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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 16:36

        -Titre : Les dents de la nuit   petite anthologie "vampirique" arton355.jpg

        -Auteur :   Sarah Cohen-Scali

        -Edition :       -date :   2009

                             -éditeur : hachette livre

                             -collection : le livre de poche jeunesse

        -Genre : recueil de nouvelles fantastiques

       -Thème principal : 10 petites histoires vampiriques

       -Résumé : dix petits récits comportant une histoire sur un prêtre amoureux d’une morte qui est en réalité un vampire;  une autre d’une dame blanche qui révèle l’histoire de la  dispute entre deux frères dont un vampire qui est à l’origine de sa pâleur ; une sur le voyage d’un diplomate dans un village terrorisé par un vampire qui contamine tous ses habitants; une sur un homme qui pleure la mort de sa femme dans un cimetière où se réveillent les morts en pleine nuit ; faite par Guy de Maupassant , une sur l’invité de Dracula qui se perd dans un village fantôme ; une sur un vampire qui loge dans un hôtel et qui se fait tuer par un petit garçon, une sur un petit garçon qui adore Dracula et adopte une chauve-souris, une sur un tueur en série qui se fait vampiriser par une petite fille, une sur un jeune journaliste qui étudie sur un vampire qui massacre des gens, et une sur une jeune fille qui adore un certain liquide rouge puis qui fait un malaise dans un restaurant et se retrouve à l’hôpital et toutes les nuits, boit le sang des patients.

      -Extraits choisis :

De « La Morte » de Guy de Maupassant.

 « Et sans peur maintenant, courant au milieu des cercueils entrouverts, au milieu des cadavres, au milieu des squelettes, j’allai vers elle, sûr que je la trouverais aussitôt.

Je la reconnus de loin, sans voir le visage enveloppé du suaire.

Et sur la croix de marbre où tout à l’heure j’avais lu : "Elle aima, fut aimée, et mourut", j’aperçus :

"Etant sotie un jour pour tromper son amant, elle eut froid sous la pluie, et mourut."

Il paraît qu’on me ramassa, inanimé, au jour levant, auprès d’une tombe. »

De « La Morte » de Guy de Maupassant. J’ai mis ce passage car l’homme qui aimait cette femme et l’avait pleurée pendant un an voit qu’elle le trompait.

 De «  l’Homme Du Second » de Ray Bradbury. 

 « J’ai entendu dire le garçon dire que Koberman vivait encore après que toutes ces chosesavaient été extraites de lui. (…)

Le gamin a dit cela ?

 Il l’a dit.

Alors, qu’est-ce qui a tué finalement Koberman ?

Le coroner écarta quelques brins de fil à coudre :

Ceci, dit-il.

Le soleil mettait une froide lumière sur un trésor à demi révélé : six dollars soixante-dix en décimes d’argent dans la poitrine de M.Koberman. »

J’ai choisi ce passage car l’on prouve que l’argent tue les vampires.

 De « Le Choc » de Sarah K. 

« Retrouvant pour un temps la mobilité de ses bras qu’il avait vainement agités pour tenter de repousser les lèvres soudées à sa jugulaire telle une immonde ventouse, il avait lâché la feuille qui avait volé sur son bureau et atterri non loin de lui. Certes, sa vue devenait de plus en plus trouble, il ne put lire correctement les chiffres et les pourcentages qui en temps normal n’auraient aucun secret pour lui, mais quelques mots cependant – l’essentiel de la phrase de conclusion -  accrochèrent son regard avant qu’il ne s’éteignît.

 Lucie Rawestern avait fait une violente allergie à l’ail. »

j’ai choisi ce passage car le médecin découvre le résultat de l’analyse de Lucie qui était à ce moment en train de boire son sang. On découvre aussi que Lucie est belle et bien un vampire car elle est allergique à l’ail.

 Jugement critique personnel :

J’ai bien aimé ce livre car j’ai pu comparer les informations sur les vampires à celles que je savais déjà. Je n’ai pas trop aimé la 1ére nouvelle car le thème était trop religieux. Les nouvelles sont variées. Elles vont de 1850 à aujourd’hui. Je conseille ce livre à ceux qui aiment lire le fantastique.

Kim, 4C, novembre 2012

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Le 8 mai 2014, à P….

