Auteur : Rémi Stéfani
Titre : 500.000 euros d’argent de poche
Édition : Rageot
Collection : Heure noire
Illustrateur : Vincent Dutrait
Genre de roman : Policier
C’est l’histoire d’un petit garçon qui habite devant un petit sentier à côté d’une rivière. Un jour il y a eu un meurtre, un comptable s’est fait tuer par balles. Les jours d’après la police et la télé sont venues. Lorsque les caméras filmaient, le père du jeune homme se faisait interroger par les enquêteurs. À ce moment-là, Aurélien traverse avec son pied un petit tas de branches mortes et sent sous son pied quelque chose d’assez gros et lourd. Il attend le lendemain pour aller voir ce que c’était. Il met la main le plus loin qu’il peut, il la sort, puis court jusqu’à sa chambre. Il ouvre la sacoche et découvre 500.000 euros.
Un soir, il faisait chaud et il avait ouvert sa fenêtre. Il entend des voix derrière chez lui, il se cache derrière un buisson et écoute. C’était les auteurs du crime. Un autre soir il promenait son chien avec un copain et il voit un des policiers parler avec des gens dans une voiture. Au retour, les gens se sont arrêtés pour lui parler. Plus tard, Aurélien se fait enlever par les gars car ils savaient qu’il avait l’argent. Ils l’ont enfermé dans un vieux moulin jusqu’à ce que la police arrive le chercher et qu’elle emprisonne les tueurs avec leur chef.
Aurélien a le rôle principal qui est de trouver la sacoche. Il a l’air de taille moyenne, brun gentil et distrait. Il est fiable mais là il est obligé de mentir. Il ne supporte pas les gens qui se vantent d’être les meilleurs et être parfaits. Son comportement est normal, il est calme et sait mentir sans que cela ne se remarque quand il le faut. Comme ami, il a Louis qui se moque de lui en disant que sa maison est normale mais « moche » par rapport à la sienne.
Passage choisi p.40/41:
- Il l’avait forcément avec lui, ct’empaffé, il est parti de chez lui avec. Et il y avait rien dans sa bagnole.
- T’imagines s’il l’avait balancée à la flotte.
- Arrête. Personne peut balancer un paquet de pognon pareil.
- Avec la pétoche qu’y devait avoir !
- Quand même. Non, il a dû le planquer quelque part. Entre ici et le moulin.
- En tout cas, vaudrait mieux qu’on le trouve fissa. Parce que Manu il avalera pas facilement qu’on ait paumé le fric, si tu vois ce que je veux dire.
- Il va croire qu’on l’a piqué, c’est ça ?
- Mets-toi à sa place.
- T’as raison ! Si cet abruti de comptable l’a foutu à la flotte, on est mal.
J’ai choisi ce passage car je trouve que c’est ce qui déclenche les faits, il y a de l’action, du suspense, de la tension.
L’illustration de première page : Je trouve qu’elle représente bien l’histoire car il a trouvé 500.000 euros comme sur le dessin.
Pierre-Anne, 4A, décembre 2015