pour la première fois et par hasard, je fis sa connaissance. »  Page 13, Le scarabée d’or   

I. Ici : « Ici, le sceau était large et noire avec le chiffre de D... ; dans l’autre il était si petit et rouge, avec les armes ducales de la famille S…. »  Page 125, La lettre volée  

J. Jupiter : « Jupiter, d’après les ordres de son maître, commença à nous éclaircir un chemin. » page33, Le scarabée d’or                  

K. Kidd : « Si Kidd avait caché son butin pendant un certain temps et l’avait ensuite repris, ces rumeurs ne seraient pas sans doute venues jusqu’à nous sous leur forme actuelle et invariable. » page 66, Le scarabée d’or  

L. Legrand : « Mon cher Legrand, m’écriai-je en l’interrompant, vous n’êtes certainement pas bien, et vous feriez beaucoup mieux de prendre quelques précautions. » page 29, Le scarabée d’or  

M. Mordu: « Je suis sûr que massa Will a été mordu quelque part à la tête par ce scarabée d’or. » page 23, Le scarabée d’or  

N. Nettoyait : « Pendant ce temps, Jupiter nettoyait les ronces  avec la faux. » page 42, Le scarabée d’or  

O. Opinion : « Une pareille opinion, dis-je, est faite pour m’étonner ; elle est démentie par la voix du monde entier. » page 115, La lettre volée  

P. Parchemin : «Je vous ai dit que c’était un morceau de parchemin et non pas de papier. » page 61, Le scarabée d’or  

Q. Querelle : « Je vois, dis-je, que vous allez vous faire une querelle avec un bon nombre d’algébristes de Paris ; - mais continuez. » page 116, La lettre volée    

R. Réputation :» Je sais qu’ils sont deux frères, et ils se sont fait tous deux une réputation dans les lettres. » page 115, La lettre volée  

S. Sullivan : «Il quitta La Nouvelle-Orléans, la ville de ses aïeux, et établit sa demeure dans l’île de Sullivan,  près Charleston, dans la Caroline du Sud. » page 11, Le scarabée d’or  

T. Trop : « Peut-être le mystère est-il un peu trop clair, dit Dupin. »page 94, La lettre volée   

U. Usage : « L’usage général qu’on peut faire de cette table est évident ; mais pour ce chiffre particulier, nous ne nous en servirons que très médiocrement. »  

V. Vélin: « Et il tira de la poche de son gilet quelque chose qui me fit l’effet d’un morceau de vieux vélin fort sale. « page 17, Le scarabée d’or  

W. Je n’ai pas trouvé               

X. Je n’ai pas trouvé de mot mais dans le livre mais il y a x2 « Dites à l’un de ces messieurs, en matière d’expérience, si cela vous amuse, que vous croyez à la possibilité de cas où x2 + px ne serait pas absolument égal à q. »  page 119, La lettre volée   

Y. Yard : « Pendant que j’y rêvais, mes yeux tombèrent sur une étroite saillie dans la face orientale du rocher, à un yard environ au-dessus de la pointe où j’étais placé. » page 81, Le scarabée d’or  

Z. Zèle : «Nous allumâmes les lanternes, et nous attaquâmes notre besogne avec un ensemble et un zèle dignes d’une cause plus rationnelle. » page 44, Le scarabée d’or  

Mon avis sur le livre : J’ai bien aimé la nouvelle sur le scarabée d’or  car elle était facile à lire et elle donnait envie de continuer à lire, de savoir la suite de l’histoire mais La lettre volée je n’ai pas aimé car elle était dure à lire (les mots étaient compliqués).  

Élise A. 4D                                                                                                                   le 4/10/2014

 


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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 21:36

Prénom et nom de l’auteur : Guy de Maupassant9782210755611_1_75.jpg

Titre du livre : Cinq nouvelles réalistes

 Édition : Magnard

Collection : Classiques et Patrimoine

Titre des nouvelles que contient ce recueil :

1 -La Rempailleuse                     4 -Le parapluie

2 -Aux champs                             5 -La parure

3 -Mon oncle Jules

Le point commun de toutes ces nouvelles est : « l’Argent »

Abécédaire des mots clés de ce recueil :

A= « Aumône » l.1 p.29 : «  Un vieux pauvre, à barbe blanche nous demanda l’aumône ». Nouvelle : Mon oncle Jules

B= « Billets » l.226 p.64 : «  Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Nouvelle : La Parure

C= « Caste » l.8 p.55 : « Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n’ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. » Nouvelle : La Parure

D= « Dot » l.3 p.55 : «  Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l’Instruction publique. »Nouvelle : La Parure

E= « Économe » l.1 p.41 : « Mme Oreille était économe » Nouvelle : La Parure

F= « Fortune » l.103 p.12 : « S’est-elle attaché à ce mioche parce qu’elle lui avait sacrifié sa fortune de vagabonde, ou parce qu’elle lui avait donné son premier baiser tendre ?» Nouvelle : La Rempailleuse