 

Madame,

 

J’ai lu avec intérêt votre livre de nouvelles scindé en deux parties : « les classiques » où figurent les nouvelles antérieures à 1897 et « les modernes ».

Déjà, dans la mythologie grecque, on trouve des créatures buveuses de sang. Le Moyen Age fait état de nombreuses croyances sur les morts vivants. Au 18e siècle, ces croyances se répandent dans toute l’Europe.

Parmi « les classiques », dans chacune des nouvelles, le vampire a une dimension romantique ce qui le rend moins cruel.

Ainsi, dans « La Morte amoureuse » de Théophile Gautier, j’ai découvert le personnage de Romuald, un jeune prêtre, amoureux d’une courtisane diabolique, Clarimonde. « Cette femme était un ange ou un démon, et peut-être tous les deux. » p. 13  Clarimonde, cette femme vampire, hante les nuits de Romuald : « Cette femme s’était complètement emparée de moi, […], je ne vivais plus dans moi, mais dans elle et par elle. » p. 15. L’abbé Sérapion va aider son ami Romuald à le débarrasser de son obsession pour Clarimonde. « […]La pauvre Clarimonde n’eut pas été plus tôt touchée par la sainte rosée que son beau corps tomba en poussière […] » p. 33

« La Dame pâle »est aussi une nouvelle écrite par Théophile Gauthier, elle se situe en 1825 où se livre une guerre entre la Russie et la Pologne. Suite à cette guerre, Hedwige, Polonaise, fut conduite dans un monastère. « Mon père ordonna à son intendant de me conduire dans le monastère de Sahastru […] » p. 36. Son escorte fut tuée par Kostaki, le frère de Grégoriska qui va sauver la jeune femme.

Mais, les deux hommes sont amoureux de la jeune femme. « Kostaki aime Hedwige» p. 45. Grégoriska : « Consentiriez-vous à être ma femme ?» p. 46

Grégoriska se rend au monastère de Hango, lieu où Kostaki le suit pour le tuer. Mais c’est  le contraire, c’est Kostaki qui est tué. « Kostaki a été tué en duel.» p. 51

Il transforme Hedwige en vampire. « Vous voulez parler de vampires, n’est-ce pas ?» p. 57

Et ainsi, au cours des autres nouvelles classiques : « La Famille de Vourdalak » d’Alexis Tolstoï ainsi que « La morte » de Guy de Maupassant, nous retrouvons des vampires romantiques.

 

Les vampires contemporains, ceux décrits par Stoker, Bradbury, Matheson, Gorman, King et K. font une incursion directe dans notre quotidien ce qui génère davantage de peur et d’angoisse.

Ainsi, dans « L’Homme du second » de Ray Bradbury, le jeune Douglas âgé de onze ans découvre l’intérieur du corps de Monsieur Koberman en regardant au travers de carreaux de couleur. « Il voyait à travers la paroi du ventre de M. Koberman, en plein dans son intérieur. » p. 141

Dans « La Voix du sang » de Richard Matheson, Jules, un jeune garçon, veut devenir vampire. Il apprend par cœur le livre de Dracula puis il s’entaille la gorge pour qu’une énorme chauve-souris boive son sang. « Venez boire mon sang vermeil. Venez me boire ! Venez me boire ! » p. 158

Et ainsi, au cours des autres nouvelles « modernes » : « L’Invité de Dracula » de Bram Stoker, « Processus de sélection » de Ed Gorman, « Le Rapace nocturne » de Stephen King, ainsi que « Le Choc » de Sarah K., nous retrouvons des vampires contemporains.

            Il serait intéressant, chère madame, de continuer à rassembler d’autres nouvelles que nous puissions découvrir. Je vous prie de croire à l’expression de mes sentiments respectueux.

 

                                                                                                                                                  Lisa B.

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À St B….., le 9/5/2014

Chère Mme Cohen-Scali,

Je me permets de vous écrire car je viens de finir un de vos livres. Ce livre réunit plusieurs nouvelles d'auteurs différents comme Guy de Maupassant, Théophile

Gautier...Il est intitulé « Les Dents de la nuit ». L'édition que j'ai choisie est « le livre de poche ».

