8 août 2009
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Je viens de terminer la lecture de ce roman de 1010 pages, publié en 1968, année où Cohen s'est vu attribuer le grand prix du roman de l'Académie française. Je ne vais pas m'aventurer à résumer une telle oeuvre, d'autres l'ont déjà fait de façon très détaillée sur Wikipedia ou plus analytique dans L'Encyclopédie Universalis.
Pour présenter ce roman somme que je quitte à regret et qui me hantera sûrement encore longtemps, je retiendrais surtout des chocs, des luttes permanentes entre
tragédie et comédie
amour et haine
nature et culture
beauté et laideur
passion et vie
vie sociale et isolement
Juifs et chrétiens
hommes et femmes
richesse et pauvreté
réussite et échec
ennui et vie....
Une belle leçon sur la vie, étourdissante et inoubliable comme la valse qui entraînait Solal et Ariane, grave, désespérée aussi. C'est un livre à lire absolument mais mieux vaut attendre d'être un peu armé par la vie. Je le conseille plutôt aux adultes.
La valse de Camille Claudel me paraît être une bonne illustration. La voici, photographiée lors d'une expo en 2005 à Dinan :
Pour présenter ce roman somme que je quitte à regret et qui me hantera sûrement encore longtemps, je retiendrais surtout des chocs, des luttes permanentes entre
tragédie et comédie
amour et haine
nature et culture
beauté et laideur
passion et vie
vie sociale et isolement
Juifs et chrétiens
hommes et femmes
richesse et pauvreté
réussite et échec
ennui et vie....
Une belle leçon sur la vie, étourdissante et inoubliable comme la valse qui entraînait Solal et Ariane, grave, désespérée aussi. C'est un livre à lire absolument mais mieux vaut attendre d'être un peu armé par la vie. Je le conseille plutôt aux adultes.
La valse de Camille Claudel me paraît être une bonne illustration. La voici, photographiée lors d'une expo en 2005 à Dinan :