G=  « Gêne » l.9 p.29 : « Ma mère souffrait beaucoup de la gêne où nous vivions, et elle trouvait souvent des paroles aigres pour son mari, des reproches voilés et perfides. » Nouvelle : Mon oncle Jules

H=« Héritage » l.66 p.31 : « Enfin l’oncle Jules avait notablement diminué l’héritage sur lequel comptait mon père ; après avoir d’ailleurs mangé sa part jusqu’au dernier sou » Nouvelle : Mon oncle Jules

I= « Indemnité » l.250 p.51 : «  On ne nous ne demande jamais d’indemnité pour des accidents d’une si minime importance» Nouvelle : Le parapluie

J= Jeûnant l.175 p.15 : « Après m’avoir raconté toute cette triste histoire, elle me pria de remettre à celui qu’elle avait si patiemment aimé toutes les économies de son existence, car elle n’avait travaillé que pour lui, disait-elle, jeûnant même pour mettre de côté, et être sûr qu’il penserait à elle, au moins une fois, quant elle serait morte. » Nouvelle : La Rempailleuse

K= Kirsch l.184 p.15 : «On me fit m’assoir; on m’offrit du kirsch, que j’acceptai ; et je commençai mon discours d’une voix émue, persuadé qu’ils allaient pleurer. » Nouvelle : La Rempailleuse

L= Liards l.91 p.11 : «Un jour-elle avait alors onze ans-comme elle passait par ce pays, elle rencontra derrière le cimetière le petit Chouquet qui pleurait parce qu’un camarade lui avait volé deux liards » Nouvelle : La Rempailleuse

M= Masure l.16 p19 : «La première des deux demeures, en venant de la station d’eaux de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avaient une fille et trois garçons. » Nouvelle : Aux champs

N= Nécessiteux l.241 p.65 : « Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux. » Nouvelle : La Parure

O= Obligations l.238 p.17 : « La voiture sert de cabane à Chouquet ; et il avait acheté cinq obligations de chemin de fer avec l’argent.» Nouvelle : La rempailleuse

P= Pauvres l.207 p.16 : « comme ce que je viens de vous apprendre semble vous être fort désagréable, le mieux serait peut-être de donner cet argent aux pauvres ». Nouvelle : La Rempailleuse

Q= Quatre cent mille francs l.200 p.49 : « La Compagnie, messieurs, ne se croit pas engagée envers vous pour plus de quatre cent mille francs ». Nouvelle : Le Parapluie

R= Ruiner l.60 p.43 : « Tu veux nous ruiner ! » Nouvelle : Le parapluie

S= Sous l.55 p.21 : « Elle revint encore, fit connaissance avec les parents, reparut tous les jours, les poches pleines de friandises et de sous.» Nouvelle : Aux champs

T= Trésor l.122 p.13 : «Alors, pour l’apaiser, elle lui donna son argent : trois francs vingt,  un vrai trésor » Nouvelle : La Rempailleuse

U= Usuriers l.227 p.64 : «  Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs.» Nouvelle : La Parure

V= Les Va-nu-pieds l.85 p.11 : « Que je te voie causer avec les va-nu-pieds ». Nouvelle : La rempailleuse

W,X,Y,Z= Je n’ai pas trouvé

Mon avis :

J’ai aimé ce livre car le thème du rapport à l’argent est abordé sous différentes manières. Les nouvelles courtes se lisent bien car le déroulement va assez vite, il y a une intrigue du suspense et une morale.

D. Othilie 4 D                                                                                                     Le 3/10/2014

feuilles

 

Nom et prénom de l’auteur : Guy de Maupassant

Titre du recueil : Cinq nouvelles réalistes

Edition : Magnard

Collection : classiques et patrimoine

Titre des nouvelles que contient ce recueil :

-          La Rempailleuse

-          Aux Champs

-          Mon oncle Jules

-          Le Parapluie

-          La Parure

 

Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation et n° de page de ces situations :

Avariés : « Quand elle devint plus grande, on l’envoya faire la récolte des fonds de siège avariés ». (Page11, La Rempailleuse).

Balbutier : « Faites découvrir celui-là, çà ne coûte pas très cher. Mme Oreille, exaspérée, balbutiait. » (Page 45, Le Parapluie).

Compatissant : « L’homme prononça, d’un ton compatissant ; il me paraît bien malade » (Page 49, Le parapluie).

Disposer : « Ah ! non, par exemple ; que voulez-vous que j’en passe ? Disposez-en comme vous voudrez ». (Page 17, La Rempailleuse).

Exaspéré : « sa femme, aussi exaspérée que lui répétait : « Cette gueuse ! cette gueuse ! cette gueuse !...   sans pouvoir trouver autre chose ». (Page 15,16, La Rempailleuse).