J'aimerais vous remercier car vous m'avez fait découvrir plus en détails les caractéristiques des vampires comme :

- la fraîcheur de leur peau que Théophile Gautier rappelle dans la nouvelle « la morte amoureuse » p.26 l. 20 : « La fraîcheur de la peau de Clarimonde pénétrait la mienne et je me sentais courir sur le corps de voluptueux frissons.»

- leur allergie à l'ail qu’évoque Sarah K. dans la nouvelle « Le Choc » p. 220 l. 19 : «Lucie Rawestern avait fait une violente allergie à l'ail. »

- la blancheur de leur peau que nous apprend Alexandre Dumas dans la nouvelle «La Dame pâle »

- leur envie de boire du sang soulignée par Sarah K. dans la nouvelle « Le Choc » de la ligne 25 de la p.211 à la ligne 8 de la p.212 « En buvant ce sang […] Quel plaisir ! Quelle jouissance! »

Dans ce livre plusieurs époques sont représentées...

La nouvelle que j'ai préférée est celle de Sarah K. « Le Choc » car on comprend vraiment bien le sens de l'histoire.

Merci pour ces moments de frissons,

Chloé, 4C

26

Nom et prénom de l’auteur : S. Cohen-Scali

Titre du recueil : Les dents de la nuit, petite anthologie « vampirique »

Edition : Hachette, 2009

Collection : livre de poche jeunesse

Les nouvelles que contient ce recueil sont :

La morte amoureuse - La dame pâle - la famille du Vourdalak -La morte - L’invité de Dracula - L’homme du second - La voix du sang - Processus de sélection - Le rapace nocturne - -Le choc

Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation et n° de page de ces citations :

A. Amour « Oui, j’ai aimé comme personne au monde n’a aimé, d’un amour insensé et furieux, si violent que je suis étonné qu’il n’ait pas fait éclater mon cœur».   Page 11, La morte amoureuse.

B. Balles d’argent « On les tue avec des balles d’argent.  « Page 139, L’homme du second

C. cauchemar «Je ne croyais pas aux vampires, mais le cauchemar que je venais d’avoir agissait sur mes nerfs, et, ne voulant rien me reprocher par la suite, je me levai et donnai un coup de poing à la cloison. »  Page 74, La famille du Vourdalak.

D. démon  « Cette femme était un ange ou un démon, et peut- être tous les deux. »  Page 13, La morte amoureuse.

E. épouvante « J’étais paralysé par la terreur, j’étais ivre d’épouvante, prêt à hurler, prêt à mourir».  Page 98, La morte.

F. froid « Puis il tressaillit et ses dents claquèrent comme s’il grelottait de froid. » Page 82, La famille Vourdalak.

G. glaciale « L’air devint glacial et, en dépit de mon exercice, je commençais à souffrir. » Page 110, L’invité de Dracula.

H. haine « Douglas sentait brûler en lui, claire d’une beauté sans un vacillement la pure et blanche flamme de la haine».  Page 132, L’homme du second.

I. instinct « Je craignais de bouger, une sorte d’instinct de prudence me disant de rester tranquille ; mais la brute semblait se rendre compte qu’il y avait quelque changement en moi parce qu’elle souleva la tête. » Page 116, L’invité de Dracula.

J.  jeune homme « - Jeune homme ! cria-t-il, courant toujours, avalant les marches quatre à quatre, que faisiez- vous là ? » Page 133, L’homme du second.

K.  Koberman «  M. Koberman passait en bas, sur le trottoir, rentrait de son travail de nuit sa canne accrochée au coude, son atroce chapeau de paille collé sur le crâne par la brillantine. » Page 133, L’homme du second.

L. libre « Toute la journée, Jules restait debout devant la cage et, regardant le Comte, ricanait et lui disait qu’il serait bientôt libre. » Page 156, La voix du sang.

M. mort « Elle mourut, je me rappelle très bien son petit soupir, son petit soupir si faible, le dernier».  Page 94, La morte.

N. nuit «  Quand la nuit fut noire, très noire, je quittai mon refuge et me mit à marcher doucement, à pas lents, à pas sourds, sur cette terre pleine de morts. » Page97, La morte.

O. odeur nauséabonde « En même temps, je sentis dans la chambre cette odeur nauséabonde que répandent d’ordinaire les caveaux mal fermés. » Page 88, La famille Vourdalak.

