A: « Adélaïde allumait la lampe à double courant d'air. (p.24)
B: La Bourse (Titre)
C: « Les chutes sont dangereuses, » (p.13)
D: « Le peintre la suivit, honteux, décontenancé … « (p.38)
E: « Les grands ravages produits par les désenchantements, par les espérances et les passions trompées. » (p.48)
F: « Sa fierté d'artiste, tout autant que sa jalousie … » (p.45)
G: « Le vieux gentilhomme vint moins souvent … » (p.43)
H: « Hippolyte resta trois jours au logis ». (p.18)
I: « Les réflexions les plus douces naissent et se succèdent,indéfinissables, multipliées ... (p.39-40) »
J: « Disait Joseph Bridau, jeune rapin de l'atelier de Gros. » (p.50)
K: « Celle-ci regarda le compte de Kergarouët, … » (p,57)
L: « La Lutte fut très inégale ». (p.30)
M: « De cette mort partielle viennent, chez certaines organisations … » (p.48)
N: « Ignorant et novice,il fit naturellement école sur école … » (p.40)
O: « Il oubliait déjà ses tableaux commencés. » (p.19)
P: « A cette heure de magie, un jeune peintre, homme de talent, … » (p.10)
Q: « A cette question, Schinner se prit à rougir … » (p.32)
R: « Le ministre me dit avec dureté que si le baron de Rouville … » (p.31)
S: « Hippolyte Schinner ne fit à la portière aucune question … » (p.17)
T: « Tout en travaillant, Hippolyte se livra fort complaisamment … » (p,19)
U: « Aux côtés d'une belle sainte... » (p.9)
V: « La vieille dame tressaillit en entendant ces paroles, … » (p.30)
W:
X: » je crois pour Louis XVIII alors régnant » (p.32)
Y: « Adélaïde jetait sur le peintre des yeux … » (p.56)
Z :
Anne-Claire C.4èmeD 17/09/2014
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Titre: La Bourse
Auteur: Honoré de Balzac
Edition: Magnard
Date de parution: 1832
Résumé:
Hippolyte est un peintre pauvre, un jour il tombe dans son atelier. Les voisines du dessous entendent sa chute et soignent le malheureux blessé. Chez ses voisines de dessous il remarque la misère cachée de la famille d’Adélaïde (l’une des deux voisines du dessous, l’autre étant sa mère). Hippolyte est amoureux d’Adélaïde. Le jeune peintre leur rend souvent visite, il remarque que les deux voisines cachent leur passé. C’est alors que le peintre propose à la chère mère d’Adélaïde de refaire le portrait de son mari. Mais le peintre se demande qui sont les amis de la pauvre mère qui viennent jouer avec elle et font exprès de perdre pour laisser quelques écus à celle-ci. Un jour la maigre bourse du jeune peintre disparaît, il se met à penser que ce sont ses voisines les Rouville qui la lui ont prise. Il interrompt alors ses visites et se languit au point que même sa mère s’aperçoit de son trouble. Un heureux hasard permet à Hippolyte de découvrir le passé extrêmement honorable des deux femmes, leur dignité. Et aussi de retrouver sa bourse entièrement rénovée et brodée des mains de mademoiselle Adélaïde. La jeune fille l’avait prise pour lui donner meilleur aspect. Pas un centime ne manque dans cette bourse désormais magnifique.
Mon Avis
Je n’ai pas vraiment aimé ce livre car ce n’est pas mon genre de livres mais il est assez facile à lire.
Marion P. 4D Septembre 2015