Fiacre : « Attend donc tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre ». (Page 61, La Parure).

Gueux : « Tu es fou ! Donner dix sous à cet homme  à ce gueux » (Page 40, Le Parapluie).

Haillonneux : « Toute petite, elle errait, haillonneuse, vermineuse ». (Page 10, La Rempailleuse).

Imposant : « Elle était donc restée deux ans sans le revoir ; et elle le reconnut à peine, tant il était changé, grandi, embelli, imposant dans sa tunique à boutons d’or ». (Page 13, La Rempailleuse).

Jeuner : « Car elle n’avait travaillé que pour lui, disait-elle jeunant même pour mettre de coté, et être sûre qu’il penserait à elle, au moins une fois quand elle serait morte ». (Page 15, La Rempailleuse).

Kirsch : «  On m’offrit un kirsch que j’acceptai, et je commençais mon discours d’une voir émue, persuadé qu’ils allaient pleurer ». (Page 15, La Rempailleuse).

Liard : «Un jour – elle avait alors onze ans - comme elle passait par ce pays, elle rencontra derrière le cimetière le petit chouquet qui pleurait parce qu’un camarade lui avait volé deux liards ». (Page 11, La Rempailleuse).

Manant : « Alors Charlot tapa du pied et se tournant ? Vers ses parents, cria :

-« manants, va ! ». (Page 27, Aux champs).

Niant : « Oui, j’vous le r’proche, que vous n’êtes que des niants » (Page 27, Aux Champs).

Obligation : « La voiture sert de cabane à chouquet ; et il a acheté cinq obligations de chemins de fer avec l’argent ». (Page 17, La Rempailleuse).

Parcimonieusement : « Les Vallins étaient à table en train de manger avec lenteurs des tranches de pain qu’ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piqué au couteau dans une assiette  entre eux deux ». (Page 23, Aux Champs).

Quolibet : « Las enfin de leurs quolibets, il exigea que  Mme Oreille lui achetât un nouveau parapluie ». (Page 42, Le Parapluie).

Rente : « Il était commis principal aux ministères de la guerre, demeuré là uniquement pour obéir à sa femme, pour augmenter les rentes inutilisées de la maison ». (Page 42, Le Parapluie).

Sentencieux : « Il prononça d’un ton sentencieux : -J’dis qu’c’est point méprisable.» (Page 24, Aux champs).

Ténia : « Quand elle revint , elle avait deux francs dans sa poche , mais elle ne put qu’apercevoir le petit pharmacien , bien propre , derrière les carreaux der la boutique paternelle entre un bocal rouge et un ténia ( p.12 , La Rempailleuse ).

 Usurier : « Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs ». (Page 64, La Parure).

Va-nu-pieds : « Veux-tu bien venir ici, polisson ! Que je te voie causer avec les va-nu-pieds ! … » (Page 11, La Rempailleuse).

: je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre W.

X : : je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre X.

Y : : je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre W.

Z: Je n’ai pas trouvé de mot correspondant à la lettre Z.

Mon avis sur ce livre : Ce livre m’a intéressée. Je remarque qu’il y a de la réalité dans ces cinq nouvelles cependant, il y a souvent des fins tristes.

Cathy R.                                                                                                           4ème D 04/10/14

feuilles

Nom : De Maupassant

Prénom : Guy

Edition : Magnard

Collection : Classique et patrimoine

Titre des nouvelles du recueil: La rempailleuse, Aux champs, Mon oncle Jules, Le parapluie, La parure.

La rempailleuse

Époque: XIX siècle

Les principaux personnages : La rempailleuse, le médecin, les parents de la rempailleuse, le pharmacien.

Extrait page:11/12

J'ai choisi ce moment car c'est là que commence l'histoire de la rempailleuse et monsieur Chouquet.

La rempailleuse :

C’est une vieille femme qui vit dans une vieille voiture qui lui servait de maison. Elle va bientôt mourir et donne ses dernières volontés au médecin. Son histoire est « singulière et poignante ». Enfant son père n'était guère sympathique avec elle. Dés qu'elle eut l'âge de travailler ses parents l'envoyaient faire des récoltes de fonds de chaises avariés. Quand elle se liait d'amitié avec d’autres enfants, les parents de ceux-ci les rappelaient en leur disant qu'il ne fallait pas jouer avec la fille des rempailleurs.

Le médecin : C’est un vieux médecin parisien retiré aux champs, il eut un amour qui dura cinquante cinq ans « enveloppé de cette affection acharnée et pénétrante ». C'est le narrateur de l’histoire, il raconte la vie de la rempailleuse et il annonça au pharmacien que la rempailleuse était décédée et qu'il en était l'héritier d'une somme de 2327 francs. Monsieur Chouquet le pharmacien et sa femme n'eurent aucune honte à les accepter alors que peu de temps avant ils étaient à la dénigrer auprès du médecin.