P. pâleur mortelle « Ma santé même s’est rétablie, et je n’ai gardé de cet événement que cette pâleur mortelle qui accompagne jusqu’au tombeau toute créature humaine qui a subi le baiser d’un vampire. » Page 64, La dame pâle.

Q.  quatre « Quatre restaient encore debout, se serrant autour de moi, ne songeant qu’à une chose, vendre leur vie le plus cher possible. » Page 37, La morte amoureuse.

R. revolver « Il  ouvrit la porte en coup de vent et posa un genou à terre, revolver braqué, prêt à tirer».  Page 167, Processus de sélection.

S. souvenir « Oh ! Le souvenir ! Le souvenir ! Miroir douloureux, miroir brûlant, miroir vivant, miroir horrible qui fait souffrir toutes les tortures » page 95, La morte.

T. terreur «En disant cela, Sdenka était si belle que la vague de terreur qui m’agitait commença à céder au plaisir de rester avec elle. » Page 87, la famille Vourdalak.

U.

V. vampire  « - Qu’était M. Koberman ? Un vampire ? un monstre ? » Page154, L’homme du second.

W. walpurgis nacht « Enfin dans un accès de désespoir, il cria : «Walpurgis Nacht !  « et il désigna la calèche dans laquelle je devais monter. » Page 106, L’invité de Dracula.

X.

Y.

Z. zoo « A partir de ce moment, Jules retourna chaque jour au zoo rendre visite à la chauve-souris. » Page 155, La voix du sang.

 

 

Mon avis sur ce livre est très positif. Pour commencer ce livre parle beaucoup de vampire, ce qui le rend passionnant et plein de frissons. Dans certaines nouvelles, il y a plus d’action et  d’angoisse alors que dans certaines il y a plus de romance. Le point négatif serait que quelques nouvelles sont difficiles à comprendre, donc il vaut mieux les relire deux fois. Par exemple la deuxième nouvelle « La dame pâle » était difficile à comprendre.

En conclusion, j’ai adoré ce livre et je le conseille fortement aux adeptes de frissons et de romance.

 

R. Marianne   4D                                                                                                              29/09/14

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Nom et prénom de l’auteur : Sarah COHEN-SCALI

Titre du recueil : Les dents de la nuit 

Collection : Le livre de poche-jeunesse

Titres des nouvelles que contient ce recueil :

 -La morte amoureuse, Théophile Gautier - L’homme du second, Ray Bradbury            -La dame pâle, Alexandre Dumas - La voix du sang, Richard Matheson -La famille du Vouldalak, Alexis Tolstoi  -Processus de sélection, Ed Gorman -La morte, Guy de Maupassant - La rapace nocturne, Stephen King -L’invité de Dracula, Bram Stoker                            -Le choc, Sarah

Abécédaire du livre  « Les dents de la nuit » :

Amour : « Oui, j’ai aimé comme personne n’a aimé, d’un amour insensé et furieux, si  violent que je suis étonné qu’il n’ait pas étonné mon cœur. » Page 2, La morte amoureuse, Théophile Gautier.

Beauté : « Une jeune femme d’une beauté rare et vêtue avec une magnificence royal. »Page 3, La morte amoureuse, Théophile Gautier.

Clarimonde : «  Je pleurais aussi fort que lui, car j’avais compris que la morte n’était autre que Clarimonde. » Page 21, La morte amoureuse, Théophile Gautier

Dame : «Ecoutez, dis la dame pâle avec une étrange solennité, puisque tout le monde ici a raconté une histoire, je veux en raconter une. » Page 35, La dame pale, Alexandre Dumas.

Epingle : « Quelque chose pareil à une piqûre d’épingle à mon cou. » Page 56, La dame pâle, Alexandre Dumas.

Fusil : « Ils avaient  chacun à la main un long fusil turc » Page 37, La dame pâle, Alexandre Dumas

George : «  Georgene bougea pas mais Pierre se leva, les larmes aux yeux, et saisissant l’arquebuse de son père, il tira sur le chien qui roula dans la poussière.»Page 70, La famille du Vouldalak, Alexis Tolstai.

Hôpital : « Quelle honte pour l’hôpital de se débarrasser ainsi d’une malade qui n’avait pas recouvré ses forces ! » Page 217-218, Le choc, Sarah K.