Les parents : Ils étaient tous deux rempailleurs de chaises, ils vivaient de leur métier avec leur petite fille. Ils n'étaient pas riches mais ça leur suffisait pour vivre. Ils ne pouvaient pas s'offrir le luxe mais que des choses rafistolées ou déchirées. À leur mort c'est leur fille qui reprit l'affaire.

Le pharmacien: C'était un petit garçon que la rempailleuse avait trouvé en pleurs car on lui avait volé ses sous. C'était un petit bourgeois. La rempailleuse lui donna tous ses sous et l'embrassa puis elle prit ses jambes à son cou et s’enfuit. Elle le perdit  de vue et amena ses parents où il se trouvait. Il ignora la rempailleuse et elle en pleura pendant trois jours. Lorsqu'elle vit qu'il était marié elle tenta de mettre fin à ses jours.

Avis: c'est un livre d'amour qui est très émouvant et par amour on est prêt à tout. Même si la personne qu'on aime n'a les mêmes sentiments.

 

Aux champs

 

Époque : XIX siècle

Les principaux personnages : Les Tuvache, les Valin, les D'hubières.

Les Tuvache vivaient dans la chaumière voisine des Valin. Ils étaient comme eux c'est à dire pas très riches. Ils avaient quatre enfants par famille. Les Tuvache avaient trois filles et un garçon et les Valin avaient eux aussi trois filles et un garçon. Un jour Monsieur et madame D'Hubières un couple bourgeois s'arrêta dans la cour des Tuvache. Ce couple ne pouvaient pas avoir d'enfant, ils voulaient adopter un enfant. Ils virent Charlot l'enfant des Tuvache et madame d'Hubières tomba sous le charme de ce petit garçon et demanda à son mari de proposer aux Tuvache une rente de cent francs par mois à vie en échange de leur petit Charlot. Madame Tuvache refusa le marché et les mit à la porte. Madame D'Hubière vit un autre petit garçon chez les Vallin et leur proposa le même marché. Ceux-ci acceptèrent le contrat. Horrifiés les Tuvaches n'adressèrent plus la parole aux Vallin.

 

Extrait note pages 21/22/23: Monsieur et madame D'Hubiéres arrivèrent à la campagne en face de deux vieilles chaumières où vivaient deux couples avec quatre enfants chacun….

 

Avis: Cette histoire remet en cause l'amour d'une mère et l'amour de l'argent.

 

Mon oncle Jules

Les principaux personnages sont : Joseph, Jules, le père, Clarisse, ses deux sœurs.

Extrait pages 31/32 : L'extrait  parle de son oncle Jules, de sa vie. Que c'était un voleur car il avait volé tout l'argent de l'héritage. Ensuite à cause de son mauvais comportement il est parti vivre en Amérique, où il s'établit marchand. L'oncle Jules écrit une lettre pour raconter sa vie en Amérique, la famille tenait beaucoup à cette lettre. Elle était comme « L'évangile » de la famille. Malgré tout, toute la famille avait l'espoir que l'oncle Jules reviendrait un jour et que la vie serait meilleure car ils n'avaient pas beaucoup de moyens.

Joseph est le fils de Clarisse et « du père » on ne connaît pas son nom, il a deux sœurs. C'est le narrateur tout au long de l'histoire. Son oncle est Jules. Joseph est un personnage récurrent tout au long de la nouvelle.

Jules est le frère du père de Joseph, c'est le « voleur » de la famille car il a dépensé tout l’héritage de la famille avant de partir vivre en Amérique. Là-bas il dit gagner beaucoup d'argent en exerçant le métier de marchand. À la fin de la nouvelle nous le retrouvons « ouvreur »d’huîtres à bord d'un bateau et bien mal en point.

Clarisse est la femme du père de Joseph. C'est un personnage régulier dans l'histoire. Nous n'en savons pas plus sur elle à part que c'est la mère de Joseph.

Le père est le frère de Jules. Il ne gagne pas beaucoup d’argent et vit plus ou moins dans la misère. C'est le père de Joseph et le mari de Clarisse. C'est un personnage régulier nous le voyons tout au long de l'histoire.

Les deux sœurs : on en parle peu dans l'histoire nous savons qu'une des deux a vingt sept ans et qu'elle n'est toujours pas mariée ce qui attriste la famille. Or la seconde ,la cadette a trouvé un homme qui souhaiterait prendre sa main. Ce sont les sœurs de Joseph et filles de Clarisse et du « père » puis nièce de Jules.

 

Le Parapluie

Époque : au XIX siècle

Les principaux personnages : Madame Oreille, Monsieur Oreille

Madame Oreille est la femme de monsieur Oreille. C'est une petite dame d'une quarantaine d'années, vive et ridé. Elle tenait beaucoup à son argent et quand son mari lui demandait de l'argent elle était très attristée de devoir lui en donner pour acheter un parapluie, « une telle babiole ».

Monsieur Oreille est le mari de madame Oreille. Il travaille dans le ministère en tant que commis. Ses collègues au travail se moquaient de lui car il avait un vieux parapluie tout abîmé. Quand il demande à sa femme des sous pour un nouveau parapluie, trois ans après, le parapluie était en piteux état .Monsieur Oreille n'en avait pas pris soin et avait faiT un trou dedans en brûlant la soie avec son cigare. Lorsque  monsieur Oreille redemande à sa femme  dix huit francs  pour racheter un autre parapluie ceci déclenche la colère de madame Oreille.

Extrait pages 43/44 : Monsieur Oreille arriva au bureau et eut des moqueries comme d'habitude de la part de ses collègues. Mais s'en était trop pour lui. Alors il alla voir sa femme et exigea qu’elle lui achète un autre parapluie. Elle accepta et lui prit un parapluie à huit francs mais celui-ci n'a tenu que trois ans, il était tout délabré. Monsieur Oreille exigea auprès de sa femme d'avoir un parapluie d'au moins vingt franc et en soie. Madame eut le sentiment d'avoir un coup de poignard dans le dos lorsqu'elle entendit le prix. Elle lui en acheta un quand même en soie au prix de dix huit francs. Quand monsieur Oreille revint du travail sa femme lui dit de ne pas trop serrer l'anneau qui est au-dessus du parapluie. Elle le desserra et vit un petit trou  ce qui la rendit folle de rage et prévint son mari qu'il n'en aurait plus d'autre avant bien longtemps. Le lendemain quand monsieur Oreille revint du travail sa femme regarda à nouveau le parapluie, elle se mit à rougir de colère en voyant un nouveau trou fait avec de la cendre de cigare. Cela déclencha une nouvelle dispute entre les époux.

Avis : Il ne faut pas être avare.

 

La Parure

Époque : au XIX siècle

Les principaux personnages sont : Mathilde Loisel, son mari.

Mathilde Loisel : « C'était une de ces jolies et charmantes femmes, née par erreur dans une famille d’employés ». Elle s'était mariée avec un petit homme riche et distingué. On en sait pas plus sur cette dame.

Le mari : c'était le mari de Mathilde Loisel .C'était un petit homme riche et distingué. Il exerce un métier de commis du ministère de l'instruction public. Il faisait tout pour que sa femme soit heureuse. Mais quand il lui propose d'aller à la soirée du ministère, une nouvelle inattendue va venir tout perturber.

Extrait page 59/60/61 : Mathilde devait aller à une soirée à l'hôtel du ministère où son mari travaillait. Mais Madame Loisel ne voulait pas y aller car elle n'avait ni bijoux ni pierres à se mettre et elle aurait eu l'air très pauvre parmi tous ces gens riches. Son mari lui dit d'aller chez son amie madame Forestier. Mathilde est folle de joie et en pleura presque. Lorsqu'elle arrive chez son amie, elle lui demanda de lui prêter un bijou. Celle-ci accepta avec plaisir. Madame Forestier alla chercher dans son armoire un large coffret, et l'apporta à madame Loisel. Elle pouvait choisir ce qu'elle voulait comme bijoux. Entre les bagues, les colliers en argent, les bracelets en or, elle vit un collier avec des rivières de diamants. Arrivée à la soirée c'était la plus belle de toutes. Tous les hommes la regardaient. Mais en touchant son cou elle s'aperçut que la rivière de diamant avait disparu.

Avis : Il ne vaut mieux pas emprunter de choses de valeurs et seulement de se contenter de ce que l'on a.

 

Clémence LR, 4A, le 3 Octobre 2015

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 18:36

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Auteurs : Théophile Gautier – Prosper Mérinée –Edgard Allan Poe

Titre du recueil : Arria Marcella

Edition : le livre de poche jeunesse  

Collection : classique

Titre des nouvelles : le pied de momie – La venus d’Ille – petite discussion avec une momie.