 

Imagination : « J’avoue que ce que j’avais vu dans la soirée avait impressionné mon imagination. » Page 72, La famille du Vouldalak, Alexis Tolstai.

Jocelyn : «  Elle s’était ainsi retrouvée dans la même situation que 15 ans auparavant, lorsque, trop émue par la seule proximité de Jocelyn assis derrière elle en classe, elle était incapable d’écouter les cours et se faisait sanctionner par les professeurs. » Page 199-200, Le choc, Sarah K.

Kilomètres : «  Je songeais aux kilomètres et aux kilomètres de paysage désert que j’avais déjà parcourus, aussi je hâtai le pas pour me mettre à l’abri sous le bois qui était devant moi. » Page 109, L’invité de Dracula, Bram Stoker

Livre « Il découvrit Dracula, sur une des étagères, mais il ne put emprunter ce livre car il n’était pas membre et ne pouvait pas le devenir qu’en se présentant  accompagné de son père ou de sa mère. » Page 150, La voix du sang, Richard Matheson.

Mourir : « J’étais paralysé par la terreur, j’étais ivre d’épouvantes, prêt à hurler, prêt à mourir. » Page 98, La morte, Guy de Maupassant.

Neige : «  La neige tombait maintenant avec une telle épaisseur et tourbillonnait autour de moi en remous si rapides que je pouvais difficilement garder les yeux ouverts. » Page 110, L’invité de Dracula, Bram Stoker.

Outillage : «  En tout, il comptait 20 couteaux dans les tiroirs divers, mais tous crissant de la magique table de cuisine d’où Grandma, une bonne vielle sorcière aux cheveux blancs, au doux visage, extrayait l’outillage nécessaire à  l’accomplissement de ses miracles. » Page 126, L’homme du second, Ray Bradbury

Poussière : « C’était épatant quand Grandma brandissait des salières d’argent probablement remplies de poussière de momie et d’os pulvérisés d’Indiens, dont elle  était censée généreusement saupoudrer l’oiseau, tandis que la bouche édentée murmurait à mi-voix des vers mystiques. » Page 126, L’homme du second, Ray Bradbury.

Quartier : « Dans le parking, il étudia la carte cherchant le meilleur moyen d’entrer et de sortir du quartier en question et surtout, d’avoir accès à l’autoroute au cas où les choses tournaient mal. » Page 163, Processus de sélection, Ed Gorman.

Rédaction : «  Il avait envie de composer une rédaction.» Page 151, La voix du sang, Richard Matheson

Sépulture : « Attiré par une sorte de fascination, je m’approchai de la sépulture pour savoir ce qu’elle était et pourquoi une telle bâtisse se trouvait isolée dans un tel endroit. » Page 112, L’invité de Dracula, Bram Stoker.

Tombe : « Je pensais qu’elle aussi avait dû la tracer sur sa tombe. »Page 199, La morte, Guy de Maupassant.

U : ?

Vampire : «  Il se dit : les vampires n’ont pas de refl… » Page 190, La rapace nocturne, Stephen King

Walpurgis : « La nuit de Walpurgis, au cours de laquelle, selon la croyance populaire, le diable se promenait quand les tombes étaient ouvertes et que les morts sortaient et erraient. » Page 113, L’invité de Dracula, Bram Stoker.

X :?

Yatagan : « Pierre, avec une insouciance affectée, sifflait en nettoyant un yatagan. » Page 67, La famille du Vouldalak, Alexis Tolstaï.

Zéro : Je n’ai trouvé zéro mot commençant par la lettre « Z » dans ce livre.

Mon avis sur ce livre : Je n’ai pas tout compris sur ce livre car il y a des nouvelles où je ne voyais pas trop où l’auteur voulait en venir mais j’ai aimé quand il y avait des surprises, des rebondissements.

                                                                                              D. Valentine 4D 01/10/14

*Vocabulaire :

Sépulture : Lieu où un mort est enterré

Yatagan : sabre turc incurvé à lame courte

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commentaires

Q
faudrait un resume plus court
Répondre
J
C'est trop long!
Répondre
C
<br /> Alors que j'aime beaucoup cette auteure, comment ai-je pu passer à côté de ce titre. il va falloir que je passe à la librairie.<br /> <br /> <br /> merci pour cette chronique qui va me permettre de la retrouver. <br /> <br /> <br /> bonne journée <br />
Répondre

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