A.    Arria « … était accoudée Arria Marcella dans une pose voluptueuse et sereine … » (ligne 24, page 43) Arria Marcella

B.    Bronze  « … en me sentent un peu mal à mon aise devant cette figure de bronze. » (ligne 9, page 92) La Vénus d’Ille

C.     Catalan « vous savez, dis-je au catalan que me servait de guide depuis la veille… » (ligne 5, page 75) La Vénus d’Ille

D.    Désœuvrement  « j’étais rentré par désœuvrement chez un de ces marchants. » (ligne 1, page 55) Le pied de momie

E.     Esclaves  « … prit au hasard quelques bouchés sur les plats que lui tendait de petits esclaves asiatiques » (ligne29, page 44) Arria  Marcella

F.     Figuration «la figuration matérielle ne disparait  que pour les regards… » (ligne 29, page 45) Arria Marcella

G.    Germanicus « … que l’on désigne, je ne sais pas pourquoi, sous le nom de Germanicus. » (ligne 13, page 90) La Vénus d’Ille

H.    Hermonthis « je posais le pied de la divine princesse Hermonthis sur la liasse de papiers » (ligne 15, page 61) le pied de momie

I.       Idole « c’est une idole vous dis-je, on le voit bien à son air. » (ligne 18, page 78) la Vénus d’Ille

J.       Jennings « … avec un habit noir de la meilleure coupe de jennings (ligne 29, page  139) Petite discussion avec une momie

L.      Lysippe « un ouvrage du meilleur temps, peut-être une fonte de Lysippe. » (ligne 2, page 59) Le pied de momie

M.   Mourre  « l’attitude de cette statue rappelait celle du joueur de mourre. » (ligne 12, page 90)  La Vénus d’Ille

N.   New York « allez voir, criait-il avec enthousiasme, la fontaine du jeu de boule à New York. » (ligne 9 page 149) Petite discussion avec une momie

O.   Oblongue « Elle était oblongue, mais pas en forme de bouteille. » (ligne 10, page 130) Petite discussion avec une momie

P.     Pied « Ah, vous voulez le pied de la princesse Hermonthis dit le marchand avec un rire étrange. » (ligne 21, page 59) Le pied de momie

R.    Résine « l’intervalle entre les deux était comblé de résine. » (ligne 28 page 130) Petite discussion avec une momie

S.     Spectre « … et les spectres qui s’en détachent peuplent à l’infini. » (ligne 30, page 45) Arria Marcella

T.     Taffetas « … nous lui appliquâmes un pouce carré de taffetas noir sur le bout du nez. » (ligne 23, page 139) Petite discussion avec une momie

U.    Universel « …suffisamment  explicites sur un sujet d’un intérêt universel… » (ligne 16, page 146) petite discussion avec une momie

V.    Vénus « Et ma Vénus que vous n’avez pas encore vue. » (ligne 17, page 89) La Vénus d’Ille

W. Whing « … l’idée absolument moderne de whing. » (ligne 26, page 138) petite discussion avec une momie

Y.     Yankees « … quand on les compare avec les modernes et plus spécialement les Yankees. » (ligne 24 page 147) Petite discussion avec une momie

Z.     Zèle « … poursuivre nos expériences avec rigueur et zèle. » (ligne 7, page 135)  Petite discussion avec une momie

Romane P  4D  06/10/14                                                                                                                                                      

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Noms puis prénoms des auteurs : Théophile Gautier, Prosper Mérimée et Edgar Allan Poe

Titre du recueil : Arria Marcella

Edition : Classique collège

Collection : Le Livre de Poche jeunesse

Titre des nouvelles que contient ce recueil : Arria Marcella (Souvenir De Pompéi), Le pied de momie, La Vénus d’Ille, Petite discussion avec une momie


Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citations et n° de page de ces citations :

 

A.    Aimerais « Je comprenais que je n’aimerais jamais que hors du temps et de l’espace. » Page 46, Souvenir de Pompéi

 

B.    Blessé « Qui n’a pas été blessé par Vénus ? » Page 85, La Vénus d’Ille

 

C.    Cadavre « Alors Octavien, en qui toutes les idées de temps se brouillait, put se convaincre qu’il se promenait non dans une Pompéi morte, froide cadavre de ville qu’on a tiré à demi de son linceul, mais dans une Pompéi vivante, jeune, intacte, sur laquelle n’avaient pas coulé des torrents de boue brillante du Vénus. » Page 30, Souvenir de Pompéi

 

D.    Déesse « Il était évident que la pierre avait rebondit sur le métal, et avait puni ce drôle de l’outrage qu’il faisait à la déesse. » Page 88, La Vénus d’Ille

 

E.   Égyptienne « Je débitai ce discours d’un ton Régence et troubadour qui dut surprendre la belle Égyptienne. » Page 67, Le pied de momie

 

F.     Frayeur « J’étais assez mécontent de mon acquisition, aimant les serre-papiers sédentaire et trouvant peu naturel de voir les pieds se promener sans jambes, et je commençais à éprouver quelque chose qui ressemblait fort à de la frayeur. » Pages 63-64, Le pied de momie

 

G.   Gîte  « Alors commencèrent de nouvelles excuses sur le mauvais gîte que j’allais avoir. » Page 86, La Vénus d’Ille

 

H.    Honneur « Vendredi ! s’écria son mari, c’est le jour de Vénus ! Bon jour pour un mariage ! Vous le voyez, mon cher collège, je ne pense qu’à ma Vénus. D’honneur ! c’est la cause d’elle que j’ai choisi le vendredi. » Page 102, La Vénus d’Ille

 

I.      Idole « C’est une idole, vous dis-je : on le voit bien à son air. » Page 78, La Vénus d’Ille

 

J.     Jambe « Il a donné de l’argent à Jean Coll, qui tout de même est encore au lit depuis quinze jours que cela lui est arrivé, et le médecin dit qu’il ne marchera jamais de cette jambe-là comme de l’autre. » Pages 79-80, La Vénus d’Ille

 

K.    ?

 

L.     Légendes « Prodigieux travail que nul œil humain vivant ne devrait voir, interminables légendes de granit que les morts avaient seul le temps de lire pendant l’éternité. » Page 69, Le pied de momie

 

M.    Méchanceté « Elle a l’air méchante… et elle l’est aussi. – Méchante ! Quelle méchanceté vous a-t-elle faites ? » Page 79, La Vénus d’Ille

 

N.    Noce « Vous ferez la noce avec nous, en famille, car la futur est en deuil d’une tante dont elle hérite. » Page 83, La Vénus d’Ille

 

O.    Offrande « Je pense qu’il a servi à fixer quelque chose, un bracelet, par exemple, que ce Myron donna à Vénus en offrande expiatoire. »Page 97, La Vénus d’Ille

 

P.    Pied « je fus surpris de sa légèreté ; ce n’était pas un pied de métal, mais bien un pied de chair, un pied embaumé, un pied de momie. » Page 59, Le pied de momie

 

Q.   Questions « Il conclut en insinuant, - car ce ne fut qu’une insinuation -, que, puisque toutes ces petites questions étaient maintenant éclaircies, on pouvait aussi bien procéder à l’examen projeté. » Page 139, Petite discussion avec une momie

 

R.    Ruine « Le soleil se levait, et la salle ornée tout à l’heure avec tant d’éclat n’était plus qu’une ruine démantelée. » Page 50, Souvenir de Pompéi

 

S.   Statue «  Vous voulez dire une statue en terre cuite, en argile ? » Page 77, La Vénus d’Ille

 

T.   Tristesse « Quoiqu’elle ne parlât pas, je discernais clairement sa pensée : elle regardait le pied, car c’était bien le sien, avec une expression de tristesse coquette d’une grâce infinie ; mais le pied sautait et courait çà et là comme s’il eût été poussé par des ressorts d’acier. » Page 65, Le pied de momie

 

U.    Unanime « On croira généralement, sans aucun doute, qu’en entendant un pareil discours, dans de telles circonstances, nous avons tous filé vers la porte, ou que nous sommes tombés dans de violentes attaques de nerfs, ou dans un évanouissement unanime. » Page 136, Petite discussion avec une momie

 

V.    Vieillards « Je vis, assis sur des trônes, les rois des races souterraines : c’étaient de grands vieillards secs, ridés, parcheminés, noirs de naphte et de bitume, coiffés de pschents d’or, bardés de pectoraux et de hausse-cols, constellés de pierreries avec des yeux d’une fixité de sphinx et de longues barbes blanchies par de la neige des siècles. » Page 69, Le pied de momie

 

W.  Whig « De même, M. Buckingham n’aurait jamais réussi à lui traduire l’idée absolument moderne de whig (perruque), si, à une suggestion du docteur Ponnonner, il n’était devenu très pâle et n’avait consenti à ôter la sienne. » Page 138, Petite discussion avec une momie

 

X.    ?

 

Y.    Yeux « Les yeux, à ce qu’il semblait, avaient été enlevés, et on leur avait substitué des yeux de verre, fort beaux et simulant merveilleusement la vie, sauf leur fixité un peu trop prononcée. » Page 132, Petite discussion avec une momie

 

Z.     Zèle «  Nous nous précipitâmes en masse pour rapporter les débris mutilés de l’infortuné ; mais nous eûmes le bonheur de le rencontrer sur l’escalier, remontant avec une inconcevable diligence, bouillant de la plus grande ardeur philosophique, et plus que jamais frappé de la nécessité de poursuivre nos expériences, avec rigueur et avec zèle. » Page 135, Petite discussion avec une momie

 

Votre avis sur ce livre : J’ai bien aimé ce livre composé de nouvelles car se sont des histoires sur l’antiquité ou sur des aventures irréelles.

 

 

 

L. C. Lise, 4D                                                                                               Vendredi 3 Octobre 2014

 

 

 

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titres : Arria Marcella /Le pied de momie/La Vénus d'Ille/Petite discussion avec une momie

auteurs :T. Gautier /P. Mérimée/E. Poe

maison d’édition : le livre de poche jeunesse

genre : nouvelles / fiction

Arria Marcella de Théophile Gautier

Résumé : Un jeune homme nommé Octavien vient à visiter Pompéi, ville enfouie sous les cendres depuis deux mille ans et il ne sait pas par quel prodige mais il va se retrouver dans Pompéi au temps de Titus c’est à dire 2000 ans plus tôt.

Extrait choisi : Un prodige inconcevable le reportait, lui, français du dix-neuvième sicle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants du passé ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine.

Le pied de momie de Théophile Gautier

Résumé : un jeune homme achète à un antiquaire un pied de momie pour en faire un presse papier mais alors qu’il va aller dormir il fait une rencontre insolite avec la propriétaire de ce pied …

Extrait choisi : Au lieu d’être immobile comme il convient à un pied embaumé depuis quatre mille ans, il s’agitait, se contractait et sautillait sur les papiers comme un grenouille effarée : on l’aurait cru en contact avec une pile voltaïque ; j’entendais fort distinctement le bruit sec que produisait son petit talon, dur comme un sabot de gazelle.

Pourquoi j’ai aimé ou je n’ai pas aimé ce livre : J’ai aimé ce livre car il parle de « voyage dans le temps » et qu’il est captivant.

Julie M, 4C, novembre 2012

 

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Théophile Gautier est bien connu pour être à la fois un grand romantique, poète, romancier, nouvelliste, ... et un maître de la nouvelle fantastique. Avec Arria Marcella, il nous entraîne en Italie avec trois jeunes gens Max, le plus sensuel, Fabio, le plus séducteur et Octavien, le plus romantique. Arrivés à Naples, ils visitent le musée de Studj où Octavien, le plus jeune des trois, reste pétrifié devant l'empreinte d'un corps de femme dans un morceau de cendre noire.  Plus tard, ils empruntent le corricolo qui "avec ses grandes roues rouges, son strapontin constellé de clous de cuivre, son cheval maigre et plein de feu, harnaché comme une mule d’Espagne, courant au galop sur les larges dalles de lave," les conduit à Pompei. Ils visitent la ville antique, guidés par "un cicerone" qui les "prit" dès leur arrivée à l'osteria."Calamité qu'il est difficile de conjurer en Italie", souligne le narrateur. Le soir, de retour à l'auberge, il dînent sur la terrasse qui s'ouvre sur la ville antique et goûtent au vin de Falerne en écoutant un jeune garçon leur jouer des cantilènes à la flûte. Au moment d'aller se coucher, Max et Fabio se retirent dans leur chambre mais Octavien croit voir des ombres bouger dans les ruines de Pompéi, il s'aventure dans les rues et voilà qu' "un prodige inconcevable le reportait, lui, Français du XIXe siècle, au temps de Titus, non en esprit, mais en réalité, ou faisait revenir à lui, du fond du passé, une ville détruite avec ses habitants disparus ; car un homme vêtu à l’antique venait de sortir d’une maison voisine"...

Ne comptez pas sur moi pour dénouer l'intrigue fantastique. En revanche l'intérêt documentaire et  pittoresque ne peut me laisser insensible, je ne résiste pas à partager au moins cet extrait : "Octavien se trouva dans une cour entourée de colonnes de marbre grec d’ordre ionique peintes, jusqu’à la moitié de leur hauteur, d’un jaune vif, et le chapiteau relevé d’ornements rouges et bleus ; une guirlande d’aristoloche suspendait ses larges feuilles vertes en forme de cœur aux saillies de l’architecture comme une arabesque naturelle, et près d’un bassin encadré de plantes, un flamant rose se tenait debout sur une patte, fleur de plume parmi les fleurs végétales.

 

Des panneaux de fresque représentant des architectures capricieuses ou des paysages de fantaisie décoraient les murailles. Octavien vit tous ces détails d’un coup d’oeil rapide, car Tyché le remit aux mains des esclaves baigneurs qui firent subir à son impatience toutes les recherches des thermes antiques. Après avoir passé par les différents degrés de chaleur vaporisée, supporté le racloir du strigilaire, senti ruisseler sur lui les cosmétiques et les huiles parfumées, il fut revêtu d’une tunique blanche, et retrouva à l’autre porte Tyché, qui lui prit la main et le conduisit dans une autre salle extrêmement ornée.

Sur le plafond étaient peints, avec une pureté  de dessin, un éclat de coloris et une liberté de touche qui sentaient le grand maître et non plus le simple décorateur à l’adresse vulgaire, Mars, Vénus et l’Amour ; une frise composée de cerfs, de lièvres et d’oiseaux se jouant parmi les feuillages régnait au-dessus d’un revêtement de marbre cipolin ; la mosaïque du pavé, travail merveilleux dû peut— être à Sosimus de Pergame, représentait des reliefs de festin exécutés avec un art qui faisait illusion."

On s'y croirait !   Rien que pour cette illusion, cette nouvelle du XIXe mérite bien d'être lue.

                                                                                                                                                                     JBicrel, juillet 2012

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